La police de la pensée en Amérique

Une attention particuliere doit etre portée a la facon dont les juifs internationalistes et de Russie ( communistes) ont établit un systeme de pensée totalitaire en Russie en 1917. Le systeme de commissars politiques chargé de surveiller la pensée idéologique des russes - le systeme de propagande politique et par les médias comme la Pravda et autres aux mains en majorité de juifs de Russie et internationaux - les proces truqués contre les ``hérétiques``. Ne pas oublier que Trotsky, le chef de l`armée rouge et exécuteur réel du coup d`État d`Octobre 1917 était un juif talmudiste (Bronstein son vrai nom!) et que Djerzin le fondateur de la cruelle et terrible police politique - la Tchéka - coupable de crime contre l`humanité - était aussi un juif talmudiste. On voit maintenant en Occident un systeme semblable se mettre en place doucement- une police de la pensée - pour l`instant appuyée par des lois et des organisations de surveillances privées comme l`ADL - le CRIF - les tribunaux dit - de droits de la personne et des minorités - qui agissent sur le meme profil - la surveillance de la pensée humaine pour la rendre confome a une idéologie - non plus le communisme - mais le mondialisme multiculturel - poussé par les memes. On voit aussi des proces d`hérétiques coupables de ne pas avoir une pensée conforme.


La police de la pensée en Amérique

Extrait de l'article de Occidental Observer:

Tom Sunic a écrit:

La police de la pensée en Amérique, avec ses nombreuses organisations, est beaucoup moins visible et plus subtile que celles en lEurope-et donc plus efficace. Par exemple, le Southern Poverty Law Center (SPLC) prétend être un groupe de réflexion, mais est essentiellement une ligne d'assemblage chargée d`attaquée ceux qui ont «la mauvaise ligne de pensée» sur des sujets tels que la race et l'influence juive. Il reçoit des millions de dollars provenant de sources anonymes avec comme objectif principal ét la mise à l'index de tous les groupes que ils étiquettes comme «d'extrême droite» et de tous ceux qui sont non-conformistes intellectuellement avec la pensée unique ou qui osent critiquer le système. En effet, le SPLC ressemble à une agence d'espionnage privée dont les lignes idéologique sont tracées dans le voisinage du marxisme culturel, et qui est dirigé par Morris Dees, Mark Potok et Richard Cohen.

Il y a bien longtemps, le SPLC a lancé les nouvelles règles de terminologie qui continue d'employer abusivement les expressions telles que «groupes de haine» ou «suprématie blanche» pour les personnes d'ascendance européenne qui expriment des opinions critiques à l'égard du multiculturalisme et qui s'opposent à la présence disproportionnée des Juifs dans les médias américains. Dans la langue française, des mots tels que «groupes de haine» ou «suprématie blanche» n'ont pas encore pris la même signification inquisitoire, contrairement à l'Amérique, où ces termes ont un effet paralysant sur toute la classe intellectuelle ou un politicien ne peut oser toucher le Saint- des Saints- c`est-a –dire dire la question juive ou la Métaphysique du Multiculturalisme. Bien que dans le Code pénal il n'existe pas encore d'une disposition légale faisant référence au «discours de haine», cette expression, cependant, est propagée par les médias américains sur toutes les longueurs d'onde, et est désormais devenu une partie du jargon des nouveaux médias, servant de plus en plus puissant moyen de dissuasion contre tous les esprits libres. En effet, la locution «discours de haine» est si vague qu'elle peut facilement se prêter à une interprétation, d'où l'étiquette peut frapper n'importe qui à n'importe quel moment.

Le SPLC ou le puissant lobby juif explicitement, l'ADL, (Anti-Defamation League du Bnai Brith ( franc-maçonnerie juive) dont la contrepartie en France est le CRIF, Conseil représentatif des institutions juives de de-France "Conseil des organisations juives françaises") ne sont pas simplement des machines d'espionnage intellectuelle. Le SPLC est également une organisation qui informe le FBI et le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis à propos hérétiques blancs soupçonnés de propager un «discours de haine» et qui, par processus de culpabilité par association, sont susceptibles de devenir des «terroristes» - une dénotation avec des conséquences beaucoup plus graves en Amérique. Pire encore, le SPLC s'est également fixé pour tâche de surveiller les établissements universitaires, en faisant un catalogue des enseignants "mal intentionnées" dont les programmes osent sortir de l'Evangile du Multiculturalisme. Non seulement ses cibles sont les jeunes farfelus autoproclamés nazis, mais aussi de nombreux chercheurs éminents dans le domaine de la sociobiologie, ou même des politiciens et écrivains, tels que l'ancien candidat à la présidentielle et l'auteur à succès Patrick Buchanan.

Bien sûr, tout le monde en Amérique a légalement le droit de critiquer tout sur de nombreux sites Web, mais dans la plupart des cas, la portée intellectuelle de ces documents et de sites est limité et ne peut en aucun cas nuire au système.

Franklin Ryckaert a commenté:

La différence entre l'Amérique et l'Europe en ce qui concerne la liberté d'expression sur les deux tabous (Juifs et Race), c'est que en Amérique le problème est "résolu" dans une manière privée en conformité avec sa philosophie du système de libre entreprise, tandis qu'en Europe, il est résolu par l'Etat ("Lois"), mais le résultat est le même. En Amérique système d`inquisitions privés (ADL, SPLC) qui persécute les "hérétiques", en Europe, c'est l'Etat qui le fait par les lois Pleven anti-racistes. Dans les deux cas, ce sont les Juifs qui sont derrière.

Ensuite, il y a bien sûr une classe secondaire, composé de d`occidentaux qui ont entièrement intériorisées la pensée juive et ils ont maintenant entrepris la tâche sacrée de la persécution de leur frères hérétique: le cas pathétique des occidentaux, diversement appelés «anti-racistes», «anti-fascistes", etc

Plus les juifs vont peser sur le pouvoir et plus la restriction de la liberté d'expression va augmenter. Il n'y a pas d'autre issue à cette situation que par l'usage de la parole libre. Établit ici le champ de bataille majeur. L'Internet, avec ses nombreux sites Web nous permet de mener une sorte de guérilla dans cette lutte, mais pour combien de temps?

Cela va dans le sens d'un post que je viens de publier sur le lien "France". Il s'agit d'un extrait d'une entrevue que j'ai trouvé dans "Salon Beige".