DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - MON ROYAUME N'EST PAS DE CE MONDE
Page 1 sur 1
DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - MON ROYAUME N'EST PAS DE CE MONDE
DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : MON ROYAUME N'EST PAS DE CE MONDE
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 51.
Point 51. Point 51. Mon royaume n’est pas de ce monde.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
1. Le Phalangiste a pour unique pensée de reconnaître sur lui et sur les siens l’empire souverain et tout aimable de Jésus-Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et de leur plaire en tout service. Il veut pour cela vivre en charité, justice et paix avec son prochain, sans que nulle idéologie, nulle envie, nulle cupidité ne l’entraînent dans des oppositions, des conflits contraires à l’idéal des béatitudes évangéliques.
Il n’a aucun préjugé politique, aucune ambition, aucune revendication. La passion de la politique est pour lui impure, comme elle l’est pour l’ensemble des humains qui s’en désintéressent et qui ne veulent surtout pas que « l’Église fasse de la politique ».
Précisément, lui non plus ne veut pas faire avancer sa religion par le jeu politique, ni par la conquête du pouvoir, ni par la lutte des classes, ni par la révolte des esclaves, ni par le règne de la force armée, mais par la dévotion au Cœur Immaculé de Marie que Dieu veut établir dans le monde.
2. Cette allégeance aux volontés du Ciel est de source évangélique et de tradition immémoriale dans l’Église, selon la parole du Seigneur : « Mon royaume n’est pas de ce monde ». Elle laisse la science politique aux savants et l’art politique aux gouvernants. C’est la fureur de se mêler de politique, de s’y prétendre tous et chacun compétents et responsables, qui est chose moderne, anormale et funeste.
Le disciple de Jésus est, en politique comme en religion, soumis aux autorités, selon la maxime du Maître : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » La politique théocratique, raciste et impérialiste, est à jamais abolie ; le messianisme l’est aussi ; la religion et la morale ne sauraient être invoquées contre un ordre politique légitime, car César doit être obéi, même injuste, violent, persécuteur.
Le Royaume de Dieu, instauré par Jésus-Christ, conquiert saintement toute l’humanité par la grâce divine et par la libre adhésion des personnes, non par le renversement des princes ni par la puissance des États.
« Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, et le reste vous sera donné par surcroît ».
3. Il n’empêche que la sagesse des gouvernants et la prudence des politiques sont des bienfaits divins pour les peuples qui aspirent à vivre en sécurité et en paix au milieu des périls de ce monde mauvais et difficile. Seuls les saints ont une foi mystique et une force morale assez grandes pour envisager sans trembler les malheurs qu’attire sur elle une société mal gouvernée. Mais eux-mêmes ne s’en désintéressent pas, par charité pour le prochain que ces maux accablent et risquent de perdre. Aussi tous les Chrétiens prient-ils pour leurs chefs temporels, pour la prospérité et la paix de leur patrie, et s’efforcent-ils d’y contribuer par leur obéissance aux lois.
Le Phalangiste sait combien il est important pour les peuples d’être bien gouvernés, mais il ne prétend pas se gouverner lui-même ni gouverner les autres, si cela ne lui est pas donné de naissance ou de métier, d’En-Haut, en vertu de la volonté signifiée de notre Père Céleste, à moins de volonté de bon plaisir authentifiée par l’Église.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangite -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il ne prétend pas se gouverner lui-même ni gouverner les autres, si cela ne lui est pas donné de naissance ou de métier, d’En-Haut, en vertu de la volonté signifiée de notre Père Céleste, à moins de volonté de bon plaisir authentifiée par l’Église.
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 51.
Point 51. Point 51. Mon royaume n’est pas de ce monde.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
1. Le Phalangiste a pour unique pensée de reconnaître sur lui et sur les siens l’empire souverain et tout aimable de Jésus-Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et de leur plaire en tout service. Il veut pour cela vivre en charité, justice et paix avec son prochain, sans que nulle idéologie, nulle envie, nulle cupidité ne l’entraînent dans des oppositions, des conflits contraires à l’idéal des béatitudes évangéliques.
Il n’a aucun préjugé politique, aucune ambition, aucune revendication. La passion de la politique est pour lui impure, comme elle l’est pour l’ensemble des humains qui s’en désintéressent et qui ne veulent surtout pas que « l’Église fasse de la politique ».
Précisément, lui non plus ne veut pas faire avancer sa religion par le jeu politique, ni par la conquête du pouvoir, ni par la lutte des classes, ni par la révolte des esclaves, ni par le règne de la force armée, mais par la dévotion au Cœur Immaculé de Marie que Dieu veut établir dans le monde.
2. Cette allégeance aux volontés du Ciel est de source évangélique et de tradition immémoriale dans l’Église, selon la parole du Seigneur : « Mon royaume n’est pas de ce monde ». Elle laisse la science politique aux savants et l’art politique aux gouvernants. C’est la fureur de se mêler de politique, de s’y prétendre tous et chacun compétents et responsables, qui est chose moderne, anormale et funeste.
Le disciple de Jésus est, en politique comme en religion, soumis aux autorités, selon la maxime du Maître : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » La politique théocratique, raciste et impérialiste, est à jamais abolie ; le messianisme l’est aussi ; la religion et la morale ne sauraient être invoquées contre un ordre politique légitime, car César doit être obéi, même injuste, violent, persécuteur.
Le Royaume de Dieu, instauré par Jésus-Christ, conquiert saintement toute l’humanité par la grâce divine et par la libre adhésion des personnes, non par le renversement des princes ni par la puissance des États.
« Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, et le reste vous sera donné par surcroît ».
3. Il n’empêche que la sagesse des gouvernants et la prudence des politiques sont des bienfaits divins pour les peuples qui aspirent à vivre en sécurité et en paix au milieu des périls de ce monde mauvais et difficile. Seuls les saints ont une foi mystique et une force morale assez grandes pour envisager sans trembler les malheurs qu’attire sur elle une société mal gouvernée. Mais eux-mêmes ne s’en désintéressent pas, par charité pour le prochain que ces maux accablent et risquent de perdre. Aussi tous les Chrétiens prient-ils pour leurs chefs temporels, pour la prospérité et la paix de leur patrie, et s’efforcent-ils d’y contribuer par leur obéissance aux lois.
Le Phalangiste sait combien il est important pour les peuples d’être bien gouvernés, mais il ne prétend pas se gouverner lui-même ni gouverner les autres, si cela ne lui est pas donné de naissance ou de métier, d’En-Haut, en vertu de la volonté signifiée de notre Père Céleste, à moins de volonté de bon plaisir authentifiée par l’Église.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangite -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il ne prétend pas se gouverner lui-même ni gouverner les autres, si cela ne lui est pas donné de naissance ou de métier, d’En-Haut, en vertu de la volonté signifiée de notre Père Céleste, à moins de volonté de bon plaisir authentifiée par l’Église.
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Re: DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - MON ROYAUME N'EST PAS DE CE MONDE
« Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » ...
Et si... le César se mettait au service de Dieu ?
Ce fut le cas de l'Empereur Constantin. Le Royalisme tend à organiser une forme de gouvernement qui défend la foi Catholique et l'Eglise Romaine, où le Roi est vu comme un nouveau Constantin, comme le successeur de Charlemagne. Français, les Capétiens nous ont donné une suscession de Fils Aînés de l'Eglise. Le Grand Monarque à venir, Henri V de La Croix, sera leur descendant : il rendra au Divin Christ-Roi la couronne perdue à la Rue du Bac en 1830. RECOURONNER DIEU ET LA FRANCE.
Et si... le César se mettait au service de Dieu ?
Ce fut le cas de l'Empereur Constantin. Le Royalisme tend à organiser une forme de gouvernement qui défend la foi Catholique et l'Eglise Romaine, où le Roi est vu comme un nouveau Constantin, comme le successeur de Charlemagne. Français, les Capétiens nous ont donné une suscession de Fils Aînés de l'Eglise. Le Grand Monarque à venir, Henri V de La Croix, sera leur descendant : il rendra au Divin Christ-Roi la couronne perdue à la Rue du Bac en 1830. RECOURONNER DIEU ET LA FRANCE.
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Sujets similaires
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - L'EXTENTION DU ROYAUME DE DIEU
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - OECUMENISME CATHOLIQUE ET MARIAL II. MONDE JUIF, MONDE ANGLO-SAXON
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - DIEU VEUT ETABLIR DANS LE MONDE LA DEVOTION AU COEUR IMMICAULE DE MARIE
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LE SACRE-COEUR DE JESUS ET DE MARIE, SALUT DU MONDE
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - EN ATTENDANT, LE ROLE DE LA PHALANGE
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - OECUMENISME CATHOLIQUE ET MARIAL II. MONDE JUIF, MONDE ANGLO-SAXON
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - DIEU VEUT ETABLIR DANS LE MONDE LA DEVOTION AU COEUR IMMICAULE DE MARIE
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LE SACRE-COEUR DE JESUS ET DE MARIE, SALUT DU MONDE
» DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - EN ATTENDANT, LE ROLE DE LA PHALANGE
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum