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Bohemian Club:société secrete de l'élite américaine et mondialiste

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Message par Francesco Jeu 21 Mai 2015 - 2:32

La plupart des présidents américains ont été membres de la société secrete Bohemien Club .Cette société voue un culte a Moloch:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le Bohemian Club Le Bohemian Club (ou "Bohemian Grove") a été fondé en 1872, et compte environ 2000 membres, exclusivement masculins. C'est une organisation de type "ésotérique" ou "occulte", où se retrouvent des hauts dirigeants de l'économie, de la finance et de la politique. Ces dirigeants sont supposés être des modèles de rationalité matérialiste. Mais chaque année au mois de Juillet, ils se rendent en jet privé à Monte Rio en Californie, à 120km au Nord de San Francisco, dans un immense domaine de 1500 hectares de nature sauvage, de forêts de séquoias et de lacs. Ils y discutent des affaires du monde et s'entendent sur des stratégies politiques ou économiques. Mais surtout, ils participent à des cérémonies païennes d'inspiration druidique, avec notamment un bûcher nocturne devant une immense statue de hibou, et qui est en fait une représentation de Moloch, une divinité babylonienne, et de Lilith, une divinité sumérienne. Le hibou est aussi le logo du Bohemian Club. Moloch était une divinité à laquelle les Babyloniens offraient des sacrifices humains. Or selon des témoignages, des sacrifices humains ainsi que des rites sataniques à caractère sexuel auraient lieu dans les parties éloignées du parc. Il est probable que seule une partie des convives y participent. D'autres activités ont un caractère allégorique ou théâtral. D'autres encore sont délibérément décadentes, et peuvent être qualifiées de beuverie collective. Le séjour est aussi agrémenté de promenades en canoë sur le lac du parc. A d'autres moments, des participants importants font des exposés qui définissent les orientations fondamentales de la politique mondiale. En 1982, Henry Kissinger a annoncé au Bohemian Club ce qu'allaient être la restructuration radicale de l'économie et l'instauration d'un nouvel ordre mondial, dans un discours intitulé "Le défi des années 80". En 1991, Dick Cheney (alors ministre de la défense de Bush-père) est intervenu sur le thème des "problèmes de la Défense au 21è siècle". Les participants sont en majorité des Américains, souvent proches du Parti Républicain. Mais quelques Européens sont aussi invités, comme Michel Rocard (ancien premier ministre français) Valery Giscard d'Estaing (ancien président français, et concepteur de la Constitution Européenne), ou John Major (ancien premier ministre britannique). Photo d'une réunion le 23 Juillet 1967, avec Reagan et Nixon. C'est là qu'un accord fut conclu entre Nixon et Reagan, le second acceptant de céder la place au premier pour être le candidat du Parti Républicain à l'élection de Novembre 1967. Ci-dessous, le logo du Bohemian Club. Quelques membres du Bohemian Club David Rockefeller grand banquier, et membre du Groupe de Bilderberg, du CFR, de la Commission Trilatérale, entre autres... Nelson Rockefeller grand banquier, et membre du CFR, et de MAJI - ou MJ12- entre autres... Très lié au lobby militaro-industriel américain, c'est lui qui a placé au pouvoir Nixon et Kissinger Henry Kissinger ancien ministre des affaires étrangères de Nixon, et membre du Groupe de Bilderberg, du CFR, de la Commission Trilatérale, et de MAJI - ou MJ12- entre autres... Theodore Roosevelt président des Etats-Unis de 1901 à 1909 William Howard Taft président des Etats-Unis de 1909 à 1913 Calvin Coolidge président des Etats-Unis de 1923 à 1929 Herbert Hoover président des Etats-Unis de 1929 à 1933 Harry Truman président des Etats-Unis de 1945 à 1952 Dwight Einsenhower président des Etats-Unis de 1953 à 1961 John Edgar Hoover directeur du FBI de 1924 jusqu'à sa mort en 1972 Richard Nixon président des Etats-Unis de 1969 à 1974 Gerald Ford président des Etats-Unis de 1974 à 1976 Ronald Reagan président des Etats-Unis de 1981 à 1988 George H.W. Bush président des Etats-Unis de 1989 à 1992, père de George W. Bush, ex-directeurd e la CIA, membre des Skull and Bones, du CFR, de MAJI, entre autres Bill Clinton président des Etats-Unis de 1993 à 2000 George W. Bush fils de George H.W. Bush. Président des Etats-Unis de 2001 à 2008, membre des Skull and Bones Jeb Bush frère de George W. Bush, et gouverneur de Floride Dick Cheney vice-président des Etats-Unis de 2001 à 2008, ministre de la défense de Bush père de 1989 à 1992 Karl Rove principal conseiller de George W. Bush Colin Powell ministre de la défense de Bush père et ministre des affaires étrangères de Bush fils de 2001 à 2004 James Baker III ministre des affaires étrangères de Bush père Caspar Weinberger ministre de la défense de Reagan, de 1981 à 1987 William Casey directeur de la CIA sous Reagan, de 1981 à 1987 William Webster directeur du FBI de 1978 à 1987 George Schultz ancien ministre des affaires étrangères de Reagan, ancien ministre de la Défense de Bush-père, membre du CFR Arnold Schwarzenegger gouverneur de Californie Vernon Walters ancien chef d'état major de l'Armée américaine Eliott Richardson ancien ministre de la défense américain Paul Volker président de la FED, la banque centrale américaine, de 1979 à 1987 Alan Greenspan président de la FED de 1987 à 2005 Malcom Forbes milliardaire américain Charles Schwab président de Charles Schwab & Co, l'une des plus grosses sociétés de gestion financière et d'investissements boursiers Riley P.Bechtel PDG de Bechtel Corporation, l'un des leaders mondiaux dans le secteur du batiment et travaux publics, et à qui l'état américain accorde de très gros contrats, aux USA ou à l'étranger. David Packard co-fondateur de la société Hewlett-Packard Lou Gerstner président d'IBM Alex Mandl vice-président d'AT&T Henry Ford II PDG de Ford Motor Company de 1945 to 1960; petit-fils de Henry Ford Jack Welsh PDG de General Electric Antonin Scala juge à la Cour Suprême américaine Joseph Califano ancien ministre de la Justice de Nixon et Reagan Newt Gingrich leader ultra-conservateur du Parti Républicain Pete Wilson ancien gouverneur de Californie Helmut Schmidt ancien chancellier allemand Valery Giscard d'Estaing ancien président français, membre du Groupe de Bilderberg, concepteur de la Constitution Européenne Michel Rocard ancien premier ministre français, membre du Groupe de Bilderberg Tony Blair premier ministre britannique de 1997 à 2007, également membre du Groupe de Bilderberg John Major premier ministre britannique de 1990 à 1997 Prince Philip Mountbatten Duc d'Edimbourg, Epoux de la reine Elisabeth II James Wolfensohn président de la Banque Mondiale de 1995 à 2005, ancien banquier, diplomé de Harvard Ferdinando Salleo dernier gouverneur de Hong-Kong Lee Kwan Yew premier ministre de Singapour de 1959 à 1990 Miguel de la Madrid ancien président du Mexique Edward Teller père de la bombe H américaine Walter Cronkite journaliste vedette de la chaine CBS Francis Ford Coppola cinéaste Franck Borman astronaute Neil Armstrong astronaute Alexander Shulgin chimiste moléculaire, inventeur de l'Extasy et de plus de 200 autres substances "psychédéliques" (génératrices d'états modifiés de la conscience) Charlton Heston acteur, et président le la NRA (National Rifle Association), le lobby américain des propriétaires d'armes à feu Clint Eastwood acteur Bono chanteur du groupe U2, par ailleurs participant assidu du World Economic Forum de Davos ... arrivée de George H.W.Bush au Sonoma County Airport pour la réunion de Juillet 1993 Henry Kissinger, arrivant à la réunion de juillet 1986 à gauche, Alan Greenspan, le président de la banque centrale des Etats-Unis l'ancien ministre de la défense US Caspar Weinberger et le milliardaire Malcom Forbes à la réunion de 1989 Dick Cheney (de profil au centre) arrivant à la réunion de 1991 dans le parc, les invités se déplacent grâce à un minibus marqué aux couleurs du Club promenade en canoë sur le lac du parc © Syti.net, 2005 a écrit:


Dernière édition par Francesco le Jeu 21 Mai 2015 - 2:45, édité 2 fois


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Message par Francesco Jeu 21 Mai 2015 - 2:33

Qui est Moloch:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Moloch Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Moloch (homonymie). Cet article est une ébauche concernant la religion. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion. Croquis de la statue du Moloch. Moloch est dans la tradition biblique le nom du dieu auquel les Ammonites, une ethnie cananéenne, sacrifiaient leurs premiers-nés en les jetant dans un brasier. D'après des découvertes récentes à Carthage, le mot désignerait aussi le sacrifice lui-même, molk. La tradition a néanmoins gardé le sens d'une divinité, et le nom désigne aussi un démon dans les traditions chrétienne et kabbalistique. Sommaire 1 Un problème de traduction 2 Le dieu 3 Le démon 4 Dans la culture populaire 5 Notes et références 6 Voir aussi 6.1 Articles connexes 6.2 Liens externes Un problème de traduction L’existence d’un dieu spécifique nommé Moloch a été remise en cause par des découvertes archéologiques, qui jettent un autre sens sur la lecture de l'hébreu ancien. Il n'y a à ce jour aucune inscription faisant mention de ce dieu. Porphyre de Tyr signale que Théophraste avait comparé le sacrifice de la Lykaia arcadienne avec les sacrifices carthaginois au dieu Moloch. Les textes hébreux ne sont pas vocalisés, et le mot מלך, réduit aux consonnes mlk, peut désigner aussi bien un roi. Seul le rétablissement des voyelles permet de faire la différence. On a donc proposé que le terme Moloch serait une variante de roi, appellation honorifique pouvant s’adresser à des divinités différentes. La vocalisation se faisant avec les voyelles de honte, certains ont suggéré d’y voir une déformation délibérée de roi visant à dénigrer le dieu des Ammonites. Cependant en 1921, l’archéologue Otto Eissfeldt a découvert sur le site archéologique de Carthage une nécropole contenant des restes d’animaux et de jeunes enfants, utilisée du VIIIe siècle av. J.-C. à 146 av. J.-C. avec des inscriptions mlk qui ne pouvaient s’interpréter ni comme roi, ni comme le nom d’un dieu. Ces découvertes lui ont suggéré l’idée que moloch pourrait être le nom du sacrifice par le feu et non celui d’un dieu. Depuis, le mot molk est reconnu comme un mot sémitique désignant un sacrifice humain, dont la victime est parfois remplacée par un animal1. Là où la Bible lit pour faire passer leurs fils et leurs filles par le feu à Moloc2, il conviendrait sans doute mieux de lire pour faire passer leurs fils et leurs filles par le feu de molk, le feu du sacrifice. Le dieu Dans la littérature rabbinique du Moyen Âge, on peut lire que Moloch, dieu des Ammonites, recevait les sacrifices d’enfants dans un lieu nommé Tophet dans la vallée de Hinnom proche de Jérusalem. Le Tophet est décrit par Rachi comme une statue de bronze avec les bras tendus pour recevoir ses victimes dont des tambours couvraient les cris. Une autre source rabbinique précise qu’elle était creuse et divisée en sept compartiments destinés chacun à une offrande différente : farine, tourterelles, brebis, béliers, veaux, bœufs, enfants ; les sept offrandes devaient brûler ensemble. Les noms de Tophet et Himmon sont parfois interprétés comme dérivant respectivement de tambour et vacarme en hébreu. Des commentateurs ultérieurs du Tanakh ont fait l’association avec les sacrifices d’enfants offerts à Carthage selon Diodore de Sicile et Plutarque, associant Moloch avec Baal Hammon et Tanit, dieux de la colonie phénicienne. Flaubert, avec son roman Salammbô, puis Jacques Martin, avec la série Alix ont également beaucoup contribué à l’association historiquement erronée de Moloch avec Carthage. Le démon Son image dans la Bible explique que dans la démonologie chrétienne Moloch soit devenu le démon qui tire sa joie des pleurs des mères à qui il vole leurs enfants. Prince de l'Enfer, son pouvoir serait, d’après les démonologues du XVIe siècle, à son apogée en décembre. Dans la tradition kabbalistique, Moloch et Satan sont les premiers des deux sephiroth mauvais. Moloch représente l'aspect négatif du premier sephiroth, Kether (couronne de connaissance)[réf. nécessaire]. Dans la culture populaire Dans le film Metropolis réalisé par Fritz Lang, une machine se transforme en une divinité monstrueuse, appelée Moloch, à laquelle les travailleurs infortunés sont sacrifiés. Dans la série Sleepy Hollow, Moloch fait partie de l'intrigue et est l'ennemi principal. Dans la seconde partie du poème Howl d'Allen Ginsberg, Moloch est répété dans la plupart des phrases et semble représenter tout le négatif de la civilisation. Notes et références ↑ Brown, S. (1991), Late Carthaginian Child Sacrifice and Sacrificial Monuments in Their Mediterranean Context, The American Schools of Oriental Research ↑ Jérémie 32.35, voir aussi Lev 18:21; 20:2-5; 2Roi 23:10 Voir aussi Articles connexes molk Tophet Ba'al Hammon a écrit:


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Message par Francesco Jeu 21 Mai 2015 - 2:39

Voici une représentation de Moloch:Bohemian Club:société secrete de l'élite américaine et mondialiste 9k=

C'est une des idoles de l'élite mondialiste.Le bohemien club est une société secrete dont la plupart des présidents américains ont été membres et qui est recherché par l'élite mondialiste.Et lorsqu'Alex Jones a infiltré ce mouvement avec caméra,il a filmé un rituel ou les pretres du bohemien club mettaient en scene un sacrifice humain(bébé)offert a Moloch....


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Message par Francesco Jeu 21 Mai 2015 - 2:40

Moloch est dans la tradition biblique le nom du dieu auquel les Ammonites, une ethnie cananéenne, sacrifiaient leurs premiers-nés en les jetant dans un brasier.


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Message par Francesco Jeu 21 Mai 2015 - 2:51

3 francais membres du bohemian club:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le Bohemian Club 30 7 Share0 1 157 Share0 Le Bohemian Club Encore plus secret que les Skull and Bones (Tête de mort et ossements), l’association ultra-confidentielle dont George W. Bush fut membre (F&D 98 et 99), apparaît le Bohemian Club, un cercle plus qu’ultra-sélectif exclusivement masculin et qui ne regroupe que des « maîtres du monde ». Pour la France, trois seules personnalités y ont été cooptées : Valéry Giscard d’Estaing, aujourd’hui président de la Convention sur la réforme des institutions européennes, son ancien ministre Jean François-Poncet, et le grand rival de François Mitterrand, l’ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard. Enquête (inédite en France) sur ce cercle qui se livre une fois par an à de bien étranges pratiques teintées de satanisme. Sans aucune surprise, dans toute l’histoire de la presse française, un seul article a jamais été consacré au Bohemian Club, pourtant fondé en 1872. Il s’agit d’un article du Point paru il y a une quinzaine d’années. Le Bohemian Club accueille pourtant, chaque année, au mois de juillet, dans la forêt californienne, l’élite des « maîtres de la globalisation », c’est-à-dire l’élite des milliardaires et des hommes politiques américains, mélangée à quelques personnalités étrangères, issues d’une douzaine de pays, jugées suffisamment puissantes pour être recrutées. Il n’existe que deux ouvrages sur ce cercle hyper-sélect et on ne compte qu’une poignée d’articles alors même que le nombre de ses membres s’élève environ à 2400 (ils étaient 2 335 en 2001). Pour donner une idée de sa puissance, environ un cinquième de ses membres sont membres de la direction des mille premières sociétés mondiales apparaissant dans le classement du magazine Fortune. Il s’agit de PDG de multinationales, de membres de cabinets ministériels ou présidentiels, de représentants de grandes fondations (comme le Council on foreign relations), de l’élite de la justice, du commerce, d’universitaires de premier plan, de militaires hauts placés dans la hiérarchie, etc. Au total, ils représentent au bas mot le quart de la fortune privée des Etats-Unis. Le Bohemian Club a été fondé en 1872, par cinq journalistes du San Francisco Examiner afin d’encourager la « bonne camaraderie » (c’est-à-dire ces saoûleries auxquelles il faut se livrer pour être accepté dans les pseudo-sociétés secrètes étudiantes) et pour « aider à élever le journalisme au niveau auquel il devrait être dans l’estime de la population », les journalistes sans le sou se considérant alors comme une « vie de bohème ». Parmi les membres d’honneur figurent Mark Twain ou Jack London. Mais six années plus tard, les objectifs ont largement évolué, faisant désormais la part belle aux hommes d’influence et une part très minoritaire aux journalistes et devenant ce que Counterpunch appelle « l’antichambre de la Maison Blanche […] Quel est en effet l’endroit où l’on peut rencontrer directement le PDG d’IBM, le couple Rockefeller, les plus grands banquiers, des juges de la Cour suprême ou Charlton Heston? ». Aujourd’hui, il faut compter entre 18 et 20 ans pour avoir une chance d’être admis tant la liste d’admission est longue, comptant déjà plus de 1 500 notables bien établis qui sont tous prêts à payer un « ticket » annuel de 10 000 $, sans parler de la prise en charge du déficit du club comme en 2000. Situé à une centaine de km au nord de San Francisco, il s’agit d’une immense propriété privée du comté de Sonoma, achetée par morceaux.Seuls quelques courageux investigateurs comme Anthony C. Sutton (qui édite la Phoenix Letter) ou le mensuel d’extrême gauche Mother Jones (août 1981) ont osé dévoiler quelques noms : George P. Schultz, Stephen Bechtel Jr (constructions internationales. C’est au cours de la réunion du BC de 2000 que Bechtel aurait obtenu la quasi-exclusivité de la reconstruction des infrastructures mises mal par l’Irak au Koweït), Gérald Ford, Henry Kissinger, William Buckley Jr (censé représenter le « conservatisme » américain), Edward Teller (le père de la bombe atomique. C’est d’ailleurs au cours de la réunion du BC en 1942 que fut mis au point le programme de développement nucléaire militaire), George Bush, Ronald Reagan, A.W. Clausen (Banque mondiale), Caspar E. Weinberger, William French Smith, Thomas Watson (IBM), Phillip Hawley (Bank of America), William Casey(patron de la CIA), etc. Depuis lors, George Bush père y intronisé, en 1999, son fils George W. Bush, aujourd’hui président des Etats-Unis (ainsi que son frère Jeb Bush, gouverneur de Floride), lors d’un rassemblement où on retrouvait l’actuel secrétaire d’Etat Colin Powell et Dick Cheney. Pour Suzanne Bohan du Sacramento Bee (qui faillit perdre son travail à cette occasion), c’est véritablement là que fut lancée la campagne présidentielle de George W. Bush, avec prise de contacts poussés aussi bien avec la haute administration que les principaux financiers. Parmi les principales personnalités, on citera également, uniquement comme orateurs des très fermés « Lakeside Talks » : James R. Lilley, ancien ambassadeur en Chine et Corée du Sud, Martin Anderson, chercheur à la Hoover Institution, John Major, ancien Premier ministre anglais, Henry Kissinger, l’éditorialiste David Broder, le PDG de Dow Chemcal Corp Franck Popoff, l’ancien secrétaire d’Etat à la Défense William Perry, Lou Gerstner, PDG d’IBM, James A. Baker, ancien secrétaire d’Etat de Reagan, James Woolsey, ancien directeur de la CIA, le congressiste et ancien ministre Jack Kemp, le cinéaste Francis Ford Coppola, l’ambassadeur d’Italie aux Etats-Unis Ferdinando Salleo, le dernier gouverneur de Hong-Kong Christopher Patten, le responsable du service diplomatie de la Georgetown University Chester Crockeer, Antonin Scalia, juge à la Cour suprême, Pete Wilson, gouverneur de la Californie, Alex J. Mandl, vice-président exécutif d’AT&T, le général Vernon Walters, ancien chef d’Etat major de l’armée américaine, le prince Bandar Bin Sultan, Elliot Richardson, ex-secrétaire d’Etat à la Défense, George Schulz, ancien secrétaire d’Etat de Reagan, l’astronaute Frank Borman, Michel Rocard, le milliardaire Malcolm Forbes, William H.Webster, directeur du FBI, l’ancien président du Mexique Miguel De La Madrid, Alex Haley, auteur de Roots, David Packard, cofondateur de Hewlett-Packard, etc. Le magazine Mac Lean (23 mars 1981) précisait que « chaque année, pour trois week-ends, près de 2 000 membres, en compagnie d’invités, rejoignent le lieu placé sous haute protection situé près du hameau de Monte Rio (1 200 habitants), près de la rivière Russe. La devise shakespearienne du club, Weaving spiders come here, est une manière de montrer que les discussions trop vives y sont bannies. Même si ce mot d’ordre y est totalement ignoré tant au niveau financier que politique. Alors que cette classe de dirigeants ne laisse que très rarement filtrer des détails sur les accords qui y sont passés, quelques-unes pourtant, comme la promesse de Ronald Reagan à Richard Nixon de demeurer en dehors de la course à l’élection présidentielle de 1967, ont largement participé à façonner le destin de l’Amérique. » Plus de 2 000 personnes, exclusivement des hommes, peuvent être accueillies dans d’excellentes conditions de confort, dans environ 120 petits hameaux comme Hillbilies (où se retrouvent la plupart des anciens de la Yale University comme Bush), Derelicts ou Mandalay (le plus chic). La réunion principale se déroule sur quinze jours et trois week-ends (le premier étant le plus proche de la mijuillet), en dehors de réunions beaucoup moins importantes s’étalant sur le reste de l’année. L’objectif est de « renouer avec la nature » dans la bonne humeur, et, de l’avis de certains participants, dans des libations alcooliques poussées. Les magnats y jouent dans des saynètes saynètes et de petites pitreries (Kissinger se déguisera par exemple en portant… un masque de Kissinger et d’autres se déguiseront en femmes avec tous les attributs afférents…). Quelques conférences sont par ailleurs professées, mais l’essentiel se règle au cours d’entretiens informels (mais « juteux »). Comme l’écrit Peter Phillips, professeur de sociologie à l’université de Sonoma et directeur du Project censored, « On peut imaginer les aristocrates d’aujourd’hui comme Kissinger, Bush ou Rumsfeld au milieu d’un cercle d’amis en train de siroter du cognac ou de discuter comment les masses “non qualifiées” ne doivent pas être suivies pour établir des politiques et comment les élites doivent mettre en œuvre leurs propres valeurs pour en faire des “règles d’autorité”. Ces clubs d’homme ont représenté historiquement l’institutionnalisation des inégalités raciales, de sexe et de classe […] En surface, le Bohemian Grove est un lieu privé où les élites régionales et globales se rencontrent dans la joie et la bonne humeur. Mais, en réalité, il poursuit exactement les mêmes buts que la monarchie française au XVIIIe siècle ou la construction de l’empire britannique au XIXe siècle […] C’est un moyen de construire des liens étroits internes et une unanimité consensuelle au profit d’une solidarité de classe. Les liens renforcés se traduisent dans les réunions économiques internationales, les partis politiques, les campagnes de financement et au niveau supérieur de la “démocratie”. Dans un certain sens, ils vivent comme dans une Bastille qu’ils ont fabriquée eux-mêmes, avec le pouvoir, le prestige et les privilèges, et unis dans la peur de la démocratie de base (grassroots democracy). » Bien entendu, aucun compte-rendu n’est jamais publié et aucune liste des participants n’est jamais disponible. Quant à Newsweek (2 août 1982), il rapportait que « la colonie de vacances la plus prestigieuse du monde tient ses réunions à 120 km au nord de San Francisco. Les 1 500 hectares de retraite hautement protégés sont un véritable Etat dans l’Etat exclusivement réservé aux mâles du Bohemian Club auquel chaque président, depuis Herbert Hoover, a appartenu. » Et de citer par exemple l’une des conférences majeures qui y fut prononcée, celle de Kissinger sur Le Défi des années 80. A trois reprises, l’enquêteur Dirk Mathison devait réussir à infiltrer ces réunions avec l’aide d’opposant, réunis dans le Bohemain Grove Action Network. Il entendit le discours de John Leman, ex-secrétaire à la Marine de Reagan, sur Les Armes intelligentes, dans lequel ce dernier estimait à 200 000 le nombre d’Irakiens assassinés durant la ratonnade dite Guerre du Golfe. Les autres orateurs furent Dick Cheney (aujourd’hui vice-président), sur Les Problèmes majeurs de la défense du XXIe siècle, l’ex-secrétaire d’Etat à la Santé de Jimmy Carter, Joseph Califano, sur La Révolution de la santé aux Etats-Unis : qui vit, qui meurt, qui paye ?, et l’attorney general des Etats-Unis sous Reagan et Nixon, Eliott Richardson, sur La Définition du Nouvel Ordre Mondial, ou encore Helmut Schmidt, ex-Premier ministre allemand, sur Les Enormes problèmes du XXIe siècle. Les données recueillies sont toutefois fragmentaires en raison de l’extrême surveillance mise en place, mais quelques journalistes d’investigation, tels O’Brien ou Phillips, se sont interrogés sur le « pourquoi » de telles réunions où l’alcool coule à flots et où d’étranges cérémonies druidiques, sous couvert de « représentations théâtrales », prennent place, officiellement dans le but de célébrer l’« esprit de bohème », avec un étonnant rituel débutant par « l’incinération des soucis » (Dull Care, soit le « poids des soucis »), semblable au « bonhomme hiver » brûlé chaque année, pour célébrer le retour du printemps. Au cours de cette étonnante cérémonie, on voit en effet le gratin financier de la planète se presser autour d’un rocher de 12 mètres de haut représentant un hibou (assimilé à la bouche de Moloch), devant lequel est allumé un immense feu de joie où les « maîtres du monde » sont censés (ce n’est pas une blague contrairement à ce que nos lecteurs pourraient penser) se « décharger » de leurs soucis. Le tout étant très officiellement annoncé dans le programme interne sous le titre « Consecutive Cremation of Care », avec intervention d’un « High Priest » (Grand Prêtre en robe de soie d’argent et d’or), d’un « Voice of the Owl » (la voix du hibou) et d’un « Funeral Cortege ». Dans THEM : Adventures with extremism (Picador, 2001), John Ronson, quoique critique, rapporte comment il a assisté clandestinement à cette cérémonie macabre, dont il cite divers chants, hymnes et stances, divers discours funèbres et autres mascarades. Après une procession aux flambeaux, les hommes, déguisés, s’approchent en chantant, avec l’accompagnement d’un orchestre dissimulé, pour allumer le bûcher, pendant que le Grand Prêtre prononce des odes au soleil de l’été. Une effigie en papier mâchée grandeur nature, représentant un être humain, est alors jetée dans le brasier. Cet enquêteur y voit une simple preuve d’immaturité de l’élite de la planète, à la manière de la fête de Halloween pour les enfants : « Ma dernière impression était celle d’un sentiment dominant d’immaturité : les imitateurs d’Elvis Presley (NDLR : certains se déguisent en chanteurs), le rituel païen mystificateur, les saoûleries (NDLR : l’auteur a compté l’impressionnant nombre de bouteilles vides dans l’un des camps et consulté des photos). Ces personnes ont peut-être atteint le sommet de leurs professions mais émotionnellement, ils semblent en être resté à leurs années de faculté. » Pour d’autres, c’est quelque chose de tout différent qui se cache derrière de telles cérémonies. Un article paru dans le journal des environs, dont certains habitants paraissent peu goûter de telles fariboles et qui évoquent des pratiques sectaires (voire sataniques), le Santa Rosa Sun (juillet 1993) établit un rapport avec le culte de Canaan et la légende de Moloch, le dieu auquel on sacrifiait des êtres humains. Canaan, c’est la terre de Phénicie et de Palestine, celle qui anticipe Israël. Supposée dérivée de la religion babylonienne et sumérienne, elle influença très largement la religion israélite primitive, où Moloch devint Nemrod ou Tammouz, et où les pratiques sectaires faisaient appel au sacrifice humain. Il en est de même à Carthage avec le fameux sacrifice du « molk », où des nouveaux-nés étaient livrés au feu. Mille ans plus tard, la Bible mentionne encore de nombreux sacrifice d’enfants. Dans Le Paradis perdu, le poète John Milton écrit : « D’abord s’avance Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des larmes des pères et des mères, bien qu’à cause du bruit des tambours et des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fut pas entendu lorsqu’à travers le feu, ils passaient à l’idole grimée. » Pour comprendre cette étrange fascination pour ces étranges rituels macabres, on reviendra sur les Skull & Bones (S&B) que nous avions déjà étudiés (un article très riche sur le rituel des S&B, et son inspiration anti-indienne, est paru depuis lors dans The Observer, 19 avril 2001). Le Lakota Nation Journal (printemps 2000) a rapporté comment Prescott Bush, le grand-père de George W. Bush, s’était emparé du crâne du grand chef apache Geronimo lorsqu’il était en poste à Fort Sill (Oklahoma) en 1918. La nation apache a découvert que celui-ci fut transféré au siège des S&B à New Haven (Connecticut) afin de servir à la plupart des cérémonies d’intronisation de nouveaux membres. Dans les années 90 lorsque des enquêtes furent conduites et un procès intenté, les restes macabres disparurent. La plupart des documents disponibles figurent uniquement sur Internet : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] une liste plus compète des participants se trouve sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] grovenukes.html, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] la principale association opposante est le Bohemian Grove Action Network : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et en français, on consultera le très complet [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Un documentaire a également été tourné clandestinement par John Ronson pour le compte de la BBC en 1999, où l’on voit l’intégralité de la cérémonie de crémation, ainsi qu’un autre, Teddy Bear’s Picnic édité par Vision Box Pictures, qui étudie les réunions sous un ange léger, voire humoristique. Bibliographie : The Bohemian Grove an other Retreats, G. William Domhoff (Harper, 1974), The Greatest Men’s on Earth, Inside the Bohemian Grove, John van der Zee (Harcourt, 1974). Pour une bibliographie complète, il n’y a pas à chercher loin : Sex Works : Writings by Women in the Sex Industry, Frédérique Delacoste et Priscilla Alexander (Cleis Press, 1987), où un chapitre porte sur la prostitution à l’intérieur du Bohemian Grove, Inside Bohemian Grove, Philip Weiss, Spy Magazine, novembre 1989, Power Playground, John van der Zee, Business Month, juillet 1988, Mondo loro, Pino Buongiorno, Panorama, 12 août 1999, Pouvoir : le club le plus fermé du monde, Le Point, 27 août 1994, Power at Play : The Boho Boys Club, Hampton Sides, Regardie’s Magazine, janvier 1991, The Male Manager’s Last Refuge, Walter McQade, Fortune, 5 août 1985, Inside Bohemain Grove : The Story People Magazine Won’t Let You Read, Extra ! Magazine, décembre 1991. Sources : FAITS ET DOCUMENTS doc en pdf avec images… intéressant a écrit:


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Message par Francesco Jeu 21 Mai 2015 - 2:54

our la France, trois seules personnalités y ont été cooptées : Valéry Giscard d’Estaing, aujourd’hui président de la Convention sur la réforme des institutions européennes, son ancien ministre Jean François-Poncet, et le grand rival de François Mitterrand, l’ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard. a écrit:


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Message par Francesco Jeu 21 Mai 2015 - 2:58

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Liste incomplete des membres de cette secte satanique.


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Message par Francesco Mar 2 Juin 2015 - 3:47

En regardant ce reportage sur un exorcisme réel ayant eu lieu aux USA,j'ai été frappé de constaté que l'exorciste avait trouvé une preuve que le démon présent s'appelait Moloch et que la maison était infestée probablement du au fait que l'ancien propriétaire était un médecin et qu'il avait pratiqué des avortements ds la dite demeure.

Moloch est une idole(démon)lié au sacrifice d'enfant(avortement).Et l'élite mondiale américaine au Bohemian Club font des rituels en l'honneur de Moloch ou un sacrifice d'enfant est mimé.......et qu'en on pense qu'a ce jour sur la planete(depuis 1960)il y a eu plus de 2 milliards d'avortements.....

Satan est le prince de ce monde......et l'élite mondialiste est a sa solde.Qui favorise l'avortement,l'euthanasie,le marraige gay(alors que la population n'en veut pas),le gender,etc.....

St Augustion parlait clairement du combat entre la cité de Dieu et celle du Démon.Nous sommes en plein dedant et l'accélération du programme de l'élite mondiale est un indice clair que la battaille en est a ses derniers rounds....



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