DANS LA JOIE OU DANS LA PEINE : "LE SEIGNEUR EST MON BERGER"...
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DANS LA JOIE OU DANS LA PEINE : "LE SEIGNEUR EST MON BERGER"...
Psaume 23
Le Seigneur est mon berger
Le Seigneur est mon berger
Je ne manquerai de rien
Il me fait coucher dans de verts pâturages
Il me dirige vers des eaux paisibles
Il restaure ma vie
Il me conduit sur les sentiers de la justice
A cause de son nom
Même si je marche dans la vallée de l’ombre de mort
Je ne crains aucun mal
Car tu es avec moi
Ta houlette et ton bâton, voilà mon réconfort
Tu dresses devant moi une table
En face de mes adversaires
Tu enduis ma tête d’huile
Ma coupe déborde
Oui le bonheur et la fidélité m’accompagneront
Tous les jours de ma vie
Et je reviendrai à la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] du Seigneur
Pour la longueur des jours
---
D’où vient cette prière ?
Il s’agit d’un des psaumes les plus connus dans le monde chrétien. Le mot psaume vient du grec psalmos et désigne une sorte de poème religieux chanté. La Bible compte 150 psaumes dans un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] du même nom. Beaucoup d’entre eux sont précédés par des suscriptions avec des informations sur les instruments à utiliser. Grâce à ce genre d’annotations, entre autres, on sait que les psaumes ont fait partie d’un recueil liturgique utilisé par la communauté du Second Temple à Jérusalem. Mais il est très difficile de les dater d’une façon scientifique. Les plus anciens remontent peut-être à l’époque du roi David (1010-970 av. J.-C. environ) et il en est peut-être lui-même l’auteur, comme le texte le suggère. Les plus récents pourraient être du troisième siècle av J.-C., selon les exégètes. En tout cas, le Psaume 23, dit « De David » comme beaucoup d’autres, fait partie d’une collection dite « davidique » (Ps 3-41) qui serait la plus ancienne.
Comment l’interpréter ?
Quand on étudie les Psaumes, on se rend vite compte d’un phénomène : il est très facile de se les approprier, un par un, en tant que croyant. Souvent il s’agit de suppliques individuelles. En 150 psaumes, on découvre au moins autant de moments particuliers et différents qui caractérisent la relation qu’un individu peut avoir avec Dieu. Cela va des pires craintes, où le croyant en est pratiquement à « engueuler » Dieu (« Pourquoi m’as-tu abandonné ? » par exemple), à l’expression du plus grand bonheur. Dans tous les cas, il s’agit de la mise à nue d’une relation personnelle avec Dieu. On comprend dès lors que le réformateur Martin Luther voyait dans les Psaumes « une petite bible ». Jésus lui-même les a récités et médités (lisez par exemple l’évangile de Luc chapitre 24 verset 44).
Le Psaume 23 est emblématique pour son caractère universel. Il ne nécessite pas de connaissances particulières, ni de contextualisation, pour être dit avec foi par le croyant. Il peut être lu en toute occasion, dans la joie comme dans la peine. Il exprime la connaissance de Dieu, le Père, vu comme un berger. Certains théologiens y voient une préfiguration de Jésus à travers ces mots : "Tu enduis ma tête d'huile. Ma coupe déborde". En tout cas, on y lit la conviction ferme que Dieu, le berger, conduit l’individu sur les bons chemins (ou « chemins de la justice »). Un accent particulier est mis sur la confiance que le croyant accorde à ce Dieu qu’il tutoie (« je ne crains aucun mal, car tu es avec moi »). Ce Dieu est en effet quelqu’un qui collabore avec le croyant. Le dernier verset décrit un aspect positif et optimiste : « Oui, le bonheur et la fidélité m’accompagneront tous les jours de ma vie ». Au total, voici une prière à garder et même à connaître par coeur !
Henrik Lindell
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Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Date d'inscription : 08/07/2008
Age : 69
Localisation : Ville de Québec - Canada
Re: DANS LA JOIE OU DANS LA PEINE : "LE SEIGNEUR EST MON BERGER"...
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La joie selon l'Ecclésiaste
La joie n'est pas spontanément associée à l'Ecclésiaste, qu'on perçoit souvent comme un livre pessimiste voire déprimant !
Pourtant, la joie est un des thèmes centraux du livre.
Nous pouvons citer un verset qui résume bien la pensée de l'Ecclésiaste sur le sujet :
Ecclésiaste 8.15
J'ai donc fait l'éloge de la joie, parce qu'il n'y a rien de bon pour l'être humain sous le soleil, sinon de manger, de boire et de se réjouir; c'est là ce qui doit l'accompagner dans son travail, pendant les jours de la vie que Dieu lui donne sous le soleil.
L'Ecclésiaste y fait l'éloge de la joie ! La joie, c'est ce qu'il y a de meilleur pour nous sur cette terre.
Manger, boire et se réjouir
Il y a trois verbes pour exprimer ce que l'Ecclésiaste entend par la joie : manger, boire et se réjouir.
Ça peut paraître peu spirituel... Un « bon chrétien » aurait sans doute définit la joie par la prière, la lecture de la Bible et la communion fraternelle ! Pour l'Ecclésiaste, c'est manger, boire et se réjouir !
Les écrits de sagesse sémitiques sont très pratiques et ne se perdent pas dans de grandes considération philosophiques désincarnées !.
L'idée ici est de jouir de la vie et de ses bienfaits. Ce qui est pleinement en accord avec la pensée biblique. Dieu n'a-t-il pas planté pour l'homme un Jardin d'Eden (qui signifie « jardin des délices ») ? Certes, il y avait un arbre interdit, pour nous rappeler notre dépendance du Créateur... Mais le commandement était d'abord de "manger de tous les arbres du jardin" ! Bref, de jouir pleinement de tous les délices proposés par Dieu.
Bien sûr il y a la joie du salut, du pardon, de l'espérance chrétienne... Mais il est aussi spirituel de se réjouir de la vie, du boire et du manger, de l'amour, des plaisirs, petits ou grands... C'est profiter des biens que Dieu a créé pour notre joie.
Un chrétien triste est un triste chrétien ! La joie, le plaisir, le bonheur, voilà ce que Dieu a voulu pour les humains, dès leur création !
La joie qui nous accompagne dans notre travail
Selon l'Ecclésiaste, la joie doit nous accompagner dans notre travail... ou notre peine. Le même mot hébreu peut désigner le travail ou la peine, et même la souffrance.
Voilà encore une référence à la Genèse, au chapitre 3, où le travail est devenu pénible avec le péché.
Le travail, c'est la peine qu'on se donne ici-bas... Une peine futile si on la considère pour elle-même, puisqu'on n'emporte rien avec nous de cette peine lorsqu'on quitte cette terre...
Il y a, pour tous, une peine à vivre sous le soleil. Il y a ceux qui travaillent pour vivre et ne font pas le métier qu'ils aimeraient faire. Il y a ceux qui aimeraient travailler mais ne trouvent pas de job. Il y a ceux qui aiment leur métier mais ne supportent plus leurs collègues de travail ou leur chef. Et puis il y a toutes ces corvées qu'on doit faire et qui nous sont pénibles...
La joie vient contrebalancer la peine d'une vie marquée par le péché et ses conséquences.
La joie pendant les jours de la vie que Dieu nous donne
Mais l'Ecclésiaste rappelle que la vie, chaque jour de notre vie, est un don de Dieu. Que faisons-nous des jours de notre vie ? Dieu nous les donne, comme des cadeaux...
Et dans chaque jour que Dieu nous donne, il y a des occasions de joie, des plaisirs, petits ou grands, à vivre. Ne pas jouir de la vie et de ses plaisirs, c'est refuser les cadeaux que Dieu nous offre.
L'Ecclésiaste est le premier à dire qu'il y a un temps pour tout, et donc aussi un temps pour la tristesse ou pour le deuil. Mais la vie que Dieu nous donne est faite de la coexistence de la peine et de la joie, de la souffrance et du plaisir. La joie permet de surmonter la peine... elle est un cadeau de Dieu, ce qu'il y a de meilleur pour nous ici-bas.
La joie du salut, apportée par l'oeuvre de Jésus-Christ, ne change pas fondamentalement la donne, même si elle ouvre des perspectives nouvelles. Elle ne doit pas nous transporter artificiellement au ciel. N'oublions pas que le Royaume de Dieu est venu parmi nous en Jésus. Et que souvent Jésus se trouvait à table...
Le salut offert par Dieu commence aujourd'hui et passe aussi par le fait de jouir des biens que Dieu nous accorde.
Conclusion
Le livre de l'Ecclésiaste est loin des clichés que l'on en a. Un des messages qu'il souligne peut être résumé ainsi : « jouissez de la vie, c'est un cadeau de Dieu ! »
Bien sûr, si la joie ou les plaisirs sont compris comme une fin en soi, s'ils sont vécus comme une fuite en avant pour oublier la peine, ils sont aussi futiles et vains. Parce que les joies et les plaisirs passent...
Mais reçus comme des dons de Dieu, la vie et ses plaisirs procurent une joie qui est la meilleure part de ce que Dieu nous réserve.
Et la joie du salut, révélée en Jésus-Christ, ne s'oppose pas à cette joie de la vie. Elle vient l'approfondir, la renouveler. Elle lui donne une dimension d'éternité, qui va au-delà de la barrière ultime à laquelle se heurte notre vie « sous le soleil » : celle de la mort.
Jouir de la vie aujourd'hui, c'est aussi se préparer à jouir de la vie que Dieu nous réserve, pour l'éternité.
Source: kerouvim.over-blog.com/article-29330319.html
Gilles. Ville de Québec - Canada
La joie selon l'Ecclésiaste
La joie n'est pas spontanément associée à l'Ecclésiaste, qu'on perçoit souvent comme un livre pessimiste voire déprimant !
Pourtant, la joie est un des thèmes centraux du livre.
Nous pouvons citer un verset qui résume bien la pensée de l'Ecclésiaste sur le sujet :
Ecclésiaste 8.15
J'ai donc fait l'éloge de la joie, parce qu'il n'y a rien de bon pour l'être humain sous le soleil, sinon de manger, de boire et de se réjouir; c'est là ce qui doit l'accompagner dans son travail, pendant les jours de la vie que Dieu lui donne sous le soleil.
L'Ecclésiaste y fait l'éloge de la joie ! La joie, c'est ce qu'il y a de meilleur pour nous sur cette terre.
Manger, boire et se réjouir
Il y a trois verbes pour exprimer ce que l'Ecclésiaste entend par la joie : manger, boire et se réjouir.
Ça peut paraître peu spirituel... Un « bon chrétien » aurait sans doute définit la joie par la prière, la lecture de la Bible et la communion fraternelle ! Pour l'Ecclésiaste, c'est manger, boire et se réjouir !
Les écrits de sagesse sémitiques sont très pratiques et ne se perdent pas dans de grandes considération philosophiques désincarnées !.
L'idée ici est de jouir de la vie et de ses bienfaits. Ce qui est pleinement en accord avec la pensée biblique. Dieu n'a-t-il pas planté pour l'homme un Jardin d'Eden (qui signifie « jardin des délices ») ? Certes, il y avait un arbre interdit, pour nous rappeler notre dépendance du Créateur... Mais le commandement était d'abord de "manger de tous les arbres du jardin" ! Bref, de jouir pleinement de tous les délices proposés par Dieu.
Bien sûr il y a la joie du salut, du pardon, de l'espérance chrétienne... Mais il est aussi spirituel de se réjouir de la vie, du boire et du manger, de l'amour, des plaisirs, petits ou grands... C'est profiter des biens que Dieu a créé pour notre joie.
Un chrétien triste est un triste chrétien ! La joie, le plaisir, le bonheur, voilà ce que Dieu a voulu pour les humains, dès leur création !
La joie qui nous accompagne dans notre travail
Selon l'Ecclésiaste, la joie doit nous accompagner dans notre travail... ou notre peine. Le même mot hébreu peut désigner le travail ou la peine, et même la souffrance.
Voilà encore une référence à la Genèse, au chapitre 3, où le travail est devenu pénible avec le péché.
Le travail, c'est la peine qu'on se donne ici-bas... Une peine futile si on la considère pour elle-même, puisqu'on n'emporte rien avec nous de cette peine lorsqu'on quitte cette terre...
Il y a, pour tous, une peine à vivre sous le soleil. Il y a ceux qui travaillent pour vivre et ne font pas le métier qu'ils aimeraient faire. Il y a ceux qui aimeraient travailler mais ne trouvent pas de job. Il y a ceux qui aiment leur métier mais ne supportent plus leurs collègues de travail ou leur chef. Et puis il y a toutes ces corvées qu'on doit faire et qui nous sont pénibles...
La joie vient contrebalancer la peine d'une vie marquée par le péché et ses conséquences.
La joie pendant les jours de la vie que Dieu nous donne
Mais l'Ecclésiaste rappelle que la vie, chaque jour de notre vie, est un don de Dieu. Que faisons-nous des jours de notre vie ? Dieu nous les donne, comme des cadeaux...
Et dans chaque jour que Dieu nous donne, il y a des occasions de joie, des plaisirs, petits ou grands, à vivre. Ne pas jouir de la vie et de ses plaisirs, c'est refuser les cadeaux que Dieu nous offre.
L'Ecclésiaste est le premier à dire qu'il y a un temps pour tout, et donc aussi un temps pour la tristesse ou pour le deuil. Mais la vie que Dieu nous donne est faite de la coexistence de la peine et de la joie, de la souffrance et du plaisir. La joie permet de surmonter la peine... elle est un cadeau de Dieu, ce qu'il y a de meilleur pour nous ici-bas.
La joie du salut, apportée par l'oeuvre de Jésus-Christ, ne change pas fondamentalement la donne, même si elle ouvre des perspectives nouvelles. Elle ne doit pas nous transporter artificiellement au ciel. N'oublions pas que le Royaume de Dieu est venu parmi nous en Jésus. Et que souvent Jésus se trouvait à table...
Le salut offert par Dieu commence aujourd'hui et passe aussi par le fait de jouir des biens que Dieu nous accorde.
Conclusion
Le livre de l'Ecclésiaste est loin des clichés que l'on en a. Un des messages qu'il souligne peut être résumé ainsi : « jouissez de la vie, c'est un cadeau de Dieu ! »
Bien sûr, si la joie ou les plaisirs sont compris comme une fin en soi, s'ils sont vécus comme une fuite en avant pour oublier la peine, ils sont aussi futiles et vains. Parce que les joies et les plaisirs passent...
Mais reçus comme des dons de Dieu, la vie et ses plaisirs procurent une joie qui est la meilleure part de ce que Dieu nous réserve.
Et la joie du salut, révélée en Jésus-Christ, ne s'oppose pas à cette joie de la vie. Elle vient l'approfondir, la renouveler. Elle lui donne une dimension d'éternité, qui va au-delà de la barrière ultime à laquelle se heurte notre vie « sous le soleil » : celle de la mort.
Jouir de la vie aujourd'hui, c'est aussi se préparer à jouir de la vie que Dieu nous réserve, pour l'éternité.
Source: kerouvim.over-blog.com/article-29330319.html
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Date d'inscription : 08/07/2008
Age : 69
Localisation : Ville de Québec - Canada
Re: DANS LA JOIE OU DANS LA PEINE : "LE SEIGNEUR EST MON BERGER"...
Quel beau sujet cher Gilles ! la JOIE !
Comme j'aime ce livre de l'Ecclésiaste, qui est vraiment à la portée de tous.
"Jouir de la vie aujourd'hui, c'est aussi se préparer à jouir de la vie que Dieu nous réserve, pour l'éternité".
Quelle belle Espérance !
Le Livre de l'Ecclésiastique est aussi très simple à lire, il nous donne de bonnes leçons pour notre vie de tous les jours, il est un précieux guide.
On y parle du bonheur, comme au chapitre 14 :
"Heureux l'homme qui ne se fait pas à lui-même de reproches et qui ne sombre pas dans le désespoir"
et toujours de la joie au chapitre 30.4 :
"Ne te laisse pas aller à la tristesse et ne t'abandonne pas aux idées noires.
La joie du coeur, voilà la vie de l'homme,
la gaîté, voilà qui prolonge ses jours.
Trompe tes soucis, console ton coeur, chasse la tristesse.
car la tristesse en a perdu beaucoup,
elle ne saurait apporter de profit.
Passion et colère abrègent les jours,
les soucis font vieillir avant l'heure.
A coeur généreux, bon appétit : on profite de ce qu'on mange."
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Comme j'aime ce livre de l'Ecclésiaste, qui est vraiment à la portée de tous.
"Jouir de la vie aujourd'hui, c'est aussi se préparer à jouir de la vie que Dieu nous réserve, pour l'éternité".
Quelle belle Espérance !
Le Livre de l'Ecclésiastique est aussi très simple à lire, il nous donne de bonnes leçons pour notre vie de tous les jours, il est un précieux guide.
On y parle du bonheur, comme au chapitre 14 :
"Heureux l'homme qui ne se fait pas à lui-même de reproches et qui ne sombre pas dans le désespoir"
et toujours de la joie au chapitre 30.4 :
"Ne te laisse pas aller à la tristesse et ne t'abandonne pas aux idées noires.
La joie du coeur, voilà la vie de l'homme,
la gaîté, voilà qui prolonge ses jours.
Trompe tes soucis, console ton coeur, chasse la tristesse.
car la tristesse en a perdu beaucoup,
elle ne saurait apporter de profit.
Passion et colère abrègent les jours,
les soucis font vieillir avant l'heure.
A coeur généreux, bon appétit : on profite de ce qu'on mange."
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