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Le coran appel au meurtre

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Message par Rémi Mar 2 Nov 2010 - 15:24

Rappel du premier message :

4. AU FIL DU CORAN

Dans ce qui suit, quand les mots "les" ou "ils" ne seront pas précisés, ils désigneront tous ceux qui ne sont pas soumis à Allah : les juifs, les chrétiens, les hérétiques, les infidèles, les associateurs, les polythéistes et les mécréants.

a) Appels au meurtre



Coran 2:191
"Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d'où ils vous ont chassé : l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants."

Coran 4:89
"Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur."

Coran 4:91
"Vous en trouverez d'autres qui cherchent à avoir votre confiance, et en même temps la confiance de leur propre tribu. Toutes les fois qu'on les pousse vers l'association (l'idolâtrie) ils y retombent en masse. Par conséquent, s'ils ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent pas leurs mains (de vous combattre), alors, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez. Contre ceux-ci, Nous vous avons donné une autorité manifeste."



Coran 5:33
"La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas ; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment."



Coran 8:12
"Et ton Seigneur révéla aux anges : "Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l'effroi dans les coeurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous (décapitation) et frappez-les sur tous les bouts des doigts."



Coran 8:17
"Ce n'est pas vous qui les avez tués : mais c'est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n'est pas toi qui lançais : mais c'est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d'une belle épreuve de Sa part ! Allah est Audient et Omniscient."

Autrement dit c’est l’absolution par avance pour un meurtrier pour peu qu’il tue un infidèle au nom d’Allah.

Coran 9:5
"Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat (prière) et acquittent la Zakat (aumône), alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux."

Coran 17:33
"Et, sauf en droit, ne tuez point la vie qu'Allah a rendu sacrée. Quiconque est tué injustement, alors Nous avons donné pouvoir à son proche parent. Que celui-ci ne commette pas d'excès dans le meurtre, car il est déjà assisté par la loi."

Selon le Coran, il existe des raisons tout à fait valables, conformes à la loi islamique (charia), de tuer.



Coran 33:61
"Ce sont des maudits. Où qu'on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement."



Coran 47:4
"Lorsque vous rencontrez au combat ceux qui ont mécru, frappez-en les cous (décapitation). Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c'est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu'à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c'est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d'Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions."



b) Haine contre les juifs, les chrétiens et les infidèles

Coran 5:51
"O les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes."


Coran 9:30
"Les Juifs disent : "Uzayr est fils d'Allah" et les Chrétiens disent : "Le Christ est fils d'Allah". Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse ! Comment s'écartent-ils de la vérité ?"

Coran 5:14
"Et de ceux qui disent : "Nous sommes Chrétiens", Nous avons pris leur engagement. Mais ils ont oublié une partie de ce qui leur a été rappelé. Nous avons donc suscité entre eux l'inimitié et la haine jusqu'au Jour de la Résurrection. Et Allah les informera de ce qu'ils faisaient."


Dans les hadiths, on peut facilement faire une moisson de propos antijuifs et antichrétiens parfois très violents comme : "Un groupe des Banu Israel (fils d’Israël) était perdu. Je ne sais pas ce qui leur est arrivé, mais je pense qu’ils se sont transformés en rats." Récit d’Abu Huraira, Muslim XLII 7135 et Bukhari LIV 524


c) Les inégalités fondamentales de l’islam

Le mahométan est supérieur au non-mahométan

Coran 3:110
"Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait surgir pour les hommes, vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre (chrétiens et juifs) croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d'entre eux sont des pervers."


L’homme est supérieur à la femme

Coran 4:34
"Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes à leurs maris, et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est
certes, Haut et Grand !"


Le maître est supérieur à l’esclave

L’islam n’a pas encore abrogé l’esclavage, encore pratiqué en Arabie saoudite et au Soudan où la traite des noirs est encore d’actualité, comme l’atteste le témoignage poignant d’un Soudanais noir et chrétien, nommé Simon Deng, réduit en esclavage par le régime arabe islamiste de Khartoum, témoignage recueilli par la journaliste Caroline Fourest, que l’on peut trouver sur le site Internet : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Si l’islam n’a pas aboli l’esclavage (le peut-il ?) c’est tout simplement que son objectif est d’établir le califat mondial où les non-mahométans auraient le choix entre la conversion, la mort ou, dans le meilleur des cas, la dhimmitude pour les Gens du Livre (juifs et chrétiens), qui est un statut de sous-homme (http://www.dhimmitude.org/archive/articlef1.html).



d) Peine de mort pour celui qui quitte l’islam


"Mais sans aucun doute je les aurais tués puisque le Prophète a dit : si quelqu’un (un mahométan) s’écarte de sa religion, tuez-le." Récit d’Ikrima, Bukhari LII 260

Connaissez-vous beaucoup de religions qui appellent à tuer celui qui désire les quitter ?



5. MAHOMET, LE "BEAU MODELE"

On ne peut pas terminer sans parler de Mahomet. Quelques traits du caractère de celui que tout mahométan doit imiter, trouvé dans les hadiths ou le Coran :

Mahomet et torture
"Quand l’apôtre d’Allah eut coupé les pieds et les mains de ceux qui avaient volé ses chameaux et qu’ils leur eut enlevé les yeux avec des clous chauffés au feu, Allah le gronda et il révéla : la punition de ceux qui font la guerre à Allah et à son apôtre et qui les affrontent avec toutes leurs forces pour semer la discorde sur la terre sera l’exécution (par décapitation) ou la crucifixion." Récit d’Abu Zinad, Dawud XXXVIII 4357



Mahomet et meurtre

"L’apôtre d’Allah a lapidé à mort une personne de la tribu des Banu Aslam, un Juif et sa femme." Récit de Jabir Abdullah, Muslim XVII 4216


Mahomet et pédophilie
"Khadija (première femme de Mahomet) est morte 3 ans avant que le Prophète parte à Médine. Il y est resté environ deux ans et il se maria ensuite avec Aïcha qui était une fillette de 6 ans ; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage." Récit du père de Hisham, Bukhari LVIII 236



Mahomet et pillage

"Quand l’apôtre d’Allah avait l’intention de conduire une expédition de pillage, (ghazw ou ghazwa en arabe, ce que l’on traduit en français par razzia – dans le cas du Prophète, un tel pillage constituait un aspect du jihad) il employait une formule équivoque pour faire croire qu’il allait dans une autre direction." Récit de Ka’b ibn Malik, Bukhari LII 197


Coran 8:1
"Au nom d'Allah le Très Miséricordieux. Ils t'interrogent au sujet du butin. Dis : "Le butin est à Allah et à Son messager." Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants."



Tel est l’islam depuis quatorze siècles.


Ce document a été visé par un spécialiste de l’islam.


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Message par Tibelle07 Sam 18 Juil 2015 - 22:57

Je rajoute à votre message Rémi que a l'époque quand les catholiques ne pouvaient pas se procurer la Bible ou la lire , non seulement les prêtres les aidait avec les sermons et compagnie mais également par les vitraux car ces derniers ont été créer afin d'illustrer des passages bibliques en image pour ceux qui étaient analphabète.
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Message par Pinocchio Sam 18 Juil 2015 - 23:18

Rémi et Michel, vous connaissez certainement aussi bien que moi la parabole du bon grain et de l'ivraie sur la fin des temps et l'explication que Jésus nous a donnée dans l'Évangile.
Le concile Vatican II  (ce n'est que mon avis personnel ) est sans doute le dernier de l'histoire de l'Église, la pastorale qui en découle a  (à mon sens) une portée eschatologique. Nous ne sommes plus dans les premiers temps de l'Eglise ou il fallait construire les bases en définissant, par exemple, les dogmes,  ni au temps de sa pleine puissance où la chrétienté dominait le monde. Il est vain de vouloir revenir en arrière et ce n'est  pas à nous de faire le tri entre le bien et le mal pour tenter de restaurer l'Église dans sa situation antérieure en faisant la guerre aux autres religions. Contentons nous simplement, comme le concile le préconise , de mettre en pratique ce que nous avons reçu, les anges du Seigneur s'en chargeront et Dieu reconnaîtra les siens! Toutes les religions ne se valent pas! Nous sommes bien d'accord , mais de l'ivraie on en trouve aussi, hélas même parmi les catholiques!

Bonne soirée.

Pinocchio

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Message par Rémi Dim 19 Juil 2015 - 0:32

Oui Tibelle c'est bien vrai, les vitraux et aussi les images saintes et les statues font aussi office d'objets d'enseignement, même pour nous encore aujourd'hui.

Pinocchio a écrit:Le concile Vatican II  (ce n'est que mon avis personnel ) est sans doute le dernier de l'histoire de l'Église, la pastorale qui en découle a  (à mon sens) une portée eschatologique.

Ce n'est pas certain, si l'on se fie à quelques prophéties lors de la venue d'un saint pape et du grand monarque qui réformeront l'Église après la presque disparition de celle-ci lors des grandes tribulations à venir mais cela c'est une autre histoire abondamment discutée dans d'autres fil de ce forum.

Pinocchio a écrit:Toutes les religions ne se valent pas!  Nous sommes bien d'accord , mais de l'ivraie on en trouve aussi, hélas même parmi les catholiques!

Et je dirais même plus qu'ailleurs vu l'éducation que nous avons eues et pourtant nos églises sont vides et nos sacrements délaissés. Nous sommes plus coupables que bien d'autres.


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Message par MichelT Dim 19 Juil 2015 - 1:46

Faites la comparaison....


MORTALIUM ANIMOS



LETTRE ENCYCLIQUE
DE SA SAINTETÉ LE PAPE PIE XI
SUR L'UNITÉ DE LA VÉRITABLE ÉGLISE.



Aux Patriarches, Primats, Archevêques, et autres ordinaires des lieux en paix et communion avec le Siège Apostolique

Vénérables Frères,  Salut et Bénédiction Apostolique  

Jamais peut-être dans le passé, les esprits des hommes n'ont été saisis aussi fort que nous le voyons de nos jours, du désir de renforcer et d'étendre pour le bien commun de la société humaine, les relations fraternelles qui nous lient à cause de notre communauté d'origine et de nature.  

Les peuples, en effet, ne jouissent pas encore pleinement des bienfaits de la paix; et même, çà et là, de vieilles et de nouvelles discordes provoquent l'éruption de séditions et de guerres civiles. Par ailleurs, la plupart, assurément, des controverses qui touchent à la tranquillité et à la prospérité des peuples ne peuvent d'aucune manière recevoir de solution sans l'action concertée et les efforts des chefs des Etats et de ceux qui en gèrent et poursuivent les intérêts. On comprend donc aisément, et cela d'autant mieux que plus personne ne refuse d'admettre l'unité du genre humain, pourquoi la plupart des hommes désirent voir, au nom de cette fraternité universelle, les divers peuples s'unir entre eux par des liens chaque jour plus étroits.  

C'est un résultat semblable que d'aucuns s'efforcent d'obtenir dans les choses qui regardent l'ordre de la Loi nouvelle, apportée par le Christ Notre Seigneur. Convaincus qu'il est très rare de rencontrer des hommes dépourvus de tout sens religieux, on les voit nourrir l'espoir qu'il serait possible d'amener sans difficulté les peuples, malgré leurs divergences, religieuses, à une entente fraternelle sur la profession de certaines doctrines considérées comme un fondement commun de vie spirituelle. C'est pourquoi, ils se mettent à tenir des congrès, des réunions, des conférences, fréquentés par un nombre appréciable d'auditeurs, et, à leurs discussions, ils invitent tous les hommes indistinctement, les infidèles de tout genre comme les fidèles du Christ, et même ceux qui, par malheur, se sont séparés du Christ ou qui, avec âpreté et obstination, nient la divinité de sa nature et de sa mission.  


De telles entreprises ne peuvent, en aucune manière, être approuvées par les catholiques, puisqu'elles s'appuient sur la théorie erronée que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables, en ce sens que toutes également, bien que de manières différentes, manifestent et signifient le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous pousse à reconnaître avec respect sa puissance.

En vérité, les partisans de cette théorie s'égarent en pleine erreur, mais de plus, en pervertissant la notion de la vraie religion ils la répudient, et ils versent par étapes dans le naturalisme et l'athéisme. La conclusion est claire: se solidariser des partisans et des propagateurs de pareilles doctrines, c'est s'éloigner complètement de la religion divinement révélée.  


Il est vrai, quand il s'agit de favoriser l'unité entre tous les chrétiens, certains esprits sont trop facilement séduits par une apparence de bien. N'est-il pas juste, répète-t-on, n'est-ce pas même un devoir pour tous ceux qui invoquent le nom du Christ, de s'abstenir d'accusations réciproques et de s'unir enfin un jour par les liens de la charité des uns envers les autres ? Qui donc oserait affirmer qu'il aime le Christ s'il ne cherche de toutes ses forces à réaliser le voeu du Christ lui-même demandant à son Père que ses disciples soient "un" (Joan. XVII, 21) ? Et de plus le Christ n'a-t-il pas voulu que ses disciples fussent marqués et distingués des autres hommes par ce signe qu'ils s'aimeraient entre eux: " C'est à ce signe que tous connaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l'amour les uns pour les autres " (Joan. XIII, 35) ?  

Plaise à Dieu, ajoute-t-on, que tous les chrétiens soient "un" ! Car par l'unité, ils seraient beaucoup plus forts pour repousser la peste de l'impiété qui, s'infiltrant et se répandant chaque jour davantage, s'apprête à ruiner l'Evangile.  


Tels sont, parmi d'autres du même genre, les arguments que répandent et développent ceux qu'on appelle panchrétiens. Et il s'en faut que ces panchrétiens soient peu nombreux et disséminés; ils se sont, au contraire, multipliés en organisations complètes et ils ont fondé des associations largement répandues, que dirigent, le plus souvent, des non catholiques, quelles que soient leurs divergences en matières de foi. Leur entreprise est, d'ailleurs, poursuivie si activement qu'elle obtient en beaucoup d'endroits l'accueil de personnes de tout ordre et qu'elle séduit même de nombreux catholiques par l'espoir de former une union conforme, apparemment, aux voeux de notre Mère la Sainte Eglise, laquelle, certes, n'a rien plus à coeur que de rappeler et de ramener à son giron ses enfants égarés.  

Mais en fait, sous les séductions et le charme de ces discours, se cache une erreur assurément fort grave, qui disloque de fond en comble les fondements de la foi catholique.  

Avertis par la conscience de notre charge apostolique de ne pas laisser circonvenir par des erreurs pernicieuses le troupeau du Seigneur, nous faisons appel, vénérables frères, à votre zèle pour prendre garde à un tel malheur. Nous avons, en effet, la confiance que, par l'écrit et par la parole, chacun de vous pourra plus facilement atteindre son peuple et lui faire comprendre les principes et les raisons que nous allons exposer et que les catholiques pourront y trouver une règle de pensée et de conduite pour les entreprises visant à réunir, de quelque manière que ce soit, en un seul corps, tous ceux qui se réclament du nom chrétien.  

Dieu, Auteur de toutes choses, nous a créés pour le connaître et le servir; étant notre Créateur, il a donc un droit absolu à notre sujétion. Certes, Dieu aurait pu n'imposer à l'homme, comme règle, que la loi naturelle qu'il a, en le créant, gravée dans son coeur, et dans la suite en diriger les développements par sa providence ordinaire; mais en fait il préféra promulguer des préceptes à observer, et, au cours des âges, c'est-à-dire depuis les débuts de l'humanité jusqu'à la venue du Christ Jésus et sa prédication, il enseigna lui-même aux hommes les obligations dues à lui, Créateur, par tout être doué de raison : " Dieu, qui, à diverses reprises et en plusieurs manières, parla jadis à nos pères par les prophètes, nous a, une dernière fois, parlé en ces jours-ci par son Fils " (Hebr. I, 1-2).  

Il en résulte qu'il ne peut y avoir de vraie religion en dehors de celle qui s'appuie sur la parole de Dieu révélée: cette révélation, commencée à l'origine et continuée sous la Loi Ancienne, le Christ Jésus lui-même l'a parachevée sous la Loi Nouvelle. Mais, si Dieu a parlé - et l'histoire porte témoignage qu'il a de fait parlé -, il n'est personne qui ne voie que le devoir de l'homme, c'est de croire sans réserve à Dieu qui parle et d'obéir totalement à Dieu qui commande.  


Pour que nous remplissions convenablement ce double devoir en vue de la gloire de Dieu et de notre salut, le Fils unique de Dieu a établi sur terre son Église. Or, ceux qui se déclarent chrétiens ne peuvent pas, pensons-nous, refuser de croire que le Christ a fondé une Église, et une Église unique; mais si, en outre, on leur demande de quelle nature doit être, suivant la volonté de son Fondateur, cette Église, alors tous ne s'entendent plus. Par exemple, un bon nombre d'entre eux nient que l'Église doive être visible et décelable extérieurement, en ce sens, du moins, qu'elle doive se présenter comme un seul corps de fidèles unanimes à professer une seule et même doctrine sous un seul magistère et un seul gouvernement; pour eux, au contraire, l'Église visible n'est rien d'autre qu'une fédération réalisée entre les diverses communautés de chrétiens malgré leurs adhésions à des doctrines différentes et même contradictoires.  


Or, en vérité, son Eglise, le Christ Notre Seigneur l'a établie en société parfaite, extérieure par nature et perceptible aux sens, avec la mission de continuer dans l'avenir l'oeuvre de salut du genre humain, sous la conduite d'un seul chef (Matth. XVI, 18; Luc. XXII, 32; Joan. XXI, 15-17), par l'enseignement de vive voix (Marc. XVI, 15) et par l'administration des sacrements, sources de la grâce céleste (Joan. III, 5; VI, 48-59; XX, 22; cf. Matth. XVIII, 18; etc.); c'est pourquoi, dans les paraboles, il l'a déclarée semblable à un royaume (Matth. XIII), à une maison (cf. Matth. XVI, 18), à un bercail (Joan. X, 16) et à un troupeau (Joan. XXI, 15-17). Sans aucun doute, cette Église, si admirablement établie, ne pouvait finir ni s'éteindre à la mort de son Fondateur et des Apôtres qui furent les premiers chargés de la propager, car elle avait reçu l'ordre de conduire, sans distinction de temps et de lieux, tous les hommes au salut éternel: " Allez donc et enseignez toutes les nations " (Matth. XXVIII, 19). Dans l'accomplissement ininterrompu de cette mission, l'Église pourra-t-elle manquer de force et d'efficacité, quand le Christ lui-même lui prête son assistance continuelle: " Voici que je suis avec vous, tous les jours, jusqu'à la consommation des siècles " (Matth. XXVIII, 20) ?  


Il est, par conséquent, impossible, non seulement que l'Eglise ne subsiste aujourd'hui et toujours, mais aussi qu'elle ne subsiste pas absolument la même qu'aux temps apostoliques; - à moins que nous ne voulions dire - à Dieu ne plaise ! - ou bien que le Christ Notre Seigneur a failli à son dessein ou bien qu'il s'est trompé quand il affirma que les portes de l'enfer ne prévaudraient jamais contre elle (Matth. XVI, 18).  

C'est ici l'occasion d'exposer et de réfuter la fausse théorie dont visiblement dépend toute cette question et d'où partent les multiples activités concertées des non-catholiques en vue de confédérer, comme nous l'avons dit, les églises chrétiennes.  

Les auteurs de ce projet ont pris l'habitude d'alléguer, presque à l'infini, les paroles du Christ
: " Qu'ils soient un... Il n'y aura qu'un bercail et qu'un pasteur " (Joan. XVII, 21; X, 15), mais en voulant que, par ces mots, soient signifiés un voeu et une prière du Christ Jésus qui, jusqu'à ce jour, auraient été privés de résultat. Ils soutiennent, en effet, que l'unité de foi et de gouvernement, caractéristique de la véritable et unique Église du Christ, n'a presque jamais existé jusqu'à présent et n'existe pas aujourd'hui; que cette unité peut, certes, être souhaitée et qu'elle sera peut-être un jour établie par une entente commune des volontés, mais qu'il faut entre-temps la tenir pour une sorte de rêve. Ils ajoutent que l'Église, en elle-même, de sa nature, est divisée en parties, c'est-à-dire constituée de très nombreuses églises ou communautés particulières, encore séparées, qui, malgré quelques principes communs de doctrine, diffèrent pour tout le reste; que chaque église jouit de droits parfaitement identiques; que l'Église ne fut une et unique que tout au plus depuis l'âge apostolique jusqu'aux premiers conciles oecuméniques.  

Il faut donc, disent-ils, négliger et écarter les controverses même les plus anciennes et les divergences de doctrine qui déchirent encore aujourd'hui le nom chrétien, et, au moyen des autres vérités doctrinales, constituer et proposer une certaine règle de foi commune: dans la profession de cette foi, tous sentiront qu'ils sont frères plus qu'ils ne le sauront; seulement, une fois réunies en une fédération universelle, les multiples églises ou communautés pourront s'opposer avec force et succès aux progrès de l'impiété.  

C'est là, vénérables frères, leur opinion commune. Il en est, toutefois, qui affirment et concèdent que le protestantisme a rejeté trop inconsidérément certains dogmes de foi et plusieurs pratiques du culte extérieur, agréables et utiles sans aucun doute, que l'Église Romaine, au contraire, conserve encore. Ils se hâtent, d'ailleurs, d'ajouter que cette Église Romaine, elle aussi, s'est égarée, qu'elle a corrompu la religion primitive en lui ajoutant certaines doctrines moins étrangères que contraires à l'Évangile et en obligeant à y croire; parmi ces doctrines, ils citent en premier lieu celle de la primauté de juridiction attribuée à Pierre et à ses successeurs sur le siège romain. Dans ce nombre, il en est, assez peu, il est vrai, qui concèdent au Pontife romain soit une primauté honorifique, soit une certaine juridiction ou pouvoir, qui, estiment-ils toutefois, découle non du droit divin mais, d'une certaine façon, du consentement des fidèles; d'autres vont jusqu'à désirer que leurs fameux congrès, qu'on pourrait qualifier de bariolés, soient présidés par le Pontife lui-même. Pourtant, si on peut trouver des non-catholiques, d'ailleurs nombreux, qui prêchent à pleine voix une communion fraternelle dans le Christ Jésus, on n'en trouverait pas à qui vienne la pensée de se soumettre et d'obéir au Vicaire de Jésus-Christ quand il enseigne et quand il commande. Entre-temps, ils affirment qu'ils traiteront volontiers avec l'Église Romaine, mais à droits égaux, c'est-à-dire en égaux avec un égal; mais s'ils pouvaient traiter, il ne semble pas douteux qu'ils le feraient avec la pensée de ne pas être tenus, par le pacte éventuellement conclu, à renoncer aux opinions en raison desquelles, encore maintenant, ils restent dans leurs errements et dans leurs erreurs hors de l'unique bercail du Christ.  


Dans ces conditions, il va de soi que le Siège Apostolique ne peut, d'aucune manière, participer à leurs congrès et que, d'aucune manière, les catholiques ne peuvent apporter leurs suffrages à de telles entreprises ou y collaborer; s'ils le faisaient, ils accorderaient une autorité à une fausse religion chrétienne, entièrement étrangère à l'unique Eglise du Christ.

Pouvons-nous souffrir - ce serait le comble de l'iniquité - que soit mise en accommodements la vérité, et la vérité divinement révélée? Car, en la circonstance, il s'agit de respecter la vérité révélée. Puisque c'est pour instruire de la foi évangélique tous les peuples que le Christ Jésus envoya ses Apôtres dans le monde entier et que, pour les garder de toute erreur, il voulut qu'ils fussent auparavant instruits de toute vérité par l'Esprit-Saint (Joan. XVI, 13), est-il vrai que, dans l'Église que Dieu lui-même assiste comme chef et gardien, cette doctrine des Apôtres a complètement disparu ou a été jamais falsifiée? Si notre Rédempteur a déclaré explicitement que son Évangile est destiné non seulement aux temps apostoliques, mais aussi aux âges futurs, l'objet de la foi a-t-il pu, avec le temps, devenir si obscur et si incertain qu'il faille aujourd'hui tolérer même les opinions contradictoires?  


Si cela était vrai, il faudrait également dire que tant la descente du Saint-Esprit sur les Apôtres que la présence perpétuelle de ce même Esprit dans l'Église et la prédication elle-même de Jésus-Christ ont perdu, depuis plusieurs siècles, toute leur efficacité et tout leur utilité: affirmation évidemment blasphématoire.  

De plus, quand le Fils unique de Dieu a commandé à ses envoyés d'enseigner toutes les nations, il a en même temps imposé à tous les hommes le devoir d'ajouter foi à ce qui leur serait annoncé par les " témoins préordonnés par Dieu " (Act. X, 41), et il a sanctionné cet ordre par ces mots : " Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; mais celui qui ne croira pas sera condamné " (Marc. XVI, 16). Or, l'un et l'autre de ces deux commandements, qui ne peuvent pas ne pas être observés, celui d'enseigner et celui de croire pour obtenir la vie éternelle, ces deux commandements ne peuvent même pas se comprendre si l'Église n'expose pas intégralement et visiblement la doctrine évangélique et si, dans cet exposé, elle n'est à l'abri de tout danger d'erreur. Aussi, ils s'égarent également, ceux qui pensent que le dépôt de la vérité existe quelque part sur terre, mais que sa recherche exige de si durs labeurs, des études et des discussions si prolongées que, pour le découvrir et entrer en sa possession, à peine la vie de l'homme y suffirait; comme si le Dieu très bon avait parlé par les prophètes et par son Fils unique à cette fin que seulement un petit nombre d'hommes enfin mûris par l'âge pût apprendre les vérités révélées par eux, et nullement pour donner une doctrine de foi et de morale qui dirigerait l'homme pendant tout le cours de sa vie mortelle.  

Il est vrai, ces panchrétiens qui cherchent à fédérer les églises, semblent poursuivre le très noble dessein de promouvoir la charité entre tous les chrétiens; mais comment la charité pourrait-elle tourner au détriment de la foi?

Personne sans doute n'ignore que saint Jean lui-même, l'Apôtre de la charité, que l'on a vu dans son Évangile, dévoiler les secrets du Coeur Sacré de Jésus et qui ne cessait d'inculquer dans l'esprit de ses fidèles le précepte nouveau: " Aimez-vous les uns les autres ", interdisait de façon absolue tout rapport avec ceux qui ne professaient pas la doctrine du Christ, entière et pure: " Si quelqu'un vient à vous et n'apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison et ne le saluez même pas " (Joan. II, 10).

C'est pourquoi, puisque la charité a pour fondement une foi intègre et sincère, c'est l'unité de foi qui doit être le lien principal unissant les disciples du Christ.


Comment, dès lors, concevoir la légitimité d'une sorte de pacte chrétien, dont les adhérents, même dans les questions de foi, garderaient chacun leur manière particulière de penser et de juger, alors même qu'elle serait en contradiction avec celles des autres? Et par quelle formule, Nous le demandons, pourraient-ils constituer une seule et même société de fidèles, des hommes qui divergent en opinions contradictoires? Par exemple, au sujet de la sainte Tradition, ceux qui affirment qu'elle est une source authentique de la Révélation et ceux qui le nient? De même, pour la hiérarchie ecclésiastique, composée d'évêques, de prêtres et de ministres, ceux qui pensent qu'elle est d'institution divine et ceux qui déclarent qu'elle a été introduite peu à peu selon les temps et les circonstances?

Également au sujet de la très sainte Eucharistie, ceux qui adorent le Christ véritablement présent en elle grâce à cette merveilleuse transformation du pain et du vin appelée transsubstantiation, et ceux qui affirment que le corps du Christ ne s'y trouve présent que par la foi ou par un signe et la vertu du Sacrement; ceux qui reconnaissent à la même Eucharistie à la fois la nature de sacrifice et celle de sacrement, et ceux qui n'y voient rien d'autre que le souvenir et la commémoraison de la Cène du Seigneur? Et aussi, quant aux Saints régnant avec le Christ et spécialement Marie Mère de Dieu, ceux qui croient qu'il est bon et utile de les invoquer par des supplications et de vénérer leurs images, et ceux qui prétendent que ce culte ne peut être rendu, parce qu'opposé à l'honneur de Jésus-Christ " seul médiateur entre Dieu et les hommes " (I Tim. II, 5)?  

En vérité, nous ne savons pas comment, à travers une si grande divergence d'opinions, la voie vers l'unité de l'Église pourrait être ouverte, quand cette unité ne peut naître que d'un magistère unique, d'une règle unique de foi et d'une même croyance des chrétiens. En revanche, nous savons très bien que, par là, une étape est facilement franchie vers la négligence de la religion ou indifférentisme et vers ce qu'on nomme le modernisme, dont les malheureuses victimes soutiennent que la vérité des dogmes n'est pas absolue, mais relative, c'est-à-dire qu'elle s'adapte aux besoins changeants des époques et des lieux et aux diverses tendances des esprits, puisqu'elle n'est pas contenue dans une révélation immuable, mais qu'elle est de nature à s'accommoder à la vie des hommes.  


De plus, quant aux vérités à croire, il est absolument illicite d'user de la distinction qu'il leur plaît d'introduire dans les dogmes de foi, entre ceux qui seraient fondamentaux et ceux qui seraient non fondamentaux, comme si les premiers devaient être reçus par tous tandis que les seconds pourraient être laissés comme matières libres à l'assentiment des fidèles: la vertu surnaturelle de foi a en effet, pour objet formel l'autorité de Dieu révélant, autorité qui ne souffre aucune distinction de ce genre. C'est pourquoi tous les vrais disciples du Christ accordent au dogme de l'Immaculée Conception de la Mère de Dieu la même foi que, par exemple, au mystère de l'Auguste Trinité, et de même ils ne croient pas à l'Incarnation de Notre Seigneur autrement qu'au magistère infaillible du Pontife Romain dans le sens, bien entendu, qu'il a été défini par le Concile oecuménique du Vatican. Car, de la diversité et même du caractère récent des époques où, par un décret solennel, l'Eglise a sanctionné et défini ces vérités, il ne s'ensuit pas qu'elles n'ont pas la même certitude, qu'elles ne sont pas avec la même force imposées à notre foi: n'est-ce pas Dieu qui les a toutes révélées?  

En effet, le magistère de l'Eglise - lequel, suivant le plan divin, a été établi ici-bas pour que les vérités révélées subsistent perpétuellement intactes et qu'elles soient transmises facilement et sûrement à la connaissance des hommes - s'exerce chaque jour par le Pontife Romain et par les évêques en communion avec lui; mais en outre, toutes les fois qu'il s'impose de résister plus efficacement aux erreurs et aux attaques des hérétiques ou d'imprimer dans l'esprit des fidèles des vérités expliquées avec plus de clarté et de précision, ce magistère comporte le devoir de procéder opportunément à des définitions en formes et termes solennels.  


Certes, cet usage extraordinaire du magistère n'introduit aucune nouveauté à la somme des vérités qui sont contenues, au moins implicitement, dans le dépôt de la Révélation confié par Dieu à l'Église; mais ou bien il rend manifeste ce qui jusque là pouvait peut-être paraître obscur à plusieurs, ou bien il prescrit de regarder comme de foi ce que, auparavant, certains mettaient en discussion.  

On comprend donc, Vénérables Frères, pourquoi ce Siège Apostolique n'a jamais autorisé ses fidèles à prendre part aux congrès des non-catholiques: il n'est pas permis, en effet, de procurer la réunion des chrétiens autrement qu'en poussant au retour des dissidents à la seule véritable Église du Christ, puisqu'ils ont eu jadis le malheur de s'en séparer.  


Le retour à l'unique véritable Église, disons-Nous, bien visible à tous les regards, et qui, par la volonté de son Fondateur, doit rester perpétuellement telle qu'il l'a instituée lui-même pour le salut de tous. Car jamais au cours des siècles, l'Épouse mystique du Christ n'a été souillée, et elle ne pourra jamais l'être, au témoignage de saint Cyprien: " L'Epouse du Christ ne peut commettre un adultère: elle est intacte et pure. Elle ne connaît qu'une seule demeure; par sa chaste pudeur, elle garde l'inviolabilité d'un seul foyer " (De cath. Ecclesiae unitate, VI). Et le saint martyr s'étonnait vivement, et à bon droit, qu'on pût croire " que cette unité provenant de la stabilité divine, consolidée par les sacrements célestes, pouvait être déchirée dans l'Église et brisée par le heurt des volontés discordantes " (ibid.). Le corps mystique du Christ, c'est-à-dire l'Eglise, étant un (I Cor., XII, 12), formé de parties liées et coordonnées (Eph. IV, 16) à l'instar d'un corps physique, il est absurde et ridicule de dire qu'il peut se composer de membres épars et disjoints; par suite, quiconque ne lui est pas uni n'est pas un de ses membres et n'est pas attaché à sa tête qui est le Christ (Eph.V, 30; 1,22).  


Or, dans cette unique Eglise du Christ, personne ne se trouve, personne ne demeure, si, par son obéissance, il ne reconnaît et n'accepte l'autorité et le pouvoir de Pierre et de ses légitimes successeurs. N'ont-ils pas obéi à l'Evêque de Rome, Pasteur suprême des âmes, les ancêtres de ceux qui, aujourd'hui, sont enfoncés dans les erreurs de Photius et des novateurs? Des fils ont, hélas ! déserté la maison paternelle, laquelle ne s'est point pour cela effondrée et n'a pas péri, soutenue qu'elle était par l'assistance perpétuelle de Dieu. Qu'ils reviennent donc au Père commun, qui oubliera les insultes proférées jadis contre le Siège Apostolique et les recevra avec la plus grande affection. Si, comme ils le répètent, ils désirent se joindre à nous et aux nôtres, pourquoi ne se hâteraient-ils pas d'aller vers l'Eglise, " mère et maîtresse de tous les fidèles du Christ " (Conc. Latran IV, c. 5).  

Qu'ils écoutent Lactance s'écriant: " Seule... l'Église catholique est celle qui garde le vrai culte. Elle est la source de vérité, la demeure de la foi, le temple de Dieu; qui n'y entre pas ou qui en sort, se prive de tout espoir de vie et de salut. Que personne ne se flatte d'une lutte obstinée. Car c'est une question de vie et de salut; si l'on n'y veille avec précaution et diligence, c'est la perte et la mort " (Divin. Instit., IV. 30, 11-12).  

Que les fils dissidents reviennent donc au Siège Apostolique, établi en cette ville que les princes des Apôtres, Pierre et Paul, ont consacrée de leur sang, au Siège " racine et mère de l'Eglise catholique " (S. Cypr., Ep. 48  ad Cornelium, 3).  

Qu'ils y reviennent, non certes avec l'idée et l'espoir que " l'Eglise du Dieu vivant, colonne et fondement de la vérité " (I Tim. II, 15) renoncera à l'intégrité de la foi et tolérera leurs erreurs, mais, au contraire, pour se confier à son magistère et à son gouvernement. Plaise à Dieu que cet heureux événement, que tant de nos prédécesseurs n'ont pas connu, Nous ayons le bonheur de le voir, que nous puissions embrasser avec un coeur de père les fils dont nous déplorons la funeste séparation; plaise à Dieu notre Sauveur, " qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité " (I Tim. II,4), d'entendre Notre ardente supplication pour qu'il daigne appeler tous les égarés à l'unité de l'Eglise. En cette affaire certainement très importante, Nous faisons appel et Nous voulons que l'on recoure à l'intercession de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de la divine grâce, victorieuse de toutes les hérésies et Secours des chrétiens, afin qu'elle Nous obtienne au plus tôt la venue de ce jour tant désiré où tous les hommes écouteront la voix de son divin Fils " en gardant l'unité de l'Esprit dans le lien de la paix " (Eph. IV, 3).  

Vous comprenez, Vénérables Frères, combien nous souhaitons cette union. Nous désirons que Nos fils le sachent aussi, non seulement ceux qui appartiennent à l'univers catholique, mais aussi tous ceux qui sont séparés de nous. Si, par une humble prière, ces derniers implorent les lumières célestes, il n'est pas douteux qu'ils ne reconnaissent la seule vraie Église de Jésus-Christ et qu'ils n'y entrent enfin, unis à Nous par une charité parfaite. Dans cette attente, comme gage des bienfaits divins et en témoignage de Notre bienveillance paternelle, Nous vous accordons de tout coeur, Vénérables Frères, ainsi qu'à votre clergé et à votre peuple, la bénédiction apostolique.


Donné à Rome, près Saint-Pierre, le 6 janvier, en la fête de l'Épiphanie de Notre-Seigneur Jésus-Christ, l'an 1928, le sixième de Notre Pontificat.



Jacques de Vitry - Sermon 39 - 12 eme siècle

« Même si il nous est interdit d`agir avec malice, nous avons le droit d`agir avec utilité. Si nous ne résisterions pas aux ennemis de l`Église, les sarrasins et les hérétiques auraient depuis longtemps dévastés l`Église.»

Dire que a notre époque certains Prélats ne croient même pas a Satan contredisant leur maitre.

Vitry dit encore:

L`aigle infernal ( Satan) attaque et capture (l`âme) des gens religieux a moins qu`ils ne résistent fortement en persévérant dans la foi jusqu'à la fin. Il est un aigle parce que il tente la volonté,  il est plein de plumes comme un aigle ce qui veut dire que il est plein de mutabilité, de subtilité et de déception, il enveloppe la race humaine dans les erreurs afin de les envoyer en enfer.  Ainsi il est important pour le chrétien d`avoir confiance en l`aide de Dieu et de ne pas faire confiance a ses propres forces parce que rien sur cette terre ne peut se comparer a la puissance de cet ange déchu. Il est dit a propos de lui en Job 40,23 «Il avalera une rivière et ne sera même pas troublé.»  Ce qui veut dire que il avale les âmes de ceux qui sont pris dans les plaisirs, les richesses et les voluptés et il a confiance que «Le Jourdain coulera dans sa bouche» ce qui veut dire que il sait que des hommes justes et saints tomberont dans sa bouche ( ses pièges). Dans son immense orgueil et sa folle présomption il dit en Isaïe 37,24 « Avec la multitude de mes chars, j`ai gravi le sommet des montagnes. Les extrémités du Liban:» Ce qui veut dire que grâce au luxe, il a fait tomber des prélats de l`Église dans ses filets et même des contemplatifs qui étaient saints et pleins de bons travaux.  «Je couperai le plus élevé de ses cèdres». C`est a dire ceux qui ont un amour pour les choses de ce monde, «  les plus beaux de ses cyprès» même des saints qui ont donné un bon exemple.

Il utilise ceux qui ont reçu son empreinte ou qui l`imite comme les hérétiques qui sont comme ses serviteurs spirituels et a travers eux, l`ange déchu combat la doctrine chrétienne et corrompt la vérité des Écritures.

Les pécheurs construisent contre l`Église et ils prolongent leurs malices au dépend des souffrances des saints. Leur malice n`arrêtera jamais et ne sera jamais satisfaite mais la justice devine n`arrêtera jamais elle non plus. Ceci est démontré quand Caïn attaqua Abel le juste, quand Ismaël attaqua Isaac, quand Essau attaqua Jacob, quand le pharaon attaqua Moise, quand le roi Saul attaqua David, quand Judas trahi le Christ, quand les idolâtres attaquent les adorateurs de Dieu, quand les faux prophètes attaquèrent les vrais prophètes, quand les païens attaquèrent les Chrétiens, quand les juifs attaquèrent les premiers saints, quand les persécuteurs attaquèrent les martyrs, quand les hérétiques attaquent les enseignements de la vérité, quand les faux frères attaquèrent ceux qui étaient témoins du Christ. A la fin viendra une persécution qui sera forgée de toutes les persécutions de l`Église, au temps de l`Antéchrist.



Est-ce cela qui se prépare? A la fin viendra une persécution qui sera forgée de toutes les persécutions de l`Église, au temps de l`Antéchrist. [/b][/u]

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Message par Spectre Dim 2 Aoû 2015 - 12:41

Les différences entre islam et christianisme ne sont pas les guerres ou les dérives, c'est Jésus. Pour eux Jésus n'est pas Dieu. Pour nous il l'est, et comme il dit "Je suis le chemin la vérité et la vie et nul ne va au Père que par moi", nous ne pouvons pas intelligemment croire qu'ils croient au même Dieu que nous, puisque notre Dieu nous a donné son fils en sacrifice et que pour eux il n'y a eu qu'un homme simplement très bon. On a bien là deux doctrines qui ne vont pas ensemble, même si elles présentent des similarités. Tout ça est un piège du malin, qui camoufle toujours des mensonges au milieu de beaucoup de vérités. Ça veut donc dire (selon notre point de vue de chrétien) que le coran contient beaucoup de vérités, toutefois ces vérités sont mises de telle sorte qu'on croie à quelque chose de faux, qui nous éloignera du Salut, puisque du coup "nul ne va au père que par moi", ben on ira pas au Père puisqu'on ne passe pas par Jésus en premier dans l'Islam. Jésus dit aussi que d'autres viendront après lui et qu'il ne faudra pas se détourner de ce qu'il a enseigné, et juste après, paf un mec qui voit un ange dans une grotte et qui lui dit d'écrire la parole de Dieu, alors que Jésus est lui même la parole de Dieu vivante qui s'accomplit sur terre... Voilà ça c'est ce que l'on croit, pas besoin de partir se perdre dans des "chez nous c'est mieux parce que ceci ou cela", ça ce sont des arguments "du monde" je dirais, les plus tolérants, les plus beaux, les plus pacifiques, les moins pécheurs, etc, ça c'est des jugements humains. On est pas Dieu pour dire qui sont les pires ou les meilleurs.

A savoir aussi, tous les chrétiens ne sont pas catholiques, protestants, ou orthodoxes, etc, certains sont chrétiens "sans étiquette", le Pape, les différents "courants" chrétiens, et les différentes "Eglises" c'est un autre débat, qui est interne au christianisme (je conçoit que vu de l'extérieur ne pas être tous d'accord entre nous ça fasse tâche"), quoi qu'il en soit ça ne remet en rien en cause ce qu'il y a d'écrit dans la Bible.

Après le Coran appelle au meurtre c'est un fait. Dans la Bible on trouve des guerres mais l'idée n'est pas de tuer parce qu'il faut convertir, mais de convertir les peuples qui verront que des victoires impossibles peuvent être obtenues grâce à Dieu (500 hommes contre 5000 par exemple je dis un nombre au pif), et les peuples "sacrifiés" pour le besoin de la chose étaient si corrompus que même Dieu ne pouvait plus rien pour eux (exemple de sodome et gomhorre: même les enfants étaient trop atteints), ce sont des faits rapportés en témoignage de choses qui se sont produites. Dans le coran ce sont bien des commandements, des ordres, intemporels, en gros hier, aujourd'hui ou demain, "faites ceci" ou "faites cela". Rien à voir donc, et l'idée c'est "on te tue ou tu te convertis".
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Message par Pinocchio Lun 3 Aoû 2015 - 11:08

""""(... )
Après le Coran appelle au meurtre c'est un fait. Dans la Bible on trouve des guerres mais l'idée n'est pas de tuer parce qu'il faut convertir, mais de convertir les peuples qui verront que des victoires impossibles peuvent être obtenues grâce à Dieu (500 hommes contre 5000 par exemple je dis un nombre au pif), et les peuples "sacrifiés" pour le besoin de la chose étaient si corrompus que même Dieu ne pouvait plus rien pour eux (exemple de sodome et gomhorre: même les enfants étaient trop atteints), ce sont des faits rapportés en témoignage de choses qui se sont produites. Dans le coran ce sont bien des commandements, des ordres, intemporels, en gros hier, aujourd'hui ou demain, "faites ceci" ou "faites cela". Rien à voir donc, et l'idée c'est "on te tue ou tu te convertis"

Oui, mais alors que faut-il penser de ceci (je précise qu' il ne s'agit pas d'un verset du coran, mais bien du deuteronone qui fait partie de la Bible! ) :

« Si ton frère, fils de ton père ou fils de ta mère, ton fils ou ta fille, la femme qui est sur ton sein, ton ami qui est un autre toi-même, voulaient te séduire en cachette, en disant « Allons servir d’autre dieux » que tes pères ni toi n’avez connus, de ces dieux des peuples qui sont autour de vous, proches de toi ou éloignés de toi, d’une extrémité de la terre à l’autre, tu n’acquiesceras pas et tu ne l’écouteras pas, tu ne l’excuseras pas ; mais tu devras le tuer, ta main sera la première contre lui, pour le mettre à mort, et ensuite la main de tout le peuple, tu le lapideras avec des pierres et il mourra, parce qu’il a cherché à t’écarter de Iahvé, ton dieu, qui t’a fait sortir d’Egypte, de la maison des esclaves » (

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Message par Amazone Mar 4 Aoû 2015 - 18:23

MichelT a écrit:
DE SA SAINTETÉ LE PAPE PIE XI

 (...)        
Personne sans doute n'ignore que saint Jean lui-même, l'Apôtre de la charité, que l'on a vu dans son Évangile, dévoiler les secrets du Coeur Sacré de Jésus et qui ne cessait d'inculquer dans l'esprit de ses fidèles le précepte nouveau: " Aimez-vous les uns les autres ",  interdisait de façon absolue tout rapport avec ceux qui ne professaient pas la doctrine du Christ, entière et pure: "  Si quelqu'un vient à vous et n'apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison et ne le saluez même pas "  (Joan. II, 10).
(...)
 

En vérité, nous ne savons pas comment, à travers une si grande divergence d'opinions, la voie vers l'unité de l'Église pourrait être ouverte, quand cette unité ne peut naître que d'un magistère unique, d'une règle unique de foi et d'une même croyance des chrétiens. En revanche, nous savons très bien que, par là,  une étape est facilement franchie vers la négligence de la religion ou indifférentisme et vers ce qu'on nomme le modernisme, dont les malheureuses victimes soutiennent que la vérité des dogmes n'est pas absolue, mais relative, c'est-à-dire qu'elle s'adapte aux besoins changeants des époques et des lieux et aux diverses tendances des esprits, puisqu'elle n'est pas contenue dans une révélation immuable, mais qu'elle est de nature à s'accommoder à la vie des hommes.  
(...)


On comprend donc, Vénérables Frères, pourquoi ce Siège Apostolique n'a jamais autorisé ses fidèles à prendre part aux congrès des non-catholiques:  il n'est pas permis, en effet, de procurer la réunion des chrétiens autrement qu'en poussant au retour des dissidents à la seule véritable Église du Christ, puisqu'ils ont eu jadis le malheur de s'en séparer.  



Le retour à l'unique véritable Église, disons-Nous, bien visible à tous les regards, et qui, par la volonté de son Fondateur, doit rester perpétuellement telle qu'il l'a instituée lui-même pour le salut de tous.  (...)


Qu'ils écoutent Lactance s'écriant: " Seule... l'Église catholique est celle qui garde le vrai culte. Elle est la source de vérité, la demeure de la foi, le temple de Dieu; qui n'y entre pas ou qui en sort, se prive de tout espoir de vie et de salut. Que personne ne se flatte d'une lutte obstinée. Car c'est une question de vie et de salut; si l'on n'y veille avec précaution et diligence, c'est la perte et la mort " (Divin. Instit., IV. 30, 11-12).  
(...)

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
 


Dogme, vérité de Foi (résumé) :

40) Sur l’obligation de faire partie de la véritable Église : Tous les hommes, pour être sauvés, doivent appartenir à la véritable Église qui est l’Église catholique romaine.

Les Dogmes :
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Et Jésus les appela, et dit : Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. (Luc 18:16)   
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Message par Pinocchio Mar 4 Aoû 2015 - 20:58

841 Les relations de l’Église avec les musulmans. " Le dessein de salut enveloppe également ceux qui reconnaissent le Créateur, en tout premier lieu les musulmans qui, en déclarant qu’ils gardent la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, juge des hommes au dernier jour " (LG 16 ; cf. NA. 3)

(extrait du catéchisme de l'Eglise catholique)

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Message par Pinocchio Mer 5 Aoû 2015 - 10:44

17 septembre - Mise au point de Benoît XVI, lors de la prière de l'Angelus

""Le voyage apostolique en Bavière, que j’ai accompli les jours passés, a été une forte expérience spirituelle, da. ns laquelle se sont mêlés des souvenirs personnels, liés à des lieux qui me sont si familiers, et des perspectives pastorales pour une annonce efficace de l’Évangile en notre temps. Je remercie Dieu pour les consolations intérieures qu’il m’a donné de vivre et, en même temps, je suis reconnaissant envers tous ceux qui ont activement travaillé pour la réussite de ma visite pastorale. Comme il est désormais habituel, j’en parlerai plus largement au cours de l’Audience générale de mercredi prochain. En ce moment, je désire seulement ajouter que je suis vivement attristé par les réactions suscitées par un bref passage de mon discours à l’Université de Ratisbonne, considéré comme offensant pour la sensibilité des croyants musulmans, alors qu’il s’agissait d’une citation d’un texte médiéval, qui n’exprime en aucune manière ma pensée personnelle. Hier, Monsieur le Cardinal Secrétaire d’État a rendu publique, à ce sujet, une déclaration dans laquelle il a expliqué le sens authentique de mes paroles. J’espère que cela contribuera à apaiser les esprits et à clarifier le sens véritable de mon discours, qui, dans son ensemble, était et est une invitation au dialogue franc et sincère, avec un grand respect réciproque."""

Ainsi, malgré tout le respect que je dois à l'abbé Pages en tant que prêtre et en tant qu' homme, je pense qu'il n'est pas opportun, et surtout pas juste, de tenter d'opposer le Pape François avec son prédécesseur

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Message par Francesco Jeu 6 Aoû 2015 - 23:49

Ainsi, malgré tout le respect que je dois à l'abbé Pages en tant que prêtre et en tant qu' homme, je pense qu'il n'est pas opportun, et surtout pas juste, de tenter d'opposer le Pape François avec son prédécesseur a écrit:
Je n'ai pas écouté la video de l'abbé Pages mais je serais plutot d'accord avec votre point.


Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Francesco
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Message par Spectre Mer 12 Aoû 2015 - 13:37

Je me base uniquement sur la Bible et pas sur le Catéchisme de l'Eglise, même s'il est probablement intéressant je suis convaincu qu'il contient énormément de choses inventées ou fausses. Pour le passage cité Pinocchio, ben oui c'est moche, mais il fut une étape de la conversion du peuple où pour que ça fonctionne on pouvait pas laisser passer la moindre hérésie, parce que c'était une époque où les gens ne comprenaient que de cette manière. Vous avez déjà du croiser des personnes qui ne comprennent malheureusement que par la violence, et malgré tout l'amour que vous pourrez leur témoigner et toute la patience que vous aurez, seront toujours odieuses et violentes elles même, et qu'on ne peut gérer qu'avec des méthodes de leur niveau. C'est triste, ça ne veut pas dire qu'il fallait à cette époque prendre plaisir à tuer son frère ou sa sœur, mais qu'il n'y avait pas d'autre façon possible pour le moment. Et mis à part cette méthode radicale qui a pu être abandonnée grâce au sacrifice de Jésus, le Seigneur n'a jamais été un sadique qui tue dès que ça ne lui plait plus, il a toujours laissé à tous plusieurs occasions de se tourner vers le bon côté.
Si Dieu était méchant vous et moi serions déjà mort depuis longtemps.
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