COVID 19 - En Allemagne les autopsies confirment que le «vaccin» anti-COVID est la cause de nombreux décès

Sujet très délicat - Je n`ai aucune compétence médicale - Utilisons la plus grande prudence possible et ils veulent même vacciner les jeunes enfants!!!!!! - Les autorités de l`Église catholique devraient intervenir auprès des politiciens pour qu`ils exercent une retenue au nom de la prudence -


En Allemagne, les autopsies confirment que le “vaccin” anti-Covid est la cause de nombreux décès

— par Pierre-Alain Depauw — 23 septembre 2021
Source: Médias-Presse Info


Allemagne – Une conférence de presse avec deux pathologistes de renom a eu lieu à Reutlingen le 20 septembre 2021. Le Prof. Dr. Arne Burkhardt et le Prof. Dr. Walter Lang, deux scientifiques ont confirmé le contenu du rapport du Prof. Dr. Peter Schirmacher sur les liens établis lors d’autopsies entre la vaccination anti-Covid et les décès de plus en plus nombreux de personnes vaccinées. Le Prof. Dr. Peter Schirmacher, qui dirige les services d’autopsie, a trouvé une relation de causalité avec la vaccination dans un tiers des décès survenus dans les 14 jours après la vaccination Covid 19.

Lors de leur conférence de presse, les pathologistes ont souligné que la situation était alarmante.

Au cours de leurs autopsies, les scientifiques sont entrés dans les moindres détails et ont utilisé les dernières technologies. Parce que c’était le seul moyen d’établir un lien avec les vaccins, a déclaré Burkhard dans l’introduction.

Le Prof. Dr. Burkhard a notamment déclaré :

« Parmi ce que je vous montre, il y a beaucoup de choses que j’ai vu pour la première fois. Je ne peux pas encore vous nommer certaines choses, car je cherche toujours des noms pour les désigner. » « Nous procédons ici à une évaluation par les pairs avec de nombreux collègues »
“Des effets graves sont probablement diagnostiqués à tort comme des crises cardiaques par de nombreux pathologistes”
“On trouve des accumulations de lymphocytes partout” Dans tous les cas, le système immunitaire a été attaqué. Certains diagnostics sont difficiles et souvent mal interprétés.

Après cette conférence de presse, chaque vaccinateur devra revoir attentivement ses certitudes. Les sociétés pharmaceutiques impliquées doivent répondre de toute urgence aux questions posées par ces scientifiques de haut niveau. D’ici là, chacun doit se demander s’il prend le risque d’une telle “vaccination” et expose son système immunitaire à ce danger.



En allemand

Conférence de presse EN DIRECT: Rapport sur les ingrédients des vaccinations Les résultats de l'autopsie de huit personnes décédées seront présentés à l'institut pathologique de Reutlingen le lundi 20.09.2021, 20.09.2021 L'analyse des tissus fins a été réalisée par les pathologistes Prof Dr. Dr. Arne Burkhardt et Prof. Dr. Dr. Walter Lang ont effectué. Les résultats confirment les conclusions du professeur Dr. Dr. Peter Schirmacher selon lesquelles plus de 40 noms de corps décédés dans les deux semaines suivant la vaccination CVID-19 sont décédés de manière causale de la vaccination. Dans le cadre de la conférence de presse diffusée en direct, des détails microscopiques des changements tissulaires seront affichés. Prof. Prof. Dr. Dr. Werner Bergholz rend compte des paramètres actuels du rapport statistique de l'historique de vaccination. La conférence de presse présentera également le résultat de l'analyse d'échantillons de vaccins COVID-19 d'un groupe de recherche autrichien qui couvre les découvertes de scientifiques du Japon et des États-Unis. Dans le vaccin, des composants métalliques non déclarés ont été trouvés. Visuellement, les éléments vaccinaux se distinguent par leur forme inhabituelle. Les conclusions de l'enquête se traduisent par des exigences juridiques et politiques, par exemple, une collecte immédiate d'informations par les autorités afin d'évaluer les risques sanitaires posés par les vaccins COVID-109. Par exemple, en vérifiant le registre de FIV, les premiers signaux de fertilité restreinte des personnes vaccinées seront testés. Le Registre du cancer peut obtenir des informations sur l'émergence du cancer à partir des modifications génétiques de l'ARN du virus. Envisager une suspension de la vaccination COVID-19.


Scientifiques de Wuhan (Chine), protéines chimériques Covid spike, nanoparticules qui pénètrent la peau

Source: Médias-Presse Info - site catholique (Traduction) - The Telegraph - Journal en Angleterre

Dix-huit mois avant la pandémie, des scientifiques de Wuhan, en Chine, ont présenté un projet consistant à libérer les coronavirus aéroportés améliorés dans la nature, selon The Telegraph, (Journal Anglais) qui cite des demandes de subventions divulguées à partir de 2018.

De nouveaux documents montrent qu’à peine 18 mois avant l’apparition des premiers cas de Covid-19, des chercheurs avaient présenté des projets pour libérer des nanoparticules pénétrant la peau contenant de « nouvelles protéines chimériques de  coronavirus de chauve-souris » dans des chauves-souris des cavernes du Yunnan, aux États-Unis. Ils prévoyaient également de créer des virus chimériques, génétiquement améliorés pour infecter plus facilement les humains, et ont demandé 14 millions de dollars à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) pour financer les travaux. La demande de subvention a été présentée par le zoologiste Peter Daszak de l’Alliance EcoHealth basée aux États-Unis, qui espérait utiliser l’ingénierie génétique pour mettre ensemble des « sites de clivage spécifiques à l’homme » sur la chauve-souris Covid « ce qui faciliterait l’entrée du virus dans les cellules humaines », une méthode qui répond par coïncidence à une question débattue dans la communauté scientifique sur la façon dont le SRAS-CoV-2 a évolué pour devenir si contagieux pour les humains.

La proposition de Daszak comprenait également des plans pour combiner des souches de coronavirus naturel à haut risque avec des versions plus infectieuses, mais moins mortelles. Son « groupe de chauves-souris » de chercheurs comprenait le Dr Shi Zhengli de l’Institut de virologie de Wuhan, ainsi que des chercheurs américains de l’Université de Caroline du Nord et du National Wildlife Health Center de l’US Geological Survey. La Darpa a rejeté le contrat, déclarant qu’ « il est clair que le projet proposé dirigé par Peter Daszak aurait pu mettre les communautés locales en danger », mettant en garde également sur le fait que Daszak n’avait pas pleinement pris en compte les dangers liés à l’augmentation du virus grâce à la recherche sur le gain de fonction, ou en libérant un vaccin dans l’air. Les documents de subvention montrent que l’équipe avait également des inquiétudes concernant le calendrier de vaccination et a déclaré qu’elle « conduirait une activité de sensibilisation … afin que le public comprenne ce que nous faisons et pourquoi nous le faisons, en particulier en raison de la pratique de la consommation de chauves-souris dans la région ».

Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à St Georges, Université de Londres, qui a eu du mal à faire publier des articles montrant que l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) effectuait un travail de « gain de fonction » depuis des années avant la pandémie, a affirmé que la recherche aurait pu continuer même sans le financement. « Il s’agit clairement d’une ingénierie de gain de fonction du site de clivage des nouveaux virus pour améliorer l’infectiosité des cellules humaines dans plus d’une lignée cellulaire », a-t-il déclaré au Télégraphe. Il est un nom dans l’article du Telegraph qui mérite l’attention : celui du zoologiste britannique Peter Daszak. En effet, ce dernier fit partie de l’équipe d’experts qui a enquêté à Wuhan, en février 2021, pendant 28 jours, au sein de la mission envoyé par l’OMS dans l’Empire du Milieu pour essayer de faire la lumière sur l’origine du SRAS-CoV-2. Les scientifiques de l’OMS, dont Daszak, avaient conclu que l’hypothèse de la fuite du virus d’un laboratoire de Wuhan, toujours soutenue par les Américains, « extrêmement improbable ». Déjà à l’époque, MPI avait révélé les liens d’intérêt entre Daszak, le Docteur Shi Zhengli, Wuhan, les chauves-souris et les coronavirus, et la volonté du scientifique britannique de diaboliser sous l’épithète infamante de « théorie du complot » toute hypothèse envisageant une fuite du laboratoire de Wuhan. On comprend mieux, après les nouvelles révélations du Telegraph que l’on ne peut qualifier de quotidien complotiste, pourquoi Daszak persévérait tellement à nier toute origine humaine au Sars-Cov-2. Sa responsabilité dans la propagation de ce virus et son infectiosité pourrait être majeure.

Francesca de Villasmundo

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Article du Telegraph: Wuhan scientists planned release skin penetrating nanoparticles - 21 - 09 -  2021

Allons-nous lentement vers une dictature technocratique mondialiste appuyée par des médias mondialistes de propagande?

Pourquoi les Grands Médias mondialistes ne semble avoir aucun intérêt pour les signaux d`alarmes lancés par des spécialistes médicaux (pathologistes – virologues – ect) …...

Ou sont les gens honnêtes de nos jours?


- Savez-vous ceci: Élu à la tête de l’Organisation Mondiale de la Santé, le communiste et ancien ministre éthiopien de la santé Tedros Adhanom est accusé d’avoir passé sous silence trois épidémies de choléra en Éthiopie. De plus cet homme a été mis en place par le Parti Communiste Chinois. L`épidémie a commencée en Chine et peut-être au laboratoire de Wuhan ou le parti communiste et l`armée communiste chinoise font des recherches.


Comment les allemands se sont lentement enfoncés dans une dictature après avoir eux-même votés pour le parti nazi en 1933

Comparons cela a la situation présente avec la peur, la crainte de perdre son emploi, les mensonges et le barrage de propagande 24-7, les menaces et intimidations des technocrates mondialistes.

A lire en particulier : LE CORPS MÉDICAL EN ALLEMAGNE NAZIE


La société allemande sous le III Reich – par Pierre Aycoberry

Illusions – Collusions et désillusions des élites  (extraits)

Fonctionner quand même – 1934 a 1938

Fonctionner, c`était travailler quotidiennement au rouage du système nazi, en adoptant comme valeur suprême – l`efficacité et la performance (Leistung).  

Comme l`écrivait un aristocrate allemand furieux qu`on impose a ses enfants d`adhérer aux Jeunesses hitlériennes il disait : « Nous devons nous intégrer organiquement dans le national-socialisme (nazisme) – mais sans jamais nous renoncer a nous-même.»

Ce double langage se retrouvait aussi dans la grande industrie et les multinationales comme IG Farben chacun confiné dans sa sphère de compétence technique ou financière considérait comme une «obligation professionelle» de collaborer a la politique d`agression sans en envisager les conséquences ultimes. Selon F. Neumann, les administrateurs n`étaient «ni nazis, ni anti-nazis, mais pro-bureaucrates ministériels», laissant leurs subordonnés et collègues se compromettre davantage. Ils crurent longtemps sauvegarder leurs autonomies en s`abritant derrière Frick, le ministre de l`Intérieur, mais lui-même ne cessait de perdre du terrain face aux offensives de la chancellerie du parti nazi, de Hess et de Bormann.

Parfois leur prétendue neutralité se transforma en complicité. Le cas le plus troublant est celui des juristes «apolitiques» qui rédigèrent les décrets d`application des lois raciales. Ils se laissèrent lentement corrompre alors que la politique anti-juive se dévoilait lentement a petit-pas et étape par étape – lentement. Chaque étape ne marquait qu`un petit pas supplémentaire qui n`aurait pas justifier de leur part un refus de collaborer.  La magistrature fut plus profondément nazifiée. Pour les haut-postes en 1939 – 80 a 90% des directeurs du ministère, des procureurs généraux et présidents de cour d`appel, des présidents et procureurs des tribunaux d`instance, étaient des membres du parti nazi ayant adhéré avant 1933 (date de prise du pouvoir du parti nazi), c`est a dire, des convaincus!

Les tribunaux spéciaux et la terrible Cour du peuple (Volksgerishtshof) étaient depuis leur création composés de nazis fanatiques. Mais les petits juges n`étaient pas tous mis au pas. La moitié environ donna des preuves plus ou moins formelles de loyauté au régime en adhérant au parti nazi, soit a des œuvres d`assistance nazie. Mais c`est parmi ces faux ralliés et les non-ralliés qu`on trouva des gens assez audacieux pour enquêter sur les décès dans les camps de concentration, pour inculper des policiers pour fait de torture, ou condamner a des peines légères certains accusés. La hiérarchie ne les soutint que du bout des lèvres contre les protestations de la Gestapo. Les policiers promettaient de ne plus arrêter les suspects acquittés par les tribunaux ou d`accepter la présence d`un médecin lors des «interrogatoires renforcés» et ainsi le ministère en admit la pratique.

Les officiers de l`armée allemande

Beaucoup de jeunes gens qui arrivaient dans l`armée allemande sortaient directement des Jeunesses hitlériennes – et de la préparation militaires des S.A. - les chemises brunes nazis. Ils étaient soumis a l`interdiction d`adhérer au parti nazi comme soldat, mais leurs esprit avait été politisé par la propagande. A cette subversion venue d`en-bas répondait celle d`en-haut, car les deux commandements émettaient des directives contradictoires – celui de l`armée de terre interdisait aux officiers et aux hommes d`abjurer leur religion tandis que le haut-commandement des armées allemande (Terre-Mer-Air) disait aux officiers de se plier aux exigence de l`État National-Socialiste et de développer la camaraderie avec le parti Nazi.


Les relations entre le patronat et l`État nazi

Le patronat allemand, ébranlé par la crise de 29 devait choisir entre le réarmement de l`Allemagne (juteux contrats) – et le commerce extérieur. Une partie militait pour le réarmement, tandis que une autre partie inquiète, plaidait pour un encouragement des exportations.

Les multinationales de la chimie comme IG Farben et celles de la métallurgie participèrent – en trois ans – augmentation de 50% du chiffre d`affaire et de 70% des profits pour IG Farben qui devint un partenaire du parti nazi. Plusieurs grandes compagnies allemandes ont collaborées au régime nazi avec coeur en se justifiant ainsi : « pour le bien de l`entreprise»

LE CORPS MÉDICAL EN ALLEMAGNE NAZIE

Cette transition entre la conscience professionnelle et la soumission politique que beaucoup d`industriels franchissaient insensiblement aurait dû paraître impossible au corps médical. Pourtant 43% des membres du corps médical s`inscrivirent comme membres du parti nazi – le taux le plus élevé de toutes les professions! Et même de 7 a 9% dans les SS.

Comment expliquer cette adhésion  exceptionnelle? Pour les plus jeunes on invoque les innovations introduites dans la formation universitaire. Plus que les autres étudiants, ils avaient dû suivre des cours de raciologie (théories raciales nazies) – et des stages de formation politique – Parmi les plus âgés, certains durent céder a la contrainte, par exemple les médecins attachés aux caisses de l`assurance-maladie. Beaucoup furent sensibles a la disparition du sous-emploi, conséquence de l`épuration de leurs confrères juifs et de la création de nouveaux postes dans l`armée et les grandes entreprises.

Il faut considérer le rôle flatteur que leur accordait l`état nazi. Le médecin généraliste fut présenté par les nazis comme un pilier du régime. Il devait encourager une saine natalité, déclarer les maladies vénériennes et «héréditaires», c`était sa contribution a l`eugénisme (contrôle de la démographie) – Celle des psychiatres fut plus directe encore – ils étaient appelé a sélectionner les «malades» ou prétendus tels, qui devaient être stérilisés – la réussite massive de l`opération prouve que la plupart n`y voyaient pas de contradiction avec la déontologie.

L`Enseignement Supérieur Allemand sous le régime nazi

Les universitaires ont la mémoire courte. Après la guerre, les professeurs ont assurés qu`ils avaient continués a servir la Science, a part quelques excités ou carriéristes. La création de nouveaux enseignements idéologiques fut imposé d`en-haut.

La politique officielle de l`Enseignement supérieur se réalisait par le jeu de trois partenaires : le Ministère de la Science et de l`Éducation – les organisations nazies d`étudiants et d`enseignants – le corps professoral.

Le corps professoral essaya de se défendre contre les politiciens en s`abritant derrière le ministère, mais s`était reconnaître la légitimité de ses interventions (ministère nazi). L`épuration primitive affecta 15% des postes, et dans les 5 années suivantes 45% changèrent de titulaires. Les procédures de façades étaient respectées mais le régime nazi considérait les Universités comme un système archaïque qui devait être remplacé graduellement par des écoles de cadres nazis.


Les Journalistes et les Médias

Après l`élimination des journaux de gauche et des journalistes juifs, Goebbels jugea bon de tolérer quelques temps une poignée de journaux en semi-liberté. Les instruction données chaque jour par le ministère de la Propagande et des responsables locaux du parti représentaient une censure préalable.

L`Église catholique en Allemagne

En 1937 – Hitler fait arrêté 57 responsables nationaux catholiques. Les catholiques comme les protestants durent se replier sur des activités purement religieuse. L`association des jeunes hommes catholiques perdit 100,000 adhérents en quelques mois. Les Jeunesses hitlériennes et les S.A. - chemises brunes nazies – utilisaient la violence et l`intimidation contre les fidèles.

Extrait d`un autre livre

Hitler en vint ensuite a la question du jour : la relation entre le national-socialisme et l`Église catholique : «Le christianisme est intimement lié a notre peuple et a la culture occidentale par mille ans d`histoire» dit-il a Faulhaber (Évêque de Munich qui avait critiqué le régime). Il ajouta qu`il avait dans ses services 380 cas de prêtres catholiques accusés d`avoir prêchés contre le national-socialisme. Il fallait absolument que l`Église catholique abandonnât cette «ridicule bagatelle», les fascistes comme les catholiques avaient bien autres chats a fouetter. Toutefois si l`Église catholique persiste a s`opposer au national-socialisme, il pousuivra sans l`Église sa marche en avant.

Faulhauber dit a Hitler : Le gouvernement nazi, depuis 3 ans livre bataille a l`Église catholique en Allemagne. Les manifestations nazies du dimanche matin éloignaient la jeunesse de la sainte communion – plus de 600 instructeurs catholiques avaient perdu leur poste dans la seule Bavière, un chiffre qui monte bientôt a 1,700.  L`État a introduit des démarches que l`Église ne peut avaliser comme la stérilisation des criminels ou des personnes ayant des défauts génétiques. Il se plaignit des radicaux, des tracts et discours appelant a l`éradication de la foi chrétienne.

Hitler répliqua que quand l`Église et le national-socialisme seront pleinement en accord, tout cela cessera. (chantage) -

Dans la bibliothèque privée d`Hitler – page 235

La Police sous le régime nazi

Une des première mesures prise par Goering fut de soustraire la police a l`autorité du Commissaire du Reich en se la subordonnant personellement.  Frick comme ministre d el`Intérieur avait un droit de regard mais ne pouvait donner aucun ordre. Le 22 février 1933 Goering signait un décret qui faisait des S.A. - les chemises brunes - troupes de choc nazie chargée de controler la rue - des policiers auxiliaires. Il invite les hommes a se montrer impitoyable. Les S.A. ouvrent un camp de concentration privé a Orianenbourg près de Berlin et on y entassa des centaines d`opposants politiques. Le 22 Juin 1933, une instruction ministérielle de Goering enjoignit tous les fontionnaires  de surveiller les propos des employés de l`État et de lui signaler ceux qui critiquaient le régime et ceux qui n`étaient pas patriotes. La Gestapo (police politique nazie) recevait plus de pouvoir partout en Allemagne. (Source: Histoire de la Gestapo - Jacques Delarue)