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L'ART GOTHIQUE, UN ART ROYAL ET FRANCAIS – Dans l'attente du Grand Monarque

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Message par Hervé J. VOLTO Mar 23 Avr 2019 - 11:24

L'ART GOTHIQUE, UN ART FRANCAIS ET ROYAL

 
Suite au drame de Notre Dame de Paris, où la cathédrale a été en partie détruite par un énorme incendie, ce lundi 16 avril 2019 en début de soirée, le monent était venu de s'interroger sur la symbolique des cathédrale. Le feu a pris dans la charpente, en cours de rénovation. Reconstruire Notre dame ? Non : c'est elle qui nous reconstruira...

La connaissance n’est pas l’ennemie de la Foi. Bien au contraire, la «lecture» d’une cathédrale renvoie aux fondements de la croyance Chrétienne et ajoute à la mystique du coeur l’émerveillement de l’esprit.
Par ailleurs, par son universalité et son atemporalité, le symbole devient un langage en commun qui rapproche les hommes. Parce que, au-delà des différences apparentes de culture, de couleur ou de nation, il fait surgir l’essence et l’essentiel, nourrissant ainsi de respect la fraternité des humains face au mystère de la vie.

Comme d’immenses corps de pierres endormis, les cathédrales s’offrent à l’émerveillement dans un silence chargé des plus puissants mystères. Au pèlerin, au chercheur comme au poète, elles s’exposent sous un voile invisible, suggérant seulement la présence d’un savoir oublié.

L'Art Français (en latin francigenum opus) est une période artistique s'étendant sur environ quatre cents ans, qui s'est développée à partir de la seconde partie du Moyen Age en France puis en Europe occidentale. Apparu en région d'Ile-de-France vers le XII° siècle, l'art Français se développera en Europe sous le nom d'Art Gothique, évoluant au XIV° siècle vers le gothique dit international ou fleuri, au caractère plus profane. L'Art Français est d'abord illustré par l'architecture, mais aussi par la sculpture, la peinture sur bois, le vitrail, et l'enluminure. Initialement dénommé Art Français au Moyen Âge, le terme Gothique n'apparaîtra qu'à partir de la Renaissance, une expression utilisée par les artistes italiens Antonio Averlino (La Filarère) et Giorgio Vasari, pour désigner un art du Moyen Âge qu'ils jugeront de leur point de vue barbare et grossier...
Les culptures sur le tympan de la Cathédrale de Chartres, la rosace de la cathédrale de Tours, l'enluminure de Sainte Jeanne d'Arc de 1426 ou encore le Folio 72 recto des Très Riches Heures du Duc de Berry des Frères de Limbourg constituent des exemples d'Art Français.

L'architecture typique de l'art Français apparaît en Ile-de-France et en Haute-Picardie au XII° siècle sous la dénomination OPUS FRANCIGERUM. Elle se diffuse rapidement au sein du Royaume de France, au Nord et au Sud de la Loire, puis dans tout le Saint Empire Romain Germanique, ce jusqu'au milieu du XVI° siècle, et même jusqu'au XVII° siècle dans certains pays.

Le mouvement artistique Français, dit gothique, est précédé par la période romane et suivi par la période renaissance. L’architecture gothique amène une solution aux problèmes de forces que connaît l’art roman (A Arquitectura Gótica em Portugal, Mario Tavares Chicó, éd. Livros Horizontes, p. 135-177 notamment.). Par ce changement, on peut alors édifier des parties beaucoup plus hautes, plus légères et plus lumineuses. En effet, l’arc brisé, la croisée d'ogives et l’arc-boutant permettent d’équilibrer efficacement les forces tout en allégeant la structure et en permettant l’ouverture de larges baies. Ainsi, les murs épais de l’architecture romane sont remplacés par des piles et des murs bien plus allégés dans l’architecture gothique. Une église gothique est un monument éminemment structuré et planifié. Les concepts physiques sur lesquels repose l’architecture gothique ne seront toutefois théorisés qu’à partir du XVI° siècle. On dit alors que L'arc brisé est un Arc dont la courbe inférieure est formée à partir de deux demi-arcs symétriques s’appuyant l’un sur l’autre, COMME DEUX MAINS REUNIS DU BOUT DES DOIGTS EN PRIERE.

Car la Monarchie Capétienne est avant tout Catholique et Royale. Le Roi de France est l'Oint du Seigneur, le protecteur de la paix, le défenseur de la Chrétienté, le modèle de toutes les vertus : sa parole a force de loi, sa justice est suprême. Le Roi Capétien, c'est la primauté du Sacré dans le pouvoir, l'incarnation du principe Royal, la plus manière de servir la France. Le Roi peut être un pasteur ou un guerrier, mais ce n’est ni la propriété ni la guerre ni la conquête qui font le Roi: non, c’est sa représentativité. Nul -pas même les athées- ne doutent plus de l’aspect religieux de la Monarchie. L’important n’est pas tant le pouvoir Temporel du Souverain que son caractère Sacré. Le Roi, c’est l’incarnation de la Nation, son chef naturel.

Le Roi est ainsi un point de rencontre, un "axe du monde" reliant le ciel et la Terre: Lieutenant de Dieu sur Terre, il fait descendre les Grâces du Ciel sur son peuple et, chef naturel de sa nation, il fait remonter les prières de son peuple vers le Ciel. L’architecture des cathédrales, et avant tout celle de Reims -la cathédrale du Sacre!- nous le rappelle : LA ROYAUTE, C'EST LA PRESENCE DU SACRE DANS LE POUVOIR, L'INCARNATION DU RPOINCIPE ROYAL, LA MANIERE LA PLUS ELEVEE DE SERVIR LA FRANCE. Elle nous invite à L'ELEVATION. La cathédrale, c'est la métaphore de l'édifice religieux en tant que Jérusalem Celeste.

Si le thème de la Jérusalem Céleste comme symbole du paradis est un lieu commun de l'époque, la Jérusalem Terrestre, vision de Paix, de Justice et d'Union pour toutes les tribus d'Israël, est le symbole du Royaume messianique et de lL'EGLISE CHETIENNE OUVERTE A TOUS LES PEUPLES. L'idéal du Chevalier est sensiblement le même que l'idéal proposé au Roi de France : combattre pour le droit et la justice, protéger les clercs, les femmes, les faibles, les pauvres, l'Eglise et le Saint-Royaume de France. Cette Chevalerie est consacrée à la Très Sainte Vierge Marie. On ne peut comprendre le recul de la féodalité que par un action Royale continue, héréditaire, qui oppose une Sainte Chevalerie dévouée à des soudards à cheval, sipendiés par des féodaux brutaux et grégaires les utilisant comme des mercenaires.

Et c'est dans la cathédrale, hors le cas d'armement sur le champ de bataillle, que le Chevalier est adoubé : les formules lithurgiques, sont inspirées de la remise d'arme de Charlemagne à son fils Louis le Pieux. Le Chapitre Général d'un Ordre de Chevalerie se tient dans une cathédrale. C'est d'ailleurs dans la cathédrale que l'aspirant Chevalier reçoit sa dignité Chevaleresque, qu'il se marie et qu'il baptiser son fils premier né. Depuis la cathédrale, la Chevelerie voit son éclat s'accroitre tout au long du Moyen Age, l'institution Chevaleresque attairant la Noblesse post-féodale qui la dirige à en revendiquer bientôt l'appartenmance, le contrôle, puis dans une certaine mesure l'exclusivité, le fils de Noble étant éduqué dès l'enfance pour devenir un Chevalier, entre art du combat et spiritualité.

Mais n’était-elle pas plus que cela?

C’est l’abbé Suger, conseiller du Roi Louis VII, qui sera à l’origine de cet art dit Français, qui deviendra l’art ogival ou gothique, dont il fixera les fondements dans la construction de l’abbaye de Saint- Denis, en 1130.
Pour Suger, la lumière est l’élément central que l’architecture doit désormais magnifier. Dieu est lumière, et cette lumière doit parvenir à tous les êtres. Ainsi la cathédrale devient-elle une dentelle qui piège la lumière, la canalise en faisceaux colorés, créant une ambiance propice à l’élévation de l’esprit, à la joie du coeur. Le pèlerin baigne dans la lumière et sent ainsi qu’il participe à l’éclat de la divinité. Dans la cathédrale, tout est conçu pour que le fidèle lève la tête et porte son regard vers le ciel.

L’architecture et le décor des églises sont des symboles qui élèvent du visible à l’invisible. La cathédrale Notre-Dame de Paris, par exemple, est en forme de croix latine mais sans transept saillant, possède 48 m de large par 120 m de long, 5 nefs. La voute s'élève à 35 m de haut. L’axe du chœur est incliné de 23°5 = l’axe de rotation de la terre !

La cathédrale, image du monde cosmique : elle a une forme de croix, le coeur est orienté vers le Levant. D'est en ouest, nous trouvons LA NEF, qui représente le monde souterrain -on y trouve l'entrèe de la crypte- LE TRANCEPT qui représente la Terre, avec le sol et le colonnes, et LE COEUR qui représente le Ciel, avec les voutes. L apremiètre est le corps, le second est l'âme et le troisème l'esprit.

La cathédrale est un chemin qui élève l’homme pèlerin du profane au sacré, de la terre et du charnel au Ciel selon un parcours SOUS-TERRE (Nef), TERRE (Trancept) ET CIEL Coeur).

Les cathédrales gothiques sont vastes et complexes. Elles sont recouvertes en utilisant une nouvelle technique architecturale : celle de la voûte sur croisée d'ogive. Une voûte sur croisée d'ogives est une voûte formée de deux arcs qui se croisent en diagonales. Cette technique est une caractéristique de l'architecture gothique. Les cathédrales gothiques sont très élevées car le poids des pierres ne repose pas sur deux piliers, mais sur quatre piliers. Pour soutenir le poids des voûtes sur croisée d'ogive, on a utilisé la technique des arcs-boutants. Un arc-boutant est l'élément d'appui en forme de demi-arc situé à l'extérieur de l'édifice; il repose sur un contrefort et soutient le mur là où s'exercent les plus fortes poussées des voûtes sur croisées d'ogive. Les constructeurs cherchèrent à annuler le poids des ogives par des arcs-boutants cachés dans la couverture de l'édifice, puis par un support extérieur sur un contrefort. Les arcs-boutants paraissent nécessaires dès la construction pour les édifices du premier Art Français qui ont adopté une élévation à trois niveaux. Les vitraux de ces cathédrales sont colorés et apportent plus de lumière que les cathédrales de l'art roman.

Certes, pour le Chrétien, elle est la «maison de Dieu», un espace de rencontre avec l’invisible, un lieu de recueillement, de prière.

Mais l'Art Français est avant tout Royal. Scolastique et Art Français ont aussi en commun un même centre de diffusion : l'Ile-de-France, noyau du domaine Royal. Les efforts de centralisation des Rois Capétiens à partir de la seconde moitié du XII° siècle ont pour corollaire une tendance à l'unification des formes artitiques qui se traduit dans la propagation d'un style spécifique. Le Capétien, qui est Roi " par la Grâce de Dieu " , voit s'élaborer autour de sa personne une véritable religion Royale dont les deux pôles sont d'une part, l'Abbaye Royale de Saint-Denis qui recueille les insignes de la Royauté et se charge de la rédaction des Chroniques officielles et, d'autre part, la cathédrale de Reims où est célébrée (en souvenir du baptême de Clovis) le Sacre qui confère au Souverain un caractère surnaturel. La réfection de la façade et du chevet de l'abbatiale de Saint-Denis (1140-1144) entreprise par Surger, conseiller de Louis VII le Jeune de qui vient l'initiative des travaux, marque l'apparition d'un art spécifiquement " Français ". Un siècle plus tard, alors que le coeur et le trancept de l'Abbaye Royale sont en cours de reconstruction (depuis 1231), le chantier de Notre Dame de Reims, entrepris par l'architecte Jean d'Orbais sur ordre de Philippe II Auguste -l'archevêque Albéric de Humbert pose la première pierre de la nouvelle cathédrale le 6 mai 1211- bat son plein et s'étend sur tout le XIII° siècle.

La cathédrale de Notre Dame de Chartes, voule par Louis VII le Jeune qui s'en décalre l'Avoué, celle Notre de Paris, voulue par Philippe Auguste en remerciement de la victoire de Bouvine et qui en pose la première pierre en 1163, et la Sainte Chapelle commencée en 1242 à l'initative de Saint-Louis IX qui y consacre une somme de 40.000 livres tournois, sont les grands chantiers Royaux. Plutôt qu'en maître de l'ouvrage -" Patron ", pour reprendre la terminologie proposèe par Pierre du Colombier dans son livre Les chantiers des cathédrales. Ouvriers, architectes, sculpteurs (Paris, Picard, 2° ed. 1973)- le Roi de France se pose en donateur ou en fondateur, puis se borne à montrer sa bienviellance -et à accorder des subsides, le cas échéant- à l'entreprise. Les autres cathédrales seront voulus par abbés et évêques, soutenus par le Roi.

Le style Français et les tout premiers édifices « protogothiques » naissent dans la région Francilienne. La principale hypothèse pour expliquer ces lieux de naissance Francilien et Picard est qu'ils sont essentiellement peuplés à cette époque de monuments paléochrétiens, notamment de basiliques à murs fins, charpentées et percées de nombreuses baies. Ces régions sont donc déjà préparées aux choix techniques et esthétiques du gothique. De plus, elles voient l'avènement des Capétiens et la consolidation de l'État qui, à mesure de l'annexion des fiefs féodaux, impose comme symbole du pouvoir Royal le renouvellement de ces édifices religieux. Enfin, elles sont à la frontière de régions dynamiques au niveau des inventions architecturales : la Bourgogne (arc brisé inventé à l'Abbaye de Cluny, arcs-boutants inventés à Cluny et Vézelay), la voûte sur croisés d'ogives du monde anglo-normand (cathédrale de Durham, Abbaye de Lessay). Lieu de passage, de brassage, la Picardie et l'Île-de-France voient les premiers maîtres gothiques synthétiser toutes ces influences (Christine Le Goff, Gary Glassman, documentaire Les Cathédrales dévoilées, 2011, synthèse des dernières découvertes archéologiques et historiographiques sur le gothique en France).

Le style évolue dans le temps : au gothique dit « primitif » (XII° siècle, par exemple la basilique de Saint Denis) succèdent en France le gothique « classique » (1190-1230 environ, par exemple cathédrale N.D. de Chartres), puis le gothique « rayonnant » (v.1230 - v.1350, par exemple la Sainte Chapelle à Paris), enfin le gothique « flamboyant » (XV°/XVI° siècle, par exemple la cathédrale Saint-Ethienne de Toul). À la Renaissance, le style gothique évolue, en France, vers un style hybride de structure gothique et de décor Renaissance (église Saint-Étienne-du-Mont à Paris).

Son expansion géographique se fait essentiellement en Europe occidentale et l'architecture gothique se décline en de nombreuses variantes locales : gothique angevin, normand, perpendiculaire. Puis apparaît le Gothique intrenational (par exemple les cathédrales de Pragues et Cologne), le gothique italien conservant ses caractéristiques propre, dit Gothique Fleuri (par exemple le Dôme de Milan ou la Cathédrale de Sienne).
Le terme « gotico » est, semble-t-il, utilisé pour la première fois par le peintre Rapaël vers 1518 dans un rapport au pape Léon X sur « la conservation des monuments antiques » : Raphaël considère que les arcs en ogive de l'architecture gothique rappellent la courbure des arbres formant les cabanes primitives des habitants des forêts germaniques –un mythe qui refait surface chez les romantiques– et fait référence, de manière neutre, à l'art gothique du V° siècle, désignant par contre l'« Art Français » médiéval sous le terme d'art tudesque : Ce rapport est aussi daté de 1510 et attribué à Bramante ou Baldassarre Peruzsi (source : Roland Recht, Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, volume 146, n° 3, 2002, p. 1033). « Gotico » est ensuite repris dans un sens péjoratif par le critique d'art Girogio Vasari en 1530, faisant, lui, référence au sac de Rome par les « barbares » Goths. L'art gothique était donc l'œuvre de barbares pour les Italiens de la Renaissance, car il aurait résulté de l'oubli des techniques et des canons esthétiques gréco-romains. L'art gothique a également été critiqué par quelques auteurs Français tels que Boileau, La Bruyère ou Rousseau, avant d'être réhabilité par des architectes comme Francesco Borromini ou Jan Blazej Santini-Aichel, inventeur du style baroque gothique (Fiske Kimball, George Harold Edgell, History of Architecture, Research & Education Association, 2001 (ISBN 978-0-8789-1383-1), p. 215).

La plupart des archéologues et des historiens de l'art réfutent ce jugement et montrent que, par rapport à l'architecture romane qui la précède, l'architecture gothique n'est pas tant une rupture qu'une évolution. Son identité très forte est autant philosophique qu'architecturale. Elle représente probablement, de ces deux points de vue, l'un des plus grands accomplissements artistiques du Moyen Age, époque hautement Monarchique et Chrétienne. L'esthétique gothique et ses techniques se perpétuent dans l'architecture Française au-delà du XVI° siècle, en pleine période classique, dans certains détails et modes de constructions. Enfin, un véritable renouveau apparaît avec la vague de l'historicisme du XIX° siècle jusqu'au début du XX° siècle. Le style a alors été qualifié de Néo-Gothique. De nombreuses églises sont ainsi édifiées dans ce style au XIX° siècle : on peut citer notamment les basiliques de Sainte-Clotilde à Paris (1846-1857), Notre-Dame de Bonsecours près de Rouen (1840-1844), Notre-Dame de la Délivrance près de la côte au Nord de Caen (1854-1878), la Basilique de L'Immaculée Conception de Lourdes (1866-1871), la Basilique Saint-Epyre à Nancy (1864-1874), le château de Pierrefond (1857-1885), la Cathédrale Saint-Patrik de New York (1885-1888), paroise Catholique de la Grande Pomme, la chambre des Parlements à Londres, ou encore La Tribune Tower à Chicago (États-Unis), inspirée de la Tour de Beurre de la cathédrale Notre-Dame de Rouen.

En conclusion : L'ART GOTHIQUE EST UN ART ROYAL ET FRANCAIS.

Victor Hugo disait « inspirons s’il est possible, à la Nation l’amour de l’architecture nationale », sous-entendant que le Gothique était un héritage Français et que la nation Française était une nation Chrétienne construite autour d'une dynastie nationale Très Chrétienne. C'est pour sauver la France et la Chrétienté que nous attendons le Grand Monarque HENRI V DE LA CROIX, promis et annoncé par de nombreuses prophéties.


Hervé J. VOLTO, CJA
__________
A paraître : La Mission Posthume de Sainte-Jeanne d'Arc.

Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

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