La foi repousse le scepticisme
Page 1 sur 1
La foi repousse le scepticisme
Lecture du deuxième livre de Samuel
En ces jours-là, le roi David dit à Joab, le chef de l’armée, qui était près de lui :« Parcourez toutes les tribus d’Israël, de Dane à Bershéba, et faites le recensement du peuple, afin que je connaisse le chiffre de la population. » Joab donna au roi les chiffres du recensement: Israël comptait huit cent mille hommes capables de combattre, et Juda cinq cent mille hommes. Mais après cela, le cœur de David lui battit d’avoir recensé le peuple, et il dit au Seigneur: « C’est un grand péché que j’ai commis ! Maintenant, Seigneur, daigne passer sur la faute de ton serviteur, car je me suis vraiment conduit comme un insensé !» Le Lendemain matin, David se leva. Or la parole du Seigneur avait été adressée au prophète Gad, le voyant attaché à David: « Va dire à David : Ainsi parle le Seigneur: Je vais te présenter trois châtiments ; choisis l’un d’entre eux, et je te l’infligerai.» Gad se rendit alors chez David et lui transmit ce message : «Préfères-tu qu’il y ait la famine dans ton pays pendant sept ans ? Ou bien fuir devant tes adversaires lancés à ta poursuite, pendant trois mois ? Ou bien la peste dans ton pays pendant trois jours ? Réfléchis donc, et vois ce que je dois répondre à celui qui m’a envoyé. » David répondit au prophète Gad:« Je suis dans une grande angoisse… Eh bien! tombons plutôt entre les mains du Seigneur, car sa compassion est grande, mais que je ne tombe pas entre les mains des hommes !» Le Seigneur envoya donc la peste en Israël dès le lendemain jusqu’à la fin des trois jours.
Depuis Dane jusqu’à Bershéba, il mourut 70 000 hommes. Mais lorsque l’ange du Seigneur étendit la main vers Jérusalem pour l’exterminer, le Seigneur renonça à ce mal, et il dit à l’ange exterminateur: « Assez ! Maintenant, retire ta main. » L’ange du Seigneur se trouvait alors près de l’aire à grain d’Arauna le Jébuséen. David, en voyant l’ange frapper le peuple,
avait dit au Seigneur « C’est moi qui ai péché, c’est moi qui suis coupable; mais ceux-là, le troupeau, qu’ont-ils fait ? Que ta main s’appesantisse donc sur moi et sur la maison de mon père ! »
PSAUME
(Ps 31-34)lHeureux l’homme dont la faute est enlevée,
et le péché remis !
Heureux l’homme dont le Seigneur ne retient pas l’offense,
dont l’esprit est sans fraude !
Je t’ai fait connaître ma faute,
je n’ai pas caché mes torts.
J’ai dit : « Je rendrai grâce au Seigneur
en confessant mes péchés. »
Et toi, tu as enlevé
l’offense de ma faute.
Ainsi chacun des tiens te priera aux heures décisives ;
même les eaux qui débordent ne peuvent l’atteindre.
Tu es un refuge pour moi, mon abri dans la détresse ;
de chants de délivrance, tu m’as entouré.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc
En ce temps-là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, Aet ses disciples le suivirent. Le jour du sabbat,
il se mit à enseigner dans la synagogue. De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient: « D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ? N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques de José, de Jude et de Simon ?
Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ?» Et ils étaient profondément choqués à son sujet.Jésus leur disait: « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Et il s’étonna de leur manque de foi. Alors Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
– Aelf, ¨Paris
Quant Jésus se présenta à son village d'origine, des bruis avaient couru concernant ses paroles et aussi, les signes qui accompagnement le message. Et dès cette visite, on se mit à le critiquer, à le remettre en question. "Pour qui se prend-il, le fils de Marie et Joseph! Or, sa renommée l'avait précédé avait précédé: ses paroles étaient accompagnés de signes nombreux et et tous en faveur de ceux qui souffraient, non seulement dans leur corps mais aussi dans leur esprit.
Pierre lui-même, ne voulut pas croire en la résurrection et il exigeai, de voir et de toucher les traces précises des blessures qui avaient conduit à la mort sur la croix. Les textes de ce jour nous engagent donc à renouveler sans cesse ce don de foi, cette capacité de passer par-dessus de sus notre propre scepticisme. Il est tout à fait révélateur de citer cette parole très commune d'étonnement: "Je n'en crois pas mes yeux !"
Ainsi est-il manifesté que la foi ne procède pas des signes vus et vécus, mais bien d'une adhésion de tout l'être, à partir du moment ou l'homme reconnait qu'il a véritablement besoin de foi pour accomplir pleinement le chemin qui conduit à une pratique de foi, d'espérance et d'amour...
.
En ces jours-là, le roi David dit à Joab, le chef de l’armée, qui était près de lui :« Parcourez toutes les tribus d’Israël, de Dane à Bershéba, et faites le recensement du peuple, afin que je connaisse le chiffre de la population. » Joab donna au roi les chiffres du recensement: Israël comptait huit cent mille hommes capables de combattre, et Juda cinq cent mille hommes. Mais après cela, le cœur de David lui battit d’avoir recensé le peuple, et il dit au Seigneur: « C’est un grand péché que j’ai commis ! Maintenant, Seigneur, daigne passer sur la faute de ton serviteur, car je me suis vraiment conduit comme un insensé !» Le Lendemain matin, David se leva. Or la parole du Seigneur avait été adressée au prophète Gad, le voyant attaché à David: « Va dire à David : Ainsi parle le Seigneur: Je vais te présenter trois châtiments ; choisis l’un d’entre eux, et je te l’infligerai.» Gad se rendit alors chez David et lui transmit ce message : «Préfères-tu qu’il y ait la famine dans ton pays pendant sept ans ? Ou bien fuir devant tes adversaires lancés à ta poursuite, pendant trois mois ? Ou bien la peste dans ton pays pendant trois jours ? Réfléchis donc, et vois ce que je dois répondre à celui qui m’a envoyé. » David répondit au prophète Gad:« Je suis dans une grande angoisse… Eh bien! tombons plutôt entre les mains du Seigneur, car sa compassion est grande, mais que je ne tombe pas entre les mains des hommes !» Le Seigneur envoya donc la peste en Israël dès le lendemain jusqu’à la fin des trois jours.
Depuis Dane jusqu’à Bershéba, il mourut 70 000 hommes. Mais lorsque l’ange du Seigneur étendit la main vers Jérusalem pour l’exterminer, le Seigneur renonça à ce mal, et il dit à l’ange exterminateur: « Assez ! Maintenant, retire ta main. » L’ange du Seigneur se trouvait alors près de l’aire à grain d’Arauna le Jébuséen. David, en voyant l’ange frapper le peuple,
avait dit au Seigneur « C’est moi qui ai péché, c’est moi qui suis coupable; mais ceux-là, le troupeau, qu’ont-ils fait ? Que ta main s’appesantisse donc sur moi et sur la maison de mon père ! »
PSAUME
(Ps 31-34)lHeureux l’homme dont la faute est enlevée,
et le péché remis !
Heureux l’homme dont le Seigneur ne retient pas l’offense,
dont l’esprit est sans fraude !
Je t’ai fait connaître ma faute,
je n’ai pas caché mes torts.
J’ai dit : « Je rendrai grâce au Seigneur
en confessant mes péchés. »
Et toi, tu as enlevé
l’offense de ma faute.
Ainsi chacun des tiens te priera aux heures décisives ;
même les eaux qui débordent ne peuvent l’atteindre.
Tu es un refuge pour moi, mon abri dans la détresse ;
de chants de délivrance, tu m’as entouré.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc
En ce temps-là, Jésus se rendit dans son lieu d’origine, Aet ses disciples le suivirent. Le jour du sabbat,
il se mit à enseigner dans la synagogue. De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient: « D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ? N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques de José, de Jude et de Simon ?
Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ?» Et ils étaient profondément choqués à son sujet.Jésus leur disait: « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. » Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Et il s’étonna de leur manque de foi. Alors Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
– Aelf, ¨Paris
Quant Jésus se présenta à son village d'origine, des bruis avaient couru concernant ses paroles et aussi, les signes qui accompagnement le message. Et dès cette visite, on se mit à le critiquer, à le remettre en question. "Pour qui se prend-il, le fils de Marie et Joseph! Or, sa renommée l'avait précédé avait précédé: ses paroles étaient accompagnés de signes nombreux et et tous en faveur de ceux qui souffraient, non seulement dans leur corps mais aussi dans leur esprit.
Pierre lui-même, ne voulut pas croire en la résurrection et il exigeai, de voir et de toucher les traces précises des blessures qui avaient conduit à la mort sur la croix. Les textes de ce jour nous engagent donc à renouveler sans cesse ce don de foi, cette capacité de passer par-dessus de sus notre propre scepticisme. Il est tout à fait révélateur de citer cette parole très commune d'étonnement: "Je n'en crois pas mes yeux !"
Ainsi est-il manifesté que la foi ne procède pas des signes vus et vécus, mais bien d'une adhésion de tout l'être, à partir du moment ou l'homme reconnait qu'il a véritablement besoin de foi pour accomplir pleinement le chemin qui conduit à une pratique de foi, d'espérance et d'amour...
.
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum