DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGISME - C'EST LE CRIME DES GENS D'EGLISE
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DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGISME - C'EST LE CRIME DES GENS D'EGLISE
DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : C'EST LE CRIME DES GENS D'EGLISE
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 72.
Point 72. C’est le crime des gens d’Église.
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La révolution est un fléau. La dictature césarienne la consolide. Mais la religion démocratique l’éternise. À travers toutes les guerres, les anarchies, les tyrannies, les chutes et les relèvements spectaculaires des peuples, l’idée démocratique les ramène ou les retient dans la servitude des pires oligarchies, et par là les conduit à de nouvelles catastrophes.
1. Mais pourquoi les peuples y tiennent-ils donc ? Parce que les gens d’Église les y ont enchaînés. Ce fut le compromis du sulpicien Émery avec Napoléon, qui aboutit au Concordat de 1801 et à ses Articles organiques, asservissant l’Église au pouvoir totalitaire. Ce furent les enthousiasmes de Lamennais, Lacordaire, Montalembert, rêvant de marier Dieu et la Liberté, l’Église et la Révolution, et réclamant « l’Église libre dans l’État libre », c’est-à-dire l’État sans Dieu, l’État démocratique (1830-1870). Ce fut Léon XIII imposant aux légitimistes le « Ralliement » à la République juive, maçonnique, anticléricale, antinationale, antisociale, acceptant l’idée de « démocratie » sociale, ouvrant la voie aux abbés démocrates et au Sillon de Marc Sangnier qui allaient prêcher une démocratie intégrale, politique et religieuse, à l’encontre des condamnations lumineuses de saint Pie X (1910).
Ce fut Pie XI sauvant la République laïque aux abois en excommuniant scandaleusement les Catholiques d’Action Française pour crime de Royalisme (1926). Ce fut l’épiscopat français se ruant à la servitude du tripartisme de guerre civile et reniant la fidélité jurée au maréchal Pétain pour retourner à ses enthousiasmes démocratiques en 1944. Ce fut Paul VI proclamant et célébrant le culte de l’homme dans l’aula de Saint-Pierre, à Rome, le 7 décembre 1965.
Ce fut encore Jean-Paul II semant la révolution partout où le menèrent ses voyages apostoliques, en élevant la défense de la dignité de tout homme au rang de premier commandement de ce culte de l’homme.
C’est enfin Benoît XVI dont « l’herméneutique de la continuité » prétend concilier Lumières des philosophes et vérités de la foi réduites à des valeurs évangéliques.
2. Une science politique qui tirerait les leçons de l’expérience passée suffirait cent fois aux nations pour abjurer les dogmes insensés et cruels de la démocratie, au moins quand les frappe le malheur qui en découle. Les nations sortiraient de ce cycle infernal si l’Église leur rappelait que la légitimité et l’action politiques ne sauraient venir d’en bas ni de la multitude anarchique, mais qu’elles viennent de Dieu, qu’elles s’exercent au seul nom du Christ et de sa Divine Mère, Médiatrice de la plénitude de l’Esprit-Saint par l’établissement dans le monde de la dévotion à son Cœur Immaculé qui est source de l’extension de la Chrétienté.
Mais non ! Avides de plaire au peuple en exaltant la liberté, aux individus en leur prêchant leurs droits plutôt que leurs devoirs, plus encore avides de plaire aux riches et aux puissants, les gens d’Église n’ont plus osé lutter pour Dieu et par Marie contre la Révolution. Et de compromis en trahison, ils ont enfin partie liée avec la démocratie, se faisant inconsidérément, scandaleusement, ennemis de la gloire de Dieu et du salut de leurs frères !
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Si le Royalisme politique s'est endormi au moment du ralliement, il renaîtra en redevenant un mouvement Catholique. Il est de première nécessité pour le Phalangiste, de prier et agir pour éloigner la foi Catholique de la démocratie et engager une action Catholique, Royaliste et communautaire qui ramènera la Royauté Très Chrétienne au pouvoir : En soustrayant la désignation de l’autorité au choix humain, la Royauté héréditaire épargne au peuple les luttes des factions, des partis pour la conquête du pouvoir et peut assurer le Bien Commun des Français et la pérénité de la France et de sa vocation Catholique. Pour celà, nous pouvons dire que le Phalengiste, parce que Catholique et Français, sera Royaliste. Et le Soldat de la Croix, bon Phalangiste, annoncera, voire préparera, le retour du Roi Très Chrétien promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque, qui viendra sauver la France et la Chrétienté en incarnant une France Très Chrétienne, libre, indépendante et rayonnante.
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 72.
Point 72. C’est le crime des gens d’Église.
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La révolution est un fléau. La dictature césarienne la consolide. Mais la religion démocratique l’éternise. À travers toutes les guerres, les anarchies, les tyrannies, les chutes et les relèvements spectaculaires des peuples, l’idée démocratique les ramène ou les retient dans la servitude des pires oligarchies, et par là les conduit à de nouvelles catastrophes.
1. Mais pourquoi les peuples y tiennent-ils donc ? Parce que les gens d’Église les y ont enchaînés. Ce fut le compromis du sulpicien Émery avec Napoléon, qui aboutit au Concordat de 1801 et à ses Articles organiques, asservissant l’Église au pouvoir totalitaire. Ce furent les enthousiasmes de Lamennais, Lacordaire, Montalembert, rêvant de marier Dieu et la Liberté, l’Église et la Révolution, et réclamant « l’Église libre dans l’État libre », c’est-à-dire l’État sans Dieu, l’État démocratique (1830-1870). Ce fut Léon XIII imposant aux légitimistes le « Ralliement » à la République juive, maçonnique, anticléricale, antinationale, antisociale, acceptant l’idée de « démocratie » sociale, ouvrant la voie aux abbés démocrates et au Sillon de Marc Sangnier qui allaient prêcher une démocratie intégrale, politique et religieuse, à l’encontre des condamnations lumineuses de saint Pie X (1910).
Ce fut Pie XI sauvant la République laïque aux abois en excommuniant scandaleusement les Catholiques d’Action Française pour crime de Royalisme (1926). Ce fut l’épiscopat français se ruant à la servitude du tripartisme de guerre civile et reniant la fidélité jurée au maréchal Pétain pour retourner à ses enthousiasmes démocratiques en 1944. Ce fut Paul VI proclamant et célébrant le culte de l’homme dans l’aula de Saint-Pierre, à Rome, le 7 décembre 1965.
Ce fut encore Jean-Paul II semant la révolution partout où le menèrent ses voyages apostoliques, en élevant la défense de la dignité de tout homme au rang de premier commandement de ce culte de l’homme.
C’est enfin Benoît XVI dont « l’herméneutique de la continuité » prétend concilier Lumières des philosophes et vérités de la foi réduites à des valeurs évangéliques.
2. Une science politique qui tirerait les leçons de l’expérience passée suffirait cent fois aux nations pour abjurer les dogmes insensés et cruels de la démocratie, au moins quand les frappe le malheur qui en découle. Les nations sortiraient de ce cycle infernal si l’Église leur rappelait que la légitimité et l’action politiques ne sauraient venir d’en bas ni de la multitude anarchique, mais qu’elles viennent de Dieu, qu’elles s’exercent au seul nom du Christ et de sa Divine Mère, Médiatrice de la plénitude de l’Esprit-Saint par l’établissement dans le monde de la dévotion à son Cœur Immaculé qui est source de l’extension de la Chrétienté.
Mais non ! Avides de plaire au peuple en exaltant la liberté, aux individus en leur prêchant leurs droits plutôt que leurs devoirs, plus encore avides de plaire aux riches et aux puissants, les gens d’Église n’ont plus osé lutter pour Dieu et par Marie contre la Révolution. Et de compromis en trahison, ils ont enfin partie liée avec la démocratie, se faisant inconsidérément, scandaleusement, ennemis de la gloire de Dieu et du salut de leurs frères !
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Si le Royalisme politique s'est endormi au moment du ralliement, il renaîtra en redevenant un mouvement Catholique. Il est de première nécessité pour le Phalangiste, de prier et agir pour éloigner la foi Catholique de la démocratie et engager une action Catholique, Royaliste et communautaire qui ramènera la Royauté Très Chrétienne au pouvoir : En soustrayant la désignation de l’autorité au choix humain, la Royauté héréditaire épargne au peuple les luttes des factions, des partis pour la conquête du pouvoir et peut assurer le Bien Commun des Français et la pérénité de la France et de sa vocation Catholique. Pour celà, nous pouvons dire que le Phalengiste, parce que Catholique et Français, sera Royaliste. Et le Soldat de la Croix, bon Phalangiste, annoncera, voire préparera, le retour du Roi Très Chrétien promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque, qui viendra sauver la France et la Chrétienté en incarnant une France Très Chrétienne, libre, indépendante et rayonnante.
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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