Communier au pain de Dieu, c’est recevoir librement l’amour, le respect, la paix, la joie que Dieu seul peut donner !
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Communier au pain de Dieu, c’est recevoir librement l’amour, le respect, la paix, la joie que Dieu seul peut donner !
En contemplant avec vous la vie de saint Charbel, nous sommes entraînés dans son mystérieux déroulement. Il est né dans une famille simple, en 1828. Son père, Antoun Makhlouf, a été arraché à sa famille et envoyé aux travaux forcés et n’est jamais revenu. Le plus jeune fils d’Antoun Makhlouf, Charbel, avait à peine trois ans. L’exemple rayonnant de ses deux oncles, qui étaient moines, l’a attiré à la vie monastique. Il quitta sa maison sans prévenir personne et prononça ses vœux en 1853. Après seize ans d’une vie sacerdotale exemplaire, il obtint la permission de vivre comme un moine dans la solitude de l’Ermitage des saints Pierre et Paul. Il manifesta une grande dévotion dans la vie de prière, dans le travail manuel et dans le silence contemplatif avec un ascétisme rigoureux. Il avait une dévotion profonde envers la présence de Dieu dans l’eucharistie et il eut une crise cardiaque alors qu’il célébrait la liturgie divine, le 16 décembre. Il mourut quelques jours plus tard, la veille de Noël.
Quelques citations de notre saint du jour
Qui respire de l’amour de Dieu jusqu’à la folie, la folie de la croix, ne voit les choses du monde qu’à travers l’éternité…
Les amoureux du monde se donnent rendez-vous sur la terre, mais celui qui est amoureux du Christ a des rendez-vous par-delà les soleils de l’univers. Un instant d’éternité – s’il peut exister des instants – équivaut à des siècles ici-bas.
Charbel, le grand ascète, fixe un rendez-vous à sa mère en larmes, par-delà l’espace du monde, au Ciel, là où le cœur ne se rassasie pas de la vue de Dieu et des élus, ni l’œil ne se désaltère de la volupté de la communion dans l’amour, ni l’oreille des chants des bienheureux…
Il s’est privé de la vue de sa mère ! Privation faite de déchirure, que seuls les héros de l’esprit
et les géants de la sainteté peuvent supporter !
Voir le bien-aimé sur la terre est une chose si éphémère.
Au Ciel uniquement se vit la béatitude de la rencontre éternelle !
Ô Charbel ! Tu as réalisé, en pleine conscience transcendante, que l’éternité existe et
qu’elle baigne dans la clarté divine. Tu as compris que tout ce qui est temporel est pour
toujours misérable et que tout ce qui est éternel est pour toujours magnifique…
Les amoureux du monde se donnent rendez-vous sur la terre, mais celui qui est amoureux du Christ a des rendez-vous par-delà les soleils de l’univers. Un instant d’éternité – s’il peut exister des instants – équivaut à des siècles ici-bas.
Charbel, le grand ascète, fixe un rendez-vous à sa mère en larmes, par-delà l’espace du monde, au Ciel, là où le cœur ne se rassasie pas de la vue de Dieu et des élus, ni l’œil ne se désaltère de la volupté de la communion dans l’amour, ni l’oreille des chants des bienheureux…
Il s’est privé de la vue de sa mère ! Privation faite de déchirure, que seuls les héros de l’esprit
et les géants de la sainteté peuvent supporter !
Voir le bien-aimé sur la terre est une chose si éphémère.
Au Ciel uniquement se vit la béatitude de la rencontre éternelle !
Ô Charbel ! Tu as réalisé, en pleine conscience transcendante, que l’éternité existe et
qu’elle baigne dans la clarté divine. Tu as compris que tout ce qui est temporel est pour
toujours misérable et que tout ce qui est éternel est pour toujours magnifique…
Ce n’est pas une fois seulement dans votre vie que je vous appelle à Me suivre. Mais à tout moment.
Dans l’affairement quotidien, au sein de la foule agitée, écoutez la voix de votre Seigneur et de votre ami.
Il vous appelle. Il vous invite à vous arrêter un moment, à prendre un peu
de repos avec Lui. C’est une invitation à devenir plus patients,
le rappel de la grande parole qui vous dit que « votre force est dans le repos et la confiance. » (Isaïe)
Mais c’est peut-être aussi une invitation à prendre le temps de parler à un tel qui est dans la peine,
ou de lui donner un coup de main.
Dans l’affairement quotidien, au sein de la foule agitée, écoutez la voix de votre Seigneur et de votre ami.
Il vous appelle. Il vous invite à vous arrêter un moment, à prendre un peu
de repos avec Lui. C’est une invitation à devenir plus patients,
le rappel de la grande parole qui vous dit que « votre force est dans le repos et la confiance. » (Isaïe)
Mais c’est peut-être aussi une invitation à prendre le temps de parler à un tel qui est dans la peine,
ou de lui donner un coup de main.
À l’Eucharistie, Jésus nous livre son corps pour ouvrir des chemins qui peuvent nourrir, apaiser en nous la faim. Il s’offre à nous autant que nous le désirons, chacun selon sa faim, mais avons-nous vraiment faim de lui ? Un petit bout de pain reçu au cœur de nos mains : étonnante pauvreté de Jésus et mystère immense de sa vie qui se mêle à notre vie! C’est le don mutuel entre Dieu et l’homme, la communion possible et réelle dans la vie donnée et reçue. Depuis le Jeudi saint et sa mort sur la Croix par amour, Jésus nous y appelle en disant : « Faites ceci en mémoire de moi », une mémoire toujours vivante et présente.
Communier au pain de Dieu, c’est faire la démarche libre de recevoir l’amour, le respect, la paix,
la joie que seul Dieu peut donner, au creux de nos mains, de notre regard, de notre vie.
Le pain de Dieu, c’est simple comme bonjour, simple comme un « oui », simple comme un « je t’aime ».
C’est simple et tellement grand ! Mais nous sommes si souvent compliqués…
Communier au pain de Dieu, c’est faire la démarche libre de recevoir l’amour, le respect, la paix,
la joie que seul Dieu peut donner, au creux de nos mains, de notre regard, de notre vie.
Le pain de Dieu, c’est simple comme bonjour, simple comme un « oui », simple comme un « je t’aime ».
C’est simple et tellement grand ! Mais nous sommes si souvent compliqués…
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Merci à vous, Famille Myriam ! Soyez bénie !
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
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