MARIE anagramme d'aimer (chanson)
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MARIE anagramme d'aimer (chanson)
Bonjour à toutes et à tous,
MARIE anagramme d’AIMER
Paroles et musique Jean-Claude GIANADDA
Refrain :
PUISQUE TU ME MONTRES LA ROUTE
PUISQUE AVEC TOI, JE NE CRAINS RIEN.
MALGRÉ LES VENTS ET LES DÉROUTES
J’IRAI JUSQU’AU BOUT DU CHEMIN.
1.- DONNE-MOI LA MAIN
MARIE ma MÈRE
Pour faire : « tout ce qu’ « IL » voudra…. »
Surtout prends soin
C’est ma prière,
De mon désir d’être avec Toi.
2.- DONNE-MOI LA MAIN
MARIE ma MÈRE
Dans ces moments de : « Golgotha »
Y a-t-il, au moins,
Une « Lumière »
J’en ai tellement besoin, tu vois.
3.- DONNE-MOI LA MAIN
MARIE ma MÈRE
Car le puits reste à sec parfois,
Est-elle loin
Cette rivière
Où « IL » m’attend encore, je crois.
Ecouter sur :
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
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MARIE anagramme d’aimer
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MARIE anagramme d’aimer
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MARIE anagramme d’AIMER
Paroles et musique Jean-Claude GIANADDA
Refrain :
PUISQUE TU ME MONTRES LA ROUTE
PUISQUE AVEC TOI, JE NE CRAINS RIEN.
MALGRÉ LES VENTS ET LES DÉROUTES
J’IRAI JUSQU’AU BOUT DU CHEMIN.
1.- DONNE-MOI LA MAIN
MARIE ma MÈRE
Pour faire : « tout ce qu’ « IL » voudra…. »
Surtout prends soin
C’est ma prière,
De mon désir d’être avec Toi.
2.- DONNE-MOI LA MAIN
MARIE ma MÈRE
Dans ces moments de : « Golgotha »
Y a-t-il, au moins,
Une « Lumière »
J’en ai tellement besoin, tu vois.
3.- DONNE-MOI LA MAIN
MARIE ma MÈRE
Car le puits reste à sec parfois,
Est-elle loin
Cette rivière
Où « IL » m’attend encore, je crois.
Ecouter sur :
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Amicalement, fraternellement
Nicolas
Nicolas- Animateur
- Date d'inscription : 24/01/2008
Age : 54
Localisation : France: Hérault (34)
L'assomption racontée par La Sainte Vierge Marie à soeur Josefa Menendez
Bonjours à toutes et à tous,
voici un petit extrait de "un appel à l'amour" de Soeur Josefa Menendez, un livre qui retrace les graces reçues par notre petite soeur Josefa , de la bouche mème de Jésus et Marie, dans cet extrait la Sainte Vierge nous explique ce qu'elle a ressentie le jour de son entrée dans la gloire du Ciel ou Notre Mère et Mère de Dieu retrouve son Fils tant aimé. Bonne lecture.
Joseph
Aujourd’hui, la terre et le ciel s’unissent pour fêter Marie.
Elle fut bien l’une d’entre nous, foulant la terre de Palestine et assumant pleinement son role de Mère.
Elle est désormais participante de la gloire de son Fils ressuscité.
Que cette fête de l’Assomption, fête de l’espérance, nous redise que la gloire est promise à ceux qui font la volonté du Père.
Mais nous sommes curieux de savoir quels ont été ses sentiments ... L’Evangile nous parle si peu d’elle !...
C’est pourquoi, nous lui sommes reconnaissants d’avoir ouvert son cœur à Sr Josefa.
Voici comment celle-ci nous relate la grâce du mercredi 15 août 1923.
Une radieuse parenthèse s’ouvre, pour Josefa, au milieu de ses luttes quotidiennes.
Au soir de cette glorieuse journée, Marie apparaît à son enfant dans toute sa beauté. Elle écoute maternellement tout ce qu’elle lui confie de ses tribulations du présent, de ses appréhensions pour l’avenir, et surtout de sa fragilité et de sa misère.
« Ma fille, ta faiblesse ne doit pas te décourager, confesse-la humblement, mais ne perds pas confiance, puisque tu sais, à n’en jamais douter, que c’est à cause de ta misère et de ton indignité que Jésus a fixé ses yeux sur toi.... Beaucoup d’humilité, mais beaucoup de confiance ! »
Alors, détournant sa pensée d’elle-même, Josefa ne songe plus qu’à la joie de sa Mère Immaculée dont le monde entier a célébré aujourd’hui l’entrée dans le ciel.
Marie semble tressaillir à ce souvenir qui est pour elle la béatitude de l’éternel présent. Elle lui dit :
« Oui, c’est vraiment en ce jour que la joie pleine et sans mélange a commencé pour moi, car durant toute ma vie, mon âme fut transpercée d’un glaive. »
Je Lui ai demandé-écrit naïvement Josefa- si la présence de l’Enfant-Jésus, si petit et si beau, n’avait pas été cependant une grande consolation pour elle.
Marie lui répond :
* « Écoute ma fille, dès l’enfance, j’eus connaissance des choses divines et des espérances placées en la venue du Messie. Aussi, lorsque l’Ange m’annonça le Mystère de l’Incarnation et que je me vis choisie pour Mère du Sauveur des hommes, mon Coeur, bien que dans une grande soumission à la Volonté de Dieu, fut submergé dans un torrent d’amertume. Car je savais tout ce que ce tendre et divin Enfant devait souffrir, et la prophétie du vieillard Siméon ne fit que confirmer mes angoisses maternelles.
Tu peux, dès lors, te figurer quels devaient être mes sentiments en contemplant les charmes de mon Fils, son visage, ses mains, ses pieds, tout son être que je savais devoir être si cruellement maltraités. Je baisais ses mains, et il me semblait que mes lèvres s’imprégnaient déjà du Sang qui jaillirait un jour de leurs blessures. Je baisais ses pieds, et je les contemplais déjà cloués à la croix. Je soignais sa ravissante chevelure, et je la voyais couverte de sang, enlacée dans les épines de sa couronne. Et quand, à Nazareth, il fit ses premiers pas et courut à ma rencontre ses petits bras ouverts, je ne pus retenir mes larmes à la pensée de ses bras étendus sur la croix où il devait mourir ! Quand il atteignit l’adolescence, il y avait en lui un tel ensemble de beauté que nul ne pouvait le contempler sans admiration.... Seul, mon coeur de Mère se serrait à la pensée des tourments dont j’éprouvais d’avance la répercussion...
Après l’éloignement des trois années de sa vie apostolique, les heures de sa Passion et de sa Mort furent pour moi le plus terrible des martyres.
Lorsqu’au troisième jour, je le vis ressuscité et glorieux, sans doute l’épreuve changea d’aspect, puisqu’il ne pouvait plus souffrir. Mais combien douloureuse allait être la séparation ! Le consoler, réparer les offenses des hommes serait alors mon seul soulagement. Cependant, quel long exil !...Quelles ardeurs montaient de mon âme ! ...Comme je soupirais après l’heure de l’union éternelle ! ... Ah ! Quelle vie sans Lui ! ... Quelle lumière enténébrée !... Quelle union désirée !... et comme Il tardait à venir ! ...
Ce fut au moment d’entrer dans mes soixante-treize ans, que mon âme passa comme un éclair de la terre au ciel. À la fin du troisième jour, les anges vinrent chercher mon corps et le transportèrent en triomphe de jubilation pour le réunir à mon âme... Quelle admiration, quelle adoration et quelle douceur quand mes yeux virent, pour la première fois, dans sa Gloire et dans sa Majesté, au milieu des armées angéliques, mon Fils !... mon Dieu !...
Et que dire, ma fille, de l’étonnement dont je fus saisie à la vue de mon extrême bassesse couronnée de tant de dons et environnée de tant d’acclamations ! ... Plus de tristesse !... Plus de mélange !... Tout est douceur, tout est gloire, tout est Amour !... »
La Très Sainte Vierge s’est exprimée avec enthousiasme, dira plus tard Josefa, et cependant un reflet d’humilité enveloppe chacun de ses mots.
Marie se tait un instant, plongée dans le souvenir magnifique de son entrée au ciel. Puis, abaissant son profond regard, elle ajoute :
« Tout passe, ma fille et la béatitude n’a pas de fin. Souffre et aime : mon Fils couronnera bientôt tes efforts et tes labeurs. Ne crains rien, Lui et Moi, nous t’aimons ! »
« Reste-lui bien fidèle et ne lui refuse rien. Fais-lui le chemin par tes petits actes, car Il viendra bientôt. Courage, courage ! Générosité et amour ! ... L’hiver de la vie est court et le printemps sera éternel ! »
Josefa note qu’elle ne put rappeler à sa mémoire les termes mêmes de cette confidence. Mais le vendredi 17 août, poursuit-elle, quand j’allai dans ma cellule pour essayer d’en écrire quelque chose, soudain la Sainte Vierge parut, très belle et resplendissante de lumière. Souriant doucement, elle me répéta tout ce qu’elle m’avait dit, au soir de sa fête, puis elle me donna sa main à baiser, me bénit et disparu
voici un petit extrait de "un appel à l'amour" de Soeur Josefa Menendez, un livre qui retrace les graces reçues par notre petite soeur Josefa , de la bouche mème de Jésus et Marie, dans cet extrait la Sainte Vierge nous explique ce qu'elle a ressentie le jour de son entrée dans la gloire du Ciel ou Notre Mère et Mère de Dieu retrouve son Fils tant aimé. Bonne lecture.
Joseph
Aujourd’hui, la terre et le ciel s’unissent pour fêter Marie.
Elle fut bien l’une d’entre nous, foulant la terre de Palestine et assumant pleinement son role de Mère.
Elle est désormais participante de la gloire de son Fils ressuscité.
Que cette fête de l’Assomption, fête de l’espérance, nous redise que la gloire est promise à ceux qui font la volonté du Père.
Mais nous sommes curieux de savoir quels ont été ses sentiments ... L’Evangile nous parle si peu d’elle !...
C’est pourquoi, nous lui sommes reconnaissants d’avoir ouvert son cœur à Sr Josefa.
Voici comment celle-ci nous relate la grâce du mercredi 15 août 1923.
Une radieuse parenthèse s’ouvre, pour Josefa, au milieu de ses luttes quotidiennes.
Au soir de cette glorieuse journée, Marie apparaît à son enfant dans toute sa beauté. Elle écoute maternellement tout ce qu’elle lui confie de ses tribulations du présent, de ses appréhensions pour l’avenir, et surtout de sa fragilité et de sa misère.
« Ma fille, ta faiblesse ne doit pas te décourager, confesse-la humblement, mais ne perds pas confiance, puisque tu sais, à n’en jamais douter, que c’est à cause de ta misère et de ton indignité que Jésus a fixé ses yeux sur toi.... Beaucoup d’humilité, mais beaucoup de confiance ! »
Alors, détournant sa pensée d’elle-même, Josefa ne songe plus qu’à la joie de sa Mère Immaculée dont le monde entier a célébré aujourd’hui l’entrée dans le ciel.
Marie semble tressaillir à ce souvenir qui est pour elle la béatitude de l’éternel présent. Elle lui dit :
« Oui, c’est vraiment en ce jour que la joie pleine et sans mélange a commencé pour moi, car durant toute ma vie, mon âme fut transpercée d’un glaive. »
Je Lui ai demandé-écrit naïvement Josefa- si la présence de l’Enfant-Jésus, si petit et si beau, n’avait pas été cependant une grande consolation pour elle.
Marie lui répond :
* « Écoute ma fille, dès l’enfance, j’eus connaissance des choses divines et des espérances placées en la venue du Messie. Aussi, lorsque l’Ange m’annonça le Mystère de l’Incarnation et que je me vis choisie pour Mère du Sauveur des hommes, mon Coeur, bien que dans une grande soumission à la Volonté de Dieu, fut submergé dans un torrent d’amertume. Car je savais tout ce que ce tendre et divin Enfant devait souffrir, et la prophétie du vieillard Siméon ne fit que confirmer mes angoisses maternelles.
Tu peux, dès lors, te figurer quels devaient être mes sentiments en contemplant les charmes de mon Fils, son visage, ses mains, ses pieds, tout son être que je savais devoir être si cruellement maltraités. Je baisais ses mains, et il me semblait que mes lèvres s’imprégnaient déjà du Sang qui jaillirait un jour de leurs blessures. Je baisais ses pieds, et je les contemplais déjà cloués à la croix. Je soignais sa ravissante chevelure, et je la voyais couverte de sang, enlacée dans les épines de sa couronne. Et quand, à Nazareth, il fit ses premiers pas et courut à ma rencontre ses petits bras ouverts, je ne pus retenir mes larmes à la pensée de ses bras étendus sur la croix où il devait mourir ! Quand il atteignit l’adolescence, il y avait en lui un tel ensemble de beauté que nul ne pouvait le contempler sans admiration.... Seul, mon coeur de Mère se serrait à la pensée des tourments dont j’éprouvais d’avance la répercussion...
Après l’éloignement des trois années de sa vie apostolique, les heures de sa Passion et de sa Mort furent pour moi le plus terrible des martyres.
Lorsqu’au troisième jour, je le vis ressuscité et glorieux, sans doute l’épreuve changea d’aspect, puisqu’il ne pouvait plus souffrir. Mais combien douloureuse allait être la séparation ! Le consoler, réparer les offenses des hommes serait alors mon seul soulagement. Cependant, quel long exil !...Quelles ardeurs montaient de mon âme ! ...Comme je soupirais après l’heure de l’union éternelle ! ... Ah ! Quelle vie sans Lui ! ... Quelle lumière enténébrée !... Quelle union désirée !... et comme Il tardait à venir ! ...
Ce fut au moment d’entrer dans mes soixante-treize ans, que mon âme passa comme un éclair de la terre au ciel. À la fin du troisième jour, les anges vinrent chercher mon corps et le transportèrent en triomphe de jubilation pour le réunir à mon âme... Quelle admiration, quelle adoration et quelle douceur quand mes yeux virent, pour la première fois, dans sa Gloire et dans sa Majesté, au milieu des armées angéliques, mon Fils !... mon Dieu !...
Et que dire, ma fille, de l’étonnement dont je fus saisie à la vue de mon extrême bassesse couronnée de tant de dons et environnée de tant d’acclamations ! ... Plus de tristesse !... Plus de mélange !... Tout est douceur, tout est gloire, tout est Amour !... »
La Très Sainte Vierge s’est exprimée avec enthousiasme, dira plus tard Josefa, et cependant un reflet d’humilité enveloppe chacun de ses mots.
Marie se tait un instant, plongée dans le souvenir magnifique de son entrée au ciel. Puis, abaissant son profond regard, elle ajoute :
« Tout passe, ma fille et la béatitude n’a pas de fin. Souffre et aime : mon Fils couronnera bientôt tes efforts et tes labeurs. Ne crains rien, Lui et Moi, nous t’aimons ! »
« Reste-lui bien fidèle et ne lui refuse rien. Fais-lui le chemin par tes petits actes, car Il viendra bientôt. Courage, courage ! Générosité et amour ! ... L’hiver de la vie est court et le printemps sera éternel ! »
Josefa note qu’elle ne put rappeler à sa mémoire les termes mêmes de cette confidence. Mais le vendredi 17 août, poursuit-elle, quand j’allai dans ma cellule pour essayer d’en écrire quelque chose, soudain la Sainte Vierge parut, très belle et resplendissante de lumière. Souriant doucement, elle me répéta tout ce qu’elle m’avait dit, au soir de sa fête, puis elle me donna sa main à baiser, me bénit et disparu
Joseph- Date d'inscription : 18/04/2008
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