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Notre Dame de Guadalupe, Patronne de l'Amérique Latine (1531). Fête le 12 Décembre.

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Notre Dame de Guadalupe, Patronne de l'Amérique Latine (1531). Fête le 12 Décembre. Empty Notre Dame de Guadalupe, Patronne de l'Amérique Latine (1531). Fête le 12 Décembre.

Message par Lumen Lun 12 Déc 2022 - 22:41

Notre Dame de Guadalupe, Patronne de l'Amérique Latine (1531). Fête le 12 Décembre.


Lundi 12 Décembre 2022 : Fête de Notre Dame de Guadalupe, Patronne du Mexique, de l'Amérique Latine et du continent américain (1531).
(L’Église Célèbre la Solennité (propre au Mexique), la Fête propre à tous les pays latino-américains, Chili, Argentine, Haïti, mais aussi aux États-Unis et au Canada. Mémoire facultative propre à l’Église universelle).



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Notre-Dame de Guadalupe
Patronne de l'Amérique Latine

Un Samedi, 9 Décembre 1531, un pieux Indien du nom de Juan Diego se rendait de son village à Mexico pour y satisfaire sa dévotion. Comme il passait au pied du Tepeyac, la plus haute des collines qui entourent la ville, il entendit tout à coup une musique Céleste descendre jusqu'à lui.

Irrésistiblement attiré vers le sommet de la colline, il en fait l'ascension et dans une lumière resplendissante bordée d'un iris aux plus vives couleurs, il aperçoit une Dame incomparablement belle, souriante et radieuse de bonté :

- Juan, Mon fils bien-aimé, dit l'Apparition, où vas-tu ?
- Madame, je vais à Mexico entendre la messe en l'honneur de la Vierge.
- Ta dévotion m'est agréable, reprit l'Inconnue ; Je suis cette Vierge, Mère de Dieu. Je désire que l'on me bâtisse ici un temple magnifique d'où je répandrai mes faveurs et ferai voir ma Compassion envers tous ceux qui m'invoqueront avec confiance. Va trouver l'Évêque de Mexico pour l'instruire de ma volonté.

Juan Diego se hâte de transmettre le message, mais le prélat le prend pour un illuminé et le congédie.
Diego retourne au Tepeyac, y retrouve la Vierge qui le renvoie une seconde fois auprès de l'Évêque.
Cette fois, on lui ménage meilleur accueil, mais l'ecclésiastique exige quelque témoignage certain de la volonté du Ciel.

Le 10 Décembre, Juan Diego revoit la Vierge qui promet le signe demandé pour le lendemain, mais Diego passe toute cette journée-là auprès de son oncle gravement malade.

Le 12 Décembre, pressé de trouver un Prêtre à Mexico pour administrer les derniers Sacrements au moribond, Diego passe rapidement devant la colline, mais au détour de la route, il se trouve subitement en présence de l'Apparition.
« Ton oncle est guéri, dit la Très Sainte Vierge, va au haut de la colline cueillir des roses que tu donneras à l'Évêque de Mexico. »

Ce n'était point la saison des fleurs et jamais la roche nue du Tepeyac n'avait produit de roses. L'humble paysan obéit néanmoins sans hésiter et trouva un merveilleux parterre de roses fraîches au sommet du monticule.
Il en cueillit une brassée, et les tenant cachées sous son manteau, il s'achemina vers l'évêché.

Lorsque Juan Diego fut introduit devant le prélat, deux miracles au lieu d'un frappèrent les yeux de l'Évêque stupéfait : la gerbe de roses vermeilles et l'image de l'Apparition peinte à l'insu de Diego sur l'envers de son paletot.

Aussitôt que leurs yeux rencontrèrent l'image Bénie de la Sainte Vierge, tous les témoins du prodige tombèrent à genoux, muets de Joie, sans pouvoir faire autre chose que d'admirer la beauté surhumaine de leur Mère du Ciel.
Se relevant, l'Évêque enlève le manteau des épaules du pieux Mexicain et l'expose dans sa chapelle en attendant d'élever un sanctuaire qui puisse renfermer cette relique sacrée.
Tous les habitants de la ville se rassemblèrent à l'évêché pour honorer l'image miraculeuse que Marie elle-même venait de léguer si gracieusement à ses enfants de la Terre.

Le jour suivant, 13 Décembre, l'Évêque de Mexico se rendit sur la colline de l'Apparition suivi d'un grand concours de peuple.
Il voulait voir l'endroit exact où la Très Sainte Vierge s'était montrée à son fils privilégié, Juan Diego. Ce dernier ne crut pas pouvoir le déterminer avec précision.
Marie vint le tirer d'embarras par un nouveau miracle : une source jaillit soudainement, désignant le lieu précis de l'Apparition. Depuis, cette source n'a cessé de couler et d'opérer des guérisons miraculeuses.

La Reine du Ciel se montra une cinquième fois à son humble serviteur et lui révéla le titre sous lequel elle désirait être invoquée.
« On m'appellera, dit-elle : Notre-Dame de Guadalupe ». Ce mot venu d'Espagne, mais d'origine arabe, signifie : Fleuve de Lumière.

Conformément à la demande de la Mère de Dieu, on éleva une grandiose Basilique sur la colline du Tepeyac où l'on vénéra la sainte image de Marie imprimée dans le manteau du voyant.
Tout au cours des âges, d'innombrables et éclatants miracles témoignèrent de l'inépuisable Bonté de Notre-Dame de Guadalupe.

Le Sanctuaire de Notre-Dame de Guadalupe est, après la Basilique Saint-Pierre du Vatican le lieu de Culte Catholique qui attire le plus de pèlerins.
Les jours de plus grande affluence sont ceux qui précèdent et suivent la Fête de la Vierge de Guadalupe le 12 Décembre où près de 9 millions de fidèles et de touristes assistent aux festivités et viennent vénérer la relique de Juan Diego.

En 1910, Saint Pie X déclare Notre-Dame de Guadalupe, patronne de toute l'Amérique latine, et en 1946, Pie XII la déclare patronne des Amériques.
Saint Jean-Paul II, établit dans l'Exhortation apostolique Ecclesia un America (§ 11) et le 23 Janvier 1999, lors de son voyage au Mexique, au cours de l'homélie en la Basilique Notre-Dame de Guadalupe « que, le 12 Décembre, la Vierge de Guadalupe serait Célébrée dans toute l’Amérique comme une Fête liturgique. »



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Notre Dame de Guadalupe


"Je suis venu ici pour déposer aux pieds de la Vierge métisse du Tepeyac, Etoile du Nouveau Monde, l'Exhortation apostolique Ecclesia in America, qui rassemble les contributions et les suggestions pastorales de ce Synode, confiant à la Mère et Reine de ce continent, l'avenir de son évangélisation"
(homélie du pape Jean-Paul II, le 23 janvier 1999, Basilique Notre-Dame de Guadalupe)
"J'ai déposé les fruits du premier Synode américain aux pieds de la Sainte Vierge Marie de Guadalupe, sous la protection maternelle de laquelle s'est développée l'évangélisation du Nouveau Continent. Elle est à juste titre invoquée aujourd'hui comme l'étoile de sa nouvelle évangélisation.
C'est pourquoi j'ai établi que la Fête où la Solennité Liturgique qui lui est consacrée, le 12 Décembre, soit proclamée comme Fête sur tout le Continent américain."
(Jean-Paul II après son voyage au Mexique, le 10 février 1999)

Message du pape François pour la fête de Notre Dame de Guadalupe du 12 Décembre 2013, la patronne de l'Amérique:
Lorsque la Vierge est apparue à Saint Juan Diego, a-t-il dit en espagnol, 'son visage était celui d'une métisse et ses vêtements couverts de motifs indigènes.
Comme Jésus, Marie se fait proche de ses enfants, qu'elle accompagne en mère sur le chemin de la vie'...

Elle apparut à saint Juan Diego le 9 et le 12 Décembre 1531.

Mémoire de Notre-Dame de Guadalupe au Mexique, dont une foule immense implore le secours maternel sur la colline Tepeyac près de Mexico, et qu’elle salue avec confiance comme une étoile pour l’évangélisation des familles des peuples et comme l’assistance des indigènes et des pauvres.
Martyrologe romain

Je demande à Notre-Dame de Guadalupe d'éclairer les peuples du Nouveau Monde tout au long du troisième millénaire
Saint Jean-Paul II.



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Les miracles de Notre-Dame de Guadalupe


Miracles relatifs au manteau de Notre Dame de Guadalupe


Le premier miracle du manteau de la Vierge Marie a été réalisé par la Mère de Dieu le 12 Décembre 1531.
La Vierge Marie avait demandé à saint Juan Diego d'aller au sommet du Mont Tepeyac pour y cueillir les fleurs qui s'y trouvaient, afin de les apporter à l'évêque de Mexico qui avait demandé au Ciel un signe pour s'assurer de la véracité de la demande de Marie par l'intermédiaire de son humble messager.
La Sainte Vierge demandait en effet que l'on construise une chapelle en son honneur au sommet du mont.

Ainsi, quand Juan Diego se présenta à l'évêque Zumárraga, il ouvrit son poncho et laissa tomber les fleurs qui étaient des roses de Castille.
Mais ce qui étonna davantage les témoins fut de les voir disparaître au moment même où ceux-ci les prenaient des mains de Juan Diego.

En déposant son poncho devant l'Évêque, on aperçut dessiné l'image de la Très Sainte et toujours Vierge la Mère du vrai Dieu, image qui se conserve toujours aujourd'hui.
Le 26 Décembre 1531, il y eut une procession au Mont Tepeyac où se réunirent de nombreux indiens chichimèques ; ceux-ci jouaient avec leurs arcs et leurs flèches et dansaient selon leurs coutumes.
Malheureusement une flèche tirée au hasard transperça la gorge d'un indien qui accompagnait le "Manteau". Il mourut à l'instant.
C'est devant l'image que l'on retira la flèche et aussitôt on vit se former une cicatrice et l'indien ressuscita. A partir de ce moment là, les indiens se convertirent au catholicisme au nombre de 9 millions.

En 1751, Michel Cabrera analysa avec Joseph Ibarra le poncho et ils constatèrent que l'image n'avait aucune marque de pinceau.

En 1791, de l'acide muriatique tombé sur le côté droit supérieur avec une proportion de 50 % d'acide nitrique et 50 % d'acide chlorhydrique, faisant un trou de 10 cm de diamètre.
Trente jours après le tissu était reformé sans que personne n'intervint pour réparer l'accident.
Aujourd'hui encore, il reste une marque de la tache et seulement au moyen d'un instrument de précision on peut observer des traces de brûlure.

Au XVIIIe siècle, on fit une copie très semblable de l'original avec le même tissu de maguey (fibres végétales de cactus) : malgré tout, la copie était réduite en poussière quelques quinze années après, tandis que l'original possède déjà près de 500 ans, ce qui est un phénomène inexplicable. Le manteau mesure 1.71 de haut sur 1.05 de large.

Le 14 Novembre 1921, le tailleur de pierre Lucien Perez, un anarchiste, dépose un bouquet de fleurs au pied du manteau de Juan Diego, dans lequel il avait mis une charge de dynamite qui détruisit tout alentour, mais laissa intacte le poncho ainsi que la vitre qui le protégeait.

En 1929, le photographe Alfonso Marcué Gonzalez découvrit une figure humaine dans l'œil droit de la Vierge.
En 1936, l'évêque de Mexico fit analyser trois fibres du manteau (ce qui donnera plus tard le prix Nobel de chimie pour l'année 1938 et 1949).
Le Dr. Richard Khun d'origine juive découvrit que la peinture de l'image n'avait aucune origine végétale, minérale ni même animale, ni aucun élément des 111 pigments connus dans le monde. Khun en déduit que la peinture n'est pas d'origine humaine.

En 1956, l'ophtalmologue Torruela Bueno découvre qu'en approchant l'œil pour réaliser un fond d'œil, la pupille se ferme et en en retirant la lumière, la pupille se dilate de nouveau comme s'il s'agissait d'un œil humain.
En juillet 1956, le Dr. Lavoignet après huit mois d'intense travail découvre le phénomène optique de la triple image de Purkinge-Samson qui correspond à ce que perçoit l'œil humain, c'est-à-dire les trois réfractions de l'objet vu.

En février 1979, le Dr. José Aste Tonsmann, chef du Centre Scientifique d'IBM à Mexico, découvre à son tour, grâce à de puissants ordinateurs des phénomènes inexplicables : dans les pupilles des yeux de la Vierge Marie, qui ont un diamètre de 8 mm., sous forme digitalisée, on peut voir douze personnages qui regardent l'image de la Vierge de Guadalupe.
Mais là ne s'arrête pas le côté merveilleux de la surprise.
En effet, en agrandissant la pupille de l'un des personnages de la scène, c'est-à-dire de l'Évêque Juan de Zumárraga, donc un agrandissement de quelques milliers de fois de ceux de la Vierge, soit 2500 fois plus, on aperçoit alors l'indien Saint Juan Diego montrant le poncho avec l'image de la Vierge de Guadalupe.
Ainsi, en un quart de micron qui est la π partie de millionième de millimètre, le Professeur Aste Tonsmann put voir une scène extraordinaire, découverte qui lui ôta le sommeil pendant plusieurs nuits.

Le 7 Mai 1979, les scientifiques Jody Brand Smith, professeur d'esthétique et de philosophie et Philipp Serna Callahan, biophysicien de l'Université de Floride et spécialiste en peinture et memb­res tous deux de la NASA, n'ont pas rencontré de peinture dans l'original du poncho. Ils prouvent que ce n'est pas une photographie qui aurait imprimé le tissu.

Ils découvrirent également que le poncho conserve sans aucune explication la température du corps humain oscillant autour de 36,6°-37°.

Puis le 22 Décembre 1981, le RP Mario Rojas, découvre à son tour à l'Observatoire "Laplace" de Mexico que les étoiles du manteau correspondent au solstice d'hiver du 12 Décembre 1531 à 10 : 26 sur le territoire de Mexico, c'est-à-dire à l'heure où saint Juan Diego déploya son poncho devant l'Évêque. Les astronomes ont certifié le fait.

Deux anges furent peints par la suite à côte de la Vierge en dehors des rayons mais trente jours après ils disparurent et aujourd'hui, grâce à des outils très spécialisés et sophistiqués, on peut en trouver la trace.
On aperçoit également les traces d'une couronne peinte sur le chef de la Vierge. Ces différentes peintures dateraient du XVIIIe siècle.

Une peinture a été appliquée sur l'ange de la partie inférieure, sur l'or des rayons et l'argent du cordon et sur le serpent au-dessous des pieds de la Vierge.
Cette peinture est en train de disparaître pour restituer les couleurs originales gravées le 12 Décembre 1531.

Si l'on approche à moins de 10 cm. de la toile on ne voit que les fibres du manteau sans aucune couleur.
Les scientifiques de la NASA découvrirent en outre qu'en passant un rayon laser sur la toile mais de façon latérale le rayon passe sans toucher la peinture ni la toile de telle sorte que l'image est suspendue en l'air à trois dixième de millimètres au-dessus du tissu.

Enfin, le gynécologue, en posant son stéthoscope sur la ceinture de la Sainte Vierge Marie qui est enceinte, entendit le bruit des battements du cœur et constata qu'ils s'élevaient à 115-120 pulsations à la minute ce qui correspond aux battements cardiaques du cœur de l'Enfant Jésus, tout comme ceux d'un fœtus dans le sein de sa mère.

Le 24 Avril 2007, à la fin de la Messe offerte pour les enfants avortés non nés, l’assistance de la Basilique se demandait ce qu’attendait d’elle la Très Sainte Vierge de Guadalupe : le conseil municipal de Mexico venait de légaliser l’avortement à la demande jusque là interdit.
Tandis que beaucoup de fidèles prenaient des photographies de l’ayate de Tepeyac, exposé et vénéré dans le Basilique et au pied duquel la foule des pèlerins défile sur un tapis roulant, l’image de la Vierge a commencé à s’effacer, pour donner place à une lumière intense qui émanait de son ventre, constituant un halo brillant ayant la forme d’un embryon.
Avec un cadrage et un grossissement important il est possible d’apprécier la position de la lumière qui provient réellement du ventre de l’image de la Sainte Vierge et n’est ni un reflet, ni un artéfact.
L’ingénieur Luis Girault qui a étudié l’image ainsi réalisée a confirmé l’authenticité du négatif et a pu préciser qu’il n’avait été ni modifié ni altéré, par superposition d’un autre image par exemple.
Il a découvert que l’image ne provient d’aucun reflet, mais sort littéralement de l’intérieur de l’image de la Vierge.
La lumière produite est très blanche, pure et intense, différente des lueurs photographiques habituelles produites par les flashes.
Cette lumière est entourée d’un halo et paraît flotter à l’intérieur de l’abdomen de la Vierge.
Ce halo possède la forme et les mesures d’un embryon.
En effet si on examine plus précisément encore cette image en la faisant tourner dans un plan sagittal, on distingue à l’intérieur du halo certaines zones d’ombre qui ont les caractéristiques d’un embryon humain dans le sein maternel.



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#0066ff]La Vierge de Guadalupe est la Sainte Patronne des Amériques, donc aussi Celle des Antilles-Guyanes. "Guadalupe" veut dire en langue aztèque celle qui écrase le serpent. Elle est donc spécialement invoquée contre les cultures de la mort.[/size]

Notre-Dame de Guadalupe, au Nord Ouest de la ville de Mexico,  est la sainte patronne du Mexique et tous les diocèses du pays se relaient durant l'année, pour célébrer une Fête dans sa Basilique le 12 de chaque mois ainsi qu'aux principales Solennités de la Vierge Marie.

Les Fêtes principales de Notre-Dame de Guadalupe sont le 12 Octobre, où l'on commémore son couronnement solennel, et le 12 Décembre, anniversaire de son apparition (en 1531). L'affluence des pèlerins, qui viennent du monde entier y est considérable : 14 millions par an !



Notre Dame de Guadalupe, Patronne de l'Amérique Latine (1531). Fête le 12 Décembre. Mexico-2.2


Le 9 Décembre 1531, sur une colline de Tepeyac (Nord de Mexico), une jeune dame « éblouissante de lumière » apparaît à un Amérindien Juan Diego Cuauhtlatoatzin, Baptisé depuis peu.
La Vierge Marie le charge de demander à l'Évêque de faire construire une église sur le lieu même de l'apparition.
Le prélat demandera au jeune homme d'obtenir de la Vierge Marie un signe. Celle-ci ne tarde pas à le lui accorder.

Le 12 Décembre, se montrant pour la quatrième et dernière fois à Juan Diego, Marie l'envoie cueillir des fleurs au sommet de la colline.
Et voilà l'homme redescendant remplie des plus belles fleurs qu'il ait jamais vues en plein hiver !

Sous l'injonction de la Vierge, il retourne alors chez l'Évêque, et ouvre son manteau devant les personnes réunies autour du prélat.
Quelle stupeur pour tous de voir à cet instant s'imprimer miraculeusement sur la tilma une image représentant la Vierge, revêtue d'un manteau couvert d'or.

Après 475 ans, la tilma est parfaitement conservée, alors que ce vêtement de pauvre fait en fibres de cactus aurait dû se détériorer en 20 ans.

Autre source et différentes Mémoires Liturgiques :

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PHENOMENE INEXPLIQUABLE


En 1936, le Dr Richard Kuhn, prix Nobel de Chimie, constate que les fibres de la "tilma" ne contiennent aucun colorant connu, ni minéral, ni végétal, ni animal, ni, à plus forte raison, synthétique.
Les couleurs forment une surface unie, comme sur une photo, comme si le tissus d’agrave avait fonctionné comme une pellicule photographique, en recevant directement l’image et la couleur sur chaque fil, par un effet de projection mystérieux.

En 1951, un dessinateur, Carlos Salinas Chavez, remarque avec une simple loupe un homme barbu dans l’œil droit de l’image.
A sa suite, l’examen des yeux va permettre de découvrir plusieurs personnages dans les yeux de la Vierge, dont l’image est imprimée avec la courbure et les trois réflexions d’image, de taille et d’orientation différentes, que l’on trouve dans les reflets d’une pupille réelle (phénomène de Purkinje-Samsom).

Et lorsqu’une lumière est approchée, on observe les mêmes reflets que sur un œil vivant, sur la cornée, sur le bord de la pupille et dans le cristallin, qui se déplacent lorsqu’on bouge la source lumineuse (phénomène que l’on peut observer sur des yeux vivants, mais jamais sur des peintures: les toiles planes et opaques n’ont même pas de reflets).
« On est en pleine folie. Mais les images sont là et on ne peut les ignorer » constatent les scientifiques.

Les broderies de la tunique de la Vierge de Guadalupe ont aussi été étudiées et elles contiennent des rébus exprimant le nom de la colline des apparitions et le mystère du Christ dans le langage symbolique des anciens aztèques et la position des étoiles sur le manteau correspond à une projection (et non une représentation : image miroir) de la position exacte des constellations au matin du 12 Décembre 1531.



Notre Dame de Guadalupe, Patronne de l'Amérique Latine (1531). Fête le 12 Décembre. 81100g-2





Notre Dame de Guadalupe, Patronne de l'Amérique Latine (1531). Fête le 12 Décembre. Pierre.1
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Lumen
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