DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE ...ET DONC ANTI-DEMOCRATIQUE
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DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE ...ET DONC ANTI-DEMOCRATIQUE
DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : ...ET DONC ANTI-DEMOCRATIQUE
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 80.
Point 80. La restauration d’une autorité souveraine et légitime ... et donc anti-démocratique.
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Puisque le souci du bien commun de la nation doit guider l’autorité politique et fonder sa légitimité, il en résulte :
1. Que la République, régime politique fondé sur le système démocratique hérité de la Révolution, n’a aucune légitimité, mais seulement une autorité de fait. Le simple jeu des institutions démocratiques, à commencer par la mécanique électorale, divise la nation, favorise l’impiété et l’immoralité, détruit les institutions naturelles protectrices pour assujettir les citoyens à une administration enveloppante et oppressive ; pas de victoire électorale sans mensonges, promesses illusoires, surenchères entre les partis : centralisation du pouvoir, écrasement des minorités, malversations financières, sont les ressorts du régime démocratique.
En outre, les Chrétiens ne peuvent se soumettre que d’une manière tout extérieure et pragmatique, à des autorités « démocratiques » fondées sur le culte de la volonté populaire et non pas de la volonté de Dieu, qui se prétendent l’expression de leurs propres consciences, convictions et volontés ! Si l’autorité commande au nom de Dieu, au nom de son droit divin, il faut évidemment lui obéir ; mais si elle prétend me commander en mon nom, de par mon droit et pour ma liberté, alors je n’ai plus qu’à m’obéir à moi-même.
Le pouvoir démocratique est donc inexistant, par définition. Le phalangiste ne lui reconnaît aucune autorité sur lui, sur sa famille, sur la nation, sinon du fait des nécessités de l’ordre public.
2. De cette constatation et de la sinistre litanie de la corruption démocratique, il résulte que tout chef souverain légitime devra nécessairement viser à un renversement spirituel, mental et moral de l’idéologie démocratique et de ses institutions.
S’il n’est pas possible d’y parvenir sans retard pour diverses raisons d’opportunité, il faudra tout au moins que le chef de l’État s’en défie et prévoie des mécanismes institutionnels pour en limiter les ravages, contrer la corruption, éviter la division de la nation. C’est une condition essentielle de sa propre légitimité.
3. En face du régime démocratique, l’excellence du pouvoir personnel n’est pas à démontrer. Le Monarque, dictateur et Roi, libre Souverain, chef-né ou même usurpateur, gouverne au-dessus des intérêts particuliers, des puissances d’argent et des pressions partisanes. Il décide de toutes choses politiques en dernier appel.
Cette théorie de la Monarchie exclut absolument la démocratie polyarchique et la monocratie plébiscitaire, mais non pas cependant certaines républiques traditionnelles, où l’exercice du pouvoir est collégial certes, mais cependant indivisible et souverain.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il doit travailler à bâtir une doctrine de renaissance politique s’arc-boutant sur la foi Catholique.
Dans une société Chrétienne, celle-ci doit revêtir un double aspect :
- une légitimité théologique qui implique la reconnaissance de Jésus comme Roi, et le Père
céleste comme principe de tout pouvoir. Cet aspect de la légitimité est révélé et demandé expressément
dans la Bible par Dieu Lui-même.
- une légitimité naturelle : l’institution politique la plus légitime est celle qui réalise au mieux le
bien commun. (Saint Thomas identifie le bien commun à l’unité harmonieuse, la concorde entre les
citoyens). La quête de la légitimité naturelle résulte de l’observation et de l’étude de la nature humaine.
En résumé :
-la reconnaissance de Dieu comme source de pouvoir relève de la légitimité théologique,
-la désignation de l’autorité pour un bien commun optimum relève de la légitimité
naturelle.
Or historiquement, seule la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, a possédé historiquement cette double Légitimité.
Aussi, le Soldat de la Croix, bon phalangiste -Royaliste parce que Catholique et Français- annoncera, voire préparera, la restauration d’une autorité souveraine et légitime ... et donc anti-démocratique. Retour du Roi Très Chrétien promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque, qui viendra sauver la France et la Chrétienté en incarnant une France Très Chrétienne, libre, indépendante et rayonnante. Pour recouronner Dieu et la France !!!
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 80.
Point 80. La restauration d’une autorité souveraine et légitime ... et donc anti-démocratique.
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Puisque le souci du bien commun de la nation doit guider l’autorité politique et fonder sa légitimité, il en résulte :
1. Que la République, régime politique fondé sur le système démocratique hérité de la Révolution, n’a aucune légitimité, mais seulement une autorité de fait. Le simple jeu des institutions démocratiques, à commencer par la mécanique électorale, divise la nation, favorise l’impiété et l’immoralité, détruit les institutions naturelles protectrices pour assujettir les citoyens à une administration enveloppante et oppressive ; pas de victoire électorale sans mensonges, promesses illusoires, surenchères entre les partis : centralisation du pouvoir, écrasement des minorités, malversations financières, sont les ressorts du régime démocratique.
En outre, les Chrétiens ne peuvent se soumettre que d’une manière tout extérieure et pragmatique, à des autorités « démocratiques » fondées sur le culte de la volonté populaire et non pas de la volonté de Dieu, qui se prétendent l’expression de leurs propres consciences, convictions et volontés ! Si l’autorité commande au nom de Dieu, au nom de son droit divin, il faut évidemment lui obéir ; mais si elle prétend me commander en mon nom, de par mon droit et pour ma liberté, alors je n’ai plus qu’à m’obéir à moi-même.
Le pouvoir démocratique est donc inexistant, par définition. Le phalangiste ne lui reconnaît aucune autorité sur lui, sur sa famille, sur la nation, sinon du fait des nécessités de l’ordre public.
2. De cette constatation et de la sinistre litanie de la corruption démocratique, il résulte que tout chef souverain légitime devra nécessairement viser à un renversement spirituel, mental et moral de l’idéologie démocratique et de ses institutions.
S’il n’est pas possible d’y parvenir sans retard pour diverses raisons d’opportunité, il faudra tout au moins que le chef de l’État s’en défie et prévoie des mécanismes institutionnels pour en limiter les ravages, contrer la corruption, éviter la division de la nation. C’est une condition essentielle de sa propre légitimité.
3. En face du régime démocratique, l’excellence du pouvoir personnel n’est pas à démontrer. Le Monarque, dictateur et Roi, libre Souverain, chef-né ou même usurpateur, gouverne au-dessus des intérêts particuliers, des puissances d’argent et des pressions partisanes. Il décide de toutes choses politiques en dernier appel.
Cette théorie de la Monarchie exclut absolument la démocratie polyarchique et la monocratie plébiscitaire, mais non pas cependant certaines républiques traditionnelles, où l’exercice du pouvoir est collégial certes, mais cependant indivisible et souverain.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il doit travailler à bâtir une doctrine de renaissance politique s’arc-boutant sur la foi Catholique.
Dans une société Chrétienne, celle-ci doit revêtir un double aspect :
- une légitimité théologique qui implique la reconnaissance de Jésus comme Roi, et le Père
céleste comme principe de tout pouvoir. Cet aspect de la légitimité est révélé et demandé expressément
dans la Bible par Dieu Lui-même.
- une légitimité naturelle : l’institution politique la plus légitime est celle qui réalise au mieux le
bien commun. (Saint Thomas identifie le bien commun à l’unité harmonieuse, la concorde entre les
citoyens). La quête de la légitimité naturelle résulte de l’observation et de l’étude de la nature humaine.
En résumé :
-la reconnaissance de Dieu comme source de pouvoir relève de la légitimité théologique,
-la désignation de l’autorité pour un bien commun optimum relève de la légitimité
naturelle.
Or historiquement, seule la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, a possédé historiquement cette double Légitimité.
Aussi, le Soldat de la Croix, bon phalangiste -Royaliste parce que Catholique et Français- annoncera, voire préparera, la restauration d’une autorité souveraine et légitime ... et donc anti-démocratique. Retour du Roi Très Chrétien promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque, qui viendra sauver la France et la Chrétienté en incarnant une France Très Chrétienne, libre, indépendante et rayonnante. Pour recouronner Dieu et la France !!!
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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