Poutine met en garde l’occident - Moscou hausse le ton

par Rémi Sam 30 Aoû 2014 - 19:12

Il y avait une stabilité certaine et la paix entre l'Ukraine et la Russie il y a de cela quelques mois seulement mais les États-Unis et les européens voulaient agrandir leur hégémonie tout près des frontières de la Russie pour les narguer et cela s'est empiré quand Poutine a sermonné les pays occidentaux avec leurs valeurs inhumaines et décadentes contemporaines. Poutine n'étant pas un idiot utile et un serviteur de la franc-maçonnerie et toutes ces organisations poussant vers la décadences des moeurs, tous les pays occidentaux à leurs soldes se sont ligués contre lui et maintenant le grand ours humilié montre des dents et c'est tout-à-fait normal et nos dirigeants et nos médias s'en offusquent, on est vraiment dirigé par des soumis à satan. Quel sera la suite ? Nos pays se cherchent de nouveaux ennemis pour relancer l'économie, une grande bête qui se nourrit du sang des pauvres et des exclus pour abreuver les impudiques que nous sommes devenus, valeurs que nous exportons sur tous les continents et que nous appelons progrès et démocratie.

Tandis que la tension reste élevée dans l’est de l’Ukraine, Poutine met en garde l’occident - Moscou hausse le ton

2014-08-30 L’Osservatore Romano

La crise ukrainienne continue dangereusement de s’enrouler sur elle-même, en soufflant semble-t-il tout espoir de paix.

Et hier Vladimir Poutine a haussé le ton, en allant jusqu’à mettre en garde Kiev et l’OTAN, qu’« il vaut mieux ne pas plaisanter avec nous », parce que la Russie, a-t-il rappelé, « est une des grandes puissances nucléaires » et les forces armées russes sont prêtes à recourir à tous les moyens à leur disposition pour « repousser quelque agression que ce soit ». Des déclarations du président russe faisant suite aux nouvelles venant du front dans les régions est de l’Ukraine et à la demande de Kiev d’entrer dans l’Alliance atlantique : une éventualité considérée comme hostile par Moscou, plus encore que l’actuel pacte d’association et la possible entrée de Kiev dans l’UE. Elevant encore le ton de ses déclarations, le chef du Kremlin a annoncé que la Russie « renforce actuellement à la fois ses forces de frappe nucléaires et ses forces armées conventionnelles », même s’il a ajouté que les investissements dans l’armement « ne seront pas utilisés pour menacer quiconque mais pour se sentir en sécurité ». Au lendemain du chœur d’accusations occidentales contre Moscou pour avoir de fait « envahi » les régions orientales ukrainiennes, la tension reste très élevée et pourrait se traduire en nouvelles sanctions au sommet de l’UE programmé aujourd’hui et auquel est également présent le président ukrainien Poroshenko.