POURQUOI LE GRAND MONARQUE ?
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POURQUOI LE GRAND MONARQUE ?
Un Roi pourquoi faire ? Pourqupoi les Royalistes veulent-ils un Roi ? Pour supprimer le caractère démagogique et centré sur l’élection présidentielle de la politique Française, pour casser les manigances des ambitieux, pour que l’autorité morale, l’arbitrage national, la représentation du pays, l’incarnation charnelle de la Patrie et la garantie de la continuité de l’Etat soit hors du jeu des calculs, des ambitions et des trahisons de la politique ordinaire. ET POUR ASSURER A LA FRANCE LE MAINTIENT DE SON IDENTITE CHRETIENNE ET DE SA VOCATION CATHOLIQUE.
Le 13 septembre 1791, Constitution votée par la Constituante le 3 septembre précédent : Exit la titulature de roi par la grâce de Dieu, titulature remplaçée par celle de Roi des Français. (Article 2 du CHAPITRE II – DE LA ROYAUTÉ, DE LA RÉGENCE ET DES MINISTRES du TITRE III – Des pouvoirs publics) .
Dés lors Dieu , respectant le choix des Français s’est toujours abstenu d’intervenir pour leur rendre le Roi , Lieutenant de Dieu, dont ils avaient trés clairement fait savoir qu’ils ne voulaient plus. Condés et Contis ( des cadets des Bourbons) disparurent au début du XIX é me siècle, Le changement de dynastie en 1830 éloigna encore un peu plus les espoirs des Bourbons Français. Pas de message du Ciel lors de l’affaire du Drapeau Blanc (5 juillet 1871) et pas de descendance non plus à ce même Henri V. Et puis ce fut la mort à tout le moins suspecte du prince Alphonse et la naissance d’un » dauphin » handicapé chez les Orléans. Et depuis Dieu se tient toujours soigneusement autant éloigné , tant du trône vacant , que de ceux qui pourraient avoir vocation à l’occuper , « Louis XX » ainé visibles des Bourbons compris.
Les Constats
Constat n° 1 :
Depuis 226 ans, la France n’a pas été capable de remettre son roi sur le trône d’une façon pérenne. Il y eut peu de tentatives, et TOUTES ont échoué à chaque fois.
Constat n° 2 :
Dans leurs diverses méthodes d’action de restauration de la Royauté, les Royalistes Français n’ont eu jusqu’à présent aucune efficacité (ce qui produit l’effet attendu). Jugeant l’arbre à ses fruits, on ne peut qu’en déduire un très sérieux problème de diagnostic, puis de stratégie, à la base du résultat inexistant : LE ROI N'EST TOUJOURS PAS REMONTE DSUR LE TRONE DE FRANCE !
Constat n° 3 :
Après le petit nombre de tentatives ayant eu lieu (Restauration 1814-1830, Chambord 1871-1873), et à partir de cette dernière date, plus aucune autre entreprise sérieuse de restauration n’a vu le jour pendant ces 145 ans jusqu’à aujourd’hui. Il va de soi que le surgissement du problème de succession, qui advint alors, rajoute encore la désunion au désarroi et à la confusion.
Constat n° 4 :
Survient Maurras, « Le Docteur monarchique ». Excellent travail d’analyse, de synthèse et de rationalisation dans l’explication de l’institution Royale à l’usage des Français. Mais hélas agnostique, il délaisse et omet toute la prépondérance de la réalité du plan spirituel de cette institution.
Constat n° 5 :
De ce fait, les Royalistes perdent de vue progressivement et totalement les contraintes des fondements spirituels de l’institution Royale. Par conséquent, ils ne prennent pas dans son ensemble le problème de la restauration en intégrant tous ses paramètres et font une erreur de diagnostic. Négligeant ces conditions initiales majeures, ils en déduisent des stratégies partielles, défectueuses et inappropriées.
Les Questions
Question n° 1 :
Les Royalistes veulent-ils vraiment voir se réaliser le retour du roi sur le trône de France ?
C’est à se le demander, et je n’en suis pas si sûr que ça !
Depuis 1873, leur objectif n’est plus la restauration de l’institution Royale, et leurs actes politiques ne se partagent plus qu’entre commémorations, réunions de formation, conférences et colloques ; mais chacun de leur côté (désunion oblige), et surtout ne pas faire de vagues, éviter les conflits avec le pouvoir en place, et courir après le « moindre mal » par le vote raisonnable et le compromis nationaliste...
Question n° 2 :
Et s’ils le veulent, à quelle échéance ?
Alors là, c’est le grand mystère ! Ils n’ont aucun objectif du tout !
Ils ne peuvent en avoir... ils se savent non seulement « verrouillés » par l’adversaire, mais désunis entre eux.
Question n° 3 :
Quelle erreur d’appréciation font les royalistes ?
C’est plutôt une faute qu’une erreur ! Une faute irrémédiable de diagnostic commise par les royalistes depuis 226 ans, faute qui « babélise » le mouvement Royaliste et en paralyse toute velléité de processus de restauration royale.
C’est une faute extrêmement grave de préséance dans l’attribution de la possession de l’autorité royale : En vue du retour du Roi, les Royalistes s’adressent d’abord aux princes de France au lieu de s’adresser au Roi de France.
Question n° 4 :
Quis ut Rex ? Qui comme Roi ?
Pour répondre sans détour ni hésitation, il faut consulter Sainte Jeanne d’Arc.
Hélas, la plupart des royalistes méconnaissent ou sous-estiment totalement la profonde réalité politique de la leçon de Jeanne la Pucelle.
Cette réalité, elle l’a répétée dans trois circonstances bien déterminées, et bien ordonnées dans le cours du temps de sa mission, qui deviennent trois rappels pour notre époque. La réalité attestée par Jeanne dans ces trois messages est claire, catégorique... ET TOUJOURS VALIDE !
Question n° 5 :
Quelle sont les deux dates les plus funestes de l’Histoire de France ?
C’est le 4 et le 14 septembre 1791 ! Le jour de la présentation de la 1ère Constitution au roi Louis XVI, et le jour de sa signature pour validation. Ce 14 septembre 1791, dans ce document officiel, la Royauté de Droit divin est abolie (Chapitre 2 / Article 3). A l’antique constitution de la fondation de la France : « Vive la nation des Francs qui a Dieu pour Fondateur » est substituée la nouvelle constitution où « Il n’y a point en France d’autorité supérieure à celle de la Loi. Le roi ne règne que par elle ». Ce jour-là,
1 . D’abord, à Baudricourt (représentant les élites et les administrateurs du pays) :
« Le royaume n’appartient pas au dauphin, il appartient à mon Seigneur. Cependant mon Seigneur veut que le dauphin devienne roi et qu’il tienne le royaume en commende [c’est-à-dire en administration temporaire]. Il sera roi malgré ses ennemis et moi je le conduirai à son sacre. - Et quel est ton seigneur ?
- Le Roi du Ciel. »
2. Ensuite au Dauphin lui-même :
« J’ai nom Jehanne la Pucelle et vous mande par moi le Roi des Cieux que vous serez sacré et couronné à Reims et que vous serez Lieutenant du Roi des Cieux Qui est Roi de France ! »
. Enfin au Roi (« Gentil Roi » au lieu de « Gentil dauphin »), devant témoins : les seigneurs, la Cour, et les juristes : C’est la Triple Donation du Royaume ! Pour renouveler le Pacte conclu à Tolbiac et aux fonts baptismaux de Reims. « Notaires écrivez : Le 21 juin 1429 à 4h du soir, le roi Charles VII donne son royaume à Jeanne. »
« Écrivez encore : Jeanne donne à son tour la France à Jésus-Christ. »
« Écrivez : Nos Seigneurs (dit-elle d’une voix forte), à présent c’est Jésus-Christ Qui parle : Moi, Seigneur Éternel, Je donne la France au roi Charles ».
Cette triple donation a été faite sur l’ordre exprès de Dieu, via ses voix, par un acte officiel, solennel, public, authentique avec toutes les formes légales et juridiques.
Le Christ est déchu, et juridiquement expulsé comme Roi de France. Il reste seul vrai Roi, mais quitte donc le trône et laisse Son Lieutenant SEUL, sans plus aucune protection de son suzerain ! On connaît la suite : La France refusant l’Être... n’est plus ! Et tout se désagrège jusqu’à nos jours.
Les Actions
ACTION n° 1 :
Pour le retour du Roi de France... L’action à faire.
Lorsqu’on expulse quelqu’un, il va de soi que cette personne ne soit pas encline à revenir d’elle-même vers ceux qui l’on chassée, et qu’elle attende d’être invitée par eux à le faire. Et pour vérifier s’ils reconnaissent leurs torts et s’ils sont de bonne foi dans leur demande, elle les éprouve d’abord par le silence... Elle se fait prier !
Cela s’applique aussi au Roi bannis, d’autant plus qu’Il est « le Roi du Ciel ». Il sait déjà se faire prier comme Dieu, et ne manquera pas de se faire prier pour revenir en France comme Roi... A plus forte raison qu’il y a crime de lèse-majesté à Son égard (d’où Son attente d’un nombre très important de prières).
Ainsi, « le Roi du Ciel Qui est Roi de France » ne bougera pas, ne brisera pas les scellés qu’Il a apposés Lui-même sur le Trône de France tant qu’Il n’aura pas reçu de nous ce nombre de prières déterminées par Lui.
C’est la seule et unique solution !
C’est la seule et unique stratégie à adopter et la seule action efficace à faire !
Ipso facto, un corollaire s’impose :
Soit le nombre de personnes qui Le prient de revenir est infime... et alors nous pouvons encore attendre Son retour dans, peut-être, 200 ou 300 ans ; soit le nombre de personnes est très important et le retour du Roi peut être extrêmement rapide !
ACTION n° 2 :
Pour le retour du Roi de France... La disposition de cœur.
Là-encore, il n’y en a qu’une seule et unique... Et elle est très simple !
Elle demande seulement ce que chaque Français peut mettre à la disposition du Roi, devant la situation létale de la France : un peu d’humilité, un peu de courage, un peu de confiance (inverse de la défiance qui aujourd’hui prévaut, partout et en tout).
Si l’action essentielle est de prier le Roi de revenir, et si la confiance qui implique l’Espérance est requise, il faut procéder dans le « bon lieu » !
ACTION n° 3 :
Pour le retour du Roi de France... Le bon lieu.
Quel sanctuaire unique en France répond parfaitement aux deux critères précédents ?
PARAY-LE-MONIAL !
1925: Sept ans après avoir renouvelé les demandes de Paray-le-Monial par l’intermédiaire de Claire Ferchaud, au Président Poincaré, qui les a rejeté avec légèreté, le Christ-Roi apparait de nouveau à Claire Ferchaud ET LUI DIT :
-Quand je verrai ces lieux que j’ai spécialement choisi pour répandre mon Amour miséricordieux sur le monde, les foules AGENOUX et DEMENDER PARDON, mon Père fera grâce et mon Coeur apparaîtra dans le triomphe de la Paix sur une France régénérée!
Pour obtenir plus rapidement le ROI DU SACRE-COEUR qui régénèrera la France EN SON NOM, ne faudrait-il pas OBEIR? Ne dervions nous pas aller EN FOULE prier A GENOUX pour DEMENDER PARDON au Sacré-Coeur ?
-Mais priez mes enfants, priez! Mon Fils se laisse toucher (N.D. de Pontmain) !
ACTION n° 4 :
Pour le retour du Roi de France... La procédure.
Montesquieu disait : « La servitude commence toujours par le sommeil. » Aussi, là-encore, la procédure est toute simple :
. Se réveiller, se forcer, se bouger ! Et faire la démarche du voyage et du pèlerinage à Pontmain.
. Là-bas, reconnaître nos torts et faire amende honorable au vrai Roi de France, c’est-à-dire Lui demander pardon pour ce que nos pères ont fait en Le bannissant de France, mais aussi pardon de ne pas vouloir, ou de douter, de Sa réelle Royauté sur notre pays.
C’est une demande de pardon formelle, explicite et publique qui est indispensable, faite par toute l’assemblée présente, qui représente tous les Français en attendant qu’ils viennent en foule et en continu. J’en suis sûr, cela arrivera dans peu de temps. Ce jour-là Pontmain renouvellera Verdun !
Mais c’est une Supplique, et donc :
. Supplier le Père qu’il nous redonne Son Fils, le Roi de France que nous avons chassé en 1791.
. Supplier le Fils qu’il nous donne Son Lieutenant temporel qu’Il s’est choisi et qu’Il VEUT pour nous. . Demander au Saint-Esprit le discernement pour le reconnaître à coup sûr quand ce Lieutenant nous sera donné.
.Agir aussi, DANS L'ATTENTE DU PRINCE, SERVIR LE PRINCIPE.
De quel principe parlons-nous ? Du PRINCIPE ROYAL : LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMENANT DE DIEU.
-C’est à la Légitimité Catholique et Royale qu’il faut revenir ! Ce n’est pas les hommes, aussi éminents soient-ils qui sauvent un pays, ce sont les institutions (Comte Maurice d’Andigné).
Qu’est-ce que la Légitimité ?
-La Légitimité est l’application du droit Royal Français tel qu’il est défini dans la théorie statutaire et les Lois Fondamentales du Royaume, écrit l’historien du droit Guy Augé (Guy Augé, « Du légitimisme à la légitimité », in La Légitimité, N° 2, janvier 1975).
Les LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRANCE, charte coutumière de notre Pays INSPIREE PAR DIEU (Testament de Saint-Remy, Sainte Ampoule, Ecu celeste fleurdelysé, Songe d’Hugues Capet), désignent l’Aîné des Capétiens, DONC L’AINE DES BOURBONS -les autres branches capétiennes étant éteintes en ligne Légitime- SALIQUE, CATHOLIQUE, NAIT FRANCAIS DE NAISSANCE LEGITIME. Le Roi est Légitime parce qu’il est choisi par Dieu à travers les Lois Fondamentales qui ont une origine DIVINE.
Avant d'aborder la question du Prétendant, il faut préciser que la conviction Royaliste Légitimiste est intimement liée à la Foi Catholique. Le Royalisme politique se définit historiquement par le respect des Lois Fondamentales du Royaume de France, notamment la Loi de Catholicité. Clovis devient en 496, le seul Roi Légitime parmi les Rois barbares, du fait de son Baptême et non pas de sa seule force. Le Baptême, la Légitimité dynastique, ne suffisent pas : encore faut-il une politique Légitime, et un pouvoir n'est Légitme que s'il défend la Foi Catholique (Légitimité théologique) et le Bien Commun (Légitimité naturelle), et ainsi seule la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, a possédé historiquement cette double Légitimité. Clovis s'engagea à mettre sa force au service du droit Chrétien et à servir ses sujets Chrétiennement, c'est à dire avec Amour, et ses descendants continuèrent cette politique Catholique et Royale jusqu'en 1789, puis de nouveau de 1814 à 1830 (la Restauration).
NON !!! L’Aîné des Bourbons N’EST PAS SAR LOUIS DE BOURBON-ESPAGNE, DUC D’ANJOU ET DE CADIX, aussi Catholique et charismatique puisse-t-il être : au XIX° siècle fut retrouvée en Inde une branche oubliée mais Légitme des Bourbons : celle des BOURBONS-MONTPENSIER DE BHOPAL. Cette branche vient AVANT celle des Bourbons descendants de Philippe V d’espagne.
Mais AVANT la branche des Bourbons-Montpensiers de Bhopal vient celle des BOURBONS-MONTPENSIER DE LA CROIX : SAR HENRI-LOUIS de Bourbon-Montpensier de Sainte Croix de Valois DE LA CROIX, Duc de Bretagne, de jure HENRI V DE LA CROIX ( comme il y eu un Philippe VI de Valois, la renonciation du Comte de Chambord laissant le titre d’HENRI V encore disponible) né Français et descendent PAR SON PERE du Connétable de Bourbon (le Connétable de Bourbon a mais son fils François Jean Philippe Nicolas de Bourbon-Montpensier à l’abrit chez sa soeur, René de Bourbon, marié au Duc de Lorraine : ce dernier fera croire que le petit Prince est un batard eu d’une cuisinière, il grandira à la cour de Charles Quint), des Princes de Mercoeur, du Masque de Fer (non pas frère jumeau mais cousin aîné en primogéniture et très ressemblant) et du Grand amiral de Valois : c’est LA branche Aînée, lorraino-italienne, OUBLIEE MAIS LEGITIME, des Bourbons.
HENRI V DE LA CROIX descendrait également PAR SA MERE du VRAI Louis XVII (ce n’était pas Naundorff) évadé de l’enfer du Temple. MAIS VOILA : CETTE DOUBLE DESCENDANCE EST CACHEE ! Nous laisserons humblement à Dieu le choix du Roi à venir.
On nous dira que le titre de Fils aîné du Sacré Coeur donné à Louis XIV par N.S. mettrait fin à cette théorie d’une Branche Aînée, oubliée mais Légitime: l’assassinat d’Henri III aurait fait que la Grâce aurait abandonné la Branche Aînée des Bourbons, incarnée à l’époque par le Duc de Mercoeur, pour se poser sur la branche cadette, incarnée par le Bon Roi Henri IV : Dieu voulait peut-être la conversion du Vert Galant, la consécration de la France à Marie, la Révocation de l’Edit de Nantes (1685) et le Catholique Pacte de Famille (1761) entre Bourbons de France, d’Espagne, de Naples et de Parme.
La consécration de la France au Sacré-Coeur n’ayant pas eu lieu, la Grâce Divine semble abandonner également la branche cadette et la Légitimité semble se diluer :
le fils de Louis XIV ne règnera pas, ni celui de Louis XV, ni celui de Louis XVI, Louis XVII, ni celui de Charles X, Louis XIX, ni celui de Louis Philippe (ni celui de Napoléon I°, Napoléon II l’Aiglon, ni celui de Napoléon III) ! Quand au comte de Chambord, il n’aura pas de descendance…
Il est quand même inconcevable qu’une telle succession de drames n’ouvre pas les yeux de ceux qui ne veulent pas s’en remettre à Dieu du point de savoir qui doit être Son Lieutenant sur le trône de France !
QU’EN EST-IL DEVENU DE LA VERITABLE DESCENDANCE ROYALE? A L’HEURE ACTUELLE, NOUS NE LE SAVONS PAS…
Nous nous en remettrons humblement à Dieu pour le choix du Roi à vemnir.
Un Roi n’est en tout cas Légitime que s’il assure le Bien commun de son peuple (Légitimité naturelle) -gérer l’ordre, faire respecter la justice, défendre le peuple contre les ennemis, assurer les conditions de la prospérité du pays- et reconna Dieu comme source d toute autorité et protège donc l’Eglise Catholique par une législation Chrétienne (Légitimité théologique) : Dieu, Famille, Patrie. Notre Royalisme vien aussi de notre patriotisme. Mais histroriquement, seule la Monarchie Capétienne, CATHOLIQUE ET ROYALE, a possédé pleinement cette DOUBLE LEGITIMITE. Et ce jusqu’en 1830.
Le Roi de France devra donc rendre au Divin Christ-Roi la Couronne perdue à le Rue du Bac en Juillet 1830 : INRI annonce HENRI. Alors... HENRI V DE LA CROIX, UN ROI POURQUOI PAS ?
Pour résumer :
Nous avons le diagnostic de l’impuissance Française au retour de son Roi.
Nous avons la stratégie pour ce retour.
Nous avons le lieu d’action de cette stratégie : PARAY-LE-MONIAL.
A Pontmain, nous avons le remède :
« MAIS PRIEZ MES ENFANTS »
A Pontmain, nous avons la certitude et l’échéance :
« DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPSMON FILS SE LAISSE TOUCHER ».
Et puis, DANS L'ATTENTE DU PRINCE, il faut SERVIR LE PRINCIPE.
Le 13 septembre 1791, Constitution votée par la Constituante le 3 septembre précédent : Exit la titulature de roi par la grâce de Dieu, titulature remplaçée par celle de Roi des Français. (Article 2 du CHAPITRE II – DE LA ROYAUTÉ, DE LA RÉGENCE ET DES MINISTRES du TITRE III – Des pouvoirs publics) .
Dés lors Dieu , respectant le choix des Français s’est toujours abstenu d’intervenir pour leur rendre le Roi , Lieutenant de Dieu, dont ils avaient trés clairement fait savoir qu’ils ne voulaient plus. Condés et Contis ( des cadets des Bourbons) disparurent au début du XIX é me siècle, Le changement de dynastie en 1830 éloigna encore un peu plus les espoirs des Bourbons Français. Pas de message du Ciel lors de l’affaire du Drapeau Blanc (5 juillet 1871) et pas de descendance non plus à ce même Henri V. Et puis ce fut la mort à tout le moins suspecte du prince Alphonse et la naissance d’un » dauphin » handicapé chez les Orléans. Et depuis Dieu se tient toujours soigneusement autant éloigné , tant du trône vacant , que de ceux qui pourraient avoir vocation à l’occuper , « Louis XX » ainé visibles des Bourbons compris.
Les Constats
Constat n° 1 :
Depuis 226 ans, la France n’a pas été capable de remettre son roi sur le trône d’une façon pérenne. Il y eut peu de tentatives, et TOUTES ont échoué à chaque fois.
Constat n° 2 :
Dans leurs diverses méthodes d’action de restauration de la Royauté, les Royalistes Français n’ont eu jusqu’à présent aucune efficacité (ce qui produit l’effet attendu). Jugeant l’arbre à ses fruits, on ne peut qu’en déduire un très sérieux problème de diagnostic, puis de stratégie, à la base du résultat inexistant : LE ROI N'EST TOUJOURS PAS REMONTE DSUR LE TRONE DE FRANCE !
Constat n° 3 :
Après le petit nombre de tentatives ayant eu lieu (Restauration 1814-1830, Chambord 1871-1873), et à partir de cette dernière date, plus aucune autre entreprise sérieuse de restauration n’a vu le jour pendant ces 145 ans jusqu’à aujourd’hui. Il va de soi que le surgissement du problème de succession, qui advint alors, rajoute encore la désunion au désarroi et à la confusion.
Constat n° 4 :
Survient Maurras, « Le Docteur monarchique ». Excellent travail d’analyse, de synthèse et de rationalisation dans l’explication de l’institution Royale à l’usage des Français. Mais hélas agnostique, il délaisse et omet toute la prépondérance de la réalité du plan spirituel de cette institution.
Constat n° 5 :
De ce fait, les Royalistes perdent de vue progressivement et totalement les contraintes des fondements spirituels de l’institution Royale. Par conséquent, ils ne prennent pas dans son ensemble le problème de la restauration en intégrant tous ses paramètres et font une erreur de diagnostic. Négligeant ces conditions initiales majeures, ils en déduisent des stratégies partielles, défectueuses et inappropriées.
Les Questions
Question n° 1 :
Les Royalistes veulent-ils vraiment voir se réaliser le retour du roi sur le trône de France ?
C’est à se le demander, et je n’en suis pas si sûr que ça !
Depuis 1873, leur objectif n’est plus la restauration de l’institution Royale, et leurs actes politiques ne se partagent plus qu’entre commémorations, réunions de formation, conférences et colloques ; mais chacun de leur côté (désunion oblige), et surtout ne pas faire de vagues, éviter les conflits avec le pouvoir en place, et courir après le « moindre mal » par le vote raisonnable et le compromis nationaliste...
Question n° 2 :
Et s’ils le veulent, à quelle échéance ?
Alors là, c’est le grand mystère ! Ils n’ont aucun objectif du tout !
Ils ne peuvent en avoir... ils se savent non seulement « verrouillés » par l’adversaire, mais désunis entre eux.
Question n° 3 :
Quelle erreur d’appréciation font les royalistes ?
C’est plutôt une faute qu’une erreur ! Une faute irrémédiable de diagnostic commise par les royalistes depuis 226 ans, faute qui « babélise » le mouvement Royaliste et en paralyse toute velléité de processus de restauration royale.
C’est une faute extrêmement grave de préséance dans l’attribution de la possession de l’autorité royale : En vue du retour du Roi, les Royalistes s’adressent d’abord aux princes de France au lieu de s’adresser au Roi de France.
Question n° 4 :
Quis ut Rex ? Qui comme Roi ?
Pour répondre sans détour ni hésitation, il faut consulter Sainte Jeanne d’Arc.
Hélas, la plupart des royalistes méconnaissent ou sous-estiment totalement la profonde réalité politique de la leçon de Jeanne la Pucelle.
Cette réalité, elle l’a répétée dans trois circonstances bien déterminées, et bien ordonnées dans le cours du temps de sa mission, qui deviennent trois rappels pour notre époque. La réalité attestée par Jeanne dans ces trois messages est claire, catégorique... ET TOUJOURS VALIDE !
Question n° 5 :
Quelle sont les deux dates les plus funestes de l’Histoire de France ?
C’est le 4 et le 14 septembre 1791 ! Le jour de la présentation de la 1ère Constitution au roi Louis XVI, et le jour de sa signature pour validation. Ce 14 septembre 1791, dans ce document officiel, la Royauté de Droit divin est abolie (Chapitre 2 / Article 3). A l’antique constitution de la fondation de la France : « Vive la nation des Francs qui a Dieu pour Fondateur » est substituée la nouvelle constitution où « Il n’y a point en France d’autorité supérieure à celle de la Loi. Le roi ne règne que par elle ». Ce jour-là,
1 . D’abord, à Baudricourt (représentant les élites et les administrateurs du pays) :
« Le royaume n’appartient pas au dauphin, il appartient à mon Seigneur. Cependant mon Seigneur veut que le dauphin devienne roi et qu’il tienne le royaume en commende [c’est-à-dire en administration temporaire]. Il sera roi malgré ses ennemis et moi je le conduirai à son sacre. - Et quel est ton seigneur ?
- Le Roi du Ciel. »
2. Ensuite au Dauphin lui-même :
« J’ai nom Jehanne la Pucelle et vous mande par moi le Roi des Cieux que vous serez sacré et couronné à Reims et que vous serez Lieutenant du Roi des Cieux Qui est Roi de France ! »
. Enfin au Roi (« Gentil Roi » au lieu de « Gentil dauphin »), devant témoins : les seigneurs, la Cour, et les juristes : C’est la Triple Donation du Royaume ! Pour renouveler le Pacte conclu à Tolbiac et aux fonts baptismaux de Reims. « Notaires écrivez : Le 21 juin 1429 à 4h du soir, le roi Charles VII donne son royaume à Jeanne. »
« Écrivez encore : Jeanne donne à son tour la France à Jésus-Christ. »
« Écrivez : Nos Seigneurs (dit-elle d’une voix forte), à présent c’est Jésus-Christ Qui parle : Moi, Seigneur Éternel, Je donne la France au roi Charles ».
Cette triple donation a été faite sur l’ordre exprès de Dieu, via ses voix, par un acte officiel, solennel, public, authentique avec toutes les formes légales et juridiques.
Le Christ est déchu, et juridiquement expulsé comme Roi de France. Il reste seul vrai Roi, mais quitte donc le trône et laisse Son Lieutenant SEUL, sans plus aucune protection de son suzerain ! On connaît la suite : La France refusant l’Être... n’est plus ! Et tout se désagrège jusqu’à nos jours.
Les Actions
ACTION n° 1 :
Pour le retour du Roi de France... L’action à faire.
Lorsqu’on expulse quelqu’un, il va de soi que cette personne ne soit pas encline à revenir d’elle-même vers ceux qui l’on chassée, et qu’elle attende d’être invitée par eux à le faire. Et pour vérifier s’ils reconnaissent leurs torts et s’ils sont de bonne foi dans leur demande, elle les éprouve d’abord par le silence... Elle se fait prier !
Cela s’applique aussi au Roi bannis, d’autant plus qu’Il est « le Roi du Ciel ». Il sait déjà se faire prier comme Dieu, et ne manquera pas de se faire prier pour revenir en France comme Roi... A plus forte raison qu’il y a crime de lèse-majesté à Son égard (d’où Son attente d’un nombre très important de prières).
Ainsi, « le Roi du Ciel Qui est Roi de France » ne bougera pas, ne brisera pas les scellés qu’Il a apposés Lui-même sur le Trône de France tant qu’Il n’aura pas reçu de nous ce nombre de prières déterminées par Lui.
C’est la seule et unique solution !
C’est la seule et unique stratégie à adopter et la seule action efficace à faire !
Ipso facto, un corollaire s’impose :
Soit le nombre de personnes qui Le prient de revenir est infime... et alors nous pouvons encore attendre Son retour dans, peut-être, 200 ou 300 ans ; soit le nombre de personnes est très important et le retour du Roi peut être extrêmement rapide !
ACTION n° 2 :
Pour le retour du Roi de France... La disposition de cœur.
Là-encore, il n’y en a qu’une seule et unique... Et elle est très simple !
Elle demande seulement ce que chaque Français peut mettre à la disposition du Roi, devant la situation létale de la France : un peu d’humilité, un peu de courage, un peu de confiance (inverse de la défiance qui aujourd’hui prévaut, partout et en tout).
Si l’action essentielle est de prier le Roi de revenir, et si la confiance qui implique l’Espérance est requise, il faut procéder dans le « bon lieu » !
ACTION n° 3 :
Pour le retour du Roi de France... Le bon lieu.
Quel sanctuaire unique en France répond parfaitement aux deux critères précédents ?
PARAY-LE-MONIAL !
1925: Sept ans après avoir renouvelé les demandes de Paray-le-Monial par l’intermédiaire de Claire Ferchaud, au Président Poincaré, qui les a rejeté avec légèreté, le Christ-Roi apparait de nouveau à Claire Ferchaud ET LUI DIT :
-Quand je verrai ces lieux que j’ai spécialement choisi pour répandre mon Amour miséricordieux sur le monde, les foules AGENOUX et DEMENDER PARDON, mon Père fera grâce et mon Coeur apparaîtra dans le triomphe de la Paix sur une France régénérée!
Pour obtenir plus rapidement le ROI DU SACRE-COEUR qui régénèrera la France EN SON NOM, ne faudrait-il pas OBEIR? Ne dervions nous pas aller EN FOULE prier A GENOUX pour DEMENDER PARDON au Sacré-Coeur ?
-Mais priez mes enfants, priez! Mon Fils se laisse toucher (N.D. de Pontmain) !
ACTION n° 4 :
Pour le retour du Roi de France... La procédure.
Montesquieu disait : « La servitude commence toujours par le sommeil. » Aussi, là-encore, la procédure est toute simple :
. Se réveiller, se forcer, se bouger ! Et faire la démarche du voyage et du pèlerinage à Pontmain.
. Là-bas, reconnaître nos torts et faire amende honorable au vrai Roi de France, c’est-à-dire Lui demander pardon pour ce que nos pères ont fait en Le bannissant de France, mais aussi pardon de ne pas vouloir, ou de douter, de Sa réelle Royauté sur notre pays.
C’est une demande de pardon formelle, explicite et publique qui est indispensable, faite par toute l’assemblée présente, qui représente tous les Français en attendant qu’ils viennent en foule et en continu. J’en suis sûr, cela arrivera dans peu de temps. Ce jour-là Pontmain renouvellera Verdun !
Mais c’est une Supplique, et donc :
. Supplier le Père qu’il nous redonne Son Fils, le Roi de France que nous avons chassé en 1791.
. Supplier le Fils qu’il nous donne Son Lieutenant temporel qu’Il s’est choisi et qu’Il VEUT pour nous. . Demander au Saint-Esprit le discernement pour le reconnaître à coup sûr quand ce Lieutenant nous sera donné.
.Agir aussi, DANS L'ATTENTE DU PRINCE, SERVIR LE PRINCIPE.
De quel principe parlons-nous ? Du PRINCIPE ROYAL : LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMENANT DE DIEU.
-C’est à la Légitimité Catholique et Royale qu’il faut revenir ! Ce n’est pas les hommes, aussi éminents soient-ils qui sauvent un pays, ce sont les institutions (Comte Maurice d’Andigné).
Qu’est-ce que la Légitimité ?
-La Légitimité est l’application du droit Royal Français tel qu’il est défini dans la théorie statutaire et les Lois Fondamentales du Royaume, écrit l’historien du droit Guy Augé (Guy Augé, « Du légitimisme à la légitimité », in La Légitimité, N° 2, janvier 1975).
Les LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRANCE, charte coutumière de notre Pays INSPIREE PAR DIEU (Testament de Saint-Remy, Sainte Ampoule, Ecu celeste fleurdelysé, Songe d’Hugues Capet), désignent l’Aîné des Capétiens, DONC L’AINE DES BOURBONS -les autres branches capétiennes étant éteintes en ligne Légitime- SALIQUE, CATHOLIQUE, NAIT FRANCAIS DE NAISSANCE LEGITIME. Le Roi est Légitime parce qu’il est choisi par Dieu à travers les Lois Fondamentales qui ont une origine DIVINE.
Avant d'aborder la question du Prétendant, il faut préciser que la conviction Royaliste Légitimiste est intimement liée à la Foi Catholique. Le Royalisme politique se définit historiquement par le respect des Lois Fondamentales du Royaume de France, notamment la Loi de Catholicité. Clovis devient en 496, le seul Roi Légitime parmi les Rois barbares, du fait de son Baptême et non pas de sa seule force. Le Baptême, la Légitimité dynastique, ne suffisent pas : encore faut-il une politique Légitime, et un pouvoir n'est Légitme que s'il défend la Foi Catholique (Légitimité théologique) et le Bien Commun (Légitimité naturelle), et ainsi seule la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, a possédé historiquement cette double Légitimité. Clovis s'engagea à mettre sa force au service du droit Chrétien et à servir ses sujets Chrétiennement, c'est à dire avec Amour, et ses descendants continuèrent cette politique Catholique et Royale jusqu'en 1789, puis de nouveau de 1814 à 1830 (la Restauration).
NON !!! L’Aîné des Bourbons N’EST PAS SAR LOUIS DE BOURBON-ESPAGNE, DUC D’ANJOU ET DE CADIX, aussi Catholique et charismatique puisse-t-il être : au XIX° siècle fut retrouvée en Inde une branche oubliée mais Légitme des Bourbons : celle des BOURBONS-MONTPENSIER DE BHOPAL. Cette branche vient AVANT celle des Bourbons descendants de Philippe V d’espagne.
Mais AVANT la branche des Bourbons-Montpensiers de Bhopal vient celle des BOURBONS-MONTPENSIER DE LA CROIX : SAR HENRI-LOUIS de Bourbon-Montpensier de Sainte Croix de Valois DE LA CROIX, Duc de Bretagne, de jure HENRI V DE LA CROIX ( comme il y eu un Philippe VI de Valois, la renonciation du Comte de Chambord laissant le titre d’HENRI V encore disponible) né Français et descendent PAR SON PERE du Connétable de Bourbon (le Connétable de Bourbon a mais son fils François Jean Philippe Nicolas de Bourbon-Montpensier à l’abrit chez sa soeur, René de Bourbon, marié au Duc de Lorraine : ce dernier fera croire que le petit Prince est un batard eu d’une cuisinière, il grandira à la cour de Charles Quint), des Princes de Mercoeur, du Masque de Fer (non pas frère jumeau mais cousin aîné en primogéniture et très ressemblant) et du Grand amiral de Valois : c’est LA branche Aînée, lorraino-italienne, OUBLIEE MAIS LEGITIME, des Bourbons.
HENRI V DE LA CROIX descendrait également PAR SA MERE du VRAI Louis XVII (ce n’était pas Naundorff) évadé de l’enfer du Temple. MAIS VOILA : CETTE DOUBLE DESCENDANCE EST CACHEE ! Nous laisserons humblement à Dieu le choix du Roi à venir.
On nous dira que le titre de Fils aîné du Sacré Coeur donné à Louis XIV par N.S. mettrait fin à cette théorie d’une Branche Aînée, oubliée mais Légitime: l’assassinat d’Henri III aurait fait que la Grâce aurait abandonné la Branche Aînée des Bourbons, incarnée à l’époque par le Duc de Mercoeur, pour se poser sur la branche cadette, incarnée par le Bon Roi Henri IV : Dieu voulait peut-être la conversion du Vert Galant, la consécration de la France à Marie, la Révocation de l’Edit de Nantes (1685) et le Catholique Pacte de Famille (1761) entre Bourbons de France, d’Espagne, de Naples et de Parme.
La consécration de la France au Sacré-Coeur n’ayant pas eu lieu, la Grâce Divine semble abandonner également la branche cadette et la Légitimité semble se diluer :
le fils de Louis XIV ne règnera pas, ni celui de Louis XV, ni celui de Louis XVI, Louis XVII, ni celui de Charles X, Louis XIX, ni celui de Louis Philippe (ni celui de Napoléon I°, Napoléon II l’Aiglon, ni celui de Napoléon III) ! Quand au comte de Chambord, il n’aura pas de descendance…
Il est quand même inconcevable qu’une telle succession de drames n’ouvre pas les yeux de ceux qui ne veulent pas s’en remettre à Dieu du point de savoir qui doit être Son Lieutenant sur le trône de France !
QU’EN EST-IL DEVENU DE LA VERITABLE DESCENDANCE ROYALE? A L’HEURE ACTUELLE, NOUS NE LE SAVONS PAS…
Nous nous en remettrons humblement à Dieu pour le choix du Roi à vemnir.
Un Roi n’est en tout cas Légitime que s’il assure le Bien commun de son peuple (Légitimité naturelle) -gérer l’ordre, faire respecter la justice, défendre le peuple contre les ennemis, assurer les conditions de la prospérité du pays- et reconna Dieu comme source d toute autorité et protège donc l’Eglise Catholique par une législation Chrétienne (Légitimité théologique) : Dieu, Famille, Patrie. Notre Royalisme vien aussi de notre patriotisme. Mais histroriquement, seule la Monarchie Capétienne, CATHOLIQUE ET ROYALE, a possédé pleinement cette DOUBLE LEGITIMITE. Et ce jusqu’en 1830.
Le Roi de France devra donc rendre au Divin Christ-Roi la Couronne perdue à le Rue du Bac en Juillet 1830 : INRI annonce HENRI. Alors... HENRI V DE LA CROIX, UN ROI POURQUOI PAS ?
Pour résumer :
Nous avons le diagnostic de l’impuissance Française au retour de son Roi.
Nous avons la stratégie pour ce retour.
Nous avons le lieu d’action de cette stratégie : PARAY-LE-MONIAL.
A Pontmain, nous avons le remède :
« MAIS PRIEZ MES ENFANTS »
A Pontmain, nous avons la certitude et l’échéance :
« DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPSMON FILS SE LAISSE TOUCHER ».
Et puis, DANS L'ATTENTE DU PRINCE, il faut SERVIR LE PRINCIPE.
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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