Livre - le choc Jésus-Mahomet
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Livre - le choc Jésus-Mahomet
Une analyse
L’islam fait partie de notre actualité et ne se présente pas sous les meilleurs auspices. N’en déplaisent à la corporation des flagellants et des indignés de profession, il serait temps de s’interroger sur le facteur religieux dans nos civilisations respectives et revenir aux textes fondateurs.
Le choc Jesus Mahomet
Christian Makarian - Editions JC Lattès - 19€
S’il est utile aux Occidentaux de comprendre la nature de l’islam, ils doivent commencer par savoir vraiment ce qu’est le judaïsme et le christianisme, se replonger dans leur propre culture et arrêter un dialogue interreligieux ahurissant d’inepties et de haine de soi.
« Le choc Jésus Mahomet » entend exposer les différences essentielles entre les deux traditions, ne pas masquer ce qui dérange, ce qui fâche, arrêter la sottise conformiste planquée sous les discours convenus. Un constat : les valeurs communes ne peuvent l’emporter face au gouffre qui nous sépare. Face à un monde musulman qui a cessé d’imiter l’Occident, pourquoi ce retour au Coran ? Qu’est-ce que la réalité musulmane ? Pourquoi des milliers de jeunes musulmans redécouvrent les joies du Jihad ?
Christian Makarian, journaliste, directeur délégué de la rédaction de l’Express, fait le constat amer d’une réciproque ignorance et entend bien éclairer nos lanternes sur deux approches de Dieu si opposées. Il commence par présenter les deux hommes, Jésus, Mahomet, puis les livres respectifs, avec une brève histoire de leur constitution, leur contenu, leurs différentes définitions de Dieu, et comment ils influent sur les hommes.
Sa présentation de Jésus est succincte, voire indigente, car nous avons droit à un Christ historique « déformé » par l’Eglise catholique, et qui aurait été « collé » à l’histoire biblique (d’où la querelle avec les juifs qui y voit une captation d’héritage).
En revanche, Mahomet a droit à un portrait plus fouillé, ce qui peut s’avérer utile lorsqu’on connaît peu l’islam et son prophète ou pour commencer à s’habituer à la France d’après. Mahomet : sa famille, son milieu, sa tribu, les « révélations », l’hégire, la kaaba, ses campagnes militaires, ses esclaves, ses femmes. Voilà pour le « beau modèle ». Tout est régi à partir de son exemple.
Puis, les livres. En premier, la Bible, best-seller absolu dans l’histoire de l’édition, qui résiste au temps et aux théories, traduite dans 2.100 langues. La Bible, le livre saint des Juifs et des Chrétiens a été composé sur huit cents ans par des auteurs inspirés et non par Dieu lui-même, ce qui rend le livre interprétatif. Dieu y établit avec l’homme une relation familiale, un lien de père à enfant. Le projet d’alliance entre Dieu et les hommes est une histoire d’amour que l’on retrouve tout au long de la Bible. Perception totalement étrangère à l’islam.
La chrétienté est centrée sur le Christ, l’islam sur un livre. Le Christianisme est une religion avec un livre et non du livre. « Religions du livre » est une formule trompeuse due à l’ignorance ou à la guilde des marchands de sable. Les quatre Evangiles racontent avec différentes approches la vie et le message du Christ. Ainsi, la discussion est perpétuelle, car tout repose sur la Parole comme le rappelle saint Jean : « Au commencement était le Verbe...et le Verbe s’est fait chair » (Jean 1, 1-14). Le Christianisme, c’est la révélation permanente, de chaque instant, d’où le concept de progrès, comme si Dieu n’avait pas encore tout dit. Le livre n’est pas un objet miraculeux, l’observance des Ecritures ne suffit pas à assurer le salut. Dieu met l’homme face à ses responsabilités, il lui montre le chemin et le laisse faire. Ainsi rien n’est écrit d’avance, tout peut évoluer, se corriger ou s’aggraver. La foi est un processus individuel et non une soumission collective. Jésus a parlé à des hommes, et non à des collectivités. Le Christianisme est la religion qui dit, je. Je crois (credo). Pas nous.
Pour le Coran, l’auteur commence par exposer la version traditionnelle de sa constitution en faisant la différence entre la « période Mecquoise » (plus mystique) et la « période médinoise » (plus politique avec un message dur, intolérant, répressif). Les sourates sont rangées par ordres de grandeur, (non par ordre chronologique) et la distinction entre les paroles dictées par Dieu à Mahomet et Hadiths, paroles attribuées à Mahomet, n’est pas facile à établir. Après la mort du prophète, le Coran a été collecté sur 30 ans plus ou moins dans la violence grâce à des interventions humaines successives mues par des préoccupations politiques aussi importantes que la foi. Si Makarian n’insiste pas trop sur la conquête faite par la force et la contrainte, il nous fait part des travaux d’islamologues, de chercheurs pour qui le Coran aurait été composé plus tard, car la littérature post-coranique ne s’est développée qu’au IXè siècle, soit 150 ans après la mort de Mahomet (632). De plus, le Coran serait en fait une œuvre humaine inspirée comme la Bible, ce que cette dernière reconnaît.
Mais ce n’est pas cette tradition qui l’a emporté, le Coran en appelle à un caractère purement divin. Ainsi, l’esprit critique devient alors impossible à exercer. La foi est figée, la fidélité aux textes fondateurs clos la révélation. Le Coran ne se discute pas et ne peut pas se tromper. Les fondateurs de l’islam ont cherché à imposer la supériorité de leur livre sur ceux qui existaient déjà et ont occulté les différents emprunts faits aux deux autres religions. Pourtant le Coran a réécrit l’histoire biblique où apparaissent certains personnages, prophètes, patriarches, mais avec un autre rôle, une autre place et surtout un autre message. L’islam, c’est aussi la loi, (la sharia) une loi non révisable, puisque conditionnée par le droit divin.
Allah oppose sa perfection à la faiblesse des hommes et impose une foi qui repose sur la servitude. Le mot musulman veut dire « soumis à Dieu », d’où la captation d’Abraham qui était « soumis à Dieu » donc musulman. Le croyant doit lui vouer un culte intégral. Il dit ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour atteindre le salut. Mahomet a laissé une umma, une communauté de croyants qui a le devoir de se comporter selon le Coran. Le Christ propose une religion de l’Esprit contre les gardiens de la loi. Le Shabbat est fait pour l’homme et non l’homme pour le Shabbat. La lettre et l’esprit. La lettre tue et le Christ a vaincu la mort.
Mais la grande différence entre chrétienté et islam reste la politique. « Le christianisme s’est situé d’emblée en dehors du domaine politique. Une dimension politique est en revanche coextensive à la révélation coranique » (Rémy Brague - La loi de Dieu) ; dimension politique qui se présente de fait comme une théocratie. L’approche politique est différente chez les Chrétiens et se caractérise par l’idée de distinction entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel. A l’Eglise de sauvegarder la doctrine et d’assurer le lien avec le ciel et au citoyen d’organiser la société avec ses lois et sa politique.
Christian Makarian dégage de sa lecture des Evangiles, un Christ à sa mesure et ne résiste pas à une attaque en règle contre l’Eglise, se privant ainsi des plaisirs subtils de la foi catholique. N’en déplaise à notre sympathique auteur, l’Eglise (avec ses clercs et ses saints), n’a pas attendu les méthodes des sciences humaines pour proposer une lecture non littérale des textes, Elle ne s’est jamais contentée de l’effet d’annonce (comme chez les petits camarades évangélistes) ni cherchée à imposer des versions naïves à ses ouailles. Ces réflexes anticléricaux témoignent d’une grande ignorance de la doctrine de l’Eglise, de cette religion qui promeut l’intelligence, alors qu’une autre l’interdit. Mais Christian Makarian reconnaît que si nombre d’hommes d’Eglise ne furent pas toujours des saints, leurs comportements étaient considérés comme des péchés par le message évangélique ; alors qu’en revanche, les persécutions subies par les minorités non-musulmanes trouvent toujours une justification dans le Coran.
Makarian prend bien soin de ne pas conclure sur le choc des civilisations et propose un hypothétique dialogue, tout en reconnaissant que les dogmes chrétiens sont attaqués par les Musulmans, qui en aucun cas ne cherchent à connaître le christianisme et les chrétiens. 20 millions de Musulmans se trouvent en Europe et ne nous y trompons pas, ils sont là pour conquérir et soumettre. Nous avons déjà droit à leurs règles dans les hôpitaux, les écoles, les prisons, les banques et annexent l’espace public...
L’ancien roi du Maroc, Hassan II, avait bien prévenu “islam et laïcité sont incompatibles. Nos immigrés ne s’intègreront jamais à votre société.” C’est un fait : l’islam a toujours été intégrateur, jamais intégré, toujours assimilateur, jamais assimilé. On l’aura compris, il est incompatible avec les valeurs chrétiennes qui fondent nos sociétés.
© Ichtus - Au service de la Cité
L’islam fait partie de notre actualité et ne se présente pas sous les meilleurs auspices. N’en déplaisent à la corporation des flagellants et des indignés de profession, il serait temps de s’interroger sur le facteur religieux dans nos civilisations respectives et revenir aux textes fondateurs.
Le choc Jesus Mahomet
Christian Makarian - Editions JC Lattès - 19€
S’il est utile aux Occidentaux de comprendre la nature de l’islam, ils doivent commencer par savoir vraiment ce qu’est le judaïsme et le christianisme, se replonger dans leur propre culture et arrêter un dialogue interreligieux ahurissant d’inepties et de haine de soi.
« Le choc Jésus Mahomet » entend exposer les différences essentielles entre les deux traditions, ne pas masquer ce qui dérange, ce qui fâche, arrêter la sottise conformiste planquée sous les discours convenus. Un constat : les valeurs communes ne peuvent l’emporter face au gouffre qui nous sépare. Face à un monde musulman qui a cessé d’imiter l’Occident, pourquoi ce retour au Coran ? Qu’est-ce que la réalité musulmane ? Pourquoi des milliers de jeunes musulmans redécouvrent les joies du Jihad ?
Christian Makarian, journaliste, directeur délégué de la rédaction de l’Express, fait le constat amer d’une réciproque ignorance et entend bien éclairer nos lanternes sur deux approches de Dieu si opposées. Il commence par présenter les deux hommes, Jésus, Mahomet, puis les livres respectifs, avec une brève histoire de leur constitution, leur contenu, leurs différentes définitions de Dieu, et comment ils influent sur les hommes.
Sa présentation de Jésus est succincte, voire indigente, car nous avons droit à un Christ historique « déformé » par l’Eglise catholique, et qui aurait été « collé » à l’histoire biblique (d’où la querelle avec les juifs qui y voit une captation d’héritage).
En revanche, Mahomet a droit à un portrait plus fouillé, ce qui peut s’avérer utile lorsqu’on connaît peu l’islam et son prophète ou pour commencer à s’habituer à la France d’après. Mahomet : sa famille, son milieu, sa tribu, les « révélations », l’hégire, la kaaba, ses campagnes militaires, ses esclaves, ses femmes. Voilà pour le « beau modèle ». Tout est régi à partir de son exemple.
Puis, les livres. En premier, la Bible, best-seller absolu dans l’histoire de l’édition, qui résiste au temps et aux théories, traduite dans 2.100 langues. La Bible, le livre saint des Juifs et des Chrétiens a été composé sur huit cents ans par des auteurs inspirés et non par Dieu lui-même, ce qui rend le livre interprétatif. Dieu y établit avec l’homme une relation familiale, un lien de père à enfant. Le projet d’alliance entre Dieu et les hommes est une histoire d’amour que l’on retrouve tout au long de la Bible. Perception totalement étrangère à l’islam.
La chrétienté est centrée sur le Christ, l’islam sur un livre. Le Christianisme est une religion avec un livre et non du livre. « Religions du livre » est une formule trompeuse due à l’ignorance ou à la guilde des marchands de sable. Les quatre Evangiles racontent avec différentes approches la vie et le message du Christ. Ainsi, la discussion est perpétuelle, car tout repose sur la Parole comme le rappelle saint Jean : « Au commencement était le Verbe...et le Verbe s’est fait chair » (Jean 1, 1-14). Le Christianisme, c’est la révélation permanente, de chaque instant, d’où le concept de progrès, comme si Dieu n’avait pas encore tout dit. Le livre n’est pas un objet miraculeux, l’observance des Ecritures ne suffit pas à assurer le salut. Dieu met l’homme face à ses responsabilités, il lui montre le chemin et le laisse faire. Ainsi rien n’est écrit d’avance, tout peut évoluer, se corriger ou s’aggraver. La foi est un processus individuel et non une soumission collective. Jésus a parlé à des hommes, et non à des collectivités. Le Christianisme est la religion qui dit, je. Je crois (credo). Pas nous.
Pour le Coran, l’auteur commence par exposer la version traditionnelle de sa constitution en faisant la différence entre la « période Mecquoise » (plus mystique) et la « période médinoise » (plus politique avec un message dur, intolérant, répressif). Les sourates sont rangées par ordres de grandeur, (non par ordre chronologique) et la distinction entre les paroles dictées par Dieu à Mahomet et Hadiths, paroles attribuées à Mahomet, n’est pas facile à établir. Après la mort du prophète, le Coran a été collecté sur 30 ans plus ou moins dans la violence grâce à des interventions humaines successives mues par des préoccupations politiques aussi importantes que la foi. Si Makarian n’insiste pas trop sur la conquête faite par la force et la contrainte, il nous fait part des travaux d’islamologues, de chercheurs pour qui le Coran aurait été composé plus tard, car la littérature post-coranique ne s’est développée qu’au IXè siècle, soit 150 ans après la mort de Mahomet (632). De plus, le Coran serait en fait une œuvre humaine inspirée comme la Bible, ce que cette dernière reconnaît.
Mais ce n’est pas cette tradition qui l’a emporté, le Coran en appelle à un caractère purement divin. Ainsi, l’esprit critique devient alors impossible à exercer. La foi est figée, la fidélité aux textes fondateurs clos la révélation. Le Coran ne se discute pas et ne peut pas se tromper. Les fondateurs de l’islam ont cherché à imposer la supériorité de leur livre sur ceux qui existaient déjà et ont occulté les différents emprunts faits aux deux autres religions. Pourtant le Coran a réécrit l’histoire biblique où apparaissent certains personnages, prophètes, patriarches, mais avec un autre rôle, une autre place et surtout un autre message. L’islam, c’est aussi la loi, (la sharia) une loi non révisable, puisque conditionnée par le droit divin.
Allah oppose sa perfection à la faiblesse des hommes et impose une foi qui repose sur la servitude. Le mot musulman veut dire « soumis à Dieu », d’où la captation d’Abraham qui était « soumis à Dieu » donc musulman. Le croyant doit lui vouer un culte intégral. Il dit ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour atteindre le salut. Mahomet a laissé une umma, une communauté de croyants qui a le devoir de se comporter selon le Coran. Le Christ propose une religion de l’Esprit contre les gardiens de la loi. Le Shabbat est fait pour l’homme et non l’homme pour le Shabbat. La lettre et l’esprit. La lettre tue et le Christ a vaincu la mort.
Mais la grande différence entre chrétienté et islam reste la politique. « Le christianisme s’est situé d’emblée en dehors du domaine politique. Une dimension politique est en revanche coextensive à la révélation coranique » (Rémy Brague - La loi de Dieu) ; dimension politique qui se présente de fait comme une théocratie. L’approche politique est différente chez les Chrétiens et se caractérise par l’idée de distinction entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel. A l’Eglise de sauvegarder la doctrine et d’assurer le lien avec le ciel et au citoyen d’organiser la société avec ses lois et sa politique.
Christian Makarian dégage de sa lecture des Evangiles, un Christ à sa mesure et ne résiste pas à une attaque en règle contre l’Eglise, se privant ainsi des plaisirs subtils de la foi catholique. N’en déplaise à notre sympathique auteur, l’Eglise (avec ses clercs et ses saints), n’a pas attendu les méthodes des sciences humaines pour proposer une lecture non littérale des textes, Elle ne s’est jamais contentée de l’effet d’annonce (comme chez les petits camarades évangélistes) ni cherchée à imposer des versions naïves à ses ouailles. Ces réflexes anticléricaux témoignent d’une grande ignorance de la doctrine de l’Eglise, de cette religion qui promeut l’intelligence, alors qu’une autre l’interdit. Mais Christian Makarian reconnaît que si nombre d’hommes d’Eglise ne furent pas toujours des saints, leurs comportements étaient considérés comme des péchés par le message évangélique ; alors qu’en revanche, les persécutions subies par les minorités non-musulmanes trouvent toujours une justification dans le Coran.
Makarian prend bien soin de ne pas conclure sur le choc des civilisations et propose un hypothétique dialogue, tout en reconnaissant que les dogmes chrétiens sont attaqués par les Musulmans, qui en aucun cas ne cherchent à connaître le christianisme et les chrétiens. 20 millions de Musulmans se trouvent en Europe et ne nous y trompons pas, ils sont là pour conquérir et soumettre. Nous avons déjà droit à leurs règles dans les hôpitaux, les écoles, les prisons, les banques et annexent l’espace public...
L’ancien roi du Maroc, Hassan II, avait bien prévenu “islam et laïcité sont incompatibles. Nos immigrés ne s’intègreront jamais à votre société.” C’est un fait : l’islam a toujours été intégrateur, jamais intégré, toujours assimilateur, jamais assimilé. On l’aura compris, il est incompatible avec les valeurs chrétiennes qui fondent nos sociétés.
© Ichtus - Au service de la Cité
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Livre - le choc Jésus-Mahomet
Ca demeure un mystere pour moi...Qu’est-ce que la réalité musulmane ? Pourquoi des milliers de jeunes musulmans redécouvrent les joies du Jihad ?
Personnelement,je ne pense pas qu'on trouve le visage du Christ ds le nouveau testament ni dans l'église...Ce ne sont que des aides pour arriver a connaitre Jésus...C'est uniquement ds la priere et la fréquentation que Jésus se découvre......Seul les grands saints(es) ont vraiment connu Jésus.....et ils parlent tous de la Beauté...qu'il est l'Amour....qu'il est plus que ce qu'on peut imaginer....Sa présentation de Jésus est succincte, voire indigente, car nous avons droit à un Christ historique « déformé » par l’Eglise catholique, et qui aurait été « collé » à l’histoire biblique (d’où la querelle avec les juifs qui y voit une captation d’héritage).
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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