DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LA REVOLUTION FRANCAISE
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DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LA REVOLUTION FRANCAISE
DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA REVOLUTION FRANCAISE
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 60.
Point 60. La Révolution Française.
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1. Les origines de notre système politique contemporain sont rationalistes et maçonniques. Elles remontent à la guerre d’Indépendance américaine, que suivit la Révolution Française : l’arrachement de la France à l’Église et à sa Monarchie, et son allégeance à un État républicain, laïque et libertaire. Au dix-huitième siècle, les « philosophes des Lumières » et les « sociétés de pensée » travaillèrent à émanciper le peuple Français de l’Église à laquelle il était profondément attaché. Mais ils se heurtaient à l’obstacle formidable de la KMonarchie Très Chrétienne qui leur fit barrage en interdisant la franc-maçonnerie (1737). Renonçant à la gagner et à la dominer, ils se jurèrent de renverser ce pouvoir où Dieu et le Roi ont partie liée. Avec l’aide de l’étranger, de l’Anglais ennemi, un complot antichrétien, antifrançais, s’organisa pour exacerber les mécontentements, susciter des troubles dans le Royaume, soudoyer des agitateurs à Paris, déclencher enfin la Révolution, dont le 14 juillet 1789 reste la journée emblématique. Mais le mal était déjà fait à l’ouverture des états généraux, et consommé quand Louis XVI accepta de considérer le peuple comme souverain, le 17 juin 1789.
Le but fut atteint le jour où la Convention prononça la déchéance du Roi Louis XVI, le 21 septembre 1792, ordonna l’ouverture de son procès et enfin le conduisit à la guillotine. Ce martyre, voulu par les loges en haine de la Foi, décrété au nom du peuple Français, brisa l’alliance millénaire de la nation avec son Roi et, plus haut que lui, avec « Jésus-Christ, qui est vrai Roi de France » (sainte Jeanne d’Arc). C’était le 21 janvier 1793, et le crime déicide en sera renouvelé le 29 juillet 1830, lorsque Charles X, le dernier de nos Rois Sacrés à Reims, fut contraint d’abdiquer.
2. Tous les pères de famille, tous les patrons, furent ce jour-là guillotinés en effigie, car le Roi était leur vivante image et le garant de leur autorité naturelle. Dieu est détrôné avec le Roi. La déesse Raison est adorée siégeant sur l’autel de la cathédrale de Paris ; elle représente l’homme qui se fait dieu comme déjà il s’est fait Roi. La République proclame la souveraineté du peuple et l’instaure dans le sang de la Famille Royale, des prêtres, des Nobles et d’innombrables gens du peuple, bons Catholiques ou simples mécontents. Déjà, quelles hécatombes au nom de la Liberté ! La Terreur, qui présage les horreurs à venir des États totalitaires modernes, a commencé avec le régicide du 21 janvier 1793.
3. Tel est le mythe fondateur de la République Française et de toutes les républiques maçonniques qui dans le monde, la devançant ou la suivant, en adoptent les principes : sorti de l’esclavage des prêtres et des nobles, du pape et des rois, enfin le peuple décide de se gouverner lui-même.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il se rapelle que le Roi était le protecteur de la Foi Catholique et de l'Eglise Romaine. Il sait que la Révolution a arraché la France à sa Foi et sa Royauté. DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE, IL est de première nécessité pour le Soldat de la Croix, Royaliste parce que Catholique et Français, de bien connaître la pensée révolutionaires et de s'y opposer.
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 60.
Point 60. La Révolution Française.
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1. Les origines de notre système politique contemporain sont rationalistes et maçonniques. Elles remontent à la guerre d’Indépendance américaine, que suivit la Révolution Française : l’arrachement de la France à l’Église et à sa Monarchie, et son allégeance à un État républicain, laïque et libertaire. Au dix-huitième siècle, les « philosophes des Lumières » et les « sociétés de pensée » travaillèrent à émanciper le peuple Français de l’Église à laquelle il était profondément attaché. Mais ils se heurtaient à l’obstacle formidable de la KMonarchie Très Chrétienne qui leur fit barrage en interdisant la franc-maçonnerie (1737). Renonçant à la gagner et à la dominer, ils se jurèrent de renverser ce pouvoir où Dieu et le Roi ont partie liée. Avec l’aide de l’étranger, de l’Anglais ennemi, un complot antichrétien, antifrançais, s’organisa pour exacerber les mécontentements, susciter des troubles dans le Royaume, soudoyer des agitateurs à Paris, déclencher enfin la Révolution, dont le 14 juillet 1789 reste la journée emblématique. Mais le mal était déjà fait à l’ouverture des états généraux, et consommé quand Louis XVI accepta de considérer le peuple comme souverain, le 17 juin 1789.
Le but fut atteint le jour où la Convention prononça la déchéance du Roi Louis XVI, le 21 septembre 1792, ordonna l’ouverture de son procès et enfin le conduisit à la guillotine. Ce martyre, voulu par les loges en haine de la Foi, décrété au nom du peuple Français, brisa l’alliance millénaire de la nation avec son Roi et, plus haut que lui, avec « Jésus-Christ, qui est vrai Roi de France » (sainte Jeanne d’Arc). C’était le 21 janvier 1793, et le crime déicide en sera renouvelé le 29 juillet 1830, lorsque Charles X, le dernier de nos Rois Sacrés à Reims, fut contraint d’abdiquer.
2. Tous les pères de famille, tous les patrons, furent ce jour-là guillotinés en effigie, car le Roi était leur vivante image et le garant de leur autorité naturelle. Dieu est détrôné avec le Roi. La déesse Raison est adorée siégeant sur l’autel de la cathédrale de Paris ; elle représente l’homme qui se fait dieu comme déjà il s’est fait Roi. La République proclame la souveraineté du peuple et l’instaure dans le sang de la Famille Royale, des prêtres, des Nobles et d’innombrables gens du peuple, bons Catholiques ou simples mécontents. Déjà, quelles hécatombes au nom de la Liberté ! La Terreur, qui présage les horreurs à venir des États totalitaires modernes, a commencé avec le régicide du 21 janvier 1793.
3. Tel est le mythe fondateur de la République Française et de toutes les républiques maçonniques qui dans le monde, la devançant ou la suivant, en adoptent les principes : sorti de l’esclavage des prêtres et des nobles, du pape et des rois, enfin le peuple décide de se gouverner lui-même.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il se rapelle que le Roi était le protecteur de la Foi Catholique et de l'Eglise Romaine. Il sait que la Révolution a arraché la France à sa Foi et sa Royauté. DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE, IL est de première nécessité pour le Soldat de la Croix, Royaliste parce que Catholique et Français, de bien connaître la pensée révolutionaires et de s'y opposer.
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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