Les mauvais effets du péché sur l`âme humaine.
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Les mauvais effets du péché sur l`âme humaine.
Les mauvais effets du péché sur l`âme humaine.
( source : Le guide du pécheur par Louis de Grenade – Espagne – 16 eme siècle.
Le péché rend l`âme misérable, faible et léthargique, elle devient inconstante dans le bien, faible et peureuse à résister aux tentations, indolente à suivre les commandements de Dieu. Le péché lui enlève la vraie liberté. Le péché fait de l`homme un esclave du monde, de la chair et de l`esprit de malice; elle le rend aussi esclave que l`était les tribus d`Israël dans l`Égypte des Pharaons ou à Babylone. Le péché amoindri les capacités spirituelles de l`homme qui devint sourd a la voie de Dieu et a ses inspirations, il devient aveugle aux terribles conséquences qui le menace, il devient insensible a la vertu et aux exemples des saints, incapable de s`élever à l`amour de Dieu. Le péché détruit la paix et la joie d`une bonne conscience, enlève la ferveur a l`âme et la laisse dans un état abominable pour Dieu et ses saints.
De la morale catholique – un livre italien du 19 eme siècle.
Il n`a pas deux voies, deux vérités, deux vies! Des préceptes ont été confiés à l`Église, et elle, dépositaire infidèle, dispensatrice déloyale, distribuerait des doutes! Elle laisserait de côté la parole éternelle pour s`embarrasser des discours de la sagesse humaine? Le Verbe ( Jésus-Christ) aurait pris chair mortelle, passé par les angoisses et les souffrances de la Passion pour mériter une place dans les académies philosophiques?
Le péché
Le catéchisme nous enseigne que les péchés s`aggravent en proportion du dommage que l`on cause volontairement au prochain. L`intention d`affligé un homme est toujours un péché.
Fortitude de l`âme
L`Église veut que ses enfants s`exercent à vaincre la douleur, qu`ils ne s`abandonnent pas a des plaintes qui ne conviennent qu`aux âmes faibles; elle leur présente un modèle divin de force et de calme surhumain dans les souffrances. Elle veut que ses enfants, sévères pour eux-mêmes, soient plein d`une tendre compassion pour les douleurs de leurs frères.
La morale chrétienne
L`Église n`a pas posé les bases de la morale, elle les a trouvées dans la parole de Dieu : «Je suis le Seigneur votre Dieu.» ( Exode 20,2 )Voilà le fondement de la loi divine et par conséquent de la morale de l`Église. «La crainte du Seigneur est le commencement de la Sagesse» ( Psaumes 110,10). Ce sont là les seule bases sur lesquelles l`Église devait s`édifier.
Ces lois ont été données à l`homme afin que il trouve un moyen de discerner dans son cœur ce que Dieu y a mis et ce que le péché y a introduit : car ces deux voix nous parlent au-dedans de nous et trop souvent l`homme n`entend pas une réponse distincte mais un bruit confus d`un triste conflit intérieur. Se conformer à la morale de l`Évangile est donc la rendre conforme a un cœur droit et a une raison saine.
A quoi sert en effet que la règle soit parfaite, si la main tremble à celui qui la tient? Que servirait la sainteté de la loi, si l`interprétation en était abandonnée au jugement passionné de ceux qui doivent s`y soumettre; si Dieu ne l`avait mise à l`abri des fluctuations de l`esprit humain, en la confiant a l`Église, qu`il a promis d`assister.
Si donc la sensibilité aux douleurs d`autrui, si l`obligation de ne pas contrister une créature faite a l`image de Dieu, est un des sentiments imprimé par Dieu dans le cœur de l`homme, l`Église ne l`aura certainement pas perdu de vue dans son enseignement parce que la loi divine ne le passe pas sous silence.
De plus la morale catholique écarte les causes qui rendent difficiles l`accomplissement de ces deux devoirs, haine à l`erreur, amour aux hommes, en proscrivant l`orgueil, l`attachement aux choses de la terre, et a tout ce qui nous pousse à blesser la charité, elle nous fournit le moyen d`être fidèle a la loi divine et a ses préceptes qui est la connaissance de la doctrine chrétienne, l`amour de la justice, la méditation sur ses devoirs, la prière, les sacrements, la défiance envers nous-mêmes et la confiance en Dieu.
( source : Le guide du pécheur par Louis de Grenade – Espagne – 16 eme siècle.
Le péché rend l`âme misérable, faible et léthargique, elle devient inconstante dans le bien, faible et peureuse à résister aux tentations, indolente à suivre les commandements de Dieu. Le péché lui enlève la vraie liberté. Le péché fait de l`homme un esclave du monde, de la chair et de l`esprit de malice; elle le rend aussi esclave que l`était les tribus d`Israël dans l`Égypte des Pharaons ou à Babylone. Le péché amoindri les capacités spirituelles de l`homme qui devint sourd a la voie de Dieu et a ses inspirations, il devient aveugle aux terribles conséquences qui le menace, il devient insensible a la vertu et aux exemples des saints, incapable de s`élever à l`amour de Dieu. Le péché détruit la paix et la joie d`une bonne conscience, enlève la ferveur a l`âme et la laisse dans un état abominable pour Dieu et ses saints.
De la morale catholique – un livre italien du 19 eme siècle.
Il n`a pas deux voies, deux vérités, deux vies! Des préceptes ont été confiés à l`Église, et elle, dépositaire infidèle, dispensatrice déloyale, distribuerait des doutes! Elle laisserait de côté la parole éternelle pour s`embarrasser des discours de la sagesse humaine? Le Verbe ( Jésus-Christ) aurait pris chair mortelle, passé par les angoisses et les souffrances de la Passion pour mériter une place dans les académies philosophiques?
Le péché
Le catéchisme nous enseigne que les péchés s`aggravent en proportion du dommage que l`on cause volontairement au prochain. L`intention d`affligé un homme est toujours un péché.
Fortitude de l`âme
L`Église veut que ses enfants s`exercent à vaincre la douleur, qu`ils ne s`abandonnent pas a des plaintes qui ne conviennent qu`aux âmes faibles; elle leur présente un modèle divin de force et de calme surhumain dans les souffrances. Elle veut que ses enfants, sévères pour eux-mêmes, soient plein d`une tendre compassion pour les douleurs de leurs frères.
La morale chrétienne
L`Église n`a pas posé les bases de la morale, elle les a trouvées dans la parole de Dieu : «Je suis le Seigneur votre Dieu.» ( Exode 20,2 )Voilà le fondement de la loi divine et par conséquent de la morale de l`Église. «La crainte du Seigneur est le commencement de la Sagesse» ( Psaumes 110,10). Ce sont là les seule bases sur lesquelles l`Église devait s`édifier.
Ces lois ont été données à l`homme afin que il trouve un moyen de discerner dans son cœur ce que Dieu y a mis et ce que le péché y a introduit : car ces deux voix nous parlent au-dedans de nous et trop souvent l`homme n`entend pas une réponse distincte mais un bruit confus d`un triste conflit intérieur. Se conformer à la morale de l`Évangile est donc la rendre conforme a un cœur droit et a une raison saine.
A quoi sert en effet que la règle soit parfaite, si la main tremble à celui qui la tient? Que servirait la sainteté de la loi, si l`interprétation en était abandonnée au jugement passionné de ceux qui doivent s`y soumettre; si Dieu ne l`avait mise à l`abri des fluctuations de l`esprit humain, en la confiant a l`Église, qu`il a promis d`assister.
Si donc la sensibilité aux douleurs d`autrui, si l`obligation de ne pas contrister une créature faite a l`image de Dieu, est un des sentiments imprimé par Dieu dans le cœur de l`homme, l`Église ne l`aura certainement pas perdu de vue dans son enseignement parce que la loi divine ne le passe pas sous silence.
De plus la morale catholique écarte les causes qui rendent difficiles l`accomplissement de ces deux devoirs, haine à l`erreur, amour aux hommes, en proscrivant l`orgueil, l`attachement aux choses de la terre, et a tout ce qui nous pousse à blesser la charité, elle nous fournit le moyen d`être fidèle a la loi divine et a ses préceptes qui est la connaissance de la doctrine chrétienne, l`amour de la justice, la méditation sur ses devoirs, la prière, les sacrements, la défiance envers nous-mêmes et la confiance en Dieu.
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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