Le Gouvernement Canadien Publie un Livre de Coloriage pour Enfants sur le Suicide Assisté

Les Saints-Innocents - le 28 décembre  Hérode ordonne la mise a mort des enfants de Bethléem de moins de 2 ans pour essayer de tuer l`Enfant-Jésus

Je suspends un peu cette trève de Noël - Ce gouvernement actuel devient de plus en plus immoral a la limite du criminel - le programme eugéniste des mondialistes semble être poussé au maximum - souvenons-nous du régime nazi qui était un régime eugéniste qui a commencé par tuer les malades mentaux et les infirmes en Allemagne par des injections, ensuite des chambres a gaz et on a vu plus tard la traque des juifs en Europe

Espérons que des hommes politiques de l`opposition vont s`occuper de dénoncer ceux qui poussent ces politiques horribles.. Allez sur le site de LifeSite News pour voir les réactions horrifiées des citoyens au Canada-Anglais.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le gouvernement canadien publie un livre de coloriage pour enfants sur le suicide assisté

Selon cette ressource pour enfants, si vous avez un handicap, vous pourriez avoir raison de penser que votre vie ne vaut pas la peine d'être vécue et de prendre des mesures pour y mettre fin.

Canadian gov’t releases children’s coloring book about assisted suicide

21 décembre 2022 ( traduction automatique) - Au delà des mots (LifeSiteNews) – Partout dans le monde, le Canada est de plus en plus connu pour une chose : la brutalité de sang-froid de notre régime d'euthanasie. Des personnes pauvres optant pour le suicide parce qu'elles ne trouvent pas de logement et des personnes handicapées demandant des injections létales en raison du manque de soutien aux anciens combattants qui se voient activement offrir l'AMM (aide médicale à mourir) lorsqu'ils demandent des services, les histoires du Canada ont fait la une des journaux à travers le globe. En réponse, le gouvernement libéral de Justin Trudeau a retardé (temporairement) l'élargissement de l'aide au suicide aux personnes atteintes de maladie mentale et a commencé à mentir sur certaines de ces histoires pour atténuer les dégâts, le vétéran ministre des Affaires affirmant que les anciens combattants n'avaient pas été a offert l'AMM malgré le fait que ce fait soit de notoriété publique. Mais ça devient encore plus macabre. Santé Canada et Anciens Combattants sont deux des partenaires du gouvernement fédéral dans la publication d'un nouveau livre de coloriage et d'activités pour les enfants – sur le suicide assisté au Canada.

Le public cible est les enfants âgés de 6 à 12 ans. Le livret s'intitule « Cahier d'activités de l'aide médicale à mourir (AMM) » et la couverture se lit comme suit : « Bienvenue ! Ces activités vous aideront à réfléchir à l'aide médicale à mourir d'une personne de votre entourage. L'intention du livre est de normaliser le suicide des enfants et de justifier le meurtre de parents, de grands-parents et d'êtres chers par le régime d'euthanasie du Canada pour ceux qui restent. Voici, par exemple, comment le livre décrit MAiD : Le mot « médical » signifie la science de la médecine et « assistance » signifie aide. L'AMM signifie donc que la médecine est utilisée pour aider quelqu'un à mourir. Un médecin ou une infirmière praticienne (une infirmière avec une formation spéciale) utilise des médicaments pour empêcher le corps de la personne de fonctionner. Lorsque son corps cesse de fonctionner, la personne meurt. Ceci est fait d'une manière qui ne blesse pas la personne. Les médicaments les aident à se sentir à l'aise et en paix. Une personne doit demander une AMM, puis passer par un tas d'étapes avant que cela ne se produise. Les étapes sont décrites ci-dessous dans ce livre.

Pour les personnes âgées de 18 ans ou plus, le livre indique que l'AMM peut être demandée si elles ont "une maladie grave, une maladie ou un handicap qui leur fait tellement mal au corps ou à l'esprit qu'il leur semble trop difficile de continuer à vivre". À la page deux déjà, ils justifient le suicide pour les personnes atteintes de maladie mentale ou de handicap. À la page cinq, le livret réitère que certaines personnes handicapées opteront pour le suicide parce qu'elles ne peuvent pas faire disparaître leur handicap. Le message ici est limpide. Tout au long du livret, le mot « handicap » est associé à « maladie » lorsqu'il est question d'AMM (« handicap » est utilisé 12 fois dans ce contexte.) Selon cette ressource pour enfants, si vous avez un handicap, vous pouvez avoir raison de sentir que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue.

À la page quatre, ils décrivent comment quelqu'un est tué par injection létale de cette façon : Le premier médicament permet à la personne de se sentir très détendue et de s'endormir. Ils peuvent bâiller, ronfler ou marmonner. Le deuxième médicament provoque un « coma ». Un coma ressemble au sommeil, mais il est beaucoup plus profond que le sommeil normal. La personne ne se réveillera pas ou ne sera pas dérangée par le bruit ou le toucher. Le troisième médicament empêche les poumons de la personne de respirer, puis son cœur s'arrête de battre. À cause du coma, la personne ne remarque pas ce qui se passe et cela ne fait pas mal. Lorsque leur cœur et leurs poumons cessent de fonctionner, leur corps meurt. Il ne recommencera pas à fonctionner. Cela se produit souvent en quelques minutes seulement, mais parfois (rarement) cela peut prendre des heures. Le livret donne ensuite une liste de questions à choix multiples pour les enfants, leur demandant s'ils veulent être dans la pièce lorsque leur proche est tué par injection létale, ou s'ils aimeraient lire ou colorier avec des crayons pour "passer le temps". alors que leur parent est en train de mourir, ou s'ils souhaitent appeler la personne par vidéo pour lui dire au revoir plutôt que d'être présents, ou voir le corps de la personne après que le poison a fait son travail et qu'elle est décédée. On demande également aux enfants s'ils aimeraient embrasser leur être cher au revoir ou dire une prière.

Dans un livret rempli de mensonges, le plus flagrant est peut-être inclus vers la fin : « L'AMM est un choix personnel. Cela signifie que personne ne peut décider pour une autre personne. Chacun doit décider par lui-même. » Si ce "livre d'activités MAiD" rend quelque chose de limpide, c'est que chaque personne décide, en fait, au nom des enfants, des proches et des proches. Notre pandémie de suicide assisté expose la fausseté fondamentale de l'individualisme radical. Le gouvernement Trudeau du Canada a décidé que les personnes désespérées, handicapées et malades peuvent demander de finir leurs jours. Pour les enfants qui restent, il y a un livre de coloriage avec des questions à choix multiples.

Jonathon Van Maren est un orateur public, écrivain et militant pro-vie

Le suicide assisté est une conséquence de l’incapacité de la société à soutenir les personnes souffrantes

Tout ce que les gouvernements internationaux offrent à ceux qui ont besoin d'une aide mentale et physique sérieuse est un chemin plus rapide vers la tombe.

La fausse compassion

8 mars 2023 – LifeSite News – Canada – traduction automatique

Assisted suicide is a consequence of society’s failure to support suffering individuals


(LifeSiteNews) — La souffrance se présente sous d'innombrables formes. Dans notre société de plus en plus atomisée, nous avons de moins en moins de systèmes de soutien et de filets de sécurité pour soulager nos souffrances. Ainsi, les régimes de suicide assisté sont devenus la conséquence ultime – et prévisible – d'une autonomie personnelle radicale. Nous sommes seuls et nous pouvons faire ce que nous voulons - mais parce que nous sommes seuls, beaucoup d'entre nous veulent mourir.

Le suicide assisté devient le par défaut des nombreux échecs de notre société postmoderne. Si vous essayez de changer de sexe – comme la culture vous le dit – et que la chirurgie échoue et que les médicaments ne fonctionnent pas, vous pouvez toujours opter pour le suicide sanctionné par l'État. Si vous vous sentez désespérément seul, vous pouvez demander à être euthanasié. Si vous ne pouvez pas vous débarrasser de vos dépendances et que vous en avez assez d'essayer, vous pouvez demander à être euthanasié. Chacun de ces exemples s'est produit dans les pays occidentaux – et récemment.

Il n'est donc pas surprenant que nous voyions le terme « souffrance » utilisé comme une catégorie fourre-tou
Nathalie Huygens, une Belge de 50 ans qui a été victime d'un viol violent en 2016, a demandé et a été agréée pour le suicide assisté en raison des énormes souffrances psychologiques qu'elle a endurées par la suite. "Je me suis battue tout ce temps jour après jour pour me maintenir en vie, ce n'est pas tenable", a-t-elle déclaré à la presse. « Je veux que la souffrance s'arrête, se termine. Savoir maintenant que je peux mourir est en quelque sorte rassurant. Comme je l'ai noté dans mon livre de 2016 "The Culture War", une femme de 44 ans souffrant d'anorexie est également décédée par suicide assisté en 2014 après avoir été abusée sexuellement par son psychiatre.

BioEdge a également cité l'exemple de Shanti De Corte, qui avait 17 ans lorsqu'elle a survécu à l'attentat terroriste de 2016 à Bruxelles et a souffert de SSPT et d'idées suicidaires en conséquence. Elle a fait sa deuxième tentative de suicide après avoir été agressée sexuellement dans un hôpital psychiatrique. "Ce jour-là l'a vraiment fait craquer", a déclaré sa mère à une chaîne de télévision belge. "Elle ne s'est jamais sentie en sécurité après ça." De Corte a été tuée par suicide assisté en 2021, et la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie de Belgique n'a rien trouvé concernant sa mort.

C'est ce que nous voyons se dérouler presque chaque semaine au Canada. La semaine dernière, Les Landry de Medicine Hat, en Alberta, est venu sur notre podcast et a expliqué pourquoi il fait une demande de suicide assisté – non pas parce qu'il veut mourir, a-t-il souligné, mais parce qu'il n'a pas les moyens de vivre.

Il a également noté que le gouvernement Trudeau a mis des années à faire face à la pénurie mortelle d'aide aux personnes handicapées au Canada – mais a réussi à mettre en place un régime de suicide assisté en un temps record. En bref, le gouvernement reconnaît qu'il y a beaucoup de souffrances et reconnaît également qu'il ne peut pas ou ne veut pas offrir le soutien nécessaire pour atténuer ces souffrances. Au lieu de cela, le gouvernement propose « la mort dans la dignité », ce qui signifie simplement mourir plus tôt.  Souffrant de maladie mentale ? Nous vous proposons le suicide. Vous avez du mal à vivre avec un handicap et vous avez désespérément besoin d'un soutien ? Nous vous proposons le suicide.

Cette pente glissante avec un tas de cadavres en bas et une file d'attente en haut - et un porte-parole du gouvernement disant à la foule d'aller de ce côté-ci pour accéder à votre droit de mourir dans la dignité, accordé par l'État. Votre souffrance peut prendre fin – non pas par l'aide dont vous avez tant besoin, mais au bout d'une aiguille.

Jonathon Van Maren est conférencier, écrivain et militant pro-vie. Il parle d'une grande variété de sujets culturels à travers l'Amérique du Nord dans les universités, les écoles secondaires, les églises et d'autres fonctions. Certains de ces sujets incluent l'avortement, la pornographie, la révolution sexuelle et l'euthanasie. Jonathon est titulaire d'un baccalauréat ès arts en histoire de l'Université Simon Fraser.


Nous sommes rendu très bas moralement au Canada et nous risquons de continuer dans cette chute brutale :

Souvenons-nous de ceci a propos de l`euthanasie : En décembre 1941, le capitaine SS Wirth – 56 ans – arriva au camp de concentration de Belzec ( en Pologne occupée par les nazis) pour en prendre le commandement – Menuisier de formation, il avait combattu dans le guerre de 14-18, il avait ensuite rejoint la parti nazi et dans les années 1930 il avait travaillé pour la Gestapo à Stuttgart. En 1939, il avait prit part aux actions d`euthanasie contre les malades mentaux et aidé à organiser leur élimination. En 1941, il agissait dans la région de Lublin menant encore des actions d`euthanasie. Surnommé Christian le sauvage, il était un sadique. A Belzec, il contribua a la mise a mort par euthanasie (par gaz mortels) de 600,000 Juifs – hommes- femmes et enfants…

Source : Laurence Rees : Auschwitz – les nazis et la «solution finale»

Les soins palliatifs sont la solution.


Canada : drogue dure en vente libre

Médias-Presse Info  — 6 mars 2023

La province de Colombie-Britannique au Canada va permettre à un laboratoire de vendre librement de la cocaïne. Cela se passe ainsi dans le Canada de Justin Trudeau, young leader mondialiste du Forum Économique de Davos et avant-gardiste de toutes les folies progressistes et nihilistes.

Le laboratoire Adastra aura le droit de posséder, de produire, de vendre et de distribuer de la cocaïne
Santé Canada, un ministère du gouvernement du Canada « qui est responsable d’aider les Canadiens à maintenir et à améliorer leur état de santé » a accordé à une entreprise de cannabis le droit de posséder, de produire, de vendre et de distribuer de la cocaïne (sic).

Adastra Labs indique dans un communiqué que Santé Canada lui a donné son approbation le 17 février pour une modification de sa licence de revendeur de substances contrôlées. Or une moyenne de plus de six personnes meurent chaque jour en Colombie-Britannique, en 2022, par surdose de drogue.

La décriminalisation de certains produits jusqu’à 2,5 grammes, y compris la cocaïne, a commencé en Colombie-Britannique le 31 janvier, après que le gouvernement fédéral a approuvé l’exemption dans le cadre d’un plan de lutte contre la crise des surdoses qui a tué des milliers de personnes dans la province.

La mortalité par surdose de drogue ne cesse de grimper au Canada Plus de 11 000 personnes sont mortes en raison de surdoses de drogues illicites depuis que la Colombie-Britannique a déclaré une urgence de santé publique en 2016. Les décès ont grimpé en flèche alors que le fentanyl est devenu la principale drogue illicite. Adastra Labs indique que la licence modifiée lui permet « d’interagir » jusqu’à 250 grammes de cocaïne et d’importer des feuilles de coca afin de fabriquer et de synthétiser la substance. Le PDG d’Adastra, Michael Forbes, a déclaré qu’il évaluerait comment la commercialisation de la substance s’intègre à son modèle dans le but de se positionner pour répondre à la demande d’un approvisionnement sûr en cocaïne.

La fenêtre d’Overton vient d’être déplacée encore. Après la légalisation du cannabis au Canada pour mettre fin au marché noir et contrôler la marchandise, encore une fois sous couvert de proposer aux consommateurs une cocaïne sûre, le Canada ouvre donc à la vente libre cette drogue dure, alors que les dangers pour la santé et la sécurité, le piège de la dépendance quasi irrémédiable, sont sous nos yeux, la triste affaire Palmade en étant un exemple frappant pour toute personne de bon sens, ce que ne sont pas, il est vrai, les cocaïnomanes qui gouvernent d’un côté et de l’autre de l’Atlantique

Francesca de Villasmundo