le 18 juin 1961 - Apparition de Saint Michel Archange
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le 18 juin 1961 - Apparition de Saint Michel Archange
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L'APPARITION DE SAINT MICHEL
Extrait du livre : «L’Étoile dans la montagne»
A San Sébastian de Garabandal, le 18 juin 1961 est un dimanche comme les autres. Pas de travail manuel non nécessaire, sûrement. Messe et Vêpres dans la petite église pleine. Repos à l'ombre, les vieillards assis sur le pas des portes. Les adolescents se sourient comme s'ils se rencontraient par hasard. Les enfants emmenés par quelques aînées font la farandole, pendant que d'autres s'amusent à cache-cache ou jouent aux billes avec les cailloux du chemin.
Subitement, au crépuscule, quatre fillettes ont disparu, sans être remarquées, Où sont-elles parties ? A la cueillette des pommes vertes de l'arbre planté au bord du petit chemin qui monte «aux Pins». Elles sont parties pour la maraude plus ou moins innocente.
Les voici donc joyeuses, rieuses, mordant à belles dents les pauvres fruits, si loin d'être mûrs, un 18 juin...
Petites filles ! Petites filles étourdies ! N'auriez-vous donc aucun souvenir d'un pommier défendu qui se trouvait au paradis perdu ?
Mais si, sans doute, car tout à coup elles entendent un bruit aussi fort qu'inattendu ! Elles lèvent la tête, avec étonnement, regardant à droite et à gauche. «On dirait le tonnerre» s'écrient-elles. Puis Conchita, se rendant compte du mal que constituait leur maraude ajoute : «Quelle grosse faute nous avons commise! Le diable est content, et notre ange gardien tout triste !»
Alors, nous dirent-elles, nous nous mîmes à ramasser les cailloux du chemin et à les lancer de toutes nos forces du côté gauche où nous disions qu'était le diable ! Après en avoir jeté beaucoup, et avoir joué un peu aux billes à notre manière, nous vîmes... l'Ange.
Quel extraordinaire récit ! Il commence presque comme celui de la Bible !
Conchita vit l'ange la première, tomba à genoux, étrangement pâle, et demeura en extase, les mains jointes, poussant des exclamations «Ah ! Ah !».
Les autres crurent qu'elle avait une «attaque», et en furent fort effrayées. Elles voulurent aller avertir la mère de Conchita, quand subitement, regardant dans la même direction que leur compagne, elles aussi aperçurent l'ange, et tombèrent en extase à leur tour.
Assez vite, cependant, toutes les quatre revinrent à elles. Elles coururent se cacher derrière l'Église, fort émues, tremblantes d'une peur sacrée, honteuses de leur maraude, mais heureuses indiciblement de la vision merveilleuse.
Leur première réaction devant l'apparition est absolument normale : fort effrayées d'abord et extrêmement confuses, un incoercible désir de revoir le bel Ange s'empare en même temps de leur cœur partagé entre l'admiration, la crainte et la joie.
Elles sauront vite qu'il est Saint Michel, bien que son aspect soit totalement différent du centurion casqué et bardé de fer, terrassant le dragon, qu'elles connaissent et voient sur l'autel de leur petite église paroissiale.
«L'Ange venait habillé d'une robe bleue, longue, libre, sans ceinture. Les ailes roses, claires, assez grandes, très belles. Son petit visage ni long, ni rond. Le nez très beau, les yeux noirs, la figure brune. Les mains très fines, les ongles coupés, les pieds invisibles. Il paraissait avoir 9 ans. Si jeune, il donnait l'impression d'une force invincible.»
Tel fut le personnage céleste qui leur apparut au soir du 18 juin 1961, ce dimanche désormais inoubliable.
Le 19 juin, l'ange ne vint pas. Elles le revirent le 20. Et, comme, à ce moment, les voisins ne se dérangent pas encore, Conchita note dans le journal qu'elle écrivit par la suite, avec une exquise naïveté : « Ces deux jours il n'y eut aucune autre personne avec nous, nous étions seulement cinq : l'Ange, Loli, Jacinta, Cruz et moi».
Elles revirent l'Ange plusieurs des jours suivants en présence de témoins de plus en plus nombreux, et le samedi 24 juin, il apparut avec un écriteau mystérieux, portant des lettres et des chiffres romains, qu'elles ne purent comprendre.
Le 25 juin montèrent des médecins qui durant les extases se livrèrent à de multiples expériences. Complètement insensibles, elles ne s'en aperçurent qu'après l'extase. «Cela ne nous faisait pas mal, mais c'était resté marqué» dira Conchita.
La semaine qui suivit, il n'y eut que trois apparitions.
Enfin, le samedi 1er juillet, l'Ange leur annonça que la Vierge Marie viendrait le lendemain dimanche, sous le vocable du Carmel. Elles lui demandèrent ce que signifiait l'inscription de son écriteau, mais il répondit : «La Vierge vous le dira elle-même».
L'APPARITION DE SAINT MICHEL
Extrait du livre : «L’Étoile dans la montagne»
A San Sébastian de Garabandal, le 18 juin 1961 est un dimanche comme les autres. Pas de travail manuel non nécessaire, sûrement. Messe et Vêpres dans la petite église pleine. Repos à l'ombre, les vieillards assis sur le pas des portes. Les adolescents se sourient comme s'ils se rencontraient par hasard. Les enfants emmenés par quelques aînées font la farandole, pendant que d'autres s'amusent à cache-cache ou jouent aux billes avec les cailloux du chemin.
Subitement, au crépuscule, quatre fillettes ont disparu, sans être remarquées, Où sont-elles parties ? A la cueillette des pommes vertes de l'arbre planté au bord du petit chemin qui monte «aux Pins». Elles sont parties pour la maraude plus ou moins innocente.
Les voici donc joyeuses, rieuses, mordant à belles dents les pauvres fruits, si loin d'être mûrs, un 18 juin...
Petites filles ! Petites filles étourdies ! N'auriez-vous donc aucun souvenir d'un pommier défendu qui se trouvait au paradis perdu ?
Mais si, sans doute, car tout à coup elles entendent un bruit aussi fort qu'inattendu ! Elles lèvent la tête, avec étonnement, regardant à droite et à gauche. «On dirait le tonnerre» s'écrient-elles. Puis Conchita, se rendant compte du mal que constituait leur maraude ajoute : «Quelle grosse faute nous avons commise! Le diable est content, et notre ange gardien tout triste !»
Alors, nous dirent-elles, nous nous mîmes à ramasser les cailloux du chemin et à les lancer de toutes nos forces du côté gauche où nous disions qu'était le diable ! Après en avoir jeté beaucoup, et avoir joué un peu aux billes à notre manière, nous vîmes... l'Ange.
Quel extraordinaire récit ! Il commence presque comme celui de la Bible !
Conchita vit l'ange la première, tomba à genoux, étrangement pâle, et demeura en extase, les mains jointes, poussant des exclamations «Ah ! Ah !».
Les autres crurent qu'elle avait une «attaque», et en furent fort effrayées. Elles voulurent aller avertir la mère de Conchita, quand subitement, regardant dans la même direction que leur compagne, elles aussi aperçurent l'ange, et tombèrent en extase à leur tour.
Assez vite, cependant, toutes les quatre revinrent à elles. Elles coururent se cacher derrière l'Église, fort émues, tremblantes d'une peur sacrée, honteuses de leur maraude, mais heureuses indiciblement de la vision merveilleuse.
Leur première réaction devant l'apparition est absolument normale : fort effrayées d'abord et extrêmement confuses, un incoercible désir de revoir le bel Ange s'empare en même temps de leur cœur partagé entre l'admiration, la crainte et la joie.
Elles sauront vite qu'il est Saint Michel, bien que son aspect soit totalement différent du centurion casqué et bardé de fer, terrassant le dragon, qu'elles connaissent et voient sur l'autel de leur petite église paroissiale.
«L'Ange venait habillé d'une robe bleue, longue, libre, sans ceinture. Les ailes roses, claires, assez grandes, très belles. Son petit visage ni long, ni rond. Le nez très beau, les yeux noirs, la figure brune. Les mains très fines, les ongles coupés, les pieds invisibles. Il paraissait avoir 9 ans. Si jeune, il donnait l'impression d'une force invincible.»
Tel fut le personnage céleste qui leur apparut au soir du 18 juin 1961, ce dimanche désormais inoubliable.
Le 19 juin, l'ange ne vint pas. Elles le revirent le 20. Et, comme, à ce moment, les voisins ne se dérangent pas encore, Conchita note dans le journal qu'elle écrivit par la suite, avec une exquise naïveté : « Ces deux jours il n'y eut aucune autre personne avec nous, nous étions seulement cinq : l'Ange, Loli, Jacinta, Cruz et moi».
Elles revirent l'Ange plusieurs des jours suivants en présence de témoins de plus en plus nombreux, et le samedi 24 juin, il apparut avec un écriteau mystérieux, portant des lettres et des chiffres romains, qu'elles ne purent comprendre.
Le 25 juin montèrent des médecins qui durant les extases se livrèrent à de multiples expériences. Complètement insensibles, elles ne s'en aperçurent qu'après l'extase. «Cela ne nous faisait pas mal, mais c'était resté marqué» dira Conchita.
La semaine qui suivit, il n'y eut que trois apparitions.
Enfin, le samedi 1er juillet, l'Ange leur annonça que la Vierge Marie viendrait le lendemain dimanche, sous le vocable du Carmel. Elles lui demandèrent ce que signifiait l'inscription de son écriteau, mais il répondit : «La Vierge vous le dira elle-même».
mariejesus- Date d'inscription : 02/02/2013
Age : 37
Re: le 18 juin 1961 - Apparition de Saint Michel Archange
mariejésuuuuuuuuuus!!!! Relisez la charte de l'Arche
Direction : "Discernement --> Garabandal"
Direction : "Discernement --> Garabandal"
Myriamis- Date d'inscription : 21/03/2012
Re: le 18 juin 1961 - Apparition de Saint Michel Archange
Myriamis, L'apparition de Garabandal vous le savez n'a pas été condamnée, elle est établie comme étant non surnaturelle.
Certes, elle a sa place dans discernement, mais ni vous ni moi, n'avons le droit de condamner une apparition tant que les événements ne sont parvenus.
Vous serez ravie d'apprendre que le nouveau évêque demande que ne parle pas de Garabandal, ni diffuse les messages.
Autrefois au moment des apparitions, il a été qu'un évêque ne croirait pas à l'apparition que peu de temps avant que ne survienne les événements de Garabandal il recevrait un signe prouvant la véracité des apparitions.
Fraternellement
Certes, elle a sa place dans discernement, mais ni vous ni moi, n'avons le droit de condamner une apparition tant que les événements ne sont parvenus.
Vous serez ravie d'apprendre que le nouveau évêque demande que ne parle pas de Garabandal, ni diffuse les messages.
Autrefois au moment des apparitions, il a été qu'un évêque ne croirait pas à l'apparition que peu de temps avant que ne survienne les événements de Garabandal il recevrait un signe prouvant la véracité des apparitions.
Fraternellement
mariejesus- Date d'inscription : 02/02/2013
Age : 37
Re: le 18 juin 1961 - Apparition de Saint Michel Archange
Chère amie, vous êtes mal renseignée s'agissant de Garabandal :
Note officielle de l'évêque de Santander
Les 30 août, 2, 7 et 27 septembre, ainsi que le 11 octobre 1966, accompagné de M. le Vicaire général, du "proviseur" de l'évêché et du curé de San Sebastian de Garabandal, à la demande des intéressées présentée au dit curé, nous avons nous-mêmes recueilli les déclarations faites par Conchita Gonzalez Gonzalez, Mari Loli Mazon Gonzalez, Jacinta Gonzalez Gonzalez, et Mari Cruz Gonzalez Madrazo, sur les faits qui se sont produits à San Sebastian de Garabandal à partir du 18 juin 1961.
Il résulte des déclarations des intéressées que :
Il n'y a eu aucune apparition, ni de la Sainte Vierge, ni de l'archange saint Michel, ni de quelque autre personnage céleste.
Il n'y a eu aucun message.
Tous les faits qui se sont produits dans ladite localité ont une explication naturelle.
En publiant la présente note, nous ne pouvons manquer de féliciter le clergé et les fidèles du diocèse de Santander qui, à tout moment et avec une obéissance filiale, ont suivi les indications de la hiérarchie. Nous regrettons que cet exemple n'ait pas été suivi par d'autres personnes qui, par l'imprudence de leur conduite, ont semé la confusion et la méfiance envers la hiérarchie, empêchant par une redoutable pression sociale que ce qui avait commencé comme un innocent jeu d'enfant puisse être démystifié par les auteurs elles-mêmes de ce jeu.
Une fois de plus, il est bon de rappeler que les vrais messages du ciel nous viennent par les paroles de l'Évangile, du Pape, des Conciles et du magistère ordinaire de l'Église.
A Santander, le 17 mars 1967.
VICENTE, évêque de Santander.
Note officielle de l'évêque de Santander
Les 30 août, 2, 7 et 27 septembre, ainsi que le 11 octobre 1966, accompagné de M. le Vicaire général, du "proviseur" de l'évêché et du curé de San Sebastian de Garabandal, à la demande des intéressées présentée au dit curé, nous avons nous-mêmes recueilli les déclarations faites par Conchita Gonzalez Gonzalez, Mari Loli Mazon Gonzalez, Jacinta Gonzalez Gonzalez, et Mari Cruz Gonzalez Madrazo, sur les faits qui se sont produits à San Sebastian de Garabandal à partir du 18 juin 1961.
Il résulte des déclarations des intéressées que :
Il n'y a eu aucune apparition, ni de la Sainte Vierge, ni de l'archange saint Michel, ni de quelque autre personnage céleste.
Il n'y a eu aucun message.
Tous les faits qui se sont produits dans ladite localité ont une explication naturelle.
En publiant la présente note, nous ne pouvons manquer de féliciter le clergé et les fidèles du diocèse de Santander qui, à tout moment et avec une obéissance filiale, ont suivi les indications de la hiérarchie. Nous regrettons que cet exemple n'ait pas été suivi par d'autres personnes qui, par l'imprudence de leur conduite, ont semé la confusion et la méfiance envers la hiérarchie, empêchant par une redoutable pression sociale que ce qui avait commencé comme un innocent jeu d'enfant puisse être démystifié par les auteurs elles-mêmes de ce jeu.
Une fois de plus, il est bon de rappeler que les vrais messages du ciel nous viennent par les paroles de l'Évangile, du Pape, des Conciles et du magistère ordinaire de l'Église.
A Santander, le 17 mars 1967.
VICENTE, évêque de Santander.
Myriamis- Date d'inscription : 21/03/2012
Re: le 18 juin 1961 - Apparition de Saint Michel Archange
Dire que l'apparition est établie comme "non surnaturelle" est un CONSTAT DE NON SUPERNATURALITATE, donc une condamnation officielle.
D'autres éléments ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Vous trouverez tout un dossier sur Garabandal dans la catégorie "Discernement : Garabandal".
En Jésus, par Marie +
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En Jésus, par Marie +
Myriamis- Date d'inscription : 21/03/2012
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