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Canada: Troublant - un homme de 23 ans sera euthanasié le 28 septembre en Ontario - sommes-nous en Allemagne nazie?

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Message par MichelT Mar 27 Sep 2022 - 19:49

Un jeune homme de 23 ans diabétique a demandé « l`aide a mourir» et l`a obtenu...

Sa mère est contre et demande des interventions et des prières pour le faire changer d`avis.

Prier pour lui et sa famille et si vous pouvez intervenir au niveau médiatique ou politique cela serait bon.

Il y a aussi une pétition au gouvernement de l`Ontario - plus de 8.000 signatures a:

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citizengo.org - Stop Euthanasia For Young Adults Who Are NOT DYING


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Titre de l`article de LifeSite News pour recherche internet

Prayers needed: Canadian mom desperate to save diabetic 23-yr-old from being euthanized Sept. 28

A mother says her 23-year-old is slated to die September 28. LifeSiteNews urges readers to pray he has a change of heart.

CALEDON, Ontario (LifeSiteNews) — A Canadian mother is desperate to save her diabetic, newly visually impaired, 23-year-old son from euthanasia.

Margaret Marsilla of Caledon, Ontario, a town northwest of Toronto, released a Change.org petition*earlier this month in the hope that it will prevent her 23-year-old son Kiano V. from dying at the MAiD (Medical Assistance in Dying) House in Toronto on September 28.



Je mettrai un petit article sur ce qui se faisait en Allemagne nazie dans les années 30 pour euthanasier les malades mentaux - le Canada commencent-il à ressembler à l`Allemagne nazie à cause de la dureté des riches?

MichelT

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Message par MichelT Jeu 29 Sep 2022 - 22:47

Avec l`aide de Dieu, avec l`intervention des parents et de nombreuses personnes - le docteur s`est retiré de l`affaire et le jeune homme est vivant! La clinique du docteur a tellement reçu d`appels de citoyens scandalisés qu'ils ont décidés de se retirer de l`affaire.

23-year-old Canadian man’s assisted suicide bid thwarted following mom’s social media campaign

His doctor said that 'that everyone was calling his clinic, calling his phone, sending text messages, saying he’s a murderer, just harassing his clinic to the point where he withdrew his role' in Kiano's MAiD bid.

WHITBY, Ontario (LifeSiteNews)— A mother’s bid to save her 23-year-old son from medically assisted suicide has so far succeeded.

Yesterday Kiano V.  told LifeSiteNews that, thanks to his mother Margaret Marsilla’s social media campaign—which included a petition posted on both Change.org and CitizenGo—his doctor withdrew his support from the young man’s attempt to end his life through MAiD (medical assistance in dying).

Article complet en anglais

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MichelT

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Message par MichelT Sam 1 Oct 2022 - 13:49

Canada : Comment la Cour suprême du Canada a créé la loi sur l'euthanasie la plus permissive au monde

Les preuves indiquent que l'euthanasie est utilisée au Canada pour éliminer la vie des patients handicapés, ainsi que des pauvres et des malades chroniques, plutôt que de leur fournir l'aide sociale, les finances et les soins médicaux nécessaires pour continuer à vivre.

LifeSite News – 29 septembre 2022 – Opinion – traduction automatique

How Canada’s Supreme Court created the most permissive euthanasia law in the world

(Real Women of Canada) – En 2015, dans Carter c. Canada, les juges de la Cour suprême du Canada ont écarté la lourde porte jusque-là impénétrable qui existait depuis des siècles et qui empêchait les individus d'être tués par leurs médecins. Ce faisant, les juges ont déclaré que cette porte de protection ne serait écartée que dans quelques cas exceptionnels, et qu'un "régime soigneusement réglementé" pourrait facilement être mis en place pour éviter une pente glissante d'expansion rampante et d'abus de la loi.

Cette affirmation du tribunal s'est avérée à la fois stupide et fausse. Il semble avoir davantage reposé sur la volonté des juges d'arriver à une conclusion « progressiste » sur le suicide assisté, plutôt que sur une réflexion approfondie. La décision Carter est devenue une feuille de route vers le désastre pour le Canada, qui a maintenant coûté la vie à 31 664 personnes entre 2016 et décembre 2021, selon les statistiques de l'année dernière. Un rapport de Santé Canada indique que le nombre d'aides à mourir a augmenté de 32,4 % en 2021 par rapport à l'année précédente, ce qui représente 3,3 % de tous les décès en 2021.

Les juges de la Cour suprême du Canada ont donné au Canada la loi sur l'euthanasie la plus permissive au monde. Pire encore, les preuves s'accumulent que ce cauchemar est en augmentation. Il semble que l'euthanasie est utilisée au Canada pour éliminer la vie des patients handicapés, ainsi que des pauvres et des malades chroniques, plutôt que de leur fournir l'aide sociale, les finances et les soins médicaux nécessaires pour continuer à vivre. En effet, le service financé par le gouvernement disponible pour ceux qui vivent avec des problèmes médicaux est l'Aide Médicale a Mourir (AMM), qui ne s'attaque pas aux vrais problèmes. Tragiquement, 1,4 million de Canadiens handicapés vivent maintenant dans la pauvreté. Ils souffrent plus de leur pauvreté que de leur maladie.

Par exemple:

Une Ontarienne de 51 ans, diagnostiquée avec de multiples sensibilités, n'a pas pu trouver un logement abordable et adéquat pour ses besoins et s'est vu offrir l'AMM à la place.

Un homme de 61 ans a été hospitalisé en juin 2019, n'ayant pas la capacité intellectuelle de donner son consentement et a reçu une Aide Médicale à Mourir (AMM), malgré les inquiétudes soulevées par sa famille et une infirmière au sujet de ce traitement. Sa demande d'euthanasie indiquait comme motif de sa demande, « une perte auditive ».

Une femme souffrant d'une maladie chronique à Vancouver, atteinte d'une maladie génétique, qui voulait vivre, a demandé l'AMM lorsqu'elle n'a pas pu accéder à des soins de santé appropriés.

En 2019, un homme de Chilliwack, en Colombie-Britannique est mort par euthanasie parce qu'il était déprimé.
 
Un ancien combattant souffrant de trouble de stress post-traumatique (SSPT) et d'un traumatisme crânien s'est vu offrir l'Aide Médicale à Mourir par un employé d'Anciens Combattants lorsqu'il a été hospitalisé. Le patient n'a jamais soulevé la question avec qui que ce soit avant d'être approché par le fonctionnaire pour l`encourager à accepter sa mort.

Un patient handicapé d'un hôpital de London, en Ontario, a été approché par un éthicien médical lui suggérant l'euthanasie, après lui avoir rappelé qu'il coûtait au système médical 1 500 $ par jour. Le patient n'avait jamais exprimé de désir d'AMM auparavant.

Les exemples ci-dessus ne sont que quelques exemples dans lesquels des Canadiens atteints de maladies traitables sont encouragés à accepter la mort par injection létale. Le Canada est maintenant devenu un excellent exemple de la façon dont la légalisation permettant l'euthanasie devient un traitement normal, au lieu de soins médicaux appropriés.

Voici la feuille de route de cette catastrophe créée par la Cour suprême :

Juin 2016, la législation sur l'aide médicale à mourir (AMM) a légalisé le meurtre de patients par des médecins à condition que la mort du patient soit raisonnablement "prévisible", ou que le patient souffrait d'une douleur insupportable que le patient croyait ne pouvoir être soulagée.

11 septembre 2019, un juge unique du tribunal inférieur du Québec a conclu qu'il était « discriminatoire » de limiter le meurtre légal à ceux dont la mort était raisonnablement « prévisible ». Le premier ministre Trudeau aurait pu faire appel de la décision, mais il ne l'a pas fait. Il aurait également pu simplement ignorer cette décision idiote d'un seul juge provincial, mais l'a plutôt utilisée comme excuse pour supprimer l'expression «raisonnablement prévisible» de la législation sur l'AMM.  Il n'y avait aucune obligation légale pour Trudeau de le faire. Il a plutôt profité de cette décision du tribunal québécois pour élargir la loi sur l'AMM. Lorsque cet amendement est parvenu  au Sénat, composé principalement de personnes nommées par Trudeau, les sénateurs ont estimé que l'amendement n'allait pas assez loin. Ils ont renvoyé le projet de loi à la Chambre des communes pour inclure dans la législation sur l'AMM une disposition permettant aux malades mentaux de recevoir l'AMM, malgré le fait que ces personnes ne seraient pas en mesure de comprendre ce qu'elles faisaient et ne pourraient pas donner un consentement valide. La maladie mentale comprend les personnes souffrant de dépression, de schizophrénie, de bipolarité, d'Alzheimer, etc., qui sont pour la plupart des maladies traitables.

Le 17 mars 2021, la législation sur l'AMM a été adoptée, qui prévoyait, comme l'avait recommandé le Sénat, que les personnes atteintes de maladie mentale soient autorisées à être euthanasiées. Même le résolument « progressiste » Globe and Mail, dans un éditorial du 1er septembre 2022, a soulevé des inquiétudes quant à l'autorisation de l'AMM pour les souffrances psychiatriques, car elle ne peut être considérée comme nécessairement irréversible. C'est une supposition faite uniquement par des psychiatres, et elle peut être fausse. La sénatrice Pamela Wallin (journaliste de télévision dans sa vie antérieure), qui a ensuite présenté le projet de loi S-278, qui élargirait encore plus l'AMM, permettant aux individus de signer un « avis préalable de consentement » à mort,  s'il se trouve ultérieurement dans l'impossibilité de donner son consentement. Wallin a admis que son projet de loi avait été présenté en raison des antécédents de démence de sa famille et qu'elle voulait «la tranquillité d'esprit». Son amendement peut procurer à Wallin la tranquillité d'esprit, mais ce n'est pas une raison suffisante pour adopter une solution aussi extrême. Le Sénat a rejeté de justesse son amendement, mais elle est déterminée à le présenter à nouveau.

Préavis de consentement »

Le préavis de consentement à l'euthanasie est une solution rapide pour les patients atteints de démence, mais en termes extrêmement simples, cela signifie que les médecins seront légalement en mesure de tuer un patient atteint de démence chaque fois qu'ils décident de le faire, malgré le fait que le patient ne le demande pas. Il n'y a rien qu'une famille puisse faire face à une telle mort. On note, incidemment, qu'il y a une énorme différence entre un patient qui donne un « préavis » indiquant qu'il ne souhaite pas un traitement médical extrême inutile à l'approche de la mort et un préavis d'être directement tué lorsque le médecin choisit de le faire.

Un exemple épouvantable de «préavis» s'est produit aux Pays-Bas en 2016. La patiente était une femme de 74 ans atteinte de démence qui résidait dans une maison de retraite. Lorsque le médecin a tenté de la tuer, sur la base du consentement préalable, elle a eu du mal à résister au médecin qui lui injectait une injection létale. Le médecin l'a alors droguée et sa famille a été obligée de la retenir alors qu'elle continuait à lutter pour lutter contre l'injection. Le médecin a été innocenté de toutes les accusations par un comité d'examen.

D'autres morts à venir

Un comité spécial de députés et de sénateurs a été créé pour examiner la loi sur l'AMM au Canada et fera rapport au Parlement en octobre 2022. Les sujets d'étude comprennent l'extension de l'AMM aux mineurs matures et les directives avancées. Bien que son mandat comprenne également un examen des soins palliatifs au Canada et de la protection des personnes handicapées, il semble que ces deux derniers mandats aient été perdus, car le gouvernement semble planifier une nouvelle expansion de l'AMM.

La pente glissante de l'euthanasie se poursuit au Canada.


Se Souvenir

L`Allemagne Nazie et l`Euthanasie

Cette opération meurtrière trouvait ses racines dans un décret pris par le Fuhrer (Adolph Hitler) en octobre 1939 et permettant aux médecins d`envoyer à la mort des malades mentaux chroniques ou des handicapés physiques. Si, dans un premier temps, on utilisa des injections chimiques, on devait par la suite préférer des chambres à gaz, auxquelles on donnait les apparences de salles de douche et qui étaient souvent dans d`anciens hôpitaux psychiatriques.

Quelques mois avant ce décret, Hitler avait approuvé l`élimination des enfants handicapés. Ce faisant, il suivait la sinistre logique de sa vision ultra-darwinienne du monde.  Ces enfants perdirent la vie parcequìls étaient faibles et représentaient une charge pour la société allemande.

Le décret qui étendit le programme d`euthanasie aux adultes fut antidaté du 1 septembre 1939. Pour ces nazis fanatiques, les handicapés n`étaient que des bouches inutiles encombrantes dans un pays en guerre. Le Dr Pfannmueller, était l`un des responsables les plus tristement connus du programme d`euthanasie.

Source : Auschwitz – les nazis et la solution finale – Laurence Rees – page 90-91

MichelT

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Message par MichelT Ven 14 Oct 2022 - 15:01

Le programme canadien de suicide assisté a assassiné mon fils. Il faut en finir maintenant avec ce programme


MAiD est en fait un cheval de Troie et s'est avéré être un moyen de débarrasser la société des «moins désirables» à tous les niveaux.

10 Octobre 2022 – LifeSite News - Opinion

(Euthanasia Prevention Coalition - Coalition pour la prévention de l'euthanasie ) - Mon fils a été euthanasié par le programme d'aide médicale à mourir ou AMM du gouvernement canadien le 12 décembre 2021. Quelle preuve a été démontrée concernant la douleur de mon fils ou son bien-être mental par l'AMM ? Personne ne m'a contacté, moi sa mère, pour vérifier, corroborer, questionner ou confirmer les raisons de mon fils. Il semble que les arbitres acceptent ce qu'une personne dit sans enquête approfondie. Il n'y a pas non plus de surveillance des arbitres. MAiD ne semble pas tenir compte des retombées dévastatrices sur la famille et les proches, et n'offre pas non plus de conseils en cas de deuil avant ou après les morts.

J'ai récemment découvert que plus de 10 000 Canadiens ont été euthanasiés en 2021, y compris mon fils : c'est un nombre stupéfiant. Je m'exprime maintenant en tant que mère endeuillée qui, j'en suis sûr, n'est pas la seule à la suite de ces "exterminations" hautement discutables commises avec ce programme. Le plus gros problème est de savoir jusqu'où ce programme va-t-il aller? Il a été annoncé à l'origine comme étant destiné aux personnes souffrant d'une durée de vie terminale et qui souffraient. Il est maintenant passé à un amendement proposé en mars 2023 pour inclure les personnes déprimées. C'est définitivement une pente très glissante mes amis. Qui définit la « qualité de vie » et comment la mesure-t-on ? De plus, où est l'argent dans tout cela ? Les sans-abri, les adolescents en difficulté, les handicapés, les patients atteints de démence, les personnes politiquement incompatibles, les affiliations religieuses ou les bébés physiquement complexés seront-ils les prochaines cibles de l'euthanasie dans les futurs amendements ? C'est une question sérieuse compte tenu de notre triste histoire. À mon avis, MAiD est en fait un cheval de Troie et s'est avéré être un moyen de débarrasser la société des "moins désirables" à tous les niveaux. MAiD rappelle l'Allemagne nazie des années 1930, lorsque les personnes handicapées ont été stérilisées, suivie l'euthanasie des enfants et des adultes handicapés, et enfin le génocide.

L'élargissement constant du programme est très grave. Veuillez réfléchir de manière critique à ce programme et parler de ces propositions très discutables avec vos amis, votre famille et vos collègues. Et s'il vous plaît contactez vos députés - de chaque côté de l'allée et demandez-leur de s'ARRÊTER là où MAiD semble inévitablement se diriger.

Merci Sharon Danley

MichelT

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Message par MichelT Ven 21 Oct 2022 - 14:31

Canada: Le chef conservateur canadien Pierre Poilievre condamne l'euthanasie pour la maladie mentale, et les mineurs

"Je ne soutiens pas l'extension du suicide assisté par un médecin aux mineurs ou aux personnes incapables de vraiment consentir." (Traduction automatique)

Canadian Conservative leader Pierre Poilievre condemns euthanasia for mental illness, minors

OTTAWA (LifeSiteNews) - Le chef du Parti conservateur du Canada (PCC), Pierre Poilievre, a rejeté l'idée que le Canada devrait étendre ses lois déjà permissives sur l'euthanasie pour inclure les enfants et les personnes souffrant de maladie mentale. Dans une lettre du 22 septembre publiée par Canadian Physicians for Life.

Poilievre a condamné le récent discours de certains médecins appelant le Canada à étendre ses lois sur «l'aide médiccale à mourir (AMM)» pour permettre aux personnes souffrant uniquement de maladie mentale, aux mineurs et même aux jeunes nourrissons de se qualifier pour la procédure de fin de vie. « Il est important que la législation relative à l'aide médicale à mourir soit claire et comprenne les garanties nécessaires », a déclaré Poilievre. "Je ne soutiens pas l'élargissement du suicide assisté par un médecin aux mineurs ou aux personnes incapables de vraiment consentir", a poursuivi Poilievre, ajoutant qu'il n'accepte pas "le suicide assisté comme solution à la maladie mentale".

« Mon gouvernement fera toujours la promotion et la priorité de la santé des Canadiens partout au pays. Nous devons promouvoir des politiques qui accordent la priorité aux soins palliatifs compatissants, plutôt que de faire de l'aide médicale à mourir la seule option. Un rapport récent dans le National Post a souligné les commentaires du Dr Louis Roy, membre du Collège des médecins du Québec, affirmant que le suicide assisté devrait être étendu aux nourrissons jusqu'à l'âge d'un an, ainsi qu'aux mineurs de moins de 18 ans.

Roy a fait ces commentaires au Comité mixte spécial de la Chambre des communes sur l'AMM (aide médicale à mourir). La députée pro-vie du PCC Leslyn Lewis – qui a récemment été nommée par Poilievre à son cabinet fantôme – a également fustigé l'idée d'étendre l'euthanasie aux mineurs.

La médecine doit être assez humble pour admettre qu’elle n’a pas toutes les réponses’ Au-delà des politiciens, les médecins de Canadian Physicians for Life ont également fustigé l'idée de Roy d'euthanasier les bébés malades. "Nous nous opposons fermement à la suggestion du Dr Louis Roy selon laquelle le Canada devrait élargir les critères d'euthanasie/AMM pour inclure les nourrissons, des nouveau-nés aux enfants de 1 an", a écrit le groupe dans une lettre ouverte publiée le 17 octobre.

La médecine doit être suffisamment humble pour admettre qu'elle n'a pas toutes les réponses lorsqu'un pronostic vital est donné à un individu. Nous ne prévoyons pas et ne pouvons pas prévoir exactement quelle sera la qualité de vie d'un enfant dans quelques années et c'est une compassion déplacée de suggérer que mettre fin à la vie de l'enfant constitue des soins. Les médecins pro-vie ont également noté qu'il n'y avait aucun moyen "pour les parents de décider raisonnablement si mettre fin à la vie de leur enfant est légitime". "Même l'idée de cela exerce une pression immense et une culpabilité injuste sur les parents pour la souffrance de leurs enfants et de leurs familles. De plus, nous savons que de nombreuses souffrances physiques peuvent être considérablement atténuées grâce à des soins palliatifs appropriés. Le groupe a ajouté que l'élargissement de l'euthanasie aux nourrissons "viole le principe d'autonomie qui était censé être essentiel à cette loi au Canada". "Nous avertissons que cela ouvre la porte à mettre fin prématurément à la vie de personnes ayant une déficience intellectuelle ou d'autres troubles cognitifs." L'euthanasie a été légalisée au Canada par les libéraux sous le premier ministre Justin Trudeau en 2016 avec le projet de loi C-14.

En 2021, le projet de loi C-7 a été adopté, élargissant encore la permissivité de la loi de 2016. La nouvelle loi a supprimé de nombreuses «garanties» contenues dans le projet de loi de 2016, notamment la condition préalable que la personne qui cherche à se suicider avec assistance soit en phase terminale et capable de donner son consentement au moment du décès. Le projet de loi C-7 a également supprimé l'exigence que deux témoins soient présents pour démontrer que la personne qui cherche à se suicider voulait effectivement « mourir » avec une aide médicale. En raison de cette expansion, un rapport récent a souligné comment les Canadiens handicapés choisissent maintenant le suicide assisté pour échapper à la pauvreté et non parce qu'ils sont en phase terminale. Le mois dernier, la Delta Hospice Society pro-vie a déclaré à LifeSiteNews que des « milliers » de Canadiens ont décidé de se protéger contre le suicide assisté via sa directive préalable « Ne pas euthanasier » (DNE) », car ils craignent que les lois actuelles ne protègent pas adéquatement leur vie. Fin de l`article


L`Allemagne Nazie et l`Euthanasie

Cette opération meurtrière trouvait ses racines dans un décret pris par le Fuhrer (Adolph Hitler) en octobre 1939 et permettant aux médecins d`envoyer à la mort des malades mentaux chroniques ou des handicapés physiques. Si, dans un premier temps, on utilisa des injections chimiques, on devait par la suite préférer des chambres à gaz, auxquelles on donnait les apparences de salles de douche et qui étaient souvent dans d`anciens hôpitaux psychiatriques.

Quelques mois avant ce décret, Hitler avait approuvé l`élimination des enfants handicapés. Ce faisant, il suivait la sinistre logique de sa vision ultra-darwinienne du monde. Ces enfants perdirent la vie parcequìls étaient faibles et représentaient une charge pour la société allemande.

Le décret qui étendit le programme d`euthanasie aux adultes fut antidaté du 1 septembre 1939. Pour ces nazis fanatiques, les handicapés n`étaient que des bouches inutiles encombrantes dans un pays en guerre. Le Dr Pfannmueller, était l`un des responsables les plus tristement connus du programme d`euthanasie.

Source : Auschwitz – les nazis et la solution finale – Laurence Rees – page 90-91

MichelT

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Message par MichelT Mar 25 Oct 2022 - 18:24

Doit-on élargir l’aide médicale à mourir à des enfants malades de moins d'un an?

Joëlle Girard - 11 oct. 2022 - Radio-Canada

Le Collège des médecins du Québec est favorable à l'élargissement de l'aide médicale à mourir à certains bébés de moins d'un an, une position connue depuis décembre 2021. Or, depuis vendredi, cette même position provoque une levée de boucliers de certains organismes et groupes de pression canadiens qui militent contre ce soin de fin de vie.

À l'origine de la relance du débat : le passage du Dr Louis Roy, inspecteur à la direction de l’inspection professionnelle au Collège des médecins du Québec, devant le Comité mixte spécial sur l’aide médicale à mourir à Ottawa.

Le Dr Roy a alors réitéré la position du Collège des médecins, qui se dit favorable à l'élargissement de l'aide médicale à mourir aux bébés de moins d’un an victimes de souffrances extrêmes qui ne peuvent être soulagées, couplées à des pronostics très sombres, et affectés par des malformations sévères ou des syndromes polysymptomatiques graves, qui annihilent toute perspective de survie».

Adoptée en juin 2016, la loi C-14 sur l'aide médicale à mourir doit obligatoirement être révisée après cinq ans. C'est donc devant le Comité mixte spécial sur l’aide médicale à mourir, où siègent des membres du Sénat et de la Chambre des communes, que doivent témoigner les différents organismes qui souhaitent se faire entendre concernant l'élargissement de ce soin de fin de vie, notamment aux enfants de moins d'un an, aux adolescents de 14 à 17 ans et aux personnes atteintes de troubles neurocognitifs.

Sur les réseaux sociaux, et dans un article publié en une du National Post lundi, des groupes opposés à l'aide médicale à mourir se sont dits alarmés» et horrifiés» par la position du Collège des médecins du Québec.

En entrevue à Midi info, le Dr Alain Naud, médecin de famille spécialisé en soins palliatifs au CHU de Québec et membre du conseil d'administration du Collège des médecins, a tenu à clarifier la position de l'ordre professionnel.

La réflexion du Collège des médecins ne porte pas sur des enfants qui naissent avec des handicaps, mais bien sur des enfants qui naissent avec des conditions incompatibles avec la vie», a ajouté le Dr Naud, évoquant le cas précis d'un enfant né « sans intestins », à l'été 2021, et dont la mort était évidemment inévitable».

La mère en a témoigné publiquement pour dire à quel point ç'a été extrêmement pénible, l’agonie de ce bébé-là, qui est mort après deux semaines, même s’il avait de la morphine régulièrement», a-t-il raconté.

Et la mère soulevait la question : pourquoi dans ces cas-là de mort inévitable et de souffrances évidentes, doit-on se résigner à regarder le bébé râler la bouche ouverte pendant des jours et des semaines de temps? Pourquoi ne pas permettre l’aide médicale à mourir dans ces conditions?»

Des situations rares, exceptionnelles et dramatiques»

Selon le Dr Alain Naud, les réactions proviennent de groupes militants opposés à l’aide médicale à mourir en partant, qui, souvent, vont déformer, exagérer ou carrément inventer des éléments».

Par exemple, l'organisme Inclusion Canada, qui milite pour l’intégration des personnes ayant une déficience intellectuelle, craint que les familles d'enfants nés avec des handicaps ne fassent l'objet de pressions indues pour recourir à l'aide médicale à mourir sur la base de diagnostiques biaisés par des préjugés capacitistes.

Dénonçant l'incapacité des enfants de moins d'un an à donner leur consentement éclairé, l'organisme qualifie de meurtre pur et simple» la possibilité de leur administrer des soins de fin de vie. Sur la base de cette notion de consentement, on craint qu'un tel élargissement de l'aide médicale à mourir ne mène à un précédent extrêmement dangereux» pour toutes les personnes qui souffrent de déficience intellectuelle.

Du côté de l'organisme Euthanasia Prevention Coalition, on ne comprend pas la nécessité d'avoir recours à l'aide médicale à mourir si les chances de survie de l'enfant sont de toute façon nulles. Pourquoi ne pas simplement soulager les souffrances de l'enfant en attendant sa mort naturelle? demande-t-on.

Il ne s'agit pas ici de parler d'aide médicale à mourir pour tous les bébés qui vont naître avec un handicap quelconque ou de jauger de la qualité de vie», rétorque le Dr Naud.

Le Dr Naud souhaite que le Canada s'inspire des Pays-Bas, où un protocole extrêmement rigoureux», appelé Groningen Protocol, existe depuis 2005 pour encadrer le processus décisionnel qui peut mener à l'administration de l'aide médicale à mourir à des enfants de moins d'un an, dans des situations rares, exceptionnelles, qui n’en sont pas moins dramatiques et importantes». C’est clairement une demande pour les parents qui ont eu à vivre cette situation [...] et je pense qu’il faut que la société se pose ces questions-là et fasse ce débat.»

MichelT

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Message par MichelT Mar 25 Oct 2022 - 18:27

Les Canadiens handicapés optent pour le suicide assisté pour échapper à la pauvreté, pas à la douleur - rapport

C'est un message sans équivoque du gouvernement : si vous voulez mettre fin à vos jours, nous vous aiderons", ont écrit les journalistes Brennan Leffler et Marianne Dimain.

LifeSite News – Canada - traduction automatique

Disabled Canadians are opting for assisted suicide to escape poverty, not pain: report

17 octobre 2022 - (Coalition pour la prévention de l'euthanasie) - Les journalistes d'investigation Brennan Leffler et Marianne Dimain ont rédigé un article de recherche approfondi qui a été publié par Global News le 8 octobre 2022, intitulé "Comment la pauvreté, et non la douleur, pousse les Canadiens handicapés à envisager l'assistance médicale a mourir"

Leffler et Dimain ont interrogé des personnes handicapées qui demandent la mort par euthanasie (en vertu de la législation canadienne sur l'aide médicale à mourir, ou AMM), examinant la question plus large de savoir pourquoi les personnes handicapées demandent la mort par euthanasie. La première personne interrogée était Joannie Cowie, 52 ans, qui vit à Windsor avec sa fille qui est étudiante à l'université et qui a aussi un handicap. Les auteurs ont écrit : C'est un message sans équivoque du gouvernement : si vous voulez mettre fin à vos jours, nous vous aiderons.

"Si vous appelez le numéro sur le site Web du gouvernement, ils vous fourniront des médecins qui signeront pour vous", déclare le résident de Windsor, en Ontario, âgé de 52 ans. «Ils peuvent me faire mourir dans 90 jours. C'est ce qu'on m'a dit. Cowie répond certainement aux critères médicaux. «J'ai un asthme sévère. Et cela s'est transformé en MPOC, en syndrome de Guillain-Barré et en cancer. Et je me suis aussi récemment fracturé le dos », dit-elle. ‘Je suis très fatigué. La douleur est atroce.

Les auteurs expliquent que Cowie, comme de nombreuses personnes handicapées, est piégée dans un cycle de pauvreté. «Je me fâche contre les gens qui disent que vous devez mieux budgétiser parce que je veux juste leur dire, allez au diable», dit-elle. Cowie a développé une épilepsie à l'âge de six ans, mais a quand même réussi à poursuivre ses études et à travailler - pendant un certain temps. «J'ai mon diplôme en criminologie. J'ai aussi quelques diplômes universitaires et j'ai enseigné dans un collège local ici », dit-elle.

Aujourd'hui, Cowie est incapable de travailler et n'a aucun soutien familial. Elle vit avec sa fille, une étudiante universitaire également handicapée. Ensemble, ils doivent trouver un moyen de se débrouiller avec 1 228 $ (884 $ US) du programme de soutien aux personnes handicapées de l'Ontario, et quelques centaines de plus pour sa fille. Ce n'est pas suffisant, et il est particulièrement difficile de s'en passer pendant l'Action de grâces, alors que les Canadiens s'assoient pour savourer un repas des Fêtes. Cowie a expliqué qu'après avoir payé ses factures, il lui reste environ 59 $ par mois pour acheter de la nourriture.

Les auteurs interrogent ensuite le Dr Naheed Dosani, un médecin en soins palliatifs de Toronto qui s'inquiète parce que les gens demandent maintenant une AMM parce qu'ils n'ont pas d'argent pour vivre. Les auteurs ont cité le Dr Dosani, qui a déclaré : «Les gens vivent dans une pauvreté abjecte lorsqu'ils reçoivent de l'aide sociale, dans presque toutes les provinces et tous les territoires du Canada.»

Les chiffres sont sinistres. À l'échelle du pays, les taux provinciaux de soutien aux personnes handicapées varient d'un minimum de 705 $ par mois au Nouveau-Brunswick à un maximum de 1 685 $ en Alberta. Essayez de vous débrouiller avec 1 228 $ par mois à Toronto ou 1 358 $ à Vancouver, où le loyer moyen d'un appartement d'une chambre est d'environ 2 500 $.

Les auteurs ont évoqué le cas de Sophia, une femme de 51 ans atteinte de MCS (sensibilités chimiques multiples) qui est décédée par suicide assisté en février 2022 parce qu'elle ne pouvait pas trouver un logement propre et abordable. Les auteurs ont ensuite interviewé Trudo Lemmens, professeur de droit et de politique de la santé à l'Université de Toronto, qui s'est dite préoccupée par le fait que le système d'euthanasie du Canada est en proie à des problèmes. Les écrivains déclarent : Lemmens cite les Pays-Bas et la Belgique, les premiers pays au monde à légaliser l'aide médicale à mourir. Il est devenu légal dans ces pays en 2002. Mais il dit qu'il existe des différences importantes entre leurs systèmes et celui du Canada.

«Vous combinez le fait qu'en Belgique et aux Pays-Bas, les gens ne mettent pas l'aide médicale à mourir sur la table. Et les médecins doivent essentiellement explorer avec le patient d'autres options. Il dit que ces garanties manquantes et l'absence de système d'examen pour les cas difficiles font des lois canadiennes les plus permissives au monde. « Dans le cadre de l'aide médicale à mourir, on se débarrasse de cette idée qu'on essaiera d'abord les mesures les moins interventionnistes. Il n'y a aucune juridiction dans le monde autre que le Canada qui définit cela comme une simple intervention médicale. Cela signifie une action de fin de vie. Lemmens a expliqué qu'il est devenu une source de discrimination d'approuver l'euthanasie basée sur le handicap :

Lemmens affirme que l'expansion rapide des critères d'éligibilité à l'AMM, en particulier pendant la pandémie, a envoyé le mauvais message à la communauté des personnes handicapées. "Dire que nous, les personnes handicapées, avons un besoin urgent d'une procédure de fin de vie dans ce genre de période, je pense, était dérangeant, était vraiment insensible et imprudent." Les scénaristes ont ensuite expliqué l'histoire d'Alan Nichols décédé par euthanasie en 2019. Ils ont écrit : Le monde a remarqué. En août, l'Associated Press a longuement relaté le cas d'Alan Nichols, un avocat de la Colombie-Britannique qui a été admis à l'hôpital à la suite d'un bilan de santé mentale et qui s'est vu accorder l'aide médicale à mourir à l'hôpital quelques semaines plus tard, malgré les objections de sa famille. Son frère, Gary, insiste sur le fait qu'Alan ne répondait pas aux critères médicaux de l'AMM. Les membres de la famille d'Alan n'ont pas été en mesure d'obtenir une explication qui les satisfasse et soutiennent que Nichols devrait toujours être en vie. Les écrivains ont ensuite raconté l'histoire de l'employé d'Anciens Combattants qui a exhorté un ancien combattant souffrant à envisager un décès par suicide assisté.

Le Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits des personnes handicapées a rédigé deux rapports de mise en garde. Les écrivains déclarent : En 2019, elle a rapporté que lors d'une visite au Canada, des personnes âgées lui avaient dit qu'on leur avait offert le choix «entre une maison de soins infirmiers et l'aide médicale à mourir». Et en 2021, dans une lettre au gouvernement fédéral, le rapporteur spécial a exprimé de «graves inquiétudes» quant au fait que les critères d'admissibilité élargis du Canada violeraient «les obligations internationales du Canada de respecter, protéger et réaliser les droits fondamentaux à l'égalité et à la non-discrimination des personnes handicapées». .

Lemmens a déclaré aux écrivains que l'augmentation massive du nombre de personnes et les raisons de mourir par euthanasie envoient le mauvais message à la communauté des personnes handicapées. Les auteurs ont signalé qu'il y avait eu 10 064 décès par euthanasie signalés en 2021, soit une augmentation de 32 % par rapport à 2020. Lemmens craint qu'en très peu de temps, le Canada ait dépassé le nombre de décès par euthanasie aux Pays-Bas et en Belgique, même si ces juridictions légalisé l'euthanasie il y a 20 ans.

Les Landry demande le suicide assisté en Alberta en raison de la pauvreté. Les auteurs ont détaillé : Il y a un peu plus d'une décennie, Landry travaillait comme camionneur. Puis, la catastrophe a frappé. «J'ai développé une hernie. Et c'est là que l'opération a eu lieu. C'est alors que la pression artérielle est devenue incontrôlable. C'est à ce moment-là que j'ai développé l'épilepsie et trois mini-AVC, et les choses se sont effondrées. Aujourd'hui, l'homme de Medicine Hat, en Alberta, est en fauteuil roulant et souffre de douleurs chroniques intenses. Mais ce n'est pas pour cela qu'il envisage de faire une demande d'AMM. Landry s'est débrouillé pendant des années - à peine - avec des paiements d'invalidité de 1 685 $ et des dons opportuns sollicités sur Twitter. Il a également reçu quelques prestations supplémentaires disponibles dans le cadre du programme d'invalidité de l'Alberta - seulement quelques centaines de dollars de plus, mais cela lui a permis de budgétiser et d'avancer sur ses factures. Puis, il a eu 65 ans et, à cause d'une échappatoire bureaucratique, a en fait perdu ses avantages. "Ce que j'ai perdu, ce sont les prestations d'invalidité - allocation pour chien d'assistance, allocation pour régime alimentaire spécial, allocation de transport", dit-il. « Je ne suis plus une personne handicapée. Je suis une personne âgée dans la pauvreté. Il craint qu'avec la perte de revenus et la hausse des prix, il ne se retrouve bientôt sans abri. Landry dit qu'il mourra par AMM plutôt que de devenir sans-abri. Landry, qui ne s'oppose pas à l'euthanasie, dit que la réalité est biaisée. « Comment ciblez-vous un segment de la société avec essentiellement la mort comme seule option pour sortir de leur situation ? » Et vous ne faites rien en les aidant à sortir de cette situation. Je veux dire, comment expliquez-vous cela? Landry poursuit : ‘Je ne veux pas mourir. Je ne peux tout simplement pas me voir vivre comme ça pour le reste de ma vie. fin de l`article.


L`Allemagne Nazie et l`Euthanasie

Cette opération meurtrière trouvait ses racines dans un décret pris par le Führer (Adolph Hitler) en octobre 1939 et permettant aux médecins d`envoyer à la mort des malades mentaux chroniques ou des handicapés physiques. Si, dans un premier temps, on utilisa des injections chimiques, on devait par la suite préférer des chambres à gaz, auxquelles on donnait les apparences de salles de douche et qui étaient souvent dans d`anciens hôpitaux psychiatriques.

Quelques mois avant ce décret, Hitler avait approuvé l`élimination des enfants handicapés. Ce faisant, il suivait la sinistre logique de sa vision ultra-darwinienne du monde. Ces enfants perdirent la vie parcequìls étaient faibles et représentaient une charge pour la société allemande.

Le décret qui étendit le programme d`euthanasie aux adultes fut antidaté du 1 septembre 1939. Pour ces nazis fanatiques, les handicapés n`étaient que des bouches inutiles encombrantes dans un pays en guerre. Le Dr Pfannmueller, était l`un des responsables les plus tristement connus du programme d`euthanasie.

Source : Auschwitz – les nazis et la solution finale – Laurence Rees – page 90-91

MichelT

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Message par MichelT Lun 15 Mai 2023 - 16:13

Des universitaires canadiens rédigent un article plaidant en faveur de l'euthanasie pour les pauvres

Compte tenu de la rapidité avec laquelle le régime du suicide assisté au Canada s'est développé et de la détermination du gouvernement Trudeau à l'étendre davantage, je pense que nous devrions traiter des propositions comme celle-ci avec un sérieux mortel.

13 mai 2023 – LifeSites News – traduction automatique


Canadian academics write paper arguing in favor of euthanasia for poor people


(LifeSiteNews) - Alors que le soutien au suicide assisté au Canada augmente malgré une série d'histoires atroces rapportant que les pauvres et les handicapés optent pour des injections létales par pur désespoir, nous assistons à l'émergence d'une véritable culture post-chrétienne. Comme un titre du magazine britannique The Spectator a demandé l'année dernière : « Pourquoi le Canada euthanasie-t-il les pauvres ?» La réponse de certains bio-éthiciens semble être : Eh bien, pourquoi pas ? En fait, un nouvel article rédigé par deux bioéthiciens de l'Université de Toronto affirme que l'euthanasie des pauvres devrait être socialement acceptable. Kayla Wiebe, doctorante en philosophie, et la bioéthicienne Amy Mullin, professeure de philosophie, ont écrit dans le Journal of Medical Ethics que : Forcer des personnes qui se trouvent déjà dans des circonstances sociales injustes à devoir attendre que ces circonstances sociales s'améliorent, ou que la possibilité d'une charité publique se produise de manière incertaine lorsque des cas particulièrement pénibles deviennent publics, est inacceptable. Une approche de réduction des méfaits reconnaît que la solution recommandée est nécessairement imparfaite : un « moindre mal » entre deux ou plusieurs options moins qu'idéales.

Les histoires d'horreur de Canadiens cherchant à se suicider parce qu'ils ne peuvent pas obtenir l'aide sociale dont ils ont besoin sont des « scénarios du pire », écrivent les bioéthiciens. "Une façon de répondre à ces cas est:" Eh bien, il est clair que l'aide médicale à mourir ne devrait pas leur être disponible "", a déclaré Mullin dans une interview. « Nous ne pensons tout simplement pas que le fait que les conditions sociales contribuent à rendre leur vie intolérable signifie qu'ils n'ont pas les moyens de faire ce choix. Les gens peuvent déterminer par eux-mêmes si leur vie vaut la peine d'être vécue, et nous devons respecter cela.»

Wiebe et Mullin rejettent l'idée que les circonstances qui poussent les Canadiens au suicide sont coercitives et que refuser de les tuer sur demande « revient à perpétuer leur souffrance, en espérant que cela mènera finalement à un monde meilleur et plus juste ». À leur avis, la meilleure "approche de réduction des méfaits" signifierait que "la voie la moins préjudiciable est de permettre la disponibilité de l'Aide Médicale à Mourir. Nous voyons ce qui se passe lorsque nous redéfinissons les mots ; lorsque le suicide et les injections létales peuvent être considérés comme une "aide médicale" ou des soins de santé - les bioéthiciens peuvent écrire que le suicide est une "réduction des méfaits" et que proposer le suicide à ceux qui ont des conditions sociales intolérables est "la voie la moins nocive". Selon Wiebe : « Toutes les options sur la table sont vraiment tragiques et dites. Mais la voie la moins néfaste est de permettre aux personnes compétentes pour prendre des décisions d'avoir accès à ce choix, même s'il est terrible.

Il est facile de se moquer de ce document ou de le rejeter, mais gardez à l'esprit qu'il y a très peu de temps, les militants de l'euthanasie insistaient sur le fait que personne ne demandait le suicide assisté en raison de sa condition sociale. Certains, semble-t-il, ont déjà admis que cela se produit et que cela devrait être autorisé. Compte tenu de la rapidité avec laquelle le régime du suicide au Canada s'est développé et de la détermination du gouvernement Trudeau à l'étendre davantage, je pense que nous devrions traiter des propositions comme celle-ci avec un sérieux mortel. Le Canada a décidé de définir le suicide par injection létale comme des soins de santé. Comment ces « soins de santé » peuvent-ils être refusés à juste titre aux gens ?

Comme l'a déclaré Yuan Yu Zhu, chercheur canadien au Harris Manchester College d'Oxford qui écrit régulièrement sur l'euthanasie : « C'est plus que tragique : c'est une tache morale sur notre pays, pour laquelle les générations futures devront se racheter. Il a raison. Les choses vont s'aggraver avant - ou devrais-je dire si - les choses s'améliorent.

Jonathon Van Maren est conférencier, écrivain et militant pro-vie.

Note pers : Le régime nazi d`Adolph Hitler a euthanasié les malades mentaux dans les années 1930-1940 –

MichelT

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Message par MichelT Jeu 11 Avr 2024 - 12:41

Les Pays-Bas euthanasient de plus en plus pour raisons psychologiques

Médias-Presse Info — par Pierre-Alain Depauw — 9 avril 2024

Selon le Dutch Times, 9 068 décès par euthanasie ont été enregistrés aux Pays-Bas en 2023, contre 8 720 l’année précédente. Par ailleurs, le rapport souligne une augmentation de 20 % des cas d’euthanasie pour raisons psychologiques. Le Dutch Times ne fait référence qu’aux décès par euthanasie signalés car des études indiquent qu’environ 20 % des décès par euthanasie ne sont pas signalés.

Des euthanasies sur des personnes de plus en plus jeunes

50 % des décès par euthanasie pour raisons psychologiques sont réalisés par la clinique d’euthanasie du Centre d’expertise en euthanasie (EE). L’EE a reçu davantage de demandes d’euthanasie pour raisons psychologiques de la part de jeunes et a approuvé davantage de décès pour cette tranche d’âge.

Le Dutch Times a rapporté :

« L’année dernière, l’EE a constaté une augmentation significative des demandes provenant de jeunes ayant des problèmes psychologiques. Le centre a reçu 322 candidatures de personnes âgées de 18 à 30 ans, soit plus de 50 pour cent de plus que l’année dernière. Les chiffres de RTE montrent que 40 demandes de suicide assisté ont été accordées à des personnes âgées de 30 ans ou moins. “

MichelT

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Message par MichelT Lun 15 Avr 2024 - 13:59

Belgique - Le président de la Mutualité Chrétienne belge promeut l’euthanasie comme solution au vieillissement de la population

Médias-Presse Info - — par Pierre-Alain Depauw — 12 avril 2024

En Belgique, Luc Van Gorp, président de la Mutualité Chrétienne – qui n’a plus de chrétienne que le nom -, a préconisé le suicide assisté des personnes âgées « fatiguées de la vie » et a décrit de manière choquante les personnes âgées comme une « montagne de viande » qui « commence à sentir ».

Le président de la plus importante mutuelle de Belgique a promu l’euthanasie comme une solution au problème du vieillissement de la population du pays. Luc Van Gorp, président de la Mutualité Chrétienne, a souligné que le nombre de personnes de plus de 80 ans en Belgique doublera pour atteindre 1,2 million d’ici 2050, ce qui exercera une pression financière énorme sur le système de santé et les mutuelles.

Selon De Specialist, Van Gorp a déclaré que le problème ne peut pas être résolu avec plus d’argent et a appelé à « une approche radicalement différente ». « Les médecins et autres professionnels de santé font désormais tout leur possible pour que chacun vive plus longtemps, mais dans quel but ? Vivre plus longtemps n’est pas une fin en soi, n’est-ce pas ? Il faut avant tout se poser la question suivante : combien de temps puis-je vivre avec une qualité de vie.”

Propagandiste de l’euthanasie et du suicide assisté

Van Gorp a déclaré avec des formules de langage bien hypocrites qu’en plus de la loi actuelle sur l’euthanasie, il “devrait également y avoir une forme plus douce pour les personnes qui estiment que leur vie est terminée”, ajoutant que “de nombreuses personnes âgées sont fatiguées de la vie”. Au lieu de qualifier ce processus de suicide, ce qui a des connotations négatives, il « préfère l’appeler : redonner la vie ». Nous sommes en plein dans la novlangue. Tuer devient redonner la vie, dans une véritable caricature orwellienne de discours.

“Je sais que c’est sensible, mais il faut vraiment oser avoir ce débat.” « Au cours de l’histoire, nous avons mis la mort dans une case à part. C’est quelque chose pour les uniformes noirs, par rapport aux uniformes blancs qui s’occupent des vivants. Mais ces deux mondes sont mélangés, la mort fait partie de la vie. »

Il compare les personnes âgées à de “de la viande qui sent mauvais”

Dans une remarque révélatrice et odieuse, le président de la Mutualité chrétienne a utilisé la métaphore d’une montagne de viande qui commence à sentir mauvais pour décrire les citoyens âgés. Dans un monde normal, on serait en droit d’attendre qu’il soit contraint de donner sa démission ou d’être renvoyé après des propos aussi scandaleux. « Je compare parfois les personnes âgées à une montagne de viande », dit-il. « Cette montagne se retrouve d’abord dans les soins de santé. Les médecins et les hôpitaux s’y mettent et gagnent beaucoup d’argent. Mais dès que cette viande commence à sentir mauvais, ils la confient aux soins pour personnes âgées. Mais le vieillissement n’est pas seulement la responsabilité des personnes qui travaillent dans le secteur des soins aux personnes âgées.»

Alors que plusieurs politiciens de gauche et libéraux étaient favorables aux idées de Van Gorp, le leader démocrate-chrétien Sammy Mahdi s’est opposé au projet, déclarant : « Si quelqu’un est fatigué de la vie et a l’impression qu’il fait obstacle et ne reçoit plus de visiteurs, alors nous sommes en train d’échouer en tant que société. »

Vers un débat national sur la question de l’euthanasie des personnes âgées ?

L’exécutif conclut en appelant à un débat national sur la question de l’euthanasie des personnes âgées : « Aussi délicat soit-il, il faut oser entrer dans le débat sur la qualité de vie, y compris en fin de vie. Mieux vaut aujourd’hui que demain. «

En 2002, la Belgique est devenue le deuxième pays de l’après-Seconde Guerre mondiale à légaliser l’euthanasie. En 2014, il est devenu le premier pays à abolir la limite d’âge pour l’euthanasie. Il autorise actuellement l’euthanasie des mineurs qui souffrent d’une maladie (supposément) « terminale », qui sont sur le point de mourir ou qui souffrent de douleurs chroniques et qui ont le consentement de leurs parents et de leur médecin.

Le nombre de cas annuels d’euthanasie légale est en augmentation constante depuis sa légalisation en 2002, atteignant près de 3 000 cas en 2022.

Pierre-Alain Depauw


Belgique -  Une manifestation devant le siège de la Mutualité chrétienne

Source: Belga - 13 avril 2024 -

Une délégation d'une quarantaine de personnes, dont plusieurs personnes âgées de plus de 80 ans, ont manifesté vendredi devant le siège de la Mutualité chrétienne à Bruxelles. A l'initiative du mouvement chrétien Sant'Egidio, elles ont exprimé leur indignation et leur inquiétude face aux récentes déclarations du président de la Mutualité Chrétienne, Luc Van Gorp. "Ne poussez pas les personnes âgées vers la sortie", demandent les manifestants.

Dans une interview accordée au journal Het Nieuwsblad, M. Van Gorp a proposé une "approche radicalement différente" du vieillissement de la population. "Les personnes fatiguées de la vie devraient avoir la possibilité de s'en aller", a-t-il déclaré. Des propos qui ont déclenché un vif débat.

Selon Sant'Egidio, M. Van Gorp aurait laissé entendre que sa proposition serait un moyen de réduire les coûts. "Il s'agit d'idées ambitieuses dont même le lobby de l'euthanasie se méfie", a déclaré Jan De Volder. "Proposer l'euthanasie comme moyen de réduire les coûts est consternant", a ajouté le porte-parole de la communauté catholique.

Sant'Egidio trouve d'autant plus inacceptable cette suggestion qu'elle provient d'une caisse d'assurance maladie au cachet chrétien. "La mort n'a pas besoin d'un coup de pouce", rappelle le mouvement, qui estime que "la priorité de l'assurance maladie devrait être de soutenir la vie des plus fragiles."

L'organisation s'insurge également contre une comparaison entre les personnes âgées et de la viande malodorante. "Ce sont des comparaisons trop courantes au Café Hemelrijk, après des verres en trop", a déclaré Sant'Egidio dans un communiqué de presse. Le mouvement chrétien est également contrarié par le fait que M. Van Gorp n'ait pas retiré ces mots ou certaines parties de ses déclarations. Toutefois, selon le porte-parole Jan De Volder, le président du CM souhaite entendre les manifestants et les a invités à une réunion.


Les évêques de Belgique consternés par la proposition d’euthanasie des “personnes fatiguées de la vie”


Les évêques de Belgique publient ce jeudi 11 avril un communiqué en réaction aux propos sur l'euthanasie tenus par Luc Van Gorp, président de la christelijke mutualiteit.

Dans un communiqué publié ce jeudi 11 avril 2024, les évêques de Belgique dénoncent le plaidoyer sur l'euthanasie tenu par le président de la "christelijke mutualiteit" dans la presse flamande. Lundi dernier, Luc Van Gorp avait ouvert le débat sur le suicide assisté des personnes âgées, invoquant notamment la pression financière sur les soins de santé. Pour nos évêques, "une société humaine opte toujours pour la vie".

C’est "avec stupéfaction et déception" que les évêques belges ont pris connaissance de la proposition du président de la christelijke mutualiteit (CM) de rendre l’euthanasie possible pour les personnes lassées de la vie.

Pour les évêques, cette proposition "va à l’encontre de ce qui relève du cœur même d’une société humaine et de l’histoire de la civilisation humaine, à savoir le respect fondamental de la vie humaine, et en premier lieu, celle des plus vulnérables". Que la proposition qui met en cause ce fondement émane du président d’une grande organisation chrétienne de soins leur paraît d'autant plus "incompréhensible".

"La dignité constitue le pilier essentiel de toute société humaine digne de ce nom"

Pour rappel, lundi dernier, Luc Van Gorp a plaidé dans deux journaux flamands pour des solutions radicales en matière de vieillissement. Il estime notamment que ceux et celles qui en ont assez de vivre devraient recevoir la possibilité de réaliser leur souhait. "De nombreuses personnes âgées sont fatiguées de la vie" écrit-il dans Het Nieuwsblad et la Gazet van Antwerpen. "Pourquoi voudriez-vous nécessairement prolonger leur vie ? Ces personnes ne le souhaitent pas elles-mêmes et, en ce qui concerne les budgets, cela ne fait que coûter de l'argent au gouvernement."

Pour appuyer son argumentaire, le président de la christelijke mutualiteit évoque les coûts liés au vieillissement de la population et à la recherche du personnel soignant nécessaire. Les évêques de Belgique reconnaissent que "les défis en la matière sont effectivement considérables, les moyens financiers ne sont pas illimités" et que sans aucun doute "il y a des décisions difficiles à prendre". "Cependant, répliquent-ils dans leur communiqué, dans une société véritablement humaine, ces choix ne peuvent être faits aux dépens de ceux qui ont besoin de soins, encore moins en y incluant l’option de l’euthanasie proposée comme solution."

Les évêques de Belgique se disent vraiment "consternés" par la solution proposée par le président de l’Alliance nationale des mutualités chrétiennes. "La dignité humaine est sacrée et constitue le pilier essentiel de toute société humaine digne de ce nom" concluent-ils.

MichelT

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