Diverses prophéties
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Diverses prophéties
Paris sera brulé
NDLR : les prophéties, même reconnues par l'église, n'engagent pas au niveau de la foi. Mais elles nous interpellent surtout au moment où l'assemblée nationale, a voté le projet de loi d'abomination a donc été votée le 11 décembre 2003...
Deviendra-t-elle la Loi d'abomination annoncée depuis des siècles (seconde lecture au Sénat le 17/2/2004) ?
Son châtiment annoncé par une multitude de prophéties : DESTRUCTIONDE PARIS PAR LE FEU
En 451, les hordes des Huns, barbares venus de l'Est, conduites par Attila, approchaient de Lutèce. Sainte Geneviève 1 !, par ses prières et par ses jeûnes, sauva la cité d'une destruction certaine.
Les forces nazies, Germains venus de l'Est, sur l'ordre exprès de Hitler, devaient détruire Paris. Et, cette fois encore, Paris fut sauvé, le jeudi 25 août 1944, en la fête de Saint Louis, roi de France. Ceci fut évité grâce à l'édification d'une basilique sur la montagne Ste Geneviève dédiée à l'adoration du «Christ roi, Prince de la Paix, Maître des Nations» entre 1935 et 1940, à sa demande à Sœur Marie du Christ Roi, condamnée à l'oubli, morte le 2 mai 1968. «Tant que l'adoration perpétuelle y sera faite Paris ne brûlera pas» avait dit Jésus. La basilique sera détruite en 1977 sous Giscard d'Estaing et l'archevêché du Cardinal Marty. (Cf ed Resiac, La Colombe de France)
«Si les miracles accomplis chez toi l'avaient été à Sodome, elle subsisterait encore aujourd'hui. Aussi bien, je vous le dis, le pays de Sodome aura, au jour du Jugement, un sort moins rigoureux que toi» (Matt. XI, 23-24). «Si (Dieu) a condamné à une totale destruction et réduit en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, (c'est) pour servir d'exemples aux impies à venir» (lIe Pierre II, 6).
Certaines grandes villes seront châtiées terriblement et parmi elles, mention particulière est faite de Paris, qui semble devoir être foudroyée par le feu. Quelques extraits de prophéties parmi d autres [document en construction] :
ND de La Salette 2 : «Paris sera brulé» :
Mélanie Calvat, voyante de La Salette revient souvent dans ses lettres sur l'incendie de Paris. Elle disait couramment: «Paris sera un jour effacé». Comme cette annonce verbale souvent réitérée ne suffisait pas, elle avait recours encore à un procédé plus étrange, destiné à piquer davantage l'attention. A Corenc, elle écrivait souvent ces trois lettres : P S B, ce qui veut dire: «Paris sera brûlé» :
Le 10 septembre 1870, Mélanie écrivait à l'une de ses amies et à sa mère : "Paris, foyer de la vanité et de l'orgueil, qui t'empêchera de périr si des prières ferventes ne montent vers le Cœur de Dieu ?
En 1871, elle envoyait une lettre à Thiers, pour lui demander d'enlever de Paris la statue de Voltaire et tout ce qui ne vient pas de Dieu.
En 1896, elle écrivait : «Voyez-vous la Seine ? Si vous saviez combien de gens y seront jetés ! Mais le plus grand nombre viendront s'y jeter, tout affolés, fuyant le feu qui sera comme suspendu au-dessus de la ville 4. Ils s'y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi le feu menaçant».
De Saint Benoît-Joseph Labre , extrayons maintenant ce passage d'une lettre à Pie VI :
«Paris sera détruit à cause de ses blasphèmes; une pierre n'y restera pas sur l'autre»
De Marie Lataste qui vit un jour
«l'Ange exterminateur planer sur la Grande Ville... Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d'une robe rouge, il portait un diadème sur la tête; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu : l'Ange exterminateur... 0 Paris, ville exécrable, depuis longtemps tu mérites mon indignation, et si je n'ai point fait tomber sur toi les flots de ma colère, c'est par un effet de miséricorde. J'ai arrêté mon bras vengeur déjà prêt à s'appesantir sur toi. J'ai épargné la multitude innombrable des pécheurs pour ne point frapper les justes. Tes habitants te maudiront un jour...»
D'une religieuse :
dont le nom n'est pas dévoilé, écrit: «C'était dans une grande ville; la foule allait et venait, mais dans tout ce monde, personne ne s'occupait de Dieu; tous ne pensaient qu'aux plaisirs sensuels. Soudain des ténèbres épouvantables couvrirent toute la terre; c'était comme une fumée brune, tirant sur la couleur du feu. Le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut en feu... A ce spectacle terrifiant, la foule se mit à fuir comme pour sortir de la grande cité. Tout ce peuple était tellement épouvanté que les cheveux se dressaient sur la tête... Et alors un craquement que nulle langue ne peut rendre éclata. Personne ne saurait exprimer cet horrible fracas. Ces menaces regardent Paris» (Dompierre, p. 54.)
De Joséphine Lamarine (+ 1850) :
«L'éternité s'avance ! Avec le drapeau rouge, les loups sont dans le jardin... Pauvre Paris, te voilà donc détruit !»
De Marie-Josèphe Levadoux (1832-1908, dont la «mission» fut de révéler ce que Dieu exigeait des hommes pour écarter les maux prédits à La Salette. Complètement illettrée, elle dicta ses révélations, qui «furent soumises à l'autorité de l'Eglise» vers le début du siècle (Cf H. Lainé, Ecrits deMarie-Josèphe, Dieu et Volt éd., Le Houlbec (Eure), p. 66 pour le texte ici cité. "Les annonces et conseils" de Marie-Josèphe ont leur importance par rapport aux événements qui se préparent) : «Notre Seigneur me dit : "Avertis mon peuple, et s'il ne tient pas compte de mes avertissements, Je le frapperai comme j'ai frappé Sodome et Gomorrhe. J'ai vu Paris rempli de sang ! Des monceaux de cadavres ! J'ai vu aussi au milieu d'une vaste plaine noirâtre, une borne sur laquelle était écrit: Ici était Paris.
De Berguille :
«Que ces ténèbres sont épaisses, ô mon Dieu ! que ce feu est dévorant ! Je vois tout consumé. Protégez ces pauvres enfants; ils étouffent au milieu des flammes. Oui, Paris est la plus coupable des villes. Malheureuse cité maudite. Un jour elle sera consumée jusqu'à la dernière pierre.
Malheur à ces diaboliques sociétés !... Je les vois, les misérables, ils accourent; quel affreux tumulte! Ville ingrate, elle n'est pas digne de prononcer le nom sacré de Jésus. Ville exécrable, tu veux nous mener aux abîmes»
D'une extatique, citons la prophétie dite de Grenoble (1853) :
«A la lueur des éclairs et des flammes, elle vit Paris qui brûlait».
Dans la correspondance Hohenlohe de 1828 : On appelle ainsi une série de lettres reproduites sous ce titre dans plusieurs recueils de prophéties, notamment dans le «Nouveau recueil de prédictions» de Bricon (cité par Novaye, p. 221), on découvre ce fragment :
«Paris sera détruit. Le feu qui tomba sur Sodome et Gomorrhe tombera aussi sur cette ville; et pour la détruire, le ciel s'unira à la terre.... Pendant trois jours, Paris sera enseveli sous une pluie de soufre et on n'y verra plus que des précipices... Cette ville ne sera plus jamais rétablie» (Dompierre, pp. 56-57.et p.59 ).
Le R.P. Nectou écrivait en 1760 :
«Durant ce bouleversement épouvantable qui, parait-il, sera général, et non pour la France seulement, Paris sera entièrement détruit, non sans qu'il y paraisse des signes qui mettront lesbons à même de s'enfuir; et sa destruction sera si complète, que vingt ans après, les pères se promenant avec leurs enfants sur les ruines et répondant à leurs enfants leur diront : il y avait là une grande ville mais à cause de ses crimes, Dieu l'a détruite.».
La petite Marie des Terreaux voyait cela de Lyon :
«Paris sera détruit comme Sodome et Gomorrhe; et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche.» (Dompierre, pp. 61-62).
Marianne Galtier dit à son tour :
«La grande prostituée sera détruite par le feu; l'Ange du Seigneur avertira les justes de Paris... Personne ne saura d'où est venu le feu . Tous les mauvais périront. Les malheurs de la France seront si grands que plusieurs en mourront de frayeur».
Marie-Julie prédit :
«Différentes villes, notamment Paris, seront terriblement châtiées...» et elle ajoute ailleurs :
«Dans l'intervalle, Paris aura été détruit», insistant sur «les terribles châtiments qui fondront sur la grande ville» [1]
Voici quelques autres textes prophétiques, relatifs à la destruction de Paris, extraits de la «Lettre mensuelle de Notre-Dame des pleurs de Bordeaux» (N° 55 et 56, juin et juillet 1925 «lettre adressée aussi à l'Épiscopat». Le rédacteur de la revue précise: «Nous avons rassemblé ici les extraits des prophéties les plus notoires au sujet de Paris, du moins des plus incontestables» ) :
Prophétie bretonne (citée en entier par Novaye, dans Demain ? (pp. 116-117)) :
«Lorsque la terre tremblera et que le feu jaillira de ses flancs; quand Paris, la ville corrompue, sera fouillée comme une ruche; ce sera quand les chariots marcheront tout seuls... alors ce sera le temps prédit... Paris, la grande ville, avec tous les méchants qu'elle renferme, aura été engloutie dans l'enfer...»
De l'Abbé Souffrand :
«Paris sera détruit, tellement détruit que la charrue y passera».
Dans les notes de Marie Martel, de janvier 1897, nous lisons ce passage :
« La Sainte Vierge supplie les yeux tournés vers le ciel, et puis, se retournant vers moi, elle me dit: «Oh ! Paris. Paris n'a pas respecté les lois de mon divin Fils... il sera châtié et détruit par le feu... Il y aura peu de monde qui restera... Ceux qui resteront ne se reconnaîtront pas... Paris sera détruit par le feu, s'il refuse de se convertir... voilà la punition qui lui est réservée » !...
et encore (en septembre 1897) :
«Le premier coup sera porté sur Paris: des théâtres vont sauter, des victimes vont brûler, le sang va couler»... Le 7 juillet 1901, après la vision par Marie Martel d'une chute de boules multicolores, le Sacré Cœur lui «dit» qu'il s'agissait du feu du ciel pour Paris et différents (autres) endroits.
Voici une autre vision; elle émane de la religieuse trappistine de Chemillé :
«Je vis la capitale pillée, saccagée, brûlée. A cette vue, je fus tellement épouvantée que je crus que nous allions tous périr» (Dompierre, ouv. cité, p. 78. )...
Et encore :
«Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante lorsque j'entendis une voix qui me dit : «Ne crains pas ! Mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère; ils disparaîtront dans un moment. Tout l'univers sera étonné d'apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville ! Je dis: superbe, par ses crimes; car je l'ai en abomination; c'est cette maudite Babylone qui s'est enivrée du sang de mes saints; elle veut encore le verser... Elle mettra le comble à ses horribles forfaits; et moi je lui ferai boire le vin de ma colère; tous les maux tomberont à la fois sur elle dans un seul instant... Je n'entendis plus la voix mais un bruit effroyable; le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut tout en feu. Les flammes qui la dévoraient s'élevèrent dans les airs; et de suite je ne vis plus rien qu'une vaste terre, noire comme du charbon».
Marie des neiges Holgado dépeint la vie superficielle de Paris qui mène à la fange du péché et du vice :
«Rêver à Paris, écrit-elle, c'est se voir entouré de ténèbres de mort. Ce n'est pas un songe délicieux, c'est une bousculade incessante, c'est trébucher continuellement jusqu'à tomber dans le mal et finalement être précipité dans la damnation éternelle...
Malheur à toi, Paris ! Dans peu de temps, tes superbes avenues seront des sépulcres de mort. Pleure sur tes erreurs, il en est temps encore, mais ensuite ce sera trop tard ! Que va devenir ton orgueilleux Opéra ? Un monceau de cendres, un rien... C'est l'éternel aboutissement des centres de corruption et de péché.» [2]
Dimanche 11 décembre 1932.
«La Vierge dit qu'elle accordera toutes les demandes sauf celles qui ont trait au châtiment parce que, sans châtiment, le monde ne peut pas être sauvé... Ce siècle est le dernier de tous... Paris sera carbonisé, Marseille englouti par la mer» [3] .
Le saint curé d'Ars (1859) a dit également :
«Paris sera démoli et brûlé tout de bon, mais pas tout entier» [4] .
De Mélanie de La Salette (suite) : Comme l'abbé Rigaux, revenant de La Salette avec Mélanie, traversait Paris en voiture avec elle, de la gare de Lyon à la gare du Nord, elle lui dit, en désignant la rive droite :
«Tout ce que vous voyez de ce côté là-bas sera rouge. Tout cela brûlera. Les flammes s'arrêteront à peu près là». Elle montrait le canal Saint-Martin.»
Alors l'abbé Rigaux :
«Mais pourtant, c'est un mauvais quartier celui-ci».
Et Mélanie :
«Ces maisons seront vides car les habitants seront partis dans les quartiers riches pour piller, avec des draps».
Passant devant la statue de la République, elle ajouta :
«La gueuse! Elle ne sera pas fière quand Paris brûlera en ce jour-là».
.... Le feu du ciel s'ajoutera aux autres.
«Oui, précisa une autre fois Mélanie, il foudroiera certains points, le Palais Bourbon quatre vingts fois en une seconde [5] »
«Et les députés, s'écria l'abbé Rigaux, seront-ils dans l'enceinte ? »
«Vous êtes bien curieux ! Eh bien oui, ils seront suffoqués, morts, grillés».
Mélanie a «vu» la population s'efforcer de fuir Paris :
«des désordres inexprimables»... et d'indiquer :
«On sortira le premier jour, le deuxième jour avec grand'peine, le troisième jour on ne pourra plus».
Même les conducteurs de voitures qui «s'insulteront, blasphémeront, seront pris dans la même souricière»
Le tout dans «une fumée asphyxiante» [6]
NDLR : les prophéties, même reconnues par l'église, n'engagent pas au niveau de la foi. Mais elles nous interpellent surtout au moment où l'assemblée nationale, a voté le projet de loi d'abomination a donc été votée le 11 décembre 2003...
Deviendra-t-elle la Loi d'abomination annoncée depuis des siècles (seconde lecture au Sénat le 17/2/2004) ?
Son châtiment annoncé par une multitude de prophéties : DESTRUCTIONDE PARIS PAR LE FEU
En 451, les hordes des Huns, barbares venus de l'Est, conduites par Attila, approchaient de Lutèce. Sainte Geneviève 1 !, par ses prières et par ses jeûnes, sauva la cité d'une destruction certaine.
Les forces nazies, Germains venus de l'Est, sur l'ordre exprès de Hitler, devaient détruire Paris. Et, cette fois encore, Paris fut sauvé, le jeudi 25 août 1944, en la fête de Saint Louis, roi de France. Ceci fut évité grâce à l'édification d'une basilique sur la montagne Ste Geneviève dédiée à l'adoration du «Christ roi, Prince de la Paix, Maître des Nations» entre 1935 et 1940, à sa demande à Sœur Marie du Christ Roi, condamnée à l'oubli, morte le 2 mai 1968. «Tant que l'adoration perpétuelle y sera faite Paris ne brûlera pas» avait dit Jésus. La basilique sera détruite en 1977 sous Giscard d'Estaing et l'archevêché du Cardinal Marty. (Cf ed Resiac, La Colombe de France)
«Si les miracles accomplis chez toi l'avaient été à Sodome, elle subsisterait encore aujourd'hui. Aussi bien, je vous le dis, le pays de Sodome aura, au jour du Jugement, un sort moins rigoureux que toi» (Matt. XI, 23-24). «Si (Dieu) a condamné à une totale destruction et réduit en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, (c'est) pour servir d'exemples aux impies à venir» (lIe Pierre II, 6).
Certaines grandes villes seront châtiées terriblement et parmi elles, mention particulière est faite de Paris, qui semble devoir être foudroyée par le feu. Quelques extraits de prophéties parmi d autres [document en construction] :
ND de La Salette 2 : «Paris sera brulé» :
Mélanie Calvat, voyante de La Salette revient souvent dans ses lettres sur l'incendie de Paris. Elle disait couramment: «Paris sera un jour effacé». Comme cette annonce verbale souvent réitérée ne suffisait pas, elle avait recours encore à un procédé plus étrange, destiné à piquer davantage l'attention. A Corenc, elle écrivait souvent ces trois lettres : P S B, ce qui veut dire: «Paris sera brûlé» :
Le 10 septembre 1870, Mélanie écrivait à l'une de ses amies et à sa mère : "Paris, foyer de la vanité et de l'orgueil, qui t'empêchera de périr si des prières ferventes ne montent vers le Cœur de Dieu ?
En 1871, elle envoyait une lettre à Thiers, pour lui demander d'enlever de Paris la statue de Voltaire et tout ce qui ne vient pas de Dieu.
En 1896, elle écrivait : «Voyez-vous la Seine ? Si vous saviez combien de gens y seront jetés ! Mais le plus grand nombre viendront s'y jeter, tout affolés, fuyant le feu qui sera comme suspendu au-dessus de la ville 4. Ils s'y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi le feu menaçant».
De Saint Benoît-Joseph Labre , extrayons maintenant ce passage d'une lettre à Pie VI :
«Paris sera détruit à cause de ses blasphèmes; une pierre n'y restera pas sur l'autre»
De Marie Lataste qui vit un jour
«l'Ange exterminateur planer sur la Grande Ville... Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d'une robe rouge, il portait un diadème sur la tête; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu : l'Ange exterminateur... 0 Paris, ville exécrable, depuis longtemps tu mérites mon indignation, et si je n'ai point fait tomber sur toi les flots de ma colère, c'est par un effet de miséricorde. J'ai arrêté mon bras vengeur déjà prêt à s'appesantir sur toi. J'ai épargné la multitude innombrable des pécheurs pour ne point frapper les justes. Tes habitants te maudiront un jour...»
D'une religieuse :
dont le nom n'est pas dévoilé, écrit: «C'était dans une grande ville; la foule allait et venait, mais dans tout ce monde, personne ne s'occupait de Dieu; tous ne pensaient qu'aux plaisirs sensuels. Soudain des ténèbres épouvantables couvrirent toute la terre; c'était comme une fumée brune, tirant sur la couleur du feu. Le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut en feu... A ce spectacle terrifiant, la foule se mit à fuir comme pour sortir de la grande cité. Tout ce peuple était tellement épouvanté que les cheveux se dressaient sur la tête... Et alors un craquement que nulle langue ne peut rendre éclata. Personne ne saurait exprimer cet horrible fracas. Ces menaces regardent Paris» (Dompierre, p. 54.)
De Joséphine Lamarine (+ 1850) :
«L'éternité s'avance ! Avec le drapeau rouge, les loups sont dans le jardin... Pauvre Paris, te voilà donc détruit !»
De Marie-Josèphe Levadoux (1832-1908, dont la «mission» fut de révéler ce que Dieu exigeait des hommes pour écarter les maux prédits à La Salette. Complètement illettrée, elle dicta ses révélations, qui «furent soumises à l'autorité de l'Eglise» vers le début du siècle (Cf H. Lainé, Ecrits deMarie-Josèphe, Dieu et Volt éd., Le Houlbec (Eure), p. 66 pour le texte ici cité. "Les annonces et conseils" de Marie-Josèphe ont leur importance par rapport aux événements qui se préparent) : «Notre Seigneur me dit : "Avertis mon peuple, et s'il ne tient pas compte de mes avertissements, Je le frapperai comme j'ai frappé Sodome et Gomorrhe. J'ai vu Paris rempli de sang ! Des monceaux de cadavres ! J'ai vu aussi au milieu d'une vaste plaine noirâtre, une borne sur laquelle était écrit: Ici était Paris.
De Berguille :
«Que ces ténèbres sont épaisses, ô mon Dieu ! que ce feu est dévorant ! Je vois tout consumé. Protégez ces pauvres enfants; ils étouffent au milieu des flammes. Oui, Paris est la plus coupable des villes. Malheureuse cité maudite. Un jour elle sera consumée jusqu'à la dernière pierre.
Malheur à ces diaboliques sociétés !... Je les vois, les misérables, ils accourent; quel affreux tumulte! Ville ingrate, elle n'est pas digne de prononcer le nom sacré de Jésus. Ville exécrable, tu veux nous mener aux abîmes»
D'une extatique, citons la prophétie dite de Grenoble (1853) :
«A la lueur des éclairs et des flammes, elle vit Paris qui brûlait».
Dans la correspondance Hohenlohe de 1828 : On appelle ainsi une série de lettres reproduites sous ce titre dans plusieurs recueils de prophéties, notamment dans le «Nouveau recueil de prédictions» de Bricon (cité par Novaye, p. 221), on découvre ce fragment :
«Paris sera détruit. Le feu qui tomba sur Sodome et Gomorrhe tombera aussi sur cette ville; et pour la détruire, le ciel s'unira à la terre.... Pendant trois jours, Paris sera enseveli sous une pluie de soufre et on n'y verra plus que des précipices... Cette ville ne sera plus jamais rétablie» (Dompierre, pp. 56-57.et p.59 ).
Le R.P. Nectou écrivait en 1760 :
«Durant ce bouleversement épouvantable qui, parait-il, sera général, et non pour la France seulement, Paris sera entièrement détruit, non sans qu'il y paraisse des signes qui mettront lesbons à même de s'enfuir; et sa destruction sera si complète, que vingt ans après, les pères se promenant avec leurs enfants sur les ruines et répondant à leurs enfants leur diront : il y avait là une grande ville mais à cause de ses crimes, Dieu l'a détruite.».
La petite Marie des Terreaux voyait cela de Lyon :
«Paris sera détruit comme Sodome et Gomorrhe; et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche.» (Dompierre, pp. 61-62).
Marianne Galtier dit à son tour :
«La grande prostituée sera détruite par le feu; l'Ange du Seigneur avertira les justes de Paris... Personne ne saura d'où est venu le feu . Tous les mauvais périront. Les malheurs de la France seront si grands que plusieurs en mourront de frayeur».
Marie-Julie prédit :
«Différentes villes, notamment Paris, seront terriblement châtiées...» et elle ajoute ailleurs :
«Dans l'intervalle, Paris aura été détruit», insistant sur «les terribles châtiments qui fondront sur la grande ville» [1]
Voici quelques autres textes prophétiques, relatifs à la destruction de Paris, extraits de la «Lettre mensuelle de Notre-Dame des pleurs de Bordeaux» (N° 55 et 56, juin et juillet 1925 «lettre adressée aussi à l'Épiscopat». Le rédacteur de la revue précise: «Nous avons rassemblé ici les extraits des prophéties les plus notoires au sujet de Paris, du moins des plus incontestables» ) :
Prophétie bretonne (citée en entier par Novaye, dans Demain ? (pp. 116-117)) :
«Lorsque la terre tremblera et que le feu jaillira de ses flancs; quand Paris, la ville corrompue, sera fouillée comme une ruche; ce sera quand les chariots marcheront tout seuls... alors ce sera le temps prédit... Paris, la grande ville, avec tous les méchants qu'elle renferme, aura été engloutie dans l'enfer...»
De l'Abbé Souffrand :
«Paris sera détruit, tellement détruit que la charrue y passera».
Dans les notes de Marie Martel, de janvier 1897, nous lisons ce passage :
« La Sainte Vierge supplie les yeux tournés vers le ciel, et puis, se retournant vers moi, elle me dit: «Oh ! Paris. Paris n'a pas respecté les lois de mon divin Fils... il sera châtié et détruit par le feu... Il y aura peu de monde qui restera... Ceux qui resteront ne se reconnaîtront pas... Paris sera détruit par le feu, s'il refuse de se convertir... voilà la punition qui lui est réservée » !...
et encore (en septembre 1897) :
«Le premier coup sera porté sur Paris: des théâtres vont sauter, des victimes vont brûler, le sang va couler»... Le 7 juillet 1901, après la vision par Marie Martel d'une chute de boules multicolores, le Sacré Cœur lui «dit» qu'il s'agissait du feu du ciel pour Paris et différents (autres) endroits.
Voici une autre vision; elle émane de la religieuse trappistine de Chemillé :
«Je vis la capitale pillée, saccagée, brûlée. A cette vue, je fus tellement épouvantée que je crus que nous allions tous périr» (Dompierre, ouv. cité, p. 78. )...
Et encore :
«Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante lorsque j'entendis une voix qui me dit : «Ne crains pas ! Mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère; ils disparaîtront dans un moment. Tout l'univers sera étonné d'apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville ! Je dis: superbe, par ses crimes; car je l'ai en abomination; c'est cette maudite Babylone qui s'est enivrée du sang de mes saints; elle veut encore le verser... Elle mettra le comble à ses horribles forfaits; et moi je lui ferai boire le vin de ma colère; tous les maux tomberont à la fois sur elle dans un seul instant... Je n'entendis plus la voix mais un bruit effroyable; le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut tout en feu. Les flammes qui la dévoraient s'élevèrent dans les airs; et de suite je ne vis plus rien qu'une vaste terre, noire comme du charbon».
Marie des neiges Holgado dépeint la vie superficielle de Paris qui mène à la fange du péché et du vice :
«Rêver à Paris, écrit-elle, c'est se voir entouré de ténèbres de mort. Ce n'est pas un songe délicieux, c'est une bousculade incessante, c'est trébucher continuellement jusqu'à tomber dans le mal et finalement être précipité dans la damnation éternelle...
Malheur à toi, Paris ! Dans peu de temps, tes superbes avenues seront des sépulcres de mort. Pleure sur tes erreurs, il en est temps encore, mais ensuite ce sera trop tard ! Que va devenir ton orgueilleux Opéra ? Un monceau de cendres, un rien... C'est l'éternel aboutissement des centres de corruption et de péché.» [2]
Dimanche 11 décembre 1932.
«La Vierge dit qu'elle accordera toutes les demandes sauf celles qui ont trait au châtiment parce que, sans châtiment, le monde ne peut pas être sauvé... Ce siècle est le dernier de tous... Paris sera carbonisé, Marseille englouti par la mer» [3] .
Le saint curé d'Ars (1859) a dit également :
«Paris sera démoli et brûlé tout de bon, mais pas tout entier» [4] .
De Mélanie de La Salette (suite) : Comme l'abbé Rigaux, revenant de La Salette avec Mélanie, traversait Paris en voiture avec elle, de la gare de Lyon à la gare du Nord, elle lui dit, en désignant la rive droite :
«Tout ce que vous voyez de ce côté là-bas sera rouge. Tout cela brûlera. Les flammes s'arrêteront à peu près là». Elle montrait le canal Saint-Martin.»
Alors l'abbé Rigaux :
«Mais pourtant, c'est un mauvais quartier celui-ci».
Et Mélanie :
«Ces maisons seront vides car les habitants seront partis dans les quartiers riches pour piller, avec des draps».
Passant devant la statue de la République, elle ajouta :
«La gueuse! Elle ne sera pas fière quand Paris brûlera en ce jour-là».
.... Le feu du ciel s'ajoutera aux autres.
«Oui, précisa une autre fois Mélanie, il foudroiera certains points, le Palais Bourbon quatre vingts fois en une seconde [5] »
«Et les députés, s'écria l'abbé Rigaux, seront-ils dans l'enceinte ? »
«Vous êtes bien curieux ! Eh bien oui, ils seront suffoqués, morts, grillés».
Mélanie a «vu» la population s'efforcer de fuir Paris :
«des désordres inexprimables»... et d'indiquer :
«On sortira le premier jour, le deuxième jour avec grand'peine, le troisième jour on ne pourra plus».
Même les conducteurs de voitures qui «s'insulteront, blasphémeront, seront pris dans la même souricière»
Le tout dans «une fumée asphyxiante» [6]
Dernière édition par Francesco le Lun 9 Nov 2009 - 19:57, édité 1 fois
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: Diverses prophéties
De quelle basilique s’agit-il ? La seule que je connaisse sur la montagne sainte Geneviève est le Panthéon, ancienne église transformée en sanctuaire laïque pour les saints de la République… Mais cette désacralisation date de bien avant 1977 !Francesco a écrit:Ceci fut évité grâce à l'édification d'une basilique sur la montagne Ste Geneviève dédiée à l'adoration du «Christ roi, Prince de la Paix, Maître des Nations» entre 1935 et 1940, à sa demande à Sœur Marie du Christ Roi, condamnée à l'oubli, morte le 2 mai 1968. «Tant que l'adoration perpétuelle y sera faite Paris ne brûlera pas» avait dit Jésus. La basilique sera détruite en 1977 sous Giscard d'Estaing et l'archevêché du Cardinal Marty. (Cf ed Resiac, La Colombe de France)
Editions Resiac, Marie Julie, Ezquioga…Marie-Julie prédit :
«Différentes villes, notamment Paris, seront terriblement châtiées...» et elle ajoute ailleurs :
«Dans l'intervalle, Paris aura été détruit», insistant sur «les terribles châtiments qui fondront sur la grande ville» [1]
Conchita Mateos , âgée de 11ans, l'une des voyantes d'Ezquioga, parle à son tour :
S amedi 10 décembre 1932. Je vis la Vierge douloureuse, bien, bien triste et elle me dit :
«Vois ma fille, demain je commencerai à te raconter le châtiment, si tu as le courage de m'entendre».
Elqana- Date d'inscription : 01/05/2009
Age : 56
Localisation : Picardie
Re: Diverses prophéties
Je ne me rapelle pas du nom mais j'ai lu le livre( Cf ed Resiac, La Colombe de France)et cette basilique a réelement été détruite.....De quelle basilique s’agit-il ? La seule que je connaisse sur la montagne sainte Geneviève est le Panthéon, ancienne église transformée en sanctuaire laïque pour les saints de la République… Mais cette désacralisation date de bien avant 1977 !
Je ne critiquerais pas la maison d"édition car toutes les maisons d'éditions ou presque ont publiées des livres sur des révélations non reconnues....Pour Marie Julie,c'est ambigu car plusieurs la considere et d'autres non et la position de l'éveque du lieu m'est inconnue......Pour Ezquioga,tu as raison.....(je vais l'enlever).Editions Resiac, Marie Julie, Ezquioga…
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: Diverses prophéties
Marie Julie n’a pas été reconnue il me semble (j’en suis même presque sûr, en fait, mais je n’ai pas les références en tête).
Pour ce qui est de la basilique, c’est bizarre, tu m’aurais dit chapelle je veux bien, mais une basilique ce n’est pas très discret, on en aurait forcement parlé ! A côté du Panthéon il y a bien l’Eglise saint Etienne du mont, mais elle est toujours bien là, avec la châsse de sainte Geneviève (Jean Paul II s’y était recueilli en 97).
Pour ce qui est de la basilique, c’est bizarre, tu m’aurais dit chapelle je veux bien, mais une basilique ce n’est pas très discret, on en aurait forcement parlé ! A côté du Panthéon il y a bien l’Eglise saint Etienne du mont, mais elle est toujours bien là, avec la châsse de sainte Geneviève (Jean Paul II s’y était recueilli en 97).
Elqana- Date d'inscription : 01/05/2009
Age : 56
Localisation : Picardie
Re: Diverses prophéties
Merci de ta trouvaille.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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