DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - L'EGLISE DIOCESAINE
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DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - L'EGLISE DIOCESAINE
DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : L'EGLISE DIOCESAINE
L’Abbé Georges de Nantes, fondateur de la Contre-Réforme Catholique au XXI° siècle, avait écrit en 1969 :
–Un jour se lèveront des phalanges de toute nations, de toute classe, pour la renaissance de l’Eglise et le salut du monde. Leur action s’inspirera nécessairement du patrimoine de sagesse que récapitulent nos 150 Points de religion Catholique, d’Action Française, de vie communautaire. On aura beau voir et dire, on ne reconstruira rien en dehors ou au rebours de ces principes que nous tenons de nos pères.
L'Abbé Georges de Nantes était donc Maurrassien sans être Orléaniste, et appelait à une grande conversion !
Dans le même N° de Juillet 1987 de Il est ressuscité, un disciple de l’Abbé de Nantes précisait:
–Le Père de Nantes ne choisi pas son Roi : discuter du Prince, choisir son Prince, c’est déjà être républicain ! Il dépasse le clivage Orléaniste/Légitimiste. Sa conviction morale repose sur une croyance sincère en une Survivance possible de Louis XVII. Qu’un descendant de Louis XVI s’avance et l’unanimité des Français se fera ! Quoi qu’il en soit et qui que soit le Roi, Dieu nous le montrera !
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur ? nous pourrions commencer par de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royal, communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 29
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Point 29. L’Église diocésaine.
1. Sous l’autorité du Pape, qui est souveraine, universelle et immédiate et doit être reconnue par toute l’Église, chaque région de la Terre est confiée à un évêque, successeur des Apôtres, pour gouverner un diocèse, portion de territoire à lui confiée par l’Évêque des évêques. Il est maître en son diocèse. C’est le Pape qui lui donne juridiction sur cette portion du troupeau, et c’est seulement en communion avec lui qu’il peut l’exercer légitimement. À ce titre, et à cette seule condition, le Phalangiste reconnaîtra son évêque comme représentant de Jésus-Christ, honorera son autorité et fera appel à ses pouvoirs spirituels de successeur des Apôtres.
L’Église locale assure la vie spirituelle et l’activité Chrétienne à l’échelle humaine ; elle est toute dépendante de l’autorité de l’évêque, mais aussi de son dévouement personnel.
Le Phalangiste s’en souviendra pour aimer son évêque et, soit dans la confiance, soit dans les heurts même les plus pénibles, pour l’aider à conserver la vitalité Sainte de l’Église diocésaine, sa Foi, sa loi, sa charité, dans le culte de ses traditions.
2. Le Phalangiste n’aura en revanche que doute et méfiance envers tous les organismes collégiaux, bureaucratiques, parlementaires, qui, au-dessus, sous prétexte de conférences et de commissions épiscopales, au-dessous, sous prétexte de représentation des prêtres et des militants, ou au même niveau, telles les centrales des mouvements d’Action Catholique, empiètent sur l’autorité personnelle de l’évêque, qu’ils discréditent et annihilent. Ces organismes parasitaires revendiquent un pouvoir consultatif qui leur permette de dominer l’opinion populaire, et un pouvoir délibératif, de toute manière usurpé, pour contrôler le gouvernement de l’évêque. Ces oligarchies anonymes, irresponsables, s’avèrent foncièrement révolutionnaires ; toutes les hérésies et les schismes y trouvent abri et réconfort.
Le Phalangiste demeurera en dehors de ces organisations, ne voulant connaître que les organes de droit traditionnels : le Conseil épiscopal, les Synodes diocésains, régionaux ou généraux, et les Conciles.
3. Les diocèses et leurs évêques souverains, docteurs, pasteurs et chefs du troupeau sont, par institution Divine, la grande réalité vivante de l’Église, dont les heurs et malheurs ont fait la gloire ou la misère des peuples Chrétiens. Et il n’est pas dit que les procédés de désignation des évêques ne doivent pas être étudiés et rénovés à la lumière des traditions. Car l’élection est préférable à la désignation par les pouvoirs temporels, et la nomination par Rome plus sûre que la cooptation collégiale, fléau actuel de nos épiscopats oligarchiques et libéraux.
De toute manière, l’actualité le montre, les Églises locales ne sauraient se maintenir longtemps si l’Église Romaine venait à ne plus exercer sur elles, avec vigilance et exactitude, son pouvoir suprême.
Mon humble conclusion : C’est le Pape qui donne à l'évèque juridiction sur sa portion du troupeau, et c’est seulement en communion avec lui qu’il peut l’exercer légitimement. À ce titre, et à cette seule condition, le Phalangiste reconnaîtra son évêque comme représentant de Jésus-Christ, honorera son autorité et fera appel à ses pouvoirs spirituels de successeur des Apôtres. Le Phalangiste n’aura en revanche que doute et méfiance envers tous les organismes collégiaux, bureaucratiques, parlementaires, qui, au-dessus, sous prétexte de conférences et de commissions épiscopales, au-dessous, sous prétexte de représentation des prêtres et des militants, ou au même niveau, telles les centrales des mouvements d’Action Catholique, empiètent sur l’autorité personnelle de l’évêque, qu’ils discréditent et annihilent. Ces organismes parasitaires revendiquent un pouvoir consultatif qui leur permette de dominer l’opinion populaire, et un pouvoir délibératif, de toute manière usurpé, pour contrôler le gouvernement de l’évêque. Ces oligarchies anonymes, irresponsables, s’avèrent foncièrement révolutionnaires ; toutes les hérésies et les schismes y trouvent abri et réconfort.
Le Phalangiste demeurera en dehors de ces organisations, ne voulant connaître que les organes de droit traditionnels : le Conseil épiscopal, les Synodes diocésains, régionaux ou généraux, et les Conciles.
Catholiques et Français, toujours ! Et Royalistes parce que Catholiques et Français...
Hervé J. VOLTO
L’Abbé Georges de Nantes, fondateur de la Contre-Réforme Catholique au XXI° siècle, avait écrit en 1969 :
–Un jour se lèveront des phalanges de toute nations, de toute classe, pour la renaissance de l’Eglise et le salut du monde. Leur action s’inspirera nécessairement du patrimoine de sagesse que récapitulent nos 150 Points de religion Catholique, d’Action Française, de vie communautaire. On aura beau voir et dire, on ne reconstruira rien en dehors ou au rebours de ces principes que nous tenons de nos pères.
L'Abbé Georges de Nantes était donc Maurrassien sans être Orléaniste, et appelait à une grande conversion !
Dans le même N° de Juillet 1987 de Il est ressuscité, un disciple de l’Abbé de Nantes précisait:
–Le Père de Nantes ne choisi pas son Roi : discuter du Prince, choisir son Prince, c’est déjà être républicain ! Il dépasse le clivage Orléaniste/Légitimiste. Sa conviction morale repose sur une croyance sincère en une Survivance possible de Louis XVII. Qu’un descendant de Louis XVI s’avance et l’unanimité des Français se fera ! Quoi qu’il en soit et qui que soit le Roi, Dieu nous le montrera !
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur ? nous pourrions commencer par de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royal, communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 29
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Point 29. L’Église diocésaine.
1. Sous l’autorité du Pape, qui est souveraine, universelle et immédiate et doit être reconnue par toute l’Église, chaque région de la Terre est confiée à un évêque, successeur des Apôtres, pour gouverner un diocèse, portion de territoire à lui confiée par l’Évêque des évêques. Il est maître en son diocèse. C’est le Pape qui lui donne juridiction sur cette portion du troupeau, et c’est seulement en communion avec lui qu’il peut l’exercer légitimement. À ce titre, et à cette seule condition, le Phalangiste reconnaîtra son évêque comme représentant de Jésus-Christ, honorera son autorité et fera appel à ses pouvoirs spirituels de successeur des Apôtres.
L’Église locale assure la vie spirituelle et l’activité Chrétienne à l’échelle humaine ; elle est toute dépendante de l’autorité de l’évêque, mais aussi de son dévouement personnel.
Le Phalangiste s’en souviendra pour aimer son évêque et, soit dans la confiance, soit dans les heurts même les plus pénibles, pour l’aider à conserver la vitalité Sainte de l’Église diocésaine, sa Foi, sa loi, sa charité, dans le culte de ses traditions.
2. Le Phalangiste n’aura en revanche que doute et méfiance envers tous les organismes collégiaux, bureaucratiques, parlementaires, qui, au-dessus, sous prétexte de conférences et de commissions épiscopales, au-dessous, sous prétexte de représentation des prêtres et des militants, ou au même niveau, telles les centrales des mouvements d’Action Catholique, empiètent sur l’autorité personnelle de l’évêque, qu’ils discréditent et annihilent. Ces organismes parasitaires revendiquent un pouvoir consultatif qui leur permette de dominer l’opinion populaire, et un pouvoir délibératif, de toute manière usurpé, pour contrôler le gouvernement de l’évêque. Ces oligarchies anonymes, irresponsables, s’avèrent foncièrement révolutionnaires ; toutes les hérésies et les schismes y trouvent abri et réconfort.
Le Phalangiste demeurera en dehors de ces organisations, ne voulant connaître que les organes de droit traditionnels : le Conseil épiscopal, les Synodes diocésains, régionaux ou généraux, et les Conciles.
3. Les diocèses et leurs évêques souverains, docteurs, pasteurs et chefs du troupeau sont, par institution Divine, la grande réalité vivante de l’Église, dont les heurs et malheurs ont fait la gloire ou la misère des peuples Chrétiens. Et il n’est pas dit que les procédés de désignation des évêques ne doivent pas être étudiés et rénovés à la lumière des traditions. Car l’élection est préférable à la désignation par les pouvoirs temporels, et la nomination par Rome plus sûre que la cooptation collégiale, fléau actuel de nos épiscopats oligarchiques et libéraux.
De toute manière, l’actualité le montre, les Églises locales ne sauraient se maintenir longtemps si l’Église Romaine venait à ne plus exercer sur elles, avec vigilance et exactitude, son pouvoir suprême.
Mon humble conclusion : C’est le Pape qui donne à l'évèque juridiction sur sa portion du troupeau, et c’est seulement en communion avec lui qu’il peut l’exercer légitimement. À ce titre, et à cette seule condition, le Phalangiste reconnaîtra son évêque comme représentant de Jésus-Christ, honorera son autorité et fera appel à ses pouvoirs spirituels de successeur des Apôtres. Le Phalangiste n’aura en revanche que doute et méfiance envers tous les organismes collégiaux, bureaucratiques, parlementaires, qui, au-dessus, sous prétexte de conférences et de commissions épiscopales, au-dessous, sous prétexte de représentation des prêtres et des militants, ou au même niveau, telles les centrales des mouvements d’Action Catholique, empiètent sur l’autorité personnelle de l’évêque, qu’ils discréditent et annihilent. Ces organismes parasitaires revendiquent un pouvoir consultatif qui leur permette de dominer l’opinion populaire, et un pouvoir délibératif, de toute manière usurpé, pour contrôler le gouvernement de l’évêque. Ces oligarchies anonymes, irresponsables, s’avèrent foncièrement révolutionnaires ; toutes les hérésies et les schismes y trouvent abri et réconfort.
Le Phalangiste demeurera en dehors de ces organisations, ne voulant connaître que les organes de droit traditionnels : le Conseil épiscopal, les Synodes diocésains, régionaux ou généraux, et les Conciles.
Catholiques et Français, toujours ! Et Royalistes parce que Catholiques et Français...
Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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