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Certains media qui s’acharnent contre Benoît XVI ne manquent pas d’impudeur !

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Certains media qui s’acharnent contre Benoît XVI ne manquent pas d’impudeur ! Empty Certains media qui s’acharnent contre Benoît XVI ne manquent pas d’impudeur !

Message par Gilles Lun 5 Avr 2010 - 17:19

Certains media qui s’acharnent contre Benoît XVI ne manquent pas d’impudeur


Certains media qui s’acharnent contre Benoît XVI ne manquent pas d’impudeur ! 040410_benoitLe 04 avril 2010 - (E.S.M.) - Laisser entendre que Benoît XVI ait eu, par faiblesse, la moindre complicité avec les pédophiles ne tient pas ; cette fausse accusation ne repose que sur la manipulation des faits produits par des esprits contrefaits, déshonorés. Journal de l'alliance

Le pape Benoît XVI - Pour agrandir l'image Cliquer
Certains media qui s’acharnent contre Benoît XVI ne manquent pas d’impudeur
Le 04 avril 2010 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - La pédophilie est un drame moral, social, spirituel dont on ne découvre la gravité que depuis la fin des années quatre-vingt. Ce sujet ne devrait pas être instrumentalisé, car aucune institution dans nos sociétés n’est épargnée. Il faut l’aborder avec autant de rigueur que de respect, c’est-à-dire avec vérité et charité.

L’Eglise subit en ces jours sombres une très douloureuse purification. Son Epoux, le doux Jésus, la purge des salissures que l’esprit du monde projette sur elle. D’autres maux l’accablent bien plus dangereux que le dérèglement des mœurs et de sombres menaces s’annoncent pour l’humanité et l’Eglise assumera sa part essentiel.

Les faiblesses sexuelles sont, après l’argent, vendeuses de beaucoup de papier et si faciles à manipuler dans la seule perspective de détruire. Mais au-delà de ce simple constat, il faut essayer d’en comprendre les causes sociologiques, culturelles et psychologiques.

Les générations nées des années quarante, cinquante, soixante et soixante-dix, voir quatre-vingt sont impliquées dans ces douloureuses affaires. Elles ont subi de plein fouet la crise postconciliaire ; mais aujourd’hui, c’est celle de la civilisation, elle dans une phase de décadence objective : morale, identitaire, spirituelle qui sont autant de facteurs favorisant de graves blessures comportementales.

Dans l’Eglise, elle eut pour terreau le déclin des vocations, la corruption des séminaires par l’effondrement des disciplines qui, dans l’ensemble n’étaient plus adaptées à la sociologie réelle et la très profonde confusion doctrinale. Ces lieux de formation furent souvent de formidables vestibules de l’enfer, une cause subjective majeure des haines anticléricales d’aujourd’hui. Un nombre important de candidats au sacerdoce avaient une réelle vocation, ils furent souvent refusés pour des raisons absolument non-légitimes et assez régulièrement de manière humiliante, blessante, d’une très sévère violence intérieure. Il n’était pas rare que certains soient touchés par une grave dépression.

Dans l’entre-deux guerres la crise du modernisme fut moins ostensiblement agressive ; elle prit des formes plus rampantes et, par des mouvements imperceptibles, elle continua son infiltration. C’est après la Seconde Guerre Mondiale, que le mouvement s’accéléra, surtout dans le choc moral de son inhumanité, doublé des confrontations idéologiques. Les séminaires devinrent les lieux de prédilection des corruptions doctrinales, d’autant plus que le renouvèlement de la hiérarchie se fit dans le terreau de prêtres engagés dans la résistance. Certains confondirent la lutte politique aux dépends de l’évangélisation. Il n’est qu’à se pencher sur l’hémorragie des jésuites enseignants, beaucoup s’engagèrent dans un combat politique très à Gauche. Ils eurent envers l’Eglise des sentiments très haineux.

Le Saint Concile Vatican II n’est pas responsable de ce déclin pas plus qu’il n'est la cause de la non-culture de Mai 68[2]. Il est victime de l’instrumentalisation des courants qui, bien avant sa convocation, sévissaient plus ou moins sourdement dans l’Eglise. C’est si vrai, qu’à la veille de sa convocation, dans un village d’Espagne, Garabandal, la Vierge Marie révèlera à des enfants, et dès le premier entretien : « Beaucoup de mes fils évêques vont trahir le Vicaire de mon Fils. » Puis, elle accordera la vision de l’enfer, selon eux : ils virent le Tartare, le dernier degré de la damnation, couvert d’une multitude d’évêques.

Les épreuves qui nous touchent, nous catholiques, sont une opportunité de nous purifier, de nous sanctifier par le chemin de l’humiliation qui, dans la lumière salvatrice du Christ, est la cause radicale d’un approfondissement de l’humilité.

L’Eglise supporte les conséquences du manque de discernement, et du poids des orgueils du monde infiltrés en elle. Elle assume également les conséquences de la lâcheté convenable d’un épiscopat qui fut plus préoccupé de plaire hors-les-murs que d’être présent au cœur des souffrances de ses prêtres et laïcs.

L’Eglise est très exposée ; c’est son chemin, elle n’en a pas d’autre ; car son Epoux la veut dans une humanité humble, pauvre, séduisante par le seul rayonnement d’une authentique charité. Il ne lui permettra jamais de triompher dans son humanité en dehors de cette exigence, en dehors du chemin du Golgotha.

a) Prêtres pédophiles :

Ces prêtres pédophiles sont d’abord victimes d’un manque de discernement de leurs responsables. Les raisons sont dues à une perte de la notion du péché, du sens moral de la vie et donc, une douloureuse occultation de la dignité de la personne et de la mission de l’Eglise.

(...)

On doit s’interroger sur la raison que Dieu eut de laisser faire. Je ne vois qu’une réponse : l’orgueil d’une hiérarchie soucieuse de plaire à l’esprit du monde, imbue de ses qualités intellectuelles, exaltée par l’opportunité que lui proposait la crise postconciliaire de se détourner de l’obéissance au Magistère et à la hiérarchie. Dieu laissa libre-cours aux démons des sens et des orgueils afin d’en sauver davantage qu’il n’y puisse paraître.

Sans doute faut-il que l’Eglise se purifie en passant par l’humiliation. Certes, au prix de beaucoup de victimes, mais qui, peut-être, dans la lumière des fins dernières, n’auraient pas accédé au salut sans ces souffrances.

On se scandalisera de ce propos, mais c’est dans la lumière des fins dernières qu’on doit toujours chercher à comprendre les actes humains surtout les plus immondes d’entre eux. Il ne faut jamais oublier que la clef du Salut est double : l’humilité et l’amour. C’est par la souffrance qu’on atteint le Salut, souffrance qui a pour allié le meilleur : la joie. Une joie née de l’Espérance que produit la certitude d’être aimé d’un amour infini et personnel.

Il faut également souligner l’inconcevable naïveté des pasteurs face à ces délinquants ; ils ne réalisaient pas la connivence entre homosexualité et pédophilie. Ils croyaient sincèrement, et l’ambiance idéologique et culturelle les aidait dans cette erreur, qu’un pédophile pouvait se soigner, se corriger. Non, nous le savons, les tendances pédophiles sont irréversibles. Le pédophile est un récidiviste « construit ». Ce mal de l’esprit et de l’affect n’est pas congénital, c’est une blessure qui se forge au creuset de l’éducation et des affections dès la petite enfance et se consolide irrémédiablement dans la grande adolescence. La masturbation[5], si couramment minimisée, est la source profonde de ces blessures avec l’absence du père et l’omniprésence d’une mère abusive. Si elle est logique dans l’évolution de l’enfant, la masturbation doit être combattue, non pas tant pour surmonter cette tentation que pour les fruits positifs qui résultent de l’effort à la surmonter. Ces fruits permettent de forger les acquis moraux et psychologiques nécessaires à une vie affective et sexuelle épanouie. C’est souvent, qu’après cette lutte personnelle, qu’on trouve son point de force et d’équilibre.

Un autre élément contribua à paralyser la hiérarchie face à ce fléau : l’exigence canonique du secret de la confession et du silence commis. Ces prédateurs parvenaient à les utiliser de manière à rendre difficile leur mise à l’écart à moins qu’il n’y ait eu des incidences publiques. La hiérarchie se devait de réfléchir quant à la manière de sortir de ce dilemme ; c’est grâce, au courage et à la fermeté du cardinal Ratzinger qu’elle y parvient. Elle trouva la solution sans déroger à l’inviolabilité du sacrement de la confession et du silence commis.

Laisser entendre que Benoît XVI ait eu, par faiblesse, la moindre complicité avec les pédophiles ne tient pas ; cette fausse accusation ne repose que sur la manipulation des faits produits par des esprits contrefaits, déshonorés[6].

Les déviances sexuelles ne sont pas justifiables ni humainement… ni spirituellement. Le Saint Père a raison, rien ne doit faire obstacle à la nécessaire justice des hommes, car sans ce préalable, il ne peut y avoir de salutaire exercice de la Miséricorde. L’homme se doit d’être en vérité envers son semblable, ce n’est qu’à ce prix qu’il peut être reconnu comme l’un des nôtres et entrer sur la voie de la rédemption sociale et divine.

La croissance extraordinaire des crimes sexuels n’est pas exclusive à l’Eglise, elle touche toutes les institutions, toutes les couches de la société. Nous le savons, les déviances sexuelles sont bien plus nombreuses au sein des familles, des proches et elles touchent tout autant les institutions pédagogiques laïques.

L’humanité a décidé de se détourner de la présence de son Créateur ; elle ne peut que se livrer aux puissances infernales et développer les dictatures des zones redoutables de l’infra humain. C’est malheureusement plus visible dans l’Eglise, mais certainement moindre en nombre de cas que dans le monde.

Certains media qui s’acharnent contre l’Eglise et surtout contre Benoît XVI ne manquent pas d’impudeur, eux qui dans les années 60 et 70 voir 80 publiaient des articles exaltant les jeux sexuels entre adultes et les enfants. Le slogan de Mai 68 : « il est interdit d’interdire » résonne en un terrible coup de fouet ! Quel manque de pudeur, mesdames et messieurs les journalistes ! et vous aussi, personnel politique, vous qui défendez les lois opposées à la loi morale naturelle et au droit moral naturel. Elles sont la cause de l’effondrement métaphysique qui entraîne l’inintelligence de la conscience morale. Elles effacent de la mémoire collective les garde-fous que la société dresse naturellement pour se construire. Bien des citoyens n’ont plus cette matière qui leur permettait de résister aux appétits de l’infra humain. Ils peuvent même ressentir, en cette période de décadence, une gêne à y résister tant il est de bon ton d’être à la mode, d’être libéré, d’être un homme ou une femme de progrès. La culture du progrès, celle de la libération sont des boulevards de décadence, de désespoir. Ils sont les causes objectives et subjectives de l’accroissement de la délinquance.

Lire l'article dans son intégralité http://www.journaldelalliance.org
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Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 04.04.2010 - T/Benoît XVI
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Gilles
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