DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LE PECHE ORIGINEL DU CAPITALISME
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DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LE PECHE ORIGINEL DU CAPITALISME
DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LE PECHE ORIGINEL DU CAPITALISME
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour aplanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce ce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Dans une société Chrétienne, le pouvoir doit revêtir deux formes de légitimité :
-la reconnaissance de Dieu comme source de pouvoir relève de la Légitimité théologique,
-la désignation de l’autorité pour un bien commun optimum relève de la Légitimité naturelle.
Or historiquement, seule la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, a possédé historiquement cette double Légitimité.
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expansion-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 105.
Point 105. Le péché originel du capitalisme.
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Si notre écologie n’a d’autre volonté que « de restaurer la civilisation chrétienne sur ses fondements naturels et divins » (Saint Pie X), en revanche le système économique et social de notre époque, qui se veut démocratique, est issu de la Révolution, de « l’utopie malsaine de la révolte et de l’impiété ».
L’économiste américain Schumpeter le reconnaît :
1. L’évolution capitaliste a anéanti ou a poussé très loin la destruction des aménagements institutionnels du monde féodal – le manoir, le village, la guilde artisanale. Le monde des artisans a été broyé... Le monde des seigneurs et des villageois a été détruit, avant tout par des mesures politiques et, dans certains cas, révolutionnaires... Avec la vieille organisation économique ont disparu les privilèges économiques et politiques des classes ou groupes qui avaient accoutumé d’y tenir le rôle dominant, en particulier la noblesse terrienne et le clergé.
Économiquement, cette évolution s’est traduite, du point de vue de la bourgeoisie, par le brisement d’autant d’entraves et par l’enlèvement d’autant de barrières. Politiquement, elle s’est traduite par la substitution à un régime dans lequel le bourgeois était un humble sujet, d’un autre régime beaucoup plus sympathique à sa mentalité rationaliste et beaucoup plus propice à ses intérêts immédiats. Néanmoins... l’observateur est fondé à se demander si, en dernière analyse, une émancipation aussi intégrale a été bienfaisante pour les bourgeois et pour la société bourgeoise. En effet, les entraves disparues ne constituaient pas seulement une gêne, mais aussi une protection...
Le roi, pièce centrale du système, était roi par la grâce de Dieu, et pour considérables que fussent les avantages qu’il retirait des possibilités économiques inhérentes au capitalisme, la racine de son pouvoir restait féodale, non seulement au sens historique, mais encore au sens sociologique du terme. Nous avons donc affaire, au-delà d’un cas de survivance atavique, à la symbiose de deux couches sociales, dont l’une, certes, soutenait l’autre économiquement, mais était, à son tour, soutenue politiquement par la seconde... Cette symbiose était l’essence même de la société monarchique... »
2. J’ai qualifié le bourgeois de rationaliste et d’anti-héroïque. Il ne peut user, pour défendre sa position ou pour plier une nation à sa volonté, que de moyens rationalistes et anti-héroïques... Un commandement économique ne se transforme pas aisément, comme le faisait le commandement militaire du seigneur médiéval, en commandement politique. Tout au contraire, le grand-livre et le calcul des prix de revient absorbent et isolent leurs servants.
La conclusion s’impose d’elle-même :... La classe bourgeoise est mal équipée pour affronter les problèmes, tant intérieurs qu’internationaux, auxquels doit normalement faire face tout pays de quelque importance. Les bourgeois eux-mêmes sentent bien cette insuffisance, nonobstant toute la phraséologie mise en œuvre pour la dissimuler, et il en va de même des masses. À l’intérieur d’un cadre protecteur non constitué avec des matériaux bourgeois, la bourgeoisie peut cueillir des succès politiques... spécialement dans l’opposition... Mais, à défaut d’être protégée par quelque groupe non bourgeois, la bourgeoisie est politiquement désarmée et incapable, non seulement de diriger la nation, mais même de défendre ses intérêts de classe : ce qui revient à dire qu’elle a besoin d’un maître. »
3. Or, le processus capitaliste, tant par son mécanisme économique que par ses conséquences psycho-socio-biologiques, a éliminé ce maître protecteur ou, comme aux États-Unis, ne lui a jamais donné, non plus qu’à aucune institution remplissant ce même rôle, une chance de s’affirmer.
L’évolution capitaliste fait disparaître, non seulement le Roi par la Grâce de Dieu, mais encore les remparts politiques qui, s’ils avaient pu être tenus, auraient été constitués par le village et par la guilde artisanale. Bien entendu, aucune de ces deux institutions n’aurait pu être maintenue dans la forme exacte où le capitalisme les a trouvées. Toutefois, les politiques capitalistes ont poussé leur destruction beaucoup plus loin qu’il n’était nécessaire... Elles ont imposé au paysan tous les bienfaits du libéralisme primitif... et toute la corde individualiste qu’il lui fallait pour se pendre.
En brisant le cadre précapitaliste de la société, le capitalisme a donc rompu, non seulement les barrières qui gênaient ses progrès, mais encore les arcs-boutants qui l’empêchaient de s’effondrer. Ce processus de destruction, impressionnant par son caractère de fatalité inexorable, n’a pas consisté seulement à émonder le bois mort institutionnel, mais aussi à éliminer ces partenaires de la classe capitaliste dont la symbiose avec elle était un élément essentiel de l’équilibre du capitalisme...
Cette symbiose des classes, je suis porté à la considérer comme la règle, et non comme l’exception... Tout au moins cette règle a-t-elle joué pendant six mille ans, c’est-à-dire à partir du jour où les premiers laboureurs sont devenus les sujets des cavaliers nomades...
(Schumpeter, Capitalisme, Socialisme et Démocratie, 12. Les murs s’effritent, 2. La destruction des couches protectrices)
C’est parce que tout son pouvoir est assis sur la Révolution de 1789 et la destruction de la religion, de la monarchie, des élites civiles et militaires, des communautés de métier et de village, que le capitalisme est incapable de réformes qui le mettraient au service du bien commun.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant aplanir les chemins du Roi. La Monarchie que nous, Soldats de la Croix, voulons restaurer est la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, où le Roi exerce un pouvoir réel, régne ET gouverne, et où les corps intermédiaires, familles, paroisses, provinces, professions, s'administrent librement sous l'arbitrage du Roi Très Chrétien, chef naturel d'une France indépendante et rayonnante parce que souveraine et maître de toute justice.
Notre écologie Royaliste n’a d’autre volonté que « de restaurer la civilisation chrétienne sur ses fondements naturels et divins » (Saint Pie X), en revanche le système économique et social de notre époque, qui se veut démocratique, est issu de la Révolution, de « l’utopie malsaine de la révolte et de l’impiété ». C’est parce que tout son pouvoir est assis sur la Révolution de 1789 et la destruction de la religion, de la monarchie, des élites civiles et militaires, des communautés de métier et de village, que le capitalisme est incapable de réformes qui le mettraient au service du bien commun.
Il a tellement été reproché aux Royalistes Providentialistes de sacrifier l'action à la prière qu'il n'est pas inutile de rappeler ce que pourrait -être selon- eux la ligne de conduite du roi restauré. Il suffira simplement au Grand Monarque d'appliquer dans ses actions les commandements du Christ pour que la face de notre pays en soit changé. Le Roi traiterait ses sujets en enfants de Dieu et non en personnes qu'il faut dresser les unes contre les autres de façon à avoir une majorité qui vous permette d'avoir le pouvoir et tout ce qui va avec, prébendes décorations et places pour ses amis. La mise en oeuvre de la doctrine sociale de l'Eglise fait aussi partie des lignes de force de l'action Royale.
Aussi, le Soldat de la Croix, bon phalangiste, annoncera, voire préparera, la restauration du Roi Très Chrétien, promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque, qui viendra sauver la France et la Chrétienté en incarnant une France Très Chrétienne, libre, indépendante et rayonnante. Pour recouronner Dieu et la France !!!
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour aplanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce ce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).
Dans une société Chrétienne, le pouvoir doit revêtir deux formes de légitimité :
-la reconnaissance de Dieu comme source de pouvoir relève de la Légitimité théologique,
-la désignation de l’autorité pour un bien commun optimum relève de la Légitimité naturelle.
Or historiquement, seule la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, a possédé historiquement cette double Légitimité.
Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expansion-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.
Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 105.
Point 105. Le péché originel du capitalisme.
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Si notre écologie n’a d’autre volonté que « de restaurer la civilisation chrétienne sur ses fondements naturels et divins » (Saint Pie X), en revanche le système économique et social de notre époque, qui se veut démocratique, est issu de la Révolution, de « l’utopie malsaine de la révolte et de l’impiété ».
L’économiste américain Schumpeter le reconnaît :
1. L’évolution capitaliste a anéanti ou a poussé très loin la destruction des aménagements institutionnels du monde féodal – le manoir, le village, la guilde artisanale. Le monde des artisans a été broyé... Le monde des seigneurs et des villageois a été détruit, avant tout par des mesures politiques et, dans certains cas, révolutionnaires... Avec la vieille organisation économique ont disparu les privilèges économiques et politiques des classes ou groupes qui avaient accoutumé d’y tenir le rôle dominant, en particulier la noblesse terrienne et le clergé.
Économiquement, cette évolution s’est traduite, du point de vue de la bourgeoisie, par le brisement d’autant d’entraves et par l’enlèvement d’autant de barrières. Politiquement, elle s’est traduite par la substitution à un régime dans lequel le bourgeois était un humble sujet, d’un autre régime beaucoup plus sympathique à sa mentalité rationaliste et beaucoup plus propice à ses intérêts immédiats. Néanmoins... l’observateur est fondé à se demander si, en dernière analyse, une émancipation aussi intégrale a été bienfaisante pour les bourgeois et pour la société bourgeoise. En effet, les entraves disparues ne constituaient pas seulement une gêne, mais aussi une protection...
Le roi, pièce centrale du système, était roi par la grâce de Dieu, et pour considérables que fussent les avantages qu’il retirait des possibilités économiques inhérentes au capitalisme, la racine de son pouvoir restait féodale, non seulement au sens historique, mais encore au sens sociologique du terme. Nous avons donc affaire, au-delà d’un cas de survivance atavique, à la symbiose de deux couches sociales, dont l’une, certes, soutenait l’autre économiquement, mais était, à son tour, soutenue politiquement par la seconde... Cette symbiose était l’essence même de la société monarchique... »
2. J’ai qualifié le bourgeois de rationaliste et d’anti-héroïque. Il ne peut user, pour défendre sa position ou pour plier une nation à sa volonté, que de moyens rationalistes et anti-héroïques... Un commandement économique ne se transforme pas aisément, comme le faisait le commandement militaire du seigneur médiéval, en commandement politique. Tout au contraire, le grand-livre et le calcul des prix de revient absorbent et isolent leurs servants.
La conclusion s’impose d’elle-même :... La classe bourgeoise est mal équipée pour affronter les problèmes, tant intérieurs qu’internationaux, auxquels doit normalement faire face tout pays de quelque importance. Les bourgeois eux-mêmes sentent bien cette insuffisance, nonobstant toute la phraséologie mise en œuvre pour la dissimuler, et il en va de même des masses. À l’intérieur d’un cadre protecteur non constitué avec des matériaux bourgeois, la bourgeoisie peut cueillir des succès politiques... spécialement dans l’opposition... Mais, à défaut d’être protégée par quelque groupe non bourgeois, la bourgeoisie est politiquement désarmée et incapable, non seulement de diriger la nation, mais même de défendre ses intérêts de classe : ce qui revient à dire qu’elle a besoin d’un maître. »
3. Or, le processus capitaliste, tant par son mécanisme économique que par ses conséquences psycho-socio-biologiques, a éliminé ce maître protecteur ou, comme aux États-Unis, ne lui a jamais donné, non plus qu’à aucune institution remplissant ce même rôle, une chance de s’affirmer.
L’évolution capitaliste fait disparaître, non seulement le Roi par la Grâce de Dieu, mais encore les remparts politiques qui, s’ils avaient pu être tenus, auraient été constitués par le village et par la guilde artisanale. Bien entendu, aucune de ces deux institutions n’aurait pu être maintenue dans la forme exacte où le capitalisme les a trouvées. Toutefois, les politiques capitalistes ont poussé leur destruction beaucoup plus loin qu’il n’était nécessaire... Elles ont imposé au paysan tous les bienfaits du libéralisme primitif... et toute la corde individualiste qu’il lui fallait pour se pendre.
En brisant le cadre précapitaliste de la société, le capitalisme a donc rompu, non seulement les barrières qui gênaient ses progrès, mais encore les arcs-boutants qui l’empêchaient de s’effondrer. Ce processus de destruction, impressionnant par son caractère de fatalité inexorable, n’a pas consisté seulement à émonder le bois mort institutionnel, mais aussi à éliminer ces partenaires de la classe capitaliste dont la symbiose avec elle était un élément essentiel de l’équilibre du capitalisme...
Cette symbiose des classes, je suis porté à la considérer comme la règle, et non comme l’exception... Tout au moins cette règle a-t-elle joué pendant six mille ans, c’est-à-dire à partir du jour où les premiers laboureurs sont devenus les sujets des cavaliers nomades...
(Schumpeter, Capitalisme, Socialisme et Démocratie, 12. Les murs s’effritent, 2. La destruction des couches protectrices)
C’est parce que tout son pouvoir est assis sur la Révolution de 1789 et la destruction de la religion, de la monarchie, des élites civiles et militaires, des communautés de métier et de village, que le capitalisme est incapable de réformes qui le mettraient au service du bien commun.
Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangiste -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant aplanir les chemins du Roi. La Monarchie que nous, Soldats de la Croix, voulons restaurer est la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, où le Roi exerce un pouvoir réel, régne ET gouverne, et où les corps intermédiaires, familles, paroisses, provinces, professions, s'administrent librement sous l'arbitrage du Roi Très Chrétien, chef naturel d'une France indépendante et rayonnante parce que souveraine et maître de toute justice.
Notre écologie Royaliste n’a d’autre volonté que « de restaurer la civilisation chrétienne sur ses fondements naturels et divins » (Saint Pie X), en revanche le système économique et social de notre époque, qui se veut démocratique, est issu de la Révolution, de « l’utopie malsaine de la révolte et de l’impiété ». C’est parce que tout son pouvoir est assis sur la Révolution de 1789 et la destruction de la religion, de la monarchie, des élites civiles et militaires, des communautés de métier et de village, que le capitalisme est incapable de réformes qui le mettraient au service du bien commun.
Il a tellement été reproché aux Royalistes Providentialistes de sacrifier l'action à la prière qu'il n'est pas inutile de rappeler ce que pourrait -être selon- eux la ligne de conduite du roi restauré. Il suffira simplement au Grand Monarque d'appliquer dans ses actions les commandements du Christ pour que la face de notre pays en soit changé. Le Roi traiterait ses sujets en enfants de Dieu et non en personnes qu'il faut dresser les unes contre les autres de façon à avoir une majorité qui vous permette d'avoir le pouvoir et tout ce qui va avec, prébendes décorations et places pour ses amis. La mise en oeuvre de la doctrine sociale de l'Eglise fait aussi partie des lignes de force de l'action Royale.
Aussi, le Soldat de la Croix, bon phalangiste, annoncera, voire préparera, la restauration du Roi Très Chrétien, promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque, qui viendra sauver la France et la Chrétienté en incarnant une France Très Chrétienne, libre, indépendante et rayonnante. Pour recouronner Dieu et la France !!!
Pour le retour du Roi Très Chrétien, prions et agissons, agissons et prions... et espérons !
Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...
Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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