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Existe-t-il des références anciennes à Jésus en dehors de la Bible et des croyants?

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Existe-t-il des références anciennes à Jésus en dehors de la Bible et des croyants? Empty Existe-t-il des références anciennes à Jésus en dehors de la Bible et des croyants?

Message par Gilles Dim 14 Juin 2009 - 12:58

Existe-t-il des références anciennes à Jésus en dehors de la Bible et des croyants?
par Gilles Bernier, 2006-04-01


Les opposants à l'historicité (réalité historique) de Jésus-Christ ont souvent nié l'authenticité des évangiles et des épîtres, malgré la grande quantité de manuscrits ou fragments anciens du Nouveau Testament. Existe-t-il des témoignages anciens de son existence réelle, en dehors de ceux des disciples de Jésus?
Sylvain Jean Gabriel Sanchez, historien spécialisé en Histoire ancienne et en antiquités classiques, et aussi auteur, nous cite quelques exemples dans un magazine pulié par la Société Biblique de Genève. Il affirme : «l'existence historique de Jésus est irréfutable»1. Il mentionne ensuite 4 sources écrites anciennes référant au Jésus qui nous intéresse.
L'historien Juif, Flavius Josèphe
L'historien Juif, Flavius Josèphe, mort en l'an 100, rapporte le martyre de Jacques, «frère de Jésus, dit le Christ». Nous n'aborderons pas le débat ici, à savoir si Jacques est le frère littéral de Jésus ou un frère au sens possible de proche parent (ex. cousin). Néanmoins, ce dit «frère de Jésus, dit le Christ» fut, selon l'historien juif du premier siècle, «condamné à mort par le tribunal juif (...) (cf. Antiquités juives XX, 197-203)»2 Selon le spécialiste, le témoignage écrit date de 93-94 et les critiques reconnaissent l'authenticité du livre XX où elle est répertoriée.
L'auteur nous présente ensuite 3 témoignages romains, en les personnes de Pline le Jeune, Tacite et Suétone.
Pline le Jeune
Pline le Jeune, préfet d'Asie Mineure, a informé Rome, aux environs de l'an 112, concernant des mesures prises contre les disciples de Jésus «qui chantent entre eux un hymne à Christ comme à un dieu»3.
L'historien Tacite
Vers 116, l'historien Tacite fait référence à la «détestable superstition (...) au nom d'un Christ que, sous le principat de Tibère, le procurateur Pilate avait fait livrer au supplice»4.
L'historien Suétone
Enfin vers 120, l'historien latin Suétone «parle du Christ comme d'un personnage séditieux»5, 6.
Conclusion
À travers ces 4 exemples en dehors des premiers disciples de Jésus et des églises, nous sommes à même de voir que son existence historique est attestée.
(Fin de la partie "scientifique")
Réflexion : Jésus ne laisse personne indifférent. En Amérique du Nord, par exemple en milieu de travail ou dans les écoles, vous pouvez parler de yoga (discipline initiatique philosophico-religieuse d'origine hindoue, banalisée sous l'habile présentation occidentale de "technique"), de Tai Chi (discipline du taoïsme) ou des divers horoscopes (manifestions de l'animisme), d'Énergie cosmique et pratiquement personne ne s'en offusquera. Vous pourrez probablement en parler pendant 5 à 10 minutes et les gens vous trouveront "cool" (agréable et à la page).
Mais prononcez juste pour voir, le nom de Jésus, et dans la majorité des milieux de travail, les respirations cesseront pendant une ou deux secondes. On tentera de localiser d'où vient le mot-scandale. On pourra me contredire avec mille arguments; je parle par expérience vécue et non par concept idéaliste : Jésus est le Nom qui dérange, comme l'a justement exprimé Franklin Graham (fils de Billy Graham) dans son livre The Name (que je n'ai pas lu, en passant, mais dont j'ai lu un article de présentation écrit par l'auteur).
En réalité, la laïcité nord-américaine est très sélective et ne sait même pas reconnaître les disciplines ou manifestations religieuses en dehors de quelques pratiques non voilées (qui ne se cachent pas). Au Québec, un nombre croissant d'écoles publiques dites laïques, ont commencé, ou songent à intégrer les rites orientaux en les présentant comme de simples "techniques". On s'offusque à la référence à une prière théiste dans un conseil municipal (cas à l'étude à Laval au Québec), mais on applaudit à l'introduction des rites initiatiques orientaux chez des enfants des écoles publiques (Enjeux, SRC, mars 2006). Ainsi, les références positives à une foi chrétienne vivante sont évacuées des cours et des curriculums enseignés, incluant les livres et manuels scolaires (en dehors d'un bref sursis pour l'enseignement moral ou religieux catholique et protestant). À l'inverse, les rites orientaux adaptés à l'occident ont la porte grande ouverte (peut-être par les directeurs et enseignants qui y sont favorables?) et on les voit non seulement dans les livres et manuels scolaires, mais selon un récent reportage de l'émission Enjeux (mars 2006), même des écoles dites déconfessionalisées et donc "laïques" commencent maintenant à les intégrer. Les mots-clés utilisés pour masquer l'initiation aux cultes orientaux sont "technique", "relaxation", "simplicité" et d'autres semblables.
Alors, je vous en prie, cessons de banaliser et de dire que la laïcité nord-américaine consiste seulement à séparer la religion de l'État. Sa déviation, par rapport à l'intention première, devient volontairement ou non, un outil par excellence, subtil et sournois, pour stigmatiser les chrétiens ou les croyants monothéistes. Pour la laïcité promue au Québec, être polythéiste, c'est faire preuve d'ouverture, mais être monothéiste, c'est être plus archaïque que quelqu'un qui adore une pierre ou tire de l'énergie d'un arbre serré entre ses bras. Et ce n'est pas du sarcasme, mais la tendance actuelle.
Mais, cette réalité pseudo-laïque fait l'objet d'un autre article.
Pensées: Pourquoi le nom de Jésus dérange-t-il autant?
Après la crucifixion de Jésus et sa résurrection:
<BLOCKQUOTE>Ils [prêtres du judaïsme, commandant du Temple et parti des Sadducéens] leur ordonnèrent de sortir du sanhédrin, et ils délibérèrent entre eux, disant, Que ferons-nous à ces hommes?
(...)
Mais, afin que la chose ne se répande pas davantage parmi le peuple, défendons-leur avec menaces de parler désormais à qui que ce soit en ce nom-là. Et les ayant appelés, ils leur défendirent absolument de parler et d’enseigner au nom de Jésus (extrait d'Actes 4.15-18). </BLOCKQUOTE>Un moment des dernières heures de Jésus avant la crucifixion:
<BLOCKQUOTE>Les principaux sacrificateurs et les scribes étaient là, et l’accusaient [Jésus] avec violence. Hérode, avec ses gardes, le traita avec mépris; et, après s’être moqué de lui et l’avoir revêtu d’un habit éclatant, il le renvoya à Pilate. Ce jour même, Pilate et Hérode devinrent amis, d’ennemis qu’ils étaient auparavant (Luc 23.10-12). </BLOCKQUOTE>Les disciples face à la menace:
<BLOCKQUOTE>«Après avoir été relâchés, ils allèrent vers les leurs, et racontèrent tout ce que les principaux sacrificateurs et les anciens leur avaient dit. Lorsqu’ils l’eurent entendu, ils élevèrent à Dieu la voix tous ensemble
(...)
c’est toi qui as dit par le Saint-Esprit, par la bouche de notre père, ton serviteur David [des siècles plus tôt; Psaume 2.1-2], Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Et ces vaines pensées parmi les peuples? Les rois de la terre se sont soulevés, Et les princes se sont ligués Contre le Seigneur et contre son Oint. En effet, contre ton saint serviteur Jésus, que tu as oint, Hérode et Ponce Pilate se sont ligués dans cette ville avec les nations et avec les peuples d’Israël, pour faire tout ce que ta main et ton conseil avaient arrêté d’avance. Et maintenant, Seigneur, vois leurs menaces, et donne à tes serviteurs d’annoncer ta parole avec une pleine assurance, en étendant ta main, pour qu’il se fasse des guérisons, des miracles et des prodiges, par le nom de ton saint serviteur Jésus» (extrait d'Actes 4.23-30). </BLOCKQUOTE>Jésus savait qu'il serait rejeté, mais il a quand même accompli sa mission jusqu'à la croix, sachant qu'il ya aurait toutefois une suite :
<BLOCKQUOTE>Mais, jetant les regards sur eux, Jésus dit, Que signifie donc ce qui est écrit,
La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient
Est devenue la principale de l’angle? (Luc 20.17) </BLOCKQUOTE>

Or, si la pierre "Jésus" est devenue la pierre principale de l'édifice spirituel que Dieu construit, c'est qu'elle est encore là, bien que la majorité ne le voit pas en ce moment...

Source: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

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Message par Francesco Lun 15 Juin 2009 - 0:32

Article fort intéressant Gilles......

Concernant le Christ,je pense que les gens qui ne l'ont pas rencontrés ne peuvent comprendre l'importance du personnage car la Foi est une grace importante qui ouvre notre regard sur l'autre monde,l'autre réalité et,sans celle ci,il est impossible de comprendre de si grandes choses

Mais , si les gens voyaient Jésus et le connaissaient tel qu'il est,tous en deviendraient follement amoureux car Jésus est la Beauté

Ca reviens un peu au sens de l'allégorie de la caverne de Platton.......si tu n'as pas l'expérience de l'autre réalité,tu ne peu y croire....


Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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Message par Gilles Mar 30 Juin 2009 - 13:07

Existe-t-il des références anciennes à Jésus en dehors de la Bible et des croyants? Ascension




Jésus a-t-il vraiment existé ?

Que disent l’histoire, l’archéologie et les manuscrits sur l’existence historique du Christ ?


Jésus a-t-il vraiment existé ? Voilà une question que pratiquement personne ne s’est sérieusement posée jusqu’à la fin du dix-huitième siècle, pas même les ennemis les plus virulents de l’Église. Comment mettre en doute l’existence historique de celui qui a rompu en deux le calendrier -autrefois chrétien - aujourd’hui universel ? Comment affirmer que celui sur lequel on a écrit le plus - le meilleur comme le pire - au cours des siècles, n’était qu’une illusion ? (Selon la Bibliothèque du Congrès de Washington, Jésus arrive à la première place, loin devant Napoléon !)

Cependant, cette question est opportune parce qu’elle permet de clarifier une chose fondamentale : le christianisme n’est pas une doctrine, ce n’est pas un ensemble de règles morales pour aider les hommes à "se conduire bien". C’est l’histoire d’un fait, d’un événement qui est réellement arrivé et qui continue encore aujourd’hui.

Une histoire documentée, parfois dans les détails, par des sources de toutes sortes : des récits des plus fidèles disciples de Jésus ou des toutes premières générations de chrétiens, des témoignages des premières communautés très ferventes et disposées à mourir pour défendre leur foi... jusqu’aux premières campagnes de calomnies contre le christianisme. On dispose même de quelques documentations écrites par des historiens romains, peu suspects d’adhérer à la nouvelle religion : tous s’accordent pour dire que Jésus a vraiment existé. En les mettant ensemble, on peut même reconstruire un « puzzle » qui nous permet d’avoir sur Jésus une connaissance historique infiniment supérieure à n’importe quel autre personnage de cette époque...
La Bible et les Evangiles, des sources sûres ?



Tout le monde connaît ou a entendu parler d’Homère, de Platon et d’Aristote et de leurs oeuvres littéraires. Personne ne doute qu’ils aient existé, comme personne ne doute que leurs écrits datent de l’Antiquité. Ces auteurs sont ceux dont on a conservé le plus grand nombre de manuscrits : à peine quelques dizaines de manuscrits, en majorité d’époque beaucoup plus tardive, du X au XV siècle après Jésus Christ.

De la Bible, nous conservons en revanche presque 6.000 manuscrits dans les langues originales (Hébreu et le Grec) et environ 40.000 manuscrits en versions très anciennes (copte, latin, arménien, araméen et autres langues).

Et du Nouveau Testament, nous connaissons 4.680 textes anciens, dont une soixantaine de papyrus.

L’histoire racontée dans la Bible, et surtout celle qui concerne Jésus, est sûrement l’une des plus documentées de toute l’Antiquité. En étudiant la concordance des quatre Evangiles, on peut arriver à suivre, parfois au mois et au jour près, les événements de la vie de Jésus.

Et ce qui est extraordinaire, c’est de voir que les quatre textes ont été écrits par quatre personnalités complètement différentes : un ancien collecteur d’impôts converti par Jésus lui-même (Matthieu), le secrétaire de Pierre (Marc), un médecin soucieux de rassembler toutes les informations sur les paroles, faits et gestes de Jésus (Luc) et un disciple mystique, « celui que Jésus aimait », qui ajoute au récit une première interprétation théologique (Jean). Généralement, plus on rassemble de témoignages, plus notre propre opinion devient objective. C’est cela qui arrive avec les Évangiles. Les quatre Évangiles nous donnent ainsi quatre regards sur Jésus.
Que disent les historiens non chrétiens sur Jésus ?



Eux aussi confirment l’existence de Jésus.

Flavius Josèphe, le plus important historien Hébreu de l’époque (né à Jérusalem en 37 et mort à Rome vers l’an 100), en parle explicitement. Dans ses Antiquités Judaïques, (écrites vraisemblablement en l’an 93 ou 94) il parle de "Jésus, celui que l’on appelle Christ" ainsi : "À cette époque, vivait un sage du nom de Jésus. Sa conduite était bonne, et il était estimé pour sa vertu. Nombreux furent ceux qui, entre les habitants de la Judée et les autres nations, devinrent ses disciples. Pilate le condamna à être crucifié et à mourir. Mais ceux qui étaient devenus ses disciples n’arrêtèrent pas de suivre son enseignement. Ils racontèrent qu’il leur était apparu trois jours après sa crucifixion et qu’il était vivant. C’était peut-être le Messie dont les prophètes avaient raconté tant de merveilles." (Antiquités XVIII, 3, 3)

Les grands historiens de l’empire romain dont on a conservé les œuvres parlent aussi de Jésus :

Pline le Jeune, historien et proconsul de Bithynie, écrit en l’an 112 à l’empereur Trajan que "les chrétiens se réunissent un jour déterminé avant l’aube et entonnent un hymne au Christ comme à un Dieu". (Lettre X, 96)

Tacite, retraçant (en 112 ap. JC) les cruelles répressions de Néron contre les chrétiens, ajoute « L’auteur de ce nom (« chrétien ») avait été mis à mort sous l’empereur Tibère, par ordre du procurateur Ponce Pilate ». Annales XV, 44

Suétone, vers l’an 120, dans un ouvrage d’histoire sur la vie des empereurs romains, dit que « L’empereur chassa les juifs qui, sous l’instigation de Chrest (Christ, prononcé en grec), sont des causes continuelles de désordre ». (Vita Claudii 25, 4).
Et que dit l’archéologie ?



Il y a une correspondance parfaite, rigoureuse et parfois méticuleuse entre les descriptions que l’on trouve dans les Évangiles et toutes les connaissances que nous avons des lieux, de l’histoire et des traditions de la culture hébraïque de l’époque.

On connaît pratiquement tous les endroits où Jésus a vécu. Depuis Bethléem, où Jésus est né, jusqu’à Jérusalem, où il est mort, en passant par toutes les villes où il a prêché la bonne nouvelle. En fait, le seul endroit qui avait disparu de nos cartes était Nazareth, la ville où Jésus a grandi. Les premiers à en faire mention sont les évangélistes. Dans l’Ancien Testament elle n’est jamais citée. Certains ont même affirmé que cette ville n’avait jamais existé, que c’était un endroit imaginaire, symbolique. Mais en 1962, quelques archéologues israéliens de l’université de Jérusalem, entre les ruines de Césarée Maritime, en Judée, ont trouvé une pierre tombale de marbre gris du troisième siècle avant J.C. Et sur cette pierre tombale était gravé le nom d’une localité nommée « Nazareth ».

Dans ces mêmes ruines, un an auparavant, une autre pierre tombale avait été trouvée, sur laquelle était gravé le nom d’un certain Pilate, préfet romain sous Tibère...

En 1947, on a découvert à Qumran sur les bords de la Mer Morte, un ensemble de onze petites grottes dans lesquelles avaient été déposés (sans doute par la communauté essénienne qui vivait là) quelques six-cents rouleaux de parchemins extrêmement anciens. Malgré leur âge, la plupart des fragments a pu être identifiée : on a ainsi retrouvé des textes de l’Exode, d’Isaïe, de Jérémie, etc. Mais il y avait un fragment, le « 7Q5 », qui ne coïncidait avec aucun texte de l’Ancien Testament. Or, en 1972, le père José O’Callaghan, jésuite espagnol, papyrologue et professeur à l’Université Grégorienne de Rome, a découvert que ce fragment coïncidait avec un passage de l’évangile de Saint Marc ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]). Ce texte avait sans doute été envoyé par une communauté chrétienne de Rome, comme l’indique une inscription en hébreu sur l’une des parois de la grotte. Connaissant le destin tragique du peuple juif, envahi, massacré et dispersé par les romains entre 68 et 70, les fragments de Qumran doivent être antérieurs à cette date. Le paléographe anglais Roberts, de l’Université d’Oxford, pense même que le fragment pourrait être antérieur à l’an 50, c’est-à-dire vingt ans seulement après la mort de Jésus.

Comme conclusion, citons F.F. Bruce, professeur à l’université de Manchester : « L’historicité du Christ est un axiome aussi sûr, pour un historien sans préjugés, que l’historicité de Jules César. Ce ne sont pas les historiens qui propagent les théories du mythe du Christ.

Source: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]catholique.org

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Message par Francesco Mer 1 Juil 2009 - 2:40

Il y a les preuves historiques mais quiconque a réelement et profondément rencontré le Christ n'a plus besoin de ces certitudes.Jésus peut donner des preuves irréfutables de son existance dans la priere.....[b] mais la,nous parlons de foi......


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