Forum l'Arche de Marie
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : SAUVEGARDER LA CULTURE FRANCAISE

Aller en bas

COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : SAUVEGARDER LA CULTURE FRANCAISE Empty COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : SAUVEGARDER LA CULTURE FRANCAISE

Message par Hervé J. VOLTO Lun 6 Nov 2023 - 10:15

COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : SAUVEGARDER LA CULTURE FRANCAISE





Bien Chère Âmes Fidèles,

que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France.
Restez ferme dans votre Foi.
Dieu est auprès de vous...

Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.

Mais comment traiter du problême de la culture selon l'optique Royaliste ?

Avant tout, nous nous en remettons à vos prières...

La culture Française telle qu'elle existe aujourd'hui s'est pour une grande part assise sur le rayonnement de la France en Europe aux XVII° et XVIII° siècles, quand triomphaient les arts baroques tournés vers le Divin, la Grande Musique, les arts et lettres et la liberté de penser, que la langue Française établissait ses lettres de noblesse par rapport au latin et que les européens cultivés se flattaient de la parler. Elle s'est complétée par les apports des populations qu'elle a côtoyées ou intégrées.

Caractérisée par un art de vivre, la culture Française maintient des valeurs traditionnelles, parmi lesquelles une code de bonne manières, une gastronomie reconnue, marquée notamment par ses fromages et ses vins, et des domaines comme la Hautre Couture et la Haute Joaillerie.

C'est tout celà que nous devons sauvegarder.

Pour sauvegarder notre culture Française :

1. Restaurer la liberté d’expression et de création.

Il faut libérer la pensée, l’expression écrite et la création artistique des entraves de tous
les conformismes à la mode. L’État doit retrouver, en matière culturelle, sa vocation
naturelle qui consiste à préserver la mémoire nationale, à encourager le rayonnement de
la véritable culture française appuyée sur 1500 ans de création continue. Les subventions
publiques seront accordées aux créations artistiques qui respectent notre identité
nationale comme les valeurs de notre civilisation.

La composition des commissions culturelles, responsables de l’attribution des
financements publics, sera revue de telle façon que les “autorités culturelles” et les
groupes de pression les plus divers ne puissent plus imposer leurs lubies au public. Il
sera dressé un bilan précis de l’activité des multiples établissements et fonds
d’intervention en matière culturelle (CNAP, CNAL, FNAC, FRAC, notamment). Les
différents circuits de financement public seront simplifiés et les établissements ou fonds
inutiles supprimés.

2. Refuser la colonisation culturelle.

L’américanisation de notre société, (qui importe les phénomènes les plus marginaux
d’Outre-Atlantique), ne cesse de s’amplifier et de s’aggraver. Cette colonisation se nourrit
de nos faiblesses.

Pour cela, il faut que les Français connaissent mieux leur civilisation et que, renouant
avec leurs racines, ils en soient fiers. L’affirmation de la culture française est donc
l’affaire de tous les Français et non pas du seul pouvoir politique, dont le rôle se bornera
à soutenir toutes les initiatives qui iront dans ce sens.

3. Valoriser le patrimoine national et les beaux-arts.

Les collectivités publiques, et en premier lieu l’État, ont pour mission d’assurer
l’enrichissement du patrimoine national. Aussi, les moyens budgétaires nécessaires
seront-ils dégagés pour la restauration, l’entretien et l’embellissement du patrimoine
monumental et architectural français, ainsi que pour la préservation des sites naturels.
Les richesses archéologiques et historiques de notre pays seront mises en valeur de
façon que le plus grand nombre de Français puisse y accéder. Les collectivités publiques
encourageront ainsi spectacles, fêtes et reconstitutions historiques, et bien entendu aussi
l’ouverture de conservatoires, de musées et de circuits touristiques. Les grandes heures
de notre histoire feront l’objet de célébrations nationales.

Non-assistance à patrimoine en danger : réinvestissez vos églises !
https://www.bvoltaire.fr/non-assistance-a-patrimoine-en-danger/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=6b7e0383d0-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-6b7e0383d0-31139845&mc_cid=6b7e0383d0&mc_eid=c4677cffb8

Chronique de la cancel culture : un village de Mayenne démolit son église !
https://www.bvoltaire.fr/chronique-de-la-cancel-culture-un-village-de-mayenne-demolit-son-eglise/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=b15adeb76e-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-b15adeb76e-31139845&mc_cid=b15adeb76e&mc_eid=c4677cffb8

La faute à qui ? À nous tous, qui sommes résignés. À partir de combien d’églises détruites, profanées, incendiées les Français y verront-ils un signe des temps inquiétant ?

4. Préserver les patrimoines culturels privés.

L’héritier qui garde et restaure envers et contre tout une demeure familiale, l’amoureux
des vieilles pierres qui consacre son épargne à la remise en état de monuments, le
collectionneur qui préserve le témoignage des temps passés, tous doivent bénéficier
d’une législation fiscale favorable (impôt foncier, droits de succession, TVA réduite sur
travaux), car ils protègent ainsi le patrimoine de tous les Français.

5. Protéger la langue Française dans notre pays.

Un peuple qui perd sa langue, perd son âme” (Frédéric Mistral). La renaissance de la
véritable culture française implique nécessairement la défense et la promotion de la
langue nationale à l’intérieur et à l’extérieur de nos frontières. Un Conseil de défense de
la langue française, constitué à partir des académies de l’Institut de France mais aussi du
monde politique, scientifique et économique, sera créé pour s’opposer au jargon et au
franglais qui envahissent notre langue. Les sanctions pour atteintes délibérées à la
langue française seront renforcées dans le cadre de la loi de 1994.

6. Promouvoir la langue Française dans le monde.

Il convient, pour la diffusion du français à l’étranger, d’adopter une attitude offensive.
L’enseignement de notre langue à l’étranger doit être revitalisé, en particulier parmi les
jeunes Européens qui ne l’étudient plus guère. Une politique active de rénovation et
d’implantation d’écoles et de lycées français à l’étranger sera conduite dans le cadre
d’accords bilatéraux. L’action des services diplomatiques et de coopération français à
l’étranger sera accentuée en ce domaine, notamment à l’égard des pays francophones ou
traditionnellement francophiles. Le réseau de l’Alliance française sera étendu. Tous les
moyens modernes de diffusion (les satellites géostationnaires notamment) seront
développés pour soutenir la présence culturelle française sur tous les continents, en
particulier en Amérique du nord, au Moyen-Orient, en Afrique et dans le Pacifique, où
l’influence anglo-saxonne est très sensible.

7. Remettre la langue Française à l’honneur dans le monde scientifique.

Il est inadmissible qu’un ministre de “l’éducation nationale” (Claude Allègre) ait pu dire
qu’il était souhaitable que les scientifiques français publient d’abord les résultats de leurs
travaux en anglais. Tout sera mis en oeuvre pour doter notre pays d’un ensemble de
publications internationales de qualité permettant la diffusion à l’étranger de ses travaux
scientifiques.

Chercheurs et scientifiques seront encouragés à publier leurs travaux
d’abord en français. Les établissements de recherche, les universités et l’Académie des
sciences veilleront à la publication des travaux en français. Un programme de traduction
en français des ouvrages scientifiques de tous domaines publiés en langues étrangères
sera lancé par le ministère chargé de la recherche.

8. Encourager la lecture et le livre.

Le rayonnement d’une langue passant le plus immédiatement par le livre, il faut
encourager la lecture dès le plus jeune âge. Cela suppose le rejet de la méthode globale
au profit de la méthode syllabique qui, seule, donne les bases suffisantes pour une bonne
maîtrise de notre langue écrite et orale. Par ailleurs, les pouvoirs publics dégageront les
crédits nécessaires à la rénovation des bibliothèques et à la valorisation de leurs fonds
auprès des Français. Les universités seront aidées pour rénover leurs bibliothèques et se
doter d’une capacité d’édition comparable à celle de leurs homologues européennes ou
américaines. Les collectivités locales mettront en place des chèques-lecture pour
favoriser l’achat de livres au profit des plus jeunes.

9. Préserver les langues régionales authentiques dans le respect de la langue Française.

Il n’est nullement choquant qu’Alsaciens, Basques, Bretons, Corses, Picards... soient
attachés à leurs coutumes et spécialement à leur langue locale. Les langues régionales
authentiques doivent pouvoir être transmises, mais, en aucun cas, elles ne doivent
prendre un caractère obligatoire ni remplacer la langue française, qui doit demeurer la
langue officielle et courante de tous les Français.

10. Rendre possible un nouveau printemps pour le théâtre Français.

S’il veut regagner les faveurs du public, le théâtre devra, plutôt que de se perdre dans
des recherches expérimentales souvent absconses, retrouver sa vocation populaire.
C’est ainsi que vis-à-vis des choix, au sein du répertoire contemporain et en matière de
soutien aux créations, il faut mettre fin au sectarisme dont font preuve les pouvoirs
publics. Le Festival d’Avignon, dont la programmation est essentiellement réservée aux
créations, permet à l’ensemble des décideurs du théâtre nationalisé ou subventionné de
venir choisir des pièces qui se joueront dans toutes les MJC (Maisons des jeunes et de la
culture, fondées par Malraux et récupérées par la gauche la plus extrémiste) et dans
toutes les salles subventionnées.

Or, depuis la grande époque de Jean Vilar, le Festival d’Avignon s’est considérablement
étiolé. La caution de “bonne tenue intellectuelle” est invariablement assurée par les
staliniens, les tenants de l’absurde et les nihilistes de service, tels Brecht, Kafka ou
Beckett, à qui nous ne dénions pas un certain génie littéraire mais qui masquent, à la
manière d’une interminable rengaine, le relatif désert de la création officielle.
On ne peut en effet se satisfaire d’un théâtre qui, sur le plan moral et politique, ne se
préoccupe que de racisme, de colonialisme (Aimé Césaire), de nazisme (Thomas
Bernhard), de fascisme (Antonio Tabucchi) et plus récemment “d’homophobie”. Nous ne
nions pas la qualité d’un Bernhard ou d’un Césaire, mais pourquoi ne joue-t-on jamais
Paul Morand ou Léon Saint-Pol-Roux ?

Comment se fait-il qu’une pièce d’André Josset, de Tanguy Malemanche ou de Jean Yole,
ne soit jamais programmée ?

Pas plus qu’on ne voit le dérangeant et très contemporain Michel Vinaver, ancien dirigeant d’entreprise et dramaturge, qui dénonce, de façon un peu trop cruelle peut-être pour eux, un ordre établi dans lequel se sont bien installés les “héros” de Mai 68.

Qu’attend-on également pour faire connaître au public populaire les grands auteurs
étrangers ? L’italien Malaparte, mais aussi et surtout ceux qui ont été ou qui sont les
témoins privilégiés de la barbarie la plus récente, la plus contemporaine... celle des
régimes communistes, comme le tchèque Vaclav Havel (“L’interrogatoire”), le polonais
Vitold Gombrowicz (“Le mariage”) ou le roumain Carajiale, peut-être aussi génial que
Ionesco.

Une politique de prix nationaux encouragera les meilleurs auteurs et les meilleures
troupes qui devront progressivement être en mesure de parvenir à couvrir leurs besoins.
Une politique d’aménagement de petites salles sera soutenue dans le pays. Une large
place sera faite au théâtre sur les chaînes de télévision ; les grandes tournées en
province et à l’étranger seront encouragées ; lycées et universités seront incités à
constituer des troupes d’amateurs. Les subventions qui seront accordées comporteront
une contrepartie : monter et jouer des spectacles disposant d’un public.

11. Encourager le mécénat.

Pour éviter que l’art ne soit exclusivement entre les mains de l’État, il convient
d’encourager largement la générosité privée. Le régime fiscal des fondations sera
totalement réformé, et le développement du mécénat privé favorisé par une amélioration
des possibilités de dégrèvement fiscal sur plusieurs années. De même, on élargira les
possibilités de régler, par dation, les droits de succession. Enfin, la transformation de
patrimoines privés en fondations d’utilité publique sera instituée.

12. Développer l’enseignement artistique.

L’art véritable ne reposera jamais que sur le métier, la mémoire et l’imagination
créatrice. Il faut donc rendre ses lettres de noblesse à l’enseignement artistique qui, seul,
permet l’acquisition d’un art, en inculque la technique et les règles formelles. Comme il
est souhaitable que le sens artistique de l’enfant s’éveille le plus tôt possible, ces
disciplines trouveront leur place dans les programmes scolaires à tous les niveaux
d’enseignement, du cycle primaire jusqu’au supérieur. Des cours d’histoire de l’art seront
également prévus. Une haute qualification technique chez les professeurs d’art sera
exigée par le biais des concours publics.

13. Assurer la promotion de toutes les bonnes musiques.

L’apprentissage du chant choral, musique de l’âme, selon Saint François d’Assise, de la
musique instrumentale et de la danse, sera encouragé à partir du plus jeune âge. Les
salles de concerts et les conservatoires seront développés en province. Les lycées et les
universités seront invités à organiser des concerts dans leurs locaux. Musiciens et chefs
d’orchestre Français se verront offrir les meilleures possibilités d’exercer leurs talents en
France.

Les aides de l’État aux opéras seront équitablement réparties entre les grandes
institutions parisiennes et les orchestres de province, des troupes de chanteurs étant
reconstituées pour disposer d’un vivier de talents nationaux.
Une place sur la scène lyrique sera faite à l’opérette qui a un véritable public, mais n’a pas actuellement l’heure de plaire à la culture officielle rabat-joie. Rap et techno, qui ne sont pas des expressions musicales, seront évidemment privés de tout soutien public.

14. Encourager un cinéma et un audiovisuel Français de qualité.

Le cinéma est un art à part entière qui est né en France (les frères Lumière) et s’y est
particulièrement épanoui. Mais, aujourd’hui, l’industrie cinématographique et audiovisuelle française ne parvient pas à lutter contre les productions américaines parce qu’elle n’en est trop souvent que la copie... en pire. Le principe de l’avance sur recettes sera réformé pour qu’il cesse de bénéficier toujours aux mêmes.

Les cahiers des charges des media audiovisuels imposeront le recours aux créateurs
français et à des oeuvres dont le scénario a été écrit en français. La promotion de la
chanson, de la musique, de la littérature et, d’une façon générale, de la culture française
constituera la priorité de l’audiovisuel public.

15. Redonner aux sports leur authenticité.

Il y a deux sports : le sport de réalisation ou de dépassement physique de soi et le sport
médiatique. Ce dernier écrase évidemment le premier. Le sport médiatique est dévalué,
comme les jeux du cirque romain, par la domination de l’argent et du vedettariat. Un
nombre limité et sur-médiatisé de sportifs de haut niveau est l’enjeu d’un marché où ils
sont vendus et revendus pour des sommes colossales dont ils tirent, certes, une part non
négligeable, mais dont le montant va très largement au-delà de ce qui légitime leur
fonction sociale, leur talent et la pérennité de leur oeuvre.

Le sport est, depuis toujours, une activité qui s’inscrit dans les règles de l’effort ; comme
tel, il reconnaît les lois de l’ordre naturel si souvent bafouées par ailleurs. Aussi sommesnous
favorables à une politique dynamique de soutien aux sports, conformément à
l’adage mens sana in corpore sano. L’État, dans sa fonction d’arbitre, devra veiller et, s’il
le faut, sanctionner les dérives financières du sport commercial, en particulier en limitant
tout apport d’argent public, direct ou indirect, à ce dernier. En matière culturelle comme
sportive, il faut remettre à l’honneur les valeurs d’excellence et d’authenticité qui fondent
la grandeur de la France.

16. affirmer nos Valeurs.

On cultive encore les Valeurs Françaises : courtoisie, générosité, sens des responsabilités. Ces Valeurs ne peuvent être pleinement vécu que si nous, Français, nous enseignons à nos enfants le Savoir Vivre : respect, galanterie, ponctualité. Aux ados les Belles Valeurs: désintéressement, spiritualité, entraide. Aux plus grands d’entre nous, les Valeurs Primordiales : Respect, loyauté, entraide.

Pour les plus grands, la qualité de vie dans nos campagnes en est une des composantes de cet Art de vivre à la Française : courtoisie, convivialité, art de la table. Les chatelains, les forestiers, les chasseurs et les agriculteurs en savent quelques chose. Il est l’une des principales motivations de millions de touristes qui viennent y séjourner. L'ensemble de ces valeurs est un atout qu’il faut bien entendu valoriser : il faut donc combattre pour les Valeurs pour sauvegarder la culture Française.

Comment ne pas rappeller les Valeurs de la Noblesse Française ? C’est Pierre de Rafin, à l’époque Secrétaire Général de l’Association pour l'entraide de la Noblesse Française, qui a définit le mieux dans le N° 2984 de POINT DE VUE -semaine du 28 Septembre au 4 Octobre 2005- les Valeurs de la Noblesse Française :

-FIDELITE, HONNEUR, PAROLE DONNEE, EDUCATION, SENS DU DEVOIR, RESPECT DE LA MEMOIRE, SERVICE RENDU A LA NATION
.

Dans le même N° de POINT DE VUE, l’ex-ministre Gilles de Robien a dit :

-CETTE TRANSMISSION DES LIENS PLUS QUE DES BIENS, DE L’HONNEUR PLUS QUE DES HONNEURS ET DE LA NOTION DE SERVICE, EXISTE ENCORE LARGEMENT DANS NOTRE SOCIETE FRANçAISE, BIEN AU-DELA DE L’ARISTOCRATIE. MAIS CETTE DERNIERE PEUT CONTRIBUER A RENFORCER CES VALEURS ESSENTIELLES !

Pour restaurer l’esprit national, il sera nécessaire aussi que l’autorité souveraine mette en place une politique culturelle qui visera non seulement à protéger le patrimoine, mais à le faire aimer pour profiter de ses leçons de civilisation si nécessaires à nos temps actuels. Les politiques actuelles seront continuées, mais perdront leur caractère laïque. Là aussi, il faudra revenir à toute la vérité sur notre histoire, sans bannir le rôle joué par l’Église. Les monuments religieux seront rendus, dans la mesure du possible, à leur fonction cultuelle.

Les académies publiques et privées, nationales et locales, les sociétés littéraires, scientifiques, artistiques, prospéreront en gardant jalousement leur indépendance, leurs organes de représentation, de gestion et de défense, car dans ce domaine aussi, il est nécessaire de protéger et de promouvoir le talent et l’honnêteté, contrairement aux mœurs d’un certain monde des arts et des lettres tombé sous la coupe de l’argent ou de l’État socialiste.

Cet encouragement des arts ne sera pas uniquement le fait de l’État. Les aristocraties naturelles, nouvelles et anciennes, retrouveront leur rôle prestigieux de mécènes qui fit de la France la « mère des arts », du goût et de l’élégance. L’Église Catholique jouera aussi un rôle de premier plan en ce domaine comme ce fut le cas jadis.
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos institutions.

-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !

Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice Sacré Coeur , espoir et salut de la France.

Puisse Saint Louis nous éclairer.





Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO


___



Pour approfondir :

Celà fait parti de la culture Française de protéger les plus faibles
https://cms.smartp.com/v/172047/364/357/13322018

Une petite chanson par et pour les Chrétiens d'Orient : Un Arabe et un Juif, tous deux convertis au Christianisme, S'UNISSENT pour faire une chanson sur Jésus « Plus jamais esclaves » !
https://t.me/resistancedelaplandemie/16742

Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum