10 MAI : ANNIVERSAIRE DU MARTYRE DE MME ELISABETH

10 mai : anniversaire du martyre de Madame Elisabeth de France

Nous vous invitons à visionner cette courte vidéo publiée par l'association pour la béatification de Madame Elisabeth, qui résume sa vie et ses derniers moments >>>
https://www.youtube.com/watch?v=pAxPFQPU_IY

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Vous pouvez retrouver DES PERLES sur Mme Elisabeth, soeutr de Louis XVI, de Louis XVIII et de Charles X, comme de la Bienheureuse Clotilde de Savoie, Née Clotide de France, ici :

1. La prière pour demander des grâces par l'intercession de Madame Elisabeth
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2014/05/02/priere-pour-demander-des-graces-par-lintercession-de-madame-elisabeth-de-france/

2. La prière d'abandon dite “de Madame Elisabeth”, mais qui en réalité n'a pas été écrite par elle, mais qu'elle aimait et récitait souvent
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2011/04/11/prieres-dabandon-confiant-quand-on-se-trouve-dans-le-tunnel/

3. Une autre prière, moins connue, mais véritablement écrite par Madame Elisabeth celle-ci
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2019/05/10/une-autre-belle-priere-de-madame-elisabeth-de-france-1764-1794/

Prière d'intercession de Mme Elisabeth de France
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2014/05/02/priere-pour-demander-des-graces-par-lintercession-de-madame-elisabeth-de-france/

Une humble tribune qui a valu à son auteur le titre de CJA
https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2014/05/20/madame-elisabeth-de-france-1764-1794/



St Isidore le Laboureur - Fêté le 10 mai

Isidore, domestique dans la région de Madrid au XIIeme siècle prenait sur son sommeil le temps d’aller à la messe avant de se rendre à son travail Le roi Philippe III d’Espagne fut guéri par son intercession.Il fut canonisé en 1622 par le pape Grégoire XV. Il est le patron des paysans

10 mai 1774 : mort du Roi Louis XV

Louis XV, dit « le Bien-Aimé », né le 15 février 1710 à Versailles où il est mort le 10 mai 1774, est un des Rois de France et de Navarre les plus connus. Membre de la Maison de Bourbon, il règne sur le Royaume de France du 1er septembre 1715 à sa mort. Il est le seul roi de France à naître et mourir au château de Versailles. S'il est surnommé le « Bien-Aimé » en début de règne l'appréciation du peuple évolue et à sa mort il n'est plus surnommé tel.

Orphelin à l'âge de deux ans, Duc d'Anjou puis Dauphin de France du 8 mars 1712 au 1er septembre 1715, il succède à son arrière-grand-père Louis XIV à l'âge de cinq ans. Son pouvoir est alors délégué à son cousin, neveu du défunt Roi, le Duc d'Orléans, proclamé « Régent du Royaume », le 2 septembre 1715, jusqu'au 15 février 1723, date de l'entrée du jeune Roi dans sa majorité fixée pour les rois à cette époque à 13 ans. Il prend officiellement la direction du gouvernement. Notons que le duc d'Orléans n'a pu être Régent qu'après avoir fait casser par le parlement le testament de Louis XIV légitimant ses batards eus de Mme de Montespan.

La Régence : les premières années de son règne se déroulent dans un calme relatif, sous la direction prudente de plusieurs précepteurs, qui lui transmettent une vaste culture. À sa majorité, il confie successivement le gouvernement à des parents proches, le Duc d'Orléans, ex-régent, puis le Duc de Bourbon, puis à l'un de ses anciens précepteurs, le Cardinal de Fleury.

Si avec ce ministre, la France prospère et s’agrandit de la Lorraine et du comté de Bar, sa volonté de faire de la bulle Unigenitus une loi d’État provoque la montée de l’opposition des parlements très imprégnés de jansénisme et de pensèe maçonnique.

À la mort de Fleury, en 1743, Louis XV commence à gouverner seul en s’appuyant sur quelques secrétaires d’État et ministres, quelques Conseils ainsi qu’un nombre restreint de hauts fonctionnaires. Intelligent mais timide et manquant de confiance en lui, gouverner n’est pas tâche facile pour lui surtout qu’il commence cet exercice alors que le mouvement des Lumières s’affirme, tout comme la physiocratie. Les parlements affirment, à la suite de Le Paige, que leur corps a une ancienneté et, partant, une autorité égale voire supérieure à celle du roi et entrent en opposition. Ce sont eux qui provoqueront l’expulsion des jésuites de France en 1763. Enfin, en Europe la Prusse de Frédéric II et la Russie s’affirment comme des puissances européennes, tandis que l’Autriche doit lutter pour conserver sa place. Sur les océans, l’Angleterre déploie une flotte alors sans égale et poursuit une politique vigoureuse d’expansion outre-mer basée sur sa maîtrise des océans.

Seul survivant de la Famille Royale stricto sensu (il est l'arrière-petit-fils de Louis XIV), il bénéficie au début de son règne d'un grand soutien populaire.

Sous son règne, les arts sont florissants, notamment la peinture, la sculpture, la musique et l’ameublement. Tout comme en philosophie et en politique, les styles artistiques connaissent de profondes mutations vers 1750. La France connaît quelques succès militaires sur le continent européen qui lui permettent d’acquérir le duché de Lorraine, le duché de Bar, ainsi que la Corse. En revanche, la France perd le contrôle d'une grande partie de son empire colonial, au profit de la domination coloniale britannique : tout particulièrement la Nouvelle-France en Amérique, ainsi que sa prépondérance aux Indes.

Durant le règne de Louis XV, l'architecture Française atteint un de ses sommets, tandis que tout ce qui est arts décoratifs (meubles, sculptures, céramiques, tapisserie, etc.), apprécié non seulement en France, mais aussi dans les cours européennes, connaît une forte expansion. Les prières de sa fille Mme Louise, entrée dans les ordres, fera que le Roi chassera ses maîtresses et demandera pardon à la Reine. Il renouvelle la consécartion à la France, étend cette consécration aux Royaumes voisins par le Pacte des famille du 15 aout 1765 établi entre les Bourbons de France, d'Espagne, de Naples et de Parme, la fille de Louis XV, Mme Isabelle, épousant le jeune Duc Don Felippe, fils de Philippe V d'Espagne et d'Elisabath Farnese.

Sous la recomandation de Louis XV, l'Espagne est consacrée à la Madonne del Pilar, le Royaume de Naples et des Deux Siciles à la Madonne del Carmine (prononcer Carminé) et le Duché de Parme à la Madonne della Steccata : celà permet un renversement des alliances qui se faisaient au profit des pays protestants du nord de l'Europe, Angleterre, Hollande, Prusse.

A versailles, c'est l'époque de tous les arts baroques tournés vers le Divin, du Messia de Hendel et de l'AVE MARIA, de la Grande Musique ! c'est l'époque du triomphe les arts et lettres, de la liberté de penser et d'une grande prospérité.

Cependant, au fil des ans l’opposition des parlementaires et d’une partie des philosophes, sa relation avec Madame du Barry dans son viel âge, sa difficulté à se faire valoir à une époque où l’opinion publique (essentiellement alors parisienne) devient chose importante, amènent la disparition de sa popularité. À tel point que sa mort —de la variole— provoque des festivités dans Paris, comme il y en avait eu à la mort de Louis XIV. Ses relations avec ses maîtresses, dont il ressent une certaine culpabilité, car il n’est pas philosophiquement libertin, le poussent à ne plus communier ni à pratiquer les rituels thaumaturgiques des rois de France, ce qui conduit à une désacralisation de la fonction Royale.

Comble de l'ironnie, il meurt détesté alors qu'il a laissé au Royaume de France une économie prospère et des finances assainies...