UNE REACTION NECESSAIRE
Page 1 sur 1
UNE REACTION NECESSAIRE
-Une réaction est aujourd'hui plus que jamais nécessaire. Car la décadance des insitutions républicaines (on le vérifie avec la "Charlicité"), entraine celle des moeurs, qui est la mort de la Nation. la civilisation elle-même ne survivrait pas longtemps à la décompsition spirituelle de la France (François-Marie Algould).
Aujourd'hui, en ce début de XXI° siècle, nous voyons ce qu'il est advenu de ce grave avertissement. A cette décadance des insitutions entrainant celles des moeurs, se sont ajoutées les conséquances d'une immigration galoppante, toute autre que celle en provenance de pays Chrétiens comme l'Italie, la Pologne, l'Espagne, le Portugal.
La France révolutionnaire : Un pays incgouvernable, toujours en grève, qui possède un dette abyssale et des banlieues-ghettos devenues ingérables. L'abandon de l'Algérie et des pays que nous avions aidé de notre mieux, éCONOMIQUEMENT AUTANT QUE SPIRITUELLEMENT PAR LES mISSIONS, a provoqué ce flot d'immigrés dont un grand nombre refuse notre Foi et notre civilisation, pèse sur notre économie, produit des phénomènes délinquence et d'insécurité, et ce, sur fond de l'avancée islamique. Et la France est aujourd'hui en guerre, contre le terrorisme au nom de l'islam, contre la barbarie anti-sémite et anti-Chrétienne, contre l'aveuglement de nos élites républicaine mécéantes et parvenues.
Il faut lutter contre l'immigrationnisme et ses conséquences : le chômage, l'insécurité et les déficits budgétaires et sociaux.
Seul Charles Maurras avait vu clair. Il suffit de se reporter à son article dans le quotidien L'ACTION FARNCAISE du 13 Juillet 1926 sur l'inauguration à Paris de la première mosquée de France à Paris.
La réaction désigne ainsi la politique prônant et mettant en œuvre un retour à la Tradition, révoquant une série de changements sociaux, moraux, économiques et politiques. Un partisan de la réaction est nommé « réactionnaire ». Le terme s'oppose à révolutionnaire, à progressiste, ces derniers employant de façon raccourcie le mot « réac », pour désigner péjorativement toute personne identifiée comme réactionnaire qui s'oppose aux idéaux qui se veulent progressistes.
La pensée réactionnaire rejette un présent perçu comme « décadent » et prône un retour vers un traditionaliste politique. Le terme serait apparu au cours de la Révolution dite Française de 1789, pour qualifier le mouvement s'opposant aux changements initiés par les révolutionnaires, et voulant revenir à l'Ancien Régime.
Dans le Manifeste du Parti Communiste, Karl Marx affirme que :
-Les classes moyennes [...] combattent la bourgeoisie parce qu'elle est une menace pour leur existence en tant que classes moyennes. Elles ne sont donc pas révolutionnaires, mais conservatrices ; bien plus, elles sont réactionnaires : elles cherchent à faire tourner à l'envers la roue de l'histoire.
Pour baudelaire :
-Le réactionnaire est celui qui prône un antimodernisme opposant la transcendance à l'athéisme, la hiérarchie à l'égalitarisme, l'aristocratie à la démocratie, l'expérience à l'abstraction, les hommes particuliers à l'humanité en général, la tradition au progrès.
Le réactionnaire est celui qui attaque la modernité dans sa substance même.
-Pour le réactionnaire, réagir n'est pas tomber dans un passé mort, mais s'arracher à une maladie qui tue (NICOLÁS GÓMEZ DÁVILA, Les horreurs de la démocratie, Monaco, Éditions du Rocher, 2003, p. 244).
Les religions sont parfois qualifiées de réactionnaires par tous militants qui se réclament du progressisme. Cela provient en partie de l'opposition de ces derniers à des philosophes CATHOLIQUES comme Louis de Bonald, Jospeh de Maîstre et François-René de Chateaubraind, et en partie de ce que Karl Popper a appelé la croyance progressiste dans le caractère manifeste de la vérité, qui conduit ceux-ci non pas à construire la connaissance mais à chercher quels obstacles s'opposeraient à la manifestation de la vérité, à identifier la religion comme génératrice de préjugé et finalement à chercher à abolir la religion.
Le vaisseau de l'Eglise ne sombrera jamais, mais il pourrait s'y trouver de graves avaries, son commendant pourrait même être tué.
Si l'Eglise est comme une cité fortifiée, la pérennité se trouve dans le donjon : c'est pourqupoi aujourd'hui la mort n'est qu'apparente. Un noyau vivant subsiste qui est précisément la minorité anti-conciliaire.
Le terme traditionalisme désigne ce qui relève de la Tradition. Le Catholicisme traditionaliste, également appelé traditionalisme lorsqu'il est soutenau par le Royalisme comme c'est souvant le cas, est un courant conservateur de l'Église Catholique romaine.
Des historiens traditionalistes de valeurs ont donné corps à ces notions à la fois religieuses et juridiques, de sorte qu'il s'est constitué, à l'opposé de l'esprit humaniste et révolutionnaire, un courant de pensée politique Chrétienne, aujourd'hui en pleine expension, que l'on appelle Royalisme. Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique il défend le principe d'expension-évangélisation, dont Léon XIII reprendra l'idée: tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien: mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est, enfin, face à la masse l'affirmation de la personne Chrétienne.
NOUS PARLONS D'UN TRADITIONALISME POSSEDANT L'INDULT DU PAPE (les fraternités tradis demeurant en union avec la paputé sont la FRATERNITE SAINT-PERE, l'INSITUT DU BON PASTEUR, l'INSTITUT CHRIST-ROI SOUVERAIN PRETRE).
Notre Royalisme inspire en France le Légitimisme et les néo-Légitimismes que sont le Parmisme, le Survivantisme et le Providentialisme, et à l'étranger le Carlisme espagnol et latino-américain, le Miguélisme portugais et bréslien, le Né-Bourbonnisme napolitain, le Jacobitisme écossais et irlandais, le Magyarisme des pays de Visegrad (Hongrie, Slovaquie, République Tchèque, Polgne), le Hiérosolymite de Terre Sainte et des Pays de l'ex-Empire de Constantinople.
Les esprits appartenant au Royalisme font remonter les principes du pouvoir Royal à Clovis, lequel, d'un coup et à l'origine, a donné ses limites au territoire Français : le Rhin, les Alpes,, la Méditérannée, les Pyrénnées, l'Atlantique, la Manche. Il lui a donné le nom de Gaule Franque puis de France. Il lui a donné sa religion sur les pieuses inistances de Sainte Clotilde et contre les Wisigoths ariens. Et il lui a méritéson titre de Fille Aînée de l'Eglise puisqu'elle a été la première nation baptisée faisant profession de natoion Chrétienne avec un Roi Très Chrétienne à sa tête.
Aujourd'hui, le noyau central de la réaction est le Royalisme Providentialiste dont les membres s'en remettent à Dieu pour le choix du Roi à venir.
Autour de ce noyau central Providentialiste viennent se placer les Royalistes Légitimistes pour qui le Roi est la seule autorité Légitime émamant de Dieu, mais font eux-même le choix de leur Prétendant. Les Royalistes Survivantistes et Parmistes ne sont, comme on l'a vu plus haut, que des néo-Légitmistes : le principe est le même, seul le Prétendamnt change.
Il est logique de réunir en un seul bloc tous ceux qui remontent jusqu'à Clovis et la Sainte Ampoule, puisqu'ils professent les mêmes principes et ne divergent que dans des questions de personnes.
Autour de ce second cercle Royalo-récationnaire prennent place ceux qui, pour une raison ou une autre ne veulent pas reconnaître dans le Sacre de Reims de l'An 496 la base du droit Royal : Royalistes Orléanites, pourqwui le Roi est une nécessité nationale, nationalistes, souverainistes, identitaires...
Point commun : tous patriotes !
Le but du Royalisme est de rassembler tous ces patriotes -celà ne sera pas facile- et constituer une 3° alternative face au libéralisme et au socialo-écolo-communisme...
Le néo-réactionnisme est un courant de pensée politique d'origine Française apparu au début du XXI° siècle et pouvant être défini comme une version réactualisée et radicalisée du Royalisme.
Deux mots sur le néo-réactionnisme, qui partage une partie des valeurs et des convictions du néo-conservatisme, mais rejette certains de ses préceptes socio-économiques relevant du néo-libéralisme. En France, les intellectuels et journalistes défendant cette doctrine sont communément appelés les « néo-réactionnaires » ou les « nouveaux réacs » . L'expression a largement été forgée par le quotidien Le Monde, marqué au centre-gauche de l'échiquier politique Français, qui a publié de nombreux articles sur le sujet.
-Eric Zemmour est le plus connu et le plus cultivé, récapitule Elisabeth Lévy (site Causeur).
Avant d'énoncer Robert Ménard (ancien secrétaire général de Reporters sans frontières), qui s'apprête à publier un livre carrément intitulé Vive Le Pen, Yvan Rioufol (éditorialiste au Figaro) et Eric Brunet (animateur sur RMC) : ce sont les tenants du mouvements néo-Ractionnaire, aux côtés d' Eric Zémour.
Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Natacha Polony, mais aussi Marcel Gauchet, Michel Onfray, Régis Debray, Jean-Claude Michéa, Michel Houellebecq et bien d'autres encore sont régulièrement pointés du doigt dans la presse pour «pensée déviante» et regroupés dans la catégorie censée être infâmante des «néo-réactionnaires». L'appellation trouve sa source principale dans un bref pamphlet de Daniel Lindenberg paru en 2002 intitulé Le Rappel à l'ordre, et sous-titré «Enquête sur les nouveaux réactionnaires».
Le terme réactionaire est donc parfois utilisé dans un contexte politique, pour désigner de façon manifeste une personne qui s'oppose à certains changements dans la société. C'était dans les régimes communistes l'insulte adressée aux dissidants et aux Aristocraties occidentales.
Dans L'OPIUM DES INTELLECTUELS (1955), le philosophe Français Raymond Aron note également que le terme de réaction peut servir aux progessistes à forger un ennemi imaginaire pour faciliter la cohésion d'un camp politique. Il écrit par exemple que « radicaux et socialistes ne se sont réellement accordés que contre un ennemi insaisissable, la réaction ».
A Droite, et même à l’Extrême–Droite car, face à une Gauche qui incarne l’idée de progrès (donc de mouvement), la Droite de gouvernement est conservatrice alors que le réactionnaire souhaite clairement revenir au régime de la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale. Dans les années 1820, le réactionnaire « Ultraroyaliste » aspire, non à la Monarchie constitutionnelle, mais au retour à l’absolutisme de droit Divin de l’Ancien Régime.
Durant le XIX° siècle, les choses évoluent. La réaction cesse d’imaginer un retour pur et simple à l’état et à la société d’avant 1789 parce que cela devient de plus en plus impensable, mais la récusation des principes de la Révolution demeure et sous la III° République, elle se trouve un remarquable idéologue en la personne de Charles Maurras.
-La République en France, c'est le règne de l'étranger. L'esprit républicain destabilise notre défense nationale et favorise des influence religieuse directement hostiles au Catholicisme traditionnel. Il faut rendre à la France un régime qui soit Français (Charles Maurras, 1905) !
Soucieux d’ordre et d’autorité, promoteur d’une solidarité nationale volontiers Royaliste et Contrerévolutionnaire, Maurras et son mouvement « l’Action Française » prônent un état Monarchique responsable sous la suprématie morale de l’Eglise Catholique. Son influence sera considérable dans la première moitié du XX° siècle, tant au plan intellectuel que politique puisqu’il inspirera largement le régime de Vichy.
Disqualifié par les événements, il semble disparaître après la guerre. Que devient alors la réaction ? Comment se caractérise-t-elle ?
François-Marie Algoud (1920-2012) est un journaliste et un essayiste Français et militant Royaliste.
Lycéen militant dans les camelots du Roi (branche militante de l'Action Française) pendant l'entre-deux-guerres, il effectue une préparation militaire pour entrer dans la marine, servant à partir de 1939 à dakar. Démobilisé en 1942, il rentre en zone occupée pour travailler dans un organisme créé par le Maréchal Pétain mais germanophobe, le « Centre d'Information Interprofessionnel ». Après la guerre, il travaillera dans le secteur privé, tout en étant proche des milieux maurrassiens et Catholiques traditionalistes.
Il reprend plus tard l'action politique, en créant en 1987 le « Cercle de la Cité Vivante en 1987 », mouvement très impliqué dans la lutte contre la pornographie et l'avortement, qui devient plus tard « L'Œuvre Chrétienne de la Cité Vivante ».
On lui doit plusieurs études sur Charles Maurras, ainsi que des pamphlets (parfois sous le pseudonyme de Désiré Dutonnerre) mettant en garde contre le satanisme en politique ou ce qu'il nomme la « démoncratie », en collaboration avec l'équipe des Editions de Chiré.
François-Marie Algould essurtout l'auteur de LA PESTE TE LE CHOLERA (Ed. de Chiré), établissant d'un point de vue Catholique traditionaliste un parallèle entre la peste communisme et le choléra nazi, concluant à la nécessité d'une 3° Voie incarnée par une Monarchie Catholique, corporatiste, anti-communiste, anti-parlementaire et décentralisatrice.
Il est par ailleurs le père de six enfants, dont l'humoriste Albert Algould ; François-Marie Algoud fut très affecté par la mort de sa fille Véronique alors âgée de vingt-quatre ans, évènement tragique qui le convertira à plus de spiritualité. Avec François-marie algould, nous avpons là un Orlénaiste convaincu mais authentiquement Catholique, et qui promeut une politique Chrétienne, familiale et patriotique.
Pour l'abbé Georges de Nantes, il faut revenir à la Tradition : Catholicisme de tradition mais en union au Saint Père, Royalisme comme patriotisme Français et Catholique, et Providentialisme : choisir son Prince serait déjà être républicain !
En un temps où plus personne ne conteste les dangers de la Révolution, en premier l'égalité des personnes et des religions, l’attitude réactionnaire ne peut plus se réduire à une Contrerévolution de façade. On va donc la retrouver à sa place traditionnelle, l’Extrême Droite, sur une base idéologique qui était déjà essentielle chez Maurras : le nationalisme intégral. Revivifié par la construction de l’Union Européenne qui conduit nécessairement à des abandons de Souveraineté, le nationalisme exalte le souvenir d’une France grande puissance pesant sur les décisions mondiales, auquel il oppose l’image dépréciée d’un état aujourd’hui soumis à l’autorité des institutions de Bruxelles. Il appelle à un sursaut, à une reprise d’indépendance qui conduisent implicitement à une sortie de l’Europe et à la reconstruction d’un état fort qui rendra au pays la place qui doit être la sienne, celle d’une grande nation d’importance mondiale. Le Front National ne s’intitule pas ainsi par hasard.
Une telle ambition est typique de la démarche réactionnaire dans la mesure où elle exprime la nostalgie d’un passé qu’on espère ressusciter. Au même titre que les Monarchistes du XIX° siècle rêvaient d’un retour à un Ancien Régime idéalisé, les nationalistes du XXI° s’inventent la renaissance de la France d’avant 1914, constatant combien le monde a changé, refusant de voir qu’aucun des états-nations d’Europe ne dispose aujourd’hui, seul, du poids politique, diplomatique, militaire dont la France, l’Allemagne ou le Royaume-Uni bénéficiaient il y a un siècle. Et puis l'immigration-invasion arabo-musulmanne fait qu'un certain Catholicisme de tradition, mis en somneil depuis mai 1968, commence à sortir des catacombes : on le voit avec le phénomène CIVITAS.
Ces idées Catholiques, Royalistes, patriotiques séduisent au-delà du cercle traditionnel de cette Droite historique, Monarchiste et Catholique traditionaliste, qui va de Jospeh de Maistre à Charles Maurras, et qui est la notre, et qui est défendue aujourd'hui par Philippe de Villiers et Marion Maréchal ex-Le Pen : elle alimente un courant souverainiste anti-européen dont l’influence s’est révélée lors du référendum de 2005, succès inespéré pour le mouvement réactionnaire de Droite et le Royalisme.
La pensée réactionnaire, qu'elle soit Royaliste ou Frontiste, s'articule autour de deux discourts : un discours économique et social montrant l'unité de programme des blocs européens social-démocrate et conservateur, et une posture culturelle ou identitaire en phase avec la détresse des Français face à la mondialisation néolibérale. Le réactionnaire n'est pas celui qui critique un aspect ou l'autre du monde moderne (comme se l'imaginent Lindenberg et ses émules nord-américains), mais celui qui refuse les postulats philosophiques de la modernité. Face à la perversion des intelligences et des moeurs qui porte au suicide programmé de la nation Français et de la civilisation Chrétienne, c'est à une véritable Croisade, c'est à une véritable Contrerévolution qu'il faut en appeller !
Les Monarchistes sont les seuls qui peuvent répondre à l’appel d’Alain Finkielkraut demandant de ne pas "oublier les Français de souche".
-Avant d’être Royaliste, je suis Catholique et Français; je dirai même que je suis Royaliste parce que je suis Catholique et Français (Maurice d’Andigné).
Pour ses partisans, le Royalisme consiste avant tout en une ambition pour la France : la volonté de redonner au pays sa position hégémonique de Fille Aînée de l'Eglise et d'Educatrice des Peuples qu’elle a eu jusqu’au début du siècle passé, de retrouver un Monarque apte à enclencher de grands projets, celle aussi de sortir du jeu des partis et de la politique à court terme qui caractérise, pour les Royalistes, l’exercice du pouvoir des hommes politiques de la république. Le Royalisme se pose pour certains comme une opposition au nouvel ordre mondial par le renforcement de l’État face aux institutions supranationales qui empiètent sur les libertés fondamentales des peuples. Ainsi la Monarchie est à leurs yeux plus démocratique que la république dans le sens où elle défend l’indépendance et l’autodétermination des peuples.
Mais attention, aujourd’hui, aucune action politique Royaliste n’est envisageable si la querelle dynastique l’emporte sur l’adhésion commune au principe Royal ! Il demeure qu’on ne peut pas nier que, par nature, l’action politique Royaliste tourne autour de l’hypothèse d’une montée d’un Prince sur le Trône: il faudra bien s’en remettre à Dieu pour le choix du futur Roi…
Oui, l'ennemi tentera de torpiller notre réaction !
Dans le N° de Janvier 1987 de la revue Sous la bannière, Adrien-Marie Bonnet de Villers, fondateur des Editions Sainte-Jeanne d’Arc nous avait prévenu :
-Dans les loges, on craint le “Grand Monarque” annoncé par les prophéties et que l’on connait mieux que dans le public des Messes de Saint-Pie V. C’est pourquoi la Révolution prend les devants et prépare ses “roues de secours” en accoutumant les esprits à l’idée de Royauté, mais en brouillant les cartes afin de pouvoir choisir elle-même son candidat parmi les fausses pistes qu’elle nous aura montées, du Comte de Paris à Le Pen, du Duc d’Anjou à Naundorff, et de n’importe quoi à autre chose...
Mais notre ami Henri Philip, dans son livre LA FRANCE DEBOUT (Editions Godefroy de Bouillon), [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a mis en lumière le fait que la Monarchie de Droit Divin, à l’heure actuelle et selon la Prophétie, EST ANOUVEAU CONCEVABLE.
Dans l'attente du Roi, qui qu'il sera, face à la violence sournoise qui s'exerce partout, contre l'âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre pays, contre son Histoire, contre la sécurité et l'honneur de la France, nous Royalistes, nous devons opposer sans relache nos Valeurs Chrétiennes, familiales et patriotiques !!!
Guy Augé préconisait la prière et l'action. La prière : l'Heure Sainte, l'Adoration au Saint Sacrement, la dévotion à la Sainte face, l'intercession de la Très Sainte Vierge Marie par le culte Marial, la dévotion, au Divin Christ-Roi et à Marie Reine, et donc à leurs Coeurs Unis. L'action : una action Catholique et Française, Royaliste et Providentialiste consacrée à Jésus, Marie (et à leurs Coeurs Unis donc) et à Saint-Michel Archange, les 3 Lys de France du Blason Royal comme les 3 vainqueurs de Satan.
Comment agir concrètement ? Le nouveau Réactionaire devra ainsi viser un double objectif :
-faire connaître les nombreuses activités Catholiques et Royalistes à Paris et dans sa province, et en rendre compte : Universités d'été, Marche pour la Vie, Seccion de Juenes, conférences, fêtes du livres, messe pour Louis XVI et Marie Antoinette, etc...
-traiter de l'actualité et livrer des informations à la lumière de notre traditon nationale, qui est catholique et Royale.
Les journeaux et les sitres internet devront fournir des éditoriaux, des réflexions sur la'ctulaité politique (défense de la famille, combat pour la Vie, salubrité morale, école, culture, etc...).
Réagir est un devoir de justice.
-Plutot la mort que la souillure (proverbe breton) !
Hervé J. VOLTO, CJA
A lire : François-Marie Algould, NOTRE AVENIR EST DANS LE PASSE
(Ed. de Chiré).
Aujourd'hui, en ce début de XXI° siècle, nous voyons ce qu'il est advenu de ce grave avertissement. A cette décadance des insitutions entrainant celles des moeurs, se sont ajoutées les conséquances d'une immigration galoppante, toute autre que celle en provenance de pays Chrétiens comme l'Italie, la Pologne, l'Espagne, le Portugal.
La France révolutionnaire : Un pays incgouvernable, toujours en grève, qui possède un dette abyssale et des banlieues-ghettos devenues ingérables. L'abandon de l'Algérie et des pays que nous avions aidé de notre mieux, éCONOMIQUEMENT AUTANT QUE SPIRITUELLEMENT PAR LES mISSIONS, a provoqué ce flot d'immigrés dont un grand nombre refuse notre Foi et notre civilisation, pèse sur notre économie, produit des phénomènes délinquence et d'insécurité, et ce, sur fond de l'avancée islamique. Et la France est aujourd'hui en guerre, contre le terrorisme au nom de l'islam, contre la barbarie anti-sémite et anti-Chrétienne, contre l'aveuglement de nos élites républicaine mécéantes et parvenues.
Il faut lutter contre l'immigrationnisme et ses conséquences : le chômage, l'insécurité et les déficits budgétaires et sociaux.
Seul Charles Maurras avait vu clair. Il suffit de se reporter à son article dans le quotidien L'ACTION FARNCAISE du 13 Juillet 1926 sur l'inauguration à Paris de la première mosquée de France à Paris.
La réaction désigne ainsi la politique prônant et mettant en œuvre un retour à la Tradition, révoquant une série de changements sociaux, moraux, économiques et politiques. Un partisan de la réaction est nommé « réactionnaire ». Le terme s'oppose à révolutionnaire, à progressiste, ces derniers employant de façon raccourcie le mot « réac », pour désigner péjorativement toute personne identifiée comme réactionnaire qui s'oppose aux idéaux qui se veulent progressistes.
La pensée réactionnaire rejette un présent perçu comme « décadent » et prône un retour vers un traditionaliste politique. Le terme serait apparu au cours de la Révolution dite Française de 1789, pour qualifier le mouvement s'opposant aux changements initiés par les révolutionnaires, et voulant revenir à l'Ancien Régime.
Dans le Manifeste du Parti Communiste, Karl Marx affirme que :
-Les classes moyennes [...] combattent la bourgeoisie parce qu'elle est une menace pour leur existence en tant que classes moyennes. Elles ne sont donc pas révolutionnaires, mais conservatrices ; bien plus, elles sont réactionnaires : elles cherchent à faire tourner à l'envers la roue de l'histoire.
Pour baudelaire :
-Le réactionnaire est celui qui prône un antimodernisme opposant la transcendance à l'athéisme, la hiérarchie à l'égalitarisme, l'aristocratie à la démocratie, l'expérience à l'abstraction, les hommes particuliers à l'humanité en général, la tradition au progrès.
Le réactionnaire est celui qui attaque la modernité dans sa substance même.
-Pour le réactionnaire, réagir n'est pas tomber dans un passé mort, mais s'arracher à une maladie qui tue (NICOLÁS GÓMEZ DÁVILA, Les horreurs de la démocratie, Monaco, Éditions du Rocher, 2003, p. 244).
Les religions sont parfois qualifiées de réactionnaires par tous militants qui se réclament du progressisme. Cela provient en partie de l'opposition de ces derniers à des philosophes CATHOLIQUES comme Louis de Bonald, Jospeh de Maîstre et François-René de Chateaubraind, et en partie de ce que Karl Popper a appelé la croyance progressiste dans le caractère manifeste de la vérité, qui conduit ceux-ci non pas à construire la connaissance mais à chercher quels obstacles s'opposeraient à la manifestation de la vérité, à identifier la religion comme génératrice de préjugé et finalement à chercher à abolir la religion.
Le vaisseau de l'Eglise ne sombrera jamais, mais il pourrait s'y trouver de graves avaries, son commendant pourrait même être tué.
Si l'Eglise est comme une cité fortifiée, la pérennité se trouve dans le donjon : c'est pourqupoi aujourd'hui la mort n'est qu'apparente. Un noyau vivant subsiste qui est précisément la minorité anti-conciliaire.
Le terme traditionalisme désigne ce qui relève de la Tradition. Le Catholicisme traditionaliste, également appelé traditionalisme lorsqu'il est soutenau par le Royalisme comme c'est souvant le cas, est un courant conservateur de l'Église Catholique romaine.
Des historiens traditionalistes de valeurs ont donné corps à ces notions à la fois religieuses et juridiques, de sorte qu'il s'est constitué, à l'opposé de l'esprit humaniste et révolutionnaire, un courant de pensée politique Chrétienne, aujourd'hui en pleine expension, que l'on appelle Royalisme. Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique il défend le principe d'expension-évangélisation, dont Léon XIII reprendra l'idée: tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien: mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est, enfin, face à la masse l'affirmation de la personne Chrétienne.
NOUS PARLONS D'UN TRADITIONALISME POSSEDANT L'INDULT DU PAPE (les fraternités tradis demeurant en union avec la paputé sont la FRATERNITE SAINT-PERE, l'INSITUT DU BON PASTEUR, l'INSTITUT CHRIST-ROI SOUVERAIN PRETRE).
Notre Royalisme inspire en France le Légitimisme et les néo-Légitimismes que sont le Parmisme, le Survivantisme et le Providentialisme, et à l'étranger le Carlisme espagnol et latino-américain, le Miguélisme portugais et bréslien, le Né-Bourbonnisme napolitain, le Jacobitisme écossais et irlandais, le Magyarisme des pays de Visegrad (Hongrie, Slovaquie, République Tchèque, Polgne), le Hiérosolymite de Terre Sainte et des Pays de l'ex-Empire de Constantinople.
Les esprits appartenant au Royalisme font remonter les principes du pouvoir Royal à Clovis, lequel, d'un coup et à l'origine, a donné ses limites au territoire Français : le Rhin, les Alpes,, la Méditérannée, les Pyrénnées, l'Atlantique, la Manche. Il lui a donné le nom de Gaule Franque puis de France. Il lui a donné sa religion sur les pieuses inistances de Sainte Clotilde et contre les Wisigoths ariens. Et il lui a méritéson titre de Fille Aînée de l'Eglise puisqu'elle a été la première nation baptisée faisant profession de natoion Chrétienne avec un Roi Très Chrétienne à sa tête.
Aujourd'hui, le noyau central de la réaction est le Royalisme Providentialiste dont les membres s'en remettent à Dieu pour le choix du Roi à venir.
Autour de ce noyau central Providentialiste viennent se placer les Royalistes Légitimistes pour qui le Roi est la seule autorité Légitime émamant de Dieu, mais font eux-même le choix de leur Prétendant. Les Royalistes Survivantistes et Parmistes ne sont, comme on l'a vu plus haut, que des néo-Légitmistes : le principe est le même, seul le Prétendamnt change.
Il est logique de réunir en un seul bloc tous ceux qui remontent jusqu'à Clovis et la Sainte Ampoule, puisqu'ils professent les mêmes principes et ne divergent que dans des questions de personnes.
Autour de ce second cercle Royalo-récationnaire prennent place ceux qui, pour une raison ou une autre ne veulent pas reconnaître dans le Sacre de Reims de l'An 496 la base du droit Royal : Royalistes Orléanites, pourqwui le Roi est une nécessité nationale, nationalistes, souverainistes, identitaires...
Point commun : tous patriotes !
Le but du Royalisme est de rassembler tous ces patriotes -celà ne sera pas facile- et constituer une 3° alternative face au libéralisme et au socialo-écolo-communisme...
Le néo-réactionnisme est un courant de pensée politique d'origine Française apparu au début du XXI° siècle et pouvant être défini comme une version réactualisée et radicalisée du Royalisme.
Deux mots sur le néo-réactionnisme, qui partage une partie des valeurs et des convictions du néo-conservatisme, mais rejette certains de ses préceptes socio-économiques relevant du néo-libéralisme. En France, les intellectuels et journalistes défendant cette doctrine sont communément appelés les « néo-réactionnaires » ou les « nouveaux réacs » . L'expression a largement été forgée par le quotidien Le Monde, marqué au centre-gauche de l'échiquier politique Français, qui a publié de nombreux articles sur le sujet.
-Eric Zemmour est le plus connu et le plus cultivé, récapitule Elisabeth Lévy (site Causeur).
Avant d'énoncer Robert Ménard (ancien secrétaire général de Reporters sans frontières), qui s'apprête à publier un livre carrément intitulé Vive Le Pen, Yvan Rioufol (éditorialiste au Figaro) et Eric Brunet (animateur sur RMC) : ce sont les tenants du mouvements néo-Ractionnaire, aux côtés d' Eric Zémour.
Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Natacha Polony, mais aussi Marcel Gauchet, Michel Onfray, Régis Debray, Jean-Claude Michéa, Michel Houellebecq et bien d'autres encore sont régulièrement pointés du doigt dans la presse pour «pensée déviante» et regroupés dans la catégorie censée être infâmante des «néo-réactionnaires». L'appellation trouve sa source principale dans un bref pamphlet de Daniel Lindenberg paru en 2002 intitulé Le Rappel à l'ordre, et sous-titré «Enquête sur les nouveaux réactionnaires».
Le terme réactionaire est donc parfois utilisé dans un contexte politique, pour désigner de façon manifeste une personne qui s'oppose à certains changements dans la société. C'était dans les régimes communistes l'insulte adressée aux dissidants et aux Aristocraties occidentales.
Dans L'OPIUM DES INTELLECTUELS (1955), le philosophe Français Raymond Aron note également que le terme de réaction peut servir aux progessistes à forger un ennemi imaginaire pour faciliter la cohésion d'un camp politique. Il écrit par exemple que « radicaux et socialistes ne se sont réellement accordés que contre un ennemi insaisissable, la réaction ».
A Droite, et même à l’Extrême–Droite car, face à une Gauche qui incarne l’idée de progrès (donc de mouvement), la Droite de gouvernement est conservatrice alors que le réactionnaire souhaite clairement revenir au régime de la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale. Dans les années 1820, le réactionnaire « Ultraroyaliste » aspire, non à la Monarchie constitutionnelle, mais au retour à l’absolutisme de droit Divin de l’Ancien Régime.
Durant le XIX° siècle, les choses évoluent. La réaction cesse d’imaginer un retour pur et simple à l’état et à la société d’avant 1789 parce que cela devient de plus en plus impensable, mais la récusation des principes de la Révolution demeure et sous la III° République, elle se trouve un remarquable idéologue en la personne de Charles Maurras.
-La République en France, c'est le règne de l'étranger. L'esprit républicain destabilise notre défense nationale et favorise des influence religieuse directement hostiles au Catholicisme traditionnel. Il faut rendre à la France un régime qui soit Français (Charles Maurras, 1905) !
Soucieux d’ordre et d’autorité, promoteur d’une solidarité nationale volontiers Royaliste et Contrerévolutionnaire, Maurras et son mouvement « l’Action Française » prônent un état Monarchique responsable sous la suprématie morale de l’Eglise Catholique. Son influence sera considérable dans la première moitié du XX° siècle, tant au plan intellectuel que politique puisqu’il inspirera largement le régime de Vichy.
Disqualifié par les événements, il semble disparaître après la guerre. Que devient alors la réaction ? Comment se caractérise-t-elle ?
François-Marie Algoud (1920-2012) est un journaliste et un essayiste Français et militant Royaliste.
Lycéen militant dans les camelots du Roi (branche militante de l'Action Française) pendant l'entre-deux-guerres, il effectue une préparation militaire pour entrer dans la marine, servant à partir de 1939 à dakar. Démobilisé en 1942, il rentre en zone occupée pour travailler dans un organisme créé par le Maréchal Pétain mais germanophobe, le « Centre d'Information Interprofessionnel ». Après la guerre, il travaillera dans le secteur privé, tout en étant proche des milieux maurrassiens et Catholiques traditionalistes.
Il reprend plus tard l'action politique, en créant en 1987 le « Cercle de la Cité Vivante en 1987 », mouvement très impliqué dans la lutte contre la pornographie et l'avortement, qui devient plus tard « L'Œuvre Chrétienne de la Cité Vivante ».
On lui doit plusieurs études sur Charles Maurras, ainsi que des pamphlets (parfois sous le pseudonyme de Désiré Dutonnerre) mettant en garde contre le satanisme en politique ou ce qu'il nomme la « démoncratie », en collaboration avec l'équipe des Editions de Chiré.
François-Marie Algould essurtout l'auteur de LA PESTE TE LE CHOLERA (Ed. de Chiré), établissant d'un point de vue Catholique traditionaliste un parallèle entre la peste communisme et le choléra nazi, concluant à la nécessité d'une 3° Voie incarnée par une Monarchie Catholique, corporatiste, anti-communiste, anti-parlementaire et décentralisatrice.
Il est par ailleurs le père de six enfants, dont l'humoriste Albert Algould ; François-Marie Algoud fut très affecté par la mort de sa fille Véronique alors âgée de vingt-quatre ans, évènement tragique qui le convertira à plus de spiritualité. Avec François-marie algould, nous avpons là un Orlénaiste convaincu mais authentiquement Catholique, et qui promeut une politique Chrétienne, familiale et patriotique.
Pour l'abbé Georges de Nantes, il faut revenir à la Tradition : Catholicisme de tradition mais en union au Saint Père, Royalisme comme patriotisme Français et Catholique, et Providentialisme : choisir son Prince serait déjà être républicain !
En un temps où plus personne ne conteste les dangers de la Révolution, en premier l'égalité des personnes et des religions, l’attitude réactionnaire ne peut plus se réduire à une Contrerévolution de façade. On va donc la retrouver à sa place traditionnelle, l’Extrême Droite, sur une base idéologique qui était déjà essentielle chez Maurras : le nationalisme intégral. Revivifié par la construction de l’Union Européenne qui conduit nécessairement à des abandons de Souveraineté, le nationalisme exalte le souvenir d’une France grande puissance pesant sur les décisions mondiales, auquel il oppose l’image dépréciée d’un état aujourd’hui soumis à l’autorité des institutions de Bruxelles. Il appelle à un sursaut, à une reprise d’indépendance qui conduisent implicitement à une sortie de l’Europe et à la reconstruction d’un état fort qui rendra au pays la place qui doit être la sienne, celle d’une grande nation d’importance mondiale. Le Front National ne s’intitule pas ainsi par hasard.
Une telle ambition est typique de la démarche réactionnaire dans la mesure où elle exprime la nostalgie d’un passé qu’on espère ressusciter. Au même titre que les Monarchistes du XIX° siècle rêvaient d’un retour à un Ancien Régime idéalisé, les nationalistes du XXI° s’inventent la renaissance de la France d’avant 1914, constatant combien le monde a changé, refusant de voir qu’aucun des états-nations d’Europe ne dispose aujourd’hui, seul, du poids politique, diplomatique, militaire dont la France, l’Allemagne ou le Royaume-Uni bénéficiaient il y a un siècle. Et puis l'immigration-invasion arabo-musulmanne fait qu'un certain Catholicisme de tradition, mis en somneil depuis mai 1968, commence à sortir des catacombes : on le voit avec le phénomène CIVITAS.
Ces idées Catholiques, Royalistes, patriotiques séduisent au-delà du cercle traditionnel de cette Droite historique, Monarchiste et Catholique traditionaliste, qui va de Jospeh de Maistre à Charles Maurras, et qui est la notre, et qui est défendue aujourd'hui par Philippe de Villiers et Marion Maréchal ex-Le Pen : elle alimente un courant souverainiste anti-européen dont l’influence s’est révélée lors du référendum de 2005, succès inespéré pour le mouvement réactionnaire de Droite et le Royalisme.
La pensée réactionnaire, qu'elle soit Royaliste ou Frontiste, s'articule autour de deux discourts : un discours économique et social montrant l'unité de programme des blocs européens social-démocrate et conservateur, et une posture culturelle ou identitaire en phase avec la détresse des Français face à la mondialisation néolibérale. Le réactionnaire n'est pas celui qui critique un aspect ou l'autre du monde moderne (comme se l'imaginent Lindenberg et ses émules nord-américains), mais celui qui refuse les postulats philosophiques de la modernité. Face à la perversion des intelligences et des moeurs qui porte au suicide programmé de la nation Français et de la civilisation Chrétienne, c'est à une véritable Croisade, c'est à une véritable Contrerévolution qu'il faut en appeller !
Les Monarchistes sont les seuls qui peuvent répondre à l’appel d’Alain Finkielkraut demandant de ne pas "oublier les Français de souche".
-Avant d’être Royaliste, je suis Catholique et Français; je dirai même que je suis Royaliste parce que je suis Catholique et Français (Maurice d’Andigné).
Pour ses partisans, le Royalisme consiste avant tout en une ambition pour la France : la volonté de redonner au pays sa position hégémonique de Fille Aînée de l'Eglise et d'Educatrice des Peuples qu’elle a eu jusqu’au début du siècle passé, de retrouver un Monarque apte à enclencher de grands projets, celle aussi de sortir du jeu des partis et de la politique à court terme qui caractérise, pour les Royalistes, l’exercice du pouvoir des hommes politiques de la république. Le Royalisme se pose pour certains comme une opposition au nouvel ordre mondial par le renforcement de l’État face aux institutions supranationales qui empiètent sur les libertés fondamentales des peuples. Ainsi la Monarchie est à leurs yeux plus démocratique que la république dans le sens où elle défend l’indépendance et l’autodétermination des peuples.
Mais attention, aujourd’hui, aucune action politique Royaliste n’est envisageable si la querelle dynastique l’emporte sur l’adhésion commune au principe Royal ! Il demeure qu’on ne peut pas nier que, par nature, l’action politique Royaliste tourne autour de l’hypothèse d’une montée d’un Prince sur le Trône: il faudra bien s’en remettre à Dieu pour le choix du futur Roi…
Oui, l'ennemi tentera de torpiller notre réaction !
Dans le N° de Janvier 1987 de la revue Sous la bannière, Adrien-Marie Bonnet de Villers, fondateur des Editions Sainte-Jeanne d’Arc nous avait prévenu :
-Dans les loges, on craint le “Grand Monarque” annoncé par les prophéties et que l’on connait mieux que dans le public des Messes de Saint-Pie V. C’est pourquoi la Révolution prend les devants et prépare ses “roues de secours” en accoutumant les esprits à l’idée de Royauté, mais en brouillant les cartes afin de pouvoir choisir elle-même son candidat parmi les fausses pistes qu’elle nous aura montées, du Comte de Paris à Le Pen, du Duc d’Anjou à Naundorff, et de n’importe quoi à autre chose...
Mais notre ami Henri Philip, dans son livre LA FRANCE DEBOUT (Editions Godefroy de Bouillon), [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a mis en lumière le fait que la Monarchie de Droit Divin, à l’heure actuelle et selon la Prophétie, EST ANOUVEAU CONCEVABLE.
Dans l'attente du Roi, qui qu'il sera, face à la violence sournoise qui s'exerce partout, contre l'âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre pays, contre son Histoire, contre la sécurité et l'honneur de la France, nous Royalistes, nous devons opposer sans relache nos Valeurs Chrétiennes, familiales et patriotiques !!!
Guy Augé préconisait la prière et l'action. La prière : l'Heure Sainte, l'Adoration au Saint Sacrement, la dévotion à la Sainte face, l'intercession de la Très Sainte Vierge Marie par le culte Marial, la dévotion, au Divin Christ-Roi et à Marie Reine, et donc à leurs Coeurs Unis. L'action : una action Catholique et Française, Royaliste et Providentialiste consacrée à Jésus, Marie (et à leurs Coeurs Unis donc) et à Saint-Michel Archange, les 3 Lys de France du Blason Royal comme les 3 vainqueurs de Satan.
Comment agir concrètement ? Le nouveau Réactionaire devra ainsi viser un double objectif :
-faire connaître les nombreuses activités Catholiques et Royalistes à Paris et dans sa province, et en rendre compte : Universités d'été, Marche pour la Vie, Seccion de Juenes, conférences, fêtes du livres, messe pour Louis XVI et Marie Antoinette, etc...
-traiter de l'actualité et livrer des informations à la lumière de notre traditon nationale, qui est catholique et Royale.
Les journeaux et les sitres internet devront fournir des éditoriaux, des réflexions sur la'ctulaité politique (défense de la famille, combat pour la Vie, salubrité morale, école, culture, etc...).
Réagir est un devoir de justice.
-Plutot la mort que la souillure (proverbe breton) !
Hervé J. VOLTO, CJA
A lire : François-Marie Algould, NOTRE AVENIR EST DANS LE PASSE
(Ed. de Chiré).
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Sujets similaires
» Ce forum est il nécessaire?
» De la nécessaire conversion des peuples
» De la nécessaire conversion des peuples
» Nécessaire mise à l'épreuve
» La nécessaire mise à l'épreuve de la foi
» De la nécessaire conversion des peuples
» De la nécessaire conversion des peuples
» Nécessaire mise à l'épreuve
» La nécessaire mise à l'épreuve de la foi
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum