Il faut respecter l'autorité civile, et rendre à Dieu l'hommage qui lui est dû. Jésus échappe ainsi au "piège" tendue.

par Lumen Mar 6 Juin 2023 - 18:29

Comme le lynx guette sa proie, ainsi les pharisiens guettent Jésus...

Les pharisiens dressent un piège à Jésus pour Le faire parler. Ils veulent entendre ses paroles afin de pouvoir plus facilement le condamner. Ils veulent aussi Le gêner devant la foule qui L'approuve et L'admire : tout pour Lui retirer sa gloire. C'est une guerre de ruse menée contre Jésus, mais ils seront éblouis par sa sagesse.

Les pharisiens feignent la louange pour arriver à leurs fins : « Maître, nous le savons : tu es toujours vrai; tu ne te laisses influencer par personne... » C'est une louange hypocrite. « Est-il permis, oui ou non, de payer l'impôt à César, l'empereur ? » Voilà la question piège lancée à Jésus.

Pour un Juif, payer l'impôt à César était odieux parce que c'était la marque de leur asservissement aux Romains. De plus, la pièce de monnaie portait l'effigie d'un être humain, ce qui était condamné par le commandement de l'Exode. Si Jésus répond OUI, Il s'aliène la foule à qui pèse l'impôt; et s'Il répond NON, Il peut être dénoncé à l'autorité romaine.

Jésus répondra par une parole de haute sagesse : « Ce qui est à César, rendez-le à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » Rendre à chacun ce qui lui revient. Mais il faut comprendre que pour Jésus, César et Dieu ne sont pas du même ordre. Il faut respecter l'autorité civile, et rendre à Dieu l'hommage qui lui est dû.

L'argent est un bon serviteur, mais un très mauvais maître.

Il faut respecter l'autorité civile, et rendre à Dieu l'hommage qui lui est dû. Jésus échappe ainsi au "piège" tendue. Ensclt10

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Il faut respecter l'autorité civile, et rendre à Dieu l'hommage qui lui est dû. Jésus échappe ainsi au "piège" tendue. Dernie10

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