Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
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Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Bonjour à toutes et à tous,
Le pèlerinage du Rosaire 2024 commence mercredi ! Depuis Lourdes, nous sommes heureux de vous faire vivre ces jours exceptionnels.
Pour que vous profitiez de ce temps de grâce, là où vous êtes, Prier dans la ville vous propose de recevoir les méditations du frère Olivier de Saint-Martin, prédicateur du pèlerinage. Dès mercredi, nous vous enverrons un mail quotidien. Vous pourrez lire et voir l'homélie du frère Olivier dans le sanctuaire marial et vous nourrir de témoignages, de rencontres. Vous pourrez également suivre les moments forts sur les réseaux sociaux, en particulier Facebook.
Dès maintenant, regardez le frère Olivier qui vous explique comment marcher à la suite du Christ :
Nous sommes très heureux de vivre ce pèlerinage tous ensemble et de prier avec vous.
Bon pèlerinage en direct de Lourdes !
frère Philippe Verdin, op
Responsable de Prier dans la ville
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
Re: Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Bonjour à toutes et à tous,
Le pèlerinage du Rosaire a démarré ce matin, mercredi 2 octobre 2024 à Lourdes. Des milliers de pèlerins sont venus de toute la France pour prier Marie !
Le frère Olivier de Saint-Martin a prononcé une homélie dans la basilique Saint Pie X , lors de la messe d'ouverture. En voici le texte, ainsi que la vidéo :
Homélie du 1er jour du pèlerinage du Rosaire 2024 à Lourdes
Chers frères et sœurs, chers pèlerins du Rosaire. Bienvenue à Lourdes !
Nous arrivons de partout pour répondre à l’appel de la Dame de la grotte et nous allons marcher à la suite du Christ. Ce qui peut nous y aider, ici puis ensuite chez nous, c’est la méditation des mystères du Rosaire qui reprennent la vie du Seigneur. Je sens monter une inquiétude chez les matheux : il va nous prêcher 20 mystères en 4 jours, ça va en faire 5 par homélie ! Elles vont être longues, très longues ses homélies ! Non, rassurez-vous. Chaque jour, nous nous aiderons plutôt d’un mystère et notamment des Lumineux qui ont été institués par Jean-Paul II en 2002.
Commençons avec le baptême du Christ. Jésus est là au milieu de la foule et rien ne le distingue des autres. Et là, je vous vois, foule immense de pèlerins. Certains d’entre vous sont sans doute un peu perdus, d’autres se sentent seuls avec le fardeau qu’ils portent. On n’est jamais si seul qu’au milieu d’une foule ! Cet Évangile est pour vous ! Jésus s’avance et le premier piscinier de l’histoire, Jean-Baptiste, l’accueille. Le rituel est le même qu’ici. Il faut retirer ses vêtements et se laisser faire pour être plongé dans l’eau. Il s’agit de s’abandonner.
À ce moment-là, le ciel, tel un voile, se déchire pour laisser apparaître ce qui, jusque-là, était caché. La voix du Père retentit : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, mon Unique, en Lui j’ai mis ma joie. Le secret qui unit, au Ciel et de toute éternité, le Père et le Fils est révélé à l’humanité. Ce secret, c’est l’amour qui les lie : l’Esprit Saint. Jésus est le bien aimé, l’Unique. Il n’est pas d’abord celui qui aime mais celui qui est aimé. Le Père, Lui, est celui qui aime, l’aimant, comme le dit la prière eucharistique. C’est ce qui avait fait dire au petit Hervé lors d’une leçon de catéchisme : J’ai compris ! Dieu est un énorme aimant qui attire tout à lui !
Ce qui est nouveau, c’est que la phrase n’est plus prononcée dans le secret de la Trinité. Elle est proclamée afin que le monde puisse l’entendre. Et elle concerne le Fils qui est devenu un homme, semblable à vous et moi, en toute chose, excepté le péché. Jusque-là, Dieu que personne n’avait jamais vu apparaissait comme un Créateur aimant mais lointain. Et sans doute est-ce encore notre impression, en particulier dans les moments les plus difficiles. Et nous crions avec le psalmiste Combien de temps Seigneur vas-tu me cacher ton visage ? Alors, le Verbe se fait chair, alors Jésus le Christ vient, descend jusqu’à nous. Il descend jusqu’à se laisser plonger dans la profondeur des eaux. Le ciel s’ouvre, la voix du Père retentit et l’Esprit repose sur lui. Le Christ est venu afin que cet Esprit d’amour qui descend sur lui, accompagnant la parole du Père, entraîne aussi chacun, chacune d’entre nous dans ce flot d’amour.
Si c’est à un homme que cette parole est dite, je comprends qu’elle s’adresse, à travers lui, à chacun de nous. Tu es mon Fils, tu es ma fille bien-aimée. En toi je trouve ma joie. En toi je trouve ma joie. Dieu s’adresse à chacun de nous et c’est cela qu’il nous dit. Cette phrase a été prononcée dans le secret de notre être au jour de notre baptême, ce geste que Jésus a vécu et auquel il a donné un contenu nouveau. J’avais été créé à l’image de Dieu et il y avait, en moi, des désirs immenses qui vont bien au-delà de ma nature blessée par le péché. Maintenant, devenu fils, fille dans le Fils Unique, tout devient possible. Et le Père ne cesse de me proposer son amour. Que celui qui a des oreilles entende !
Le Père ne réclame rien d’autre qu’un cœur ouvert de notre part pour y déverser son amour. Un tel accueil n’est pas aussi simple qu’il y parait. Il faut franchir ses propres peurs pour suivre le Christ, pour laisser l’amour de Dieu prendre toute sa place. Se laisser aimer, y compris dans ces lieux où nous ne nous aimons pas vraiment, qui nous font honte. Voilà l’enjeu de notre vie dans laquelle Dieu veut répandre son amour pour créer toutes choses nouvelles en nous. Sainte Catherine de Sienne était un peu effrayée de cela et le Seigneur lui a répondu : c’est vrai que tu n’es pas digne, mais moi, je suis digne d’habiter en toi. Et cela a été, ici, à la grotte, l’expérience de Bernadette, elle qui n’avait rien pour attirer le regard des autres, bien au contraire ! Marie l’a regardée et lui a parlé comme une personne parle à une personne !
Avez-vous remarqué que, depuis quelques années, certains portent des vêtements troués voire déchirés ? C’est d’ailleurs étonnant : plus ils sont déchirés, plus ils coûtent chers. Les stylistes ont-ils voulu imiter Dieu qui a déchiré le ciel pour nous revêtir de la tunique du Christ ? En tout cas, ils n’ont pas suffisamment écouté Dieu qui avait dit : Ne déchirez pas vos vêtements mais votre cœur ! Aujourd’hui, Dieu éternel, qui est le vrai créateur, celui d’une mode qui ne passe pas, déchire le voile du ciel pour nous dire qu’il y a une place pour nous dans la Trinité. Et Jésus, Dieu fait homme, fend, déchire le Jourdain pour nous dire qu’il y a, dans notre humanité une place pour Dieu. C’est comme s’il s’immergeait en nous… L’enjeu est de taille : il s’agit d’atteindre, si j’ose dire, notre poids idéal !
Dans Fanny de Marcel Pagnol, César reprend Marius qui n’a pas été un bon père. Il lui dit : Quand Césariot est né, il pesait 4 kilos... 4 kilos de la chair de sa mère. Mais aujourd’hui, il pèse 9 kilos, et tu sais ce que c’est, ces 5 kilos de plus ? Ces 5 kilos de plus, c’est 5 kilos d'amour. Et pourtant c’est léger l'amour ! [...] Et il en faut pour faire 5 kilos... Moi j’en ai donné ma part ; sa mère aussi. Mais celui qui en a donné le plus, c’est lui. Lui, c’est Panisse, le père adoptif. Dieu est, pour chacun de nous, le vrai Père adoptif qui veut nous donner son amour et nous rendre participants de sa vie divine. Saviez-vous que le plus illustre de nos pèlerins, saint Thomas d’Aquin, affirme que sans cet amour de Dieu, nous ne sommes capables que de planter des choux, construire des maisons et cultiver des vignes ?
Aujourd’hui, écoutons Marie nous dire : Voulez-vous me faire la grâce de venir à la grotte ? Allons-y et asseyons-nous. Prenons le temps de faire mémoire de ces moments où Dieu est venu à notre rencontre à travers des personnes, un sacrement, un temps de prière. Et essayons de le relier à un épisode de l’Évangile selon ces magnifiques paroles de Bernanos : Je me dis que bien avant notre naissance – pour parler le langage humain – Notre-Seigneur nous a rencontrés quelque part, à Bethléem, à Nazareth, sur les routes de Galilée, que sais-je ? Un jour entre les jours, ses yeux se sont fixés sur nous, et selon le lieu, l’heure, la conjoncture, notre vocation a pris son caractère particulier (Journal d’un curé de campagne).
Frères et sœurs, quel est ce lieu, ce moment, où Dieu nous a rencontré pour nous dire son Amour ? Quel est l’appel que vous entendez dans votre âme ? Dieu a immergé sa joie en nous, il prend plaisir en ce que nous sommes. Il a gravé notre nom sur la paume de ses mains pour nous introduire dans sa vie intime. Il nous redit : Tu es mon fils, tu es ma fille bien-aimée, en toi, je mets ma joie. Il cherche un cœur pour s’y reposer. Et si c’était le nôtre ? Alors que notre cœur accepte une déchirure qui transforme pour que, forts de la joie de Dieu, nous nous mettions en marche à la suite du Christ !
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Frère Philippe Verdin, op
Responsable de Prier dans la ville
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Edité pour corriger vidéo et lien faussé par un tiers malveillant + rajout de la messe d'ouverture complète
Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Messe de titularisations sur l'esplanade 03/10/24 à 9 h 30
Grande catéchèse Fr. Olivier de Saint Martin 03/10/24 à 11 h
La conférence ne démarre pas tout de suite.
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Bonjour à toutes et à tous,
Nous poursuivons notre pèlerinage à Lourdes. Voici le texte de l'homélie prononcée ce matin par le frère Olivier de Saint-Martin sur l'esplanade. Vous pouvez aussi la regarder en vidéo.
Homélie de la messe de titularisation du Pèlerinage du Rosaire 2024 -
3 octobre 2024
3 octobre 2024
Cher Dieu, je suis allé à un mariage la semaine dernière. Les mariés se sont embrassés dans l’église. Tu es d’accord avec ça ? Voilà la question posée par la petite Anne à Dieu. Le pape François lui répond : Notre Seigneur apprécie de manière spéciale celui qui se réjouit du bonheur de l’autre. Si nous n’alimentons pas notre capacité de nous réjouir du bien de l’autre […] nous nous condamnons à vivre avec peu de joie... Et comme le frère Hervé, le directeur du pèlerinage, nous explique que ce que nous vivons est une fête, qu’il y a de la réjouissance, quoi de plus normal que de suivre le Christ à Cana ?
Dans son roman S’adapter, Clara Dupont-Monod fait parler les veilles pierres de la maison qui a vu grandir un petit enfant handicapé. Elles racontent avec tendresse la vie de chacun des membres de sa famille. Et si les jarres de Cana faisaient de même ? Elles sont six, une pour chaque jour de la Création. Une jarre, une cruche, c’est un récipient fait pour recevoir et redonner. Pas pour garder. C’est d’ailleurs au moment où elles donnent ce qu’elles ont reçu que le miracle apparait, car il y a plus de joie à donner qu’à recevoir. C’est comme si elles portaient un potentiel incroyable. Pourtant, elles restent fragiles et si elles tombent, elles peuvent se briser. Comment ne pas penser à ce que dit l’Apôtre Paul : Nous portons, comme en des vases d’argile, un trésor. Les jarres, c’est un peu chacun de nous qui se met à la disposition de Jésus. Et si saint Jean nous parlait alors aussi du miracle de la conversion des cruches ? Frères et sœurs, pour la première fois, nous pourrions penser et nous dire en nous voyant les uns les autres, sans crainte de nous blesser : Ah, quelle belle cruche !
Avec les jarres regardons les convives, si différents les uns des autres. Ils sont tous là et, heureusement, il n’en manque pas car, sinon, la fête ne serait plus la même. Il y a, bien entendu, les mariés. Ils partagent leur bonheur et créant un nouveau souvenir heureux, ils font grandir l’amitié entre tous et permettent que de nouveaux liens se tissent. Il y a Jésus, Dieu fait homme, qui se réjouit de la joie des autres. Il y prend part parce que, comme le Père au moment de la création, il voit que cela est bon. Il y a les invités qui rendent grâce pour le bonheur des nouveaux époux. Certains traversent pourtant des moments difficiles mais ils font le choix de venir, de se réjouir quand même. Chacun met, peut-être sans le savoir, en application ce commandement de l’Ecclésiaste : Va, mange avec plaisir ton pain et bois d’un cœur joyeux ton vin, car Dieu, déjà, prend plaisir à ce que tu fais !
Sans forcément vider la cave, le Christ nous invite à comprendre que tout bonheur vrai est comme un nouvel accomplissement de l’acte créateur. Il faut apprendre à les voir, ces moments, car ils sont souvent plus fugaces, moins visibles qu’une fête de noces : un sourire, un geste de tendresse, une colère ravalée, un encouragement, un merci… Les voir, et rendre grâce ! Un rayon de lumière perce là où on l’attend le moins, dans ce qui paraît « humble, gris, très pauvre ». Le remarquer, c’est changer. Le partager avec autrui, l’atteindre ensemble, c’est aimer. Aimer de cette manière, c’est ne plus « appartenir à ce monde » (Erik Varden, Quand craque la solitude). Cela nous parle, ici à Lourdes, où Marie promet à Bernadette le bonheur qui n’est pas de ce monde ! Non qu’il n’y ait pas de bonheur en ce monde mais la source du bonheur vient d’ailleurs, de plus haut. Le bonheur est là, tout proche, à portée de main, et Dieu peut lui donner une nouvelle dimension.
Les jarres voient Marie qui se réjouit et qui est attentive à ce que tout continue de bien aller. Ils n’ont plus de vin dit-elle. Pas : je n’ai plus de vin mais Ils n’ont plus de vin. Le centre, ce sont les autres ! Que faire ? Les jarres se voient vides et, de toute manière, elles sont là pour la purification. Ce qui se passe est en dehors de leur champ de compétence ! Elles entendent Marie prier Jésus, presque le commander. Et elle s’adresse aux serviteurs : Faites tout ce qu’Il vous dira. Ah, les serviteurs ! Eux aussi, ils font partie de la Noce même si personne ne prête vraiment attention parce qu’après tout, ils font leur travail. Mais sans eux, pourrait-on se réjouir ? Car, de fait, rien n’est magique. En ce jour des titularisations, je pense à tous ceux par qui le pèlerinage existe. Il y a tant et tant de travail derrière. Soyez bénis !
Les jarres entendent alors le Christ demander aux serviteurs de les remplir d’eau. L’eau, elles en ont l’habitude. Elle sert à purifier. Mais là, elles doivent être portées au maitre du repas. Ce n’est pas dans les habitudes ! L’eau pourrait-elle avoir une autre signification ? Oui, elle est ce qui nous fait vivre et nous fait grandir, comme cela se passe avec les plantes. L’eau c’est ce que nous recevons des autres, les serviteurs, et que nous cultivons : le savoir, la reconnaissance mutuelle, l’amitié, l’amour vrai, le don de soi, l’attention aux autres, le service… Cette eau, c’est la matière dont Dieu a besoin pour accomplir son miracle. Elle est ce qu’il peut transformer en vin, lui qui ne supprime pas notre nature mais la surélève. Je suis responsable de ce que je bois, de ce qui entre en moi. Et puis, bien sûr, il y a l’eau des sacrements et de la Parole de Dieu qui ne revient jamais à Dieu sans avoir produit son effet… Frères et sœurs, prenons soin de remplir notre jarre pour qu’elle grandisse en humanité ! C’est un effort indispensable !
Les jarres, qui avaient reçu de l’eau, portées par les serviteurs, obéissant à la parole de Jésus, donnent du vin. Et le meilleur. Quel miracle ! Il a fallu quelques pas (marcher, encore marcher !), un saut dans l’inconnu, pour les jarres comme pour les serviteurs… Ces quelques pas sont le moment où l’Esprit Saint agit, où il peut tout transformer et conduire au bonheur. Si nous souhaitons que les convives ne boivent pas que de l’eau, si nous voulons qu’ils boivent du vin et le meilleur, il faut accepter de laisser la parole du Christ et l’Esprit Saint agir et nous conduire dans cet inconnu. Comme les jarres, vases fragiles, nous pouvons être remplis d’une bonne eau. Comme elles, nous croyons peut-être n’être capables que de donner de l’eau. Comme elles, nous doutons peut-être du résultat et de nous-mêmes. Cependant ne doutons pas de Dieu ! Car, par Lui, c’est peut-être du vin que nous transmettons ! Oui, il y a la grâce de Dieu, l’action de l’Esprit Saint qui s’offre lorsque nous savons nous offrir.
Il paese di vetro est un petit conte pour enfants. Il raconte l’histoire d’une personne qui est transportée, comme par magie, dans un pays où tout est en verre. Pourtant rien n’est jamais brisé parce que tout le monde a appris à se comporter avec délicatesse. Notre personnage est renvoyé dans le monde avec cette consigne : Maintenant, ton rôle est de vivre ici comme tu vivais là-bas et de contaminer les autres en les rendant semblables aux habitants du pays de verre. Frères et sœurs, Dieu a besoin de nous, il ne veut pas avoir d’autres mains que les nôtres et de la délicatesse qu’il nous aura apprise sous l’action de l’Esprit Saint, pour bâtir la civilisation de l’amour. Au travail !
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Messe d'onction sur l'esplanade 04/10/24
Grande catéchèse Cardinal François Bustillo 04/10/24
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Bonjour à toutes et à tous,
Nous continuons notre pèlerinage à Lourdes. Voici le texte de l'homélie prononcée ce matin par le frère Olivier de Saint-Martin sur l'esplanade. Vous avez également la possibilité de la visionner en vidéo.
Homélie de la messe d'onction des malades du Pèlerinage
du Rosaire - 4 octobre 2024
du Rosaire - 4 octobre 2024
Hier, avec le Christ nous apprenions à nous réjouir du bonheur des autres et à devenir serviteur de leur joie. Mais que se passe-t-il lorsque la crise vient, une crise plus importante que le manque de vin, une crise qui semble tout emporter ? Est-il possible, au cœur même de l’épreuve, du deuil, de la maladie, de ces maux extérieurs, de donner un sens à ce qui nous arrive ? Alors qu’il était atteint du cancer, Alexandre Soljenitsyne le pensait. Il a écrit à ce moment-là : la liaison des cœurs (l’amour donc) et notre point de vue sur notre vie sont toujours en notre pouvoir... (cf. Le pavillon des cancéreux).
Je crois que c’est ce que le Christ Bon-Pasteur nous apprend lorsqu’il affirme : ma vie, nul ne la prend mais c’est moi qui la donne. Il voulait dire que même le Vendredi saint, il serait encore acteur. Et il l’a particulièrement montré la veille de sa Passion, le Jeudi saint. Alors qu’il allait être trahi, abandonné et mis à mort, Jésus ne s’est pas enfui, il n’a pas répondu à la haine par la haine en appelant à sa rescousse des légions angéliques. Non, Il s’est mis à genoux, a lavé les pieds de ses disciples, les aimant jusqu’au bout. Puis Il a pris du pain et du vin et appelant sur eux la bénédiction du Père, l’Esprit Saint, Il les a donnés à ses disciples pour leur dire : voilà comment moi, je peux transformer le mal en occasion d’aimer, voilà mon Corps et mon Sang, livrés comme ma vie fut donnée. Ils seront, pour vous, source de vie. Par ce geste, il signifiait que donner sa vie pour eux était sa joie car, disait-il, Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime.
À Cana, l’eau reçue dans les jarres était devenue du vin. Désormais, le pain et le vin deviennent présence réelle du Christ. Par ce geste, par ce don, le Christ a tout renversé. Il a donné sa vie, son corps et son sang, pour rester présent et venir vivre en nous. La plus grande crise que le monde ait connu – imaginez le Fils de Dieu qui va être mis à mort – est devenue l’occasion du plus grand acte d’amour et de don. Et c’est important pour nous car le Christ nous propose de participer à sa mission de Bon Pasteur qui donne sa vie pour ses brebis. Nous ne devrions pas craindre les crises dit notre frère Timothy Radcliffe. C'est lorsque tout paraît fini, dans notre vie personnelle ou communautaire, que le Seigneur se manifeste d'une façon nouvelle et secrète. C’est tellement important pour lui, qu’il en parle souvent. Il parait même que des frères lui ont offert un T-shirt sur lequel est inscrit : Bonne crise Timothy !
Permettez-moi de partager un souvenir pas très théologique. Ma mère faisait parfois du pain perdu. Le pain rassis trouvait alors une nouvelle vie. Il était comme ressuscité pour notre bonheur ! Aujourd’hui, il est même devenu le terrain de jeu des grands chefs cuisiniers qui, chacun avec sa créativité, le transcende… Il n’existe pas deux pains perdus pareils ! Et si, lorsque l’épreuve nous accable, nous devenions ce pain perdu que Dieu peut sublimer ? Cela signifierait que notre vie, même malmenée, reste précieuse et que Dieu peut la transformer si, à la suite du Christ, je décide que ma vie, nul ne la prend. Je la donne. Oui, je peux, par Lui, avec Lui et en Lui donner mon corps et mon sang pour la vie du monde. Je peux donner mon corps, c’est-à-dire toutes les forces de vie qui sont en moi, je peux donner mon sang, c’est-à-dire mes épreuves, mes difficultés, à travers des actes aussi simple qu’un sourire, un geste partage. Et je sais qu’il rendra ce don fécond. Peut-être que je ne le verrai pas mais, dans l’espérance, je sais que je participe à l’œuvre du Salut.
C’est ce qu’ont vécu tant et tant de personnes. Je pense à Julia de Beausobre, alors qu’elle était emprisonnée par Staline et qui a choisi ce chemin : Mes bourreaux, en me plongeant dans la haine, auraient pu m’ajouter au mal du monde. J'ai essayé de les aimer parce qu’ainsi, au contraire, je n’ajouterais pas au mal du monde. Si je pouvais les aimer, me disais-je, peut-être que cet amour aurait un effet sur eux, qu'il pourrait même réduire le mal dans le monde. Le chemin de l'amour dans le Christ, de la confiance et du pardon m'a semblé être le seul chemin. […] Tout cela est très difficile. Mais une fois qu’on y est parvenu, on se rend compte qu’on a eu le privilège de participer à rien de moins qu’un acte de rédemption. Quelle magnifique expression du mystère d’une vie donnée alors même que ses bourreaux pensaient la lui prendre !
Aujourd’hui, certains d’entre nous vont recevoir l’onction qui vient déployer cette grâce de don de soi que nous fait vivre l’eucharistie. La maladie est un mal qu’il faut combattre. Elle nous menace, physiquement et spirituellement. Elle menace de nous enfermer, de nous isoler et de nous plonger dans la désespérance. Le Christ le sait, lui qui s’est fait si proche de ceux qui souffraient et qui étaient malades. Il sait combien nous avons besoin de soutien, de proximité et de tendresse dans ces moments. Il veut emplir notre souffrance de sa présence pour nous donner de pouvoir vivre notre vocation. L’onction est cette force de Dieu. Elle vient ouvrir nos enfermements, cautériser nos chagrins, soutenir nos forces défaillantes, pour nous aider à vivre, à déployer ce que l’eucharistie nous a donné : devenir le corps du Christ, pour d’autres.
Je voudrais faire mémoire de notre frère Ernest que certains d’entre vous ont connu et qui a notamment fondé la section du pèlerinage en Haïti. Il y a environ 18 mois, affecté d’une tumeur au cerveau, il était arrivé à Toulouse. La maladie l’a cloué sur une chaise. Il était incapable de se mouvoir, parlant difficilement. Il est venu à Lourdes comme malade et a reçu, au milieu de nous, le sacrement des malades. Il a continué à sourire, est resté ouvert en tout, s’intéressant à la vie des autres, se réjouissant de nos apostolats. Il a fait sortir chacun de son isolement car il avait besoin d’aide. Il est devenu le catalyseur et le révélateur de notre fraternité religieuse. Soutenu par l’onction des malades, il s’est totalement remis entre nos mains et, comme Bernadette à Nevers, a pris l’office de la prière. Si nous l’avons aidé, il nous a enseignés le vrai bonheur de la vie. En donnant sa vie, jusque dans la maladie, il nous a aidés à vivre.
Oui, le Christ, qui veut se faire proche de tous ceux qui souffrent, vient, à travers l’onction, soutenir, remplir de sa présence et aider à lutter contre la maladie. Et il dit : Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau et moi je vous procurerai le repos. Le Christ, qui s’est chargé de nos souffrances, nous demande aussi si nous voulons bien porter avec Lui le monde qui peine, et tous ceux qui n’ont plus d’espérance. Ce n’est pas sans lien avec l’amour de Marie, au pied de la Croix. Et c’est en signe de cela que nous oserons vous confier quelques-unes des intentions de prières les plus importantes que nous avons reçues. Frères et sœurs, marchons à la suite du Christ en donnant tout, dans l’eucharistie, en soutenant ceux qui souffrent en priant les uns pour les autres et en demandant à tous ceux qui vont recevoir l’onction de bien vouloir prier pour nous.
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Que l'intercession bienveillante de Notre-Dame du Rosaire vous éclaire et vous remplisse de grâces.
A demain pour notre dernier jour en direct de Lourdes !
Frère Philippe Verdin, op
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Adoration eucharistique avec procession
des reliques 04/10/24
des reliques 04/10/24
Messe d'envoi du Pélerinage de Lourdes
sur l’esplanade 05/10/24
sur l’esplanade 05/10/24
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Bonjour à toutes et à tous,
Le pèlerinage du Rosaire se termine aujourd'hui. Revivez la messe d'action de grâce et d'envoi en la regardant sur notre page Facebook.
Voici le texte de l'homélie prononcée ce matin par le frère Olivier de Saint-Martin sur l'esplanade. Vous avez également la possibilité de la visionner en vidéo.
Homélie de la messe d'envoi du Pèlerinage
du Rosaire - 5 octobre 2024
du Rosaire - 5 octobre 2024
Aujourd’hui, tout commence ! Marie, comme plus tard le Christ au jour de son baptême, a été appelée à se réjouir parce que le Seigneur est avec elle, qu’elle est comblée de grâce. Elle porte maintenant en son sein Jésus, le Sauveur. Quand il aura grandi, elle Le suivra partout. À Cana elle s’est réjouie, avec Lui, du bonheur des autres et elle s’est faite servante de leur joie. Elle l’a suivi dans le don qu’Il fait de sa vie pour le Salut du monde, pour la construction du Royaume. Discrètement, elle nous a, nous aussi accompagnés pour nous apprendre à faire de même. Auprès d’elle, nous avons nourri notre foi ce qui signifie selon saint Thomas d’Aquin, croire à l’amour, croire au bonheur, croire marcher vers Dieu et faire partie des membres de son corps. Avec Marie, nous avons essayé d’entrer plus profondément dans la grande histoire d’amour de Dieu avec l’humanité.
Comme l’ange Gabriel a été envoyé à Marie, d’autres ont été envoyés pendant notre pèlerinage. Telle ou telle personne avec laquelle nous avons eu une conversation. Un sourire, un geste échangé et reçu, un enseignement qui nous a éclairé. Les anges ont accompli leur mission et nous sommes différents de ce que nous étions au début du pèlerinage. Maintenant, ils vont nous quitter et notre cœur sera dans la joie parce que cela signifie que nous avons reçu ce dont nous avions besoin ! Qu’avons-nous reçu, sinon l’Esprit Saint qui nous a couvert de son ombre. Nous portons un trésor comme les Apôtres au jour de la Pentecôte. Comme le dit le Christ, Le Royaume de Dieu est au-dedans de vous ! Il est paix, joie et service dans l’Esprit Saint. Nous sommes renouvelés, porteurs de la vie éternelle alors que nous sommes encore sur terre.
Et l’ange la quitta. Aussitôt, Marie se lève. Le verbe grec, ἀνίστηναι (anisténai), est celui-là même qui est utilisé pour parler de la résurrection. Si Marie n’avait pas besoin d’être rachetée, puisqu’elle était l’Immaculée conception, elle porte en elle son Dieu. L’Esprit Saint est venu sur elle et il y a quelque chose de totalement nouveau dans sa vie qui la pousse à se lever et à partir. Elle marche et elle marche vite, parce que c’est elle désormais la messagère, l’ange qui vient se mettre au service de sa veille cousine Élisabeth, qui vient partager le bonheur que celle-ci doit éprouver dans sa maternité à venir, elle qu’on appelait vulgairement et avec mépris « la stérile ». Cela nous rappelle qu’en dépit des apparences, Élisabeth était nécessaire pour que Dieu déploie son Alliance avec l’humanité. Cela vaut pour chacun, chacune d’entre nous. Chacun, chacune de nous est nécessaire.
Le Cardinal Newman écrivait : Dieu m’a créé pour un service précis ; il m’a confié un travail qu’il n’a confié à personne d’autre. J’ai une mission à remplir dont je ne découvrirai peut-être jamais le sens en ce monde, mais dont je serai instruit dans l’autre. Je suis d’une certaine manière nécessaire à ses plans, aussi nécessaire à ma place qu’un archange à la sienne. […] J’ai un rôle à jouer dans ce grand ouvrage ; je suis un chaînon, un lien entre des personnes. Il ne m’a pas créé pour rien. Je ferai le bien, j’exécuterai la tâche qu’il m’a confiée ; je serai un ange de paix, je prêcherai la vérité, sans même le savoir, si j’observe ses commandements et le sers à la place qui est la mienne. Oui, chacun de nous est appelé, chacun à sa mesure à devenir le co-auteur de l’histoire que Dieu veut continuer d’écrire avec son peuple. Chacun de nous le fera selon ce qu’il est. Car l’Esprit Saint ne fait pas de nous une armée de clones. Il vient transformer, sans jamais la détruire, notre personnalité en ce qu’elle a de bon. Dieu ne prend-il pas plaisir en elle ?
Pendant de longs mois, la flamme olympique a parcouru la France. Chaque porteur était appelé à faire quelques pas avant de la transmettre à une personne. J’y vois comme un appel : la flamme qui nous est confiée est plus intérieure et plus discrète et nous sommes appelés à en être les relayeurs. Le Christ est la torche à laquelle nous venons allumer notre flambeau qui doit transmettre à plusieurs la lumière pour qu’il y en ait une multitude qui brillent ensemble. Comme lors de la procession mariale nos flambeaux éclairent notre route comme le fait la Parole de Dieu. Les flammes, fragiles mais vivantes, donnent vie à nos visages et à ceux des autres, faisant de nous tous, non pas des porteurs successifs mais un seul peuple, une seule famille, membres d’un seul corps, membres les uns des autres ! Et si l’une s’éteignait, un autre la ranimait. Mais cette flamme, il nous appartient, mieux, il nous est demandé de la transmettre à nos cousines Élisabeth !
Qui sont-elles ? Ce sont notamment toutes ces personnes qui ploient sous le fardeau, qui sont enfermées par le regard des autres ou qui simplement cherchent un sens à leur vie. Comme Marie et Bernadette nous sommes invités à nous mettre en route avec empressement pour dire, et non pas faire croire, et encore moins asséner. Je sais bien que Sacha Guitry disait que les voyages, ça sert surtout à embêter les autres, une fois qu’on est revenu. Nous n’avons pas fait un voyage mais un pèlerinage. Nous n’aurons pas de beaux paysages à raconter mais les dons que nous avons reçu à partager. Aujourd’hui, Dieu nous envoie proclamer la Bonne Nouvelle du Royaume comme le faisait saint François en envoyant le frère Tancrède en mission : Tu dois dire à ce ceux que tu rencontres : toi aussi tu es aimé de Dieu dans le Seigneur Jésus. Et pas seulement le lui dire, mais le penser réellement. Et pas seulement le penser, mais se comporter avec cet homme de telle manière qu’il sente et découvre qu’il y a en lui quelque chose de sauvé (cf. Eloi Leclerc, Sagesse d’un pauvre).
Le flambeau que nous devons passer, c’est la lumière que nous avons approchée et touchée pendant ces quelques jours en mettant l’Évangile au centre. Elle est en nous, non pas pour être mise sous le boisseau mais pour éclairer, réchauffer le monde de sa présence et lui redonner une espérance. Laissons passer cette lumière, y compris à travers nos failles ! Témoignons de ce que nous avons vécu par les gestes les plus simples, par le langage le plus simple que tous comprennent, celui de l’Amour qui est la langue de l’Esprit Saint.
Mère Teresa rapportait : en Australie, nous allons dans les maisons des pauvres, nous lavons, nettoyons et y faisons tout ce dont ils ont besoin. Or, un jour, je me rendis chez un homme à qui je demandais : « Puis-je nettoyer votre maison ? » Il dit : « J’ai ce qu’il faut. » Je lui répondis : « ça irait encore mieux si vous me laissiez faire. » Alors, il me permit de nettoyer sa maison. Je vis, dans un coin de la pièce où il se tenait, une grande lampe recouverte de poussière. Je lui demandais : « pourquoi n’allumez-vous pas cette lampe ? » Il répondit : « Pour qui ? Cela fait des années que personne n’est venu. » Alors je lui proposais : « Est-ce que vous allumeriez cette lampe si les Sœurs venaient vous voir ? » Il assura que oui. Alors, je me mis à nettoyer cette lampe. J’avais tout oublié de cette histoire. Deux ans plus tard, j’entendis à nouveau parler de cet homme. Il s’exprimait ainsi : « Dites à mon amie que la lumière qu’elle a allumée dans ma vie brille encore. »
À l’heure où l’ange s’en va, Marie devient cet ange pour Élisabeth. À notre tour d’être les messagers – les anges – et les relayeurs de ce que nous avons reçu, la certitude que Dieu trouve sa joie en chacun de nous. Une joie que nous avons à transmettre.
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Que l'intercession aimante de Notre-Dame du Rosaire vous guide et vous comble de bénédictions.
Frère Philippe Verdin, op
Responsable de Prier dans la ville
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Vivez le pèlerinage du Rosaire chez vous ! du 2 au 5 octobre 2024,
Où trouver la force d’espérer pour Israël et la Palestine
Marie-Armelle Beaulieu est journaliste. Après une dizaine d’années d’expérience professionnelle en France, elle propose aux Franciscains de mettre ses compétences au service de leur revue en langue française. Depuis 2005, elle anime Terre Sainte Magazine et collabore régulièrement avec d’autres revues telles Le Monde de la Bible.
Alors qu’Israéliens et Palestiniens vivent le conflit le plus long, le plus meurtrier, le plus destructeur de leur histoire commune. Alors que la fin de la guerre ne sonnera pas la fin de l’affrontement. Faut-il se résoudre au pire, où existe-t-il des scintillements d’espérance dans la nuit ?
Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
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