France: Ces territoires perdus…
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France: Ces territoires perdus…
France: Ces territoires perdus…
banlieue -… qui ne sont pas perdus pour tout le monde ! Voyous et islamistes (radicaux ou pas) y font leur beurre et poussent comme des champignons grâce à un terreau fertile composé d’une concentration excessive de travailleurs pauvres et de chômeurs endémiques, d’un entassement de populations interlopes et d’immigrations diverses. Les violences urbaines, les règlements de comptes, les viols, les trafics d’armes et de drogues, l’islamisme radical, l’antisémitisme, la haine des « blancs », la haine de la France et les sentiments « anti-français », y sont monnaies courantes. Ces territoires sont devenus de véritables cloaques, zones de non-droit, où la délinquance et les incivilités les plus brutales remplacent la loi républicaine : c’est, désormais, la loi du plus fort qui règne en maître. Il y aurait en France, d’après les chiffres (2014) du Ministère de la Ville, plus de 750 « zones urbaines sensibles »…
Abandonnées par nos gouvernants depuis belle lurette, par un déni flagrant des problèmes, par laxisme et par lâcheté, ces zones sont, dorénavant, gérées dans la violence par tous ceux qui détestent la France. Beaucoup de ceux-là, bien que Français depuis trois ou quatre générations, sont binationaux… d’autres, étrangers, n’ont qu’une carte de séjour… certains sont clandestins… mais tous, plus ou moins, sont des délinquants multirécidivistes. Voisins, cousins ou frères, complices et complémentaires, ils fusionnent allègrement, sans aucun état d’âme, pour unir leurs haines contre un pays, qui, pour eux, n’est devenu qu’un réceptacle dans lequel ils peuvent déverser leurs innombrables frustrations personnelles, obscures et confuses. En affichant une éternelle insatisfaction chronique, ils répètent de façon arrogante, en évoquant la parcelle qu’ils occupent : « on est chez nous !« , en voulant signifier, probablement, que chez eux ce n’est plus la France, puisque la République n’a plus le monopole de l’encadrement citoyen et que la suppression de la police de proximité leur laisse toute latitude. La plupart du temps, ils essayent de maquiller leur territoire aux couleurs folkloriques d’un vague pays d’origine, qu’ils fantasment et qu’ils ne connaissent, généralement, que de nom.
Pourtant, certains de ces territoires perdus, cités ou banlieues, ont connu leurs heures de gloire : à l’origine, ils devaient être d’heureux laboratoires d’expériences sociétales et architecturales (Ex : la cité de la Grande Borne à Grigny, construite, fin des années soixante, par l’architecte Émile Aillaud) où tout était pensé pour le bien-être et l’épanouissement des habitants : confort maximum, commerces et administrations de proximité, écoles et crèches, rien ne manquait… Dans le même temps, beaucoup de quartiers populaires, dans la plupart des autres grandes villes du pays, ressemblaient, encore, à d’agréables petits villages où la douceur de vivre et la mixité sociale – pas imposée – n’étaient pas de vains mots… Mais tous ces espaces, aujourd’hui considérablement dégradés, sont pour les populations qui subissent et qui n’ont pas les moyens d’aller vivre ailleurs, et où, finalement, l’enfermement s’accepte, faute de mieux.
En laissant prospérer ces zones de non-droit, par crainte de stigmatiser des populations entières en désignant les plus extrémistes ou par angélisme, les gouvernements successifs ont pris une très lourde responsabilité. Et leurs lâches incapacités à faire régner l’ordre et la justice, quelles qu’en soient les raisons, sont impardonnables, car ils ont rendu la situation ingérable. Maintenant, la reconquête de ces territoires devra, obligatoirement, passer par une phase de dures contraintes administratives et une infaillible tolérance zéro envers tous les délinquants, petits et grands, qui ont fait main basse sur ces enclaves républicaines.
Claude PICARD
Médias Presse Info
banlieue -… qui ne sont pas perdus pour tout le monde ! Voyous et islamistes (radicaux ou pas) y font leur beurre et poussent comme des champignons grâce à un terreau fertile composé d’une concentration excessive de travailleurs pauvres et de chômeurs endémiques, d’un entassement de populations interlopes et d’immigrations diverses. Les violences urbaines, les règlements de comptes, les viols, les trafics d’armes et de drogues, l’islamisme radical, l’antisémitisme, la haine des « blancs », la haine de la France et les sentiments « anti-français », y sont monnaies courantes. Ces territoires sont devenus de véritables cloaques, zones de non-droit, où la délinquance et les incivilités les plus brutales remplacent la loi républicaine : c’est, désormais, la loi du plus fort qui règne en maître. Il y aurait en France, d’après les chiffres (2014) du Ministère de la Ville, plus de 750 « zones urbaines sensibles »…
Abandonnées par nos gouvernants depuis belle lurette, par un déni flagrant des problèmes, par laxisme et par lâcheté, ces zones sont, dorénavant, gérées dans la violence par tous ceux qui détestent la France. Beaucoup de ceux-là, bien que Français depuis trois ou quatre générations, sont binationaux… d’autres, étrangers, n’ont qu’une carte de séjour… certains sont clandestins… mais tous, plus ou moins, sont des délinquants multirécidivistes. Voisins, cousins ou frères, complices et complémentaires, ils fusionnent allègrement, sans aucun état d’âme, pour unir leurs haines contre un pays, qui, pour eux, n’est devenu qu’un réceptacle dans lequel ils peuvent déverser leurs innombrables frustrations personnelles, obscures et confuses. En affichant une éternelle insatisfaction chronique, ils répètent de façon arrogante, en évoquant la parcelle qu’ils occupent : « on est chez nous !« , en voulant signifier, probablement, que chez eux ce n’est plus la France, puisque la République n’a plus le monopole de l’encadrement citoyen et que la suppression de la police de proximité leur laisse toute latitude. La plupart du temps, ils essayent de maquiller leur territoire aux couleurs folkloriques d’un vague pays d’origine, qu’ils fantasment et qu’ils ne connaissent, généralement, que de nom.
Pourtant, certains de ces territoires perdus, cités ou banlieues, ont connu leurs heures de gloire : à l’origine, ils devaient être d’heureux laboratoires d’expériences sociétales et architecturales (Ex : la cité de la Grande Borne à Grigny, construite, fin des années soixante, par l’architecte Émile Aillaud) où tout était pensé pour le bien-être et l’épanouissement des habitants : confort maximum, commerces et administrations de proximité, écoles et crèches, rien ne manquait… Dans le même temps, beaucoup de quartiers populaires, dans la plupart des autres grandes villes du pays, ressemblaient, encore, à d’agréables petits villages où la douceur de vivre et la mixité sociale – pas imposée – n’étaient pas de vains mots… Mais tous ces espaces, aujourd’hui considérablement dégradés, sont pour les populations qui subissent et qui n’ont pas les moyens d’aller vivre ailleurs, et où, finalement, l’enfermement s’accepte, faute de mieux.
En laissant prospérer ces zones de non-droit, par crainte de stigmatiser des populations entières en désignant les plus extrémistes ou par angélisme, les gouvernements successifs ont pris une très lourde responsabilité. Et leurs lâches incapacités à faire régner l’ordre et la justice, quelles qu’en soient les raisons, sont impardonnables, car ils ont rendu la situation ingérable. Maintenant, la reconquête de ces territoires devra, obligatoirement, passer par une phase de dures contraintes administratives et une infaillible tolérance zéro envers tous les délinquants, petits et grands, qui ont fait main basse sur ces enclaves républicaines.
Claude PICARD
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MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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