16 AVRIL : FETE DE SAINTE BERNADETTE
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16 AVRIL : FETE DE SAINTE BERNADETTE
16 avril : fête de Sainte Benadette
Bernadette Soubirous est née à Lourdes, alors petite ville des Pyrénées, le 7 janvier 1844 dans une famille de meuniers qui vivait assez aisément dans les premières années de la vie de Bernadette.
Peu à peu, des ennuis de santé s’accumulent dans la famille. Les moulins à eau commencent à disparaître, c’est le début de l’industrialisation. L’argent vient à manquer au moulin. Louise et François Soubirous s’endettent comme tant d’autres. En quelques mois, ils sont devenus « brassiers », n’ayant plus que la force de leurs bras à louer à qui veut bien leur offrir du travail.
En 1854, avec leurs 4 enfants ils doivent quitter le moulin de Boly. Ils changent plusieurs fois de domicile, chaque fois moins cher et plus petit jusqu’à être hébergés gratuitement dans une seule pièce sombre et insalubre de l’ancienne prison de la ville, le Cachot, « un bouge infâme et sombre où aucun être humain ne pourrait habiter » (Procureur impérial Dutour – parlant du cachot).
Pour les Soubirous c’est l’enchaînement de la misère : chômage, expulsion, soupçon, exclusion, mépris… Bernadette a une santé précaire, elle souffre de l’estomac et, touchée par une épidémie de choléra elle en gardera un asthme tenace. Elle fait partie des enfants qui, à cette époque en France, ne savent ni lire ni écrire parce qu’ils sont obligés de travailler. Elle n’est scolarisée que par moments dans la classe des petites filles pauvres de l’Hospice de Lourdes tenu par les « sœurs de la Charité de Nevers »
En 1858, viendra pour elle le temps des apparitions.
Le 11 février 1858, Bernadette Soubirous, âgée de 14 ans, part du Cachot avec sa sœur et une amie pour aller chercher du bois mort au bord du Gave, à Massabielle, Il fallait se chauffer.
Tout a commencé par le bruit du vent dans les peupliers… Dans le creux du rocher, Bernadette aperçoit une « dame en blanc » :
« Je croyais me tromper. Je me frottai les yeux… Je regardai encore et je vis toujours la même dame »
« Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours ».
La Vierge Marie vient ainsi à sa rencontre 18 fois entre février et juillet.
Elle ne dévoile son nom que le 25 mars. C’est la 16ème apparition. Les autres rencontres sont pour la plupart sans parole…
La 3ème fois, le 18 février, Bernadette entend les premiers mots de la Dame :
« Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours »
Au milieu de la quinzaine, le 24 et le 25 février, Bernadette reçoit un message « Priez pour les pécheurs » et la Dame lui demande « d’aller boire à la fontaine et de s’y laver »… Après avoir gratté la terre boueuse au fond de la Grotte, Bernadette découvre une source.
Le 2 mars, Bernadette reçoit de la Dame une double mission : « Allez dire aux prêtres qu’on vienne ici en procession et qu’on y bâtisse une chapelle »
« Elle me regardait comme une personne qui parle à une autre personne »
A travers ces rencontres surprenantes, Bernadette Soubirous comprend, grâce à Marie, que Dieu s’intéresse à elle, qu’il se fait proche des plus pauvres, de ceux que le monde ignore et exclut.
Pendant toute cette période, Bernadette ne se laisse pas intimider, ni par ceux qui l’interrogent ni par la foule. Elle reste simple et libre.
« Je suis chargée de vous le dire, pas de vous le faire croire ».
Elle sera ensuite accueillie à l’Hospice de Lourdes tenu par les sœurs de la Charité de Nevers. Ce sera pour elle le temps de réfléchir à ce qu’elle veut faire de sa vie.
Bernadette Soubirous est accueillie comme « interne au pair » à l’Hospice de Lourdes tenu par les sœurs de la Charité de Nevers.
Elle y passe 8 ans de sa vie.
Elle voit vivre les sœurs au quotidien avec les malades, les vieillards pauvres ainsi que les petites filles de familles sans ressource. En effet, les sœurs sont proches des plus pauvres, comme le demandait le fondateur de la congrégation, Jean-Baptiste Delaveyne.
« J’aime beaucoup les pauvres, j’aime soigner les malades, je resterai chez les Sœurs de Nevers ».
La communauté accueille Bernadette, en la laissant libre de trouver elle-même son chemin. Elle prendra du temps pour se décider : « j’aime beaucoup les pauvres, j’aime soigner les malades, je resterai chez les Sœurs de Nevers ».
En 1866, elle part pour Nevers, sa vie sera désormais avec les Sœurs de la Charité de Nevers.
Les premiers jours
Le soir du 7 juillet 1866, avec la supérieure de Lourdes et deux autres jeunes filles, Bernadette Soubirous franchit le seuil de la Maison-Mère à Nevers, appelée alors Saint-Gildard.
Dès son arrivée, elle peut lire les mots « Deus Charitas est », gravés dans la pierre du fronton de la Maison. Des mots disent l’esprit de la Congrégation depuis sa fondation.
Le lendemain de son arrivée à Saint Gildard, dans son costume de pyrénéenne, Bernadette fait pour la dernière fois le récit des apparitions devant 300 sœurs rassemblées pour l’écouter.
Après quoi, elle entre dans le temps de formation à la vie religieuse.
Sa vie quotidienne de Sœur de la Charité de Nevers
Le 30 octobre 1867, avec 44 novices, Bernadette fait son premier engagement dans la vie religieuse. Elle aurait aimé partir dans une communauté pour prendre soin des malades et des pauvres. Parce que sa santé ne le lui permet pas, elle reste à la Maison Mère avec l’emploi d’aide-infirmière et celui de la prière.
Au cours de ses 13 années à Saint-Gildard, Bernadette sera successivement aide-infirmière, responsable de l’infirmerie, sacristine et le plus souvent malade elle-même. Sa vie est simple, ordinaire. Bernadette a un caractère joyeux, elle est disponible à ce qu’on lui demande.
« Je ne vivrai pas un instant que je ne le passe en aimant ».
Elle fait de longs séjours à l’infirmerie. Atteinte d’une tumeur à un genou et d’une tuberculose pulmonaire qui la font beaucoup souffrir. Elle meurt le 16 avril 1879, elle a 35 ans. Elle est inhumée dans la chapelle Saint Joseph au milieu du jardin.
Elle sera canonisée, déclarée sainte le 8 décembre 1933.
Dimanche 16 avril 2023 : fête de Saint Benoît-Joseph Labre, pèlerin, mendiant (+ 1783), confesseur de la Foi
Il est l'aîné d'une famille de quinze enfants d'un laboureur d'Amettes dans le nord de la France. Il passe sa jeunesse dans les champs avec son père et ses frères. Mais il rêve d'être moine pour ne vivre que de Dieu.
A 19 ans, il se présente dans plusieurs monastères de chartreux. L'un ne prend pas de novices à cause d'un incendie récent. Dans l'autre, on le trouve trop jeune. Admis à la chartreuse de Montreuil-sur-Mer, il n'est pas gardé à cause de sa santé trop fragile. A pied, il se rend à la Grande-Trappe de Soligny: il est toujours trop jeune. Il revient à Montreuil, c'est un nouvel échec. La Grande Trappe de Sept-Fons ne l'accepte pas non plus et le Père Abbé lui dit: "Dieu vous veut ailleurs".
Désormais c'est "ailleurs" qu'il vivra dans l'errance et le pèlerinage perpétuel. Il ne cherche plus à se fixer. Son monastère sera la route, son seul compagnon de prière sera Dieu seul. En sept ans, il parcourut près de 30.000 kilomètres d'un sanctuaire à l'autre, en Espagne, en Suisse, en Allemagne et jusqu'en Pologne, vivant dans le plus extrême dénuement, partageant avec les pauvres les soupes populaires et les humiliations, toujours en oraison et toujours patient. Les prêtres qui le confessent sont émerveillés par sa vie mystique et son humilité. Mais son lieu de prédilection, c'est Rome où il passe ses journées en prière dans les églises, logeant avec tant d'autres pauvres dans les ruines du Colisée, distribuant à de plus pauvres ce qu'on lui donne. Dans les rues, les gamins se moquent de lui. Il les entend et rend grâces à Dieu. Le mercredi saint 1783, on le ramasse mourant sur les marches d'une église.
Dès sa mort connue, les gamins et le peuple de Rome s'en vont par les rues de Rome en criant: "Le saint est mort !" Les miracles se multiplient sur son tombeau. Bénéficiant ainsi d'un culte précoce et populaire, il est un défi au matérialisme d'une société vouée à l'argent.
Il est le saint patron des sans-domicile fixe, des pauvres et des exclus.
Béatifié par Pie IX en 1860, il est canonisé par Léon XIII le 8 décembre 1883.
Même si elle est empêchée par la célébration du dimanche, nous n'oublions pas la fête du Saint Pèlerin mendiant qui a porté dans sa chair l'expiation pour la sensualité de son siècle et qui a vu à l'avance la persécution révolutionnaire et en a souffert.
On trouvera ici le récit de ses derniers jours sur terre
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2013/04/15/2013-39-16-avril-1783-16-avril-2013-deux-cent-trentieme-anniversaire-de-la-mort-de-saint-benoit-joseph-labre/
De fortes paroles de Monseigneur Pie, évêque de Poitiers, montrant l'actualité de Saint Benoît-Joseph
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2013/04/16/2013-40-%c2%abbenoit-labre-cest-la-contre-revolution-en-personne%c2%bb/
Bernadette Soubirous est née à Lourdes, alors petite ville des Pyrénées, le 7 janvier 1844 dans une famille de meuniers qui vivait assez aisément dans les premières années de la vie de Bernadette.
Peu à peu, des ennuis de santé s’accumulent dans la famille. Les moulins à eau commencent à disparaître, c’est le début de l’industrialisation. L’argent vient à manquer au moulin. Louise et François Soubirous s’endettent comme tant d’autres. En quelques mois, ils sont devenus « brassiers », n’ayant plus que la force de leurs bras à louer à qui veut bien leur offrir du travail.
En 1854, avec leurs 4 enfants ils doivent quitter le moulin de Boly. Ils changent plusieurs fois de domicile, chaque fois moins cher et plus petit jusqu’à être hébergés gratuitement dans une seule pièce sombre et insalubre de l’ancienne prison de la ville, le Cachot, « un bouge infâme et sombre où aucun être humain ne pourrait habiter » (Procureur impérial Dutour – parlant du cachot).
Pour les Soubirous c’est l’enchaînement de la misère : chômage, expulsion, soupçon, exclusion, mépris… Bernadette a une santé précaire, elle souffre de l’estomac et, touchée par une épidémie de choléra elle en gardera un asthme tenace. Elle fait partie des enfants qui, à cette époque en France, ne savent ni lire ni écrire parce qu’ils sont obligés de travailler. Elle n’est scolarisée que par moments dans la classe des petites filles pauvres de l’Hospice de Lourdes tenu par les « sœurs de la Charité de Nevers »
En 1858, viendra pour elle le temps des apparitions.
Le 11 février 1858, Bernadette Soubirous, âgée de 14 ans, part du Cachot avec sa sœur et une amie pour aller chercher du bois mort au bord du Gave, à Massabielle, Il fallait se chauffer.
Tout a commencé par le bruit du vent dans les peupliers… Dans le creux du rocher, Bernadette aperçoit une « dame en blanc » :
« Je croyais me tromper. Je me frottai les yeux… Je regardai encore et je vis toujours la même dame »
« Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours ».
La Vierge Marie vient ainsi à sa rencontre 18 fois entre février et juillet.
Elle ne dévoile son nom que le 25 mars. C’est la 16ème apparition. Les autres rencontres sont pour la plupart sans parole…
La 3ème fois, le 18 février, Bernadette entend les premiers mots de la Dame :
« Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours »
Au milieu de la quinzaine, le 24 et le 25 février, Bernadette reçoit un message « Priez pour les pécheurs » et la Dame lui demande « d’aller boire à la fontaine et de s’y laver »… Après avoir gratté la terre boueuse au fond de la Grotte, Bernadette découvre une source.
Le 2 mars, Bernadette reçoit de la Dame une double mission : « Allez dire aux prêtres qu’on vienne ici en procession et qu’on y bâtisse une chapelle »
« Elle me regardait comme une personne qui parle à une autre personne »
A travers ces rencontres surprenantes, Bernadette Soubirous comprend, grâce à Marie, que Dieu s’intéresse à elle, qu’il se fait proche des plus pauvres, de ceux que le monde ignore et exclut.
Pendant toute cette période, Bernadette ne se laisse pas intimider, ni par ceux qui l’interrogent ni par la foule. Elle reste simple et libre.
« Je suis chargée de vous le dire, pas de vous le faire croire ».
Elle sera ensuite accueillie à l’Hospice de Lourdes tenu par les sœurs de la Charité de Nevers. Ce sera pour elle le temps de réfléchir à ce qu’elle veut faire de sa vie.
Bernadette Soubirous est accueillie comme « interne au pair » à l’Hospice de Lourdes tenu par les sœurs de la Charité de Nevers.
Elle y passe 8 ans de sa vie.
Elle voit vivre les sœurs au quotidien avec les malades, les vieillards pauvres ainsi que les petites filles de familles sans ressource. En effet, les sœurs sont proches des plus pauvres, comme le demandait le fondateur de la congrégation, Jean-Baptiste Delaveyne.
« J’aime beaucoup les pauvres, j’aime soigner les malades, je resterai chez les Sœurs de Nevers ».
La communauté accueille Bernadette, en la laissant libre de trouver elle-même son chemin. Elle prendra du temps pour se décider : « j’aime beaucoup les pauvres, j’aime soigner les malades, je resterai chez les Sœurs de Nevers ».
En 1866, elle part pour Nevers, sa vie sera désormais avec les Sœurs de la Charité de Nevers.
Les premiers jours
Le soir du 7 juillet 1866, avec la supérieure de Lourdes et deux autres jeunes filles, Bernadette Soubirous franchit le seuil de la Maison-Mère à Nevers, appelée alors Saint-Gildard.
Dès son arrivée, elle peut lire les mots « Deus Charitas est », gravés dans la pierre du fronton de la Maison. Des mots disent l’esprit de la Congrégation depuis sa fondation.
Le lendemain de son arrivée à Saint Gildard, dans son costume de pyrénéenne, Bernadette fait pour la dernière fois le récit des apparitions devant 300 sœurs rassemblées pour l’écouter.
Après quoi, elle entre dans le temps de formation à la vie religieuse.
Sa vie quotidienne de Sœur de la Charité de Nevers
Le 30 octobre 1867, avec 44 novices, Bernadette fait son premier engagement dans la vie religieuse. Elle aurait aimé partir dans une communauté pour prendre soin des malades et des pauvres. Parce que sa santé ne le lui permet pas, elle reste à la Maison Mère avec l’emploi d’aide-infirmière et celui de la prière.
Au cours de ses 13 années à Saint-Gildard, Bernadette sera successivement aide-infirmière, responsable de l’infirmerie, sacristine et le plus souvent malade elle-même. Sa vie est simple, ordinaire. Bernadette a un caractère joyeux, elle est disponible à ce qu’on lui demande.
« Je ne vivrai pas un instant que je ne le passe en aimant ».
Elle fait de longs séjours à l’infirmerie. Atteinte d’une tumeur à un genou et d’une tuberculose pulmonaire qui la font beaucoup souffrir. Elle meurt le 16 avril 1879, elle a 35 ans. Elle est inhumée dans la chapelle Saint Joseph au milieu du jardin.
Elle sera canonisée, déclarée sainte le 8 décembre 1933.
Dimanche 16 avril 2023 : fête de Saint Benoît-Joseph Labre, pèlerin, mendiant (+ 1783), confesseur de la Foi
Il est l'aîné d'une famille de quinze enfants d'un laboureur d'Amettes dans le nord de la France. Il passe sa jeunesse dans les champs avec son père et ses frères. Mais il rêve d'être moine pour ne vivre que de Dieu.
A 19 ans, il se présente dans plusieurs monastères de chartreux. L'un ne prend pas de novices à cause d'un incendie récent. Dans l'autre, on le trouve trop jeune. Admis à la chartreuse de Montreuil-sur-Mer, il n'est pas gardé à cause de sa santé trop fragile. A pied, il se rend à la Grande-Trappe de Soligny: il est toujours trop jeune. Il revient à Montreuil, c'est un nouvel échec. La Grande Trappe de Sept-Fons ne l'accepte pas non plus et le Père Abbé lui dit: "Dieu vous veut ailleurs".
Désormais c'est "ailleurs" qu'il vivra dans l'errance et le pèlerinage perpétuel. Il ne cherche plus à se fixer. Son monastère sera la route, son seul compagnon de prière sera Dieu seul. En sept ans, il parcourut près de 30.000 kilomètres d'un sanctuaire à l'autre, en Espagne, en Suisse, en Allemagne et jusqu'en Pologne, vivant dans le plus extrême dénuement, partageant avec les pauvres les soupes populaires et les humiliations, toujours en oraison et toujours patient. Les prêtres qui le confessent sont émerveillés par sa vie mystique et son humilité. Mais son lieu de prédilection, c'est Rome où il passe ses journées en prière dans les églises, logeant avec tant d'autres pauvres dans les ruines du Colisée, distribuant à de plus pauvres ce qu'on lui donne. Dans les rues, les gamins se moquent de lui. Il les entend et rend grâces à Dieu. Le mercredi saint 1783, on le ramasse mourant sur les marches d'une église.
Dès sa mort connue, les gamins et le peuple de Rome s'en vont par les rues de Rome en criant: "Le saint est mort !" Les miracles se multiplient sur son tombeau. Bénéficiant ainsi d'un culte précoce et populaire, il est un défi au matérialisme d'une société vouée à l'argent.
Il est le saint patron des sans-domicile fixe, des pauvres et des exclus.
Béatifié par Pie IX en 1860, il est canonisé par Léon XIII le 8 décembre 1883.
Même si elle est empêchée par la célébration du dimanche, nous n'oublions pas la fête du Saint Pèlerin mendiant qui a porté dans sa chair l'expiation pour la sensualité de son siècle et qui a vu à l'avance la persécution révolutionnaire et en a souffert.
On trouvera ici le récit de ses derniers jours sur terre
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2013/04/15/2013-39-16-avril-1783-16-avril-2013-deux-cent-trentieme-anniversaire-de-la-mort-de-saint-benoit-joseph-labre/
De fortes paroles de Monseigneur Pie, évêque de Poitiers, montrant l'actualité de Saint Benoît-Joseph
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2013/04/16/2013-40-%c2%abbenoit-labre-cest-la-contre-revolution-en-personne%c2%bb/
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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