Humilité, criture de bonne santé
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Humilité, criture de bonne santé
Lecture du livre du prophète Osée
Venez, retournons vers le Seigneur ! il a blessé, mais il nous guérira; il a frappé, mais il nous soignera. Après deux jours, il nous rendra la vie; il nous relèvera le troisième jour: alors, nous vivrons devant sa face. Efforçons-nous de connaître le Seigneur : son lever est aussi sûr que l’aurore; il nous viendra comme la pluie, l’ondée qui arrose la terre. – Que ferai-je de toi, Éphraïm? Que ferai-je de toi, Juda ? Votre fidélité, une brume du matin, une rosée d’aurore qui s’en va. Voilà pourquoi j’ai frappé par mes prophètes, donné la mort par les paroles de ma bouche : mon jugement jaillit comme la lumière. Je veux la fidélité, non le sacrifice, la connaissance de Dieu plus que les holocaustes.
PSAUME
(50 (51)
R/ Tu veux la fidélité, Seigneur,
non le sacrifice.
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.
Si j’offre un sacrifice, tu n’en veux pas,
tu n’acceptes pas d’holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.
Accorde à Sion le bonheur,
relève les murs de Jérusalem.
Alors tu accepteras de justes sacrifices,
oblations et holocaustes sur ton autel.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici:« Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même: “Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –,
ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine
et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel;mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” Je vous le déclare: quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ;
qui s’abaisse sera élevé. »
– Cy Aelf, Paris
Il en est du péché comme d'une maladie : si l'homme est capable de diagnostiquer un rhume et une bronchite, une indigestion, un coup de soleil, une fièvre et un refroidissement, comment pourrait-il ne pas reconnaître une tentation, une envie et les actes qui en découlent ? Quiconque abuse des nourritures grasses et des alcools, comment pourrait-il dire que ses malaise n'ont aucun lien entre sa goinfrerie et son malaise ? Evidemment que oui ! Car dès leur enfance, leur mère les mères les ont mis en garde . Et s'ils passent outre la la correction maternelle, les malaises qui suivront , ils ne les oublierons pas ! Or, si les Romains de l'antiquité avaient inventé le "vomitorium" - le vomitoire - pour se soulager et pouvoir recommencer de se goinfrer...
Et il en est de même de toutes les exagérations humaines. A côté des excès de nourriture, il y a les produits de dopages pour les sportifs sportifs -en définitive, il y a: le mensonge envers soi-même que le corps viendra sanctionner par la maladie.
Sur un autre plan, l'excès atteint aussi les politiciens qui promettent mais ne tiennent pas - et c'est tout le "corps social" qui réagit - et parfois avec la même outrance comme on peut le voir ces des derniers temps ! Il en est des sociétés comme il en est des hommes : la surestimation de soi donne la main au mensonge qui empêche ou frêne la guérison du corps social comme du corps humain.
Tout à fait d'actualité !!!
Lecture du livre du prophète Osée
Venez, retournons vers le Seigneur ! il a blessé, mais il nous guérira; il a frappé, mais il nous soignera. Après deux jours, il nous rendra la vie; il nous relèvera le troisième jour: alors, nous vivrons devant sa face. Efforçons-nous de connaître le Seigneur : son lever est aussi sûr que l’aurore; il nous viendra comme la pluie, l’ondée qui arrose la terre. – Que ferai-je de toi, Éphraïm? Que ferai-je de toi, Juda ? Votre fidélité, une brume du matin, une rosée d’aurore qui s’en va. Voilà pourquoi j’ai frappé par mes prophètes, donné la mort par les paroles de ma bouche : mon jugement jaillit comme la lumière. Je veux la fidélité, non le sacrifice, la connaissance de Dieu plus que les holocaustes.
PSAUME
(50 (51)
R/ Tu veux la fidélité, Seigneur,
non le sacrifice.
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.
Si j’offre un sacrifice, tu n’en veux pas,
tu n’acceptes pas d’holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.
Accorde à Sion le bonheur,
relève les murs de Jérusalem.
Alors tu accepteras de justes sacrifices,
oblations et holocaustes sur ton autel.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici:« Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même: “Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –,
ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine
et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel;mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” Je vous le déclare: quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ;
qui s’abaisse sera élevé. »
– Cy Aelf, Paris
Il en est du péché comme d'une maladie : si l'homme est capable de diagnostiquer un rhume et une bronchite, une indigestion, un coup de soleil, une fièvre et un refroidissement, comment pourrait-il ne pas reconnaître une tentation, une envie et les actes qui en découlent ? Quiconque abuse des nourritures grasses et des alcools, comment pourrait-il dire que ses malaise n'ont aucun lien entre sa goinfrerie et son malaise ? Evidemment que oui ! Car dès leur enfance, leur mère les mères les ont mis en garde . Et s'ils passent outre la la correction maternelle, les malaises qui suivront , ils ne les oublierons pas ! Or, si les Romains de l'antiquité avaient inventé le "vomitorium" - le vomitoire - pour se soulager et pouvoir recommencer de se goinfrer...
Et il en est de même de toutes les exagérations humaines. A côté des excès de nourriture, il y a les produits de dopages pour les sportifs sportifs -en définitive, il y a: le mensonge envers soi-même que le corps viendra sanctionner par la maladie.
Sur un autre plan, l'excès atteint aussi les politiciens qui promettent mais ne tiennent pas - et c'est tout le "corps social" qui réagit - et parfois avec la même outrance comme on peut le voir ces des derniers temps ! Il en est des sociétés comme il en est des hommes : la surestimation de soi donne la main au mensonge qui empêche ou frêne la guérison du corps social comme du corps humain.
Tout à fait d'actualité !!!
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Venez, retournons vers le Seigneur ! il a blessé, mais il nous guérira; il a frappé, mais il nous soignera. Après deux jours, il nous rendra la vie; il nous relèvera le troisième jour: alors, nous vivrons devant sa face. Efforçons-nous de connaître le Seigneur : son lever est aussi sûr que l’aurore; il nous viendra comme la pluie, l’ondée qui arrose la terre. – Que ferai-je de toi, Éphraïm? Que ferai-je de toi, Juda ? Votre fidélité, une brume du matin, une rosée d’aurore qui s’en va. Voilà pourquoi j’ai frappé par mes prophètes, donné la mort par les paroles de ma bouche : mon jugement jaillit comme la lumière. Je veux la fidélité, non le sacrifice, la connaissance de Dieu plus que les holocaustes.
PSAUME
(50 (51)
R/ Tu veux la fidélité, Seigneur,
non le sacrifice.
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.
Si j’offre un sacrifice, tu n’en veux pas,
tu n’acceptes pas d’holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.
Accorde à Sion le bonheur,
relève les murs de Jérusalem.
Alors tu accepteras de justes sacrifices,
oblations et holocaustes sur ton autel.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici:« Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même: “Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –,
ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine
et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel;mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” Je vous le déclare: quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ;
qui s’abaisse sera élevé. »
– Cy Aelf, Paris
Il en est du péché comme d'une maladie : si l'homme est capable de diagnostiquer un rhume et une bronchite, une indigestion, un coup de soleil, une fièvre et un refroidissement, comment pourrait-il ne pas reconnaître une tentation, une envie et les actes qui en découlent ? Quiconque abuse des nourritures grasses et des alcools, comment pourrait-il dire que ses malaise n'ont aucun lien entre sa goinfrerie et son malaise ? Evidemment que oui ! Car dès leur enfance, leur mère les mères les ont mis en garde . Et s'ils passent outre la la correction maternelle, les malaises qui suivront , ils ne les oublierons pas ! Or, si les Romains de l'antiquité avaient inventé le "vomitorium" - le vomitoire - pour se soulager et pouvoir recommencer de se goinfrer...
Et il en est de même de toutes les exagérations humaines. A côté des excès de nourriture, il y a les produits de dopages pour les sportifs sportifs -en définitive, il y a: le mensonge envers soi-même que le corps viendra sanctionner par la maladie.
Sur un autre plan, l'excès atteint aussi les politiciens qui promettent mais ne tiennent pas - et c'est tout le "corps social" qui réagit - et parfois avec la même outrance comme on peut le voir ces des derniers temps ! Il en est des sociétés comme il en est des hommes : la surestimation de soi donne la main au mensonge qui empêche ou frêne la guérison du corps social comme du corps humain.
Tout à fait d'actualité !!!
Lecture du livre du prophète Osée
Venez, retournons vers le Seigneur ! il a blessé, mais il nous guérira; il a frappé, mais il nous soignera. Après deux jours, il nous rendra la vie; il nous relèvera le troisième jour: alors, nous vivrons devant sa face. Efforçons-nous de connaître le Seigneur : son lever est aussi sûr que l’aurore; il nous viendra comme la pluie, l’ondée qui arrose la terre. – Que ferai-je de toi, Éphraïm? Que ferai-je de toi, Juda ? Votre fidélité, une brume du matin, une rosée d’aurore qui s’en va. Voilà pourquoi j’ai frappé par mes prophètes, donné la mort par les paroles de ma bouche : mon jugement jaillit comme la lumière. Je veux la fidélité, non le sacrifice, la connaissance de Dieu plus que les holocaustes.
PSAUME
(50 (51)
R/ Tu veux la fidélité, Seigneur,
non le sacrifice.
Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour,
selon ta grande miséricorde, efface mon péché.
Lave-moi tout entier de ma faute,
purifie-moi de mon offense.
Si j’offre un sacrifice, tu n’en veux pas,
tu n’acceptes pas d’holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.
Accorde à Sion le bonheur,
relève les murs de Jérusalem.
Alors tu accepteras de justes sacrifices,
oblations et holocaustes sur ton autel.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici:« Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même: “Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –,
ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine
et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel;mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” Je vous le déclare: quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ;
qui s’abaisse sera élevé. »
– Cy Aelf, Paris
Il en est du péché comme d'une maladie : si l'homme est capable de diagnostiquer un rhume et une bronchite, une indigestion, un coup de soleil, une fièvre et un refroidissement, comment pourrait-il ne pas reconnaître une tentation, une envie et les actes qui en découlent ? Quiconque abuse des nourritures grasses et des alcools, comment pourrait-il dire que ses malaise n'ont aucun lien entre sa goinfrerie et son malaise ? Evidemment que oui ! Car dès leur enfance, leur mère les mères les ont mis en garde . Et s'ils passent outre la la correction maternelle, les malaises qui suivront , ils ne les oublierons pas ! Or, si les Romains de l'antiquité avaient inventé le "vomitorium" - le vomitoire - pour se soulager et pouvoir recommencer de se goinfrer...
Et il en est de même de toutes les exagérations humaines. A côté des excès de nourriture, il y a les produits de dopages pour les sportifs sportifs -en définitive, il y a: le mensonge envers soi-même que le corps viendra sanctionner par la maladie.
Sur un autre plan, l'excès atteint aussi les politiciens qui promettent mais ne tiennent pas - et c'est tout le "corps social" qui réagit - et parfois avec la même outrance comme on peut le voir ces des derniers temps ! Il en est des sociétés comme il en est des hommes : la surestimation de soi donne la main au mensonge qui empêche ou frêne la guérison du corps social comme du corps humain.
Tout à fait d'actualité !!!
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
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