GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
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GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Face aux nombreuses questions sur Garabandal et aux erreurs, voire même les mensonges... voici quelques informations pour résumer l'histoire de Garabandal et les Messages de Notre Dame du Mont Carmel à Garabandal.
Lau
Les messages de Notre Dame du Mont Carmel :
Toute l'histoire en vidéo
partie 1
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les événements annoncés :
L’Avertissement – le Grand Miracle – le Châtiment
L’AVERTISSEMENT
« Il arrivera au plus fort de la tourmente ».
L’Avertissement surviendra pour rectifier la conscience du monde. Il aura pour effet de nous préparer, par la purification, au Grand Miracle, afin que nous puissions en soutenir la vue et ne pas en mourir comme le Père Luis Andreu. Si nous en mourions, ce ne sera pas le fait de l’Avertissement lui-même, mais bien de l’émotion que nous ressentirons en le voyant et en le sentant.
Il aura un caractère terriblement douloureux et impressionnant.
Il arrivera de jour comme de nuit, au plus fort de la tourmente !
il aura une dimension universelle.
il durera très peu de temps. Tous les moteurs et les machines s’arrêteront.
Il sera inexplicable par la science, sera reconnu comme « venant du Ciel » ; les hommes ne pourront qu’invoquer la miséricorde divine.
Il viendra dans un but de salut : pour que les bons se rapprochent davantage de Dieu et que les autres se corrigent sérieusement.
Il viendra avec certitude et moins d’un an avant le Miracle, mais nous en ignorons et le jour et l’heure.
Marie Loli en connaît l’année.
Jacinta en connaît la nature.
Ce jour-là, il n’y aura d’autre refuge et d’autre consolation que dans la prière.
Il n’y a rien d'autre à ajouter sur l’Avertissement, si ce n’est qu’il aura à la fois un caractère interne et externe :
- interne dans le sens où chacun le ressentira au fond de lui-même en découvrant l’état de son âme. On connaîtra alors le mal que l’on a pu faire mais aussi, et surtout, le bien que l’on aurait pu faire et que l’on a pas fait.
- externe dans le sens où un phénomène astral sera visible du monde entier.
LE GRAND MIRACLE
« La Très Sainte vierge m’a annoncé un grand miracle que Dieu, Notre Seigneur, fera par son intercession »
C'est Conchita qui parle :
● « Comme le châtiment que nous méritons sera très grand, le miracle sera intensément grand, à la mesure des nécessités du monde »
● « La Sainte Vierge m’a dit, à moi, la date du miracle et en quoi il consistera. Je dois le dire huit jours avant, pour que les gens viennent. Le Pape le verra d’où il sera, et le Padre Pio. Les malades présents seront guéris et les pêcheurs se convertiront »
● « Ceux qui verront ce grand miracle, que Dieu notre Seigneur fera par l’intercession de la Très Sainte Vierge, ne pourront plus douter »
Le Miracle de Fatima n’est rien en comparaison de celui qui se passera ici et qui sera beaucoup, beaucoup plus grand »
« Ce sera beaucoup plus grand, beaucoup plus puissant qu’à Fatima. Les personnes présentes en seront tellement bouleversées qu’aucune ne repartira en doutant. Il faudrait que le monde entier soit présent au Miracle, car alors il n’y aurait sûrement pas de châtiment puisque tout le monde croirait. »
« Il sera visible par tous ceux qui seront dans le village et les montagnes alentour ».
« Ce sera le plus grand miracle que Notre Seigneur aura fait pour le monde. »
Il arrivera un jeudi à 20h30, moins d’un an après l’avertissement, sous un soleil brillant.
Il durera entre 10 et 15 mn.
Il n’arrivera pas un jour de fête de la Sainte Vierge.
Il arrivera le jour de la fête d’un Jeune Martyr de l’Eucharistie.
LE CHATIMENT
Le châtiment surviendra quelques mois seulement après le Grand Miracle...
A un certain moment, plus une machine, plus un moteur ne fonctionneront ; une terrible vague de chaleur s’abattra sur la terre et les hommes commenceront à endurer une très grande soif ; désespérément, ils chercheront de l’eau mais celle-ci s’évaporera à cause de la chaleur. Le désespoir s’emparera de presque tous et les gens chercheront à se tuer les uns les autres... ; mais les forces leur manqueront et ils tomberont ».
« C’est alors que l’on comprendra que c’est Dieu seul qui aura permis tout cela. Puis, nous vîmes une foule environnée de flammes. Les gens couraient se jeter à la mer et dans les lacs ; mais l’eau semblait bouillir et au lieu d’éteindre les flammes, elle paraissait les activer... »
« C’était si horrible que je demandais à la Très Sainte Vierge d’emmener tous nos petits enfants avec elle avant que tout cela n’arrive. Mais la Vierge nous dit que lorsque cela arriverait, tous seraient déjà très grands... »
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mais aussi :
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L'EGLISE ET GARABANDAL
Jugement négatif rendus en 1961, par lequel l'évêque ne reconnaît pas le caractère surnaturel.
Puis en 1965 :
Note du 8 juillet 1965 de Mgr Beitia, évêque de Santander
Nous faisons remarquer que nous n'avons trouvé aucun motif de censure ecclésiastique portant à condamnation, ni dans la doctrine, ni dans les recommandations spirituelles que l'on a divulguées à l'occasion des Faits de Garabandal, en tant qu'adressées à des fidèles chrétiens; d'autant plus qu'elles contiennent une exhortation à la prière et au sacrifice, à la dévotion eucharistique, au culte de Notre Dame sous des formes traditionnellement louables, et à la sainte crainte de Dieu offensé par nos péchés. Elles rappellent simplement la doctrine ordinaire de l'Église en cette matière. Nous admettons la bonne foi et la ferveur religieuse des personnes qui accourent à Saint Sébastien de Garabandal, et qui méritent le plus profond respect... " De Santander, le 8 juillet 1965, Eugenio Fernandez, évêque, adm. Apost. de Santander)
Contre-enquête en cours ordonnée par Mgr del Val Gallo
une nouvelle enquête en 1986. À l’automne de 1986, il se rendit à Rome et soumit de nouvelles recommandations au sujet de Garabandal à la sacrée Congrégation de la doctrine de la Foi. Après sa visite à Rome, l’évêque émit une directive autorisant les prêtres visiteurs à Garabandal à célébrer la messe dans l’église du village, mettant ainsi fin aux restrictions imposées en 1962.
Mépriser l'Avertissement de Garabandal, début et élément essentiel du Message, comme nous avons méprisé le message de Fatima, c'est encourir une terrible responsabilité: celle des innombrables morts que causera le Châtiment prédit à Garabandal.
C'est pourquoi, il nous parait évident que NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER et AIDER LES AUTRES A SE PRÉPARER à ces événements, l'Avertissement en particulier. IL NOUS FAUT donc le "CRIER SUR LES TOITS", "à pleins poumons", nuit et jour: c'est le désir formel de la Sainte Vierge - et secouer ainsi l'univers, englué dans son péché, avant qu'il ne soit trop tard! "Je te bénis, Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces choses aux savants et aux intelligents, et que tu les as révélées aux petits. Oui, Père! parce que tel a été ton bon plaisir" (Luc 10,21).
Lau
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L’Avertissement – le Grand Miracle – le Châtiment
L’AVERTISSEMENT
« Il arrivera au plus fort de la tourmente ».
L’Avertissement surviendra pour rectifier la conscience du monde. Il aura pour effet de nous préparer, par la purification, au Grand Miracle, afin que nous puissions en soutenir la vue et ne pas en mourir comme le Père Luis Andreu. Si nous en mourions, ce ne sera pas le fait de l’Avertissement lui-même, mais bien de l’émotion que nous ressentirons en le voyant et en le sentant.
Il aura un caractère terriblement douloureux et impressionnant.
Il arrivera de jour comme de nuit, au plus fort de la tourmente !
il aura une dimension universelle.
il durera très peu de temps. Tous les moteurs et les machines s’arrêteront.
Il sera inexplicable par la science, sera reconnu comme « venant du Ciel » ; les hommes ne pourront qu’invoquer la miséricorde divine.
Il viendra dans un but de salut : pour que les bons se rapprochent davantage de Dieu et que les autres se corrigent sérieusement.
Il viendra avec certitude et moins d’un an avant le Miracle, mais nous en ignorons et le jour et l’heure.
Marie Loli en connaît l’année.
Jacinta en connaît la nature.
Ce jour-là, il n’y aura d’autre refuge et d’autre consolation que dans la prière.
Il n’y a rien d'autre à ajouter sur l’Avertissement, si ce n’est qu’il aura à la fois un caractère interne et externe :
- interne dans le sens où chacun le ressentira au fond de lui-même en découvrant l’état de son âme. On connaîtra alors le mal que l’on a pu faire mais aussi, et surtout, le bien que l’on aurait pu faire et que l’on a pas fait.
- externe dans le sens où un phénomène astral sera visible du monde entier.
LE GRAND MIRACLE
« La Très Sainte vierge m’a annoncé un grand miracle que Dieu, Notre Seigneur, fera par son intercession »
C'est Conchita qui parle :
● « Comme le châtiment que nous méritons sera très grand, le miracle sera intensément grand, à la mesure des nécessités du monde »
● « La Sainte Vierge m’a dit, à moi, la date du miracle et en quoi il consistera. Je dois le dire huit jours avant, pour que les gens viennent. Le Pape le verra d’où il sera, et le Padre Pio. Les malades présents seront guéris et les pêcheurs se convertiront »
● « Ceux qui verront ce grand miracle, que Dieu notre Seigneur fera par l’intercession de la Très Sainte Vierge, ne pourront plus douter »
Le Miracle de Fatima n’est rien en comparaison de celui qui se passera ici et qui sera beaucoup, beaucoup plus grand »
« Ce sera beaucoup plus grand, beaucoup plus puissant qu’à Fatima. Les personnes présentes en seront tellement bouleversées qu’aucune ne repartira en doutant. Il faudrait que le monde entier soit présent au Miracle, car alors il n’y aurait sûrement pas de châtiment puisque tout le monde croirait. »
« Il sera visible par tous ceux qui seront dans le village et les montagnes alentour ».
« Ce sera le plus grand miracle que Notre Seigneur aura fait pour le monde. »
Il arrivera un jeudi à 20h30, moins d’un an après l’avertissement, sous un soleil brillant.
Il durera entre 10 et 15 mn.
Il n’arrivera pas un jour de fête de la Sainte Vierge.
Il arrivera le jour de la fête d’un Jeune Martyr de l’Eucharistie.
LE CHATIMENT
Le châtiment surviendra quelques mois seulement après le Grand Miracle...
A un certain moment, plus une machine, plus un moteur ne fonctionneront ; une terrible vague de chaleur s’abattra sur la terre et les hommes commenceront à endurer une très grande soif ; désespérément, ils chercheront de l’eau mais celle-ci s’évaporera à cause de la chaleur. Le désespoir s’emparera de presque tous et les gens chercheront à se tuer les uns les autres... ; mais les forces leur manqueront et ils tomberont ».
« C’est alors que l’on comprendra que c’est Dieu seul qui aura permis tout cela. Puis, nous vîmes une foule environnée de flammes. Les gens couraient se jeter à la mer et dans les lacs ; mais l’eau semblait bouillir et au lieu d’éteindre les flammes, elle paraissait les activer... »
« C’était si horrible que je demandais à la Très Sainte Vierge d’emmener tous nos petits enfants avec elle avant que tout cela n’arrive. Mais la Vierge nous dit que lorsque cela arriverait, tous seraient déjà très grands... »
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L'EGLISE ET GARABANDAL
Jugement négatif rendus en 1961, par lequel l'évêque ne reconnaît pas le caractère surnaturel.
Puis en 1965 :
Note du 8 juillet 1965 de Mgr Beitia, évêque de Santander
Nous faisons remarquer que nous n'avons trouvé aucun motif de censure ecclésiastique portant à condamnation, ni dans la doctrine, ni dans les recommandations spirituelles que l'on a divulguées à l'occasion des Faits de Garabandal, en tant qu'adressées à des fidèles chrétiens; d'autant plus qu'elles contiennent une exhortation à la prière et au sacrifice, à la dévotion eucharistique, au culte de Notre Dame sous des formes traditionnellement louables, et à la sainte crainte de Dieu offensé par nos péchés. Elles rappellent simplement la doctrine ordinaire de l'Église en cette matière. Nous admettons la bonne foi et la ferveur religieuse des personnes qui accourent à Saint Sébastien de Garabandal, et qui méritent le plus profond respect... " De Santander, le 8 juillet 1965, Eugenio Fernandez, évêque, adm. Apost. de Santander)
Contre-enquête en cours ordonnée par Mgr del Val Gallo
une nouvelle enquête en 1986. À l’automne de 1986, il se rendit à Rome et soumit de nouvelles recommandations au sujet de Garabandal à la sacrée Congrégation de la doctrine de la Foi. Après sa visite à Rome, l’évêque émit une directive autorisant les prêtres visiteurs à Garabandal à célébrer la messe dans l’église du village, mettant ainsi fin aux restrictions imposées en 1962.
Mépriser l'Avertissement de Garabandal, début et élément essentiel du Message, comme nous avons méprisé le message de Fatima, c'est encourir une terrible responsabilité: celle des innombrables morts que causera le Châtiment prédit à Garabandal.
C'est pourquoi, il nous parait évident que NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER et AIDER LES AUTRES A SE PRÉPARER à ces événements, l'Avertissement en particulier. IL NOUS FAUT donc le "CRIER SUR LES TOITS", "à pleins poumons", nuit et jour: c'est le désir formel de la Sainte Vierge - et secouer ainsi l'univers, englué dans son péché, avant qu'il ne soit trop tard! "Je te bénis, Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces choses aux savants et aux intelligents, et que tu les as révélées aux petits. Oui, Père! parce que tel a été ton bon plaisir" (Luc 10,21).
Invité- Invité
Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Ce qui précède est mensonger car cela ne dit pas toute la vérité!
Il y a en effet 2 façons de mentir :
1) dire un mensonge
2) dire une vérité, mais en oubliant volontairement de dire l'entière vérité.
(c'est exactement la méthode qu'avait employée Satan dans la 3ème tentation du Christ!!!)
Et Pour dire l'entière vérité sur la position de l'Eglise vis-à-vis de Garabandal, il ne faut pas "oublier de mentionner que :
Le 11 Octobre 1996, le nouvel évêque, José Vilaplana, encore une fois mis son interdiction sur les prétendues apparitions et a déclaré qu'elle est définitive.
En d'autres termes :
interdiction signifie condamnation des prétendues apparitions
et définitive signifie qu'il n'y aura pas d'autre décision.
Philippe-Antoine
Il y a en effet 2 façons de mentir :
1) dire un mensonge
2) dire une vérité, mais en oubliant volontairement de dire l'entière vérité.
(c'est exactement la méthode qu'avait employée Satan dans la 3ème tentation du Christ!!!)
Et Pour dire l'entière vérité sur la position de l'Eglise vis-à-vis de Garabandal, il ne faut pas "oublier de mentionner que :
Le 11 Octobre 1996, le nouvel évêque, José Vilaplana, encore une fois mis son interdiction sur les prétendues apparitions et a déclaré qu'elle est définitive.
En d'autres termes :
interdiction signifie condamnation des prétendues apparitions
et définitive signifie qu'il n'y aura pas d'autre décision.
Philippe-Antoine
Philippe-Antoine- Date d'inscription : 24/01/2008
Age : 71
Localisation : Région Grenobloise (France)
Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Il est faux de dire "interdiction" = "condamnation"
D'autre part, il ne s'agit pas d'interdiction mais de jugement négatif.
A force de vous acharner sur Garabandal (aie ! j'ai écrit le mot qui provoque la crise d'urticaire chez certains... ), vous finissez par tout confondre....
Ce n'est pas grave. Les visiteurs savent faire la part des choses...
Je déposerai d'autres informations concernant Garabandal sur ce forum... Francesco me l'a encore demandé. Que ceux qui ont des questions n'hésitent pas à écrire sur ce fil ou par MP... Que vous soyez d'accord ou non sur Garabandal, tant que ça se passe dans des échanges respectueux, je serai toujours disponible pour vous répondre !
Je profite de ce lien pour remercier Notre Dame de Garabandal ! je sais qu'Elle veille à la propagation de Son Message ! à l'annonce de l'Avertissement que nous enverra Son Fils...
Je sais que je peux compter sur Sa protection maternelle pour travailler au grand projet du Ciel... : le salut de tous ! et grâce à Elle, rien ni personne ne me découragera car au fond de moi, je sais que je travaille pour la Vérité !
Fraternellement,
Lau
D'autre part, il ne s'agit pas d'interdiction mais de jugement négatif.
A force de vous acharner sur Garabandal (aie ! j'ai écrit le mot qui provoque la crise d'urticaire chez certains... ), vous finissez par tout confondre....
Ce n'est pas grave. Les visiteurs savent faire la part des choses...
Je déposerai d'autres informations concernant Garabandal sur ce forum... Francesco me l'a encore demandé. Que ceux qui ont des questions n'hésitent pas à écrire sur ce fil ou par MP... Que vous soyez d'accord ou non sur Garabandal, tant que ça se passe dans des échanges respectueux, je serai toujours disponible pour vous répondre !
Je profite de ce lien pour remercier Notre Dame de Garabandal ! je sais qu'Elle veille à la propagation de Son Message ! à l'annonce de l'Avertissement que nous enverra Son Fils...
Je sais que je peux compter sur Sa protection maternelle pour travailler au grand projet du Ciel... : le salut de tous ! et grâce à Elle, rien ni personne ne me découragera car au fond de moi, je sais que je travaille pour la Vérité !
Fraternellement,
Lau
Invité- Invité
Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Il est faux de dire "interdiction" = "condamnation"
Ne jouez pas sur les mots! S'il y a interdiction morale de faire de la propagande pour Garabandal, il y a bien (même si le mot n'est pas utilisé expressément), au moins condamnation implicite des soi-disant apparitions!
Je déposerai d'autres informations concernant Garabandal sur ce forum... Francesco me l'a encore demandé.
Eh bien au vu de ce qui suit à chacun d'agir en son âme et conscience. C'est ce que je fais :
"Bien au contraire le Saint-Siège déplore le fait que certaines personnes et institutions persistent à répandre le mouvement, en évidente contradiction avec les dispositions de l'autorité ecclésiastique, semant ainsi la confusion parmi les gens, en particulier parmi ceux qui sont simples et sans défense"
(extrait de la déclaration suivante) :
Rome, le 21 avril 1970.
Excellence,
Cet office a reçu votre lettre du 8 avril 1970 où vous faisiez part de vos craintes justifiées, devant la diffusion du mouvement de Garabandal dans votre archidiocèse et où vous demandiez au Saint-Siège des lignes directrices claires et sûres pour traiter de ce phénomène.
Le Saint-Siège partage votre préoccupation pour l'évidente confusion qui va croissant, occasionnée par la diffusion de ce mouvement parmi les fidèles et désire, par cette lettre, clarifier sa position sur ce sujet.
La S. congrégation, en dépit de requêtes provenant de divers évêques et fidèles, a toujours refusé de définir le caractère surnaturel des événements de Garabandal. Après le jugement négatif définitif porté par la curie de Santander, cette S. congrégation, après examen attentif des pièces du dossier transmises à cet office, a souvent loué la prudence qui a caractérisé la méthode suivie dans l'enquête, mais a néanmoins décidé de laisser la responsabilité directe de l'affaire entre les mains de l'Ordinaire du lieu.
Le Saint-Siège a toujours estimé que les conclusions et les mesures de l'évêque de Santander constituaient des lignes directrices suffisamment sûres pour le peuple chrétien et des indications pour les évêques, dans le but de dissuader les gens de participer à des pèlerinages et à d'autres formes de dévotion qui se réclament des apparitions et des messages supposés de Garabandal ou sont fondés sur eux. Le 10 mars 1969, cette S. congrégation a écrit une lettre à cet effet à l'évêque de Santander qui avait également demandé une déclaration plus explicite du Saint-Siège sur la question.
Cependant les promoteurs de Garabandal ont essayé de minimiser les décisions et la juridiction de l'évêque de Santander. Cette S. congrégation veut que l'on comprenne clairement que l'évêque de Santander a été et continue à être le seul à avoir complète juridiction en cette affaire et que le Saint-Siège n'a pas l'intention de poursuivre l'examen de cette question, étant donné qu'à son avis l'enquête déjà menée est suffisante, de même que sont suffisantes les déclarations officielles de l'évêque de Santander. Il n'y a aucune vérité dans l'assertion selon laquelle le Saint-Siège a nommé un "enquêteur officiel agissant au nom personnel du Pape à Garabandal", ainsi que dans les affirmations attribuées à ce personnage anonyme en vertu desquelles "la vérification des apparitions de Garabandal repose totalement entre les mains du Saint-Père le Pape Paul VI" ; d'autres expressions du même genre qui visent à miner l'autorité et les décisions de l'évêque de Santander sont complètement dénuées de fondement.
Dans le but de répondre à certains doutes que vous avez exprimés dans votre lettre, cette S congrégation désire affirmer que le Saint-Siège n'a jamais approuvé, même indirectement, le mouvement de Garabandal. Bien au contraire le Saint-Siège déplore le fait que certaines personnes et institutions persistent à répandre le mouvement, en évidente contradiction avec les dispositions de l'autorité ecclésiastique, semant ainsi la confusion parmi les gens, en particulier parmi ceux qui sont simples et sans défense.
D'après ce qui vient d'être dit, vous comprendrez sans difficulté que, bien que cette S. congrégation soit à coup sûr d'accord avec le contenu de la note du 10 mai 1969 (telle qu'elle a été publiée en divers pays et notamment dans la revue française La Documentation catholique, 21 septembre 1969, n° 1547, p. 821), elle doit ajouter qu'il est inexact d'attribuer la partie du texte traitant de l'absence de caractère surnaturel dans les événements de Garabandal à la S. congrégation, qui s'est toujours efforcée de s'abstenir de toute déclaration directe sur la question, précisément parce qu'elle n'estimait pas nécessaire de le faire, à la suite des décisions claires et expresses de l'évêque de Santander. Tel est le sens authentique de la lettre écrite le 21 janvier 1970 par Mgr Paul Philippe, secrétaire de cette S. congrégation, au rédacteur en chef de la Documentation catholique.
Dans le but de vous aider dans votre action pastorale touchant cette affaire, cet office joint à cette lettre d'autres documents officiels déjà publiés en d'autres pays, notamment en Espagne, à savoir les deux notes officielles de l'évêque de Santander, deux lettres de la S. Congrégation au même évêque, et une lettre au délégué apostolique à Mexico.
Par la présente lettre cet office espère avoir clarifié une question qui ne concerne pas seulement votre archidiocèse, mais également d'autres diocèses.
Avec l'assurance de mes sentiments de plus profonde estime et de cordial respect.
Franjo, card. SEPER, préfet.
Paul PHILIPPE, secrétaire.
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Philippe-Antoine
Dernière édition par Philippe-Antoine le Sam 5 Sep 2009 - 19:20, édité 1 fois
Philippe-Antoine- Date d'inscription : 24/01/2008
Age : 71
Localisation : Région Grenobloise (France)
Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Bien ! maintenant que vous nous avez exposé ce que vous dicte votre "conscience", je vais pouvoir continuer l'exposé !..
PADRE PIO ET GARABANDAL
Il faut savoir que si Garabandal n’est pas encore officiellement reconnu par l’Église, cette dernière n’a jamais condamné ces apparitions. Par contre, un grand saint s’est prononcé en faveur de l’authenticité de ces apparitions à plusieurs reprises : Padre Pio ! Je pense que ce fait est suffisamment important pour qu’on s’y arrête un peu, surtout depuis que Padre Pio a été canonisé. Voici donc quelques extraits d’une interview faite le 9 février 1975 relative aux contacts entre Padre Pio, Conchita et Garabandal.
Des espagnols en visite à San Giovanni Rotondo ont demandé au Padre Pio s’il croyait à l’authenticité des apparitions de Garabandal et le Père Capucin a répondu de son ton sévère habituel : «Vous le demandez encore?... Combien d`apparitions vous faut-il donc, alors qu’elles ont lieu déjà depuis huit mois.»
Le 3 mars 1962, Conchita reçoit une lettre écrite en italien à la machine, non signée, ne portant sur l’enveloppe aucune adresse d’expéditeur, mais seulement un cachet d’oblitération maculé et illisible. La lettre, commençait ainsi : «Chères petites enfants de Garabandal. Ce matin, la Sainte Vierge m’a parlé de vos apparitions ». Et la lettre se termine par ces mots : «Je vous donne seulement un conseil : priez et faites prier, car le monde entre en perdition. On ne vous croit pas et on ne croit pas à vos colloques avec la Dame Blanche ; on y croira quand il sera trop tard».
Conchita demanda à la Sainte Vierge de qui était cette lettre et Elle lui assura qu’il s’agissait du Padre Pio.
(Ce message était du Padre Pio, mais rédigé par le Père Pellegrino, datée du 22 août 1968 et expédiée du Couvent des Capucins, S. Marie de la Grâce, 71013 Giovanni Rotondo, Foggia, Italie.)
Conchita fut convoquée à Rome pour le 13 janvier 1966 par le Cardinal Ottaviani de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Le Cardinal fit venir Conchita par l’entremise de la Princesse Cécile de Bourbon, dont la famille est proche du Cardinal. La Princesse Cécile, tout comme d’autres, avait visité Garabandal pour voir les extases, mais n’avait pas fait la connaissance de Conchita. Elle se rendit à Garabandal en janvier 1966, précisément pour informer Conchita que le Cardinal Ottaviani désirait la voir.
Pour ce voyage à Rome Conchita fut accompagnée par sa mère, par la Princesse Cécile, le Père Luna, un prêtre de Saragosse que Conchita rencontra pour la première fois lorsqu’il visita Garabandal en 1965, et le Professeur Medi, ex-ambassadeur d’Espagne auprès du Vatican.
- Conchita : «Comme nous devions attendre un jour à Rome avant de voir le Cardinal Ottaviani, le Professeur Medi suggéra que nous profitions du temps qui nous restait pour aller à San Giovanni pour voir le Padre Pio. Nous arrivâmes vers 9 heures du soir et on nous dit que nous ne pourrions pas voir le Padre Pio avant le lendemain à sa Messe de 5 heures.»
Avant la Messe, le Père Luna et le Professeur Medi se rendirent à la sacristie pour annoncer la visite de Conchita et Padre Pio demanda : «Conchita de Garabandal ?» Le Professeur répondit par l’affirmative et le Padre Pio dit alors : «Venez ce matin à 8 heures».
- Lors de cette visite, qui était dans la chambre avec vous ? - «Seulement ma mère, le Père Luna, et un prêtre du monastère qui parlait l’espagnol. Je me souviens que j’avais le crucifix baisé par Notre Dame, et je dis au Padre Pio : ceci est la croix baisée par la Sainte Mère; accepteriez-vous de la bénir ? Il prit alors mon crucifix baisé par Notre Dame et le plaça dans sa main gauche, sur le stigmate. Il prit ensuite ma main et la plaça sur sa paume, fermant les doigts sur ma main, et de sa main droite il bénit ma main et la croix. Padre Pio fut très amical et bienveillant.»
«Par la suite, un soir d’octobre 1968, je reçus un télégramme me demandant de venir à Lourdes pour y prendre une lettre du Padre Pio. Le télégramme était signé du Padre Pellegrino. Un prêtre qui était au village à ce moment là me conduisit tout de suite avec ma mère à Lourdes.
Pendant que j`étais là, Padre Bernadino Cennamo, capucin du couvent San Pascal de Benevento (Italie), et intime du Padre Pio, (Il devint d’ailleurs le supérieur à San Giovanni de Rotondo) me donna une lettre venant du Padre Pio et un morceau du voile qui couvrit le visage du Padre Pio dans son cercueil. En me le donnant, Padre Bernadino me dit qu’avant de mourir, Padre Pio a donné un message pour toi et il a dit : «Quand je mourrai, le voile qui couvrira ma figure doit être donné à Conchita». Padre Bernadino me dit ensuite qu’il n’avait pas cru aux apparitions avant que le Padre Pio lui eut dit cela.»
- Est-ce que vous avez ces deux lettres ? «Oui, Ma mère les a en Espagne.»
Profitant de cette rencontre je dis à Padre Bernadino : «Comment se fait-il que la Vierge a dit que le Padre Pio devait voir le miracle et il est mort ? Padre Bernadino me dit : Il a vu le miracle avant de mourir. Il dit que le Padre Pio le lui avait dit…»
- «De retour chez moi, j’ai écris une lette à une amie qui vit à Madrid pour lui raconter ce qui s’était passé. Alors qe j’écrivais, j`avais le voile devant moi, et soudain toute la chambre fut remplie d`un parfum. J’avais entendu parler des parfums du Padre Pio mais sans y faire beaucoup attention. La chambre sentait si fort et si bon que je me mis à pleurer. C`était la première fois que je faisais cette expérience.»
Conchita ne fut pas la seule à avoir eu des contacts avec Padre Pio dans le cadre de Garabandal. Joey Lomangino, l’aveugle de New York d’origine italienne qui doit recevoir des yeux neufs lors du Miracle avait perdu la vue ainsi que l’odorat lors d’un accident en 1947. Pas très croyant et encore moins pratiquant, sur les conseils de membres de sa famille, il se rendit malgré tout à San Giovanni Rotondo en 1961, puis à partir de 1963, trois à quatre fois par an. Il avait été converti par Padre Pio et retrouvé l’odorat par un des fameux parfums du Padre qui était tellement violent qu’il avait failli le faire tomber à la renverse.
A noter que le Padre Pio ne lui a obtenu que la guérison de l’odorat pour ne pas interférer avec la Vierge qui Elle va lui rendre la vue lors du Miracle. Comme quoi on ne se marche pas sur les pieds entre Grands de ce monde et de l’autre !
Joey avait entendu parler de Garabandal et avait demandé à Padre Pio si la Vierge y apparaissait réellement et s’il devait s’y rendre. Le Padre Pio à dit : OUI!
La prise de position de ce grand Saint est suffisamment importante pour que nous prenions ces apparitions très au sérieux et à nous préparer pour ce grand événement.
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PADRE PIO ET GARABANDAL
Il faut savoir que si Garabandal n’est pas encore officiellement reconnu par l’Église, cette dernière n’a jamais condamné ces apparitions. Par contre, un grand saint s’est prononcé en faveur de l’authenticité de ces apparitions à plusieurs reprises : Padre Pio ! Je pense que ce fait est suffisamment important pour qu’on s’y arrête un peu, surtout depuis que Padre Pio a été canonisé. Voici donc quelques extraits d’une interview faite le 9 février 1975 relative aux contacts entre Padre Pio, Conchita et Garabandal.
Des espagnols en visite à San Giovanni Rotondo ont demandé au Padre Pio s’il croyait à l’authenticité des apparitions de Garabandal et le Père Capucin a répondu de son ton sévère habituel : «Vous le demandez encore?... Combien d`apparitions vous faut-il donc, alors qu’elles ont lieu déjà depuis huit mois.»
Le 3 mars 1962, Conchita reçoit une lettre écrite en italien à la machine, non signée, ne portant sur l’enveloppe aucune adresse d’expéditeur, mais seulement un cachet d’oblitération maculé et illisible. La lettre, commençait ainsi : «Chères petites enfants de Garabandal. Ce matin, la Sainte Vierge m’a parlé de vos apparitions ». Et la lettre se termine par ces mots : «Je vous donne seulement un conseil : priez et faites prier, car le monde entre en perdition. On ne vous croit pas et on ne croit pas à vos colloques avec la Dame Blanche ; on y croira quand il sera trop tard».
Conchita demanda à la Sainte Vierge de qui était cette lettre et Elle lui assura qu’il s’agissait du Padre Pio.
(Ce message était du Padre Pio, mais rédigé par le Père Pellegrino, datée du 22 août 1968 et expédiée du Couvent des Capucins, S. Marie de la Grâce, 71013 Giovanni Rotondo, Foggia, Italie.)
Conchita fut convoquée à Rome pour le 13 janvier 1966 par le Cardinal Ottaviani de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Le Cardinal fit venir Conchita par l’entremise de la Princesse Cécile de Bourbon, dont la famille est proche du Cardinal. La Princesse Cécile, tout comme d’autres, avait visité Garabandal pour voir les extases, mais n’avait pas fait la connaissance de Conchita. Elle se rendit à Garabandal en janvier 1966, précisément pour informer Conchita que le Cardinal Ottaviani désirait la voir.
Pour ce voyage à Rome Conchita fut accompagnée par sa mère, par la Princesse Cécile, le Père Luna, un prêtre de Saragosse que Conchita rencontra pour la première fois lorsqu’il visita Garabandal en 1965, et le Professeur Medi, ex-ambassadeur d’Espagne auprès du Vatican.
- Conchita : «Comme nous devions attendre un jour à Rome avant de voir le Cardinal Ottaviani, le Professeur Medi suggéra que nous profitions du temps qui nous restait pour aller à San Giovanni pour voir le Padre Pio. Nous arrivâmes vers 9 heures du soir et on nous dit que nous ne pourrions pas voir le Padre Pio avant le lendemain à sa Messe de 5 heures.»
Avant la Messe, le Père Luna et le Professeur Medi se rendirent à la sacristie pour annoncer la visite de Conchita et Padre Pio demanda : «Conchita de Garabandal ?» Le Professeur répondit par l’affirmative et le Padre Pio dit alors : «Venez ce matin à 8 heures».
- Lors de cette visite, qui était dans la chambre avec vous ? - «Seulement ma mère, le Père Luna, et un prêtre du monastère qui parlait l’espagnol. Je me souviens que j’avais le crucifix baisé par Notre Dame, et je dis au Padre Pio : ceci est la croix baisée par la Sainte Mère; accepteriez-vous de la bénir ? Il prit alors mon crucifix baisé par Notre Dame et le plaça dans sa main gauche, sur le stigmate. Il prit ensuite ma main et la plaça sur sa paume, fermant les doigts sur ma main, et de sa main droite il bénit ma main et la croix. Padre Pio fut très amical et bienveillant.»
«Par la suite, un soir d’octobre 1968, je reçus un télégramme me demandant de venir à Lourdes pour y prendre une lettre du Padre Pio. Le télégramme était signé du Padre Pellegrino. Un prêtre qui était au village à ce moment là me conduisit tout de suite avec ma mère à Lourdes.
Pendant que j`étais là, Padre Bernadino Cennamo, capucin du couvent San Pascal de Benevento (Italie), et intime du Padre Pio, (Il devint d’ailleurs le supérieur à San Giovanni de Rotondo) me donna une lettre venant du Padre Pio et un morceau du voile qui couvrit le visage du Padre Pio dans son cercueil. En me le donnant, Padre Bernadino me dit qu’avant de mourir, Padre Pio a donné un message pour toi et il a dit : «Quand je mourrai, le voile qui couvrira ma figure doit être donné à Conchita». Padre Bernadino me dit ensuite qu’il n’avait pas cru aux apparitions avant que le Padre Pio lui eut dit cela.»
- Est-ce que vous avez ces deux lettres ? «Oui, Ma mère les a en Espagne.»
Profitant de cette rencontre je dis à Padre Bernadino : «Comment se fait-il que la Vierge a dit que le Padre Pio devait voir le miracle et il est mort ? Padre Bernadino me dit : Il a vu le miracle avant de mourir. Il dit que le Padre Pio le lui avait dit…»
- «De retour chez moi, j’ai écris une lette à une amie qui vit à Madrid pour lui raconter ce qui s’était passé. Alors qe j’écrivais, j`avais le voile devant moi, et soudain toute la chambre fut remplie d`un parfum. J’avais entendu parler des parfums du Padre Pio mais sans y faire beaucoup attention. La chambre sentait si fort et si bon que je me mis à pleurer. C`était la première fois que je faisais cette expérience.»
Conchita ne fut pas la seule à avoir eu des contacts avec Padre Pio dans le cadre de Garabandal. Joey Lomangino, l’aveugle de New York d’origine italienne qui doit recevoir des yeux neufs lors du Miracle avait perdu la vue ainsi que l’odorat lors d’un accident en 1947. Pas très croyant et encore moins pratiquant, sur les conseils de membres de sa famille, il se rendit malgré tout à San Giovanni Rotondo en 1961, puis à partir de 1963, trois à quatre fois par an. Il avait été converti par Padre Pio et retrouvé l’odorat par un des fameux parfums du Padre qui était tellement violent qu’il avait failli le faire tomber à la renverse.
A noter que le Padre Pio ne lui a obtenu que la guérison de l’odorat pour ne pas interférer avec la Vierge qui Elle va lui rendre la vue lors du Miracle. Comme quoi on ne se marche pas sur les pieds entre Grands de ce monde et de l’autre !
Joey avait entendu parler de Garabandal et avait demandé à Padre Pio si la Vierge y apparaissait réellement et s’il devait s’y rendre. Le Padre Pio à dit : OUI!
La prise de position de ce grand Saint est suffisamment importante pour que nous prenions ces apparitions très au sérieux et à nous préparer pour ce grand événement.
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Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Site irlandais du Centre d'information sur Garabandal
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Pio’s life and sanctity reflect Our Lady’s Message
Padre Pio's life and sanctity reflect Our Lady's Message
It is also very significant that the life and sanctity of Padre Pio were a true reflection of the Message given by Our Lady to the world at Garabandal, a Message of prayer, in particular the rosary, penance and self sacrifice and an intense, deep rooted devotion to the Eucharist all of which were the central theme of Padre Pio's own life which he encouraged others to adopt as a model to follow.
Padre Pio's veil given to Conchita
Another significant event concerns the veil which covered the face of Padre Pio after his death. Father Cennamo was told by Padre Pio before his death to give the veil to Conchita. On handing the veil to Conchita, Father Cennamo told her that he did not believe in the Apparitions of Garabandal until Padre Pio told him to give the veil to her.
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Padre Pio's life and sanctity reflect Our Lady's Message
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Padre Pio's veil given to Conchita
Another significant event concerns the veil which covered the face of Padre Pio after his death. Father Cennamo was told by Padre Pio before his death to give the veil to Conchita. On handing the veil to Conchita, Father Cennamo told her that he did not believe in the Apparitions of Garabandal until Padre Pio told him to give the veil to her.
Invité- Invité
Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Voici une interview d'un évêque de Santander.... intéressant !
bonne lecture !
lau
Bishop Del Val Gallo Interviewed
Former Santander Bishop Juan Antonio Del Val Gallo speaks candidly about the Garabandal events in which he confirms that Garabandal has never been condemned.
This June 1992 interview first appeared in a special 1992 edition of THE VIGIL. The questions were prepared by publisher, Maria Saraco of St. Michael’s Garabandal Centre, Pasadena, California, and translated into Spanish by visionary, Mari Loli, Loli’s sister, Sari, asked the questions during the interview which was video taped by New Zealand press photographer, Michael Tubberty. It is reprinted here by kind permission.
je passe la 1ère partie de l'interview où il raconte son enfance puis comment il est devenu prêtre, etc.(Lau)
Q. When did you first go to Garabandal village and why?
A. I went eight days after the first apparition. I went there because Bishop Doroteo Fernandez called me. He was actually the Apostolic Administrator of the diocese. Since I was a priest whom he trusted, he wanted me to go there as an observer and to report back to him my impressions of everything that I had seen. So I went there about eight days after the first apparition because the Bishop told me to go.
Q. How many times did you visit the village during the years of the reported apparitions?
A. I went only twice after that by order of the same Bishop.
Q. Did you witness any of the four girls in ecstasy? If so, please describe what you saw and heard. What were your impressions?
A. Yes. Yes, I saw them in ecstasy. That is what they were calling a psychological trance. I believe it was a trance but not as deep as one’s first impression because they were going in and out of ecstasy. I said that I believe that it was a trance and this is what astonished the people and made them believe it was supernatural. My impressions were that of a spectator. We’ll see. We’ll see what happens because this type of thing cannot be rushed.
Q. When were you assigned to the Santander diocese? Was this your first diocese as Bishop?
A. I was given the diocese on December 4, 1971, and came hereon January 16, 1972. This was the first and last diocese that I had as a resident bishop. I was here for 20 years. Before that I was in Jerez de la Frontera in the area of Cadiz which belonged to the diocese of Sevilla, performing my duties as would any other bishop. Today it is it's own diocese.
Q. Since the beginning of the reported apparitions, how many Bishops preceded you?
A. Many. There were many if we consider that some were Bishops and some were Apostolic Administrators because during those years, there was a lot of movement in the diocese of Santander. There was Doroteo Fenandez, Eugenio Beitia, Vicente Puchol, Enrique de Cabo, acting Bishop but titular vicariate, and then came Jose Maria Cirada who at the time was taking care of the diocese of Bilbao as Auxiliary Bishop and Apostolic Administrator. Another Bishop came called Rafael Torrija de la Fuente, and then I came in 1972.
Q. Isn’t it true that out of all those Bishops, you are the only one who actually witnesses the girls in ecstasy?
A. I think so. I think I am the only one. I have heard it said that Conchita fell into ecstasy in front of Bishop Puchol but I am not sure. Yes, I think that I was the only one who saw the ecstasies.
Q. Did you ever imagine that God would place you in such a unique situation?
A. I have always tried to be in the hands of God. I always try regardless of whether it is a difficult situation or a joyful one, and this one (Garabandal) is both hard and joyful at same time.
bonne lecture !
lau
Bishop Del Val Gallo Interviewed
Former Santander Bishop Juan Antonio Del Val Gallo speaks candidly about the Garabandal events in which he confirms that Garabandal has never been condemned.
This June 1992 interview first appeared in a special 1992 edition of THE VIGIL. The questions were prepared by publisher, Maria Saraco of St. Michael’s Garabandal Centre, Pasadena, California, and translated into Spanish by visionary, Mari Loli, Loli’s sister, Sari, asked the questions during the interview which was video taped by New Zealand press photographer, Michael Tubberty. It is reprinted here by kind permission.
je passe la 1ère partie de l'interview où il raconte son enfance puis comment il est devenu prêtre, etc.(Lau)
Q. When did you first go to Garabandal village and why?
A. I went eight days after the first apparition. I went there because Bishop Doroteo Fernandez called me. He was actually the Apostolic Administrator of the diocese. Since I was a priest whom he trusted, he wanted me to go there as an observer and to report back to him my impressions of everything that I had seen. So I went there about eight days after the first apparition because the Bishop told me to go.
Q. How many times did you visit the village during the years of the reported apparitions?
A. I went only twice after that by order of the same Bishop.
Q. Did you witness any of the four girls in ecstasy? If so, please describe what you saw and heard. What were your impressions?
A. Yes. Yes, I saw them in ecstasy. That is what they were calling a psychological trance. I believe it was a trance but not as deep as one’s first impression because they were going in and out of ecstasy. I said that I believe that it was a trance and this is what astonished the people and made them believe it was supernatural. My impressions were that of a spectator. We’ll see. We’ll see what happens because this type of thing cannot be rushed.
Q. When were you assigned to the Santander diocese? Was this your first diocese as Bishop?
A. I was given the diocese on December 4, 1971, and came hereon January 16, 1972. This was the first and last diocese that I had as a resident bishop. I was here for 20 years. Before that I was in Jerez de la Frontera in the area of Cadiz which belonged to the diocese of Sevilla, performing my duties as would any other bishop. Today it is it's own diocese.
Q. Since the beginning of the reported apparitions, how many Bishops preceded you?
A. Many. There were many if we consider that some were Bishops and some were Apostolic Administrators because during those years, there was a lot of movement in the diocese of Santander. There was Doroteo Fenandez, Eugenio Beitia, Vicente Puchol, Enrique de Cabo, acting Bishop but titular vicariate, and then came Jose Maria Cirada who at the time was taking care of the diocese of Bilbao as Auxiliary Bishop and Apostolic Administrator. Another Bishop came called Rafael Torrija de la Fuente, and then I came in 1972.
Q. Isn’t it true that out of all those Bishops, you are the only one who actually witnesses the girls in ecstasy?
A. I think so. I think I am the only one. I have heard it said that Conchita fell into ecstasy in front of Bishop Puchol but I am not sure. Yes, I think that I was the only one who saw the ecstasies.
Q. Did you ever imagine that God would place you in such a unique situation?
A. I have always tried to be in the hands of God. I always try regardless of whether it is a difficult situation or a joyful one, and this one (Garabandal) is both hard and joyful at same time.
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Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
... veuillez svp
-préciser la source de votre article + si possible
- nous fournir la traduction en français because y don't speak english
(au moins à l'aide d'un traducteur automatique)
Philippe-Antoine
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Philippe-Antoine
Philippe-Antoine- Date d'inscription : 24/01/2008
Age : 71
Localisation : Région Grenobloise (France)
Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Voici en premier un texte concernant Soeur Lucie de Fatima.... pourquoi FATIMA sur ce fil, parce que GARABANDAL est la suite de FATIMA. C'est Notre Dame du Mont Carmel qui est apparu à Fatima puis Garabandal et toujours avec les mêmes exhortations...
Mais laissons parler Soeur Lucie puis en 2ème partie, Jean-Paul II au sujet de Fatima et des apparitions en général...
En 3ème partie, un petit commentaire qui date de 2005 mais qui est très intéressant.....
Lau
« AVANT QU'IL NE SOIT TARD ... »
Message de Lucie, transmis au Père Agostino Fuentes, postulateur de la Cause de béatification de François et de Jacinthe, les deux autres voyants de Fatima :
Père A. Fuentes : « Je vous apporte un message d'extrême urgence le Saint-Père m'a permis de rendre visite à Lucie, maintenant à Coimbra, devenue carmélite déchaussée.
Elle me reçut, remplie de tristesse ; elle est amaigrie et très affligée. Elle dit en me voyant : « Père, la Madone est très mécontente, car on n'a pas tenu compte de son message de 1917. Ni les bons, ni les méchants n'en ont fait cas ; les bons poursuivent leur chemin sans se préoccuper, n'écoutant pas les directives célestes, et les méchants marchent dans la voie large de la perdition, ne tenant aucun compte des châtiments qui les menacent. Croyez-moi, mon Père, le Seigneur châtiera le monde très vite. Le châtiment est imminent. Le châtiment matériel arrivera très vite. Pensez, mon Père, à toutes les âmes qui tombent en enfer et cela arrivera parce qu'on ne prie pas et qu'on ne fait pas pénitence. Tout ceci est la raison de la tristesse de la Sainte Vierge. Père, dites à tous que la Madone me l'a annoncé très souvent : beaucoup de nations disparaîtront de la surface de la terre. La Russie sera le fléau choisi par Dieu pour châtier l'humanité si nous, par la prière et les sacrements, nons n'obtenons pas la grâce de sa conversion.Dites-le, Père, dites que le démon entreprend la bataille décisive contre la Madone. Ce qui afflige le Coeur Immaculé de Marie et Celui de Jésus, c'est la chute des âmes religieuses et sacerdotales. Le démon sait que les religieux et les prêtres, en manquant à leur belle vocation, entraînent de nombreuses âmes en enfer. Il est tout juste temps d'arrêter le châtiment du Ciel ; nous avons à notre disposition deux moyens très efficaces : la Prière et le Sacrifice.
Le démon fait tout ce qu'il peut pour nous distraire et nous enlever le goût de la prière. Nous nous sauverons ou nous nous damnerons ensemble. Toutefois, mon Père, il faut dire aux gens qu'ils ne doivent pas rester à espérer un appel à la pénitence et à la prière, ni du Souverain Pontife, ni des Evêques, ni des Curés, ni des Supérieurs généraux. Il est grand temps que, de sa propre initiative, chacun accomplisse de bonnes et saintes oeuvres et réforme sa vie selon les désirs de la Madone (seconde partie du Message).
Le démon veut s'emparer des âmes consacrées, il essaie de les corrompre pour endurcir les autres dans l'impénitence finale. Il emploie toutes les ruses, allant même jusqu'à suggérer d'adapter la vie religieuse ; il en résulte la stérilité de la vie intérieure et la froideur chez les laïcs au sujet du renoncement aux plaisirs et de la totale immolation à Dieu. Dites, Père, que deux choses furent à la base de la sanctification de Jacinthe et de François : l'affliction de la Madone et la vision de l'enfer...
La Madone se trouve comme placée entre deux épées : d'un côté, elle voit l'humanité obstinée et indifférente devant les châtiments annoncés ; de l'autre, elle nous voit qui profanons les Sacrements et méprisons le châtiment qui s'approche en restant incrédules, sensuels et matérialistes. La Madone a dit expressément :
« Nous abordons les derniers temps. »
Elle m'a dit ceci trois fois.
a) Premièrement, elle affirme que le démon a engagé la lutte décisive, c'est-à-dire finale, d'où l'un des deux sortira vainqueur ou vaincu. Ou nous sommes avec Dieu, ou nous sommes avec le démon.
b) La seconde fois, elle m'a répété que les ultimes remèdes donnés au monde sont le Saint Rosaire et la Dévotion au Coeur Immaculé de Marie. "Ultimes" signifie qu'il n'y en aura pas d'autres.
c) La troisième fois, elle m'a dit que les autres moyens dédaignés par les hommes étant épuisés, elle nous donne — en tremblant — la dernière ancre du salut qui est la Sainte Vierge en personne (peut-être ses dernières apparitions, les signes des larmes, les messages des divers voyants répandus dans toutes les parties du monde).
La Madone m'a dit encore que, si nous ne l'écoutions pas et l'offensions encore, nous ne serions plus pardonnés.
Père, me disait Lucie, il est urgent que nous nous rendions compte de la terrible réalité. Nous ne voulons pas épouvanter les âmes, mais c'est un appel urgent à la réalité. Depuis que la Sainte Vierge a donné une si grande efficacité au Rosaire, il n'existe aucun problème matériel, spirituel, national ou international, qui ne puisse être résolu par le Saint Rosaire et par nos sacrifices. Le réciter avec amour et piété permettra de consoler Marie et d'effacer les si nombreuses larmes de son Coeur Immaculé. »
(Extrait du « Messaggero del Cuore di Maria, n° 8 du 9 août 1961)
Publié à Rome avec autorisations officielles.
À une question posée à Soeur Lucie pour savoir si elle pensait que, si l'on n'accomplissait pas les demandes de Notre-Dame, la Russie soviétique arriverait à s'imposer à toutes les nations, elle répondit sans hésitation « Oui ! ».
JEAN-PAUL II ET LE TROISIEME SECRET DE FATIMA
La revue allemande « Stimme des Glaubens » (La voix des Croyants) a publié dans son numéro d'octobre 1981, ce qui Suit à l'occasion de la rencontre du Saint-Père à Fulda avec un petit groupe de catholiques allemands :
Demandes : Très Saint Père, qu'en est-il du 3ème Secret de Fatima ? Ne devait-il pas, selon les instructions de la Vierge, être publié en 1960 ? Et qu'arrivera-t-il dans l'Eglise ?
Réponse du Saint-Père : Vu la gravité du contenu, pour ne pas encourager la puissance mondiale du Communisme à accomplir certains coups, mes prédécesseurs dans la charge de saint Pierre ont diplomatiquement préféré surseoir à la publication (Autre traduction : « avaient préparé une rédaction diplomatique »).
D'autre part, il peut être suffisant à tous les chrétiens de savoir ceci : s'il y a un message où il est dit que les océans inonderont des parties entières de la terre, que de moment en moment, des millions d'hommes périront... Ce n'est vraiment plus le cas de désirer tellement la publication de ce message secret.Beaucoup veulent savoir seulement par curiosité et goût du sensationnel mais ils oublient que « savoir » implique pour eux une responsabilité. Il est périlleux de vouloir seulement apaiser sa curiosité, si l'on est convaincu qu'il n'y a rien à faire contre le malheur annoncé. »
À ce point de sa réponse, le Pape saisit son chapelet et dit : « Voilà le remède contre le mal ! Priez, priez et ne demandez rien d'autre. Confiez tout à la Mère de Dieu !... Puis il poursuit : « Nous devons nous préparer à subir, dans un temps non éloigné, de grandes épreuves qui exigeront de nous la disposition de perdre même la vie, et une remise totale de soi au Christ et pour le Christ. Par votre prière et la mienne, il est possible d'adoucir cette tribulation, mais il n'est plus possible de la détourner parce que, de cette façon seulement, l'Eglise peut effectivement être rénovée. Combien de fois, la rénovation de l'Eglise s'est effectuée dans le sang ! Cette fois encore, il n'en sera pas autrement. Nous devons être forts, nous préparer, nous confier au Christ et à sa Très Sainte Mère, et être assidus, très assidus à la prière du Rosaire. »
RÉFLÉCHISSONS !...
Ni le Seigneur, ni la Vierge ne jouent à se montrer ou à faire du cinéma. Si la Vierge est venue quelque part, c'est qu'Elle avait quelque chose à nous dire. Déférence et amour veulent que l'on s'en soucie.
Au travers de ses réticences pastorales, Jean-Paul II manifestait qu'il était loin de prendre en dérision, ou à la légère, les annonces faites à Fatima. Il en savait même plus qu'il n'en disait sur les épreuves qui nous attendent. Les expressions qu'il employait : « Dans un avenir peu éloigné » et, « Il n'est plus possible de détourner (cette tribulation) », en témoignent.
Le Saint Père était clair et net : il portait sur l'Eglise dont il avait la responsabilité et sur laquelle il était certainement très renseigné, un jugement très différent de celui que portent nombre d'optimistes : « ce n'est que par le sang que l'Eglise sera effectivement rénovée », disait-il. Il nous redisait en même temps que l'optimisme ou le pessimisme n'ont rien à voir avec l'objectivité.
Pour le Pape, l'Evangile ou la Bible ne suffisent pas. Sinon pourquoi, la Vierge vient-Elle à Lourdes, à Fatima, à la Salette, pour ne citer que les apparitions reconnues. L'Evangile et la Bible devraient suffire, il est vrai, mais la faiblesse de l'homme est telle que le Ciel doit de temps en temps nous reprendre par la main.
Il est vrai aussi qu'accueillir humblement les messages du Ciel conduit à plus de prière et à une révision de vie sérieuse. Trop de chrétiens, de religieux et de prêtres, qui affectent de mépriser ces messages, témoignent contre eux-mêmes que l'Evangile ne leur suffit malheureusement pas.
Il est sûr que le Ciel n'avertit pas les hommes pour leur fournir seulement des sujets de contestation, mais pour qu'ils se préparent. La Miséricorde leur annonce des événements redoutables, proches et de portée apocalyptique. Se retrancher dans une insouciance confortable, c'est renouveler l'attitude des hommes avant le déluge, comme le dit Jésus en saint Luc. Faire l'autruche, n'a rien d'intellectuel encore moins de surnaturel. Seigneur, prenez pitié.
Louis Huard,
En la fête de la Présentation
de la Bienheureuse Vierge Marie
le 21 novembre 2005
Mais laissons parler Soeur Lucie puis en 2ème partie, Jean-Paul II au sujet de Fatima et des apparitions en général...
En 3ème partie, un petit commentaire qui date de 2005 mais qui est très intéressant.....
Lau
« AVANT QU'IL NE SOIT TARD ... »
Message de Lucie, transmis au Père Agostino Fuentes, postulateur de la Cause de béatification de François et de Jacinthe, les deux autres voyants de Fatima :
Père A. Fuentes : « Je vous apporte un message d'extrême urgence le Saint-Père m'a permis de rendre visite à Lucie, maintenant à Coimbra, devenue carmélite déchaussée.
Elle me reçut, remplie de tristesse ; elle est amaigrie et très affligée. Elle dit en me voyant : « Père, la Madone est très mécontente, car on n'a pas tenu compte de son message de 1917. Ni les bons, ni les méchants n'en ont fait cas ; les bons poursuivent leur chemin sans se préoccuper, n'écoutant pas les directives célestes, et les méchants marchent dans la voie large de la perdition, ne tenant aucun compte des châtiments qui les menacent. Croyez-moi, mon Père, le Seigneur châtiera le monde très vite. Le châtiment est imminent. Le châtiment matériel arrivera très vite. Pensez, mon Père, à toutes les âmes qui tombent en enfer et cela arrivera parce qu'on ne prie pas et qu'on ne fait pas pénitence. Tout ceci est la raison de la tristesse de la Sainte Vierge. Père, dites à tous que la Madone me l'a annoncé très souvent : beaucoup de nations disparaîtront de la surface de la terre. La Russie sera le fléau choisi par Dieu pour châtier l'humanité si nous, par la prière et les sacrements, nons n'obtenons pas la grâce de sa conversion.Dites-le, Père, dites que le démon entreprend la bataille décisive contre la Madone. Ce qui afflige le Coeur Immaculé de Marie et Celui de Jésus, c'est la chute des âmes religieuses et sacerdotales. Le démon sait que les religieux et les prêtres, en manquant à leur belle vocation, entraînent de nombreuses âmes en enfer. Il est tout juste temps d'arrêter le châtiment du Ciel ; nous avons à notre disposition deux moyens très efficaces : la Prière et le Sacrifice.
Le démon fait tout ce qu'il peut pour nous distraire et nous enlever le goût de la prière. Nous nous sauverons ou nous nous damnerons ensemble. Toutefois, mon Père, il faut dire aux gens qu'ils ne doivent pas rester à espérer un appel à la pénitence et à la prière, ni du Souverain Pontife, ni des Evêques, ni des Curés, ni des Supérieurs généraux. Il est grand temps que, de sa propre initiative, chacun accomplisse de bonnes et saintes oeuvres et réforme sa vie selon les désirs de la Madone (seconde partie du Message).
Le démon veut s'emparer des âmes consacrées, il essaie de les corrompre pour endurcir les autres dans l'impénitence finale. Il emploie toutes les ruses, allant même jusqu'à suggérer d'adapter la vie religieuse ; il en résulte la stérilité de la vie intérieure et la froideur chez les laïcs au sujet du renoncement aux plaisirs et de la totale immolation à Dieu. Dites, Père, que deux choses furent à la base de la sanctification de Jacinthe et de François : l'affliction de la Madone et la vision de l'enfer...
La Madone se trouve comme placée entre deux épées : d'un côté, elle voit l'humanité obstinée et indifférente devant les châtiments annoncés ; de l'autre, elle nous voit qui profanons les Sacrements et méprisons le châtiment qui s'approche en restant incrédules, sensuels et matérialistes. La Madone a dit expressément :
« Nous abordons les derniers temps. »
Elle m'a dit ceci trois fois.
a) Premièrement, elle affirme que le démon a engagé la lutte décisive, c'est-à-dire finale, d'où l'un des deux sortira vainqueur ou vaincu. Ou nous sommes avec Dieu, ou nous sommes avec le démon.
b) La seconde fois, elle m'a répété que les ultimes remèdes donnés au monde sont le Saint Rosaire et la Dévotion au Coeur Immaculé de Marie. "Ultimes" signifie qu'il n'y en aura pas d'autres.
c) La troisième fois, elle m'a dit que les autres moyens dédaignés par les hommes étant épuisés, elle nous donne — en tremblant — la dernière ancre du salut qui est la Sainte Vierge en personne (peut-être ses dernières apparitions, les signes des larmes, les messages des divers voyants répandus dans toutes les parties du monde).
La Madone m'a dit encore que, si nous ne l'écoutions pas et l'offensions encore, nous ne serions plus pardonnés.
Père, me disait Lucie, il est urgent que nous nous rendions compte de la terrible réalité. Nous ne voulons pas épouvanter les âmes, mais c'est un appel urgent à la réalité. Depuis que la Sainte Vierge a donné une si grande efficacité au Rosaire, il n'existe aucun problème matériel, spirituel, national ou international, qui ne puisse être résolu par le Saint Rosaire et par nos sacrifices. Le réciter avec amour et piété permettra de consoler Marie et d'effacer les si nombreuses larmes de son Coeur Immaculé. »
(Extrait du « Messaggero del Cuore di Maria, n° 8 du 9 août 1961)
Publié à Rome avec autorisations officielles.
À une question posée à Soeur Lucie pour savoir si elle pensait que, si l'on n'accomplissait pas les demandes de Notre-Dame, la Russie soviétique arriverait à s'imposer à toutes les nations, elle répondit sans hésitation « Oui ! ».
JEAN-PAUL II ET LE TROISIEME SECRET DE FATIMA
La revue allemande « Stimme des Glaubens » (La voix des Croyants) a publié dans son numéro d'octobre 1981, ce qui Suit à l'occasion de la rencontre du Saint-Père à Fulda avec un petit groupe de catholiques allemands :
Demandes : Très Saint Père, qu'en est-il du 3ème Secret de Fatima ? Ne devait-il pas, selon les instructions de la Vierge, être publié en 1960 ? Et qu'arrivera-t-il dans l'Eglise ?
Réponse du Saint-Père : Vu la gravité du contenu, pour ne pas encourager la puissance mondiale du Communisme à accomplir certains coups, mes prédécesseurs dans la charge de saint Pierre ont diplomatiquement préféré surseoir à la publication (Autre traduction : « avaient préparé une rédaction diplomatique »).
D'autre part, il peut être suffisant à tous les chrétiens de savoir ceci : s'il y a un message où il est dit que les océans inonderont des parties entières de la terre, que de moment en moment, des millions d'hommes périront... Ce n'est vraiment plus le cas de désirer tellement la publication de ce message secret.Beaucoup veulent savoir seulement par curiosité et goût du sensationnel mais ils oublient que « savoir » implique pour eux une responsabilité. Il est périlleux de vouloir seulement apaiser sa curiosité, si l'on est convaincu qu'il n'y a rien à faire contre le malheur annoncé. »
À ce point de sa réponse, le Pape saisit son chapelet et dit : « Voilà le remède contre le mal ! Priez, priez et ne demandez rien d'autre. Confiez tout à la Mère de Dieu !... Puis il poursuit : « Nous devons nous préparer à subir, dans un temps non éloigné, de grandes épreuves qui exigeront de nous la disposition de perdre même la vie, et une remise totale de soi au Christ et pour le Christ. Par votre prière et la mienne, il est possible d'adoucir cette tribulation, mais il n'est plus possible de la détourner parce que, de cette façon seulement, l'Eglise peut effectivement être rénovée. Combien de fois, la rénovation de l'Eglise s'est effectuée dans le sang ! Cette fois encore, il n'en sera pas autrement. Nous devons être forts, nous préparer, nous confier au Christ et à sa Très Sainte Mère, et être assidus, très assidus à la prière du Rosaire. »
RÉFLÉCHISSONS !...
Ni le Seigneur, ni la Vierge ne jouent à se montrer ou à faire du cinéma. Si la Vierge est venue quelque part, c'est qu'Elle avait quelque chose à nous dire. Déférence et amour veulent que l'on s'en soucie.
Au travers de ses réticences pastorales, Jean-Paul II manifestait qu'il était loin de prendre en dérision, ou à la légère, les annonces faites à Fatima. Il en savait même plus qu'il n'en disait sur les épreuves qui nous attendent. Les expressions qu'il employait : « Dans un avenir peu éloigné » et, « Il n'est plus possible de détourner (cette tribulation) », en témoignent.
Le Saint Père était clair et net : il portait sur l'Eglise dont il avait la responsabilité et sur laquelle il était certainement très renseigné, un jugement très différent de celui que portent nombre d'optimistes : « ce n'est que par le sang que l'Eglise sera effectivement rénovée », disait-il. Il nous redisait en même temps que l'optimisme ou le pessimisme n'ont rien à voir avec l'objectivité.
Pour le Pape, l'Evangile ou la Bible ne suffisent pas. Sinon pourquoi, la Vierge vient-Elle à Lourdes, à Fatima, à la Salette, pour ne citer que les apparitions reconnues. L'Evangile et la Bible devraient suffire, il est vrai, mais la faiblesse de l'homme est telle que le Ciel doit de temps en temps nous reprendre par la main.
Il est vrai aussi qu'accueillir humblement les messages du Ciel conduit à plus de prière et à une révision de vie sérieuse. Trop de chrétiens, de religieux et de prêtres, qui affectent de mépriser ces messages, témoignent contre eux-mêmes que l'Evangile ne leur suffit malheureusement pas.
Il est sûr que le Ciel n'avertit pas les hommes pour leur fournir seulement des sujets de contestation, mais pour qu'ils se préparent. La Miséricorde leur annonce des événements redoutables, proches et de portée apocalyptique. Se retrancher dans une insouciance confortable, c'est renouveler l'attitude des hommes avant le déluge, comme le dit Jésus en saint Luc. Faire l'autruche, n'a rien d'intellectuel encore moins de surnaturel. Seigneur, prenez pitié.
Louis Huard,
En la fête de la Présentation
de la Bienheureuse Vierge Marie
le 21 novembre 2005
Invité- Invité
Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
svp, pourriez-vous évitez les "doublons".
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Merci
Philippe-Antoine
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Philippe-Antoine
Philippe-Antoine- Date d'inscription : 24/01/2008
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Re: GARABANDAL histoire, messages, événements annoncés.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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