25 SEPTEMBRE : SAINT FIMIN
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25 SEPTEMBRE : SAINT FIMIN
25 septembre : fête de Saint Firmin d’Amiens (+4e s.)
Saint Firmin est considéré par les historiens comme le premier évêque d’Amiens où il aurait subi le martyre. La légende du portail nord de la cathédrale d’Amiens se base sur un écrit du 9ème siècle. Le sénateur Firmus conduisait son fils, le futur Saint Firmin, au temple de Jupiter à Pampelune en Espagne quand il rencontra le prêtre Chrétien Honestus qui lui parla de Jésus et lui fit rencontrer une semaine plus tard son maître, Saint Saturnin, l’un des soixante-dix disciples de Jésus. Saturnin, à Pampelune, convertit quarante mille personnes en quelques jours dont le jeune Firmin qui, avec l’âge, devint un fidèle prédicateur du Christ. Firmin, à vingt-sept ans, reçut le sacre épiscopal, évangélisa l’Aquitaine, l’Auvergne, le Beauvaisis et s’en fut à Amiens. C’est là qu’il fut arrêté et discrètement assassiné par le gouverneur païen qui craignait les trop nombreux Chrétiens de la région. Si l’histoire est belle, les détails en sont peu historiques. Peu importe.
Saint Firmin est, avec saint François Xavier, l'un des deux patrons de la Navarre en Espagne. Chaque année se déroulent les fêtes de San Fermín du 6 au 14 juillet à Pampelune, capitale de la Navarre, popularisée par les écrits d'Ernest Hemingway. Il est considéré par les catholiques comme le premier évêque d'Amiens et Saint patron de la ville.
Une perle blog du mesnil : Lettre mensuelle de la Confrérie Royale, 25 septembre 2023
Selon la volonté du pape Saint Pie X, rétablissons le triduum de Saint Michel
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/09/24/2023-116-le-deguisement-du-demon-en-serpent-se-continue-par-ses-transformations-en-heretique-en-schismatique-en-faux-savant-faux-litterateur-faux-artiste-faux-sociologue-en-moderniste-et-com/
25 septembre : fête de Saint Nicolas de Flue
Nicolas de Flüe naît en 1417 dans le canton suisse de Obwald. Il appartient à une famille de paysans aisés. Dans sa jeunesse, il sert dans l’armée confédérée. On dit qu’il combat avec dans une main, une épée, et dans l’autre un chapelet.
Vers l’âge de 30 ans, il épouse Dorothée Wyss. Ce mariage est un mariage d’amour, il y a un vrai coup de foudre. Ensemble, ils auront 10 enfants, 5 fils et 5 filles. Après l’armée, en 1459, à l’âge de 38 ans, Nicolas devient conseiller et juge de son canton. Il tenait sa place dans la vie politique du canton comme conseiller cantonal. Mais ce bon père de famille, cet homme d'un grand civisme, se retire dans un lieu solitaire pour prier chaque fois qu'il le peut.
Au bout de 9 ans, Nicolas opère alors ce qu’il appelle lui-même « sa rupture ». Bien que le dernier fils n’ait que 13 semaines, sa femme lui permet de quitter la vie conjugale et familiale pour devenir ermite. Il se retire alors dans la montagne, à seulement 300m de la maison familiale, dans un lieu appelé Ranft.
Permission accordée qui devrait mériter à Dorothée aussi la reconnaissance de l'Église pour l'héroïcité de ses vertus.
Nicolas s'enfonce dans la prière. Les visions mystiques deviennent de plus en plus nombreuses. Son jeûne est absolu, scrupuleusement vérifié par des espions de l'évêque du lieu. Curieusement, plus il s'isole, plus il influence la politique de son pays. On vient lui demander conseil, il dicte ses recommandations, toujours en faveur de la paix et de la concorde. Et c'est ainsi qu'il sauva sa patrie en 1471, lors de l'invasion de Charles le Téméraire, Duc de Bourgogne qui voulait l'annexer et, en 1481, quand il rédigea en une nuit une constitution qui empêcha Unterwald de quitter les autres cantons, au risque de la désagrégation de la confédération.
Bientôt, la réputation de Sainteté de frère Nicolas attire des visiteurs, des pèlerins sur la route de Compostelle. En outre, la Sainteté de Nicolas et son expérience de conseiller et de juge en font un artisan de paix et un conciliateur hors pair. Il ne sortit qu'une seule fois de sa cellule, quand menaçait la guerre civile, pour mettre la paix entre les adversaires par une brève exhortation.
Il meurt à 70 ans le 21 mars 1487, entouré de Dorothée, sa femme, et de certains de ses enfants.
Canonisé le 15 mai 1947, il est patron principal de la Confédération helvétique.
En Suisse, le 25 septembre, Solennité de saint Nicolas de Flüe, célébrée le 21 mars dans l'Église universelle.
Martyrologe romain
-Seigneur Dieu, enlevez-moi tout ce qui m'éloigne de vous. Seigneur Dieu, donnez-moi tout ce qui me rapproche de vous. Prenez-moi à moi et donnez-moi tout à vous (Prière de saint Nicolas de Flue).
Saint Firmin est considéré par les historiens comme le premier évêque d’Amiens où il aurait subi le martyre. La légende du portail nord de la cathédrale d’Amiens se base sur un écrit du 9ème siècle. Le sénateur Firmus conduisait son fils, le futur Saint Firmin, au temple de Jupiter à Pampelune en Espagne quand il rencontra le prêtre Chrétien Honestus qui lui parla de Jésus et lui fit rencontrer une semaine plus tard son maître, Saint Saturnin, l’un des soixante-dix disciples de Jésus. Saturnin, à Pampelune, convertit quarante mille personnes en quelques jours dont le jeune Firmin qui, avec l’âge, devint un fidèle prédicateur du Christ. Firmin, à vingt-sept ans, reçut le sacre épiscopal, évangélisa l’Aquitaine, l’Auvergne, le Beauvaisis et s’en fut à Amiens. C’est là qu’il fut arrêté et discrètement assassiné par le gouverneur païen qui craignait les trop nombreux Chrétiens de la région. Si l’histoire est belle, les détails en sont peu historiques. Peu importe.
Saint Firmin est, avec saint François Xavier, l'un des deux patrons de la Navarre en Espagne. Chaque année se déroulent les fêtes de San Fermín du 6 au 14 juillet à Pampelune, capitale de la Navarre, popularisée par les écrits d'Ernest Hemingway. Il est considéré par les catholiques comme le premier évêque d'Amiens et Saint patron de la ville.
Une perle blog du mesnil : Lettre mensuelle de la Confrérie Royale, 25 septembre 2023
Selon la volonté du pape Saint Pie X, rétablissons le triduum de Saint Michel
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/09/24/2023-116-le-deguisement-du-demon-en-serpent-se-continue-par-ses-transformations-en-heretique-en-schismatique-en-faux-savant-faux-litterateur-faux-artiste-faux-sociologue-en-moderniste-et-com/
25 septembre : fête de Saint Nicolas de Flue
Nicolas de Flüe naît en 1417 dans le canton suisse de Obwald. Il appartient à une famille de paysans aisés. Dans sa jeunesse, il sert dans l’armée confédérée. On dit qu’il combat avec dans une main, une épée, et dans l’autre un chapelet.
Vers l’âge de 30 ans, il épouse Dorothée Wyss. Ce mariage est un mariage d’amour, il y a un vrai coup de foudre. Ensemble, ils auront 10 enfants, 5 fils et 5 filles. Après l’armée, en 1459, à l’âge de 38 ans, Nicolas devient conseiller et juge de son canton. Il tenait sa place dans la vie politique du canton comme conseiller cantonal. Mais ce bon père de famille, cet homme d'un grand civisme, se retire dans un lieu solitaire pour prier chaque fois qu'il le peut.
Au bout de 9 ans, Nicolas opère alors ce qu’il appelle lui-même « sa rupture ». Bien que le dernier fils n’ait que 13 semaines, sa femme lui permet de quitter la vie conjugale et familiale pour devenir ermite. Il se retire alors dans la montagne, à seulement 300m de la maison familiale, dans un lieu appelé Ranft.
Permission accordée qui devrait mériter à Dorothée aussi la reconnaissance de l'Église pour l'héroïcité de ses vertus.
Nicolas s'enfonce dans la prière. Les visions mystiques deviennent de plus en plus nombreuses. Son jeûne est absolu, scrupuleusement vérifié par des espions de l'évêque du lieu. Curieusement, plus il s'isole, plus il influence la politique de son pays. On vient lui demander conseil, il dicte ses recommandations, toujours en faveur de la paix et de la concorde. Et c'est ainsi qu'il sauva sa patrie en 1471, lors de l'invasion de Charles le Téméraire, Duc de Bourgogne qui voulait l'annexer et, en 1481, quand il rédigea en une nuit une constitution qui empêcha Unterwald de quitter les autres cantons, au risque de la désagrégation de la confédération.
Bientôt, la réputation de Sainteté de frère Nicolas attire des visiteurs, des pèlerins sur la route de Compostelle. En outre, la Sainteté de Nicolas et son expérience de conseiller et de juge en font un artisan de paix et un conciliateur hors pair. Il ne sortit qu'une seule fois de sa cellule, quand menaçait la guerre civile, pour mettre la paix entre les adversaires par une brève exhortation.
Il meurt à 70 ans le 21 mars 1487, entouré de Dorothée, sa femme, et de certains de ses enfants.
Canonisé le 15 mai 1947, il est patron principal de la Confédération helvétique.
En Suisse, le 25 septembre, Solennité de saint Nicolas de Flüe, célébrée le 21 mars dans l'Église universelle.
Martyrologe romain
-Seigneur Dieu, enlevez-moi tout ce qui m'éloigne de vous. Seigneur Dieu, donnez-moi tout ce qui me rapproche de vous. Prenez-moi à moi et donnez-moi tout à vous (Prière de saint Nicolas de Flue).
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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