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Ukraine: POUSSER LA GUERRE AVEC LA RUSSIE?

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Message par MichelT Jeu 17 Juil 2014 - 21:24

POUSSER LA GUERRE AVEC LA RUSSIE - sont-ils assez fou pour essayer une autre attaque sous faux drapeau? ( false flag)

MISE À JOUR: Les États-Unis sont encore dans une série de bouleversements secret qui risque encore de leur exploser au visages. L'Ukraine avait décidé de ne pas entrer dans l'Union européenne (et de façon permanente dans l'esclavage de la dette à la Banque centrale européenne) et d'accepter un accord plus avantageux avec la Russie. C'est à ce point que les agents provocateurs ont inondées Kiev pour créer une crise avec laquelle ils pourraient exécuter un coup d'État contre le gouvernement élu.

Le gouvernement américain et ses alliés ont immédiatement reconnu le coup, disant que l'ancien gouvernement élu était corrompu et incompétent.

La Russie a constaté le renversement de l'Ukraine avec alarme, en grande partie à cause des ports de mer chaude de la Russie en Crimée. La Russie n'a pas d'autres ports en eau chaude pour leurs navires de la Marine, de sorte que la menace d'emporter ces bases navales représente une menace claire pour les intérêts stratégiques de la Russie. Les Russes vivant à l'intérieur de l'Ukraine, principalement dans la région industrialisée de l'Est, n'ont aucun désir de soumettre au gouvernement non élu à Kiev, qui a déjà pris la décision d'interdire la langue russe à l'intérieur de l'Ukraine.

Les deux parties déversent du matériel militaire dans la région. De toute évidence, la guerre se prépare, et c`est-ce que les bankster veulent. Mais les Américains sont las de la guerre et plus de 80% des Américains sont opposés à l'engagement américain dans la situation en Ukraine. Il est clair que, du point de vue des États-Unis, le seul espoir de vendre cela au public est si la Russie est vue comme agresseur dans une guerre.

Au risque de paraître comme le petit garçon qui criait "au loup" Je pense que le moment est venu de réexaminer une nouvelle fois la possibilité d'un acte sous fausse bannière commis soit par les gouvernements des États-Unis ou Israël, ou les intérêts bancaires, afin de redémarrer CLAIREMENT l'ordre du jour qui a été bloqué.


Malgré l'accord P5 +1 avec l'Iran, les factions dans le Congrès des États-Unis, encouragé par Israël et les intérêts financiers, font montée en puissance la pression.

Le peuple américain, déjà fatigués de l'Irak et de l'Afghanistan, s'opposent CLAIREMENT à la guerre avec l'Iran, ou avec quelqu'un d'autre. La vente d'une nouvelle guerre au peuple américain est impossible.

Compte tenu de la sensibilisation du public aux tromperies utilisées pour déclencher des guerres en Irak et en Afghanistan, et la réaction contre la Syrie il semble imprudent en effet de faire une nouvelle attaque sous fausse bannière en ce moment. Mais nous savons qu'il y a des motifs suffisants pour une guerre avec l'Iran venant non seulement d'Israël mais des centres financiers d'Amérique. Nous savons que la guerre pour forcer le monde a suivre Bretton Woods est un tout ou rien. Ils doivent réaliser leur plan au risque d'engloutir la planète entière ou il échouera. DONC, la seule façon pour la faction pro-guerre d'aller de l'avant est une nouvelle attaque sous faux pavillon.
( la dette américaine est énorme et ne sera peut-être jamais payée)

Comme les États-Unis continue ses bévues de suivre la politique étrangère israélienne dans le moyen orient, les pays arabes producteurs de pétrole s'éloignent des États-Unis et surtout du dollar américain. Comme ils le font, la Russie est rapide pour prendre la relève et faire des affaires.

L'exemple le plus récent a été la tentative d`utiliser les armes chimiques en Syrie pour justifier l'invasion. La Russie a proposé rapidement un accord pour éliminer les armes chimiques et la Syrie reconnaissante à la Russie pour avoir arrêté l'invasion de leur pays a signé un accord d`exploitation pétrolière avec la Russie.

Ceci est précisément ce que les États-Unis ne peut pas se permettre. Le plan de toutes les guerres dans les régions du globe riches en ressources sous contrôle américain est de vendre leurs ressources uniquement en dollar américain, pour soutenir le plan pétro-dollar. Un pétro-rouble est une menace majeure pour l'ordre du jour des États-Unis, de même que tous les autres pays de la région qui sont en train de s'éloigner du dollar et vont vers la Russie, la Chine ou les deux! Il est clair que les États-Unis doivent arrêter ce processus avec une guerre avec la Russie / ou de la Chine ou en enfonçant un coin entre la Russie (et finalement la Chine) et les pays arabes producteurs de pétrole.

Cet ordre du jour nécessite des attentats sous faux drapeaux pour créer l'illusion d'hostilité entre deux parties qui, autrement, se livre au commerce pacifique.

Quelle forme pourrait prendre un nouvel attentat sous faux drapeau?

Nous sommes à un moment de crise dans l'histoire de cette nation, les USA. Ceux qui sont favoris pour servir leurs propres intérêts sont désespérés de relancer la fièvre de la guerre dans un pays qui est las de la guerre. La dette américaine est formidable et bien des intérêts sont en jeu. Mais comme je l'ai mentionné ci-dessus le promoteur de la guerre sont désespérés de pousser leur agenda et ils se sont mis en boîte dans un coin; Ils ne peuvent pas revenir en arrière, et doivent aller de l'avant avec risque d`échec total. Mais les animaux acculés sont les plus dangereux, et les gens désespérés vont prendre des risques désespérés.

Soyez sur vos gardes.

Michel Rivero (traduction partielle)

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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Ukraine: POUSSER LA GUERRE AVEC LA RUSSIE? Empty Re: Ukraine: POUSSER LA GUERRE AVEC LA RUSSIE?

Message par MichelT Jeu 24 Juil 2014 - 13:17

L’avion de la Malaysia Airlines pourrait bien avoir été abattu par des soldats ukrainiens, explique le journaliste américain Robert Parry

dans Diplomatie et Défense, Europe, International, Russie, USA / Par Pierre-Alain Depauw / le 24 juillet 2014 à 11:55 /

Robert-Parry-mpi

Robert Parry est un journalistes d’investigation américain qui a notamment travaillé pour l’Associated Press et Newsweek. Lauréat de plusieurs prix décernés pour la qualité de ses recherches (notamment le prix Georges Polk), il est célèbre pour avoir mis à jour l’affaire du financement des Contras en 1985, démontant les mensonges de la CIA mêlée au trafic de cocaïne… Il s’est fait une spécialité dans la dénonciation des manipulations menées par l’Etat et ses services.

Il a publié le 19 juillet un article passé quasiment inaperçu chez les francophones à propos de l’avion de la Malaysia Airlines abattu en vol.

« Malgré les doutes internes à la communauté de renseignement américaine, le gouvernement Obama et les médias nationaux américains continuent d’accuser les rebelles ukrainiens et le gouvernement russe d’avoir tiré sur l’appareil de la Malaysia Airlines. Situation semblable à celle de l’été dernier concernant l’attaque au gaz sarin toujours non élucidée en Syrie. », commence par expliquer Robert Parry.


Dans les deux cas, plutôt que de laisser une délégation d’experts indépendants enquêter, le très agressif département d’État du président Obama et les principaux médias américains ont simplement décidé de désigner leurs opposants dans ces deux crises – Bachar el-Assad en Syrie et le président russe Vladimir Poutine en Ukraine – comme les coupables. Pourtant, certains analystes du renseignement américain ont exprimé leur désaccord par rapport à cette sagesse conventionnelle instantanée.

Concernant la destruction de l’appareil malaisien jeudi, j’ai été informé que plusieurs analystes de la CIA se référant à des photos de reconnaissance satellite américaine suggèrent que le missile anti-aérien qui a détruit le vol 17 a été tiré pas des troupes ukrainiennes à partir d’une batterie gouvernementale, et non par des rebelles prorusses en lutte contre le régime de Kiev depuis le départ du Président Viktor Ianoukovitch le 22 février.

robert-parry-2-mpi


Selon une source informée des résultats provisoires, les soldats aux commandes de cette batterie semblent porter des uniformes ukrainiens et pourraient avoir été en état d’ébriété, considérant ce qui ressemble à des bouteilles de bière dispersées sur le site. Mais la source a précisé que ces informations ne sont pas complètes et qu’on ne peut de fait pas écarter une responsabilité de la part des rebelles.

Une information contraire a été donnée par le Washington Post et d’autres médias américains. Samedi, le Post a rapporté que « vendredi, les responsables américains ont déclaré qu’une évaluation des renseignements préliminaires indiquait que l’avion a été détruit par un missile SA-11 sol-air tiré par les séparatistes. » Mais l’objectivité de l’administration Obama, qui a fermement soutenu le régime de coup d’État, est en cause ainsi que les raisons précises de ses affirmations.

(…) À mesure que se déroulent les événements, l’administration Obama a toujours pris le parti du régime de Kiev et à enfoncer Moscou, y compris pendant la sécession de la Crimée en vue de rejoindre la Russie et lors des attentats sanglants visant la minorité russe à Odessa et ailleurs.

Et, depuis jeudi, quand le vol de la Malaisie a été abattu tuant 298 personnes, le gouvernement ukrainien et l’administration Obama ont désigné du doigt les rebelles et le gouvernement russe, sans même attendre les résultats d’une enquête sérieuse qui ne commence que maintenant.

Un des arguments de l’administration américaine a été que le système de missiles anti-avions BOUK, qui a apparemment été utilisée pour abattre l’avion, était « de fabrication russe. » Mais cet argument est plutôt ridicule puisque presque toutes les armes militaires ukrainiennes sont de « fabrication Russe ». L’Ukraine, après tout, faisait partie de l’Union soviétique jusqu’en 1991 et a continué à utiliser du matériel militaire principalement russe.

On n’a pas plus expliqué pourquoi le gouvernement américain pouvait affirmer que le missile était un SA-11 alors qu’il existe d’autres versions du système de missiles BOUK.
Une analyse orientée [ou biaisée]

Pratiquement tout ce que les responsables américains ont dit semble conçu dans le but de porter les soupçons sur les Russes et les rebelles – et de dédouaner les forces gouvernementales. Se référant à plusieurs reprises à la sophistication du missile SA-11, l’ambassadeur américaine des Nations Unies Samantha Power a déclaré « Nous ne pouvons pas exclure l’assistance technique russe. » Mais cette formule signifie implicitement que l’administration ne peut pas l’exclure non plus.

Pourtant, en lisant entre les lignes des comptes rendus de la presse américaine, on peut discerner les lacunes relatives à l’influence russe supposée dans la tragédie de jeudi. Par exemple, Craig Whitlock du Post a rapporté que le général de l’Air Force Philip M. Breedlove, commandant américain des forces de l’OTAN en Europe, a déclaré le mois dernier que « Nous n’avons pas encore vu de véhicules [russes] de défense aérienne à proximité de la frontière. »

Étant donné l’ampleur de ces systèmes de missiles BOUK et le fait qu’ils doivent être transportés sur des camions, il serait difficile de les soustraire à la surveillance aérienne intensive des États-Unis sur la frontière entre l’Ukraine et la Russie au cours des derniers mois.

Le Post a signalé que « le contre-amiral John Kirby, le secrétaire de presse du Pentagone, a indiqué que les responsables de la défense ne pouvaient pas apporter de preuves précises qu’un système de missile SA-11 sol-air avait été transporté de la Russie en Ukraine orientale ».

En d’autres termes, le mystère n’est toujours pas résolu. Il se peut que les rebelles – face aux bombardements intensifs de l’armée de l’air ukrainienne – ont demandé aux Russes de leur fournir des armes anti-aériennes plus perfectionnées que les missiles lancés à l’épaule que les rebelles ont utilisés jusqu’à présent pour abattre des avions militaires ukrainiens.

Il est possible, aussi, qu’un détachement rebelle ait pris l’avion civil pour un avion militaire ou même que quelqu’un dans l’armée russe ait lancé la fusée fatidique sur l’avion à partir de l’espace aérien russe.

Mais le gouvernement russe et les rebelles contestent tous deux ces scénarios. Les rebelles disent qu’ils n’ont pas de missiles qui peuvent atteindre l’altitude de 10.000 mètres où se situait l’avion de la Malaysia Airlines. Outre leur non-participation à la tragédie, les Russes affirment que l’armée ukrainienne dispose de systèmes antiaériens BOUK en Ukraine orientale et que le radar d’une batterie était actif le jour de l’accident.

Le Ministère de la Défense russe a déclaré que « L’équipement russe a détecté le 17 juillet l’activité d’un radar Koupol, déployé au sein d’une batterie BOUk-M1 près de Styla [un village à quelque 30 kilomètres au sud de Donetsk] », selon un rapport de la chaîne RT.

Ainsi, il n’est pas exclu qu’une unité militaire ukrainienne – peut-être un groupe mal supervisé – ait tiré le missile intentionnellement ou par accident. Pourquoi l’armée ukrainienne aurait-elle intentionnellement visé un avion volant vers l’est, vers la Russie reste cependant un élément difficile à comprendre.
Propagande répétée ?

Mais peut-être la question la plus importante est que le gouvernement Obama et le corps médiatique des États-Unis devraient arrêter de porter des jugements trop hâtifs. C’est comme s’ils étaient obsédés à tenir un rôle dans la « guerre de l’information » – c’est-à-dire à justifier les hostilités contre des nations adversaires – plutôt que d’informer de façon responsable le peuple américain.

Nous avons vu ce phénomène en 2002-03, lorsque la quasi-totalité du corps médiatique de Washington grimpa à bord du train de propagande du président George W. Bush dans sa guerre d’agression contre l’Irak. Ce schéma s’est en partie répété l’été dernier quand on s’est précipité pour porter un jugement dans l’affaire de l’attaque au gaz sarin dans la banlieue de Damas, en Syrie, le 21 août.

Bien que les preuves fussent incertaines, il y avait une forte tendance à supposer que le gouvernement Assad était derrière l’attaque. Tout en accusant l’armée syrienne, la presse américaine a ignoré la possibilité que l’attaque puisse avoir été une provocation perpétrée par les rebelles djihadistes radicaux qui espéraient que la puissance aérienne des États-Unis pourrait changer le cours de la guerre en leur faveur.

Plutôt que de soigneusement étudier les preuves complexes, le Département d’État et le secrétaire d’État John Kerry ont essayé de pousser le président Obama à décider rapidement de bombarder des cibles gouvernementales syriennes. Kerry a prononcé un discours belliqueux le 30 août et l’administration a publié ce qu’elle a appelé une « évaluation gouvernementale » censée prouver les accusations.

Mais ce document de quatre pages ne contenait aucune preuve tangible de ces accusations et il est vite devenu évident que le rapport avait exclu des opinions divergentes que certains analystes du renseignement américains auraient jointes à un document plus formel établi par la communauté du renseignement.

Malgré l’hystérie guerrière de responsables à Washington, le président Obama a rejeté la guerre au dernier moment et – avec l’aide du président russe Vladimir Poutine – a été en mesure de négocier un règlement de la crise dans laquelle Assad a rendu les armes chimiques de la Syrie tout en niant être impliqué dans l’attaque au gaz sarin.
La presse grand public des États-Unis, en particulier le New York Times, et certaines organisations non gouvernementales, telles que Human Rights Watch, ont continué de pousser le thème de la culpabilité du gouvernement syrien. HRW et le Times ont fait équipe pour une histoire importante qui visait à montrer les trajectoires de vol des deux missiles de sarin en charge le routage vers une base militaire syrienne loin 9,5 km.

Pendant un moment, ce rapport a été traité comme la preuve indéniable contre Assad, jusqu’à ce qu’il soit avéré qu’une seule des roquettes contenait du sarin et sa portée maximale n’était que d’environ deux kilomètres.

Bien qu’il ait eu conscience des lacunes dans ces dossiers, le président Obama a soutenu les faucons du département d’État quand il a lu un discours à l’Assemblée générale des Nations-Unies le 24 septembre, dans lequel il a déclaré : « C’est une insulte à la raison humaine et à la légitimité de cette institution de suggérer que quelqu’un d’autre que le régime Assad puisse être responsable de cette attaque “.

En se penchant sur le discours d’Obama, j’ai été frappé par sa désinvolture lorsqu’il a menti. Il savait mieux que presque tout le monde que certains de ses analystes des services de renseignements doutaient de la culpabilité du gouvernement syrien. Pourtant, il a suggéré que toute personne qui n’était pas partisan de la guerre était folle.
Depuis, le journaliste d’investigation Seymour Hersh a révélé d’autres éléments de preuve indiquant que l’attaque au gaz sarin aurait en effet pu avoir été provoquée par les rebelles afin de pousser Obama de l’autre côté de la ‘ligne rouge’ qu’il avait tracée : il ne pouvait tolérer l’utilisation d’armes chimiques.

Maintenant, nous assistons à une répétition dans laquelle Obama comprend les doutes sur l’identité de qui a tiré le missile qui a abattu l’avion de ligne malaisien, mais repousse les soupçons d’une manière propre à attiser l’animosité envers la Russie et le président Poutine.

Obama peut penser que c’est une stratégie intelligente parce qu’il montre une posture forte quand beaucoup de ses ennemis politiques le dépeignent comme faible. Il se protège lui-même en quelque sorte dans le cas où les rebelles russes ethniques ou l’armée russe seraient responsables de la tragédie. Il peut se justifier en ayant été de l’avant en faisant les accusations.

Mais il est dangereux de créer d’une hystérie collective envers une Russie qui possède sur l’arme nucléaire. Comme nous l’avons déjà vu en Ukraine, les événements peuvent échapper à tout contrôle de façon imprévisible.

La secrétaire adjointe Nuland et les autres faucons du département d’État ont probablement pensé qu’ils construisaient leur carrière en encourageant le coup d’État du 22 février – et ils pourraient bien avoir raison, tout du moins pour ce qui est de leur l’avancement dans la hiérarchie à Washington. Mais ils ont aussi déterré la hache de guerre (depuis longtemps enterrée) entre les Ukrainiens ‘ethniquement purs’ à l’ouest et les Russes ethniques dans l’est.

Ces tensions – nombreuses et remontant à la Seconde Guerre mondiale et même avant – sont devenues des haines inextinguibles avec des centaines de morts des deux côtés. La méchante petite guerre civile ukrainienne a également rendu possible l’horreur de jeudi.

Mais d’encore plus grandes calamités pourraient se produire si les ‘anti-diplomates’ du département d’État réussissent à rallumer la guerre froide. L’écrasement du vol 17 de la Malaysian Airlines devrait nous servir d’avertissement quant aux dangers de la surenchère internationale.

Source : Consortiumnews.com. Traduit par Vincent pour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

MichelT

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