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COMTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : COLONNEL DE LA ROQUES, DES CROIX DE FEUX AU PARTI SOCIAL FRANCAIS
par Hervé J. VOLTO Dim 15 Jan 2023 - 0:06
COMTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : COLONNEL DE LA ROQUES, DES CROIX DE FEUX AU PARTI SOCIAL FRANCAIS
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France.
Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
En même temps que nous déveleppons notre propagande pour créer un état d'esprit Royaliste qui permettra la Restauration, nous luttons chaque jour pour défendre l'intérêt national de la France.
Conclusion de la réunion de cabinet : ordre du jour, le Colonel de La Rocque.
Notre Cabinet est cellule de membres appartenant au Corps mystique du Royaume de France en survivance, qui s’est constituée dans l’espérance de la résurrection du Royaume de France : nous sommes des concervateurs Catholiques.
Il fut un homme politique contemporain qui rêva d'une société Catholique
https://forumarchedemarie.forumperso.com/t19026-conclusion-de-la-reunion-de-cabinet-vers-un-etat-catholique
François de La Rocque (1885-1946), un Aristocrate militaire, qui provenait d'un milieu dont la devise est SERVIR. Il servira, vingt-quatre ans durant, à travres une brillante carrière militaire et prendra part à plusieurs conflits de l’époque, dont la Première Guerre Mondiale, dans les tranchées. En 1920, il quitte l’armée, décoré et gravement blessé, avec le titre de Colonel.
Le grand père paternel du colonel de La Rocque était Royaliste parce que Catholique et Français et son père, ancien élève de l'Ecole Polytechnique, servit dans l'artillerie de marine et fut affecté à Lorient, et, promu général, fut directeur de l'artillerie au ministère de la Marine. Très vigilant sur le respect de ses compétences techniques par les politiques, il marqua une nette hostilité à son ministre Lockroy ce qui finit par le pousser à démissionner en 1899. Il devient alors président du Comité Justice-Égalité (groupement Catholique et nationaliste lié aux Assomptioniste de La Croix) en 1900. Tous ses fils s'engageront : le frère aîné de François, Raymond (1875-1915), chef de bataillon, est tué pendant la Première Guerre Mondiale. Son frère cadet, Pierre de La Rocque (1880-1954), est conseiller du Comte de Paris : il connait la pensée des Princes et s'en inspire
https://forumarchedemarie.forumperso.com/t19095-reunion-de-cabinet-du-gouvernement-royaliste-provisoire-la-pensee-des-princes
Patriote et Catholique, La Rocque s'inscrit dans cette tradition Catholique et militaire, étayée par les enseignements de son père, le Général Raymond de La Rocque, en relation en son temps avec Albert de de Mun : dans sa Lettre à M. de Mun (1881), le Comte de Chambord avait expliqué aux Catholiques quels étaient leurs devoirs. Auparavant, le Prince avait exposé ses vues sur la décentralisation (Lettre sur la décentralisation du 14 novembre 1862), sur l'Algérie (Lettre sur l'Algérie, la décentralisation, l'enseignement du 30 janvier 1863). Bref, le Colonnel de La Rocque épouse la fille du général de La Füye, Royaliste elle ausi -leurs enfants seront eux aussi quasiment tous militaires- et décide de se consacrer à l’action politique : dans les Croix de Feu (de 1931 à 1936) et au sein du Parti Social Français (de 1936 à 1940).
Les Croix de Feux, d'abord.
L'association des Croix-de-Feu, ou Association des combattants de l'avant et des blessés de guerre cités pour action d'éclat (1927-1936), est à l'origine un mouvement d'anciens combattants Français de la Grande Guerre qui se transforme ensuite en organisation politique nationaliste. Elle est dirigée par le Colonel de La Rocque lui-même.
L'ambition politique de l'association prend de l'ampleur et se précise dans l'ouvrage de La Rocque, Service public, paru en novembre 1934. Il met en avant la nécessité de brasser les classes (fait constaté au sein des Croix-de-Feu) et de généraliser le modèle de coopération entre classes qui a prévalu durant la Grande Guerre. La pierre angulaire de la « mystique Croix-de-Feu » est donc la réforme, tant institutionnelle que sociale :
« profession organisée » de type corporatiste, inspirée du Royalisme Social de Firmin Bacconier, lui même figure du Catholicisme Social : coopération des industries par types d'activité, coopération entre patrons et travailleurs et réunion des travailleurs par branches :
association capital-travail ;
salaire minimum ;
congés payés ;
veille de la qualité des loisirs populaires ;
vote des femmes et vote familial ;
réforme des procédés de travail parlementaire.
Le programme politique et social du mouvement est défini à partir de 1931. Les Croix-de-Feu proposent la réforme la constitution de la IIIe République, notamment, dans l'attente du Roi, le renforcement du Présidentialisme et de la Défense Nationale face au « danger allemand » (articles de La Rocque dans la Revue hebdomadaire et la Revue de Paris) et le développement de la collaboration entre le capital et le travail.
Les Croix-de-Feu s'opposent ainsi à l'internationalisme du Parti Communiste et aux groupes d'extrême gauche, qui viennent fréquemment troubler les défilés. La Rocque est également le maître d'œuvre du développement organique de l'association et organise la propagande afin de privilégier les principes symbolisés par la fraternité combattante de ses membres (égalité, fidélité et respect) et transforme Le Flambeau, le mensuel du mouvement, en hebdomadaire.
Le 6 férvier 1934, pas de contacts avec les manifestants maurassiens, pas d'intention de forcer les portes du Palais Bourbon, le Colonnel François de La Rocque ayant été avertit que l'armée ne serait pas levée pour le Comte de Paris. L'AF criera à la trahison...
Joseph VOLTO (1884-1955), mon grand père, fut un humble membre des Croix de Feux...
L'association est dissoute en 1936 par le gouvernement du Front Populaire, puis remplacée par le Parti Social Français. Car La Rocque se lance dans la politique en fondant le Parti Social Français, à l'appui d'une plaquette diffusée à un million d'exemplaires et intitulée « Une mystique, un programme » avec comme mot d'ordre la consigne Royaliste de « réconcilier l'esprit social et le patriotisme » :
-le patriotisme n'étant pas le monopole de la droite et l'aspiration sociale n'étant pas davantage le monopole de la gauche.
Le programme du Parti Social Français ? Le patriotisme Catholique, la « participation et l'association du capital et du travail » et le vote des femmes. La Rocque a très tôt rejeté dans un refus commun les deux régimes, soviétique et nazi. « Notre idéal de liberté et de défense de la civilisation Chrétienne repousse également le joug hitlérien et la tyrannie moscovite », écrit-il en 1937-1938.
Sa devise, « Dieu, Travail, Famille, Patrie », sera reprise plus tard par le Maréchal Pétain qui ne lui demandera pas son avis et enlèvera « Dieu », laissant : « Travail, Famille, Patrie ». Dans son livre Service public, publié en 1934 chez Grasset, La Rocque préconise un régime respectueux de la Constitution -son aspiration Royaliste se veut par voie référendaire et non pas par le coup de force- mais rationalisé dans son parlementarisme. Le Colonel de La Rocque ne se compromettra pas avec le régime de Vichy...
Gilles Perrault, écrivain écrira :
-Il fut le premier à appeler à la résistance. C'est le titre de son éditorial dans Le Petit Journal, organe du Parti Social Français, qu'il préside : "Résistance". Le lendemain 17 juin, Pétain annoncera, le cœur brisé, qu'il va demander l'armistice. "Une seule consigne, quoi qu'il arrive, conclut La Rocque, consigne de gouvernement, consigne civique : RESISTANCE". Et, pour que les choses soient claires, pour qu'on comprenne bien que son exhortation ne concerne pas seulement une situation militaire catastrophique, Le Petit Journal du lendemain, 17 juin, s'ornera à droite du titre, du mot d'ordre : “RESISTER. Aujourd'hui. Demain. Toujours.”...
Pour défendre la mémoire du Colonel de La Roque, quelqu'un a rédigé un ouvrage : Didier Lecerf, préface de Francis Bergeron, François de La Rocque, des tranchées au Parti social français, (Synthèse Nationale, décembre 2022, 434 pages, 33,00 € (+ 6,00 € de port)).
La pensée et l'action du Colonnel de La Rocque, son sens du devoir, son patriotisme Catholique et son rejet du nazisme autant que du bolchévisme, demeurent un modèle et une inspiration pour l'action politique de notre Gouvernement Royalite Provisoire.
Nous voulons redonner à la France l'optimisme et la fierté qu'elle mérite. Parce qu'il y a des Français qui veulent croire, se battre à nos côtés, relever la tête, avancer et grandir. Et nous travaillons pour restaurer l'espoir, l'avenir et la vision de notre patrie bien-aimée.
Puisse Saint Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
___
Pour approfondire :
Pourquoi pas ?
https://donum.uliege.be/expo/pourquoipas/pdf/P1178C_1935-02-08.pdf
Résister avec Sainte Geneviève
https://www.youtube.com/watch?v=Su6Bbfa9Oig
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France.
Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
En même temps que nous déveleppons notre propagande pour créer un état d'esprit Royaliste qui permettra la Restauration, nous luttons chaque jour pour défendre l'intérêt national de la France.
Conclusion de la réunion de cabinet : ordre du jour, le Colonel de La Rocque.
Notre Cabinet est cellule de membres appartenant au Corps mystique du Royaume de France en survivance, qui s’est constituée dans l’espérance de la résurrection du Royaume de France : nous sommes des concervateurs Catholiques.
Il fut un homme politique contemporain qui rêva d'une société Catholique
https://forumarchedemarie.forumperso.com/t19026-conclusion-de-la-reunion-de-cabinet-vers-un-etat-catholique
François de La Rocque (1885-1946), un Aristocrate militaire, qui provenait d'un milieu dont la devise est SERVIR. Il servira, vingt-quatre ans durant, à travres une brillante carrière militaire et prendra part à plusieurs conflits de l’époque, dont la Première Guerre Mondiale, dans les tranchées. En 1920, il quitte l’armée, décoré et gravement blessé, avec le titre de Colonel.
Le grand père paternel du colonel de La Rocque était Royaliste parce que Catholique et Français et son père, ancien élève de l'Ecole Polytechnique, servit dans l'artillerie de marine et fut affecté à Lorient, et, promu général, fut directeur de l'artillerie au ministère de la Marine. Très vigilant sur le respect de ses compétences techniques par les politiques, il marqua une nette hostilité à son ministre Lockroy ce qui finit par le pousser à démissionner en 1899. Il devient alors président du Comité Justice-Égalité (groupement Catholique et nationaliste lié aux Assomptioniste de La Croix) en 1900. Tous ses fils s'engageront : le frère aîné de François, Raymond (1875-1915), chef de bataillon, est tué pendant la Première Guerre Mondiale. Son frère cadet, Pierre de La Rocque (1880-1954), est conseiller du Comte de Paris : il connait la pensée des Princes et s'en inspire
https://forumarchedemarie.forumperso.com/t19095-reunion-de-cabinet-du-gouvernement-royaliste-provisoire-la-pensee-des-princes
Patriote et Catholique, La Rocque s'inscrit dans cette tradition Catholique et militaire, étayée par les enseignements de son père, le Général Raymond de La Rocque, en relation en son temps avec Albert de de Mun : dans sa Lettre à M. de Mun (1881), le Comte de Chambord avait expliqué aux Catholiques quels étaient leurs devoirs. Auparavant, le Prince avait exposé ses vues sur la décentralisation (Lettre sur la décentralisation du 14 novembre 1862), sur l'Algérie (Lettre sur l'Algérie, la décentralisation, l'enseignement du 30 janvier 1863). Bref, le Colonnel de La Rocque épouse la fille du général de La Füye, Royaliste elle ausi -leurs enfants seront eux aussi quasiment tous militaires- et décide de se consacrer à l’action politique : dans les Croix de Feu (de 1931 à 1936) et au sein du Parti Social Français (de 1936 à 1940).
Les Croix de Feux, d'abord.
L'association des Croix-de-Feu, ou Association des combattants de l'avant et des blessés de guerre cités pour action d'éclat (1927-1936), est à l'origine un mouvement d'anciens combattants Français de la Grande Guerre qui se transforme ensuite en organisation politique nationaliste. Elle est dirigée par le Colonel de La Rocque lui-même.
L'ambition politique de l'association prend de l'ampleur et se précise dans l'ouvrage de La Rocque, Service public, paru en novembre 1934. Il met en avant la nécessité de brasser les classes (fait constaté au sein des Croix-de-Feu) et de généraliser le modèle de coopération entre classes qui a prévalu durant la Grande Guerre. La pierre angulaire de la « mystique Croix-de-Feu » est donc la réforme, tant institutionnelle que sociale :
« profession organisée » de type corporatiste, inspirée du Royalisme Social de Firmin Bacconier, lui même figure du Catholicisme Social : coopération des industries par types d'activité, coopération entre patrons et travailleurs et réunion des travailleurs par branches :
association capital-travail ;
salaire minimum ;
congés payés ;
veille de la qualité des loisirs populaires ;
vote des femmes et vote familial ;
réforme des procédés de travail parlementaire.
Le programme politique et social du mouvement est défini à partir de 1931. Les Croix-de-Feu proposent la réforme la constitution de la IIIe République, notamment, dans l'attente du Roi, le renforcement du Présidentialisme et de la Défense Nationale face au « danger allemand » (articles de La Rocque dans la Revue hebdomadaire et la Revue de Paris) et le développement de la collaboration entre le capital et le travail.
Les Croix-de-Feu s'opposent ainsi à l'internationalisme du Parti Communiste et aux groupes d'extrême gauche, qui viennent fréquemment troubler les défilés. La Rocque est également le maître d'œuvre du développement organique de l'association et organise la propagande afin de privilégier les principes symbolisés par la fraternité combattante de ses membres (égalité, fidélité et respect) et transforme Le Flambeau, le mensuel du mouvement, en hebdomadaire.
Le 6 férvier 1934, pas de contacts avec les manifestants maurassiens, pas d'intention de forcer les portes du Palais Bourbon, le Colonnel François de La Rocque ayant été avertit que l'armée ne serait pas levée pour le Comte de Paris. L'AF criera à la trahison...
Joseph VOLTO (1884-1955), mon grand père, fut un humble membre des Croix de Feux...
L'association est dissoute en 1936 par le gouvernement du Front Populaire, puis remplacée par le Parti Social Français. Car La Rocque se lance dans la politique en fondant le Parti Social Français, à l'appui d'une plaquette diffusée à un million d'exemplaires et intitulée « Une mystique, un programme » avec comme mot d'ordre la consigne Royaliste de « réconcilier l'esprit social et le patriotisme » :
-le patriotisme n'étant pas le monopole de la droite et l'aspiration sociale n'étant pas davantage le monopole de la gauche.
Le programme du Parti Social Français ? Le patriotisme Catholique, la « participation et l'association du capital et du travail » et le vote des femmes. La Rocque a très tôt rejeté dans un refus commun les deux régimes, soviétique et nazi. « Notre idéal de liberté et de défense de la civilisation Chrétienne repousse également le joug hitlérien et la tyrannie moscovite », écrit-il en 1937-1938.
Sa devise, « Dieu, Travail, Famille, Patrie », sera reprise plus tard par le Maréchal Pétain qui ne lui demandera pas son avis et enlèvera « Dieu », laissant : « Travail, Famille, Patrie ». Dans son livre Service public, publié en 1934 chez Grasset, La Rocque préconise un régime respectueux de la Constitution -son aspiration Royaliste se veut par voie référendaire et non pas par le coup de force- mais rationalisé dans son parlementarisme. Le Colonel de La Rocque ne se compromettra pas avec le régime de Vichy...
Gilles Perrault, écrivain écrira :
-Il fut le premier à appeler à la résistance. C'est le titre de son éditorial dans Le Petit Journal, organe du Parti Social Français, qu'il préside : "Résistance". Le lendemain 17 juin, Pétain annoncera, le cœur brisé, qu'il va demander l'armistice. "Une seule consigne, quoi qu'il arrive, conclut La Rocque, consigne de gouvernement, consigne civique : RESISTANCE". Et, pour que les choses soient claires, pour qu'on comprenne bien que son exhortation ne concerne pas seulement une situation militaire catastrophique, Le Petit Journal du lendemain, 17 juin, s'ornera à droite du titre, du mot d'ordre : “RESISTER. Aujourd'hui. Demain. Toujours.”...
Pour défendre la mémoire du Colonel de La Roque, quelqu'un a rédigé un ouvrage : Didier Lecerf, préface de Francis Bergeron, François de La Rocque, des tranchées au Parti social français, (Synthèse Nationale, décembre 2022, 434 pages, 33,00 € (+ 6,00 € de port)).
La pensée et l'action du Colonnel de La Rocque, son sens du devoir, son patriotisme Catholique et son rejet du nazisme autant que du bolchévisme, demeurent un modèle et une inspiration pour l'action politique de notre Gouvernement Royalite Provisoire.
Nous voulons redonner à la France l'optimisme et la fierté qu'elle mérite. Parce qu'il y a des Français qui veulent croire, se battre à nos côtés, relever la tête, avancer et grandir. Et nous travaillons pour restaurer l'espoir, l'avenir et la vision de notre patrie bien-aimée.
Puisse Saint Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
___
Pour approfondire :
Pourquoi pas ?
https://donum.uliege.be/expo/pourquoipas/pdf/P1178C_1935-02-08.pdf
Résister avec Sainte Geneviève
https://www.youtube.com/watch?v=Su6Bbfa9Oig
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Re: COMTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : COLONNEL DE LA ROQUES, DES CROIX DE FEUX AU PARTI SOCIAL FRANCAIS
par Hervé J. VOLTO Lun 27 Fév 2023 - 9:54
Ni gauche, ni droite : Royalistes !
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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