PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
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PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
Les prophéties sur la France
Les 3 jours de ténèbres (le grand coup) Cela vaut pour la terre entière.
<< Explications et précautions à prendre absolument quand ces 3 jours de ténèbres viendront pour ne pas périr avec les méchants. >>
De Sainte Anna-Maria Taïgi
(1837)
Dieu enverra un double châtiment : l'un part de la terre, à savoir des guerres, des révolutions et d’autres maux ; l'autre part du ciel, à savoir une obscurité épaisse. Celle-ci empêchera de voir quoique ce soit. Cette obscurité sera accompagnée d’une infection dans l’air, ce qui fera périr non exclusivement, du moins principalement les ennemis de la religion. Des ténèbres pestilentielles peuplées de visions effroyables, envelopperont la terre pendant trois jours. L’air sera alors empesté par les démons qui apparaîtront sous toutes sortes de formes hideuses. Tant que durera l’obscurité, il sera impossible de faire de la lumière. Seuls, les cierges bénits préserveront de la mort, ainsi que les prières à la Sainte Vierge et aux saints Anges. Quiconque ouvrira la fenêtre par curiosité et regardera dehors ou bien sortira de sa maison, tombera aussitôt raide mort. En ces jours-là, tous doivent rester chez eux, réciter le rosaire et implorer la miséricorde divine. Tous les ennemis de l’Église, cachés ou apparents, périront pendant les ténèbres, à l’exception de quelques-uns que Dieu convertira bientôt après. Le fléau de la terre a pu être mitigé par les prières, mais non celui du ciel, qui sera épouvantable et universel.
Après les ténèbres, saint Pierre et saint Paul descendront des cieux, prêcheront dans tout l’univers et désigneront le Pape ; une grande lumière, jaillissant de leurs personnes, ira se déposer sur le futur pape.
Saint Michel Archange, paraissant sur la terre sous forme humaine, tiendra les démons enchaînés jusqu’à l’époque de la prédication de l’Antéchrist.
Le Pontife choisi selon le cœur de Dieu, sera assisté par Lui de lumières toutes spéciales. Son nom sera vénéré dans le monde et applaudi par tous les peuples. Il est le Pontife saint, destiné à soutenir la tempête. Le bras de Dieu le soutiendra et le défendra contre les impies, lesquels seront humiliés et confondus. Il aura à la fin le don des miracles.
Des nations entières reviendront à l’unité de la foi et la face de la terre sera renouvelée.
En ces temps-là, la religion chrétienne se répandra partout et il n’y aura plus qu’un Pasteur. La Russie et l’Angleterre se soumettront, la Chine se convertira. Fin.
<< Précisions, donc il vous faut un ou des cierges bénis par un prêtre qui puissent durer au moins 4 jours, de vrais cierges fait avec de la cire d'abeilles, non ceux de paraffine(moins nobles), quand les ténèbres commenceront, s'enfermer dans un local, voiler toutes les fenêtres et portes pour ne surtout pas voir à l'extérieur et ne jamais regarder, ne jamais ouvrir la porte même si une personne connue appelle car les démons savent imiter les voix de personnes que vous connaissez. Prier sans arrêt le Rosaire et attendre avec confiance et foi que tout soit terminé. >>
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Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
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Re: PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
<< Le classement des prophéties est par ordre alphabétique du nom de famille ou de lieu. >>
Ange Saint
(1225)
Saint Ange est né à Jérusalem, sans doute dans une famille de juifs palestiniens convertis. A l’âge de dix-huit ans, il est accueilli par les carmes de Palestine où il fait profession religieuse sur ce Mont-Carmel sanctifié par le Prophète Élie. Devenu prêtre, il est envoyé à Rome pour défendre les intérêts de son Ordre et obtenir la confirmation de la Règle de son Ordre. Puis il est envoyé en Sicile pour évangéliser les cathares et c'est un jour qu'il prêchait à l'église saint Jacques de Licata en Sicile qu'il fut tué, en 1225, de cinq coups d'épée par un seigneur incestueux dont il avait converti la complice. Il fut favorisé de nombreux miracles, en arrêtant le cours du Jourdain, ou en rencontrant le Christ qui le conduisit en Sicile vers son martyre.
Saint Ange demanda à Jésus quand il délivrerait Jérusalem du joug des Musulmans. Jésus lui répondit :
« Un roi s'élèvera finalement de l'antique race des Rois de France, d'une insigne piété envers Dieu.
Il sera honoré par les princes chrétiens, et dévoué à la foi orthodoxe(foi catholique traditionnelle, anti-moderniste) ; il sera aimé d'eux et sa puissance s'étendra au loin sur la terre et sur la mer.
Alors l'Église étant comme retirée d'une certaine destruction, ce roi s'unira au Pontife romain et le soutiendra.
L'erreur sera détruite parmi les chrétiens.
L'Église sera rendue à l'état que les bons ont choisi pour elle.
Il enverra une armée à laquelle s'uniront spontanément de nombreux guerriers, s'élançant au combat pour l'amour de Mon Nom ; et l'amour de la Croix, qui les transportera leur obtiendra des trophées, dont l’éclat s'élèvera jusqu'au ciel.
Le Monarque équipant bientôt une flotte, passera les mers, et rendra à l'Église les contrées perdues par elle. Il délivrera Jérusalem... »
Ayant ainsi parlé, Jésus disparut aux yeux de St Ange dans une nuée éblouissante
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Ars Curé d', saint
(1859)
Jean-Baptiste-Marie Vianney, le saint curé d'Ars, naquit en 1786 et mourut en 1859. Il prononça des paroles prophétiques qui ont été recueillis.
Jean-Baptiste-Marie Vianney a annoncé la reconstruction de la chapelle de Notre Dame de Fourvière sur un plan et des proportions plus dignes de ce célèbre pèlerinage, en disant que cette reconstitution aura lieu à la suite de grandes calamités qui surviendront dans le pays.
Je suis sûr que l’Église d’Angleterre reprendra son ancienne splendeur.
On voudra me canoniser, on n’en aura pas le temps (en 1914).
La Salette fera de plus en plus de bien. Ce sera toujours de mieux en mieux, et dans tout l’univers.
En ce temps-là, les français seront divisés en deux partis, l’un contre l’autre.
On ne se convertira pas, on sera châtiés (en 1870), mais on ne se convertira pas, et alors, il y aura un intervalle ; et alors, ils reviendront (1914).
Ils demanderont davantage ou bien quelque chose, et ils reviendront…
Les ennemis ne s’en iront pas tout à fait, ils reviendront encore et ils détruiront tout sur leur passage ; on ne leur résistera pas (1939).
Il périra beaucoup de monde, plus que la première fois (en 1870), parce qu’on ne se sera converti.
Et il y aura beaucoup de maisons détruites.
On détruira, on détruira. Il y aura bien des bons qui périront. Mais, ceux-là, comme ils seront heureux, oh ! Comme ils seront heureux !
La grosse affaire n’est pas passée. Paris sera démoli et brûlé tout de bon. Pas tout entier cependant.
Mais il va y avoir une limite que la destruction ne franchira pas.
La Maison (des Frères de la Doctrine Chrétienne) ne sera pas démolie, quoi qu’elle doive se trouver sur le chemin de la destruction.
Paris sera changé, et aussi, deux ou trois autres villes.
Mais, il va y avoir de bien plus terribles choses que celles que nous avons vues.
Les ennemis laisseront brûler Paris et ils en seront contents.
Les communistes de Paris, après leurs défaites, se répandront dans toute la France et se multiplieront beaucoup ; ils opprimeront les gens d’ordre ; enfin la guerre civile éclatera partout.
Les méchants se rendront maîtres dans le Nord, l’Est et le Sud-ouest ; ils feront beaucoup de meurtres.
Ils voudront même faire périr tous les prêtres et tous les religieux.
Ce ne sera pas long.
On croira que tout est perdu et le Bon Dieu sauvera tout. Ce sera un signe du jugement dernier.
Après cette affaire, ce grand coup, les choses marcheront bien.
Dieu alors viendra en aide, les bons triompheront, lorsqu’on annoncera le retour du Grand Roi. Celui-ci rétablira une paix et une prospérité sans égales. La religion refleurira plus que jamais.
Ils arriveront près de Poitiers sans trouver de résistance ; mais là, ils seront écrasés par les défenseurs de l’Ouest qui les poursuivront.
On les battra, on les chassera pour tout de bon.
La première fois, ils (nos soldats) ne se seront pas bien battus ; mais cette fois, ils se battront, oh ! comme ils se battront !
Après cela, on leur coupera les vivres et on leur fera éprouver de grandes pertes.
Ils se retireront dans leur pays ; on les accompagnera et il n’y en aura guère qui rentreront ; alors on leur reprendra tout ce qu’ils oint enlevé et même beaucoup plus.
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Béméchobus
(0450)
Béméchobus, évêque martyr. Cette prophétie fut traduite de l’hébreu et du grec en latin par les soins de Béméchobus, qui, au rapport de saint Jérôme, fut Évêque de Patare en Lycie. Cette ville dépend du pachalik d’Adana, en Turquie d’Asie.
Toute la terre sera livrée aux enfants d’Ismaël, qui promèneront à leur suite la dissolution. C’est pourquoi le Seigneur a appelé Ismaël leur père, instrument de guerre ; et beaucoup de cités seront désolées, car les fils du désert viendront, et ce ne sont pas des hommes, mais des êtres odieux aux hommes.
On les verra passer au fil de l’épée même les femmes enceintes, et immoler les prêtres dans le sanctuaire. Ils profaneront les églises… Ils se revêtiront, eux et leurs épouses, des vêtements sacrés. Ils attacheront leurs chevaux à la tombe des fidèles comme après un arbre. Ce sera parmi les Chrétiens qui habitent la terre une tribulation générale.
C'est alors qu'on distinguera parfaitement ceux qui croiront fermement au Seigneur. Car le Seigneur n'enverra pas ces tribulations aux Chrétiens pour faire périr les justes et les croyants ; mais afin de voir sûrement les croyants les plus fidèles, car la vérité l'a dit elle-même : vous serez heureux lorsqu'on vous persécutera à cause de mon nom ; et en effet les Prophètes qui nous ont précédés ont été de même persécutés, or quiconque persévérera jusqu'à la fin sera sauvé.
Mais, après ces jours de tribulations, quand les fils d'Ismaël, vêtus d'habits resplendissants de pourpre et d'or, et comme des fiancés, se glorifieront de leurs victoires obtenues, de toutes parts, sur les Chrétiens qui n'auront pu se soustraire à leurs bras, et diront : voilà que dans notre force nous avons vaincu la terre et tous ceux qui l'habitent, alors le Seigneur Dieu se rappellera dans sa miséricorde, sa promesse à ceux qui l'adorent, à ceux qui croiront au Christ, et il les délivrera du joug des Sarrasins.
Il surgira de la Gaule un peuple de Chrétiens qui leur livrera bataille, les percera avec le glaive, emmènera leurs femmes captives, et massacrera leurs enfants. À leur tour les fils d'Ismaël rencontreront et le glaive et la tribulation. Et le Seigneur leur rendra le mal qu'ils auront fait, dans une proportion sept fois plus grande. Le Seigneur les livrera au bras des Chrétiens dont l'empire sera élevé au-dessus de tous les empires. Le joug que les Chrétiens leur imposeront sera dur, et ceux qui resteront seront esclaves. La terre, naguère désolée par eux, sera alors pacifiée. Les prisonniers qu'ils avaient faits reverront leur patrie, et la population croîtra et se multipliera.
Le roi des Romains montrera une grande indignation contre ceux qui auront renié le Christ en Égypte ou en Arabie. La paix et la tranquillité renaîtront sur la terre, paix comme il n'y en aura jamais eu, comme il n'y en aura jamais : le bonheur et l'allégresse seront partout. Le monde se reposera de ses tribulations. Ce sera là la paix dont l'Apôtre a dit : Lorsque la tranquillité sera faite, il y aura une mortalité soudaine ; les hommes seront comme ils étaient aux jours de Noé, mangeant et buvant, et faisant des fiançailles ; la crainte sera bannie de leurs cœurs.
Au milieu de ce calme, il sortira tout à coup du Nord, avec Gog et Magog, une nation qui fera trembler tout l'univers. Tous les hommes épouvantés se cacheront dans les monts, dans les rochers pour fuir leur présence. Ils ne sont pas de la race de Japhet.
Fléau du Nord, ils dévoreront la chair humaine et les serpents, les femmes et les petits enfants. Nul ne pourra leur tenir tête.
Sept ans après, quand ils auront pris la ville de Josèphe, le Seigneur enverra contre eux un de ses princes, et, dans un seul moment, les frappera du feu de la foudre : l'empereur de Grèce viendra et régnera à Jérusalem sept années. C'est alors qu'apparaîtra l'enfant de la perdition, l'Antéchrist. Il naîtra dans Lorozaïn, sera élevé à Bethsaïda, et régnera à Capharnaüm, comme le Seigneur l'a dit dans l’Évangile : malheur à toi, Lorozaïn ; malheur à toi, Bethzaïda ; malheur à toi, Capharnaüm, si ton exaltation monte jusqu'au ciel, car tu descendras jusqu'à l'enfer. Ensuite le roi des Romains et des Grecs montera à Golgotha où le Seigneur a daigné souffrir pour nous le supplice de la croix. Le roi des Romains ôtera sa couronne, puis la posera sur la tête du Christ, élèvera ses mains au ciel, et rendra son âme au Seigneur, le Roi des Chrétiens ; alors paraîtra dans le ciel le signe de la Croix ; l'Enfant de perdition viendra à son tour, pensant qu'il est Dieu. Il fera sur la terre mille prodiges. Par lui les aveugles verront, les boiteux marcheront, les sourds entendront, les morts ressusciteront, tellement que, s'il était possible, les élus eux-mêmes y seraient trompés. Il entrera à Jérusalem et s'assiéra clans le temple, comme s'il était le Fils de Dieu, et son cœur enivré d'orgueil, oubliera qu'il est fils d'un homme et d'une femme de la tribu de Dan ; trompeur et faux, il séduira par ses prestiges beaucoup de crédules. Alors Dieu enverra deux de ses plus fidèles serviteurs, Hénoch et Élie, conservés pour lui servir en témoignage contre son ennemi. Alors, seront les derniers, les premiers qui croiront à Juda. Élie et Hénoch l'attaqueront, à la face de tout le peuple, et le convaincront d'imposture et de fausseté.
Les Juifs alors, de toutes les tribus d'Israël croiront et seront tués pour le Christ. L'Antéchrist, saisi de rage, ordonnera la mort des Saints de Dieu, et de ceux qui auront ajouté foi à leurs paroles. Alors viendra le Fils de Dieu en personne. Notre Seigneur Jésus-Christ, porté sur les nuages célestes, environné de légions d'anges et de gloire divine ; aussitôt ils mettront à mort l'Antéchrist, la bête, l'ennemi, le séducteur et ceux qui lui auront prêté leur appui. Ici ce sera la consommation des temps, et le Jugement commencera.
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Ange Saint
(1225)
Saint Ange est né à Jérusalem, sans doute dans une famille de juifs palestiniens convertis. A l’âge de dix-huit ans, il est accueilli par les carmes de Palestine où il fait profession religieuse sur ce Mont-Carmel sanctifié par le Prophète Élie. Devenu prêtre, il est envoyé à Rome pour défendre les intérêts de son Ordre et obtenir la confirmation de la Règle de son Ordre. Puis il est envoyé en Sicile pour évangéliser les cathares et c'est un jour qu'il prêchait à l'église saint Jacques de Licata en Sicile qu'il fut tué, en 1225, de cinq coups d'épée par un seigneur incestueux dont il avait converti la complice. Il fut favorisé de nombreux miracles, en arrêtant le cours du Jourdain, ou en rencontrant le Christ qui le conduisit en Sicile vers son martyre.
Saint Ange demanda à Jésus quand il délivrerait Jérusalem du joug des Musulmans. Jésus lui répondit :
« Un roi s'élèvera finalement de l'antique race des Rois de France, d'une insigne piété envers Dieu.
Il sera honoré par les princes chrétiens, et dévoué à la foi orthodoxe(foi catholique traditionnelle, anti-moderniste) ; il sera aimé d'eux et sa puissance s'étendra au loin sur la terre et sur la mer.
Alors l'Église étant comme retirée d'une certaine destruction, ce roi s'unira au Pontife romain et le soutiendra.
L'erreur sera détruite parmi les chrétiens.
L'Église sera rendue à l'état que les bons ont choisi pour elle.
Il enverra une armée à laquelle s'uniront spontanément de nombreux guerriers, s'élançant au combat pour l'amour de Mon Nom ; et l'amour de la Croix, qui les transportera leur obtiendra des trophées, dont l’éclat s'élèvera jusqu'au ciel.
Le Monarque équipant bientôt une flotte, passera les mers, et rendra à l'Église les contrées perdues par elle. Il délivrera Jérusalem... »
Ayant ainsi parlé, Jésus disparut aux yeux de St Ange dans une nuée éblouissante
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Ars Curé d', saint
(1859)
Jean-Baptiste-Marie Vianney, le saint curé d'Ars, naquit en 1786 et mourut en 1859. Il prononça des paroles prophétiques qui ont été recueillis.
Jean-Baptiste-Marie Vianney a annoncé la reconstruction de la chapelle de Notre Dame de Fourvière sur un plan et des proportions plus dignes de ce célèbre pèlerinage, en disant que cette reconstitution aura lieu à la suite de grandes calamités qui surviendront dans le pays.
Je suis sûr que l’Église d’Angleterre reprendra son ancienne splendeur.
On voudra me canoniser, on n’en aura pas le temps (en 1914).
La Salette fera de plus en plus de bien. Ce sera toujours de mieux en mieux, et dans tout l’univers.
En ce temps-là, les français seront divisés en deux partis, l’un contre l’autre.
On ne se convertira pas, on sera châtiés (en 1870), mais on ne se convertira pas, et alors, il y aura un intervalle ; et alors, ils reviendront (1914).
Ils demanderont davantage ou bien quelque chose, et ils reviendront…
Les ennemis ne s’en iront pas tout à fait, ils reviendront encore et ils détruiront tout sur leur passage ; on ne leur résistera pas (1939).
Il périra beaucoup de monde, plus que la première fois (en 1870), parce qu’on ne se sera converti.
Et il y aura beaucoup de maisons détruites.
On détruira, on détruira. Il y aura bien des bons qui périront. Mais, ceux-là, comme ils seront heureux, oh ! Comme ils seront heureux !
La grosse affaire n’est pas passée. Paris sera démoli et brûlé tout de bon. Pas tout entier cependant.
Mais il va y avoir une limite que la destruction ne franchira pas.
La Maison (des Frères de la Doctrine Chrétienne) ne sera pas démolie, quoi qu’elle doive se trouver sur le chemin de la destruction.
Paris sera changé, et aussi, deux ou trois autres villes.
Mais, il va y avoir de bien plus terribles choses que celles que nous avons vues.
Les ennemis laisseront brûler Paris et ils en seront contents.
Les communistes de Paris, après leurs défaites, se répandront dans toute la France et se multiplieront beaucoup ; ils opprimeront les gens d’ordre ; enfin la guerre civile éclatera partout.
Les méchants se rendront maîtres dans le Nord, l’Est et le Sud-ouest ; ils feront beaucoup de meurtres.
Ils voudront même faire périr tous les prêtres et tous les religieux.
Ce ne sera pas long.
On croira que tout est perdu et le Bon Dieu sauvera tout. Ce sera un signe du jugement dernier.
Après cette affaire, ce grand coup, les choses marcheront bien.
Dieu alors viendra en aide, les bons triompheront, lorsqu’on annoncera le retour du Grand Roi. Celui-ci rétablira une paix et une prospérité sans égales. La religion refleurira plus que jamais.
Ils arriveront près de Poitiers sans trouver de résistance ; mais là, ils seront écrasés par les défenseurs de l’Ouest qui les poursuivront.
On les battra, on les chassera pour tout de bon.
La première fois, ils (nos soldats) ne se seront pas bien battus ; mais cette fois, ils se battront, oh ! comme ils se battront !
Après cela, on leur coupera les vivres et on leur fera éprouver de grandes pertes.
Ils se retireront dans leur pays ; on les accompagnera et il n’y en aura guère qui rentreront ; alors on leur reprendra tout ce qu’ils oint enlevé et même beaucoup plus.
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Béméchobus
(0450)
Béméchobus, évêque martyr. Cette prophétie fut traduite de l’hébreu et du grec en latin par les soins de Béméchobus, qui, au rapport de saint Jérôme, fut Évêque de Patare en Lycie. Cette ville dépend du pachalik d’Adana, en Turquie d’Asie.
Toute la terre sera livrée aux enfants d’Ismaël, qui promèneront à leur suite la dissolution. C’est pourquoi le Seigneur a appelé Ismaël leur père, instrument de guerre ; et beaucoup de cités seront désolées, car les fils du désert viendront, et ce ne sont pas des hommes, mais des êtres odieux aux hommes.
On les verra passer au fil de l’épée même les femmes enceintes, et immoler les prêtres dans le sanctuaire. Ils profaneront les églises… Ils se revêtiront, eux et leurs épouses, des vêtements sacrés. Ils attacheront leurs chevaux à la tombe des fidèles comme après un arbre. Ce sera parmi les Chrétiens qui habitent la terre une tribulation générale.
C'est alors qu'on distinguera parfaitement ceux qui croiront fermement au Seigneur. Car le Seigneur n'enverra pas ces tribulations aux Chrétiens pour faire périr les justes et les croyants ; mais afin de voir sûrement les croyants les plus fidèles, car la vérité l'a dit elle-même : vous serez heureux lorsqu'on vous persécutera à cause de mon nom ; et en effet les Prophètes qui nous ont précédés ont été de même persécutés, or quiconque persévérera jusqu'à la fin sera sauvé.
Mais, après ces jours de tribulations, quand les fils d'Ismaël, vêtus d'habits resplendissants de pourpre et d'or, et comme des fiancés, se glorifieront de leurs victoires obtenues, de toutes parts, sur les Chrétiens qui n'auront pu se soustraire à leurs bras, et diront : voilà que dans notre force nous avons vaincu la terre et tous ceux qui l'habitent, alors le Seigneur Dieu se rappellera dans sa miséricorde, sa promesse à ceux qui l'adorent, à ceux qui croiront au Christ, et il les délivrera du joug des Sarrasins.
Il surgira de la Gaule un peuple de Chrétiens qui leur livrera bataille, les percera avec le glaive, emmènera leurs femmes captives, et massacrera leurs enfants. À leur tour les fils d'Ismaël rencontreront et le glaive et la tribulation. Et le Seigneur leur rendra le mal qu'ils auront fait, dans une proportion sept fois plus grande. Le Seigneur les livrera au bras des Chrétiens dont l'empire sera élevé au-dessus de tous les empires. Le joug que les Chrétiens leur imposeront sera dur, et ceux qui resteront seront esclaves. La terre, naguère désolée par eux, sera alors pacifiée. Les prisonniers qu'ils avaient faits reverront leur patrie, et la population croîtra et se multipliera.
Le roi des Romains montrera une grande indignation contre ceux qui auront renié le Christ en Égypte ou en Arabie. La paix et la tranquillité renaîtront sur la terre, paix comme il n'y en aura jamais eu, comme il n'y en aura jamais : le bonheur et l'allégresse seront partout. Le monde se reposera de ses tribulations. Ce sera là la paix dont l'Apôtre a dit : Lorsque la tranquillité sera faite, il y aura une mortalité soudaine ; les hommes seront comme ils étaient aux jours de Noé, mangeant et buvant, et faisant des fiançailles ; la crainte sera bannie de leurs cœurs.
Au milieu de ce calme, il sortira tout à coup du Nord, avec Gog et Magog, une nation qui fera trembler tout l'univers. Tous les hommes épouvantés se cacheront dans les monts, dans les rochers pour fuir leur présence. Ils ne sont pas de la race de Japhet.
Fléau du Nord, ils dévoreront la chair humaine et les serpents, les femmes et les petits enfants. Nul ne pourra leur tenir tête.
Sept ans après, quand ils auront pris la ville de Josèphe, le Seigneur enverra contre eux un de ses princes, et, dans un seul moment, les frappera du feu de la foudre : l'empereur de Grèce viendra et régnera à Jérusalem sept années. C'est alors qu'apparaîtra l'enfant de la perdition, l'Antéchrist. Il naîtra dans Lorozaïn, sera élevé à Bethsaïda, et régnera à Capharnaüm, comme le Seigneur l'a dit dans l’Évangile : malheur à toi, Lorozaïn ; malheur à toi, Bethzaïda ; malheur à toi, Capharnaüm, si ton exaltation monte jusqu'au ciel, car tu descendras jusqu'à l'enfer. Ensuite le roi des Romains et des Grecs montera à Golgotha où le Seigneur a daigné souffrir pour nous le supplice de la croix. Le roi des Romains ôtera sa couronne, puis la posera sur la tête du Christ, élèvera ses mains au ciel, et rendra son âme au Seigneur, le Roi des Chrétiens ; alors paraîtra dans le ciel le signe de la Croix ; l'Enfant de perdition viendra à son tour, pensant qu'il est Dieu. Il fera sur la terre mille prodiges. Par lui les aveugles verront, les boiteux marcheront, les sourds entendront, les morts ressusciteront, tellement que, s'il était possible, les élus eux-mêmes y seraient trompés. Il entrera à Jérusalem et s'assiéra clans le temple, comme s'il était le Fils de Dieu, et son cœur enivré d'orgueil, oubliera qu'il est fils d'un homme et d'une femme de la tribu de Dan ; trompeur et faux, il séduira par ses prestiges beaucoup de crédules. Alors Dieu enverra deux de ses plus fidèles serviteurs, Hénoch et Élie, conservés pour lui servir en témoignage contre son ennemi. Alors, seront les derniers, les premiers qui croiront à Juda. Élie et Hénoch l'attaqueront, à la face de tout le peuple, et le convaincront d'imposture et de fausseté.
Les Juifs alors, de toutes les tribus d'Israël croiront et seront tués pour le Christ. L'Antéchrist, saisi de rage, ordonnera la mort des Saints de Dieu, et de ceux qui auront ajouté foi à leurs paroles. Alors viendra le Fils de Dieu en personne. Notre Seigneur Jésus-Christ, porté sur les nuages célestes, environné de légions d'anges et de gloire divine ; aussitôt ils mettront à mort l'Antéchrist, la bête, l'ennemi, le séducteur et ceux qui lui auront prêté leur appui. Ici ce sera la consommation des temps, et le Jugement commencera.
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Re: PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
Bustis Bernard de, Bienheureux
(1495)
Le Bienheureux Bernard de Bustis, franciscain au XVe siècle, dans son "Rosario de Sermones" écrivit (sermon 11), écrivit que le Saint Siège serait vacant pendant un an et demi, laissant le champ libre à un anti-pape nommé par un puissant roi du christianisme, et que suivront au début les cinq sixièmes des croyants. L’église souffrira de grandes tribulations et ceux qui suivront le véritable pape appelé Roboam (nom symbolique), c’est à dire le Pape Angélique, seront persécutés. Un roi véritablement chrétien vaincra ce roi-là, après beaucoup de peine et de souffrances, avec l’aide de la Vierge. L’antipape finira mal. Le vrai Pape couronnera Empereur ce Roi ; ensemble ils réformeront l’Église. L’Anti-Christ naîtra sous le règne de ce Roi-Empereur..
Il se produira un schisme dans l’Église de Dieu à l’occasion de l’élection du Pape, parce qu’il s’en créera plusieurs. Dans ce nombre, il y en aura un qui se fera nommer mais ce ne sera pas le vrai pape. Il en viendra à persécuter le vrai Pape et tous ceux qui lui obéiront, de telle sorte que la majorité se déclarera plutôt pour l’anti-pape que pour le vrai pontife.
L’Église romaine sera également délivrée des mains de ce roi par le bras d'un autre roi très chrétien qui viendra au secours de cette même Église...
Après bien des périples et des épreuves, il finira par remporter la victoire.
Le pape angélique qui siégera alors posera sur la tête de ce Roi la couronne impériale. Et, unis ensemble, ils réformeront l’Église du Christ, ramenée à l'état de l'ancienne pauvreté évangélique. En même temps que douze cardinaux qui en deviendront les colonnes, seront appelés à prêcher cet état en donnant eux-mêmes, ainsi que d'autres hommes, tous parfaits, l'exemple de la vie évangélique.
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Emmerick Anne Katerine :PARIS
Dans un endroit, il me sembla qu'on minait en-dessous une grande ville où le mal était à son comble. Il y avait plusieurs diables occupés à ce travail. Ils étaient déjà très avancés et je croyais qu'avec tant et de si pesants édifices elle allait bientôt s'effondrer. J'ai souvent eu, à propos de Paris, l'impression qu'il devait être ainsi englouti : je vois tant de cavernes au-dessous, mais qui ne ressemblent pas aux grottes souterraines de Rome avec les sculptures dont elles sont ornées.
Ici, semble-t-il, se juxtaposent visions symboliques et tableaux réels : les menées souterraines des ennemis de la France traditionnelle et la vue du sol de Paris creusé de galeries ou tout entier sillonné de tunnels du métro.
La chose est suffisamment étrange, en 1820, pour qu'une fille de ce temps là n'en fut pas frappée.
Elle vit une affreuse corruption, de grandes misères et des abominations horribles dans la capitale (de la France). Il lui sembla qu'elle était près de s'engloutir : elle eut l'impression qu'il n'y resterait pas pierre sur pierre.
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Extatique de Tours
(1873)
L’Extatique de Tours (1872 et 1873)
Les pécheurs se convertiront, lorsqu'ils auront fait tout le mal possible et que Dieu, dans Sa justice, les jettera par terre...
Jésus m'a dit qu'Il épargnerait les bons comme pour former un monde nouveau. Néanmoins il périra un grand nombre...
Les prédictions de La Salette ne sont accomplies qu'à moitié; elles vont s'accomplir en entier...
Avant que les événements n'arrivent, il y aura des signes dans le ciel, puis des tremblements de terre. Il y aura aussi des ténèbres de la nuit vers la fin des événements...
C’est alors, à la fin de nos maux, qu’il viendra ce sauveur que Dieu réserve à la France, ce Roi dont on ne veut pas maintenant, parce qu'il est selon le Cœur de Dieu.
C'est lui qui montera sur le Trône, délivrera l'Église, et rétablira le Pape dans ses droits.
Le Concile recommencera après le triomphe… Il n’y aura qu’un seul troupeau et un seul Pasteur.
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Fatima Lucie de
Lucie de Fatima parle de la Russie : « Le Cœur Immaculé de Marie sauvera la Russie, car elle lui est confiée. » Pour la conversion de l'Islam, il est fait mention de l'action du Grand Monarque : « L'Orient est dans l'attente ; les traditions lui ont appris qu'un grand roi de France serait tout à la fois son vainqueur et son sauveur. »
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Ferrier Vincent saint
Toute la prédication de Saint Vincent Ferrier, fut axée sur l’idée de l’approche de la fin des temps. C’était un de ses principaux thèmes de prêche et l’axe majeur de sa spiritualité. On dit de lui qu’il a " ouvert la période de la fin des temps". Voici un passage prophétique tiré d’un sermon qu’il a prononcé à Barcelone, le 13 septembre 1403.
« L’Église pleurera… C’est encore loin pour l’instant, mais cela arrivera indubitablement, à peu près au temps où les hommes se proclameront rois ; mais leurs jours seront de courte durée.
Vous verrez un signe, mais vous ne le reconnaîtrez pas. Sachez seulement qu’à cette époque, les femmes se vêtiront comme les hommes et se comporteront selon leur bon plaisir. Et les hommes s’habilleront comme les femmes.
Le Pape mourra au milieu de cette affliction et le Saint Siège, à cause de ses malheurs, sera vacant pendant une année.
Ensuite sera suscité le Pasteur Angélique. Ce Saint Pontife couronnera le Roi de France en lui décernant le titre d’empereur.
Le Pape Angélique, avec ce Roi de France, réformera l’Église ; beaucoup de chrétiens abandonneront leurs biens et tous les ordres religieux étant supprimés, il fondera un seul ordre religieux qui l’emportera sur tous ceux qui l’auront précédé. Dans cet ordre, tous les pontifes entreront (c’est à dire que le clergé séculier sera en fait supprimé), et l’on en choisira douze en mémoire des douze Apôtres, qui iront dans l’éclat de leur sainteté, prêcher l’Évangile par toute la terre et ils convertiront tout le monde à la religion du Christ et aussi les Juifs.
Le Seigneur donnera alors sa grâce aux infidèles qui se convertiront à la Foi catholique. Le Roi de France, ce nouvel Empereur, à son retour de Jérusalem, interdira partout l’usage des armes, et la Paix et la tranquillité régneront dans le monde entier qui marchera dans les sentiers de la Justice.
Le clergé surtout imitera la vie des Apôtres. Tout le monde sera soumis au Pontife Romain.
Ce Saint et Angélique Pasteur sera gardé sur son Trône par les Anges.
Il rétablira toutes choses ; il réprimera l’orgueil des clercs et tout prospérera sous ses ordres parce que le Divin Médecin, Jésus-Christ, appliquera le remède aux blessures. Au commencement de son pontificat, ce Pape habitera en France.
Après que ce Pontife aura régné six ans et demi, et gouverné le monde avec une grande Sainteté, il rendra son âme à Dieu, trois ans après son retour de Jérusalem. »
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Filljung Catherine
Catherine Filljung est encore plus explicite. Son biographe rapporte :
«37. Catherine redoutait pour Paris le sort de Jérusalem. Très souvent, autrefois, on l'avait entendu s'écrier en extase :
«0 Paris, seconde Jérusalem par tes crimes, seconde Jérusalem par ton châtiment».
«38. Après cela, elle voyait «comme le feu du ciel qui tombait».
C'était la vengeance divine. La grande ville était assiégée. Tandis que l'ennemi la pressait du dehors, elle était en proie aux fureurs de la révolution, et à une famine si horrible que les mères dévoraient leurs enfants».
«39. Les émeutiers saccageaient, incendiaient Paris, principalement les beaux quartiers.
«40. Après la guerre, Paris perdrait sa primauté; une autre ville, une ville du centre devenait la capitale...»
Certaines prédictions furent adressées de Paris à Mgr Baillès , le 30 août 1853 :
J'ai vu, depuis, un orage à faire mourir de frayeur. C'est un tonnerre comme jamais on n'en a entendu; il semble tenir toute la terre et gronde sans relâche. Une pluie de feu tombe du ciel, comme quand il neige en grande abondance; et il y a des morceaux de fer de différentes grosseurs, dont certains de la grosseur et de deux fois la longueur d'un chapeau d'homme. Ce feu du ciel embrase les contrées les plus coupables et brûle les malheureux habitants. Les maux seront si grands qu'on se croira à la fin du monde».
Ces avertissements concernent bien Paris, car la voyante annonce qu'il faudra quitter Paris pour ne pas être massacré et consumé par les flammes.
S'agit-il du châtiment annoncé par Maria Bordoni ? Voyons le signe qu'elle donne :
«Il y aura un mort à Paris; et le moment de cette mort sera le signal de la justice divine pour Paris et pour la France».
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Giraud Maximin
Le secret de Maximin (1851)
Le 3 Juillet 1851, Maximin écrit son secret à l’évêché de Grenoble. Sa première copie étant tâchée, elle est brûlée et Maximin réécrit proprement une seconde copie. Monseigneur Bruillard contrôle la lisibilité avant que Maximin ne scelle le secret. L'enveloppe cachetée est transmise au pape Pie IX.
D'après le Père Corteville, les enfants font beaucoup de fautes de français, les versions données ci-dessous sont francisées pour en faciliter la lecture.
Le 19 septembre 1846, nous avons vu une belle Dame. Nous n'avons jamais dit que cette dame fut la Sainte Vierge mais nous avons toujours dit que c'était une belle Dame.
Je ne sais pas si c'est la Sainte Vierge ou une autre personne. Moi, je crois aujourd'hui que c'est la sainte Vierge.
Voila ce que cette Dame m'a dit:
01 Si mon peuple continue, ce que je vais vous dire arrivera plus tôt , s'il change un peu, ce sera un peu plus tard.
02 La France a corrompu l'univers, un jour elle sera punie.
03 La foi s'éteindra dans la France: trois parties de la France ne pratiqueront plus de religion, ou presque plus, l'autre la pratiquera sans bien la pratiquer.
04 Puis, après [cela], les nations se convertiront, la foi se rallumera partout.
05 Une grande contrée dans le nord de l'Europe, aujourd'hui protestante, se convertira: par l'appui de cette contrée toutes les autres contrées du monde se convertiront.
06 Avant que tout cela arrive, de grands troubles arriveront, dans l’Église, et partout.
07 Puis, après [cela], notre Saint-Père le pape sera persécuté.
08 Son successeur sera un pontife que personne [n'] attend.
09 Puis après [cela], une grande paix arrivera, mais elle ne durera pas longtemps. Un monstre viendra la troubler.
10 Tout ce que je vous dis là arrivera dans l'autre siècle, [au] plus tard aux deux mille ans."
Maximin Giraud
(Elle [m'] a dit de le dire quelque temps avant).
Mon très Saint Père, votre sainte bénédiction à une de vos brebis,
Grenoble, le 3 juillet 1851.
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(1495)
Le Bienheureux Bernard de Bustis, franciscain au XVe siècle, dans son "Rosario de Sermones" écrivit (sermon 11), écrivit que le Saint Siège serait vacant pendant un an et demi, laissant le champ libre à un anti-pape nommé par un puissant roi du christianisme, et que suivront au début les cinq sixièmes des croyants. L’église souffrira de grandes tribulations et ceux qui suivront le véritable pape appelé Roboam (nom symbolique), c’est à dire le Pape Angélique, seront persécutés. Un roi véritablement chrétien vaincra ce roi-là, après beaucoup de peine et de souffrances, avec l’aide de la Vierge. L’antipape finira mal. Le vrai Pape couronnera Empereur ce Roi ; ensemble ils réformeront l’Église. L’Anti-Christ naîtra sous le règne de ce Roi-Empereur..
Il se produira un schisme dans l’Église de Dieu à l’occasion de l’élection du Pape, parce qu’il s’en créera plusieurs. Dans ce nombre, il y en aura un qui se fera nommer mais ce ne sera pas le vrai pape. Il en viendra à persécuter le vrai Pape et tous ceux qui lui obéiront, de telle sorte que la majorité se déclarera plutôt pour l’anti-pape que pour le vrai pontife.
L’Église romaine sera également délivrée des mains de ce roi par le bras d'un autre roi très chrétien qui viendra au secours de cette même Église...
Après bien des périples et des épreuves, il finira par remporter la victoire.
Le pape angélique qui siégera alors posera sur la tête de ce Roi la couronne impériale. Et, unis ensemble, ils réformeront l’Église du Christ, ramenée à l'état de l'ancienne pauvreté évangélique. En même temps que douze cardinaux qui en deviendront les colonnes, seront appelés à prêcher cet état en donnant eux-mêmes, ainsi que d'autres hommes, tous parfaits, l'exemple de la vie évangélique.
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Emmerick Anne Katerine :PARIS
Dans un endroit, il me sembla qu'on minait en-dessous une grande ville où le mal était à son comble. Il y avait plusieurs diables occupés à ce travail. Ils étaient déjà très avancés et je croyais qu'avec tant et de si pesants édifices elle allait bientôt s'effondrer. J'ai souvent eu, à propos de Paris, l'impression qu'il devait être ainsi englouti : je vois tant de cavernes au-dessous, mais qui ne ressemblent pas aux grottes souterraines de Rome avec les sculptures dont elles sont ornées.
Ici, semble-t-il, se juxtaposent visions symboliques et tableaux réels : les menées souterraines des ennemis de la France traditionnelle et la vue du sol de Paris creusé de galeries ou tout entier sillonné de tunnels du métro.
La chose est suffisamment étrange, en 1820, pour qu'une fille de ce temps là n'en fut pas frappée.
Elle vit une affreuse corruption, de grandes misères et des abominations horribles dans la capitale (de la France). Il lui sembla qu'elle était près de s'engloutir : elle eut l'impression qu'il n'y resterait pas pierre sur pierre.
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Extatique de Tours
(1873)
L’Extatique de Tours (1872 et 1873)
Les pécheurs se convertiront, lorsqu'ils auront fait tout le mal possible et que Dieu, dans Sa justice, les jettera par terre...
Jésus m'a dit qu'Il épargnerait les bons comme pour former un monde nouveau. Néanmoins il périra un grand nombre...
Les prédictions de La Salette ne sont accomplies qu'à moitié; elles vont s'accomplir en entier...
Avant que les événements n'arrivent, il y aura des signes dans le ciel, puis des tremblements de terre. Il y aura aussi des ténèbres de la nuit vers la fin des événements...
C’est alors, à la fin de nos maux, qu’il viendra ce sauveur que Dieu réserve à la France, ce Roi dont on ne veut pas maintenant, parce qu'il est selon le Cœur de Dieu.
C'est lui qui montera sur le Trône, délivrera l'Église, et rétablira le Pape dans ses droits.
Le Concile recommencera après le triomphe… Il n’y aura qu’un seul troupeau et un seul Pasteur.
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Fatima Lucie de
Lucie de Fatima parle de la Russie : « Le Cœur Immaculé de Marie sauvera la Russie, car elle lui est confiée. » Pour la conversion de l'Islam, il est fait mention de l'action du Grand Monarque : « L'Orient est dans l'attente ; les traditions lui ont appris qu'un grand roi de France serait tout à la fois son vainqueur et son sauveur. »
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Ferrier Vincent saint
Toute la prédication de Saint Vincent Ferrier, fut axée sur l’idée de l’approche de la fin des temps. C’était un de ses principaux thèmes de prêche et l’axe majeur de sa spiritualité. On dit de lui qu’il a " ouvert la période de la fin des temps". Voici un passage prophétique tiré d’un sermon qu’il a prononcé à Barcelone, le 13 septembre 1403.
« L’Église pleurera… C’est encore loin pour l’instant, mais cela arrivera indubitablement, à peu près au temps où les hommes se proclameront rois ; mais leurs jours seront de courte durée.
Vous verrez un signe, mais vous ne le reconnaîtrez pas. Sachez seulement qu’à cette époque, les femmes se vêtiront comme les hommes et se comporteront selon leur bon plaisir. Et les hommes s’habilleront comme les femmes.
Le Pape mourra au milieu de cette affliction et le Saint Siège, à cause de ses malheurs, sera vacant pendant une année.
Ensuite sera suscité le Pasteur Angélique. Ce Saint Pontife couronnera le Roi de France en lui décernant le titre d’empereur.
Le Pape Angélique, avec ce Roi de France, réformera l’Église ; beaucoup de chrétiens abandonneront leurs biens et tous les ordres religieux étant supprimés, il fondera un seul ordre religieux qui l’emportera sur tous ceux qui l’auront précédé. Dans cet ordre, tous les pontifes entreront (c’est à dire que le clergé séculier sera en fait supprimé), et l’on en choisira douze en mémoire des douze Apôtres, qui iront dans l’éclat de leur sainteté, prêcher l’Évangile par toute la terre et ils convertiront tout le monde à la religion du Christ et aussi les Juifs.
Le Seigneur donnera alors sa grâce aux infidèles qui se convertiront à la Foi catholique. Le Roi de France, ce nouvel Empereur, à son retour de Jérusalem, interdira partout l’usage des armes, et la Paix et la tranquillité régneront dans le monde entier qui marchera dans les sentiers de la Justice.
Le clergé surtout imitera la vie des Apôtres. Tout le monde sera soumis au Pontife Romain.
Ce Saint et Angélique Pasteur sera gardé sur son Trône par les Anges.
Il rétablira toutes choses ; il réprimera l’orgueil des clercs et tout prospérera sous ses ordres parce que le Divin Médecin, Jésus-Christ, appliquera le remède aux blessures. Au commencement de son pontificat, ce Pape habitera en France.
Après que ce Pontife aura régné six ans et demi, et gouverné le monde avec une grande Sainteté, il rendra son âme à Dieu, trois ans après son retour de Jérusalem. »
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Filljung Catherine
Catherine Filljung est encore plus explicite. Son biographe rapporte :
«37. Catherine redoutait pour Paris le sort de Jérusalem. Très souvent, autrefois, on l'avait entendu s'écrier en extase :
«0 Paris, seconde Jérusalem par tes crimes, seconde Jérusalem par ton châtiment».
«38. Après cela, elle voyait «comme le feu du ciel qui tombait».
C'était la vengeance divine. La grande ville était assiégée. Tandis que l'ennemi la pressait du dehors, elle était en proie aux fureurs de la révolution, et à une famine si horrible que les mères dévoraient leurs enfants».
«39. Les émeutiers saccageaient, incendiaient Paris, principalement les beaux quartiers.
«40. Après la guerre, Paris perdrait sa primauté; une autre ville, une ville du centre devenait la capitale...»
Certaines prédictions furent adressées de Paris à Mgr Baillès , le 30 août 1853 :
J'ai vu, depuis, un orage à faire mourir de frayeur. C'est un tonnerre comme jamais on n'en a entendu; il semble tenir toute la terre et gronde sans relâche. Une pluie de feu tombe du ciel, comme quand il neige en grande abondance; et il y a des morceaux de fer de différentes grosseurs, dont certains de la grosseur et de deux fois la longueur d'un chapeau d'homme. Ce feu du ciel embrase les contrées les plus coupables et brûle les malheureux habitants. Les maux seront si grands qu'on se croira à la fin du monde».
Ces avertissements concernent bien Paris, car la voyante annonce qu'il faudra quitter Paris pour ne pas être massacré et consumé par les flammes.
S'agit-il du châtiment annoncé par Maria Bordoni ? Voyons le signe qu'elle donne :
«Il y aura un mort à Paris; et le moment de cette mort sera le signal de la justice divine pour Paris et pour la France».
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Giraud Maximin
Le secret de Maximin (1851)
Le 3 Juillet 1851, Maximin écrit son secret à l’évêché de Grenoble. Sa première copie étant tâchée, elle est brûlée et Maximin réécrit proprement une seconde copie. Monseigneur Bruillard contrôle la lisibilité avant que Maximin ne scelle le secret. L'enveloppe cachetée est transmise au pape Pie IX.
D'après le Père Corteville, les enfants font beaucoup de fautes de français, les versions données ci-dessous sont francisées pour en faciliter la lecture.
Le 19 septembre 1846, nous avons vu une belle Dame. Nous n'avons jamais dit que cette dame fut la Sainte Vierge mais nous avons toujours dit que c'était une belle Dame.
Je ne sais pas si c'est la Sainte Vierge ou une autre personne. Moi, je crois aujourd'hui que c'est la sainte Vierge.
Voila ce que cette Dame m'a dit:
01 Si mon peuple continue, ce que je vais vous dire arrivera plus tôt , s'il change un peu, ce sera un peu plus tard.
02 La France a corrompu l'univers, un jour elle sera punie.
03 La foi s'éteindra dans la France: trois parties de la France ne pratiqueront plus de religion, ou presque plus, l'autre la pratiquera sans bien la pratiquer.
04 Puis, après [cela], les nations se convertiront, la foi se rallumera partout.
05 Une grande contrée dans le nord de l'Europe, aujourd'hui protestante, se convertira: par l'appui de cette contrée toutes les autres contrées du monde se convertiront.
06 Avant que tout cela arrive, de grands troubles arriveront, dans l’Église, et partout.
07 Puis, après [cela], notre Saint-Père le pape sera persécuté.
08 Son successeur sera un pontife que personne [n'] attend.
09 Puis après [cela], une grande paix arrivera, mais elle ne durera pas longtemps. Un monstre viendra la troubler.
10 Tout ce que je vous dis là arrivera dans l'autre siècle, [au] plus tard aux deux mille ans."
Maximin Giraud
(Elle [m'] a dit de le dire quelque temps avant).
Mon très Saint Père, votre sainte bénédiction à une de vos brebis,
Grenoble, le 3 juillet 1851.
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Mon site Web : Garde des trois Blancheurs
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
Re: PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
Jahenny Marie-Julie
Les grandes crises
" La France est à la veille de son malheur et de son bonheur : le malheur pour les pécheurs, le bonheur pour les justes. "
" Avant que la Paix refleurisse sur la terre, il faut qu’une grande pénitence fléchisse la colère divine. C’est le Seigneur Lui-même qui exerce Sa Justice. Il n’appartient qu’a Lui de châtier, mais en châtiant, Il purifiera la terre et son peuple. Il n’épargnera rien. Il cultivera la terre pour y semer une nouvelle semence. " Saint Michel, le 25 mai 1877
Sur un fond général de confusion et de désordre, se détachent des " époques ", qui sont comme les degrés d’une progression.
C’est d’abord comme un orage qui gronde, puis éclate pour se terminer sur un " grand coup " qui ramène la paix.
1ère époque
" La première époque, dit le Seigneur, c’est l’étendue des maux sur la Fille aînée de l’Église, la France. l’Église envahie, et le commencement de la lutte terrible dans la Ville Éternelle. Cette lutte, dans la Ville Éternelle, languira cinq mois, sans que les conséquences tristes jusqu’à la mort, ne s’aggravent " 4 mai 1882
" Le grand réveil de l’époque assoupie ne va pas tarder à lancer son premier éclat, le commencement d’une marche victorieuse qui mettra à mort le peuple de celle qui n’a plus d’espoir de se relever, sinon le jour où celui qui est appelé son Sauveur, mettra le pied sur le Trône assigné par le Ciel. La grande révolution universelle, le commencement en sortira d’abord en France : c’est elle qui, la première, marchera à l’abîme et aussi à la résurrection. "
" Première crise en France. Il y a quelque temps, le Seigneur a marqué trois mois de fatals et terribles châtiments. Il abrégera beaucoup. Le prochain commencement de la mortelle crise révolutionnaire durera quatre semaines, mais l’étendue en sera immense. Le nombre de ceux appelés " meurtriers du peuple " sera d’une immensité inconcevable.
Lors de cette heure terrible, les étrangers, dont le désir est rempli d’une violence qui ne se possède pas, seront maîtres en France. Dès la nouvelle du fatal événement (1) , leurs oreilles ne seront pas sourdes !
Pendant cette lutte première, en toute l’étendue de la France, il y aura liberté pour tout. Il n’y aura plus de captifs retenus pour crimes. " 9 mai 1882
" Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel. Les mois du Sacré-Coeur (juin) et de Mon Sang (juillet), ce sera le signal des châtiments, guerre civile. " " Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau, il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution. C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris. " 27 avril 1877
" Les militaires seront éloignés de France, (dans l’Est et les terres arabes) et les forces de l’ordre seront réduites. C’est pendant cette période troublée, que seront promulguées des lois infâmes, visant entre autres à établir une mainmise du pouvoir sur la religion, asservissant le clergé au pouvoir révolutionnaire, persécutant toute opposition, coupant tout lien hiérarchique avec Rome.
Des révolutionnaires instaureront la mise en place d’un pouvoir totalitaire avec son régime de justice expéditive des opposants, de surveillance, de dénonciations, etc. ceci sur fond de disette du fait des récoltes insuffisantes et des calamités. (Tremblements de terre, épidémies sur les hommes et les animaux).
Des pluies torrentielles entraînant de grands retards dans les cultures seront un des signes précurseurs de cette révolution. " " J’avertirai Mes amis par des signes de la nature. Je les préviendrai. " " La guerre civile et les épidémies feront beaucoup de victimes surtout dans les grandes villes. " " Les ennemis se battront entre eux ! "
" Cette loi infâme sortira avec un grand nombre d’autres. Personne ne pourra s’y soustraire, ou bien la mort au fond des prisons. Cette loi marchera sur tout ce qui est le plus sacré. " 20 avril 1882
" À mesure qu’elle s’étendra en France, la persécution recevra beaucoup d’aide de la part des puissances qui l’environnent, de tous ceux qui ressemblent à ceux qui, en France, livrent tout, sans pitié, au feu et au sang. " 9 mai 1882
Un repos fort court suivra cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout au Centre (Paris) et dans les environs. Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et élevés en science, un éclat qui ébranlera cette Grande Ville où le sang a tant de fois rougi le pavé et ce branle ne s’apaisera pas. Tu sais que le nombre 14 a été choisi par Moi. "
2ème époque
" La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. (Paris) Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise. " (28 septembre 1882)
Au Nord, ils iront jusqu’aux limites de la Vendée et en Normandie.
La Bretagne ne sera pas envahie, mais ne sera pas exempte de tout châtiment, surtout au Nord déchristianisé, ils se livreront au pillage et à la vengeance.
Ils viendront de l’Est et de la Méditerranée, car il est annoncé en même temps beaucoup de troubles en Italie et en Espagne causés par des forces venues des régions orientales. Dans le Midi, " Marseille, Valence ! quelle boucherie.
" Les régions du Nord, du Levant, du Midi, Paris seront très atteintes. Le territoire national sera partagé en deux.
Il y aura des prétendants pour la restauration d’un pouvoir dans une des parties.
C’est à la moitié de ces mois terribles qu’apparaîtra le Roi Sauveur.
Mais il y aura un long combat de reconquête de plusieurs mois pour chasser les envahisseurs. Il n’établira pas son trône à Paris qui aura été détruit.
" Quand l’étranger viendra fondre sur la France, ce sera par une prière révélée qu’il sera dispersé et refoulé... Ma Main invisible le foudroiera et le renversera. " 2 octobre 1875
" Dieu viendra en aide au Roi si puissamment que les hommes ne pourront comprendre la rapidité avec laquelle la guerre et la paix seront faites.
C’est après cela que le Roi sera amené en France par ses partisans. Il recevra du Saint Père la communication qu’il est appelé de Dieu et que la Sainte Église a besoin de son aide.
Les évêques l’inviteront aussi, car, invité par eux, ce sera comme l’invitation du Sacré-Coeur. Mais il n’y en aura qu’un tout petit nombre. " 18 février 1876
3ème époque :
Ce sera la " Troisième époque ", celle du grand Coup, celle du retour à l’ordre qui ne sera pas sans souffrances.
L’ensemble de ces phases devrait s’étaler sur deux à trois années.
Les pertes humaines seront très importantes.
Il y aura divers avertissements du Ciel pendant ces épreuves, pour ouvrir les yeux des moins endurcis. (Signes dans le Ciel, ténèbres de quelques heures, miracles...) Mais ce n’est qu’après ces semonces que le Grand Châtiment universel des trois jours de ténèbres mettra un terme aux hostilités, faute de combattants !
Ensuite le Roi, Henri V de la Croix, régnera pendant une longue période (de 25 à 40 ans) et l’Église refleurira, sous le Pontificat d’un Saint Pape.
Après cette période bénie devrait se situer les grandes et ultimes épreuves de la guerre de l’antéchrist......
Aucun bienfait durable ne sera accordé à l’humanité, avant qu’elle n’ait payé ses dettes, avant qu’elle n’ait reconnu ses devoirs envers son Créateur et Sauveur, il ne faut donc s’attendre à aucune restauration de l’ordre en France et dans l’Église avant de terribles révolutions, d’affreuses guerres, et des événements cosmiques bouleversants, il faut que l’ordre soit rétabli, sinon la terre disparaîtra par la faute des hommes, fous d’orgueil et de révolte, sous l’influence des démons déchaînés. Dieu avertit prévient longtemps à l’avance les dévoyés, pour qu’ils rentrent dans le bon chemin. Ce qu’il veut, c’est leur conversion. Pour eux, Il veut notre intercession.
Ensuite seulement après un " grand coup de balai ", se fera un temps de Paix, où l’Église et son Chef, sa fille aînée la France " goûteront la joie de leur Seigneur " avant d’aborder l’ultime combat contre l’Antéchrist de la fin des temps qui sera Satan lui-même parodiant l’Incarnation du Verbe...........
Autre :
Dieu annonce par l'intermédiaire de la stigmatisée Marie Julie Jahenny
un nouveau "Roi" pour la France
Messages de l'année 1880
(...) "Je suis le Roi de l'Univers. J'ai voulu donner à la France un roi qu'elle a refusé; mais celui que je veux lui donner, elle l'acceptera, le demandera, le placera sur son cœur.
Mais, avant d'avoir ce Roi, la France aura une crise et une tempête violente... Après je vous donnerai un second Roi. J'ai déjà voulu vous le donner; je le redonnerai une seconde fois."(...)
Mes enfants, un grand nombre de ces malheureux qui vont livrer mon peuple à la fureur de ces tigres dévorants, un grand nombre ne périra pas pendant la grande terreur qui sera plus noire que le plafond des abîmes. Mon Fils en laissera beaucoup, presque jusqu'à la fin de cette terrible révolution sanglante.
Voici son dessein : il veut les laisser pour que, de leurs yeux corrompus et corrupteurs, ils voient celui qui est appelé le Sauveur de la France.
Ce sera après une perte immense de tant de chrétiens, de tant d'arbres qui peuplent la France. Ces arbres, c'est mon peuple. Le Sauveur viendra, sous leurs yeux, au milieu de son royaume dépeuplé. Ces arbres seront couchés à terre, sans mouvement... des corps sans vie. (...)
(...) Le Roi que le ciel a élu sera proclamé malgré les hommes, malgré la préférence pour un autre qui n'a ni titre ni dignité pour être proclamé. On ne voudrait pas sortir de la souche séparée qui régnait dernièrement. (la famille d'Orléans)
- O Bonne Mère, ce serait pour notre royaume (la Bretagne) un autre poison à boire !
- Mes enfants, mon Roi est le proclamé du Ciel. Ses fidèles amis seront ses compagnons de triomphe. Tous les amis de ce noble Roi, de ce côté-ci, marcheront à sa rencontre, portant la noble bannière blanche décorée de fleurs royales. Cette bannière ne sera déployée, par les amis de ce côté-ci, qu'en approchant pour saluer le Roi.
Ensuite, cette bannière développée remontera dans ce pauvre royaume, foulant ses terres malgré le parti opposé. Elle flottera sous le souffle d'un vent froid, et sous un firmament étoilé, par un temps sec, malgré le peu de chaleur du soleil.
Mes enfants, la générosité de ce Roi ne se connaîtra pas. On voudra soumettre le peuple ignorant à cette persuasion...
- Je ne connais pas ce mot, Bonne Mère.
- Je veux dire : on voudra persuader que le royaume sera plus malheureux et plus étroitement soumis que sous le règne de celui qui prétendra venir.
Cette persuasion s'étendra partout rapidement. Dans le trouble à son sujet, il circulera des listes de signatures de la part de ceux qui ne veulent pas de son règne.
- Déjà, il en a passé, Bonne Mère.
- Celles qui ont passé, mes enfants, sont bien faibles à côté de celles que l'on fera passer... Tout ce qui se passera encore ne servira à rien. Il a, debout, de fidèles amis qui feront beaucoup pour lui.
Ce beaucoup viendra de mon Fils... Oui, il régnera. Il visitera la terre des martyrs et la Ville Éternelle.
Il sera d'une grande utilité pour l’Église, qui souffrira encore dans les autres nations, quand la paix régnera dans celle-ci. (...)
Message du 17 juin 1880
Marie Julie entre dans le degré suprême du soleil, où elle voit toute chose par elle-même.
Elle annonce la difficile arrivée du nouveau Messie(messie veut dire un élu, un oint, non un Dieu), appelé Henri V.
Le premier, comte de Chambord, n'ayant pas régné, le titre reste libre pour un second.
L'extase a été notée par Adolphe Charbonnier.
(...)
Ses lèvres répétaient, à voix basse, des prières qu'on ne pouvait entendre. Comme elle ne pouvait remuer son bras raidi le long du corps, sa mère lui a fait, avec de l'eau bénite, les purifications dont l'extase est toujours précédée.
Puis l'extase a commencé à voix haute.
Gloire au Père...
(...)
«Maintenant, dit le Seigneur, je ne communiquerai plus mes révélations comme au temps passé.
Elles partiront de l'âme, dans le soleil, pour arriver aux oreilles attentives des serviteurs choisis. Toutes ces choses, qui vont sortir de moi-même, auront un cachet différent. Maintenant, que son âme entre dans la profondeur de sa mission divine ! Qu'elle développe, par mon Esprit divin, tout ce que la lumière ouvre devant elle ! »
La paix sera lente à entrer dans notre patrie (la France), une paix véritable aux yeux de Dieu, bonne et sainte.
Quand on annoncera cette paix profonde, qui paraîtra ressembler à celle du temps des rois catholiques et fidèles, c'est à ce moment qu'une attaque violente et une tempête furieuse viendront tout agiter, en un bouleversement effroyable.
Ce bouleversement ne viendra que des hommes qui n'auront pas cessé de régner avec leurs lois de la terre. Dans ce grand renversement qui, de notre patrie, se propagera ailleurs dans le monde, tout semblera atteindre la frayeur d'une nouvelle terreur.
On verra tout se remuer et se renverser avec lenteur. Alors ce sera le dernier effort qui enveloppera presque toute la France, entrée dans l'épouvante et les gémissements.
C'est dans ce coup, dirigé contre la plus grande partie des hommes de ce siècle, qu'aura lieu le départ du Roi, attendu comme un autre Messie, pour rapporter l'honneur et la dignité avec la couronne profanée et le manteau blanc qui, maintenant, est changé en manteau rouge.
Ce sera le départ du Roi Henri V : il viendra pendant que les voix terribles de l'orage et du tumulte retentiront encore. «A nous, diront-elles, d'être une fois de plus vainqueurs en tout ! » Cette dernière parole réduira tous ceux qui sont opposés à la venue du «Prédestiné». Cela se fera par Dieu et la très Sainte Vierge.
L'entrée du Roi sera une prédestination selon la grâce. Déjà toute la France lui est donnée ; elle est confiée à la sollicitude de son cœur. Déjà il règne, sans régner visiblement, mais il règne par la grâce d'une prédestination. C'est la grâce que le Seigneur fait à son peuple qui a persévéré dans l'attente du nouveau Messie, qui a conservé une croyance sincère en son retour, malgré la division du peuple, malgré les voix qui répètent comme impossible la rentrée du Messie nouveau que sera le Roi.
Cette furieuse tempête sera comme les tourbillons qui passent. Elle aveuglera les yeux de ceux qui s'opposeront à l'entrée du Roi. Il traversera leurs rangs ; il passera au milieu de leur cortège révolté, sans qu'aucun de ses ennemis ne puisse mettre obstacle à sa montée sur le trône.
A son arrivée, le trône ne sera pas vide. Le nouveau Messie, sans un mot, sans une parole, s'inclinera simplement devant la place qui est celle de son règne. II ne soufflera pas un mot.
Alors il y aura deux combats : l'un à droite, l'autre à gauche. Ce sera une sorte de dispute violente.
Le nouveau Messie aura marché au milieu de tous les supplices qui tuent les chrétiens.
Il arrivera, sain et sauf, près de la place qui lui est réservée. Il la saluera, genou en terre.
Mais, dans le soleil, je ne le vois pas saluer celui qui y sera et refusera de descendre.
Celui-ci s'obstinera, avec rage, à persister dans le règne qui lui aura été donné par le droit des voix de la majorité.
A ce moment, le nouveau Messie aura une épreuve qui n'est encore connue de personne mais qui, aujourd'hui, sera révélée clairement. Du côté du midi, bien près d'une ville menacée (sans doute
Marseille), il se trouvera un religieux d'un ordre qui existe depuis longtemps. Le soleil ne dit pas son nom. Ce religieux, sur un ordre qu'il dira venu de Dieu ou de Saint Raphaël ou de Saint Paul, fera circuler partout les trois points suivants :
Il prétendra que le nouveau Messie, appelé Henri V, n'est pas élu pour sauver la France, et que jamais la pensée de Dieu n'a révélé cette élection à aucune âme, que c'est une fausse prophétie.
Il attaquera violemment le Sauveur de la France. Ses révélations seront écrites par volumes, avec rapidité, dans le but de jeter sur lui un affreux manteau de reproches aussi infâmes que pervers.
Une circulaire de ce religieux sera remise à ceux qui, déjà, auront placé sur le trône français celui que le Roi doit détrôner et renverser de fond en comble.
Ce religieux, déjà âgé mais pas encore dans l'âge mûr, aura assez d'expérience pour être conscient du mal qu'il se chargera de faire.
Autre
Marie-Julie Jahenny condamne la «Chambre de l'Enfer» , «où se font les mauvaises lois», stigmatisant spécialement « la loi d’abomination », et met en relation un feu du ciel dans le passage suivant :
«Ils arriveront à attirer sur la France des châtiments de feu... Le ciel s'ouvrira par trois ouvertures épouvantables... Ce sera un effondrement de feux de différentes couleurs. Et ces trois effondrements épouvantables seront aperçus de tout le peuple... Il y aura des cris épouvantables, des pleurs, des gémissements, des tortures du corps... L'œil apercevra des figures difformes, des traits, mais des traits qui ne ressembleront pas aux enfants du Ciel... Dans ces trois effondrements de feu, il y aura un son lugubre... Et c'est à ce moment, où l'air deviendra une peste insupportable à l'odorat humain, mais surtout presque insupportable à l'odorat des élus... Ce sera à ce moment le grand déluge et le jugement de la Sodome coupable, le jugement des crimes accomplis... Le sol ne sera plus qu'un tombeau effondré; et, gisant sur ses pierres brûlantes, des cadavres inanimés...
Il ne restera rien de ce foyer où se forgent les mauvaises lois , d'où l'on va achever la mort de la foi dans les âmes; d'où l'on va jeter la dernière souillure dans l'âme des enfants dont la plupart sont déjà condamnés à ne jamais me voir, à ne jamais m'aimer »...
Et Marie-Julie Jahenny dit encore (révélation reçue en 1903) :
«Le feu du ciel tombera sur Sodome (Paris) et principalement sur cette salle de l'enfer où se fabriquent les mauvaises lois3. Elle sera engloutie et sa place sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu'à la fin du monde, on ne pourra s'approcher sans un frémissement d'horreur».
Autre
L’opinion de Marie-Julie sur le Roi », recueillie par Monsieur Lainé le 9 février 1914, au cours d’une d’une conversation de trois heures. Je la fais apparaître en premier lieu comme courte synthèse :
« Dieu cache celui qu’il choisira pour sauver l’Église et régner sur la France, pour soustraire le monde entier à la domination du démon dont le règne bat son plein présentement, et que Dieu laisse actuellement le maître. Marie-Julie ne peut rien préciser au sujet du Roi. Elle sait seulement qu’il sera de la race de Saint Louis, c’est tout. Celui que Dieu prendra sera d’une parfaite pureté ; il vivra en Dieu et pour Dieu. Il sera complètement abandonné à la volonté de Dieu pour la protection de l’Église et le salut des âmes. Dieu le sortira à son heure. Son avènement a été montré à Marie-Julie et, cela, plusieurs fois. Elle sait qu’elle ne le verra pas sur la terre, mais elle le verra d’en-haut. Le Roi arrivait avec un tout petit cortège d’hommes animés, comme lui, de l’amour de Dieu et ne voulant rien autre chose que sa gloire. Mais ce petit cortège était précédé de l’Archange Saint Michel, ouvrant la marche se son épée flamboyante…Ils n’avaient, humainement, ni le nombre ni la force. Leur force était en Dieu…Mais, avant que n’arrive cet événement, trois souverains doivent se produire, animés d’ambitions humaines, et ne connaissant que les moyens humains. Saint Michel les renversera successivement. A celui qu’il aura choisi, Dieu donnera toutes les grâces et les lumières nécessaires qui lui feront connaître les moyens qu’il devra mettre en œuvre pour la régénération de l’humanité, telle que Dieu la veut ».
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Les grandes crises
" La France est à la veille de son malheur et de son bonheur : le malheur pour les pécheurs, le bonheur pour les justes. "
" Avant que la Paix refleurisse sur la terre, il faut qu’une grande pénitence fléchisse la colère divine. C’est le Seigneur Lui-même qui exerce Sa Justice. Il n’appartient qu’a Lui de châtier, mais en châtiant, Il purifiera la terre et son peuple. Il n’épargnera rien. Il cultivera la terre pour y semer une nouvelle semence. " Saint Michel, le 25 mai 1877
Sur un fond général de confusion et de désordre, se détachent des " époques ", qui sont comme les degrés d’une progression.
C’est d’abord comme un orage qui gronde, puis éclate pour se terminer sur un " grand coup " qui ramène la paix.
1ère époque
" La première époque, dit le Seigneur, c’est l’étendue des maux sur la Fille aînée de l’Église, la France. l’Église envahie, et le commencement de la lutte terrible dans la Ville Éternelle. Cette lutte, dans la Ville Éternelle, languira cinq mois, sans que les conséquences tristes jusqu’à la mort, ne s’aggravent " 4 mai 1882
" Le grand réveil de l’époque assoupie ne va pas tarder à lancer son premier éclat, le commencement d’une marche victorieuse qui mettra à mort le peuple de celle qui n’a plus d’espoir de se relever, sinon le jour où celui qui est appelé son Sauveur, mettra le pied sur le Trône assigné par le Ciel. La grande révolution universelle, le commencement en sortira d’abord en France : c’est elle qui, la première, marchera à l’abîme et aussi à la résurrection. "
" Première crise en France. Il y a quelque temps, le Seigneur a marqué trois mois de fatals et terribles châtiments. Il abrégera beaucoup. Le prochain commencement de la mortelle crise révolutionnaire durera quatre semaines, mais l’étendue en sera immense. Le nombre de ceux appelés " meurtriers du peuple " sera d’une immensité inconcevable.
Lors de cette heure terrible, les étrangers, dont le désir est rempli d’une violence qui ne se possède pas, seront maîtres en France. Dès la nouvelle du fatal événement (1) , leurs oreilles ne seront pas sourdes !
Pendant cette lutte première, en toute l’étendue de la France, il y aura liberté pour tout. Il n’y aura plus de captifs retenus pour crimes. " 9 mai 1882
" Les cris de désespoir et d’alarme monteront jusqu’au Ciel. Les mois du Sacré-Coeur (juin) et de Mon Sang (juillet), ce sera le signal des châtiments, guerre civile. " " Quand le gouvernement verra ces bouleversements, il fera comme l’oiseau, il s’envolera et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans sa révolution. C’est à ce moment qu’il faudra fuir Paris. " 27 avril 1877
" Les militaires seront éloignés de France, (dans l’Est et les terres arabes) et les forces de l’ordre seront réduites. C’est pendant cette période troublée, que seront promulguées des lois infâmes, visant entre autres à établir une mainmise du pouvoir sur la religion, asservissant le clergé au pouvoir révolutionnaire, persécutant toute opposition, coupant tout lien hiérarchique avec Rome.
Des révolutionnaires instaureront la mise en place d’un pouvoir totalitaire avec son régime de justice expéditive des opposants, de surveillance, de dénonciations, etc. ceci sur fond de disette du fait des récoltes insuffisantes et des calamités. (Tremblements de terre, épidémies sur les hommes et les animaux).
Des pluies torrentielles entraînant de grands retards dans les cultures seront un des signes précurseurs de cette révolution. " " J’avertirai Mes amis par des signes de la nature. Je les préviendrai. " " La guerre civile et les épidémies feront beaucoup de victimes surtout dans les grandes villes. " " Les ennemis se battront entre eux ! "
" Cette loi infâme sortira avec un grand nombre d’autres. Personne ne pourra s’y soustraire, ou bien la mort au fond des prisons. Cette loi marchera sur tout ce qui est le plus sacré. " 20 avril 1882
" À mesure qu’elle s’étendra en France, la persécution recevra beaucoup d’aide de la part des puissances qui l’environnent, de tous ceux qui ressemblent à ceux qui, en France, livrent tout, sans pitié, au feu et au sang. " 9 mai 1882
Un repos fort court suivra cette grande entrée dans le mal qui sera complet, surtout au Centre (Paris) et dans les environs. Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et élevés en science, un éclat qui ébranlera cette Grande Ville où le sang a tant de fois rougi le pavé et ce branle ne s’apaisera pas. Tu sais que le nombre 14 a été choisi par Moi. "
2ème époque
" La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocèse qui commence la Bretagne. La plus forte armée va tomber sur Orléans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul élan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. (Paris) Ils n’y pénétreront qu’à la moitié de la crise. " (28 septembre 1882)
Au Nord, ils iront jusqu’aux limites de la Vendée et en Normandie.
La Bretagne ne sera pas envahie, mais ne sera pas exempte de tout châtiment, surtout au Nord déchristianisé, ils se livreront au pillage et à la vengeance.
Ils viendront de l’Est et de la Méditerranée, car il est annoncé en même temps beaucoup de troubles en Italie et en Espagne causés par des forces venues des régions orientales. Dans le Midi, " Marseille, Valence ! quelle boucherie.
" Les régions du Nord, du Levant, du Midi, Paris seront très atteintes. Le territoire national sera partagé en deux.
Il y aura des prétendants pour la restauration d’un pouvoir dans une des parties.
C’est à la moitié de ces mois terribles qu’apparaîtra le Roi Sauveur.
Mais il y aura un long combat de reconquête de plusieurs mois pour chasser les envahisseurs. Il n’établira pas son trône à Paris qui aura été détruit.
" Quand l’étranger viendra fondre sur la France, ce sera par une prière révélée qu’il sera dispersé et refoulé... Ma Main invisible le foudroiera et le renversera. " 2 octobre 1875
" Dieu viendra en aide au Roi si puissamment que les hommes ne pourront comprendre la rapidité avec laquelle la guerre et la paix seront faites.
C’est après cela que le Roi sera amené en France par ses partisans. Il recevra du Saint Père la communication qu’il est appelé de Dieu et que la Sainte Église a besoin de son aide.
Les évêques l’inviteront aussi, car, invité par eux, ce sera comme l’invitation du Sacré-Coeur. Mais il n’y en aura qu’un tout petit nombre. " 18 février 1876
3ème époque :
Ce sera la " Troisième époque ", celle du grand Coup, celle du retour à l’ordre qui ne sera pas sans souffrances.
L’ensemble de ces phases devrait s’étaler sur deux à trois années.
Les pertes humaines seront très importantes.
Il y aura divers avertissements du Ciel pendant ces épreuves, pour ouvrir les yeux des moins endurcis. (Signes dans le Ciel, ténèbres de quelques heures, miracles...) Mais ce n’est qu’après ces semonces que le Grand Châtiment universel des trois jours de ténèbres mettra un terme aux hostilités, faute de combattants !
Ensuite le Roi, Henri V de la Croix, régnera pendant une longue période (de 25 à 40 ans) et l’Église refleurira, sous le Pontificat d’un Saint Pape.
Après cette période bénie devrait se situer les grandes et ultimes épreuves de la guerre de l’antéchrist......
Aucun bienfait durable ne sera accordé à l’humanité, avant qu’elle n’ait payé ses dettes, avant qu’elle n’ait reconnu ses devoirs envers son Créateur et Sauveur, il ne faut donc s’attendre à aucune restauration de l’ordre en France et dans l’Église avant de terribles révolutions, d’affreuses guerres, et des événements cosmiques bouleversants, il faut que l’ordre soit rétabli, sinon la terre disparaîtra par la faute des hommes, fous d’orgueil et de révolte, sous l’influence des démons déchaînés. Dieu avertit prévient longtemps à l’avance les dévoyés, pour qu’ils rentrent dans le bon chemin. Ce qu’il veut, c’est leur conversion. Pour eux, Il veut notre intercession.
Ensuite seulement après un " grand coup de balai ", se fera un temps de Paix, où l’Église et son Chef, sa fille aînée la France " goûteront la joie de leur Seigneur " avant d’aborder l’ultime combat contre l’Antéchrist de la fin des temps qui sera Satan lui-même parodiant l’Incarnation du Verbe...........
Autre :
Dieu annonce par l'intermédiaire de la stigmatisée Marie Julie Jahenny
un nouveau "Roi" pour la France
Messages de l'année 1880
(...) "Je suis le Roi de l'Univers. J'ai voulu donner à la France un roi qu'elle a refusé; mais celui que je veux lui donner, elle l'acceptera, le demandera, le placera sur son cœur.
Mais, avant d'avoir ce Roi, la France aura une crise et une tempête violente... Après je vous donnerai un second Roi. J'ai déjà voulu vous le donner; je le redonnerai une seconde fois."(...)
Mes enfants, un grand nombre de ces malheureux qui vont livrer mon peuple à la fureur de ces tigres dévorants, un grand nombre ne périra pas pendant la grande terreur qui sera plus noire que le plafond des abîmes. Mon Fils en laissera beaucoup, presque jusqu'à la fin de cette terrible révolution sanglante.
Voici son dessein : il veut les laisser pour que, de leurs yeux corrompus et corrupteurs, ils voient celui qui est appelé le Sauveur de la France.
Ce sera après une perte immense de tant de chrétiens, de tant d'arbres qui peuplent la France. Ces arbres, c'est mon peuple. Le Sauveur viendra, sous leurs yeux, au milieu de son royaume dépeuplé. Ces arbres seront couchés à terre, sans mouvement... des corps sans vie. (...)
(...) Le Roi que le ciel a élu sera proclamé malgré les hommes, malgré la préférence pour un autre qui n'a ni titre ni dignité pour être proclamé. On ne voudrait pas sortir de la souche séparée qui régnait dernièrement. (la famille d'Orléans)
- O Bonne Mère, ce serait pour notre royaume (la Bretagne) un autre poison à boire !
- Mes enfants, mon Roi est le proclamé du Ciel. Ses fidèles amis seront ses compagnons de triomphe. Tous les amis de ce noble Roi, de ce côté-ci, marcheront à sa rencontre, portant la noble bannière blanche décorée de fleurs royales. Cette bannière ne sera déployée, par les amis de ce côté-ci, qu'en approchant pour saluer le Roi.
Ensuite, cette bannière développée remontera dans ce pauvre royaume, foulant ses terres malgré le parti opposé. Elle flottera sous le souffle d'un vent froid, et sous un firmament étoilé, par un temps sec, malgré le peu de chaleur du soleil.
Mes enfants, la générosité de ce Roi ne se connaîtra pas. On voudra soumettre le peuple ignorant à cette persuasion...
- Je ne connais pas ce mot, Bonne Mère.
- Je veux dire : on voudra persuader que le royaume sera plus malheureux et plus étroitement soumis que sous le règne de celui qui prétendra venir.
Cette persuasion s'étendra partout rapidement. Dans le trouble à son sujet, il circulera des listes de signatures de la part de ceux qui ne veulent pas de son règne.
- Déjà, il en a passé, Bonne Mère.
- Celles qui ont passé, mes enfants, sont bien faibles à côté de celles que l'on fera passer... Tout ce qui se passera encore ne servira à rien. Il a, debout, de fidèles amis qui feront beaucoup pour lui.
Ce beaucoup viendra de mon Fils... Oui, il régnera. Il visitera la terre des martyrs et la Ville Éternelle.
Il sera d'une grande utilité pour l’Église, qui souffrira encore dans les autres nations, quand la paix régnera dans celle-ci. (...)
Message du 17 juin 1880
Marie Julie entre dans le degré suprême du soleil, où elle voit toute chose par elle-même.
Elle annonce la difficile arrivée du nouveau Messie(messie veut dire un élu, un oint, non un Dieu), appelé Henri V.
Le premier, comte de Chambord, n'ayant pas régné, le titre reste libre pour un second.
L'extase a été notée par Adolphe Charbonnier.
(...)
Ses lèvres répétaient, à voix basse, des prières qu'on ne pouvait entendre. Comme elle ne pouvait remuer son bras raidi le long du corps, sa mère lui a fait, avec de l'eau bénite, les purifications dont l'extase est toujours précédée.
Puis l'extase a commencé à voix haute.
Gloire au Père...
(...)
«Maintenant, dit le Seigneur, je ne communiquerai plus mes révélations comme au temps passé.
Elles partiront de l'âme, dans le soleil, pour arriver aux oreilles attentives des serviteurs choisis. Toutes ces choses, qui vont sortir de moi-même, auront un cachet différent. Maintenant, que son âme entre dans la profondeur de sa mission divine ! Qu'elle développe, par mon Esprit divin, tout ce que la lumière ouvre devant elle ! »
La paix sera lente à entrer dans notre patrie (la France), une paix véritable aux yeux de Dieu, bonne et sainte.
Quand on annoncera cette paix profonde, qui paraîtra ressembler à celle du temps des rois catholiques et fidèles, c'est à ce moment qu'une attaque violente et une tempête furieuse viendront tout agiter, en un bouleversement effroyable.
Ce bouleversement ne viendra que des hommes qui n'auront pas cessé de régner avec leurs lois de la terre. Dans ce grand renversement qui, de notre patrie, se propagera ailleurs dans le monde, tout semblera atteindre la frayeur d'une nouvelle terreur.
On verra tout se remuer et se renverser avec lenteur. Alors ce sera le dernier effort qui enveloppera presque toute la France, entrée dans l'épouvante et les gémissements.
C'est dans ce coup, dirigé contre la plus grande partie des hommes de ce siècle, qu'aura lieu le départ du Roi, attendu comme un autre Messie, pour rapporter l'honneur et la dignité avec la couronne profanée et le manteau blanc qui, maintenant, est changé en manteau rouge.
Ce sera le départ du Roi Henri V : il viendra pendant que les voix terribles de l'orage et du tumulte retentiront encore. «A nous, diront-elles, d'être une fois de plus vainqueurs en tout ! » Cette dernière parole réduira tous ceux qui sont opposés à la venue du «Prédestiné». Cela se fera par Dieu et la très Sainte Vierge.
L'entrée du Roi sera une prédestination selon la grâce. Déjà toute la France lui est donnée ; elle est confiée à la sollicitude de son cœur. Déjà il règne, sans régner visiblement, mais il règne par la grâce d'une prédestination. C'est la grâce que le Seigneur fait à son peuple qui a persévéré dans l'attente du nouveau Messie, qui a conservé une croyance sincère en son retour, malgré la division du peuple, malgré les voix qui répètent comme impossible la rentrée du Messie nouveau que sera le Roi.
Cette furieuse tempête sera comme les tourbillons qui passent. Elle aveuglera les yeux de ceux qui s'opposeront à l'entrée du Roi. Il traversera leurs rangs ; il passera au milieu de leur cortège révolté, sans qu'aucun de ses ennemis ne puisse mettre obstacle à sa montée sur le trône.
A son arrivée, le trône ne sera pas vide. Le nouveau Messie, sans un mot, sans une parole, s'inclinera simplement devant la place qui est celle de son règne. II ne soufflera pas un mot.
Alors il y aura deux combats : l'un à droite, l'autre à gauche. Ce sera une sorte de dispute violente.
Le nouveau Messie aura marché au milieu de tous les supplices qui tuent les chrétiens.
Il arrivera, sain et sauf, près de la place qui lui est réservée. Il la saluera, genou en terre.
Mais, dans le soleil, je ne le vois pas saluer celui qui y sera et refusera de descendre.
Celui-ci s'obstinera, avec rage, à persister dans le règne qui lui aura été donné par le droit des voix de la majorité.
A ce moment, le nouveau Messie aura une épreuve qui n'est encore connue de personne mais qui, aujourd'hui, sera révélée clairement. Du côté du midi, bien près d'une ville menacée (sans doute
Marseille), il se trouvera un religieux d'un ordre qui existe depuis longtemps. Le soleil ne dit pas son nom. Ce religieux, sur un ordre qu'il dira venu de Dieu ou de Saint Raphaël ou de Saint Paul, fera circuler partout les trois points suivants :
Il prétendra que le nouveau Messie, appelé Henri V, n'est pas élu pour sauver la France, et que jamais la pensée de Dieu n'a révélé cette élection à aucune âme, que c'est une fausse prophétie.
Il attaquera violemment le Sauveur de la France. Ses révélations seront écrites par volumes, avec rapidité, dans le but de jeter sur lui un affreux manteau de reproches aussi infâmes que pervers.
Une circulaire de ce religieux sera remise à ceux qui, déjà, auront placé sur le trône français celui que le Roi doit détrôner et renverser de fond en comble.
Ce religieux, déjà âgé mais pas encore dans l'âge mûr, aura assez d'expérience pour être conscient du mal qu'il se chargera de faire.
Autre
Marie-Julie Jahenny condamne la «Chambre de l'Enfer» , «où se font les mauvaises lois», stigmatisant spécialement « la loi d’abomination », et met en relation un feu du ciel dans le passage suivant :
«Ils arriveront à attirer sur la France des châtiments de feu... Le ciel s'ouvrira par trois ouvertures épouvantables... Ce sera un effondrement de feux de différentes couleurs. Et ces trois effondrements épouvantables seront aperçus de tout le peuple... Il y aura des cris épouvantables, des pleurs, des gémissements, des tortures du corps... L'œil apercevra des figures difformes, des traits, mais des traits qui ne ressembleront pas aux enfants du Ciel... Dans ces trois effondrements de feu, il y aura un son lugubre... Et c'est à ce moment, où l'air deviendra une peste insupportable à l'odorat humain, mais surtout presque insupportable à l'odorat des élus... Ce sera à ce moment le grand déluge et le jugement de la Sodome coupable, le jugement des crimes accomplis... Le sol ne sera plus qu'un tombeau effondré; et, gisant sur ses pierres brûlantes, des cadavres inanimés...
Il ne restera rien de ce foyer où se forgent les mauvaises lois , d'où l'on va achever la mort de la foi dans les âmes; d'où l'on va jeter la dernière souillure dans l'âme des enfants dont la plupart sont déjà condamnés à ne jamais me voir, à ne jamais m'aimer »...
Et Marie-Julie Jahenny dit encore (révélation reçue en 1903) :
«Le feu du ciel tombera sur Sodome (Paris) et principalement sur cette salle de l'enfer où se fabriquent les mauvaises lois3. Elle sera engloutie et sa place sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu'à la fin du monde, on ne pourra s'approcher sans un frémissement d'horreur».
Autre
L’opinion de Marie-Julie sur le Roi », recueillie par Monsieur Lainé le 9 février 1914, au cours d’une d’une conversation de trois heures. Je la fais apparaître en premier lieu comme courte synthèse :
« Dieu cache celui qu’il choisira pour sauver l’Église et régner sur la France, pour soustraire le monde entier à la domination du démon dont le règne bat son plein présentement, et que Dieu laisse actuellement le maître. Marie-Julie ne peut rien préciser au sujet du Roi. Elle sait seulement qu’il sera de la race de Saint Louis, c’est tout. Celui que Dieu prendra sera d’une parfaite pureté ; il vivra en Dieu et pour Dieu. Il sera complètement abandonné à la volonté de Dieu pour la protection de l’Église et le salut des âmes. Dieu le sortira à son heure. Son avènement a été montré à Marie-Julie et, cela, plusieurs fois. Elle sait qu’elle ne le verra pas sur la terre, mais elle le verra d’en-haut. Le Roi arrivait avec un tout petit cortège d’hommes animés, comme lui, de l’amour de Dieu et ne voulant rien autre chose que sa gloire. Mais ce petit cortège était précédé de l’Archange Saint Michel, ouvrant la marche se son épée flamboyante…Ils n’avaient, humainement, ni le nombre ni la force. Leur force était en Dieu…Mais, avant que n’arrive cet événement, trois souverains doivent se produire, animés d’ambitions humaines, et ne connaissant que les moyens humains. Saint Michel les renversera successivement. A celui qu’il aura choisi, Dieu donnera toutes les grâces et les lumières nécessaires qui lui feront connaître les moyens qu’il devra mettre en œuvre pour la régénération de l’humanité, telle que Dieu la veut ».
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Mon site Web : Garde des trois Blancheurs
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
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Re: PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
Jésus Mère Marie de
(1823-06-21)
Mère Marie de Jésus est une religieuse du couvent des oiseaux à Paris. Elle naquit en 1797.
Après une vie d’expiation, de contemplation et de prières, elle mourut en 1854. Elle eut de nombreuses visions au cours desquelles le Seigneur lui parla de l’amour que son cœur a pour nous.
Le 21 juin 1823, le Sacré-Cœur, qui apparaissait à Mère Marie de Jésus, s’exprima ainsi :
La France est toujours bien chère à mon cœur, et elle lui sera consacrée.
Mais il faut que ce soit le Roi lui-même qui consacre sa famille, sa personne et tout son royaume à mon divin Cœur et qu’il lui fasse élever un autel comme on en a élevé un, au nom de la France, en l’honneur de la Sainte Vierge.
Je prépare à la France un déluge de grâces, lorsqu’elle sera consacrée à mon divin Cœur, et toute la terre se ressentira des bénédictions que je répandrai sur elle. La foi et la religion refleuriront en France par la dévotion à mon divin Cœur.
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Jésus Crucifié Myriam de, bienheureuse
Elle disait en 1878 au père Prosper CHIRON, aumônier du Carmel :
«Il y aura un mauvais gouvernement en France. Les religieux seront chassés. Il faudra faire des lieues pour se confesser. Les allemands reviendront en France, mais ils seront écrasés. On sera forcé de dire -Le doigt de Dieu est là-, et la France deviendra plus brillante que jamais».
«Le Seigneur a dit : c'est le siècle ou le serpent a pris des ailes, c'est pourquoi je vais purger la terre ! Qui pourra donc être sauvé ? C'est celui qui demande l'humilité et la pratique».
Elle aimait la France avec la tendresse et la ferveur d'une Syrienne et d'un palestinienne. On est surpris de la place que la France tenait dans ses préoccupations et le termes enflammés avec lesquels elle en parlait dans ses extases. La France dans ses visions était le Rosier, comme la Sainte Église était l'Olivier.
Le 26 mai de cette année 1873, elle avait vu la France comme un champ arrosé par la pluie, éclairé et chauffé par le soleil ; mais la terre était couverte de mauvaises herbes, parmi lesquelles, pourtant, il y en avait quelques unes de bonnes.
«J'ai dit à Jésus : Seigneur, pourquoi laissez-vous ces mauvaises herbes ?»
«Je les laisse, m'a répondu le divin Maître, parce que les hommes sont encore trop faibles, elles ont leurs racines liées avec les mauvaises. Si j'arrache les mauvaises, les bonne seront endommagées et elles se flétriront. Quand les bonnes seront plus fortes, j'arracherai tout ce qu'il y a de mauvais. Maintenant, c'est la paix bâtie sur le sable ; plus tard, j’établirai la paix sur le rocher ferme et rien ne pourra l'ébranler. La France est le centre de mon cœur».
«La puissance de l’ennemi ne durera pas toujours. L’église revivra et fleurira éternellement.
Le rosier, disait-elle, était malade, il n'était point mort ; le jardinier s'apprêtait à l'émonder vigoureusement pour lui communiquer une vie nouvelle, et elle voyait déjà le rosier s'épanouir en une multitude innombrable de belles roses parfumées».
«Hier, je me sentais devant Dieu, et je priais pour notre Mère la Sainte Église et pour la France. Voici ce que j'ai vu et entendu :
«Oui, je ferai mes délices dans le sein de la France ; elle sera encore la reine de tous les royaumes. Mais avant, il faut que la France soit tout-à-fait rien pour que je sois à la tête des armées, afin que toutes les nations disent entre elle, de génération en génération :
- Vraiment, c'est le Très Haut qui est à la tête de la France. Toutes les Nations le crieront d'une même bouche, d'une même voix, sur le même ton, même les impies». (16 février 1874)
Le R.P. BUZY rapporte que lorsque les carmélites de Bethléem parlaient en récréation de leur chère et lointaine France, le regard de la petite sœur s'illuminait et elle s'écriait :
«Oui, oui, bientôt la France triomphera ; bientôt, elle sera la reine des royaumes. Elle a fait trop de bien dans les Missions pour que Dieu l'abandonne».
Dans une extase du 16 juillet 1876 :
«Oh cher Rosier, tu fais la joie de mon cœur ! On y bâtira un grand salon pour le Maître ; et le Seigneur dit : Je viendrai y habiter avec ma lumière, avec le soleil en plein jour ; mais avant, on brûlera les épines. Oh, qu'il sera beau, le Rosier !»
«On sème sur la terre du Rosier beaucoup d'épines parce qu'il y a beaucoup de petits vers qui mangent le suc des bonnes plantes».
Et le Seigneur a dit :
«s'il y a des bonnes plantes, mettez-les dans un trou et cachez-les. Plantez des arbres épineux ; comme il y a beaucoup de moucherons, ils viendront se poser sur ces épines. Alors on y mettra le feu, et les voilà tous brûlés.....».
«Et le cher petit Rosier qui semblait sur le point de mourir ! Attendez encore un peu, et vous verrez comme il sera beau ! Mais ce sera long : il faut encore un peu de temps....».
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Kérizinen Notre-Dame du Très Saint Rosaire (1938-1965)
A la page 32 de l’ouvrage « Kérizinen, messages du Christ et de la Sainte Vierge, 1938-1965 », nous pouvons lire l’intégralité du message suivant, donné le 29 mai 1948, lors de la 18 ième apparition(pendant l’octave de la Fête-Dieu et la veille de la Fête de Sainte Jeanne-D'arc). La Très Sainte Vierge annonce ici pour la première fois, qu’Elle-même fera le don d’un « grand Chef, un Roi » afin de « relever et sauver la France » :
« Il va y avoir une prochaine guerre lourde de conséquences. La France est appelée à être envahie et occupée par une armée russe et c'est là que l’Église et les bons souffriront persécution de la part des sans-Dieu (1). Mais que l'on prête enfin attention à mes demandes et Je vous préserverai de ces terribles ennemis, car Je descends pour vous épargner bien des peines, vous adoucir bien des maux. Je descends pour relever et sauver la France. Dans quelque temps Je lui donnerai un grand Chef, un Roi (2). Elle connaîtra alors un tel redressement que son influence spirituelle sera prépondérante dans l'Univers. Mais Je descends surtout pour vos âmes, pour les pécheurs et c'est par la Bretagne, qui m'est restée le plus fidèle, (3) que Je veux rechristianiser la France qui, revenue au Christ, revêtira un caractère tellement religieux qu'elle redeviendra lumière des peuples païens. Quelques années après cette prochaine guerre vous en subirez une autre, mais après laquelle les fidèles serviteurs du Christ jouiront d'une douce et juste paix: ce sera le règne de Jésus par Mon Cœur Immaculé. Cependant, ces guerres peuvent être évitées si le monde repentant retournait à Dieu ».
Notes :
(1) : « Les sans-Dieu est l'expression habituelle utilisée par la Très Sainte Vierge pour nommer les communistes ».
(2) : « Vers la fin des temps, un descendant des Rois Francs régnera sur tout l'antique empire romain. Il sera le plus grand des Rois de France, et le dernier de sa race. Il arrivera comme par miracle. (Saint-Rémi évêque de Reims, nuit de Noël 496) Vous direz aux Français qu'ils fassent leur trésor des testaments de Saint-Rémi, de Charlemagne et de St-Louis (Actes de Saint-Pie X, tome 5, page 204 de l’édition de 1908) ».
(3) : « La grande fidélité de la Bretagne fut que, pendant la Révolution française, elle combattit et se fit massacrer pour défendre la religion catholique. (Lire "la bataille de Kerguidu" par Lan Inizan, prêtre de Plounévez-Lochrist -Editions Robert Laffont) ».
Une deuxième intervention de Notre-Dame du Très Saint Rosaire, le 31 octobre 1956 lors de la 37 ième apparition, confirme l’avènement du « Grand Monarque, envoyé spécial de Dieu » qui n’est plus seulement celui qui redressera la France, mais également celui qui sera « défenseur de l’Église et de la liberté » :
« […] Voyez, déjà la paix semble fuir le Monde. Dieu pourrait, bientôt, affirmer ses droits en frappant rigoureusement ce Monde pécheur. Depuis le temps que Je vous préviens! Quel cas a-t-on fait de mes avertissements pourtant si maternels ? C'est dans ces temps d'angoisse, dans ces temps lugubres que vous le comprendrez, que vous le sentirez, le miracle de ma présence parmi vous. Car visiblement, de ma protection, Je couvrirai ces terres bretonnes, desquelles doit surgir une France nouvelle, une France chrétienne, gouvernée par ce Grand Monarque, envoyé spécial de Dieu comme défenseur de l’Église et de la liberté, et sous le règne duquel toute justice sera rendue ».
Enfin, une troisième intervention de Notre-Dame du Très Saint Rosaire, le 13 octobre 1958 lors de la 42 ième apparition, évoque « le salut miraculeux » de la France par « son sauveur prédestiné » :
« Voyez, dans cette période de purification, l'Esprit-Saint, comme un aigle divin, plane au-dessus des âmes et, de son regard de feu, fascine celles qui ont compris qu'Il est le centre de leur être. En secret, Il opère des merveilles jusqu'à ce que le nombre de victimes soit atteint. Ne vous alarmez donc pas en raison de tant d'événements, mais plus que jamais, il vous est nécessaire de prier et aussi d'agir, car, si les hommes ont besoin du secours de Dieu, Dieu aussi demande le concours des hommes. Il a besoin de vous pour réaliser les desseins éternels de sa Providence. Faites-vous donc l'impérieux devoir d'être les dignes répondants et les fidèles messagers de nos deux Cœurs si intimement unis dans le Saint-Esprit. Priez beaucoup pour l’Église. Priez beaucoup pour la France, qui reste guettée par certains pays ennemis qui voudraient en faire leur proie. Croyez à son salut miraculeux, à son sauveur prédestiné, car les bras des hommes sont incapables de mettre ordre aux affaires publiques ».
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Labre Benoît-Joseph, saint
«Paris108 sera détruit à cause de ses blasphèmes ; une pierre n'y restera pas sur l'autre» (Lettre au pape Pie VI).
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Lanchon Marcelle
La Très Sainte Vierge Marie à Marcelle Lanchon
(pas de jugement de l’Église)
« Si, en union avec mon Divin Fils, j'aime toutes les nations qu'Il a rachetées de Son Sang, vois comme je chéris tout particulièrement ta chère Patrie...
Mon Fils désire que l'on fasse des images et des statues me représentant ainsi et que l'on m'invoque sous le vocable de Notre Dame de France. Si l'on répond à ce nouveau désir de Son Divin Cœur, la France reviendra tout particulièrement mienne, je la prendrai à jamais sous ma maternelle protection et mon Fils se plaira à répandre sur elle d'abondantes bénédictions. » (8 septembre 1914, jour où eut lieu ce que l'on a appelé « le miracle de la Marne » : les Allemands étaient arrêtés aux portes de Paris. Imprimatur de Mgr Roland Gosselin pour l'image de "Marie Reine de France", et pour la prière révélée lors des apparitions.)
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Lataste Marie
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste de la France :
« Ma fille, je vous le dis en vérité, il est quelquefois assez d’une âme qui se présente devant Dieu dans la crainte et le tremblement, et qui lui adresse ses supplications, pour arrêter son bras vengeur déjà levé contre une nation tout entière. »
« Priez, ma fille, priez beaucoup pour la France : le nombre de ses iniquités s’accroît de jour en jour; priez pour elle, et désarmez le courroux de mon Père. Joignez-vous aux âmes pieuses et saintes qui lui adressent leurs incessantes supplications. Si Dieu veille sur la France et la protège malgré ses iniquités, ce n'est qu’en vue des prières et des supplications nombreuses qui lui sont adressées, et qui montent jusqu’à lui pour le fléchir. »
« …Puis le Sauveur Jésus ajouta : "Mon fils, priez pour la France ; je l'ai déjà dit et je me plais à vous le répéter, si les coups de la justice de mon Père ne sont point tombés sur elle, c'est Marie, la Reine du Ciel, qui les a arrêtés. Satan rugit de rage au fond des enfers contre un royaume qui lui a porté, à la vérité, de rudes coups ; il frémit de rage en voyant le bien qui se fait dans cette contrée ; il fait tous ses efforts pour augmenter le mal et irriter davantage la vengeance divine.
« Mais une chaîne qu'il ne peut briser le captive ; car ma Mère a un droit spécial sur la France qui lui est consacrée, et, par ce droit, elle arrête le bras courroucé de Dieu et répand sur ce pays, qui lui est voué, les bénédictions du ciel pour le faire croître dans le bien. C'est pourquoi je ne cesse d'avertir pour prévenir d'immenses calamités.
« O France ! ta gloire s'étendra au loin ; tes enfants la porteront au-delà de la vaste étendue des mers, et ceux qui ne te connaîtront que de nom prieront pour ta conservation et ta prospérité.
« La guerre aura été une miséricorde. On le reconnaîtra plus tard et ceux qui auront souffert seront dans la joie d’avoir contribuer à faire une France nouvelle en laquelle « Dieu prendra ses complaisances ». Une fois que la France aura payé sa dette, elle sera récompensée par une telle abondance de grâces et de bénédictions qu’en peu de temps, elle aura tout oublié de ses douleurs. Pour les puissances qui auront à combattre avec tant de générosité, de courage et d’intrépidité, elles recevront de la France la plus grande récompense, celle de venir prendre place au sein de l’Église catholique, apostolique et romaine. « Et l’Église, elle-même, sortira de ce baptême de sang, rajeunie et renouvelée. Je vais mettre fin au règne de l’impiété, je vais briser tous les obstacles et renverser tous les projets de ceux qui empêchent la lumière de se faire. »
La France sera sauvée par des moyens en dehors de toute connaissance, Dieu s’en réservant le secret jusqu’au dernier moment. « Je me joue des projets des hommes, ma Droite prépare des merveilles, mon nom sera glorifié par toute la terre ; je me plairai à confondre l’orgueil des impies et plus le monde sera hostile au surnaturel, plus merveilleux et extraordinaires seront les faits qui confondront cette négation du surnaturel.
A la place du trône de la Bête s’élèveront deux trônes glorieux : celui du Sacré Cœur de Jésus et celui du Cœur immaculé. Il sera reconnu que ce ne sera ni la force des hommes, ni la puissance des canons, ni le génie des industriels qui mettra fin à cette guerre. Mais elle se terminera que lorsque l’expiation sera achevée ; ayant hâte d’en finir avec l’impiété et de voir la France telle que la désire, j’abrégerai la durée par l’intensité !...
Prenez courage et soyez convaincu qu’une fois la France victorieuse, je ne la laisserai pas au pouvoir des impies ; le règne de dieu est proche. Il va s’ouvrir par un fait aussi éclatant qu’inattendu. »
MARIE LATASTE, VIT UN JOUR L'ANGE EXTERMINATEUR PLANER SUR LA GRANDE VILLE, PARIS
«Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d'une robe rouge, il portait un diadème sur la tête ; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu : l'Ange exterminateur.
Paris, ville exécrable, depuis longtemps tu mérites mon indignation, et si je n'ai point fait tomber sur toi les flots de ma colère, c'est par un effet de ma Miséricorde. J'ai arrêté mon bras vengeur déjà prêt à s'appesantir sur toi. J'ai épargné la multitude innombrable des pécheurs pour ne point frapper les justes. Tes habitants te maudiront un jour, parce que tu les auras saturés de ton air empesté, et ceux à qui tu as donné asile te jetteront leurs malédiction, parce qu’ils ont trouvés la mort en ton sein.»
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Martel Marie (1872-1911)
Marie Martel est la voyante des apparitions de la Très Sainte Vierge Marie à Tilly-sur-Seulles, dans le Calvados.
De l’ouvrage « La Vierge Marie dans l’histoire de France », page 269 :
Le 31 janvier 1903 :
« "Oh, mes enfants, priez, priez, livrez-vous à la pénitence. Je ne puis plus retenir la justice divine. Priez pour le Saint-Père, son cœur est torturé. Priez pour le Roi. En ces jours vous vivez sous le règne du crime. Mais la France va régner par le Sacré-Cœur ; le Roi qui va venir portera dans ses armes les insignes de mon Divin Fils". Dans une autre circonstance : "La république va tomber. C’est le règne de Satan. Priez pour le Roi qui va venir". Marie Martel ne connaît pas le nom du Roi, elle sait seulement que c’est la monarchie qui assurera le relèvement de la France dans une ère nouvelle, parce que la royauté en France est traditionnellement un régime chrétien. Elle reçoit souvent la consigne : "Prie Jeanne d’Arc" ».
Du tome 2 de l’œuvre « Les documents de Tilly », page 400 :
Extase du 3 mai 1903
« Le triomphe viendra…mes enfants, priez, priez beaucoup…Il faut prier pour le futur Roi…et pour le souverain pontife…La république va tomber : c’est le règne de Satan ! ...Un autre monde et un autre règne vont venir… ».
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(1823-06-21)
Mère Marie de Jésus est une religieuse du couvent des oiseaux à Paris. Elle naquit en 1797.
Après une vie d’expiation, de contemplation et de prières, elle mourut en 1854. Elle eut de nombreuses visions au cours desquelles le Seigneur lui parla de l’amour que son cœur a pour nous.
Le 21 juin 1823, le Sacré-Cœur, qui apparaissait à Mère Marie de Jésus, s’exprima ainsi :
La France est toujours bien chère à mon cœur, et elle lui sera consacrée.
Mais il faut que ce soit le Roi lui-même qui consacre sa famille, sa personne et tout son royaume à mon divin Cœur et qu’il lui fasse élever un autel comme on en a élevé un, au nom de la France, en l’honneur de la Sainte Vierge.
Je prépare à la France un déluge de grâces, lorsqu’elle sera consacrée à mon divin Cœur, et toute la terre se ressentira des bénédictions que je répandrai sur elle. La foi et la religion refleuriront en France par la dévotion à mon divin Cœur.
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Jésus Crucifié Myriam de, bienheureuse
Elle disait en 1878 au père Prosper CHIRON, aumônier du Carmel :
«Il y aura un mauvais gouvernement en France. Les religieux seront chassés. Il faudra faire des lieues pour se confesser. Les allemands reviendront en France, mais ils seront écrasés. On sera forcé de dire -Le doigt de Dieu est là-, et la France deviendra plus brillante que jamais».
«Le Seigneur a dit : c'est le siècle ou le serpent a pris des ailes, c'est pourquoi je vais purger la terre ! Qui pourra donc être sauvé ? C'est celui qui demande l'humilité et la pratique».
Elle aimait la France avec la tendresse et la ferveur d'une Syrienne et d'un palestinienne. On est surpris de la place que la France tenait dans ses préoccupations et le termes enflammés avec lesquels elle en parlait dans ses extases. La France dans ses visions était le Rosier, comme la Sainte Église était l'Olivier.
Le 26 mai de cette année 1873, elle avait vu la France comme un champ arrosé par la pluie, éclairé et chauffé par le soleil ; mais la terre était couverte de mauvaises herbes, parmi lesquelles, pourtant, il y en avait quelques unes de bonnes.
«J'ai dit à Jésus : Seigneur, pourquoi laissez-vous ces mauvaises herbes ?»
«Je les laisse, m'a répondu le divin Maître, parce que les hommes sont encore trop faibles, elles ont leurs racines liées avec les mauvaises. Si j'arrache les mauvaises, les bonne seront endommagées et elles se flétriront. Quand les bonnes seront plus fortes, j'arracherai tout ce qu'il y a de mauvais. Maintenant, c'est la paix bâtie sur le sable ; plus tard, j’établirai la paix sur le rocher ferme et rien ne pourra l'ébranler. La France est le centre de mon cœur».
«La puissance de l’ennemi ne durera pas toujours. L’église revivra et fleurira éternellement.
Le rosier, disait-elle, était malade, il n'était point mort ; le jardinier s'apprêtait à l'émonder vigoureusement pour lui communiquer une vie nouvelle, et elle voyait déjà le rosier s'épanouir en une multitude innombrable de belles roses parfumées».
«Hier, je me sentais devant Dieu, et je priais pour notre Mère la Sainte Église et pour la France. Voici ce que j'ai vu et entendu :
«Oui, je ferai mes délices dans le sein de la France ; elle sera encore la reine de tous les royaumes. Mais avant, il faut que la France soit tout-à-fait rien pour que je sois à la tête des armées, afin que toutes les nations disent entre elle, de génération en génération :
- Vraiment, c'est le Très Haut qui est à la tête de la France. Toutes les Nations le crieront d'une même bouche, d'une même voix, sur le même ton, même les impies». (16 février 1874)
Le R.P. BUZY rapporte que lorsque les carmélites de Bethléem parlaient en récréation de leur chère et lointaine France, le regard de la petite sœur s'illuminait et elle s'écriait :
«Oui, oui, bientôt la France triomphera ; bientôt, elle sera la reine des royaumes. Elle a fait trop de bien dans les Missions pour que Dieu l'abandonne».
Dans une extase du 16 juillet 1876 :
«Oh cher Rosier, tu fais la joie de mon cœur ! On y bâtira un grand salon pour le Maître ; et le Seigneur dit : Je viendrai y habiter avec ma lumière, avec le soleil en plein jour ; mais avant, on brûlera les épines. Oh, qu'il sera beau, le Rosier !»
«On sème sur la terre du Rosier beaucoup d'épines parce qu'il y a beaucoup de petits vers qui mangent le suc des bonnes plantes».
Et le Seigneur a dit :
«s'il y a des bonnes plantes, mettez-les dans un trou et cachez-les. Plantez des arbres épineux ; comme il y a beaucoup de moucherons, ils viendront se poser sur ces épines. Alors on y mettra le feu, et les voilà tous brûlés.....».
«Et le cher petit Rosier qui semblait sur le point de mourir ! Attendez encore un peu, et vous verrez comme il sera beau ! Mais ce sera long : il faut encore un peu de temps....».
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Kérizinen Notre-Dame du Très Saint Rosaire (1938-1965)
A la page 32 de l’ouvrage « Kérizinen, messages du Christ et de la Sainte Vierge, 1938-1965 », nous pouvons lire l’intégralité du message suivant, donné le 29 mai 1948, lors de la 18 ième apparition(pendant l’octave de la Fête-Dieu et la veille de la Fête de Sainte Jeanne-D'arc). La Très Sainte Vierge annonce ici pour la première fois, qu’Elle-même fera le don d’un « grand Chef, un Roi » afin de « relever et sauver la France » :
« Il va y avoir une prochaine guerre lourde de conséquences. La France est appelée à être envahie et occupée par une armée russe et c'est là que l’Église et les bons souffriront persécution de la part des sans-Dieu (1). Mais que l'on prête enfin attention à mes demandes et Je vous préserverai de ces terribles ennemis, car Je descends pour vous épargner bien des peines, vous adoucir bien des maux. Je descends pour relever et sauver la France. Dans quelque temps Je lui donnerai un grand Chef, un Roi (2). Elle connaîtra alors un tel redressement que son influence spirituelle sera prépondérante dans l'Univers. Mais Je descends surtout pour vos âmes, pour les pécheurs et c'est par la Bretagne, qui m'est restée le plus fidèle, (3) que Je veux rechristianiser la France qui, revenue au Christ, revêtira un caractère tellement religieux qu'elle redeviendra lumière des peuples païens. Quelques années après cette prochaine guerre vous en subirez une autre, mais après laquelle les fidèles serviteurs du Christ jouiront d'une douce et juste paix: ce sera le règne de Jésus par Mon Cœur Immaculé. Cependant, ces guerres peuvent être évitées si le monde repentant retournait à Dieu ».
Notes :
(1) : « Les sans-Dieu est l'expression habituelle utilisée par la Très Sainte Vierge pour nommer les communistes ».
(2) : « Vers la fin des temps, un descendant des Rois Francs régnera sur tout l'antique empire romain. Il sera le plus grand des Rois de France, et le dernier de sa race. Il arrivera comme par miracle. (Saint-Rémi évêque de Reims, nuit de Noël 496) Vous direz aux Français qu'ils fassent leur trésor des testaments de Saint-Rémi, de Charlemagne et de St-Louis (Actes de Saint-Pie X, tome 5, page 204 de l’édition de 1908) ».
(3) : « La grande fidélité de la Bretagne fut que, pendant la Révolution française, elle combattit et se fit massacrer pour défendre la religion catholique. (Lire "la bataille de Kerguidu" par Lan Inizan, prêtre de Plounévez-Lochrist -Editions Robert Laffont) ».
Une deuxième intervention de Notre-Dame du Très Saint Rosaire, le 31 octobre 1956 lors de la 37 ième apparition, confirme l’avènement du « Grand Monarque, envoyé spécial de Dieu » qui n’est plus seulement celui qui redressera la France, mais également celui qui sera « défenseur de l’Église et de la liberté » :
« […] Voyez, déjà la paix semble fuir le Monde. Dieu pourrait, bientôt, affirmer ses droits en frappant rigoureusement ce Monde pécheur. Depuis le temps que Je vous préviens! Quel cas a-t-on fait de mes avertissements pourtant si maternels ? C'est dans ces temps d'angoisse, dans ces temps lugubres que vous le comprendrez, que vous le sentirez, le miracle de ma présence parmi vous. Car visiblement, de ma protection, Je couvrirai ces terres bretonnes, desquelles doit surgir une France nouvelle, une France chrétienne, gouvernée par ce Grand Monarque, envoyé spécial de Dieu comme défenseur de l’Église et de la liberté, et sous le règne duquel toute justice sera rendue ».
Enfin, une troisième intervention de Notre-Dame du Très Saint Rosaire, le 13 octobre 1958 lors de la 42 ième apparition, évoque « le salut miraculeux » de la France par « son sauveur prédestiné » :
« Voyez, dans cette période de purification, l'Esprit-Saint, comme un aigle divin, plane au-dessus des âmes et, de son regard de feu, fascine celles qui ont compris qu'Il est le centre de leur être. En secret, Il opère des merveilles jusqu'à ce que le nombre de victimes soit atteint. Ne vous alarmez donc pas en raison de tant d'événements, mais plus que jamais, il vous est nécessaire de prier et aussi d'agir, car, si les hommes ont besoin du secours de Dieu, Dieu aussi demande le concours des hommes. Il a besoin de vous pour réaliser les desseins éternels de sa Providence. Faites-vous donc l'impérieux devoir d'être les dignes répondants et les fidèles messagers de nos deux Cœurs si intimement unis dans le Saint-Esprit. Priez beaucoup pour l’Église. Priez beaucoup pour la France, qui reste guettée par certains pays ennemis qui voudraient en faire leur proie. Croyez à son salut miraculeux, à son sauveur prédestiné, car les bras des hommes sont incapables de mettre ordre aux affaires publiques ».
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Labre Benoît-Joseph, saint
«Paris108 sera détruit à cause de ses blasphèmes ; une pierre n'y restera pas sur l'autre» (Lettre au pape Pie VI).
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Lanchon Marcelle
La Très Sainte Vierge Marie à Marcelle Lanchon
(pas de jugement de l’Église)
« Si, en union avec mon Divin Fils, j'aime toutes les nations qu'Il a rachetées de Son Sang, vois comme je chéris tout particulièrement ta chère Patrie...
Mon Fils désire que l'on fasse des images et des statues me représentant ainsi et que l'on m'invoque sous le vocable de Notre Dame de France. Si l'on répond à ce nouveau désir de Son Divin Cœur, la France reviendra tout particulièrement mienne, je la prendrai à jamais sous ma maternelle protection et mon Fils se plaira à répandre sur elle d'abondantes bénédictions. » (8 septembre 1914, jour où eut lieu ce que l'on a appelé « le miracle de la Marne » : les Allemands étaient arrêtés aux portes de Paris. Imprimatur de Mgr Roland Gosselin pour l'image de "Marie Reine de France", et pour la prière révélée lors des apparitions.)
**************************
Lataste Marie
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste de la France :
« Ma fille, je vous le dis en vérité, il est quelquefois assez d’une âme qui se présente devant Dieu dans la crainte et le tremblement, et qui lui adresse ses supplications, pour arrêter son bras vengeur déjà levé contre une nation tout entière. »
« Priez, ma fille, priez beaucoup pour la France : le nombre de ses iniquités s’accroît de jour en jour; priez pour elle, et désarmez le courroux de mon Père. Joignez-vous aux âmes pieuses et saintes qui lui adressent leurs incessantes supplications. Si Dieu veille sur la France et la protège malgré ses iniquités, ce n'est qu’en vue des prières et des supplications nombreuses qui lui sont adressées, et qui montent jusqu’à lui pour le fléchir. »
« …Puis le Sauveur Jésus ajouta : "Mon fils, priez pour la France ; je l'ai déjà dit et je me plais à vous le répéter, si les coups de la justice de mon Père ne sont point tombés sur elle, c'est Marie, la Reine du Ciel, qui les a arrêtés. Satan rugit de rage au fond des enfers contre un royaume qui lui a porté, à la vérité, de rudes coups ; il frémit de rage en voyant le bien qui se fait dans cette contrée ; il fait tous ses efforts pour augmenter le mal et irriter davantage la vengeance divine.
« Mais une chaîne qu'il ne peut briser le captive ; car ma Mère a un droit spécial sur la France qui lui est consacrée, et, par ce droit, elle arrête le bras courroucé de Dieu et répand sur ce pays, qui lui est voué, les bénédictions du ciel pour le faire croître dans le bien. C'est pourquoi je ne cesse d'avertir pour prévenir d'immenses calamités.
« O France ! ta gloire s'étendra au loin ; tes enfants la porteront au-delà de la vaste étendue des mers, et ceux qui ne te connaîtront que de nom prieront pour ta conservation et ta prospérité.
« La guerre aura été une miséricorde. On le reconnaîtra plus tard et ceux qui auront souffert seront dans la joie d’avoir contribuer à faire une France nouvelle en laquelle « Dieu prendra ses complaisances ». Une fois que la France aura payé sa dette, elle sera récompensée par une telle abondance de grâces et de bénédictions qu’en peu de temps, elle aura tout oublié de ses douleurs. Pour les puissances qui auront à combattre avec tant de générosité, de courage et d’intrépidité, elles recevront de la France la plus grande récompense, celle de venir prendre place au sein de l’Église catholique, apostolique et romaine. « Et l’Église, elle-même, sortira de ce baptême de sang, rajeunie et renouvelée. Je vais mettre fin au règne de l’impiété, je vais briser tous les obstacles et renverser tous les projets de ceux qui empêchent la lumière de se faire. »
La France sera sauvée par des moyens en dehors de toute connaissance, Dieu s’en réservant le secret jusqu’au dernier moment. « Je me joue des projets des hommes, ma Droite prépare des merveilles, mon nom sera glorifié par toute la terre ; je me plairai à confondre l’orgueil des impies et plus le monde sera hostile au surnaturel, plus merveilleux et extraordinaires seront les faits qui confondront cette négation du surnaturel.
A la place du trône de la Bête s’élèveront deux trônes glorieux : celui du Sacré Cœur de Jésus et celui du Cœur immaculé. Il sera reconnu que ce ne sera ni la force des hommes, ni la puissance des canons, ni le génie des industriels qui mettra fin à cette guerre. Mais elle se terminera que lorsque l’expiation sera achevée ; ayant hâte d’en finir avec l’impiété et de voir la France telle que la désire, j’abrégerai la durée par l’intensité !...
Prenez courage et soyez convaincu qu’une fois la France victorieuse, je ne la laisserai pas au pouvoir des impies ; le règne de dieu est proche. Il va s’ouvrir par un fait aussi éclatant qu’inattendu. »
MARIE LATASTE, VIT UN JOUR L'ANGE EXTERMINATEUR PLANER SUR LA GRANDE VILLE, PARIS
«Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d'une robe rouge, il portait un diadème sur la tête ; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu : l'Ange exterminateur.
Paris, ville exécrable, depuis longtemps tu mérites mon indignation, et si je n'ai point fait tomber sur toi les flots de ma colère, c'est par un effet de ma Miséricorde. J'ai arrêté mon bras vengeur déjà prêt à s'appesantir sur toi. J'ai épargné la multitude innombrable des pécheurs pour ne point frapper les justes. Tes habitants te maudiront un jour, parce que tu les auras saturés de ton air empesté, et ceux à qui tu as donné asile te jetteront leurs malédiction, parce qu’ils ont trouvés la mort en ton sein.»
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Martel Marie (1872-1911)
Marie Martel est la voyante des apparitions de la Très Sainte Vierge Marie à Tilly-sur-Seulles, dans le Calvados.
De l’ouvrage « La Vierge Marie dans l’histoire de France », page 269 :
Le 31 janvier 1903 :
« "Oh, mes enfants, priez, priez, livrez-vous à la pénitence. Je ne puis plus retenir la justice divine. Priez pour le Saint-Père, son cœur est torturé. Priez pour le Roi. En ces jours vous vivez sous le règne du crime. Mais la France va régner par le Sacré-Cœur ; le Roi qui va venir portera dans ses armes les insignes de mon Divin Fils". Dans une autre circonstance : "La république va tomber. C’est le règne de Satan. Priez pour le Roi qui va venir". Marie Martel ne connaît pas le nom du Roi, elle sait seulement que c’est la monarchie qui assurera le relèvement de la France dans une ère nouvelle, parce que la royauté en France est traditionnellement un régime chrétien. Elle reçoit souvent la consigne : "Prie Jeanne d’Arc" ».
Du tome 2 de l’œuvre « Les documents de Tilly », page 400 :
Extase du 3 mai 1903
« Le triomphe viendra…mes enfants, priez, priez beaucoup…Il faut prier pour le futur Roi…et pour le souverain pontife…La république va tomber : c’est le règne de Satan ! ...Un autre monde et un autre règne vont venir… ».
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Mon site Web : Garde des trois Blancheurs
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
Re: PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
Mattay Abbé (1815)
De l’ouvrage « Demain », pages 198 à 202 :
« En 1813, l’abbé Mattay, curé de Saint-Méen, en Bretagne, à quelques kilomètres de Dinant, prononça du haut de la chaire les paroles suivantes : ‘ Pauvres mères, vous pleurez la perte de vos enfants, vous avez raison ; mais consolez-vous ; dans deux ans vous n’aurez plus d’empereur, il sera détrôné et remplacé par un prince de la famille des Bourbons’. Cette audace faillit lui susciter des difficultés avec le régime impérial. Le maire, bien pensant, en fut quitte pour le représenter auprès des autorités du chef-lieu comme un homme qui n’avait plus la tête à lui. Il l’avait si bien à lui, qu’en 1815 il fit la prophétie suivante, claire, détaillée et en même temps si logique de suite. Elle complète celle de l’Abbé Souffrand.
Par souci de cohérence je présente les versets de la prophétie dans un ordre différent de la version originale, en faisant apparaître plus largement d’autres thèmes majeurs liés à nos temps :
« 10. Après elle [il est ici question de la République] un prince légitime[le Grand Monarque], d’une grande piété et d’une grande sagesse, sera appelé à gouverner la France. Il vivra très vieux, et la France se trouvera heureuse sous son règne. Il viendra au moment où on s’y attendra le moins. Il prendra le titre d’empereur ; car, à partir de là, nous ne devons plus avoir de rois.
11. Vers la fin du règne de l’usurpateur, le pape mourra et aura pour successeur un jeune pape, qui saura se mettre à la hauteur de sa mission ; et c’est sous ce jeune pape que nous sommes appelés à voir les grands événements.
12. L’empereur aura passé en France presque tout le temps du règne républicain ; mais on en parlera très peu, si ce n’est quelques jours avant son avènement.
13. Il partira de Rome pour occuper le trône après avoir reçu la bénédiction du Saint-Père.
14. Sa garde sera composée d’étrangers […].
16. Les puissances étrangères s’armeront, non en faveur de la légitimité, mais dans le but de partager la France.
17. L’empereur de Russie à la tête d’une grande armée, viendra jusqu’au Rhin, qu’il ne passera pas, parce que là une main invisible l’arrêtera. Il verra le doigt de Dieu.
18. Quelque chose de miraculeux arrivera : l’empereur de Russie embrassera la religion catholique et la fera reconnaître dans tous ses États. Je ne puis au juste préciser l’époque de ces choses [conversion de la Russie promise par Notre-Dame à Fatima]. […].
20. Et à un moment donné toute l’Europe sera en feu [comme annoncé par l’ensemble des prophéties actuelles]. […].
26. Les églises seront fermées pendant quelque temps, surtout dans les villes.
27. Le feu n’atteindra point la Bretagne, ou du moins elle souffrira peu […].
34. Pendant le temps que durera la grande Crise, les journaux, devenus presque insignifiants, n’apprendront que peu de nouvelles, et souvent celles du jour seront démenties le lendemain. […].
21. Le calme naîtra cependant de l’orage au moment où l’on s’y attendra le moins et qu’on croira tout perdu.
22. L’heureux changement arrivera et sera annoncé par des proclamations qui, dans un clin d’œil, seront répandues par toute la France.
23. Les fonctionnaires désignés se trouveront à leur poste à point nommé ; les emplois seront donnés au mérite et non à la faveur ; la religion sera protégée et respectée […].
32. La paix sera attribuée à Dieu et non aux hommes, et ce dont nous devons être témoins sera regardé comme miraculeux.
33. Alors, la joie sera si grande que le voyageur n’aura pas besoin d’argent ; il sera recueilli et défrayé partout ; on dressera des tables dans les rues, et on y admettra tout le monde sans distinction ; les réjouissances dureront huit jours consécutifs ».
***************************
Mère du Bourg
(1875)
La Mère du Bourg, native de Toulouse, vécut à Limoges où elle fonda la congrégation des sœurs du Sauveur. Fille d’un martyr de la Grande Révolution, elle a été comblée de grâces extraordinaires pendant sa vie. Durant ses oraisons elle se levait de terre. Elle reçut des révélations précieuses sur l’avenir de la France qu’elle rassembla dans un opuscule « Vues intérieures », en 1857 ; Notre Seigneur lui ayant indiqué que ce n’était pas pour elle que ces paroles lui avaient été dites.
Pendant le règne de Louis-Philippe, j’entendis le Seigneur dire d’une voix menaçante à ce roi : « Vous m’avez méprisez ; vous avez fait apostasier mon peuple en le faisant travailler le dimanche. La jeunesse a été livrée aux impies. » Et je compris alors que ce roi serait châtié, et il me fut dit que le temps approchait ; et bientôt on vit éclater la révolution de 1848. Les remparts et les forteresses bâties au mépris de la loi de Dieu (le dimanche), ne purent défendre celui qui les avait fait élevées pour sa sûreté selon les belles paroles de saint Félix : Avec la protection de Jésus-Christ les plus fortes murailles ne sont que des toiles d’araignées. Je compris surtout que c’était la profanation du dimanche qui attirait sur la France les plus terribles fléaux.
Voilà où nous en sommes : les châtiments du Seigneur vont tomber sur nous en diverses manières.
Des fléaux, des troubles, du sang versé. Il y aura dans notre France un renversement effroyable !
Cependant ces jours seront abrégés en faveur des justes.
Dieu élèvera sur le trône un roi modèle, un roi chrétien.
Le fils de saint Louis aimera la religion, la bonté, la justice. Le Seigneur lui donnera la lumière, la sagesse et la puissance.
Lui-même l'a préparé depuis longtemps et l'a fait passer au creuset de l'épreuve et de la souffrance, mais Il va le rappeler de l'exil. Lui, le Seigneur, le prendra par la main et, au jour fixé, Il le replacera sur le trône.
Sa destinée est de réparer et de régénérer ; alors la religion consolée refleurira, et tous les peuples béniront le règne du Prince Dieudonné.
Mais ensuite, le mal reprendra le dessus et durera plus ou moins jusqu’à la fin des temps.
La lumière d’en haut ne m’a pas été donnée pour les derniers événements du monde dont parle l’Apocalypse.
***********************
Metz Marie-Catherine sœur
Sœur Marie-Catherine de Metz
(1886)
Sœur Marie-Catherine est morte en 1886, à l’âge de 82 ans. Elle était visitandine à Metz. Elle fut favorisée de nombreuses visions ; elle en faisait des récits qui ont été recueillis par les sœurs et conservés par les prêtres.
Notre-Seigneur lui dit : « Regarde. » Alors, dit-elle, je vis une grande quantité de personnes assemblées dans une vaste plaine au-dessus de laquelle s’amoncelaient des nuages menaçants.
Bientôt éclata le plus furieux ouragan. Nul abri pour s’y réfugier, la foudre en tombant faisait de nombreuses victimes ; celles qui n’étaient pas atteintes, plus mortes que vives, se préparaient au même sort.
Insensiblement, cependant, la tempête se calma ; le ciel redevint serein ; une magnifique campagne, ornée de la plus riche végétation, s’offrit à mes yeux. Je n’avais jamais rien vu de si beau en notre triste monde et je croyais trouver une image du paradis terrestre, tel qu’il était avant la chute de l’homme.
Je marchais d’enchantements en enchantements, oubliant les douleurs passées. Quand, de nouveau, les nuages couvrirent le ciel et présagèrent un orage plus épouvantable que le premier. En moins de quelques instants, une obscurité profonde enveloppa toute la terre, et de sinistres éclairs sillonnant la nuée, laissant seul entrevoir l’horreur des plus épaisses ténèbres.
Il me dit alors que j’avais vu l’image de notre pauvre France. Pour elle allaient commencer les jours de l’épreuve, jours de terreur et d’effroi, mais ils seraient suivis d’un si merveilleux triomphe pour la religion, que j’avais on n’en aura contemplé de semblables ; néanmoins, sa durée devait être courte.
Vision du 12 février 1872 :
Notre-Seigneur dit à Marie-Catherine : « Je ne ferai grâce à ce peuple ingrat que lorsque les prières et les bonnes œuvres auront cicatrisé mes plaies et apaisé ma justice. »
Je compris alors, dit Marie-Catherine, deux choses :
- la première, que le moment de la délivrance, moins proche qu’on ne le croit, sera précédé de terribles châtiments ;
- la deuxième, que chaque âme est appelée à prendre sa part des souffrances qui doivent former la grande expiation.
Vision du 10 septembre 1875 :
Tout, autour de moi, avait un aspect de tristesse et de deuil, et Notre–Seigneur m’adresse ces paroles : « La France dort, les uns dorment d’un sommeil de cupidité, les autres d’un sommeil de mollesse, d’impiété, de tiédeur et de mort ! » Alors, Notre-Seigneur prenant une branche dans sa main, et formant un signe de croix sur l’espace : « France, dit-il, lève-toi de ce sommeil de mort ! » Et, à l’instant sur la vaste étendue qui m’était montrée, tout changea de face, tous fut ravivé, sur les visages se peignait l’allégresse la plus vive, et en voyant cet épanouissement universel, je pensais : « Oh ! comme Dieu aime la France ! » et j’eus le pressentiment de notre salut.
On demanda un jour à Marie-Catherine, si elle connaissait l’époque où devait se produire cette renaissance de la religion. Elle fit la réponse suivante :
« Notre-Seigneur ne m’a jamais fait connaître l’époque précise. Je n’en puis donc parler que d’après une impression sans autre valeur que mon intuition personnelle. Dieu ne mesure pas le temps comme nous. Une année de souffrance nous paraît un siècle et mille ans sont devant le Seigneur comme le jour d’hier. Mais, lors même que j’aurais été instruite du moment des miséricordes divines, je sais trop l’influence de la prière sur les desseins de Dieu ; elle adoucit les sentences de sa justice et abrège la durée des châtiments. »
***************************
Millet Marie Angélique Sœur (1919)
Du livret « Prophéties pour la France », pages 81 et 82 :
« L’Église pleure et la France ne la console pas. Je crois que la France va sauter comme une montagne sur une mine mais pour, de montagne d’iniquité, devenir un édifice consacré à l’amour. C’est par le Grand Monarque que la France se donnera au Cœur de Jésus pour le consoler et le glorifier. C’est par le Grand Monarque que sera purgée la terre, rétabli le temps de Dieu, bâtie la nouvelle Jérusalem ».
************************
Pel père
Un religieux, séminariste, confident et fils spirituel du Père Pel, écrivit un livre dans les années 1983-1984 sur son cher et vénéré R. Père Pel. Il rapporte notamment cette prophétie faite par le saint prêtre concernant les châtiments qui doivent frapper la France.
« Ainsi en 1945, mon bon père Pel me déclarait de la part de Dieu :
Mon fils, me disait-il, sachez que les péchés du monde allant crescendo dans l’horreur au cours de ce siècle, de très grands châtiments divins vont fondre sur le monde et aucun continent ne sera épargné par la colère de Dieu.
La France coupable d’Apostasie et reniant sa vocation sera durement châtiée. Elle sera divisée comme une ligne allant de Bordeaux à Lille. A droite de cette ligne tout sera dévasté et brûlé par l’envahissement des peuples venus de l’Est et aussi par de grosses météorites enflammées tombant en pluie de feu sur la terre entière et sur ces régions en particulier. Ce sera la désolation générale : révolution, guerre, épidémies, pestes et autres, gaz toxiques et chimiques, violents tremblements de terre. Les volcans éteints de France se rallumeront, détruisant tout : Auvergne, Alpes, Pyrénées et autres lieux. Tandis que la partie gauche de la ligne sera moins touchée (Vendée, Bretagne, à cause de la Foi enracinée encore dans ces régions), mais néanmoins il faudra s’éloigner grandement des côtes, parfois même jusqu’à 50 km, pour échapper à leur engloutissement au fond des mers, comme Marseille ainsi que la Côte d’Azur qui seront engloutis à cause des péchés commis et des scandales sur les plages de ces régions en particulier. Mais je dois vous dire mon enfant, que les sectaires et les grands ennemis de Dieu qui voudront s’y réfugier, croyant échapper à ce cataclysme mondial, y seront mis à mort par les démons eux-mêmes, quels que soient les endroits où ils puissent se cacher, car la colère du Seigneur est juste et sainte.
D’épaisses ténèbres provoquées par la guerre, les incendies gigantesques et la chute des morceaux d’étoiles enflammées qui tomberont pendant trois jours et trois nuits feront disparaître le soleil, et seul les cierges de la Chandeleur, bénis à cette occasion, pourront donner de la lumière dans les mains des croyants, mais les impies ne verront pas cette lumière miraculeuse car ils ont leurs âmes dans les ténèbres.
Ainsi mon enfant, les ¾ de l’humanité seront détruits et par endroit en France, il faudra faire cent kilomètres pour trouver son semblable. On en viendra à manger de la chair humaine pour survivre. Plusieurs nations disparaîtront de la carte du monde. La France sera bien petite, mais elle survivra en partie jusqu’à la fin des temps. Car elle redeviendra, ainsi purifiée, la « Fille aînée de l’Église » rénovée ; car tous les Caïn et les Judas de l’humanité auront disparu dans ce « Jugement des Nations », mais non encore la fin des temps qui devra avoir lieu plus tard.
La mer Méditerranée va disparaître totalement, les océans lanceront vers le ciel d’énormes jets de vapeur brûlants et balaieront les continents en un effroyable raz-de-marée anéantissant tout sur son passage, tandis que de nouvelles montagnes surgiront des océans et des terres, pendant que s’effondreront les Alpes et la Vallée du Rhin jusqu’au nord envahies par la mer. Ainsi, la carte du monde sera totalement changée, la terre aura de grandes secousses qui l’empêcheront de tourner sur elle-même normalement. Les saisons n’existeront plus trois années avant que la terre redonne des herbes et de la végétation. Grande famine dans le monde entier. Paris sera détruit par la Révolution et brûlé par des tirs atomiques des Russes depuis Orléans et la région de Provins. Tandis que Marseille et la Côte d’Azur s’écrouleront dans la mer.
Plus de 3 milliards d’êtres humains disparaîtront dans une tourmente mondiale et Jésus disait qu’il n’y aurait plus de si grande désolation, même à la fin du monde, tellement sera grand le châtiment dû aux péchés du monde.
Nous commençons, mon enfant, me disait-il (en 1945), à entrer dans le temps de l’Apocalypse vu par saint Jean, l’apôtre tant aimé de Jésus.
Plus tard, quand vous verrez que ce temps redouté est proche, alors allez en Bretagne vous retirer, mais vers le centre loin des côtes qui s’écrouleront.
Car ce fléau mondial commencera par une froide nuit d’hiver et un effroyable grondement de tonnerre divin sera entendu sera entendu du monde entier, et ce coup de tonnerre divin aura un son anormal, rempli de cris démoniaques ; ce sera la voix du péché que les hommes épouvantés entendront cette nuit-là. »
***************************
De l’ouvrage « Demain », pages 198 à 202 :
« En 1813, l’abbé Mattay, curé de Saint-Méen, en Bretagne, à quelques kilomètres de Dinant, prononça du haut de la chaire les paroles suivantes : ‘ Pauvres mères, vous pleurez la perte de vos enfants, vous avez raison ; mais consolez-vous ; dans deux ans vous n’aurez plus d’empereur, il sera détrôné et remplacé par un prince de la famille des Bourbons’. Cette audace faillit lui susciter des difficultés avec le régime impérial. Le maire, bien pensant, en fut quitte pour le représenter auprès des autorités du chef-lieu comme un homme qui n’avait plus la tête à lui. Il l’avait si bien à lui, qu’en 1815 il fit la prophétie suivante, claire, détaillée et en même temps si logique de suite. Elle complète celle de l’Abbé Souffrand.
Par souci de cohérence je présente les versets de la prophétie dans un ordre différent de la version originale, en faisant apparaître plus largement d’autres thèmes majeurs liés à nos temps :
« 10. Après elle [il est ici question de la République] un prince légitime[le Grand Monarque], d’une grande piété et d’une grande sagesse, sera appelé à gouverner la France. Il vivra très vieux, et la France se trouvera heureuse sous son règne. Il viendra au moment où on s’y attendra le moins. Il prendra le titre d’empereur ; car, à partir de là, nous ne devons plus avoir de rois.
11. Vers la fin du règne de l’usurpateur, le pape mourra et aura pour successeur un jeune pape, qui saura se mettre à la hauteur de sa mission ; et c’est sous ce jeune pape que nous sommes appelés à voir les grands événements.
12. L’empereur aura passé en France presque tout le temps du règne républicain ; mais on en parlera très peu, si ce n’est quelques jours avant son avènement.
13. Il partira de Rome pour occuper le trône après avoir reçu la bénédiction du Saint-Père.
14. Sa garde sera composée d’étrangers […].
16. Les puissances étrangères s’armeront, non en faveur de la légitimité, mais dans le but de partager la France.
17. L’empereur de Russie à la tête d’une grande armée, viendra jusqu’au Rhin, qu’il ne passera pas, parce que là une main invisible l’arrêtera. Il verra le doigt de Dieu.
18. Quelque chose de miraculeux arrivera : l’empereur de Russie embrassera la religion catholique et la fera reconnaître dans tous ses États. Je ne puis au juste préciser l’époque de ces choses [conversion de la Russie promise par Notre-Dame à Fatima]. […].
20. Et à un moment donné toute l’Europe sera en feu [comme annoncé par l’ensemble des prophéties actuelles]. […].
26. Les églises seront fermées pendant quelque temps, surtout dans les villes.
27. Le feu n’atteindra point la Bretagne, ou du moins elle souffrira peu […].
34. Pendant le temps que durera la grande Crise, les journaux, devenus presque insignifiants, n’apprendront que peu de nouvelles, et souvent celles du jour seront démenties le lendemain. […].
21. Le calme naîtra cependant de l’orage au moment où l’on s’y attendra le moins et qu’on croira tout perdu.
22. L’heureux changement arrivera et sera annoncé par des proclamations qui, dans un clin d’œil, seront répandues par toute la France.
23. Les fonctionnaires désignés se trouveront à leur poste à point nommé ; les emplois seront donnés au mérite et non à la faveur ; la religion sera protégée et respectée […].
32. La paix sera attribuée à Dieu et non aux hommes, et ce dont nous devons être témoins sera regardé comme miraculeux.
33. Alors, la joie sera si grande que le voyageur n’aura pas besoin d’argent ; il sera recueilli et défrayé partout ; on dressera des tables dans les rues, et on y admettra tout le monde sans distinction ; les réjouissances dureront huit jours consécutifs ».
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Mère du Bourg
(1875)
La Mère du Bourg, native de Toulouse, vécut à Limoges où elle fonda la congrégation des sœurs du Sauveur. Fille d’un martyr de la Grande Révolution, elle a été comblée de grâces extraordinaires pendant sa vie. Durant ses oraisons elle se levait de terre. Elle reçut des révélations précieuses sur l’avenir de la France qu’elle rassembla dans un opuscule « Vues intérieures », en 1857 ; Notre Seigneur lui ayant indiqué que ce n’était pas pour elle que ces paroles lui avaient été dites.
Pendant le règne de Louis-Philippe, j’entendis le Seigneur dire d’une voix menaçante à ce roi : « Vous m’avez méprisez ; vous avez fait apostasier mon peuple en le faisant travailler le dimanche. La jeunesse a été livrée aux impies. » Et je compris alors que ce roi serait châtié, et il me fut dit que le temps approchait ; et bientôt on vit éclater la révolution de 1848. Les remparts et les forteresses bâties au mépris de la loi de Dieu (le dimanche), ne purent défendre celui qui les avait fait élevées pour sa sûreté selon les belles paroles de saint Félix : Avec la protection de Jésus-Christ les plus fortes murailles ne sont que des toiles d’araignées. Je compris surtout que c’était la profanation du dimanche qui attirait sur la France les plus terribles fléaux.
Voilà où nous en sommes : les châtiments du Seigneur vont tomber sur nous en diverses manières.
Des fléaux, des troubles, du sang versé. Il y aura dans notre France un renversement effroyable !
Cependant ces jours seront abrégés en faveur des justes.
Dieu élèvera sur le trône un roi modèle, un roi chrétien.
Le fils de saint Louis aimera la religion, la bonté, la justice. Le Seigneur lui donnera la lumière, la sagesse et la puissance.
Lui-même l'a préparé depuis longtemps et l'a fait passer au creuset de l'épreuve et de la souffrance, mais Il va le rappeler de l'exil. Lui, le Seigneur, le prendra par la main et, au jour fixé, Il le replacera sur le trône.
Sa destinée est de réparer et de régénérer ; alors la religion consolée refleurira, et tous les peuples béniront le règne du Prince Dieudonné.
Mais ensuite, le mal reprendra le dessus et durera plus ou moins jusqu’à la fin des temps.
La lumière d’en haut ne m’a pas été donnée pour les derniers événements du monde dont parle l’Apocalypse.
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Metz Marie-Catherine sœur
Sœur Marie-Catherine de Metz
(1886)
Sœur Marie-Catherine est morte en 1886, à l’âge de 82 ans. Elle était visitandine à Metz. Elle fut favorisée de nombreuses visions ; elle en faisait des récits qui ont été recueillis par les sœurs et conservés par les prêtres.
Notre-Seigneur lui dit : « Regarde. » Alors, dit-elle, je vis une grande quantité de personnes assemblées dans une vaste plaine au-dessus de laquelle s’amoncelaient des nuages menaçants.
Bientôt éclata le plus furieux ouragan. Nul abri pour s’y réfugier, la foudre en tombant faisait de nombreuses victimes ; celles qui n’étaient pas atteintes, plus mortes que vives, se préparaient au même sort.
Insensiblement, cependant, la tempête se calma ; le ciel redevint serein ; une magnifique campagne, ornée de la plus riche végétation, s’offrit à mes yeux. Je n’avais jamais rien vu de si beau en notre triste monde et je croyais trouver une image du paradis terrestre, tel qu’il était avant la chute de l’homme.
Je marchais d’enchantements en enchantements, oubliant les douleurs passées. Quand, de nouveau, les nuages couvrirent le ciel et présagèrent un orage plus épouvantable que le premier. En moins de quelques instants, une obscurité profonde enveloppa toute la terre, et de sinistres éclairs sillonnant la nuée, laissant seul entrevoir l’horreur des plus épaisses ténèbres.
Il me dit alors que j’avais vu l’image de notre pauvre France. Pour elle allaient commencer les jours de l’épreuve, jours de terreur et d’effroi, mais ils seraient suivis d’un si merveilleux triomphe pour la religion, que j’avais on n’en aura contemplé de semblables ; néanmoins, sa durée devait être courte.
Vision du 12 février 1872 :
Notre-Seigneur dit à Marie-Catherine : « Je ne ferai grâce à ce peuple ingrat que lorsque les prières et les bonnes œuvres auront cicatrisé mes plaies et apaisé ma justice. »
Je compris alors, dit Marie-Catherine, deux choses :
- la première, que le moment de la délivrance, moins proche qu’on ne le croit, sera précédé de terribles châtiments ;
- la deuxième, que chaque âme est appelée à prendre sa part des souffrances qui doivent former la grande expiation.
Vision du 10 septembre 1875 :
Tout, autour de moi, avait un aspect de tristesse et de deuil, et Notre–Seigneur m’adresse ces paroles : « La France dort, les uns dorment d’un sommeil de cupidité, les autres d’un sommeil de mollesse, d’impiété, de tiédeur et de mort ! » Alors, Notre-Seigneur prenant une branche dans sa main, et formant un signe de croix sur l’espace : « France, dit-il, lève-toi de ce sommeil de mort ! » Et, à l’instant sur la vaste étendue qui m’était montrée, tout changea de face, tous fut ravivé, sur les visages se peignait l’allégresse la plus vive, et en voyant cet épanouissement universel, je pensais : « Oh ! comme Dieu aime la France ! » et j’eus le pressentiment de notre salut.
On demanda un jour à Marie-Catherine, si elle connaissait l’époque où devait se produire cette renaissance de la religion. Elle fit la réponse suivante :
« Notre-Seigneur ne m’a jamais fait connaître l’époque précise. Je n’en puis donc parler que d’après une impression sans autre valeur que mon intuition personnelle. Dieu ne mesure pas le temps comme nous. Une année de souffrance nous paraît un siècle et mille ans sont devant le Seigneur comme le jour d’hier. Mais, lors même que j’aurais été instruite du moment des miséricordes divines, je sais trop l’influence de la prière sur les desseins de Dieu ; elle adoucit les sentences de sa justice et abrège la durée des châtiments. »
***************************
Millet Marie Angélique Sœur (1919)
Du livret « Prophéties pour la France », pages 81 et 82 :
« L’Église pleure et la France ne la console pas. Je crois que la France va sauter comme une montagne sur une mine mais pour, de montagne d’iniquité, devenir un édifice consacré à l’amour. C’est par le Grand Monarque que la France se donnera au Cœur de Jésus pour le consoler et le glorifier. C’est par le Grand Monarque que sera purgée la terre, rétabli le temps de Dieu, bâtie la nouvelle Jérusalem ».
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Pel père
Un religieux, séminariste, confident et fils spirituel du Père Pel, écrivit un livre dans les années 1983-1984 sur son cher et vénéré R. Père Pel. Il rapporte notamment cette prophétie faite par le saint prêtre concernant les châtiments qui doivent frapper la France.
« Ainsi en 1945, mon bon père Pel me déclarait de la part de Dieu :
Mon fils, me disait-il, sachez que les péchés du monde allant crescendo dans l’horreur au cours de ce siècle, de très grands châtiments divins vont fondre sur le monde et aucun continent ne sera épargné par la colère de Dieu.
La France coupable d’Apostasie et reniant sa vocation sera durement châtiée. Elle sera divisée comme une ligne allant de Bordeaux à Lille. A droite de cette ligne tout sera dévasté et brûlé par l’envahissement des peuples venus de l’Est et aussi par de grosses météorites enflammées tombant en pluie de feu sur la terre entière et sur ces régions en particulier. Ce sera la désolation générale : révolution, guerre, épidémies, pestes et autres, gaz toxiques et chimiques, violents tremblements de terre. Les volcans éteints de France se rallumeront, détruisant tout : Auvergne, Alpes, Pyrénées et autres lieux. Tandis que la partie gauche de la ligne sera moins touchée (Vendée, Bretagne, à cause de la Foi enracinée encore dans ces régions), mais néanmoins il faudra s’éloigner grandement des côtes, parfois même jusqu’à 50 km, pour échapper à leur engloutissement au fond des mers, comme Marseille ainsi que la Côte d’Azur qui seront engloutis à cause des péchés commis et des scandales sur les plages de ces régions en particulier. Mais je dois vous dire mon enfant, que les sectaires et les grands ennemis de Dieu qui voudront s’y réfugier, croyant échapper à ce cataclysme mondial, y seront mis à mort par les démons eux-mêmes, quels que soient les endroits où ils puissent se cacher, car la colère du Seigneur est juste et sainte.
D’épaisses ténèbres provoquées par la guerre, les incendies gigantesques et la chute des morceaux d’étoiles enflammées qui tomberont pendant trois jours et trois nuits feront disparaître le soleil, et seul les cierges de la Chandeleur, bénis à cette occasion, pourront donner de la lumière dans les mains des croyants, mais les impies ne verront pas cette lumière miraculeuse car ils ont leurs âmes dans les ténèbres.
Ainsi mon enfant, les ¾ de l’humanité seront détruits et par endroit en France, il faudra faire cent kilomètres pour trouver son semblable. On en viendra à manger de la chair humaine pour survivre. Plusieurs nations disparaîtront de la carte du monde. La France sera bien petite, mais elle survivra en partie jusqu’à la fin des temps. Car elle redeviendra, ainsi purifiée, la « Fille aînée de l’Église » rénovée ; car tous les Caïn et les Judas de l’humanité auront disparu dans ce « Jugement des Nations », mais non encore la fin des temps qui devra avoir lieu plus tard.
La mer Méditerranée va disparaître totalement, les océans lanceront vers le ciel d’énormes jets de vapeur brûlants et balaieront les continents en un effroyable raz-de-marée anéantissant tout sur son passage, tandis que de nouvelles montagnes surgiront des océans et des terres, pendant que s’effondreront les Alpes et la Vallée du Rhin jusqu’au nord envahies par la mer. Ainsi, la carte du monde sera totalement changée, la terre aura de grandes secousses qui l’empêcheront de tourner sur elle-même normalement. Les saisons n’existeront plus trois années avant que la terre redonne des herbes et de la végétation. Grande famine dans le monde entier. Paris sera détruit par la Révolution et brûlé par des tirs atomiques des Russes depuis Orléans et la région de Provins. Tandis que Marseille et la Côte d’Azur s’écrouleront dans la mer.
Plus de 3 milliards d’êtres humains disparaîtront dans une tourmente mondiale et Jésus disait qu’il n’y aurait plus de si grande désolation, même à la fin du monde, tellement sera grand le châtiment dû aux péchés du monde.
Nous commençons, mon enfant, me disait-il (en 1945), à entrer dans le temps de l’Apocalypse vu par saint Jean, l’apôtre tant aimé de Jésus.
Plus tard, quand vous verrez que ce temps redouté est proche, alors allez en Bretagne vous retirer, mais vers le centre loin des côtes qui s’écrouleront.
Car ce fléau mondial commencera par une froide nuit d’hiver et un effroyable grondement de tonnerre divin sera entendu sera entendu du monde entier, et ce coup de tonnerre divin aura un son anormal, rempli de cris démoniaques ; ce sera la voix du péché que les hommes épouvantés entendront cette nuit-là. »
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Mon site Web : Garde des trois Blancheurs
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
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Re: PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
Peyrous père
Livre du père Peyrous(page 117-118): La France va descendre jusqu'au fond de l’abîme, jusqu'au point où l'on ne ne verra plus aucune solution humaine de relèvement. Elle restera toute seule, délaissée de toutes les autres nations qui se détourneront d'elle, après l'avoir conduite à sa perte. Elle ne restera pas longtemps dans cette extrémité. Elle sera sauvée, mais ni par les armes, ni par le génie des humains, parce qu'il ne leur restera plus aucun moyen humain. La France sera sauvée, car le Bon Dieu interviendra par la sainte Vierge. C'est elle qui sauvera la France et le monde.....
Le Bon Dieu interviendra par la sainte Vierge et le Saint Esprit: ce sera la Nouvelle Pentecôte d'Amour, le second avènement du Saint Esprit. Ce sera une ère nouvelle et à partir de ce moment se réalisera la prophétie d’Isaïe sur l'union des cœurs et des peuples. Après le nouvel avènement du Saint Esprit, qui se manifestera plus particulièrement en France, celle-ci réalisera vraiment sa mission de fille aînée de l'Église et l'épreuve, en la purifiant, lui rendra son titre perdu...
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Pie Cardinal
«Que dirai-je, maintenant, à vous fils de France, qui gémissez sous le poids de la persécution ? Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonts baptismaux de Reims se repentira et retournera à sa première vocation… Les fautes ne resteront pas impunies mais elle ne périra jamais la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes. Un jour viendra, et nous espérons qu’il n’est pas éloigné, où la France, comme Saül sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une lumière céleste et entendra une Voix qui lui répétera : “Ma fille, pourquoi me persécutes-tu ?” Et sur sa réponse : “Qui êtes-vous Seigneur ?” la Voix répliquera : “Je suis Jésus que tu persécutes. Il est dur de regimber contre l’aiguillon, parce que, dans ton obstination, tu te ruines toi-même.” Et elle, frémissante et étonnée, dira : “Seigneur que voulez-vous que je fasse ?” Et lui : “Lève-toi, lave-toi des souillures qui t’ont défigurée, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, Fille aînée de l’Église, nation prédestinée, vase d’élection, va porter comme par le passé mon nom devant tous les peuples et tous les rois de la terre.”»
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Pio padre
Lettre du 6 novembre 1972
"Padre Pio savait que la France cache un pouvoir qui se révélera à l'heure établie (c'est-à-dire à l'heure de Dieu)... Dans le monde manque le pouvoir royal que Dieu a caché en ces temps de folie. Le pouvoir royal seulement, celui que Dieu donna à David, est capable de régir le gouvernement des peuples. Sans le pouvoir royal de David, reconnu et mis à sa juste place, me disait le Padre Pio, la religion chrétienne n'a pas le soutien indispensable sur lequel appuyer la Vérité de la parole de Dieu. La folie des hommes a été de tenter de tuer la royauté ; le monde le paye encore aujourd'hui, car sans le véritable Roi promis par Dieu parmi les descendants de David, le pouvoir de Dieu ne réside plus dans le cœur des chefs d'États et des ministres. Mais Satan tire avantage à remplacer le pouvoir royal du David vivant. Que le malheur du monde sera grand avant que les hommes puissent comprendre cette vérité. La vérité est aujourd'hui dans le cœur de peu d'hommes élus et cachés, mais, dans ces hommes, il y a tous les pouvoirs du Dieu vivant qui veut et peut détruire tous les usurpateurs des pouvoirs véritables..."
Lettre du 20 novembre 1972
"L'amour du cœur de la France royale, patrie de la royauté sortie de la descendance de David ressort ressuscité en ses héritiers... Le pouvoir de royauté de David doit RÉVEILLER dans les cœurs des Français l'amour de la ROYAUTÉ DE DIEU qui a en France son berceau. LA VRAIE GRANDEUR de la France est le pouvoir royal de David qui fut en terre de France, dans le sang du roi Louis XVI et de Marie-Antoinette.
La France fut pardonnée par le grand cœur du roi Louis XVI et de Marie-Antoinette, morts VICTIMES pour le Christ par la brutalité de la bête (la révolution diabolique)".
Le pardon du Roi Louis XVI a maintenu à la France le droit à la grandeur de la royauté de David, qui est AMOUR et HUMILITÉ, celui de reconnaître, dans le monarque, le pouvoir de l'amour divin...
Dans le silence et la prière, Dieu choisira ses élus pour le bien de la France et du monde, ... pouvoir divin et humain du grand monarque du sang royal de France".
Inutile de dire l'émotion intense que j'ai ressentie à la lecture de ces documents relatant la pensée inspirée du Padre Pio !
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Prémol La prophétie de (1783)
Prémol, signifiant « pré mou » est une ancienne Chartreuse située aux environs de Grenoble. Ce monastère, fondée en 1234 par Béatrice de Montferrat, épouse du Dauphin Guigues-André, fut plusieurs fois incendié et détruit durant la Révolution, avant d’être déserté en 1791 et pillé.
De l’ouvrage « Demain », pages 180 et 181 :
« Le grand Pape et le grand Roi du grand triomphe
100. Et je vis un homme d’une figure resplendissante comme la face des anges, monter sur les ruines de Sion [le Saint Pontife].
101. Une lumière céleste descendit sur sa tête, comme autrefois les langues de feu sur les apôtres.
102. Et les enfants de Sion [les catholiques] se prosternent à ses pieds et il les bénit.
103. Et il appela les Samaritains et les Gentils et ils se convertirent tous à sa voix [Il réunit catholiques, protestants, orthodoxes, juifs].
104. Et je vis venir de l’Orient un jeune homme remarquable [le Grand Monarque], monté sur un lion [Le lion est le symbole de la force et de la puissance].
105. Et il tenait une épée flamboyante à la main. Et le coq [La France] chantait devant lui. Et le lion mit le pied sur la tête du dragon [Satan].
106. Et sur son passage tous les peuples s’inclinaient, car l’Esprit de Dieu était en lui.
107. Et il vint aussi sur les ruines de Sion, et il mit sa main dans la main du Pontife [Alliance du Saint Pontife et du Grand Monarque].
108. Et ils appelèrent tous les peuples qui accoururent. Et ils dirent : ‘Vous ne serez heureux et forts qu’unis dans un même amour’ [Tous les peuples se soumettent à leur voix et acceptent de vivre sous le même amour, celui du Christ].
109. Et une voix, sortie du ciel au milieu des éclairs et du tonnerre : ‘Voici ceux que j’ai choisis pour mettre la paix entre l’Archange et le Dragon, et qui doivent renouveler la face de la terre. Ils sont mon Verbe [le Saint Pontife] et mon bras [le Grand Monarque]. Et c’est mon Esprit qui les garde.
110. Et je vis des choses merveilleuses.
111. Et j’entendis les cantiques de s’élever de la terre aux cieux.
112. Puis j’aperçus à l’horizon un feu ardent. Et ma vue se troubla et je ne vis et n’entendis plus rien ».
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Prophéties et révélations des saints Pères.
Un roi de France empereur de toute la Chrétienté vaincra les Turcs et mettra fin aux calamités.
« Toutes prophéties et révélations demeurent d'accord, les Turcs même s'y attendent, qu'un roi de France lèvera les armes en main forte contre eux, et leur fera lâcher prise de tout ce qu'ils auraient conquis sur les terres des Chrétiens et en l'Orient et en l'Occident, et les réduira en son obéissance, et de l’Église catholique ; et leur fera embrasser le baptême, et vivront en union de religion et fraternité catholique avec nous ; ce roi réunira l'empire divisé en l'Orient et l'Occident, et sera seul empereur du monde, aimé et redouté de tous les hommes.
Jamais ne s'est vu monarque si zélé à l'honneur de Dieu, si victorieux, si puissant, ni si heureux en terre que lui. Par lui, tous les royaumes chrétiens, auparavant désolés de toutes misères, seront relevés et rétablis en grande splendeur. Par lui, il n'y aura au monde qu'un Pasteur et une bergerie, tout schisme et hérésies ôtées ; tous tyrans et méchants tués, punis. Il y aura un saint Pape, un saint clergé, un saint Roi de France assisté de sainte noblesse et de bon peuple. La réformation en tous états sera embrassée et observée amoureusement et chacun craindra soigneusement d'offenser Dieu, et se tiendra en son devoir ; chacun s'évertuera en sa vocation de servir à Dieu en vraie et sainte religion catholique, en pureté de vie par tout le monde.
Trois temps de paix paisible seront avant la consommation du siècle premier (lisez dernier) ; la paix de Dieu le Père, qui a été depuis la création du monde jusqu'au déluge ; la deuxième, de Notre Sauveur, qui fut sous l'empire d'Auguste, pendant la vie de Notre Sauveur, en son humanité au monde : et la troisième, la paix du Saint-Esprit, qui sera universelle, sous le règne du roi de France, ayant puni tous les tyrans de la terre ; car alors le Saint-Esprit vivra en tous Chrétiens sans hérésie ; mais bien en sainte charité.
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Purgatoire Manuscrit du
« Saint Michel interviendra dans la lutte personnelle de l’Église. C'est lui qui est le chef de cette Église si persécutée, mais non bientôt anéantie, comme le pensent les méchants. C'est lui qui, également, est le Protecteur spécial de la France et qui l'aidera à se replacer à son rang de Fille aînée de l’Église, car, malgré toutes les offenses qui se commettent en France, il y a encore bien du bon, il y a des âmes bien dévouées. Quand saint Michel interviendra-t-il ? Je ne le sais pas ! Il faut beaucoup prier à ces intentions, invoquer l'Archange, en lui rappelant ses titres, et le supplier d'intercéder auprès de Celui sur le Cœur duquel il a un si grand pouvoir. Que la Sainte Vierge ne soit pas oubliée : la France est son Royaume privilégié entre tous ; elle la sauvera. On fait bien de demander partout des Rosaires et des chapelets : c'est cette prière qui est la plus efficace dans les besoins présents. Le vœu héroïque est une chose très agréable au bon Dieu et d'un grand secours aux âmes du Purgatoire et bien profitable aux âmes généreuses qui veulent bien le faire. Du reste, en cédant ainsi une partie de leurs mérites, au lieu de perdre, elles ne font que gagner ». (Imprimatur - Joseph PALICA Archip. Philippens, Vic. Gén., Roma – 1880).
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Rémi saint
Le grand monarque
Prophétie : "Vers la fin des temps, un descendant des Rois de France régnera sur tout l'antique empire romain. Il sera le plus Grand des Rois de France et le Dernier de sa Race. Après un règne des plus glorieux, il ira à Jérusalem, sur le Mont des Oliviers, déposer sa couronne et son sceptre; et c'est ainsi que finira le Saint Empire romain et chrétien."
Dans la nuit de Noël 496, à minuit, au jour anniversaire et à l'heure même de Sa naissance, le Christ lors de la naissance spirituelle de notre France et de nos Rois voulut par un miracle éclatant affirmer la mission divine de notre Pays et de la Race Royale de Mérovée, au moment même où saint Rémy va proclamer cette mission au nom du Tout-Puissant, pour sanctionner solennellement les paroles divinement inspirées de Son ministre. A minuit, alors que le Roi, la Reine et leur suite sont là. Le pieux abbé Hincmar a raconté la cérémonie de baptême de Clovis en ces termes :
Soudain, une lumière plus éclatante que le soleil inonde l’église. Le visage de l’évêque en est irradié. En même temps retentit une voix : « La paix soit avec vous ! C’est moi ! N’ayez point peur ! Persévérez en ma dilection ! »
Quand la voix eut parlé, une odeur céleste embauma l’atmosphère.
Le roi, la reine et toute l’assistance épouvantés se jetèrent aux pieds de saint Rémy qui les rassura et leur déclara que c’est le propre de Dieu d’étonner au commencement de ses visites et de réjouir à la fin.
Puis, soudain illuminé par une vision d’avenir, la face rayonnante, l’œil en feu, le nouveau Moïse s’adressant directement à Clovis, chef du nouveau peuple de Dieu, lui tint le langage de l’ancien Moïse à l’ancien peuple de Dieu :
« Apprenez mon fils que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Église Romaine, qui est la seule véritable Église du Christ. Ce royaume sera un jour grand entre tous les royaumes. Et il soumettra tous les autres peuples à son sceptre. Il durera jusqu’à la fin des temps. Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la foi romaine. Mais il sera durement châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation. »
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Reverdy Joséphine
Joséphine Reverdy Raimbault
(1908-08-28)
Madame Raimbault est le plus souvent désignée, dans les recueils de prophéties, sous le nom de Joséphine Reverdy qui est en effet son nom de jeune fille. Elle était mariée depuis peu de temps quand elle eut ses apparitions. Elle est née en 1854 et mourut le 28 août 1908. Elle habitait Boulleret, près de Léré, dans le Cher. Elle était affligée d’une maladie incurable qui la faisait beaucoup souffrir. En diverses circonstances, elle entendit la Sainte Vierge lui parler. Elle a conservé des notes.
Si le peuple ne cesse pas de violenter les commandements de Dieu et de l’Église, la France est à la veille d’être châtiée, car il m’est impossible de retenir plus longtemps le bras de mon fils.
France, la bien-aimée de mon cœur, Fille aînée de l’Église, qui était la première à rendre l’honneur, la gloire et le culte dans le temple du Seigneur, à vénérer et à honorer mes sanctuaires, tu ne nous abandonnes et nous délaisse. Tu es le scandale et la ruine des nations étrangères.
Vous touchez aux tristes événements, aux fléaux que Dieu va répandre sur son peuple rebelle. Le sang coulera sur le tranchant des épées meurtrières, sous le joug et le feu de différentes armées.
Ce châtiment sera court et terrible.
Mes chers enfants, il est temps que vous vous prépariez à la pénitence, car les prières ferventes des âmes ne peuvent plus suffire pour m’aider à retenir le bras courroucé de mon divin Fils. Je suis forcée de Lui laisser exécuter son dessein sur une grande partie de l’univers, car Il est irrité au dernier point.
Lorsque vous serez sous le poids dangereux du massacre, ne vous enfuyez pas ailleurs afin d’être épargné, cela serait inutile. Ne vous désespérez pas de manière à perdre confiance en la grâce de Dieu. Abandonnez-vous entièrement entre ses mains puissantes. Restez en famille et priez paisiblement en commun dans vos foyers. Dieu vous préservera et vous protégera à sa volonté.
Priez, peuple chrétien, priez, âmes dévouées au Sacré-Cœur de Jésus et à sa Divine Mère, car, bientôt, vous allez voir se dérouler devant vos yeux la scène terrible et douloureuse de cet épouvantable drame. Quel horrible spectacle ! Jamais nation, jamais la terre, n’ont rien vu de si effrayant ni de si épouvantable !
Un spectacle symbolique se déroula un jour sous les yeux de Joséphine Reverdy :
Elle vit un Pape, qui n’était pas Léon XIII, la tiare en tête et revêtu des ses ornements pontificaux, s’approcher d’un personnage qu’elle avait remarquer et le sacrer roi. Auprès de ce nouveau monarque était une splendide corbeille de lis blancs très hauts, ainsi qu’un drapeau blanc fleurdelisé. Au même moment, la Sainte Vierge dit à la voyante ces paroles : « Voici celui qui sauvera la France. Il est héritier des sentiments de Jésus-Christ. »
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Robin Marthe
En 1936, Marthe Robin confie cette prophétie concernant la France, au Père Finet, le co-fondateur des Foyers de Charité :
« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu'elle se sera choisie. Elle aura le nez dans la poussière. Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu. Alors elle criera vers lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille aînée de l’Église, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint, et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »
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Livre du père Peyrous(page 117-118): La France va descendre jusqu'au fond de l’abîme, jusqu'au point où l'on ne ne verra plus aucune solution humaine de relèvement. Elle restera toute seule, délaissée de toutes les autres nations qui se détourneront d'elle, après l'avoir conduite à sa perte. Elle ne restera pas longtemps dans cette extrémité. Elle sera sauvée, mais ni par les armes, ni par le génie des humains, parce qu'il ne leur restera plus aucun moyen humain. La France sera sauvée, car le Bon Dieu interviendra par la sainte Vierge. C'est elle qui sauvera la France et le monde.....
Le Bon Dieu interviendra par la sainte Vierge et le Saint Esprit: ce sera la Nouvelle Pentecôte d'Amour, le second avènement du Saint Esprit. Ce sera une ère nouvelle et à partir de ce moment se réalisera la prophétie d’Isaïe sur l'union des cœurs et des peuples. Après le nouvel avènement du Saint Esprit, qui se manifestera plus particulièrement en France, celle-ci réalisera vraiment sa mission de fille aînée de l'Église et l'épreuve, en la purifiant, lui rendra son titre perdu...
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Pie Cardinal
«Que dirai-je, maintenant, à vous fils de France, qui gémissez sous le poids de la persécution ? Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonts baptismaux de Reims se repentira et retournera à sa première vocation… Les fautes ne resteront pas impunies mais elle ne périra jamais la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes. Un jour viendra, et nous espérons qu’il n’est pas éloigné, où la France, comme Saül sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une lumière céleste et entendra une Voix qui lui répétera : “Ma fille, pourquoi me persécutes-tu ?” Et sur sa réponse : “Qui êtes-vous Seigneur ?” la Voix répliquera : “Je suis Jésus que tu persécutes. Il est dur de regimber contre l’aiguillon, parce que, dans ton obstination, tu te ruines toi-même.” Et elle, frémissante et étonnée, dira : “Seigneur que voulez-vous que je fasse ?” Et lui : “Lève-toi, lave-toi des souillures qui t’ont défigurée, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, Fille aînée de l’Église, nation prédestinée, vase d’élection, va porter comme par le passé mon nom devant tous les peuples et tous les rois de la terre.”»
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Pio padre
Lettre du 6 novembre 1972
"Padre Pio savait que la France cache un pouvoir qui se révélera à l'heure établie (c'est-à-dire à l'heure de Dieu)... Dans le monde manque le pouvoir royal que Dieu a caché en ces temps de folie. Le pouvoir royal seulement, celui que Dieu donna à David, est capable de régir le gouvernement des peuples. Sans le pouvoir royal de David, reconnu et mis à sa juste place, me disait le Padre Pio, la religion chrétienne n'a pas le soutien indispensable sur lequel appuyer la Vérité de la parole de Dieu. La folie des hommes a été de tenter de tuer la royauté ; le monde le paye encore aujourd'hui, car sans le véritable Roi promis par Dieu parmi les descendants de David, le pouvoir de Dieu ne réside plus dans le cœur des chefs d'États et des ministres. Mais Satan tire avantage à remplacer le pouvoir royal du David vivant. Que le malheur du monde sera grand avant que les hommes puissent comprendre cette vérité. La vérité est aujourd'hui dans le cœur de peu d'hommes élus et cachés, mais, dans ces hommes, il y a tous les pouvoirs du Dieu vivant qui veut et peut détruire tous les usurpateurs des pouvoirs véritables..."
Lettre du 20 novembre 1972
"L'amour du cœur de la France royale, patrie de la royauté sortie de la descendance de David ressort ressuscité en ses héritiers... Le pouvoir de royauté de David doit RÉVEILLER dans les cœurs des Français l'amour de la ROYAUTÉ DE DIEU qui a en France son berceau. LA VRAIE GRANDEUR de la France est le pouvoir royal de David qui fut en terre de France, dans le sang du roi Louis XVI et de Marie-Antoinette.
La France fut pardonnée par le grand cœur du roi Louis XVI et de Marie-Antoinette, morts VICTIMES pour le Christ par la brutalité de la bête (la révolution diabolique)".
Le pardon du Roi Louis XVI a maintenu à la France le droit à la grandeur de la royauté de David, qui est AMOUR et HUMILITÉ, celui de reconnaître, dans le monarque, le pouvoir de l'amour divin...
Dans le silence et la prière, Dieu choisira ses élus pour le bien de la France et du monde, ... pouvoir divin et humain du grand monarque du sang royal de France".
Inutile de dire l'émotion intense que j'ai ressentie à la lecture de ces documents relatant la pensée inspirée du Padre Pio !
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Prémol La prophétie de (1783)
Prémol, signifiant « pré mou » est une ancienne Chartreuse située aux environs de Grenoble. Ce monastère, fondée en 1234 par Béatrice de Montferrat, épouse du Dauphin Guigues-André, fut plusieurs fois incendié et détruit durant la Révolution, avant d’être déserté en 1791 et pillé.
De l’ouvrage « Demain », pages 180 et 181 :
« Le grand Pape et le grand Roi du grand triomphe
100. Et je vis un homme d’une figure resplendissante comme la face des anges, monter sur les ruines de Sion [le Saint Pontife].
101. Une lumière céleste descendit sur sa tête, comme autrefois les langues de feu sur les apôtres.
102. Et les enfants de Sion [les catholiques] se prosternent à ses pieds et il les bénit.
103. Et il appela les Samaritains et les Gentils et ils se convertirent tous à sa voix [Il réunit catholiques, protestants, orthodoxes, juifs].
104. Et je vis venir de l’Orient un jeune homme remarquable [le Grand Monarque], monté sur un lion [Le lion est le symbole de la force et de la puissance].
105. Et il tenait une épée flamboyante à la main. Et le coq [La France] chantait devant lui. Et le lion mit le pied sur la tête du dragon [Satan].
106. Et sur son passage tous les peuples s’inclinaient, car l’Esprit de Dieu était en lui.
107. Et il vint aussi sur les ruines de Sion, et il mit sa main dans la main du Pontife [Alliance du Saint Pontife et du Grand Monarque].
108. Et ils appelèrent tous les peuples qui accoururent. Et ils dirent : ‘Vous ne serez heureux et forts qu’unis dans un même amour’ [Tous les peuples se soumettent à leur voix et acceptent de vivre sous le même amour, celui du Christ].
109. Et une voix, sortie du ciel au milieu des éclairs et du tonnerre : ‘Voici ceux que j’ai choisis pour mettre la paix entre l’Archange et le Dragon, et qui doivent renouveler la face de la terre. Ils sont mon Verbe [le Saint Pontife] et mon bras [le Grand Monarque]. Et c’est mon Esprit qui les garde.
110. Et je vis des choses merveilleuses.
111. Et j’entendis les cantiques de s’élever de la terre aux cieux.
112. Puis j’aperçus à l’horizon un feu ardent. Et ma vue se troubla et je ne vis et n’entendis plus rien ».
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Prophéties et révélations des saints Pères.
Un roi de France empereur de toute la Chrétienté vaincra les Turcs et mettra fin aux calamités.
« Toutes prophéties et révélations demeurent d'accord, les Turcs même s'y attendent, qu'un roi de France lèvera les armes en main forte contre eux, et leur fera lâcher prise de tout ce qu'ils auraient conquis sur les terres des Chrétiens et en l'Orient et en l'Occident, et les réduira en son obéissance, et de l’Église catholique ; et leur fera embrasser le baptême, et vivront en union de religion et fraternité catholique avec nous ; ce roi réunira l'empire divisé en l'Orient et l'Occident, et sera seul empereur du monde, aimé et redouté de tous les hommes.
Jamais ne s'est vu monarque si zélé à l'honneur de Dieu, si victorieux, si puissant, ni si heureux en terre que lui. Par lui, tous les royaumes chrétiens, auparavant désolés de toutes misères, seront relevés et rétablis en grande splendeur. Par lui, il n'y aura au monde qu'un Pasteur et une bergerie, tout schisme et hérésies ôtées ; tous tyrans et méchants tués, punis. Il y aura un saint Pape, un saint clergé, un saint Roi de France assisté de sainte noblesse et de bon peuple. La réformation en tous états sera embrassée et observée amoureusement et chacun craindra soigneusement d'offenser Dieu, et se tiendra en son devoir ; chacun s'évertuera en sa vocation de servir à Dieu en vraie et sainte religion catholique, en pureté de vie par tout le monde.
Trois temps de paix paisible seront avant la consommation du siècle premier (lisez dernier) ; la paix de Dieu le Père, qui a été depuis la création du monde jusqu'au déluge ; la deuxième, de Notre Sauveur, qui fut sous l'empire d'Auguste, pendant la vie de Notre Sauveur, en son humanité au monde : et la troisième, la paix du Saint-Esprit, qui sera universelle, sous le règne du roi de France, ayant puni tous les tyrans de la terre ; car alors le Saint-Esprit vivra en tous Chrétiens sans hérésie ; mais bien en sainte charité.
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Purgatoire Manuscrit du
« Saint Michel interviendra dans la lutte personnelle de l’Église. C'est lui qui est le chef de cette Église si persécutée, mais non bientôt anéantie, comme le pensent les méchants. C'est lui qui, également, est le Protecteur spécial de la France et qui l'aidera à se replacer à son rang de Fille aînée de l’Église, car, malgré toutes les offenses qui se commettent en France, il y a encore bien du bon, il y a des âmes bien dévouées. Quand saint Michel interviendra-t-il ? Je ne le sais pas ! Il faut beaucoup prier à ces intentions, invoquer l'Archange, en lui rappelant ses titres, et le supplier d'intercéder auprès de Celui sur le Cœur duquel il a un si grand pouvoir. Que la Sainte Vierge ne soit pas oubliée : la France est son Royaume privilégié entre tous ; elle la sauvera. On fait bien de demander partout des Rosaires et des chapelets : c'est cette prière qui est la plus efficace dans les besoins présents. Le vœu héroïque est une chose très agréable au bon Dieu et d'un grand secours aux âmes du Purgatoire et bien profitable aux âmes généreuses qui veulent bien le faire. Du reste, en cédant ainsi une partie de leurs mérites, au lieu de perdre, elles ne font que gagner ». (Imprimatur - Joseph PALICA Archip. Philippens, Vic. Gén., Roma – 1880).
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Rémi saint
Le grand monarque
Prophétie : "Vers la fin des temps, un descendant des Rois de France régnera sur tout l'antique empire romain. Il sera le plus Grand des Rois de France et le Dernier de sa Race. Après un règne des plus glorieux, il ira à Jérusalem, sur le Mont des Oliviers, déposer sa couronne et son sceptre; et c'est ainsi que finira le Saint Empire romain et chrétien."
Dans la nuit de Noël 496, à minuit, au jour anniversaire et à l'heure même de Sa naissance, le Christ lors de la naissance spirituelle de notre France et de nos Rois voulut par un miracle éclatant affirmer la mission divine de notre Pays et de la Race Royale de Mérovée, au moment même où saint Rémy va proclamer cette mission au nom du Tout-Puissant, pour sanctionner solennellement les paroles divinement inspirées de Son ministre. A minuit, alors que le Roi, la Reine et leur suite sont là. Le pieux abbé Hincmar a raconté la cérémonie de baptême de Clovis en ces termes :
Soudain, une lumière plus éclatante que le soleil inonde l’église. Le visage de l’évêque en est irradié. En même temps retentit une voix : « La paix soit avec vous ! C’est moi ! N’ayez point peur ! Persévérez en ma dilection ! »
Quand la voix eut parlé, une odeur céleste embauma l’atmosphère.
Le roi, la reine et toute l’assistance épouvantés se jetèrent aux pieds de saint Rémy qui les rassura et leur déclara que c’est le propre de Dieu d’étonner au commencement de ses visites et de réjouir à la fin.
Puis, soudain illuminé par une vision d’avenir, la face rayonnante, l’œil en feu, le nouveau Moïse s’adressant directement à Clovis, chef du nouveau peuple de Dieu, lui tint le langage de l’ancien Moïse à l’ancien peuple de Dieu :
« Apprenez mon fils que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Église Romaine, qui est la seule véritable Église du Christ. Ce royaume sera un jour grand entre tous les royaumes. Et il soumettra tous les autres peuples à son sceptre. Il durera jusqu’à la fin des temps. Il sera victorieux et prospère tant qu’il sera fidèle à la foi romaine. Mais il sera durement châtié toutes les fois qu’il sera infidèle à sa vocation. »
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Reverdy Joséphine
Joséphine Reverdy Raimbault
(1908-08-28)
Madame Raimbault est le plus souvent désignée, dans les recueils de prophéties, sous le nom de Joséphine Reverdy qui est en effet son nom de jeune fille. Elle était mariée depuis peu de temps quand elle eut ses apparitions. Elle est née en 1854 et mourut le 28 août 1908. Elle habitait Boulleret, près de Léré, dans le Cher. Elle était affligée d’une maladie incurable qui la faisait beaucoup souffrir. En diverses circonstances, elle entendit la Sainte Vierge lui parler. Elle a conservé des notes.
Si le peuple ne cesse pas de violenter les commandements de Dieu et de l’Église, la France est à la veille d’être châtiée, car il m’est impossible de retenir plus longtemps le bras de mon fils.
France, la bien-aimée de mon cœur, Fille aînée de l’Église, qui était la première à rendre l’honneur, la gloire et le culte dans le temple du Seigneur, à vénérer et à honorer mes sanctuaires, tu ne nous abandonnes et nous délaisse. Tu es le scandale et la ruine des nations étrangères.
Vous touchez aux tristes événements, aux fléaux que Dieu va répandre sur son peuple rebelle. Le sang coulera sur le tranchant des épées meurtrières, sous le joug et le feu de différentes armées.
Ce châtiment sera court et terrible.
Mes chers enfants, il est temps que vous vous prépariez à la pénitence, car les prières ferventes des âmes ne peuvent plus suffire pour m’aider à retenir le bras courroucé de mon divin Fils. Je suis forcée de Lui laisser exécuter son dessein sur une grande partie de l’univers, car Il est irrité au dernier point.
Lorsque vous serez sous le poids dangereux du massacre, ne vous enfuyez pas ailleurs afin d’être épargné, cela serait inutile. Ne vous désespérez pas de manière à perdre confiance en la grâce de Dieu. Abandonnez-vous entièrement entre ses mains puissantes. Restez en famille et priez paisiblement en commun dans vos foyers. Dieu vous préservera et vous protégera à sa volonté.
Priez, peuple chrétien, priez, âmes dévouées au Sacré-Cœur de Jésus et à sa Divine Mère, car, bientôt, vous allez voir se dérouler devant vos yeux la scène terrible et douloureuse de cet épouvantable drame. Quel horrible spectacle ! Jamais nation, jamais la terre, n’ont rien vu de si effrayant ni de si épouvantable !
Un spectacle symbolique se déroula un jour sous les yeux de Joséphine Reverdy :
Elle vit un Pape, qui n’était pas Léon XIII, la tiare en tête et revêtu des ses ornements pontificaux, s’approcher d’un personnage qu’elle avait remarquer et le sacrer roi. Auprès de ce nouveau monarque était une splendide corbeille de lis blancs très hauts, ainsi qu’un drapeau blanc fleurdelisé. Au même moment, la Sainte Vierge dit à la voyante ces paroles : « Voici celui qui sauvera la France. Il est héritier des sentiments de Jésus-Christ. »
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Robin Marthe
En 1936, Marthe Robin confie cette prophétie concernant la France, au Père Finet, le co-fondateur des Foyers de Charité :
« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu'elle se sera choisie. Elle aura le nez dans la poussière. Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu. Alors elle criera vers lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille aînée de l’Église, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint, et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »
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Re: PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
Royer Edith
En 1915, Madame ROYER déclarait :
«Le Sacré-Coeur nous sauvera. Mais quand ? Avec qui ? Après quoi ? C'est son secret...»
«Les mauvais disait-elle, se détruiront eux-mêmes.... La France sera comme désemparée.... Alors arrivera celui qui doit tout restaurer..... Il faudra bien accepter celui que la providence enverra !»
«Même avec un petit nombre, a dit encore Notre Seigneur à Madame ROYER-, J'entraînerai les faibles et les indécis et je remporterai la Victoire.... Car voici l'heure où Je régnerai malgré Satan. Le monde entier verra que Je ne suis pas seulement l’Époux mystique des âmes pures et ferventes, leur consolateur, leur confident, mais Je suis aussi le Dieu, Roi de l’Église et du monde et que la victoire ne tient pas à la force des armes, ni au nombre, mais à Ma volonté»
«Le monde croulera dans l'impiété, l'impureté et le complet oubli de Dieu et courra ainsi à son châtiment»
*****************
Sales François de, Saint
« Ah ! que les François sont braves quand ils ont Dieu de leur costé ! qu'ils sont vaillans quand ils sont devots ! qu'ils sont heureux à combattre les Infideles ! Leo qui omnibus insultat animalibus, solos pertimescit gallos, disent les naturalistes. C'est grand cas que la presence de ce capitaine françois ayt peu arrester la course des armes turquesques, et qu'à son aspect leur lune se soit esclipsée. Je m'en resjouys avec vous, ô France ! Et loué soit nostre Dieu, que de vostre arsenal soit sortie une espée si vaillante, et que l'empire soit venu à la queste d'un lieutenant-general à la cour de vostre grand roy, à qui c'est une grande gloire d'estre le plus grand guerrier d'un royaume, duquel sortent des princes qui au reste du monde sont estimés et tenus les premiers Aussi plusieurs estiment que ce sera un de vos roys, ô France, qui donnera le dernier coup de la ruine à la secte de ce grand imposteur Mahomet. (A Notre-Dame de Paris devant toute la cour royale, à l'occasion de l'oraison funèbre de Philippe-Emmanuel de Lorraine duc de Mercoeur, le 27 avril 1602)
**********************
Salette Mélanie de la
Ajoutons cette confidence que fit la voyante de La Salette, Mélanie, en 1896 alors qu'elle était à Paris, près de la Seine. Elle eut une vision qu'elle confia à l'amie qui l'accompagnait :
«Vous voyez la Seine ? Si vous saviez combien de gens y viendront et y seront jetés ! Et ce n'est pas tant ceux qu'on y jettera -il y en aura certainement- niais le plus grand nombre viendra s'y jeter, tout affolé, fuyant le feu qui sera suspendu au-dessus de la ville ! Ils s'y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi ce feu menaçant !».
Autre
(Lettre à l'abbé Roubaud, 27 mars 1894)
II me semble que la France française ne se doute pas de ce que lui préparent dans l'ombre ses plus fiers ennemis, qui désirent son anéantissement et y travaillent sans cesse, tant que Dieu le leur permet. Pauvre France endormie. Elle ne se réveillera que quand elle sera sous le pressoir de la colère de la divine justice.
(Lettre au ch. de Brandt, 17 janvier 1898)
Si Mélanie Calvat ne craint pas de qualifier les francs-maçons de «lucifériens», c'est qu'instruite par la lumière divine qui l'accompagne, elle va au fond des choses. Certes la plupart des maçons ne savent pas reconnaître leur véritable appartenance parce qu'ils sont les premier s aveuglés.
Les lucifériens sont comme le maître qu'ils servent : traîtres, vindicatifs, jaloux, ambitieux, vaniteux, farouches et cruels ; que peut-on attendre de bon des disciples de Satan, le premier révolté ?... Et dire que notre France, qui n'a pas cru aux miséricordieux avertissements de la meilleure des Mères, et à l'annonce de l'infâme secte luciférienne, s'est presque toute jetée dans les bras de cette épouvantable secte, pour rendre ses adorations au chef de l'enfer !... Pouvons-nous croire que Dieu ne vengera pas sa Gloire et tous ses droits outragés par les nations autrefois si privilégiées ? Il les vengera. Que Marie, Mère du bel amour, nous protège et veille sur les âmes à Elle consacrées et fidèles.
Autre
(Paris) Ces maisons seront vides car les habitants seront partis dans les quartiers riches pour piller, avec des draps».
Passant devant la statue de la République, elle ajouta :
«La gueuse! Elle ne sera pas fière quand Paris brûlera en ce jour-là».
.... Le feu du ciel s'ajoutera aux autres.
«Oui, précisa une autre fois Mélanie, il foudroiera certains points, le Palais Bourbon quatre vingts fois en une seconde »
«Et les députés, s'écria l'abbé Rigaux, seront-ils dans l'enceinte ? »
«Vous êtes bien curieux ! Eh bien oui, ils seront suffoqués, morts, grillés».
Mélanie a «vu» la population s'efforcer de fuir Paris :
«des désordres inexprimables»... et d'indiquer :
«On sortira le premier jour, le deuxième jour avec grand'peine, le troisième jour on ne pourra plus».
Même les conducteurs de voitures qui «s'insulteront, blasphémeront, seront pris dans la même souricière»
Le tout dans «une fumée asphyxiante»
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St-Pierre Marie de, sœur
Dans le livre: Le message de sœur Marie de St-Pierre(1848), nous pouvons lire: Elle annonçait que dans les années à venir, le plus grand danger pour la chrétienté et pour l'Église serait formé par les communistes: ''Notre Seigneur m'a dit que ces sectaires n'avaient fait qu'une incursion, mais qu'ils travaillaient en secret à leurs desseins. Ah si vous connaissiez leurs machinations diaboliques, leurs principes anti-chrétiens, ils n'attendent qu'un jour favorable pour incendier la France''.
Les révélations de cette carmélite ont été à la base de la pratique de l'adoration de la Sainte Face (avec Mr Dupont).
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Taggia Rose Asdenti de, Sœur
(1800)
Sœur Rose Asdenti de Taggia (prophétie du XVIIIe siècle) :
« Une grande révolution s’étendra sur toute l’Europe. La paix ne sera rétablie que lorsque la Fleur de Lis aura repris possession du trône de France. »
******************
Taigi Anna Maria, bienheureuse
«La France tombera dans une effroyable anarchie. Le français connaîtra le désespoir de la guerre civile au cours de laquelle les hommes âgés prendront les armes. Les partis politiques, après avoir épuisé leur sang et leur rage sans être en mesure d'arriver à tout règlement satisfaisant décideront à la dernière extrémité d'avoir recours au Saint-Siège. Ensuite, le pape adressera à la France un légat .... En conséquence, des informations reçues, Sa Sainteté devra elle-même désigner un roi chrétien pour le gouvernement de la France».
*********************
Terreaux Marie des
(1832)
La petite Marie des Terreaux ou des Brotteaux (1773-1843), une humble servante de Lyon, eut des visions de 1811 à 1832. Marie des Terreaux est morte en réputation de sainteté, à Lyon, à l'âge de soixante-dix ans. Voici comment elle évoque la Grande Crise et le Grand Coup dans un résumé de ses prédictions :
Telle on a vu commencer la Révolution (par la terreur en 92-93), telle on la verra finir. On verra à la fin les mêmes choses et les mêmes maux qu'au commencement. La république, le mensonge, la licence, etc... Mais tout ira plus rapidement et se terminera par un prodige éclatant, qui étonnera tout l'univers, et par un grand événement où les méchants seront châtiés d'une manière épouvantable...
Dans les années qui précéderont le grand événement, il y aura une grande misère... Les méchants échoueront nombre de fois dans leurs projets sanguinaires, à cause des prières des bonnes âmes. Ils n'en poursuivront pas moins leur détermination de faire périr tous les bons, dont ils dresseront des listes d'avance et marqueront les maisons et les portes pour qu'il n'en échappe aucun... Mais quand ils seront sur le point d'exercer cette nouvelle justice, Dieu commencera à exécuter la sienne. Ils seront comme aveuglés et frappés de vertige ; la division se mettra parmi eux et ils s'entr'égorgeront les uns les autres.
L'année qui précédera celle du grand événement sera très mauvaise. L'année au contraire où il aura lieu offrira une récolte magnifique, mais il ne restera pas assez de monde pour en consommer l'abondance.
À l'approche de ce grand événement, des phénomènes extraordinaires paraîtront dans le ciel. Un grand personnage se convertira à Paris.
Il y aura un moment d'anarchie effrayante pendant lequel on verra se renouveler tous les désordres des temps les plus mauvais. Le crime sans répression sera à son comble. Mais ce temps de désolation sera de courte durée. La sainte Église sera attaquée pour la troisième fois avec une fureur et une rage inouïes, mais elle en souffrira très peu, tandis que ses ennemis seront tous anéantis.
Paris sera réduit comme Sodome et Gomorrhe et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche.
Les Brotteaux de Lyon, foyer d'abominations et de révolutions, seront engloutis sous les eaux...
Les étrangers pénétreront en France et s'avanceront jusque dans les environs de Lyon.
En même temps, un grand combat aura lieu près de Lyon, dans la plaine de Saint-Fons et dans toute l'étendue du faubourg (et du point de la Guillotière, sur le pont, jusque dans la rue de la Barre) ; le carnage fut terrible, le sang ruisselait dans la plaine. Ce combat, auquel prendront part un nombre considérable de gardes nationaux, sera affreux ; le sang coulera à flots sur la terre ; il y aura un carnage et un massacre épouvantables. De part et d'autre, on combattra en désespérés. Mais les étrangers seront écrasés et n'entreront point à Lyon...
Presque tout ce qui restera de méchants, y périra aussi.
Au moment où Dieu commença à exercer sa justice, l'heure du grand châtiment sera annoncée par les éclats d'un tonnerre tellement épouvantable que la terre en fut ébranlée. Ce sera le signal auquel les bons reconnaîtront que l'heure est arrivée pour le Grand Coup. J'entendis une voix terrible qui criait : « Tout est perdu ! »
À cet instant, le bel enfant qui me conduisait me fit remarquer qu'à la hauteur des maisons et au-dessus il y avait une bataille entre les démons. Ils allaient frapper aux fenêtres de ceux qui n'ont cru à aucune prophétie et qui ont méprisé les avertissements.
Le combat fut épouvantable et vint comme s'éteindre à l'entrée de la place Bellecourt. Presque tous les méchants périrent. Peu après, j'entendis une voix douce et agréable qui disait : « Tout est sauvé »...
Au moment où la France sera châtiée d'une manière terrible, tout l'Univers le sera aussi. Il m'a été annoncé qu'il y aurait un événement effrayant, que ceux qui n'en auraient pas été prévenus croiraient toucher à leur dernière heure et penseront être à la fin du monde.
Mais tout à coup, la révolution finira par un grand miracle qui fera l'étonnement de l'univers. Le peu de méchants qui restera, se convertira. Les choses qui doivent arriver sont une image de celles de la fin du monde ; elles seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur.
Il m'a été dit : « Tous ceux qui sont pour Moi ne périront pas, ne périront pas, ne périront pas. » Mais, ai-je répliqué, il est impossible qu'il n'y ait pas quelques bons qui périssent.
Il m'a été répondu : « Oui, il pourra y avoir quelques victimes, mais elles ne seront pas perdues pour moi. »
Après le Grand Combat, la légitimité sera reconnue et tous s'embrasseront sans rancune.
Il se fera un troisième miracle qui étonnera tout l’Univers et mettre fin à la révolution : un bras de fer surgira miraculeusement, armé d’une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la Royauté.
Les événements qui doivent terminer la révolution, seront si effrayants que ceux qui n'en seront pas prévenus croiront être à la fin du monde. Ils seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur. Ces maux seront l'image de ceux qui doivent arriver à la fin du monde à moins que les prières et la pénitence ne fléchissent la justice de Dieu.
Ceux qui auront sur eux quelques objets de piété bénits seront préservés pour la plupart. Les prières de quelques parents ou amis en sauveront d'autres qui se convertiront.
En même temps que la France sera châtiée, beaucoup d'autres nations le seront aussi à peu près dans le même temps. Dans le cours de la révolution, deux miracles ont été opérés : le premier a été la rentrée des Bourbons en France ; le second, leur retour après les Cent Jours ; il s'en fera un troisième qui étonnera tout l'univers et qui mettra fin à la révolution.
Un bras de fer surgira miraculeusement, armé d'une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la royauté, dont les membres survivants doivent tous reparaître sur le sol de la patrie, après le grand événement. Il n'y aura plus alors ni haine ni rancune.
Après le grand combat, la légitimité sera reconnue...
La religion refleurira et les peuples reviendront au bonheur des premiers siècles : les chrétiens vivront comme des frères.
La Révolution s'achèvera soudain par un grand miracle qui plongera l'univers dans l'étonnement... »
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En 1915, Madame ROYER déclarait :
«Le Sacré-Coeur nous sauvera. Mais quand ? Avec qui ? Après quoi ? C'est son secret...»
«Les mauvais disait-elle, se détruiront eux-mêmes.... La France sera comme désemparée.... Alors arrivera celui qui doit tout restaurer..... Il faudra bien accepter celui que la providence enverra !»
«Même avec un petit nombre, a dit encore Notre Seigneur à Madame ROYER-, J'entraînerai les faibles et les indécis et je remporterai la Victoire.... Car voici l'heure où Je régnerai malgré Satan. Le monde entier verra que Je ne suis pas seulement l’Époux mystique des âmes pures et ferventes, leur consolateur, leur confident, mais Je suis aussi le Dieu, Roi de l’Église et du monde et que la victoire ne tient pas à la force des armes, ni au nombre, mais à Ma volonté»
«Le monde croulera dans l'impiété, l'impureté et le complet oubli de Dieu et courra ainsi à son châtiment»
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Sales François de, Saint
« Ah ! que les François sont braves quand ils ont Dieu de leur costé ! qu'ils sont vaillans quand ils sont devots ! qu'ils sont heureux à combattre les Infideles ! Leo qui omnibus insultat animalibus, solos pertimescit gallos, disent les naturalistes. C'est grand cas que la presence de ce capitaine françois ayt peu arrester la course des armes turquesques, et qu'à son aspect leur lune se soit esclipsée. Je m'en resjouys avec vous, ô France ! Et loué soit nostre Dieu, que de vostre arsenal soit sortie une espée si vaillante, et que l'empire soit venu à la queste d'un lieutenant-general à la cour de vostre grand roy, à qui c'est une grande gloire d'estre le plus grand guerrier d'un royaume, duquel sortent des princes qui au reste du monde sont estimés et tenus les premiers Aussi plusieurs estiment que ce sera un de vos roys, ô France, qui donnera le dernier coup de la ruine à la secte de ce grand imposteur Mahomet. (A Notre-Dame de Paris devant toute la cour royale, à l'occasion de l'oraison funèbre de Philippe-Emmanuel de Lorraine duc de Mercoeur, le 27 avril 1602)
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Salette Mélanie de la
Ajoutons cette confidence que fit la voyante de La Salette, Mélanie, en 1896 alors qu'elle était à Paris, près de la Seine. Elle eut une vision qu'elle confia à l'amie qui l'accompagnait :
«Vous voyez la Seine ? Si vous saviez combien de gens y viendront et y seront jetés ! Et ce n'est pas tant ceux qu'on y jettera -il y en aura certainement- niais le plus grand nombre viendra s'y jeter, tout affolé, fuyant le feu qui sera suspendu au-dessus de la ville ! Ils s'y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi ce feu menaçant !».
Autre
(Lettre à l'abbé Roubaud, 27 mars 1894)
II me semble que la France française ne se doute pas de ce que lui préparent dans l'ombre ses plus fiers ennemis, qui désirent son anéantissement et y travaillent sans cesse, tant que Dieu le leur permet. Pauvre France endormie. Elle ne se réveillera que quand elle sera sous le pressoir de la colère de la divine justice.
(Lettre au ch. de Brandt, 17 janvier 1898)
Si Mélanie Calvat ne craint pas de qualifier les francs-maçons de «lucifériens», c'est qu'instruite par la lumière divine qui l'accompagne, elle va au fond des choses. Certes la plupart des maçons ne savent pas reconnaître leur véritable appartenance parce qu'ils sont les premier s aveuglés.
Les lucifériens sont comme le maître qu'ils servent : traîtres, vindicatifs, jaloux, ambitieux, vaniteux, farouches et cruels ; que peut-on attendre de bon des disciples de Satan, le premier révolté ?... Et dire que notre France, qui n'a pas cru aux miséricordieux avertissements de la meilleure des Mères, et à l'annonce de l'infâme secte luciférienne, s'est presque toute jetée dans les bras de cette épouvantable secte, pour rendre ses adorations au chef de l'enfer !... Pouvons-nous croire que Dieu ne vengera pas sa Gloire et tous ses droits outragés par les nations autrefois si privilégiées ? Il les vengera. Que Marie, Mère du bel amour, nous protège et veille sur les âmes à Elle consacrées et fidèles.
Autre
(Paris) Ces maisons seront vides car les habitants seront partis dans les quartiers riches pour piller, avec des draps».
Passant devant la statue de la République, elle ajouta :
«La gueuse! Elle ne sera pas fière quand Paris brûlera en ce jour-là».
.... Le feu du ciel s'ajoutera aux autres.
«Oui, précisa une autre fois Mélanie, il foudroiera certains points, le Palais Bourbon quatre vingts fois en une seconde »
«Et les députés, s'écria l'abbé Rigaux, seront-ils dans l'enceinte ? »
«Vous êtes bien curieux ! Eh bien oui, ils seront suffoqués, morts, grillés».
Mélanie a «vu» la population s'efforcer de fuir Paris :
«des désordres inexprimables»... et d'indiquer :
«On sortira le premier jour, le deuxième jour avec grand'peine, le troisième jour on ne pourra plus».
Même les conducteurs de voitures qui «s'insulteront, blasphémeront, seront pris dans la même souricière»
Le tout dans «une fumée asphyxiante»
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St-Pierre Marie de, sœur
Dans le livre: Le message de sœur Marie de St-Pierre(1848), nous pouvons lire: Elle annonçait que dans les années à venir, le plus grand danger pour la chrétienté et pour l'Église serait formé par les communistes: ''Notre Seigneur m'a dit que ces sectaires n'avaient fait qu'une incursion, mais qu'ils travaillaient en secret à leurs desseins. Ah si vous connaissiez leurs machinations diaboliques, leurs principes anti-chrétiens, ils n'attendent qu'un jour favorable pour incendier la France''.
Les révélations de cette carmélite ont été à la base de la pratique de l'adoration de la Sainte Face (avec Mr Dupont).
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Taggia Rose Asdenti de, Sœur
(1800)
Sœur Rose Asdenti de Taggia (prophétie du XVIIIe siècle) :
« Une grande révolution s’étendra sur toute l’Europe. La paix ne sera rétablie que lorsque la Fleur de Lis aura repris possession du trône de France. »
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Taigi Anna Maria, bienheureuse
«La France tombera dans une effroyable anarchie. Le français connaîtra le désespoir de la guerre civile au cours de laquelle les hommes âgés prendront les armes. Les partis politiques, après avoir épuisé leur sang et leur rage sans être en mesure d'arriver à tout règlement satisfaisant décideront à la dernière extrémité d'avoir recours au Saint-Siège. Ensuite, le pape adressera à la France un légat .... En conséquence, des informations reçues, Sa Sainteté devra elle-même désigner un roi chrétien pour le gouvernement de la France».
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Terreaux Marie des
(1832)
La petite Marie des Terreaux ou des Brotteaux (1773-1843), une humble servante de Lyon, eut des visions de 1811 à 1832. Marie des Terreaux est morte en réputation de sainteté, à Lyon, à l'âge de soixante-dix ans. Voici comment elle évoque la Grande Crise et le Grand Coup dans un résumé de ses prédictions :
Telle on a vu commencer la Révolution (par la terreur en 92-93), telle on la verra finir. On verra à la fin les mêmes choses et les mêmes maux qu'au commencement. La république, le mensonge, la licence, etc... Mais tout ira plus rapidement et se terminera par un prodige éclatant, qui étonnera tout l'univers, et par un grand événement où les méchants seront châtiés d'une manière épouvantable...
Dans les années qui précéderont le grand événement, il y aura une grande misère... Les méchants échoueront nombre de fois dans leurs projets sanguinaires, à cause des prières des bonnes âmes. Ils n'en poursuivront pas moins leur détermination de faire périr tous les bons, dont ils dresseront des listes d'avance et marqueront les maisons et les portes pour qu'il n'en échappe aucun... Mais quand ils seront sur le point d'exercer cette nouvelle justice, Dieu commencera à exécuter la sienne. Ils seront comme aveuglés et frappés de vertige ; la division se mettra parmi eux et ils s'entr'égorgeront les uns les autres.
L'année qui précédera celle du grand événement sera très mauvaise. L'année au contraire où il aura lieu offrira une récolte magnifique, mais il ne restera pas assez de monde pour en consommer l'abondance.
À l'approche de ce grand événement, des phénomènes extraordinaires paraîtront dans le ciel. Un grand personnage se convertira à Paris.
Il y aura un moment d'anarchie effrayante pendant lequel on verra se renouveler tous les désordres des temps les plus mauvais. Le crime sans répression sera à son comble. Mais ce temps de désolation sera de courte durée. La sainte Église sera attaquée pour la troisième fois avec une fureur et une rage inouïes, mais elle en souffrira très peu, tandis que ses ennemis seront tous anéantis.
Paris sera réduit comme Sodome et Gomorrhe et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche.
Les Brotteaux de Lyon, foyer d'abominations et de révolutions, seront engloutis sous les eaux...
Les étrangers pénétreront en France et s'avanceront jusque dans les environs de Lyon.
En même temps, un grand combat aura lieu près de Lyon, dans la plaine de Saint-Fons et dans toute l'étendue du faubourg (et du point de la Guillotière, sur le pont, jusque dans la rue de la Barre) ; le carnage fut terrible, le sang ruisselait dans la plaine. Ce combat, auquel prendront part un nombre considérable de gardes nationaux, sera affreux ; le sang coulera à flots sur la terre ; il y aura un carnage et un massacre épouvantables. De part et d'autre, on combattra en désespérés. Mais les étrangers seront écrasés et n'entreront point à Lyon...
Presque tout ce qui restera de méchants, y périra aussi.
Au moment où Dieu commença à exercer sa justice, l'heure du grand châtiment sera annoncée par les éclats d'un tonnerre tellement épouvantable que la terre en fut ébranlée. Ce sera le signal auquel les bons reconnaîtront que l'heure est arrivée pour le Grand Coup. J'entendis une voix terrible qui criait : « Tout est perdu ! »
À cet instant, le bel enfant qui me conduisait me fit remarquer qu'à la hauteur des maisons et au-dessus il y avait une bataille entre les démons. Ils allaient frapper aux fenêtres de ceux qui n'ont cru à aucune prophétie et qui ont méprisé les avertissements.
Le combat fut épouvantable et vint comme s'éteindre à l'entrée de la place Bellecourt. Presque tous les méchants périrent. Peu après, j'entendis une voix douce et agréable qui disait : « Tout est sauvé »...
Au moment où la France sera châtiée d'une manière terrible, tout l'Univers le sera aussi. Il m'a été annoncé qu'il y aurait un événement effrayant, que ceux qui n'en auraient pas été prévenus croiraient toucher à leur dernière heure et penseront être à la fin du monde.
Mais tout à coup, la révolution finira par un grand miracle qui fera l'étonnement de l'univers. Le peu de méchants qui restera, se convertira. Les choses qui doivent arriver sont une image de celles de la fin du monde ; elles seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur.
Il m'a été dit : « Tous ceux qui sont pour Moi ne périront pas, ne périront pas, ne périront pas. » Mais, ai-je répliqué, il est impossible qu'il n'y ait pas quelques bons qui périssent.
Il m'a été répondu : « Oui, il pourra y avoir quelques victimes, mais elles ne seront pas perdues pour moi. »
Après le Grand Combat, la légitimité sera reconnue et tous s'embrasseront sans rancune.
Il se fera un troisième miracle qui étonnera tout l’Univers et mettre fin à la révolution : un bras de fer surgira miraculeusement, armé d’une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la Royauté.
Les événements qui doivent terminer la révolution, seront si effrayants que ceux qui n'en seront pas prévenus croiront être à la fin du monde. Ils seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur. Ces maux seront l'image de ceux qui doivent arriver à la fin du monde à moins que les prières et la pénitence ne fléchissent la justice de Dieu.
Ceux qui auront sur eux quelques objets de piété bénits seront préservés pour la plupart. Les prières de quelques parents ou amis en sauveront d'autres qui se convertiront.
En même temps que la France sera châtiée, beaucoup d'autres nations le seront aussi à peu près dans le même temps. Dans le cours de la révolution, deux miracles ont été opérés : le premier a été la rentrée des Bourbons en France ; le second, leur retour après les Cent Jours ; il s'en fera un troisième qui étonnera tout l'univers et qui mettra fin à la révolution.
Un bras de fer surgira miraculeusement, armé d'une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la royauté, dont les membres survivants doivent tous reparaître sur le sol de la patrie, après le grand événement. Il n'y aura plus alors ni haine ni rancune.
Après le grand combat, la légitimité sera reconnue...
La religion refleurira et les peuples reviendront au bonheur des premiers siècles : les chrétiens vivront comme des frères.
La Révolution s'achèvera soudain par un grand miracle qui plongera l'univers dans l'étonnement... »
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Mon site Web : Garde des trois Blancheurs
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
Re: PROPHÉTIES POUR LA FRANCE
Tours La religieuse de (1872 et 1873)
De l’ouvrage « Demain », pages 295 à 301 :
« Tout ce que nous savons de cette religieuse favorisée d’extases, c’est qu’elle était dirigée par un prêtre du Tiers-Ordre de Saint-François, qui, sous le pseudonyme de Paul de Jésus et sous le titre : La veille de la victoire du Christ, sans aucun commentaire, publia en 1882 les révélations de sa pénitente :
65. […] La France ne sera pas détruite. Dieu dans sa miséricorde ne perdra pas le peuple de France. En l’écrasant sous le poids du malheur, il veut le sauver. Et la Vierge Marie fléchira le céleste courroux. La Sainte Vierge prie pour nous.
66. Au moment où les Prussiens seront les maîtres et que nous croirons tout perdu, Dieu manifestera sa puissance et la Vierge Marie se montrera notre protectrice.
67. La France, dans ce moment-là, n’aura aucun secours humain. Elle se trouvera seule sans protecteur.
68. C’est à ce moment-là qu’elle se souviendra de Dieu, qu’elle aura recours au Cœur de Jésus et à Marie Immaculée.
69. Ils reconnaîtront enfin que c’est lui qui pourra rétablir la paix et le bonheur.
70. C’est alors que les Français voudront le bon Roi. Ils iront chercher celui qui est destiné pour être roi de France.
71. C’est alors, à la fin de nos maux, qu’il viendra, ce sauveur que Dieu garde à la France, ce roi dont on ne veut pas maintenant, parce qu’il est selon le Cœur de Dieu.
72. C’est lui qui montera sur le trône, délivrera l’Église et rétablira le Pape dans ses droits.
73. Le roi de Prusse viendra à Paris avec son armée, mais il sera repoussé, lui et toute sa troupe.
74. Le combat sera grand, la puissance de Dieu se manifestera ; c’est alors qu’on criera : ‘Vive le roi blanc ! Vive le Cœur de Jésus ! Vive Marie Immaculée !’La France sera sauvée par un miracle (Bataille de Saint-Pons, près de Lyon).
75. Avec notre roi, avec le drapeau blanc et orné du Cœur de Jésus qui est le drapeau de notre roi, au nom de Marie Immaculée nous serons sauvés […].
79. Le bon roi ne viendra qu’après les malheurs ; car, lorsque nous serons au pouvoir de l’ennemi, notre grande misère nous fera recourir au Dieu juste et plein de miséricorde pour les pêcheurs. Et ce n’est qu’après ces malheurs que le roi viendra pour nous sauver.
80. C’est lui qui remettra la France dans sa première grandeur. Il est selon le Cœur de Jésus.
81. Le drapeau de la France sera le drapeau blanc avec le Sacré-Cœur de Jésus.
Ce qui suit l’avènement du roi.
82. Le concile recommencera après le triomphe.
83. En ce temps-là, les hommes seront obligés d’obéir. Il n’y aura qu’un troupeau et qu’un pasteur. Les hommes reconnaîtront le Pontife comme le Père universel, le roi des peuples. Ce sera la régénération du genre humain.
84. L’époque des événements terribles a été retardée plusieurs fois à cause de la prière des bons ; car Dieu est si bon que, dans sa miséricorde, il nous avertit avant de frapper. Après ces grands malheurs, Dieu sera connu et aimé. Mais les malheurs seront grands. Aussi on ne veut pas y croire ou plutôt on n’ose pas y penser. Et pourtant cela va arriver, nous y touchons ».
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Van Marcel
Jeune vietnamien qui est mort martyr dans son pays (je mets plusieurs lignes de ses prophéties reçues de Jésus et Marie pour que le texte soit moins long):
1946; Van, écoute moi. Comme Jésus te la dit auparavant, au début de la lutte, mes apôtres paraîtront très faibles, si faibles qu'on les croira incapables de tenir tête à l'enfer.... Par là, mes apôtres apprendront à être plus humbles. Cependant, plus l'enfer aura été victorieux auparavant, plus il sera honteux ensuite, car ce ne sera pas moi en personne qui écrasera la tête de Satan mais mes enfants.... Ensuite, mon(la vierge) règne s'établira peu à peu dans le monde, comme Jésus te l'a dit. Je serai beaucoup glorifiée sur la terre, mais petit enfant, il faut que tu pries beaucoup pour mes petits apôtres.... Le monde entier me reconnaîtra pour sa véritable mère et, c'est alors qu'il comprendra clairement l'amour dont mon cœur déborde pour lui. Prie, le règne de l'amour arrivera bientôt dans le monde.... Petit Van, sache que je me choisis des apôtres dans tous les pays et, il y en a dans chaque pays..... Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout.... Surtout, prie pour les prêtres de la France, car c'est par eux que j'affermirai en ce pays le règne de mon amour... Français, mes enfants et vous mes prêtres de France, je vous aime. Soyez sur vos gardes. Ce parti, contrairement au parti communiste, ne nuira pas directement à mes enfants... Il le détruira peu à peu. Oui peu à peu, il va se propager, peu à peu, il va vomir sa fumée infernale pour vous faire mourir asphyxiés: il agira de façon à vous éloigner peu à peu de mon amour, pour vous rapprochez de l'amour profane.... Pauvre France, une fois libérée du communisme, elle subira une influence plus perverse encore, celle de la franc-maçonnerie. (L'amour ne peut mourir, vie de Marcel Van.p.204-210).
Autre
LA FRANCE ET LE VIETNAM
On se souvient à quel point il fut dur pour Van de prier pour la France. En la fin de l'année 1945, voici que Jésus revient sur le sujet :
"Van, n'oublies pas le pays que j'aime le plus, tu entends ?....Le pays qui a produit la première petite fleur qui, depuis, en a engendré beaucoup d'autres...... Cette petite fleur, c'est celle que j'ai choisie pour être ta sœur aînée, Thérèse..... Van, considère cette fleur-là et comprends ceci : c'est en France que mon amour s'est tout d'abord manifesté. Hélas ! Mon enfant, pendant que le flot de cet amour coulait par la France et l'univers, la France sacrilègement l'a fait dériver dans l'amour du monde, de sorte qu'il va diminuant peu à peu......C'est pourquoi la France est malheureuse. Mais, mon enfant, la France est toujours le pays que j'aime particulièrement.....J'y rétablirai mon amour.....Et pour commencer à répandre sur elle mon amour, je n'attends désormais qu'une chose : que l'on m'offre suffisamment de prières. Alors, mon enfant, de la France, mon amour s'étendra dans le monde......Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout.....Surtout, prie pour les prêtres de France, car c'est par eux que j'affermirai en ce pays le "Règne de mon Amour...."
Le Seigneur parle ensuite de la future et mystérieuse union de la France et du Vietnam dont Thérèse et Van sont le symbole :
"Pour ce qui est de ton temps, le Vietnam, la France est actuellement son ennemie ; mais dans l'avenir, elle fera de lui un pays qui me rendra un plus glorieux témoignage...O Van, ce que ta sœur Thérèse fait pour toi, tu dois le faire aussi pour la France. Je veux que l'union qui existe entre les deux petites fleurs (de France et du Vietnam) soit le symbole de l'union que je veux voir régner entre la France et le Vietnam....Mon enfant, souviens-toi que c'est avec la France, que ton pays le Vietnam parviendra à consolider le Règne de mon Amour. Prie pour que les deux pays ne fassent plus qu'un ensemble....O mon enfant, mon amour te donne le nom de seconde petite Thérèse. Dans le ciel, je te donnerai pour mission d'aider ta grande sœur Thérèse à inspirer au monde la confiance en mon amour..."
Ensuite, Jésus revient sur les grandes menaces qui pèsent sur l'avenir de la France :
"O mon enfant, prie pour le pays que j'aime particulièrement....Ah ! La France....Si on ne prie pas, elle sera encore une foi malheureuse, et le Règne de mon Amour ne pourra que difficilement s'y établir.....Van, ne doute pas de ce que je viens de te dire, en voyant que la situation en France est déjà un peu plus stable.....Mon enfant, je parle ainsi pour que la France soit avertie et sache prévenir, car l'Ennemi veut faire de ce pays un foyer de discordes. Il faut beaucoup prier.....France ! France ! Promets-tu d'être fidèle ? Es-tu décidée à protéger et étendre le Règne de mon Amour dans le monde ?"
***********************
Vergne Jeanne
Les poésies de Jeanne VERGNE prédisent les mêmes faits que la correspondance : le triomphe de la France et de l’Église sera précédé de grandes épreuves.
«Hélas le temps n'est plus aux trompeuses chimères.
Si les réalités nous paraissent amères
Nous savons qu'il faudra quand même les subir.
Nos grands soldats disaient : «Tenir. Il faut tenir !...».
Ce mot d'ordre donné par des âmes vaillantes
Peut rendre l'énergie aux âmes défaillantes
Il peut aller partout réveiller des échos
Dans les cœurs effrayés d'un terrible chaos.
Nous sommes là devant nos immenses ruines
Il faut nous appuyer sur des forces divines
Nous devons écarter les ronces du chemin
Tracer la route.... et Dieu peut nous tendre la main.
Après les jours sanglants, voici les jours mauvais
Nous les traverserons en vivant désormais
Avec plus de sagesse.... et malgré nos misères,
Nous saurons inventer les choses nécessaires.
Le bien être produit d'un orgueilleux progrès,
S'évanouit, laissant les plus amers regrets
La lutte pour la vie est une autre souffrance
Et nous aurons besoin d'une grande espérance.
Les sévères leçons de la nécessité
Ramèneront les jours de la postérité...
Pour nous encourager, nous aurons la prière
Nous savons qu'il bénit les pus humbles travaux
Et sa bonté divine adoucira nos maux».
Le 15 août 1925, Jeanne VERGNE implorait la venue du Chef sauveur annoncé :
Elle aussi, révèle que ce grand chef sera “Roi du Sacré-Coeur».
«De la France, ô Marie ! Obtenez le pardon ;
Rappelez au Seigneur sa divine promesse :
Un chef, que guidera l’Éternelle sagesse,
Dans le texte des lois remettra son saint nom.
Les douloureux échecs que vous avez permission
Pour que nous comprenions nos austères devoirs
Nous font craindre des jours sinistres et bien noirs...
Seigneur, vous régnerez malgré vos ennemis.
Vous régnerez chez nous, vous l'avez dit Vous-même.
C'est Votre Cœur Sacré dont l'amour infini
Nous promet un grand chef que vous avez béni
A qui vous donnerez l'autorité suprême.
Il aura pour parler, en votre nom, Seigneur
Et pour vous ramener la France toute entièrement
L'Esprit-Saint qui répand sa divine lumière
Dans cette intelligence et dans ce noble cœur.
Cette âme de héros à l'humilité sainte
Que vous aimez chez ceux qui par vous sont choisis
Pour vos gestes divins... De douloureux soucis
Mettent dans sa prière une émouvante plainte.
Et si dans sa douleur, il exprimait un vœu
Donnez-lui pour l'aider dans un tâche ardue
Des chrétiens comme lui... Car la France est perdue
Si vous ne venez pas la sauver, ô mon Dieu !
Paraîtra-t-il bientôt sur la scène du monde
Le génie inconnu que nous attendons
Pour nous dédommager de lâches abandons
Et pour nous délivrer de cette tourbe immonde
Que déversent chez nous tant de peuples divers ?
Un grand chef de l'état, vaillant, pieux et sage
Vous rendra, ô mon Dieu ! Le solennel hommage
Que la France vous doit aux yeux de l'univers.
Alors, jetant au loin son masque d'athéisme,
La France prouvera à d'autres nations
Qui l'ont sacrifiée à leur ambitions
Qu'elle renaît, malgré leur féroce égoïsme».
Une renaissance magnifique est annoncée :
«Rassure-toi, dit en 1903, Notre Seigneur à Jeanne VERGNE, l’Église de France redeviendra plus puissante qu'elle ne le fut à aucune époque de votre histoire».
*************************
Voclin abbé
(1827)
L'abbé Voclin, prêtre pieux et charitable, était curé de la paroisse Saint-Jacques, à Amiens, pendant la période de la première Restauration. Il mourut en 1838. En 1827, il fit la prophétie que nous reproduisons ci-dessous. Il l’a d’abord énoncée oralement ce qui explique son aspect un peu morcelé.
« Souvenez-vous que d’ici deux ou trois ans une révolution éclatera (1830).
La crise ne sera pas longue, mais il y aura beaucoup de sang versé.
La religion en souffrira.
Le règne du nouveau potentat (Louis-Philippe) durera assez longtemps. Mais avant 1850 (1848) éclatera un autre bouleversement : il semblera venir d’un mot.
La République sera proclamée, mais pour un bref délai.
Plus tard se déclenchera un plus terrible cataclysme.
On parlera beaucoup d’argent.
Il se produira des écrits abominables contre la religion.
D’ardentes disputes auront lieu entre écrivains de sentiments opposés.
Des ruisseaux de sang couleront dans diverses parties de la France.
La Seine coulera des ondes rougies jusqu’à la mer.
Paris sera rempli de meurtres.
Le Nord sera rudement éprouvé ; mais Amiens souffrira peu, étant spécialement protégé par la Sainte Vierge.
Pendant cette crise affreuse, les églises seront fermées par ordre ou par prudence.
Ces malheurs se prolongeront trois mois.
Il y aura un moment si lugubre que tout semblera perdu.
Mais un miracle que personne ne pourra révoquer en doute s’accomplira.
Les méchants seront écrasés. Beaucoup se convertiront.
Un roi selon le cœur de Dieu montera alors sur le trône.
Son règne sera long.
La France sera prospère, la religion en honneur.
Après peut-être un siècle de bonheur, les hommes se pervertiront encore : ce sera la fin des temps.
****************************
De l’ouvrage « Demain », pages 295 à 301 :
« Tout ce que nous savons de cette religieuse favorisée d’extases, c’est qu’elle était dirigée par un prêtre du Tiers-Ordre de Saint-François, qui, sous le pseudonyme de Paul de Jésus et sous le titre : La veille de la victoire du Christ, sans aucun commentaire, publia en 1882 les révélations de sa pénitente :
65. […] La France ne sera pas détruite. Dieu dans sa miséricorde ne perdra pas le peuple de France. En l’écrasant sous le poids du malheur, il veut le sauver. Et la Vierge Marie fléchira le céleste courroux. La Sainte Vierge prie pour nous.
66. Au moment où les Prussiens seront les maîtres et que nous croirons tout perdu, Dieu manifestera sa puissance et la Vierge Marie se montrera notre protectrice.
67. La France, dans ce moment-là, n’aura aucun secours humain. Elle se trouvera seule sans protecteur.
68. C’est à ce moment-là qu’elle se souviendra de Dieu, qu’elle aura recours au Cœur de Jésus et à Marie Immaculée.
69. Ils reconnaîtront enfin que c’est lui qui pourra rétablir la paix et le bonheur.
70. C’est alors que les Français voudront le bon Roi. Ils iront chercher celui qui est destiné pour être roi de France.
71. C’est alors, à la fin de nos maux, qu’il viendra, ce sauveur que Dieu garde à la France, ce roi dont on ne veut pas maintenant, parce qu’il est selon le Cœur de Dieu.
72. C’est lui qui montera sur le trône, délivrera l’Église et rétablira le Pape dans ses droits.
73. Le roi de Prusse viendra à Paris avec son armée, mais il sera repoussé, lui et toute sa troupe.
74. Le combat sera grand, la puissance de Dieu se manifestera ; c’est alors qu’on criera : ‘Vive le roi blanc ! Vive le Cœur de Jésus ! Vive Marie Immaculée !’La France sera sauvée par un miracle (Bataille de Saint-Pons, près de Lyon).
75. Avec notre roi, avec le drapeau blanc et orné du Cœur de Jésus qui est le drapeau de notre roi, au nom de Marie Immaculée nous serons sauvés […].
79. Le bon roi ne viendra qu’après les malheurs ; car, lorsque nous serons au pouvoir de l’ennemi, notre grande misère nous fera recourir au Dieu juste et plein de miséricorde pour les pêcheurs. Et ce n’est qu’après ces malheurs que le roi viendra pour nous sauver.
80. C’est lui qui remettra la France dans sa première grandeur. Il est selon le Cœur de Jésus.
81. Le drapeau de la France sera le drapeau blanc avec le Sacré-Cœur de Jésus.
Ce qui suit l’avènement du roi.
82. Le concile recommencera après le triomphe.
83. En ce temps-là, les hommes seront obligés d’obéir. Il n’y aura qu’un troupeau et qu’un pasteur. Les hommes reconnaîtront le Pontife comme le Père universel, le roi des peuples. Ce sera la régénération du genre humain.
84. L’époque des événements terribles a été retardée plusieurs fois à cause de la prière des bons ; car Dieu est si bon que, dans sa miséricorde, il nous avertit avant de frapper. Après ces grands malheurs, Dieu sera connu et aimé. Mais les malheurs seront grands. Aussi on ne veut pas y croire ou plutôt on n’ose pas y penser. Et pourtant cela va arriver, nous y touchons ».
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Van Marcel
Jeune vietnamien qui est mort martyr dans son pays (je mets plusieurs lignes de ses prophéties reçues de Jésus et Marie pour que le texte soit moins long):
1946; Van, écoute moi. Comme Jésus te la dit auparavant, au début de la lutte, mes apôtres paraîtront très faibles, si faibles qu'on les croira incapables de tenir tête à l'enfer.... Par là, mes apôtres apprendront à être plus humbles. Cependant, plus l'enfer aura été victorieux auparavant, plus il sera honteux ensuite, car ce ne sera pas moi en personne qui écrasera la tête de Satan mais mes enfants.... Ensuite, mon(la vierge) règne s'établira peu à peu dans le monde, comme Jésus te l'a dit. Je serai beaucoup glorifiée sur la terre, mais petit enfant, il faut que tu pries beaucoup pour mes petits apôtres.... Le monde entier me reconnaîtra pour sa véritable mère et, c'est alors qu'il comprendra clairement l'amour dont mon cœur déborde pour lui. Prie, le règne de l'amour arrivera bientôt dans le monde.... Petit Van, sache que je me choisis des apôtres dans tous les pays et, il y en a dans chaque pays..... Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout.... Surtout, prie pour les prêtres de la France, car c'est par eux que j'affermirai en ce pays le règne de mon amour... Français, mes enfants et vous mes prêtres de France, je vous aime. Soyez sur vos gardes. Ce parti, contrairement au parti communiste, ne nuira pas directement à mes enfants... Il le détruira peu à peu. Oui peu à peu, il va se propager, peu à peu, il va vomir sa fumée infernale pour vous faire mourir asphyxiés: il agira de façon à vous éloigner peu à peu de mon amour, pour vous rapprochez de l'amour profane.... Pauvre France, une fois libérée du communisme, elle subira une influence plus perverse encore, celle de la franc-maçonnerie. (L'amour ne peut mourir, vie de Marcel Van.p.204-210).
Autre
LA FRANCE ET LE VIETNAM
On se souvient à quel point il fut dur pour Van de prier pour la France. En la fin de l'année 1945, voici que Jésus revient sur le sujet :
"Van, n'oublies pas le pays que j'aime le plus, tu entends ?....Le pays qui a produit la première petite fleur qui, depuis, en a engendré beaucoup d'autres...... Cette petite fleur, c'est celle que j'ai choisie pour être ta sœur aînée, Thérèse..... Van, considère cette fleur-là et comprends ceci : c'est en France que mon amour s'est tout d'abord manifesté. Hélas ! Mon enfant, pendant que le flot de cet amour coulait par la France et l'univers, la France sacrilègement l'a fait dériver dans l'amour du monde, de sorte qu'il va diminuant peu à peu......C'est pourquoi la France est malheureuse. Mais, mon enfant, la France est toujours le pays que j'aime particulièrement.....J'y rétablirai mon amour.....Et pour commencer à répandre sur elle mon amour, je n'attends désormais qu'une chose : que l'on m'offre suffisamment de prières. Alors, mon enfant, de la France, mon amour s'étendra dans le monde......Je me servirai de la France pour étendre le règne de mon amour partout.....Surtout, prie pour les prêtres de France, car c'est par eux que j'affermirai en ce pays le "Règne de mon Amour...."
Le Seigneur parle ensuite de la future et mystérieuse union de la France et du Vietnam dont Thérèse et Van sont le symbole :
"Pour ce qui est de ton temps, le Vietnam, la France est actuellement son ennemie ; mais dans l'avenir, elle fera de lui un pays qui me rendra un plus glorieux témoignage...O Van, ce que ta sœur Thérèse fait pour toi, tu dois le faire aussi pour la France. Je veux que l'union qui existe entre les deux petites fleurs (de France et du Vietnam) soit le symbole de l'union que je veux voir régner entre la France et le Vietnam....Mon enfant, souviens-toi que c'est avec la France, que ton pays le Vietnam parviendra à consolider le Règne de mon Amour. Prie pour que les deux pays ne fassent plus qu'un ensemble....O mon enfant, mon amour te donne le nom de seconde petite Thérèse. Dans le ciel, je te donnerai pour mission d'aider ta grande sœur Thérèse à inspirer au monde la confiance en mon amour..."
Ensuite, Jésus revient sur les grandes menaces qui pèsent sur l'avenir de la France :
"O mon enfant, prie pour le pays que j'aime particulièrement....Ah ! La France....Si on ne prie pas, elle sera encore une foi malheureuse, et le Règne de mon Amour ne pourra que difficilement s'y établir.....Van, ne doute pas de ce que je viens de te dire, en voyant que la situation en France est déjà un peu plus stable.....Mon enfant, je parle ainsi pour que la France soit avertie et sache prévenir, car l'Ennemi veut faire de ce pays un foyer de discordes. Il faut beaucoup prier.....France ! France ! Promets-tu d'être fidèle ? Es-tu décidée à protéger et étendre le Règne de mon Amour dans le monde ?"
***********************
Vergne Jeanne
Les poésies de Jeanne VERGNE prédisent les mêmes faits que la correspondance : le triomphe de la France et de l’Église sera précédé de grandes épreuves.
«Hélas le temps n'est plus aux trompeuses chimères.
Si les réalités nous paraissent amères
Nous savons qu'il faudra quand même les subir.
Nos grands soldats disaient : «Tenir. Il faut tenir !...».
Ce mot d'ordre donné par des âmes vaillantes
Peut rendre l'énergie aux âmes défaillantes
Il peut aller partout réveiller des échos
Dans les cœurs effrayés d'un terrible chaos.
Nous sommes là devant nos immenses ruines
Il faut nous appuyer sur des forces divines
Nous devons écarter les ronces du chemin
Tracer la route.... et Dieu peut nous tendre la main.
Après les jours sanglants, voici les jours mauvais
Nous les traverserons en vivant désormais
Avec plus de sagesse.... et malgré nos misères,
Nous saurons inventer les choses nécessaires.
Le bien être produit d'un orgueilleux progrès,
S'évanouit, laissant les plus amers regrets
La lutte pour la vie est une autre souffrance
Et nous aurons besoin d'une grande espérance.
Les sévères leçons de la nécessité
Ramèneront les jours de la postérité...
Pour nous encourager, nous aurons la prière
Nous savons qu'il bénit les pus humbles travaux
Et sa bonté divine adoucira nos maux».
Le 15 août 1925, Jeanne VERGNE implorait la venue du Chef sauveur annoncé :
Elle aussi, révèle que ce grand chef sera “Roi du Sacré-Coeur».
«De la France, ô Marie ! Obtenez le pardon ;
Rappelez au Seigneur sa divine promesse :
Un chef, que guidera l’Éternelle sagesse,
Dans le texte des lois remettra son saint nom.
Les douloureux échecs que vous avez permission
Pour que nous comprenions nos austères devoirs
Nous font craindre des jours sinistres et bien noirs...
Seigneur, vous régnerez malgré vos ennemis.
Vous régnerez chez nous, vous l'avez dit Vous-même.
C'est Votre Cœur Sacré dont l'amour infini
Nous promet un grand chef que vous avez béni
A qui vous donnerez l'autorité suprême.
Il aura pour parler, en votre nom, Seigneur
Et pour vous ramener la France toute entièrement
L'Esprit-Saint qui répand sa divine lumière
Dans cette intelligence et dans ce noble cœur.
Cette âme de héros à l'humilité sainte
Que vous aimez chez ceux qui par vous sont choisis
Pour vos gestes divins... De douloureux soucis
Mettent dans sa prière une émouvante plainte.
Et si dans sa douleur, il exprimait un vœu
Donnez-lui pour l'aider dans un tâche ardue
Des chrétiens comme lui... Car la France est perdue
Si vous ne venez pas la sauver, ô mon Dieu !
Paraîtra-t-il bientôt sur la scène du monde
Le génie inconnu que nous attendons
Pour nous dédommager de lâches abandons
Et pour nous délivrer de cette tourbe immonde
Que déversent chez nous tant de peuples divers ?
Un grand chef de l'état, vaillant, pieux et sage
Vous rendra, ô mon Dieu ! Le solennel hommage
Que la France vous doit aux yeux de l'univers.
Alors, jetant au loin son masque d'athéisme,
La France prouvera à d'autres nations
Qui l'ont sacrifiée à leur ambitions
Qu'elle renaît, malgré leur féroce égoïsme».
Une renaissance magnifique est annoncée :
«Rassure-toi, dit en 1903, Notre Seigneur à Jeanne VERGNE, l’Église de France redeviendra plus puissante qu'elle ne le fut à aucune époque de votre histoire».
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Voclin abbé
(1827)
L'abbé Voclin, prêtre pieux et charitable, était curé de la paroisse Saint-Jacques, à Amiens, pendant la période de la première Restauration. Il mourut en 1838. En 1827, il fit la prophétie que nous reproduisons ci-dessous. Il l’a d’abord énoncée oralement ce qui explique son aspect un peu morcelé.
« Souvenez-vous que d’ici deux ou trois ans une révolution éclatera (1830).
La crise ne sera pas longue, mais il y aura beaucoup de sang versé.
La religion en souffrira.
Le règne du nouveau potentat (Louis-Philippe) durera assez longtemps. Mais avant 1850 (1848) éclatera un autre bouleversement : il semblera venir d’un mot.
La République sera proclamée, mais pour un bref délai.
Plus tard se déclenchera un plus terrible cataclysme.
On parlera beaucoup d’argent.
Il se produira des écrits abominables contre la religion.
D’ardentes disputes auront lieu entre écrivains de sentiments opposés.
Des ruisseaux de sang couleront dans diverses parties de la France.
La Seine coulera des ondes rougies jusqu’à la mer.
Paris sera rempli de meurtres.
Le Nord sera rudement éprouvé ; mais Amiens souffrira peu, étant spécialement protégé par la Sainte Vierge.
Pendant cette crise affreuse, les églises seront fermées par ordre ou par prudence.
Ces malheurs se prolongeront trois mois.
Il y aura un moment si lugubre que tout semblera perdu.
Mais un miracle que personne ne pourra révoquer en doute s’accomplira.
Les méchants seront écrasés. Beaucoup se convertiront.
Un roi selon le cœur de Dieu montera alors sur le trône.
Son règne sera long.
La France sera prospère, la religion en honneur.
Après peut-être un siècle de bonheur, les hommes se pervertiront encore : ce sera la fin des temps.
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