Miracle eucharistique en Pologne rconnu par l'Église
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Miracle eucharistique en Pologne rconnu par l'Église
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Miracle eucharistique en Pologne !
Publié par reconquetefr le 18 avril 2016
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Miracle eucharistique en Pologne !
Publié par reconquetefr le 18 avril 2016
Publié par reconquetefr le 18 avril 2016
« L’évêque de Legnica, Mgr Zbigniew Kiernikowski, a annoncé par le communiqué ci-dessus, daté du 10 avril, la reconnaissance d’un miracle eucharistique dans l’église Saint-Hyacinthe de la ville.
Le jour de Noël 2013, une hostie était tombée par terre au moment de la communion. Elle fut mise dans de l’eau, comme on le fait de plus en plus, afin qu’elle se dissolve. Mais au lieu de se dissoudre il apparut des taches rouges. Mgr Stefan Cichy, qui était alors l’évêque de Legnica, nomma une commission pour étudier le phénomène. Un fragment de l’hostie fut prélevé et envoyé au laboratoire de médecine légale. Lequel a conclu qu’il s’agissait d’un fragment de muscle strié « très similaire au myocarde avec des altérations qui apparaissent souvent pendant l’agonie ». L’analyse ADN a conclu qu’il s’agit de myocarde humain.
En janvier dernier, le nouvel évêque, Mgr Kiernikowski, a envoyé ces conclusions à la congrégation pour la doctrine de la foi. Et, conformément aux recommandations reçues de Rome, il a demandé au curé de la paroisse que soit aménagé un endroit approprié pour l’adoration de la « Relique ».
Il conclut : « J’espère que cela servira à approfondir le culte de l’Eucharistie et aura un effet en profondeur sur la vie des gens qui se trouveront en face de la Relique. Nous voyons le Signe mystérieux comme un acte extraordinaire d’amour et de bonté de Dieu, qui vient vers hommes dans une suprême humiliation. » »
Le fait que le miracle ait eu lieu à Legnica n’est pas indifférent. Cette ville en effet a une grande importance dans la mémoire polonaise. La bataille de Legnica, en 1241, est un événement crucial. L’armée du prince Piast Henri II fut anéantie par les Mongols et le prince tué, mais ce fut le coup d’arrêt des dévastations des Mongols dans la région. La mère d’Henri II était sainte Hedwige, la première grande sainte polonaise. Les Soviétiques, qui connaissaient eux aussi l’histoire, avaient installé à Legnica une importante garnison de l’Armée rouge, entièrement composée de soldats d’Asie centrale…
Le fait que le miracle ait eu lieu dans cette église n’est pas anodin non plus. Cette église néo-gothique avait été construite en 1904-1905 et inaugurée en 1908, du temps où la Silésie était prussienne. Soulignant l’autorité prussienne, elle était une commande de l’empereur Guillaume II et elle avait pour nom « église du souvenir de l’empereur Frédéric III ». C’était donc une église protestante. En 1945 elle fut utilisée comme écurie par l’Armée rouge. Par la suite elle fut restaurée, mais sans affectation particulière. En 1972 elle fut érigée en église de la paroisse nouvellement créée de Saint-Hyacinthe, et depuis 2002 elle est le sanctuaire diocésain consacré à saint Hyacinthe, le premier dominicain polonais. C’est sans doute unique en Pologne qu’une ancienne église protestante soit devenue catholique depuis moins de 50 ans.
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Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
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Cas documentés et étudiés
À Lanciano en Italie, province de Chieti, dans la région des Abruzzes, vers 750, le prêtre aurait eu un doute sur la présence de Jésus, les saintes Espèces auraient alors pris l'aspect de la chair et du sang ; les reliques ont été examinées durant l'hiver 1970-1971 et une nouvelle fois en 1981 par le Professeur Odoardo Linoli qui a effectué diverses analyses, dont les résultats ont été confirmés par le Professeur Ruggero Bertelli ; il s'agit bien de chair et de sang humains, de groupe sanguin AB, sans aucune trace de substance de conservation ou de momification : leur conservation durant des siècles dans un milieu non stérile est donc exceptionnelle. La chair est constituée par le muscle du cœur (myocarde)3,4, 5. Le 23 avril 1982, L'Osservatore Romano, journal du Saint-Siège, a consacré une page aux résultats des analyses du miracle de Lanciano. À noter qu'un miracle secondaire s'était produit dans le passé au sujet du poids des cinq caillots de sang (le poids était le même, qu'on pèse un, deux, ou cinq caillots) ; ce miracle ne s'est pas reproduit lors des examens récents. Le sang est encore parfaitement liquide après tellement d'années, et à ce jour nulle substance de conservation n'y a été retrouvée, phénomène constituant en soi-même un fait inexplicable. Le professeur Linoli insista sur le fait que l'hypothèse d'un faux réalisé dans les siècles passés est peu probable : pour le prélèvement du fragment du myocarde, il aurait fallu une précision très peu plausible à l'époque ; quant au sang, s'il avait été prélevé sur un cadavre, il se serait rapidement altéré, par déliquescence ou putréfaction, le sang prélevé était donc du sang frais10.
À Buenos Aires, le 15 août 1996, un laïc de la paroisse Santa Maria laissa tomber une hostie sur le sol en distribuant la communion. Le prêtre plaça ensuite cette hostie dans un petit récipient d'eau afin de la dissoudreNote 2. Quelques jours après, le prêtre constata que l'hostie ne s'était pas dissoute mais avait grossi et était couverte de taches semblant être du sang ; elle finit par prendre l'apparence d'un morceau de chair. Un échantillon de la substance sanglante fut envoyé par la suite au laboratoire de Buenos Aires qui affirma qu'il s'agit d'un morceau d'un cœur humain, comportant des globules rouges et blancs, palpitant, comme le ferait un cœur humain vivantNote 3. Un autre miracle eucharistique fut rapporté à Buenos Aires le 18 août 1996. Une femme informa le père Pezet qui finissait de célébrer la Messe dans le centre commercial de la ville pour signaler une hostie mise au rebut à l'arrière de l'église. Le prêtre refusant de manger l'hostie souillée la mit dans un récipient rempli d'eau puis au tabernacle. Cinq jours après, le 26 août 1996, quand le prêtre ouvrit le tabernacle, il constata que l'hostie ne s'était pas dissoute, avait grossi et était devenue une substance sanglante. Les photos ont été prises le 6 septembre 1996, sur l'ordre de Mgr Bergoglio, futur Pape François, qui était à l'époque évêque auxiliaire de Buenos Aires. Le 28 février 1998, Mgr Bergoglio devint archevêque de Buenos Aires et le 5 octobre 1999, il demanda au Docteur Castanon, médecin titulaire de nombreux diplômes, de venir à Buenos Aires pour analyser les deux hosties sanglantes présentes dans sa ville. Celui-ci établit, sur le rapport de plusieurs laboratoires, qu'il s'agissait de fragments de myocarde de groupe sanguin AB, vivant, palpitant et présentant des signes de souffrance intense, car les tissus sont fragmentés et les globules blancs ont pénétré des tissus qu'ils ne pénètrent qu'en cas de torture. Des analyses furent également réalisée par les Professeurs Odoardo Linoli, celui-là même qui avait étudié les reliques de Lanciano, et Frederick Zugibe de la Columbia University de New York confirmant qu'il s'agissait que le sang contenait de l'ADN humain, confirmé que le groupe sanguin était AB, et qu'il s'agissait de celui d'un homme qui avait beaucoup souffert toujours vivant, les globules blancs étant encore présents 9 ans après6,7.
À Lourdes, le 7 novembre 1999 : l'émission "le Jour du Seigneur" retransmet à la télévision française la messe de l'Assemblée des Évêques de France, présidée par le Cardinal Billé, alors Primat des Gaules, entouré des Cardinaux Lustiger et Eyt. La prière eucharistique comporte l'imposition des mains et l'invocation de l'Esprit Saint avant la consécration. En imposant les mains, le Cardinal Billé disait l'épiclèse "en répandant sur elles ton Esprit", quand soudain l'hostie fit un petit bond évalué à un ou deux centimètres, et resta ainsi en lévitation, parallèlement à la patène, pendant la Consécration11. Le Cardinal Billé s'en aperçut et continua la messe comme il avait commencé, avec recueillement, sérieux et humilité. En accord avec les Cardinaux Lustiger et Eyt, le Cardinal Billé décida de garder le silence sur cet événement. En 2007, le Cardinal Poupart déclara que l'on pouvait désormais parler de ce miracle. Puis il y eut un article du Père Bandelier dans Famille Chrétienne en avril 2007. Ce phénomène est bien documenté : outre la vidéo (sur laquelle on voit clairement l'hostie disparaitre brièvement vers 1:10), il existe une lettre (datée du 12 septembre 2007) du producteur, le "CFRT - Le Jour du Seigneur" certifiant qu'aucun trucage n'a eu lieu.
Autres cas répertoriés
Le calice et la patène de O Cebreiro.À Rome, en 595, selon la Vita Beati Gregorii Papae écrite par le diacre Paul en 787, pendant une célébration eucharistique présidée par le pape Grégoire le Grand, au moment de recevoir la communion, une noble dame romaine se mit à rire, prise de doutes sur la présence réelle dans le pain et le vin consacrés. Le Pape alors, troublé par le manque de foi de cette femme, décida de ne pas lui donner la communion et aussitôt le pain se transforma en chair et en sang. La relique eucharistique est conservée à Andechs, en Allemagne, dans un monastère bénédictin.
À Augsbourg, en 1194, fut rapporté le miracle eucharistique connu sous le nom de Wunderbarlichen Gutes (Bien Miraculeux), décrit dans les documents historiques consultables à la Bibliothèque nationale et civique d’Augsbourg. Une hostie volée se transforma en chair sanglante.
À Benningen, en 1216, on rapporta le saignement d'une hostie à la suite d'une dispute entre deux meuniers. Un jour, l’un des deux, exaspéré après avoir communié, vola une hostie consacrée qu’il cacha parmi les pierres du moulin de son voisin dans l’intention de le calomnier. Pendant la fête de Saint-Grégoire, l’hostie commença à saigner et l’évêque en fut informé. Le meunier sacrilège confessa le méfait. Les peintures de la chapelle construite en l’honneur du prodige furent exécutées par Johan Friedrich Sichelbein. En 1221, les habitants de Benningen entreprirent la construction d’une chapelle en l’honneur de ce prodige connue sous le nom de Riedkapelle zum Hochwürdigen Gut. De 1674 à 1718, la Riedkapelle fut rénovée et agrandie pour accueillir de nombreux pèlerins. Chaque année, le jour de la Fête-Dieu la paroisse de Benningen se rend en procession à la Riedkapelle pour célébrer la commémoration du miracle.
À Alatri dans le Latium, en 1228, une jeune femme, pour retrouver l’amour de son fiancé, s’adressa à une voyante qui lui suggéra de voler une hostie consacrée pour en faire un philtre d’amour. Pendant une messe la jeune fille réussit à s’emparer d’une hostie qu’elle cache dans un linge. Rentrée chez elle, elle s’aperçut que l’hostie était transformée en chair ensanglantée. Une bulle pontificale de Grégoire IX évoque ce prodige. la cathédrale de Saint-Paul Apôtre conserve la relique du miracle, soit un fragment d’hostie transformée en chair.
À Douai, en 1254, dans la Collégiale Saint-Pierre de Douai : le visage de Jésus apparaît dans l'hostie ; des pèlerinages ont encore lieu régulièrement. Pour couper court à toute crainte que l'hostie de 1254 soit corrompue et qu'il n'y ait plus la Présence réelle, l'évêque a demandé que, lorsque l'hostie est exposée à l'adoration des fidèles, il y ait, en plus de l'ostensoir qui contient l'hostie ancienne, un autre ostensoir contenant une hostie récemment consacrée12.
À Bolsena, province de Viterbe, en 1263, dans le Latium, en 1263, dans un contexte un peu semblable à Lanciano, l'hostie changée en chair a saigné abondamment, et le sang a taché le corporal ; les reliques sont conservées dans la Cathédrale d'Orvieto. Le pape Urbain IV s'y rendit et décida d'instituer la Fête du Saint-Sacrement, qui fut officiellement promulguée l'année suivante, après que les textes de la liturgie aient été composés (par saint Thomas d'Aquin)13,14.
À O Cebreiro en Galice, en 1300, une des paroisses de Pedrafita do Cebreiro en galicien ou Piedrafita del Cebrero, le célébrant ne croyait pas à la présence réelle de Jésus ; l'hostie et le contenu du calice se changèrent en chair et en sang. Près de deux cents ans plus tard, la reine Isabelle fit faire un reliquaire de cristal. Les reliques sont toujours portées en procession chaque année pour la Fête-Dieu ; elles figurent aussi sur le blason de la ville. Cet épisode est attesté par deux bulles papales, d'Innocent VIII (1487) et Alexandre VI (1496)15.
À Amsterdam, en 1345, une hostie consacrée fut préservée des flammes. Ysbrand Dommer était gravement malade et vomit la communion qu’il venait de recevoir. L’hostie fut jetée par sa domestique dans le feu de la cheminée. Elle aurait été retrouvée le lendemain intacte et suspendue en l’air au milieu de la cheminée. De nombreux témoins auraient assisté au prodige et l’évêque d’Utrecht, Jan Van Arkel en autorisa tout de suite le culte. Aujourd’hui encore à Amsterdam, a lieu chaque année une procession en l’honneur du miracle.
À Ludbreg en Croatie, en 1411, un prêtre qui célébrait la messe en doutant de la vérité de la transsubstantiation vit le vin se transformer en sang. Selon Radio Vatican, ce miracle eucharistique fait l’objet d’une vénération pour les fidèles croates qui, au cours des siècles, ont été témoins d’innombrables guérisons16. D'après Radio-Vatican et l'Agence Zenit, Benoît XVI a nommé le Cardinal Tomko comme son représentant personnel pour le 600e anniversaire du miracle de Ludbreg.
À Alkmaar en 1429, dans la cathédrale Saint-Laurent, un prêtre appelé Folkert était en train de célébrer sa première messe. Après la consécration, le prêtre renversa par mégarde sur l’autel et la chasuble le vin consacré qui se transforma miraculeusement en sang. Tout essai d’enlever les taches de sang fut vain. La relique de la chasuble est conservée dans la cathédrale Saint-Laurent de Alkmaar.
À Faverney en Haute-Saône, en 1608 (voir description du miracle à l'article Faverney ; l'hostie est restée en lévitation plus de 24 heures à l'occasion d'un incendie ; des milliers de témoins l'ont constaté)17.
À Sienne, le 14 août 1730, un ciboire contenant 351 hosties consacrées fut volé dans la basilique Saint-François. Trois jours plus tard les hosties furent retrouvées dans le tronc de l'église Sainte-Marie de Provenzano. Rapportées dans l'église Saint-François elles y sont conservées depuis. Certaines ayant été distribuées, il en reste 230 dans un nouveau ciboire. Elles furent victimes d'une nouvelle agression le 5 août 1951 et éparpillées sur le sol. Mais elles ont été récupérées intactes. Elles sont gardées en permanence dans la chapelle Piccolomini les mois d'été, et dans la chapelle Martinozzi les mois d'hiver18.
Près de Naples, en 1772, des quantités d'hosties volées furent miraculeusement retrouvées, en plusieurs fois, dans un champ, grâce à des lumières inexplicables ; cela a fait l'objet d'une enquête rigoureuse du Tribunal archiépiscopal, qui dressa un procès-verbal de 364 pages ; 17 hommes (dont des prêtres) ont témoigné judiciairement sous la foi du serment, et le récit détaillé en a été fait par saint Alphonse de Liguori, évêque et Docteur de l'Église, qui affirme que d'autres miracles de ce genre ont été décrits dans ses autres livres19.
À Bordeaux, en 1822, pendant plus de vingt minutes Jésus bénissant apparut dans l’hostie exposée à l’adoration des fidèles. On peut toujours visiter la chapelle du miracle et vénérer la relique de l’ostensoir de l’apparition conservée à Martillac, auprès de la communauté contemplative « La Solitude ». Ce miracle est lié à la communauté fondée en 1820 par Pierre-Bienvenu Noailles. Le prodige advint vingt mois après la fondation de la communauté dans leur église Sainte-Eulalie, rue Mazarin à Bordeaux. Cet événement fut approuvé par les autorités ecclésiastiques, entre autres par l’archevêque de Bordeaux, Monseigneur d’Aviau, après qu’il eut entendu les témoignages des fidèles qui avaient assisté au prodige. On peut visiter la chapelle du miracle et vénérer la relique de l’ostensoir des apparitions.
À San Mauro La Bruca, le 25 juillet 1969, des voleurs entrèrent dans l’église de avec l’intention de s’emparer des objets précieux. Après avoir défoncé le tabernacle, ils prirent le ciboire qui contenait plusieurs hosties consacrées. Sortis de l’église, ils jetèrent les hosties le long d’un sentier. Le lendemain un enfant les vit et les porta au curé. En 1994, après des analyses, Monseigneur Biagio d’Agostino, évêque de Vallo della Lucania reconnut la conservation miraculeuse des hosties et en autorisa le culte Note 4.
Notes et références
Notes
1.↑ L'article en italien mentionne une vingtaine de lieux de miracles en Italie, et d'autres en Belgique, France, Allemagne, Pays-Bas, Portugal, Espagne, Autriche, Colombie, Égypte, Suisse, Île de la Réunion, et à Chirattakonam en Inde.
2.↑ Selon la doctrine catholique, la présence réelle subsiste tant que les espèces du pain et du vin subsistent. Quand les espèces sont trop altérées, la présence réelle disparaît. Le but de l'opération était donc de faire disparaître les apparences du pain pour que la présence réelle disparaisse et ainsi pouvoir jeter dans la terre une eau ne contenant pas la présence réelle de Jésus-Christ.
3.↑ Les globules blancs cessent normalement d'exister 15 minutes après que le morceau de chair qui les contient a été retiré d'un corps vivant.
4.↑ Les analyses faites par les chimistes prouvent que, déjà après six mois, la farine azyme.
Références
1.↑ Nicola Nasuti, L'Italia dei prodigi eucaristici, Edizioni Cantagalli, Siena, 2003, p. 10.
2.↑ Voir par exemple le livre du Père Nicolas Buttet, L'Eucharistie à l'école des saints, Ed. de l'Emmanuel, 2000 ; des extraits de ce livre relatifs à ces prodiges en faveur des saints sont en ligne : http://www.adoperp.com/adoration/histoire/Prodiges/Autres.html [archive]
3.↑ a et b O. Linoli, Ricerche istologiche, immunologiche e biochimiche sulla carne e sul sangue del Miracolo Eucaristico di Lanciano, Quaderni Sclavo di Diagnostica 7, 661-674 (1971), ristampato dalle Edizioni S.M.E.L., Lanciano
4.↑ a et b P. Amedeo Giuliani, Le reliquie eucaristiche del miracolo di Lanciano, Tradizione - Storia - Culto - Scienza, Edizioni S.M.E.L., Lanciano (1997)
5.↑ a et b Silvio Di Giancroce e Mauro De Filippis Delfico, Guida del Santuario del Miracolo Eucaristico di Lanciano, Edizioni S.M.E.L. Lanciano (2006).
6.↑ a et b Explications sur Chretiente.info [archive]
7.↑ a et b Chrétiens Magazine, no 262, septembre 2013, p. 16 et 17, qui précise : Source : Vatican Info service.
8.↑ Corinne Marchal, Manuel Tramaux (éd.), « Le miracle de Faverney (1608). L'eucharistie : environnement et temps de l'histoire ». Actes du colloque de Faverney (9-10 mai 2008) [archive].
9.↑ « Retour sur un miracle : une hostie en lévitation en direct », Le Post du 23 janvier 2012 [archive].
10.↑ Père François Brune, Dieu et Satan, éd. Oxus, 2004, p. 339.
11.↑ Renzo Allegri, Il sangue di Dio. Storia dei miracoli eucaristici, éd. Ancor, mai 2005.
12.↑ http://www.adoperp.com/mse/miracles-France/douai.pdf [archive] ; voir aussi Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, 2004, p. 30-33.
13.↑ Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, p. 178-184
14.↑ « Orvieto : Le miracle eucharistique qui institua la Fête du Saint-Sacrement » [archive], sur www.aleteia.org, 20 juin 2014 (consulté le 7 février 2015)
15.↑ Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, 2004, p. 219-222.
16.↑ http://www.zenit.org/article-28774?l=french [archive]
17.↑ Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, p. 120-126 ; voir aussi Willem Frijhoff, « Corinne Marchal, Manuel Tramaux, (éds.), Le miracle de Faverney (1608). L’eucharistie : environnement et temps de l’histoire. Actes du colloque de Faverney (9-10 mai 2008) », Archives de sciences sociales des religions [En ligne], | 2011, mis en ligne le 20 juin 2011, consulté le 15 décembre 2011. http://assr.revues.org/22914 [archive]
18.↑ http://www.adoperp.com/adoration/histoire/Prodiges/Sienne.html [archive]
19.↑ Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, p. 157-166.
(Source: Wikipédia)
À Lanciano en Italie, province de Chieti, dans la région des Abruzzes, vers 750, le prêtre aurait eu un doute sur la présence de Jésus, les saintes Espèces auraient alors pris l'aspect de la chair et du sang ; les reliques ont été examinées durant l'hiver 1970-1971 et une nouvelle fois en 1981 par le Professeur Odoardo Linoli qui a effectué diverses analyses, dont les résultats ont été confirmés par le Professeur Ruggero Bertelli ; il s'agit bien de chair et de sang humains, de groupe sanguin AB, sans aucune trace de substance de conservation ou de momification : leur conservation durant des siècles dans un milieu non stérile est donc exceptionnelle. La chair est constituée par le muscle du cœur (myocarde)3,4, 5. Le 23 avril 1982, L'Osservatore Romano, journal du Saint-Siège, a consacré une page aux résultats des analyses du miracle de Lanciano. À noter qu'un miracle secondaire s'était produit dans le passé au sujet du poids des cinq caillots de sang (le poids était le même, qu'on pèse un, deux, ou cinq caillots) ; ce miracle ne s'est pas reproduit lors des examens récents. Le sang est encore parfaitement liquide après tellement d'années, et à ce jour nulle substance de conservation n'y a été retrouvée, phénomène constituant en soi-même un fait inexplicable. Le professeur Linoli insista sur le fait que l'hypothèse d'un faux réalisé dans les siècles passés est peu probable : pour le prélèvement du fragment du myocarde, il aurait fallu une précision très peu plausible à l'époque ; quant au sang, s'il avait été prélevé sur un cadavre, il se serait rapidement altéré, par déliquescence ou putréfaction, le sang prélevé était donc du sang frais10.
À Buenos Aires, le 15 août 1996, un laïc de la paroisse Santa Maria laissa tomber une hostie sur le sol en distribuant la communion. Le prêtre plaça ensuite cette hostie dans un petit récipient d'eau afin de la dissoudreNote 2. Quelques jours après, le prêtre constata que l'hostie ne s'était pas dissoute mais avait grossi et était couverte de taches semblant être du sang ; elle finit par prendre l'apparence d'un morceau de chair. Un échantillon de la substance sanglante fut envoyé par la suite au laboratoire de Buenos Aires qui affirma qu'il s'agit d'un morceau d'un cœur humain, comportant des globules rouges et blancs, palpitant, comme le ferait un cœur humain vivantNote 3. Un autre miracle eucharistique fut rapporté à Buenos Aires le 18 août 1996. Une femme informa le père Pezet qui finissait de célébrer la Messe dans le centre commercial de la ville pour signaler une hostie mise au rebut à l'arrière de l'église. Le prêtre refusant de manger l'hostie souillée la mit dans un récipient rempli d'eau puis au tabernacle. Cinq jours après, le 26 août 1996, quand le prêtre ouvrit le tabernacle, il constata que l'hostie ne s'était pas dissoute, avait grossi et était devenue une substance sanglante. Les photos ont été prises le 6 septembre 1996, sur l'ordre de Mgr Bergoglio, futur Pape François, qui était à l'époque évêque auxiliaire de Buenos Aires. Le 28 février 1998, Mgr Bergoglio devint archevêque de Buenos Aires et le 5 octobre 1999, il demanda au Docteur Castanon, médecin titulaire de nombreux diplômes, de venir à Buenos Aires pour analyser les deux hosties sanglantes présentes dans sa ville. Celui-ci établit, sur le rapport de plusieurs laboratoires, qu'il s'agissait de fragments de myocarde de groupe sanguin AB, vivant, palpitant et présentant des signes de souffrance intense, car les tissus sont fragmentés et les globules blancs ont pénétré des tissus qu'ils ne pénètrent qu'en cas de torture. Des analyses furent également réalisée par les Professeurs Odoardo Linoli, celui-là même qui avait étudié les reliques de Lanciano, et Frederick Zugibe de la Columbia University de New York confirmant qu'il s'agissait que le sang contenait de l'ADN humain, confirmé que le groupe sanguin était AB, et qu'il s'agissait de celui d'un homme qui avait beaucoup souffert toujours vivant, les globules blancs étant encore présents 9 ans après6,7.
À Lourdes, le 7 novembre 1999 : l'émission "le Jour du Seigneur" retransmet à la télévision française la messe de l'Assemblée des Évêques de France, présidée par le Cardinal Billé, alors Primat des Gaules, entouré des Cardinaux Lustiger et Eyt. La prière eucharistique comporte l'imposition des mains et l'invocation de l'Esprit Saint avant la consécration. En imposant les mains, le Cardinal Billé disait l'épiclèse "en répandant sur elles ton Esprit", quand soudain l'hostie fit un petit bond évalué à un ou deux centimètres, et resta ainsi en lévitation, parallèlement à la patène, pendant la Consécration11. Le Cardinal Billé s'en aperçut et continua la messe comme il avait commencé, avec recueillement, sérieux et humilité. En accord avec les Cardinaux Lustiger et Eyt, le Cardinal Billé décida de garder le silence sur cet événement. En 2007, le Cardinal Poupart déclara que l'on pouvait désormais parler de ce miracle. Puis il y eut un article du Père Bandelier dans Famille Chrétienne en avril 2007. Ce phénomène est bien documenté : outre la vidéo (sur laquelle on voit clairement l'hostie disparaitre brièvement vers 1:10), il existe une lettre (datée du 12 septembre 2007) du producteur, le "CFRT - Le Jour du Seigneur" certifiant qu'aucun trucage n'a eu lieu.
Autres cas répertoriés
Le calice et la patène de O Cebreiro.À Rome, en 595, selon la Vita Beati Gregorii Papae écrite par le diacre Paul en 787, pendant une célébration eucharistique présidée par le pape Grégoire le Grand, au moment de recevoir la communion, une noble dame romaine se mit à rire, prise de doutes sur la présence réelle dans le pain et le vin consacrés. Le Pape alors, troublé par le manque de foi de cette femme, décida de ne pas lui donner la communion et aussitôt le pain se transforma en chair et en sang. La relique eucharistique est conservée à Andechs, en Allemagne, dans un monastère bénédictin.
À Augsbourg, en 1194, fut rapporté le miracle eucharistique connu sous le nom de Wunderbarlichen Gutes (Bien Miraculeux), décrit dans les documents historiques consultables à la Bibliothèque nationale et civique d’Augsbourg. Une hostie volée se transforma en chair sanglante.
À Benningen, en 1216, on rapporta le saignement d'une hostie à la suite d'une dispute entre deux meuniers. Un jour, l’un des deux, exaspéré après avoir communié, vola une hostie consacrée qu’il cacha parmi les pierres du moulin de son voisin dans l’intention de le calomnier. Pendant la fête de Saint-Grégoire, l’hostie commença à saigner et l’évêque en fut informé. Le meunier sacrilège confessa le méfait. Les peintures de la chapelle construite en l’honneur du prodige furent exécutées par Johan Friedrich Sichelbein. En 1221, les habitants de Benningen entreprirent la construction d’une chapelle en l’honneur de ce prodige connue sous le nom de Riedkapelle zum Hochwürdigen Gut. De 1674 à 1718, la Riedkapelle fut rénovée et agrandie pour accueillir de nombreux pèlerins. Chaque année, le jour de la Fête-Dieu la paroisse de Benningen se rend en procession à la Riedkapelle pour célébrer la commémoration du miracle.
À Alatri dans le Latium, en 1228, une jeune femme, pour retrouver l’amour de son fiancé, s’adressa à une voyante qui lui suggéra de voler une hostie consacrée pour en faire un philtre d’amour. Pendant une messe la jeune fille réussit à s’emparer d’une hostie qu’elle cache dans un linge. Rentrée chez elle, elle s’aperçut que l’hostie était transformée en chair ensanglantée. Une bulle pontificale de Grégoire IX évoque ce prodige. la cathédrale de Saint-Paul Apôtre conserve la relique du miracle, soit un fragment d’hostie transformée en chair.
À Douai, en 1254, dans la Collégiale Saint-Pierre de Douai : le visage de Jésus apparaît dans l'hostie ; des pèlerinages ont encore lieu régulièrement. Pour couper court à toute crainte que l'hostie de 1254 soit corrompue et qu'il n'y ait plus la Présence réelle, l'évêque a demandé que, lorsque l'hostie est exposée à l'adoration des fidèles, il y ait, en plus de l'ostensoir qui contient l'hostie ancienne, un autre ostensoir contenant une hostie récemment consacrée12.
À Bolsena, province de Viterbe, en 1263, dans le Latium, en 1263, dans un contexte un peu semblable à Lanciano, l'hostie changée en chair a saigné abondamment, et le sang a taché le corporal ; les reliques sont conservées dans la Cathédrale d'Orvieto. Le pape Urbain IV s'y rendit et décida d'instituer la Fête du Saint-Sacrement, qui fut officiellement promulguée l'année suivante, après que les textes de la liturgie aient été composés (par saint Thomas d'Aquin)13,14.
À O Cebreiro en Galice, en 1300, une des paroisses de Pedrafita do Cebreiro en galicien ou Piedrafita del Cebrero, le célébrant ne croyait pas à la présence réelle de Jésus ; l'hostie et le contenu du calice se changèrent en chair et en sang. Près de deux cents ans plus tard, la reine Isabelle fit faire un reliquaire de cristal. Les reliques sont toujours portées en procession chaque année pour la Fête-Dieu ; elles figurent aussi sur le blason de la ville. Cet épisode est attesté par deux bulles papales, d'Innocent VIII (1487) et Alexandre VI (1496)15.
À Amsterdam, en 1345, une hostie consacrée fut préservée des flammes. Ysbrand Dommer était gravement malade et vomit la communion qu’il venait de recevoir. L’hostie fut jetée par sa domestique dans le feu de la cheminée. Elle aurait été retrouvée le lendemain intacte et suspendue en l’air au milieu de la cheminée. De nombreux témoins auraient assisté au prodige et l’évêque d’Utrecht, Jan Van Arkel en autorisa tout de suite le culte. Aujourd’hui encore à Amsterdam, a lieu chaque année une procession en l’honneur du miracle.
À Ludbreg en Croatie, en 1411, un prêtre qui célébrait la messe en doutant de la vérité de la transsubstantiation vit le vin se transformer en sang. Selon Radio Vatican, ce miracle eucharistique fait l’objet d’une vénération pour les fidèles croates qui, au cours des siècles, ont été témoins d’innombrables guérisons16. D'après Radio-Vatican et l'Agence Zenit, Benoît XVI a nommé le Cardinal Tomko comme son représentant personnel pour le 600e anniversaire du miracle de Ludbreg.
À Alkmaar en 1429, dans la cathédrale Saint-Laurent, un prêtre appelé Folkert était en train de célébrer sa première messe. Après la consécration, le prêtre renversa par mégarde sur l’autel et la chasuble le vin consacré qui se transforma miraculeusement en sang. Tout essai d’enlever les taches de sang fut vain. La relique de la chasuble est conservée dans la cathédrale Saint-Laurent de Alkmaar.
À Faverney en Haute-Saône, en 1608 (voir description du miracle à l'article Faverney ; l'hostie est restée en lévitation plus de 24 heures à l'occasion d'un incendie ; des milliers de témoins l'ont constaté)17.
À Sienne, le 14 août 1730, un ciboire contenant 351 hosties consacrées fut volé dans la basilique Saint-François. Trois jours plus tard les hosties furent retrouvées dans le tronc de l'église Sainte-Marie de Provenzano. Rapportées dans l'église Saint-François elles y sont conservées depuis. Certaines ayant été distribuées, il en reste 230 dans un nouveau ciboire. Elles furent victimes d'une nouvelle agression le 5 août 1951 et éparpillées sur le sol. Mais elles ont été récupérées intactes. Elles sont gardées en permanence dans la chapelle Piccolomini les mois d'été, et dans la chapelle Martinozzi les mois d'hiver18.
Près de Naples, en 1772, des quantités d'hosties volées furent miraculeusement retrouvées, en plusieurs fois, dans un champ, grâce à des lumières inexplicables ; cela a fait l'objet d'une enquête rigoureuse du Tribunal archiépiscopal, qui dressa un procès-verbal de 364 pages ; 17 hommes (dont des prêtres) ont témoigné judiciairement sous la foi du serment, et le récit détaillé en a été fait par saint Alphonse de Liguori, évêque et Docteur de l'Église, qui affirme que d'autres miracles de ce genre ont été décrits dans ses autres livres19.
À Bordeaux, en 1822, pendant plus de vingt minutes Jésus bénissant apparut dans l’hostie exposée à l’adoration des fidèles. On peut toujours visiter la chapelle du miracle et vénérer la relique de l’ostensoir de l’apparition conservée à Martillac, auprès de la communauté contemplative « La Solitude ». Ce miracle est lié à la communauté fondée en 1820 par Pierre-Bienvenu Noailles. Le prodige advint vingt mois après la fondation de la communauté dans leur église Sainte-Eulalie, rue Mazarin à Bordeaux. Cet événement fut approuvé par les autorités ecclésiastiques, entre autres par l’archevêque de Bordeaux, Monseigneur d’Aviau, après qu’il eut entendu les témoignages des fidèles qui avaient assisté au prodige. On peut visiter la chapelle du miracle et vénérer la relique de l’ostensoir des apparitions.
À San Mauro La Bruca, le 25 juillet 1969, des voleurs entrèrent dans l’église de avec l’intention de s’emparer des objets précieux. Après avoir défoncé le tabernacle, ils prirent le ciboire qui contenait plusieurs hosties consacrées. Sortis de l’église, ils jetèrent les hosties le long d’un sentier. Le lendemain un enfant les vit et les porta au curé. En 1994, après des analyses, Monseigneur Biagio d’Agostino, évêque de Vallo della Lucania reconnut la conservation miraculeuse des hosties et en autorisa le culte Note 4.
Notes et références
Notes
1.↑ L'article en italien mentionne une vingtaine de lieux de miracles en Italie, et d'autres en Belgique, France, Allemagne, Pays-Bas, Portugal, Espagne, Autriche, Colombie, Égypte, Suisse, Île de la Réunion, et à Chirattakonam en Inde.
2.↑ Selon la doctrine catholique, la présence réelle subsiste tant que les espèces du pain et du vin subsistent. Quand les espèces sont trop altérées, la présence réelle disparaît. Le but de l'opération était donc de faire disparaître les apparences du pain pour que la présence réelle disparaisse et ainsi pouvoir jeter dans la terre une eau ne contenant pas la présence réelle de Jésus-Christ.
3.↑ Les globules blancs cessent normalement d'exister 15 minutes après que le morceau de chair qui les contient a été retiré d'un corps vivant.
4.↑ Les analyses faites par les chimistes prouvent que, déjà après six mois, la farine azyme.
Références
1.↑ Nicola Nasuti, L'Italia dei prodigi eucaristici, Edizioni Cantagalli, Siena, 2003, p. 10.
2.↑ Voir par exemple le livre du Père Nicolas Buttet, L'Eucharistie à l'école des saints, Ed. de l'Emmanuel, 2000 ; des extraits de ce livre relatifs à ces prodiges en faveur des saints sont en ligne : http://www.adoperp.com/adoration/histoire/Prodiges/Autres.html [archive]
3.↑ a et b O. Linoli, Ricerche istologiche, immunologiche e biochimiche sulla carne e sul sangue del Miracolo Eucaristico di Lanciano, Quaderni Sclavo di Diagnostica 7, 661-674 (1971), ristampato dalle Edizioni S.M.E.L., Lanciano
4.↑ a et b P. Amedeo Giuliani, Le reliquie eucaristiche del miracolo di Lanciano, Tradizione - Storia - Culto - Scienza, Edizioni S.M.E.L., Lanciano (1997)
5.↑ a et b Silvio Di Giancroce e Mauro De Filippis Delfico, Guida del Santuario del Miracolo Eucaristico di Lanciano, Edizioni S.M.E.L. Lanciano (2006).
6.↑ a et b Explications sur Chretiente.info [archive]
7.↑ a et b Chrétiens Magazine, no 262, septembre 2013, p. 16 et 17, qui précise : Source : Vatican Info service.
8.↑ Corinne Marchal, Manuel Tramaux (éd.), « Le miracle de Faverney (1608). L'eucharistie : environnement et temps de l'histoire ». Actes du colloque de Faverney (9-10 mai 2008) [archive].
9.↑ « Retour sur un miracle : une hostie en lévitation en direct », Le Post du 23 janvier 2012 [archive].
10.↑ Père François Brune, Dieu et Satan, éd. Oxus, 2004, p. 339.
11.↑ Renzo Allegri, Il sangue di Dio. Storia dei miracoli eucaristici, éd. Ancor, mai 2005.
12.↑ http://www.adoperp.com/mse/miracles-France/douai.pdf [archive] ; voir aussi Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, 2004, p. 30-33.
13.↑ Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, p. 178-184
14.↑ « Orvieto : Le miracle eucharistique qui institua la Fête du Saint-Sacrement » [archive], sur www.aleteia.org, 20 juin 2014 (consulté le 7 février 2015)
15.↑ Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, 2004, p. 219-222.
16.↑ http://www.zenit.org/article-28774?l=french [archive]
17.↑ Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, p. 120-126 ; voir aussi Willem Frijhoff, « Corinne Marchal, Manuel Tramaux, (éds.), Le miracle de Faverney (1608). L’eucharistie : environnement et temps de l’histoire. Actes du colloque de Faverney (9-10 mai 2008) », Archives de sciences sociales des religions [En ligne], | 2011, mis en ligne le 20 juin 2011, consulté le 15 décembre 2011. http://assr.revues.org/22914 [archive]
18.↑ http://www.adoperp.com/adoration/histoire/Prodiges/Sienne.html [archive]
19.↑ Abbé Jean Ladame, Prodiges Eucharistiques, Imprimerie Saint Joseph, Collection : Familles & eucharistie, p. 157-166.
(Source: Wikipédia)
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Re: Miracle eucharistique en Pologne rconnu par l'Église
Gloire à Dieu
Et Jésus les appela, et dit : Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. (Luc 18:16)
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