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Le Green pass et le modèle chinois: pourquoi il faut en avoir peur

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Message par MichelT Mar 27 Juil 2021 - 14:34

Le Green pass et le modèle chinois: pourquoi il faut en avoir peur

27 Juil 2021

Source: Benoit et Moi


Le Green pass et le modèle chinois: pourquoi il faut en avoir peur Skynews-huawei-facial-recognition_4710874-850x491

Le Green pass et le modèle chinois: pourquoi il faut en avoir peur Sdc-1

Après l’urgence sanitaire, quelle sera la suivante? L’urgence climatique? Stefano Magni tire la sonnette d’alarme à l’intention des irénistes invétérés qui persistent à ne pas voir où est le problème. Et il énumère les raisons d’avoir peur du passeport sanitaire, qui ne relèvent désormais plus de la science-fiction. L’UE et l’Italie l’appellent déjà Green Pass (référence à la couleur du feu de circulation homonyme, mais surtout à une idéologie répressive qui prétend défendre la nature et les petits oiseaux mais en réalité veut mettre les citoyens sous tutelle), de sorte qu’il n’y aura même pas besoin de changer son nom. Et les banderoles illustrées d’une croix gammée brandies par les protestataires pour dénoncer l’abus de pouvoir, sont un nuage de fumée. La référence n’est pas tant aux défuntes idéologies du XXe siècle, qu’à une dictature encore bien vivante qui maintient sous une poigne impitoyable plus d’un milliard d’êtres humains. Bref, le « modèle chinois »

Pourquoi il est juste d’avoir peur du Green Pass

Stefano Magni
La NBQ - Italie
27 juillet 2021
traduction

Green Pass, de quoi faut-il avoir peur ? Beaucoup s’interrogent et ne comprennent pas où se situe le problème. Au départ, il s’agissait d’un laissez-passer pour voyager en toute sécurité, mais la France et l’Italie en ont fait un instrument de contrôle. En Chine, il est intégré au système de crédits sociaux, grâce auquel l’État contrôle et évalue chaque citoyen.

Green Pass – de quoi faut-il avoir peur ? Une grande partie des manifestations contre l’introduction de l’obligation du laissez-passer vert ont été alimentées par cette question : de quoi avoir peur ? S’il est vrai que 73% des Italiens sont d’accord avec le nouveau devoir du citoyen vacciné (ou guéri, ou testé négatif), alors cette petite minorité qui manifeste dans les rues est accueillie par l’étonnement d’une majorité qui ne comprend pas où est le problème. Ceux qui protestent, au contraire, craignent une dictature sanitaire.

L’utilisation des symboles nazis pour indiquer le danger de la dictature, les étoiles jaunes et le parallèle avec les lois raciales (qui discriminaient les Juifs, depuis 1938) a été très souvent utilisée dans les manifestations et a provoqué l’indignation des communautés juives et de l’opinion publique plus modérée. Le nazisme est toujours évoqué lorsqu’il s’agit de contester un abus de pouvoir (reductio ad hitlerum) et la comparaison avec les lois raciales revient souvent à l’esprit, dans le cas de la discrimination, parce qu’il s’agit d’une blessure indélébile dans l’histoire italienne. Mais en réalité, le parallèle est impropre: ici, on ne prépare pas une discrimination sur une base raciale, mais sur une base comportementale. Les fascistes, à partir de 1938, les nazis à partir de 1933, ont persécuté les Juifs indépendamment de leurs idées ou de leur comportement.

Alors qu’y a-t-il à craindre ? Les défenseurs de l’obligation du Green Pass soulignent qu’elle est absolument normale: tout comme on doit s’arrêter si le feu est rouge, tout comme piloter un avion ou conduire une voiture nécessite un permis, de la même façon, en période de pandémie, entrer dans un restaurant nécessite un Green Pass.
Y a-t-il de quoi avoir peur ? Eh bien oui. Voyons de quoi.

Le Green Pass est une idée européenne, mais son origine est la République populaire de Chine. Bien que d’autres entités l’aient introduit à petite échelle, en mars de l’année dernière, le régime de Pékin a promu l’idée à l’échelle mondiale. L’objectif déclaré du « passeport vaccinal » chinois et du passeport vert européen est de pouvoir voyager « librement » en toute sécurité.

Cependant, quiconque connaît les méthodes communistes sait qu’un instrument créé dans un but formellement inoffensif peut se transformer en un rien de temps en un autre dispositif de contrôle totalitaire.

Quel type d’instrument ? En Chine notamment, il s’agit d’un complément au système de « crédit social », par lequel l’État évalue le comportement de chaque citoyen et lui attribue une note positive ou négative. Si le score est trop faible, le citoyen est exclu d’une série de services, jusqu’à ce qu’il devienne prisonnier de son propre domicile et privé d’accès à ses économies. S’il est particulièrement bas, le citoyen est exposé à la risée publique, au pilori électronique, sur Internet, sur les écrans géants des lieux publics et dans les médias. Si elle est inférieure à un seuil minimal, le citoyen désobéissant se retrouve dans un camp de rééducation.

En Europe, il n’existe pas (encore) de système de crédit social. Le Green Pass n’était censé être qu’un moyen de voyager en toute sécurité, sans être soumis à des quarantaines ou devoir subir des prélèvements au départ et au retour. Mais la France, et bientôt l’Italie, en ont fait un instrument de contrôle et d’évaluation. Ceux qui n’ont pas suivi certains comportements, comme se faire vacciner, sont exclus, pour des raisons sanitaires, d’une série de services auxquels, jusqu’à la veille, ils auraient pu avoir accès gratuitement. Il est déjà devenu un petit système de crédit social. Il est vrai qu’il est présenté comme un instrument ad hoc, justifié par la pandémie (à un moment, cependant, où les hospitalisations sont au plus bas) et pour cette raison il est volontiers accepté par les citoyens qui ne posent pas trop de questions.

Mais peut-il dégénérer et devenir un instrument de contrôle, tout court ? A ce stade, oui. Il n’en faut pas beaucoup. Si l’on légitime cette logique, il ne faudra pas longtemps pour arriver à un système de crédit social à la chinoise.

Tôt ou tard, l’urgence pandémique prendra fin, mais il y a déjà une « urgence climatique ». La liberté individuelle est considérée comme un obstacle également à la gestion de l’urgence climatique. En cas de pandémie, ils disent que votre liberté doit être restreinte pour protéger le reste de la communauté de la contagion, car n’importe qui peut être un porteur involontaire de la maladie. Après l’introduction des vaccins, ils disent aussi qu’on ne peut pas choisir de ne pas se faire vacciner, car l’immunité de groupe doit être obtenue collectivement. Pour lutter contre l’urgence climatique, ils affirment que votre liberté doit être encore plus limitée, car la consommation, les voyages et les modes de vie modernes produisent des effets externes qui deviendront de plus en plus inacceptables, comme les émissions de CO2 ou la simple « empreinte écologique » (combien nous « pesons » sur les ressources de la planète).

Et si le Green Pass était appliqué demain pour imposer un comportement écologiquement correct, en excluant de tous les services ceux qui ne répondent pas aux exigences nécessaires ? Une petite mise à jour du logiciel serait suffisante. Il n’aurait même pas besoin d’un nouveau nom. La lutte contre le changement climatique n’est qu’un exemple, mais il pourrait y avoir bien d’autres raisons de déduire des points à un citoyen du futur. Il suffit de voir combien de causes apparemment insignifiantes vous font déjà bannir des principaux réseaux sociaux… Voilà ce que craignent ceux qui manifestent contre l’obligation du Green Pass. Contrairement à la majorité des journalistes et des intellectuels, ils voient venir le danger. Ils l’appellent « nazisme », car c’est la tyrannie que nous avons tous en tête. Mais c’est du modèle chinois que nous devons avoir sérieusement peur.


Dernière édition par MichelT le Mer 18 Aoû 2021 - 13:37, édité 1 fois

MichelT

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Message par MichelT Ven 30 Juil 2021 - 14:14

LETTRE DE MGR MARC AILLET AUX DIOCÉSAINS DE BAYONNE, LESCAR ET OLORON,  SUR L’EPIDEMIE DE COVID-19 - Bayonne en France

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Chers frères et sœurs,

La problématique que pose actuellement la contagion mondiale du virus de Covid 19 ne peut pas laisser l’Église indifférente face à la maladie et à la détresse morale des populations.

Une situation complexe et un profond malaise

Comme évêque, c’est-à-dire comme pasteur appelé à prendre soin du troupeau qui m’a été confié par le Seigneur, je partage l’inquiétude d’un nombre croissant de personnes désemparées devant l’affolement sanitaire actuel. Les solutions préconisées par le Gouvernement pour endiguer l’épidémie, avec force moyens médiatiques et législatifs, si elles partent de l’intention louable de garantir la sécurité publique, engendrent chez beaucoup un état de détresse psychologique et morale. Si la vaccination est présentée par le pouvoir politique et les autorités de santé comme le seul moyen de stopper l’épidémie, les contraintes mises en place par décret ou en discussion au Parlement – vaccination obligatoire pour certaines professions, pass-sanitaire pour certains lieux ou activités de la vie quotidienne – suscitent des interrogations chez un nombre non négligeable de personnes qui craignent pour la sauvegarde de leurs libertés.

Si de très nombreux citoyens se sont laissés convaincre par les incitations gouvernementales et sur le conseil de très nombreux médecins de bonne foi, d’autres recourent au vaccin, contraints et forcés, pour ne pas perdre leur travail, ne pas mettre en péril leur famille ou pour jouir de la liberté d’aller au restaurant, au cinéma ou en voyage… L’obligation du pass-sanitaire n’est pas sans interroger beaucoup, y compris des élus de tous bords, sur le régime de discriminations, de suspicion ou de contrôle mutuel qui sera ainsi mis en place. Les discussions animées à l’Assemblée Nationale en témoignent. Un député de la Majorité, s’opposant au pass- sanitaire, a même dénoncé devant la commission des lois le risque de « fractionner la société ».

La pression quotidienne du discours médiatique, qui fonctionne comme un appel incitatif à la vaccination, les approximations et les contradictions de la parole publique, ont conduit nombre de nos concitoyens au doute, au scepticisme, voire à des durcissements et des réactions qui ne laissent pas d’inquiéter. Il serait préjudiciable à la paix et à la cohésion sociale d’instaurer une situation de « discrimination » entre vaccinés et non vaccinés, incitant même les uns à culpabiliser les autres, à les marginaliser et à les condamner à une quasi mort sociale. D’un côté comme de l’autre, il arrive que l’on joue sur le ressort de la peur et que l’on verse dans l’irrationnel.

Il ne se passe pas un jour où je ne ressente pas ce profond malaise, ce climat de tension voire de dépit qui affecte nombre de personnes que je rencontre. Je ne vous cache pas non plus mon inquiétude en constatant des germes de division dans les familles, les communautés, les groupes où la question de la vaccination devient peu à peu un sujet tabou, tant elle apparaît comme une question qui fâche.

Une information au service de la liberté de conscience

Vous aurez compris qu’il ne s’agit pas pour moi de dicter sa conduite à quiconque, ni de prendre position, de manière dogmatique, pour ou contre le vaccin. Mais il est de mon devoir de pasteur de vous inviter à la sérénité, dans le plus grand respect de tous, quelle que soit votre option, en vous refusant à stigmatiser ceux qui font d’autres choix. C’est la mission de l’Eglise de prendre de la hauteur et d’inviter à un débat apaisé, mieux : d’éclairer les consciences pour favoriser le « consentement libre et éclairé » exigé par la Loi. En reprenant la trilogie bien connue de la pensée sociale de l’Eglise – voir, juger, agir –, il s’est agi pour moi, avec l’aide de membres de « l’Académie diocésaine pour la vie », de procéder à un gros travail de recherche, en faisant le choix de n’utiliser que des informations référencées, provenant des services officiels de l’Etat français, d’autres Etats ou des Institutions internationales. Même s’il ne manque pas de scientifiques éminents, de médecins et autres professionnels de santé et de juristes pour alerter, de manière sereine et constructive, les pouvoirs publics et les populations sur les moyens alternatifs au vaccin et au pass-sanitaire pour endiguer l’épidémie et atteindre l’immunité collective, sans attenter aux libertés publiques.

Il n’est pas question pour moi de nier que la sécurité sanitaire soit un élément fondamental du Bien commun que l’Etat doit prendre à bras le corps, mais nul ne peut être contraint d’agir contre sa conscience. Car c’est bien la liberté de conscience qui est ici en jeu. Encore faut-il que la conscience soit éclairée et informée. Or l’enquête menée par l’Académie diocésaine pour la vie, m’a permis de découvrir une masse d’informations sur l’épidémie mondiale, impactant les populations depuis près de deux ans, et sur les moyens préconisés pour l’éradiquer, qui ne sont pas toujours portées par les grands médias à la connaissance du public.

Il y a des actes ou des choix qui sont toujours mauvais et qu’aucune loi ne saurait justifier. Il y a plus simplement un discernement à opérer sur la proportion des moyens mis en œuvre pour atteindre la fin, même louable, que l’on s’est fixé.

La posture du questionnement

Je me contenterai d’adopter ici la posture du « questionnement », que le Président de la République, dans son discours aux Bernardins du 9 avril 2018, avait affirmé attendre de l’Eglise. Les questions que je me pose, peut-être impertinentes, sont celles que j’entends régulièrement autour de moi.

On nous dit que la vaccination est le seul moyen, dans la situation actuelle, de stopper l’épidémie et d’atteindre l’immunité collective. Mais qu’en est-il des traitements qui existent et qui sont efficaces ou des autres moyens de prévention préconisés pour renforcer nos défenses immunitaires naturelles ? Est-il avéré que l’hydroxychloroquine, qui a été frappée d’interdiction en France par décret, a été autorisée dans d’autres pays européens ? Qu’en est-il de l’Ivermectine dont il semble que l’efficacité soit démontrée ? Qu’en est-il de la liberté des médecins de prescrire des traitements contre la covid-19 ?

Le mot « vaccin » résonne dans l’inconscient collectif comme un progrès indéniable qui a apporté de grands bienfaits à l’humanité. Que l’on pense au vaccin contre le Tétanos, pour lequel on n’a toujours pas trouvé de traitement pour éviter une mort inéluctable. L’épidémie de Covid-19 est-elle du même ordre, le risque d’en mourir est-il comparable ? Le taux de mortalité est-il particulièrement inquiétant ? Le nombre de contaminations fait-il croitre de manière exponentielle le nombre de décès ? Les vaccins protègent-ils contre les « variants » ?

Les vaccins mis sur le marché actuellement en France sont-ils des vaccins à proprement parler ou des « thérapies géniques » innovantes ? Pourquoi l’Agence européenne du médicament, suivie par l’Agence Nationale de sécurité du médicament en France, n’a-t-elle accordé qu’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) « conditionnelle » et pourquoi les firmes pharmaceutiques ont-elles été exemptées d’indemnisation pour leurs effets indésirables ? Si la phase expérimentale 3 ne s’achèvera pour Pfizzer par exemple qu’en octobre 2023, cela signifie-t-il qu’il faille craindre pour la sécurité du médicament à moyen ou long terme ? Des effets indésirables, voire mortels, ont-ils été recensés depuis l’utilisation de ces « vaccins » et les médecins traitants ont-ils été invités à informer leurs patients de ces risques ? Pourquoi n’invoque-t-on pas le « principe de précaution » si présent dans le discours public quand il s’agit de la protection de l’environnement ?

La dernière question concerne l’utilisation avérée, au moins pour le vaccin Astrazeneka, puisqu’il n’existe aucune notice d’information sur la composition des trois autres vaccins – ce qui est pour le moins étrange –, de cellules issues de fœtus avortés. La Congrégation pour la Doctrine de la foi a publié, le 20 décembre 2020, une « Note sur la moralité de l’utilisation de certains vaccins ». La question n’est pas nouvelle puisque d’autres vaccins qui circulent depuis les années 1960 (contre la rubéole, la varicelle, l’hépatite A et le zona), ont déjà suggéré à l’Eglise de se prononcer par le passé. Le dernier document en date, cité par la Note de 2020, est l’Instruction de la Congrégation pour la doctrine de la foi, Dignitas personae, du 8 décembre 2008. Si l’Eglise porte évidemment un jugement négatif sur l’utilisation de cellules issues de fœtus avortés dans l’expérimentation et la fabrication des vaccins, qu’en est-il de la coopération au mal des utilisateurs de ces vaccins ? C’est une question éthique que l’on ne saurait éluder.

Enfin, le pass-sanitaire est présenté souvent de manière altruiste, comme nécessaire pour éviter que des non vaccinés contaminent les autres, par exemple les clients d’un restaurant ou les personnes les plus vulnérables que nous côtoyons ? Mais si ceux-ci sont vaccinés, que risquent-ils ? D’ailleurs le vaccin anti-covid protège-t-il de la contamination et de la transmission du virus ? La parole publique n’est pas claire : dans un mémoire au Conseil d’Etat du 28 mars 2021, le Ministre de la Santé affirme, arguments à la clé, qu’il y a toujours un risque pour les personnes vaccinées, mais le Premier Ministre dans son allocution du 21 juillet sur TFI, affirme sans ambages que l’on est protégé. Qui croire ? Et si le vaccin ne protège pas, pourquoi les vaccinés seraient-ils davantage admis dans certains lieux que les non-vaccinés ? A-t-on évalué les contraintes que le pass-sanitaire fera peser sur les citoyens dans la vie quotidienne ? Ne représente-t-il pas en fin de compte une obligation vaccinale déguisée ?

Comment concilier les textes de loi, depuis le Code de Nuremberg, qui interdisent toute obligation vaccinale ? Si le 8 avril 2021, un arrêt de la CEDH (Cour Européenne des droit de l’homme) a autorisé la vaccination obligatoire à certaines conditions, une résolution de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, votée le 27 janvier 2021, par tous les pays de la Communauté, y compris la France, demande « de s'assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n'est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s'il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » (7.3.1) et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » (7.3.2). Qu’en penser ?

Ce sont les questions que j’entends et que je fais miennes volontiers. Ceux qui souhaiteraient consulter la Note informative de l’Académie diocésaine pour la Vie pourront la demander à l’adresse-mail suivante : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Comme tout citoyen, nous ne saurions trancher sur ces questions sans réflexion, comme nous ne saurions accorder notre confiance aux pouvoirs publics et aux autorités de santé sans information suffisante et sans discernement. Des choix présentés comme aussi décisifs pour la sécurité publique ne peuvent être posés qu’en conscience.

En vous invitant à ne pas céder à la division entre nous, à éviter tout jugement les uns sur les autres et à rechercher toujours la vérité dans la charité, je prie le Seigneur de nous éclairer sur les bonnes attitudes, en vue du Bien commun et de la défense de nos libertés fondamentales qui en constituent le socle.

Prions pour les autorités publiques, afin qu’elles prennent de bonnes et justes décisions, et demandons au Seigneur, par l’intercession de la Vierge Marie, de mettre un terme à cette épidémie.



                                                                                        + Marc Aillet, le 23 juillet 2021

MichelT

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Message par MichelT Mer 18 Aoû 2021 - 13:35

Le Green pass et le modèle chinois: pourquoi il faut en avoir peur Eutanasie-reich

Une Survivante de l'Holocauste : nous devrions être « plus que nerveux » à propos des mesures COVID-19

OPINION

Holocaust survivor: We should be ‘more than nervous’ about COVID-19 measures


Les passeports vaccinaux "sont la porte d'entrée vers un État de surveillance totalitaire", a déclaré Vera Sharav, survivante de l'Holocauste.

Mar 17 août 2021 - (LifeSiteNews - USA) – Traduction automatique et extraits

La survivante de l'Holocauste et militante médicale Vera Sharav a récemment déclaré dans un podcast que nous devrions nous sentir « plus que nerveux » à propos de l'état actuel des mesures de santé publique, y compris les blocages, les vaccinations forcées et les tests. Se référant au mouvement nazi, Sharav a déclaré : « La peur est un outil psychologique extrêmement puissant, qui a toujours été utilisé par les politiciens, les nazis y étaient particulièrement habiles. »

Sharav a été invitée au podcast pour discuter des préoccupations de l'animatrice quant à la direction dans laquelle elle pense que les mesures de santé publique vont. Ils ont discuté d'un éventail de sujets liés à la réponse à COVID-19 prise par divers gouvernements. De l'avis de l'animatrice, Trish Wood, il existe des parallèles entre le récit entourant la situation du COVID-19 et le récit commun en Allemagne sous le nazisme qui a été utilisé pour subjuguer les citoyens. Vera Sharav a convenu qu'il est logique de voir des similitudes entre cette époque et la nôtre. Sharav et Wood sont particulièrement préoccupés par le fait que les médecins d'alors, comme aujourd'hui, étaient largement rattrapés par des idées qui nuisaient aux gens à une échelle significative.

La survivante de l'Holocauste a spécifiquement mentionné l'eugénisme comme un sujet qui a occupé les médecins pendant la période précédant le mouvement nazi en Allemagne. « Au début du [20e] siècle, tout l'établissement universitaire était imprégné d'eugénisme, issu de Darwin. » Sharav pense que l'idée darwinienne de « survie du plus apte » a été adoptée par les responsables de la santé publique. Ce qui se passe avec une politique de santé publique, c'est que les responsables de la santé publique décident qui vivra et qui mourra. Cette mentalité est, selon elle, ce qui a conduit aux tragédies survenues en Allemagne. Elle s'inquiète que la même mentalité soit devenue omniprésente dans le discours médical et de santé publique d'aujourd'hui. «Je suis arrivé à la conclusion que lorsque les médecins s'alignent sur le gouvernement – ou les corporations (multinationales) - ils se débarrassent de leur responsabilité morale et professionnelle envers le patient individuel.»

À son avis, il est un « non-sens » de suggérer que de sacrifier les droits des individus est propice au plus grand bien ; elle a dit cela en référence à l'idée acceptée de verrouiller la société pour protéger un sous-ensemble de la population. « En tant qu'agents publics, ils parlent du bien commun. Qui a le pouvoir de décider quel est le plus grand bien ? … Si les individus sont opprimés ou relégués au rang de citoyens de troisième classe… de quel type de société s'agit-il ? Nous sommes maintenant à la porte de cela.» Lorsqu'on lui a demandé si elle croyait ou non que nous étions en fait à l'aube d'une société de type nazi et pourquoi, Sharav a répondu avec insistance : « Je le pense absolument… L'une des principales choses qui s'est produite au cours de ces 18 mois de pandémie est que la peur a été l'arme principale, qui a vraiment empêché les gens de penser correctement. Cela a isolé les gens et appris aux enfants à se méfier des autres : « Ils pourraient être infectés, ils pourraient me contaminer. »

En outre, elle a déclaré que les passeports de vaccination « sont la porte d'entrée vers un État de surveillance totalitaire ». Elle a ajouté : «c'était sous les nazis, c'était sous Staline, c'était sous Mao - c'est toujours en Chine - c'est là que nous allons si nous permettons que cela se produise.» Sharav a déclaré que l'Holocauste impliquait un lien unique entre l'establishment médical et les objectifs des nazis. « Hitler à l'époque, en tant que dirigeants maintenant, s'en remettait aux responsables de la santé. On nous dit constamment : « nous suivons la science. » En conséquence, elle dit que nous assistons maintenant à un « renversement complet de la civilisation humaine ».

Elle a déclaré qu'une grande partie de la responsabilité de l'état actuel des choses doit être imputée aux adultes qui ont besoin de se réveiller" et qui "se promènent comme des zombies.

MichelT

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