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Marie-Thérèse Urvoy et Hartch Bedrossian ont révélé l'islam sans langue de bois ni compromis.

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Marie-Thérèse Urvoy et Hartch Bedrossian ont révélé l'islam sans langue de bois ni compromis. Empty Marie-Thérèse Urvoy et Hartch Bedrossian ont révélé l'islam sans langue de bois ni compromis.

Message par MichelT Sam 22 Jan 2011 - 3:09

de l'institut Civitas
Écrit par Civitas
03-01-2011

Marie-Thérèse Urvoy et Hartch Bedrossian ont révélé l'islam sans langue de bois ni compromis.


Dans la salle de l'Asiem du 15ième arrondissement, ces conférenciers ont fait salle comble avec 200 personnes lors de cette conférence publique sur l'islam, sujet rarement débattu publiquement avec une telle franchise.

Madame Urvoy aborda l'aspect législatif et juridique en commençant par parler de l'Algérie au temps des colonies. A ce moment ce département français avait une législation régit par des lois musulmanes. Mais c'était sur un territoire circonstancié.

Alors qu'aujourd'hui les musulmans tentent tout doucement d'obtenir la même chose sur l'ensemble du territoire de la France métropolitaine. Ils désireraient une adaptation du droit privé au droit musulman, pas seulement une œuvre de juriste mais aussi de législateur. Leur religion étant essentiellement extérieur et de conduite sociale elle tend à s'imposer au gouvernement. D'autre part la loi islamique, la charia transcende les frontières, dans un fort esprit communautariste.

Et l'Eglise catholique conciliaire fut parfois coupable de compromissions : ainsi les harkis qui, désirant vraiment s'intégrer en France, demandèrent le baptême. Et ce sont souvent les évêques qui leur refusèrent. C'est aussi elle qui fonda l'Institut de Science et Théologie des Religions, tribune de l'islamisme, financé par l'argent français et catholique.

La réalisation institutionnelle s'est faite progressivement avec la construction des mosquées dans les grandes villes de France. La grande mosquée de Paris (1982) devint vite la référence, pour les produits Hallal par exemple. Tandis que la seconde référence fut la « Fédération nationale des musulmans de France » ainsi que « Le conseil représentatif des musulmans de France et quelques autres. »

Le problème du double langage des musulmans est important aussi dans le mouvement d'occidentalisation de l'islam. Ainsi Tarik Ramadan qui, pour les journalistes, sait jouer les modérés tandis que dans sa communauté « frère Tarik » peut être très extrême. Aujourd'hui nous sommes confrontés à une ré-islamisation de la jeune génération : celle-ci consiste à un retour à la nourriture hallal, au voile, et plus grave une volonté d'un traitement différentiel, particulièrement pour les cours au lycée (demande de dispense pour le sport, la science naturelle mais aussi l'histoire car ils ont la leur...). Enfin, il faut noter qu'il n'y a pas de différence de nature entre les islams dit modéré ou extrémiste, y compris avec le soufisme. Celui ci vu comme un islam mystique attire beaucoup en Occident. Mais il est rattrapé par la loi qui forme l'essentiel de l'islam, c'est pourquoi les plus grands suphis furent condamnés à mort par leur congénères pour avoir altéré l'authentique doctrine. Ainsi celui qui avait proposé d'abroger les sourates de Médine du coran, les plus violentes, et parler de possible « progression » de l'islam.

C'est pourquoi Erdogan disait « il n'y a pas de modérés et de violents, il y a l'islam ». Il y a seulement des différences de méthode entre les musulmans qui tablent sur la conquête législative donc pacifique et ceux qui désirent la même fin par la violence.

Puis Monsieur Bedrossian parti du récent massacre des 53 chrétiens à Bagdad. Il expliqua qu'il y a plusieurs têtes à l'hydre de l'ennemi, de l'islam, dont le laïcisme qui le protège et le masque parfois. Ainsi l'affaire des « Jeunes Turcs » officiellement laïcs qui se désolidarisèrent officiellement du massacre des Arméniens en Turquie, tout en y ayant eu leur part de responsabilité. Il rappela aussi la part de culpabilité indirecte, lors de ces massacres des Etats occidentaux, et même Chrétiens qui ne protestèrent jamais officiellement et en ce sens furent complice. Car en effet dit il, ce n'est pas aux méchants qu'on peut reprocher de l'être, mais surtout aux bons de ne pas suffise ment protester ou résister.

Conclusion d'Alain Escada: Nous devons dénoncer l'islam pour de bonnes raisons, ni au nom du laïcisme ni dans une alliance sioniste. L'islam ne pourra pas nous aider à résoudre les problèmes de la perte des valeurs. Mais réalité objective de l'islam galopante laisse entrevoir le fait qu'en 2030 les plus grandes villes d'Europe seront devenues majoritairement musulmanes.

Si nous voulons éviter la conversion à l'islam, la dhimitude ou la fuite, agissons, par la prière, en se réappropriant entièrement et fièrement la foi catholique, mais aussi par et sur les élus, qui sinon ferons appliquer la charia dans toute la France.

Confiance en la Providence!

Les musulmans doivent soit partir, soit se convertir. Les jeunes doivent agir et anciens confortés ceux ci dans leurs convictions.

A l'arrière de la salle une belle librairie fournie par la librairie Duquene sur le sujet : était représentée la collection de Studia Arabica aux éditions de Paris, collection dirigée par Madame Urvoy et les livres écrits, traduits ou édités par Monsieur Bedrossian, sur le thème du génocide Arménien.

Et il faut signaler sur le côté une magnifique et remarquable bannière de dix mètres étalant en grosses lettres l'inscription : « NI ISLAMIQUE NI LAÏQUE, LA FRANCE EST CATHOLIQUE », le tout couronné d'un Sacré Cœur éclatant.

Le public eut bien du mal à s'arracher de la salle à l’heure dite, en grandes discussions passionnées sur le sujet par groupes ou avec les conférenciers.

9 novembre - FJC Paris : 1er cours de philosophie politique donné par M. l'abbé Boubée. Ces cours ouverts à tous auront lieu tous les mois dans la crypte de Saint Nicolas du Chardonnet.

12 novembre - Présentation de Civitas et de FJC à Lyon. Plus d'une soixantaine de personnes se pressaient à cette soirée. Après la projection du film consacré à Civitas réalisé par Mathias Barbier, Alain Escada fit un exposé sur la situation politique générale et sur toutes les raisons qui doivent entraîner chez les catholiques bien nés une volonté de s'engager pour défendre la chrétienté en péril. Dans la foulée, une douzaine d'étudiants lyonnais s'inscrivaient à la session de formation organisée par FJC.

20 novembre - Chapelet contre l'avortement à Châteauroux. A l'appel du Dr Dor, FJC avait profité de se retrouver en session pour organiser un chapelet contre l'avortement qui réunit environ 90 personnes devant la Mairie de Châteauroux sous les huées de quelques contre-manifestants. D'autres cercles Civitas participaient au même moment à de telles récitations publiques d'un chapelet contre l'avortement, notamment à Lille, Bordeaux ou encore Nancy.

20/21 novembre - Session FJC à Châteauroux sur le thème de la subversion

C’est le Général Nougayrède qui eut l’honneur d’ouvrir le cycle de conférences. Il nous rappela que la subversion se trouve en partie dans la nature de l’homme depuis le péché originel, ayant en son sein le germe de la révolte contre Dieu (voir Genèse chp III, 5. « vous serez comme des dieux » et Ev. Selon st Jean VIII, 44. « Vous avez le diable pour père et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été homicide dès le commencement, et il n’est pas demeuré dans la vérité »). Surtout, il nous mit en garde de ne pas confondre subversion et révolution. Bien qu’étant de même nature (toutes deux nées du mensonge) ces deux techniques d’inversion des valeurs diffèrent totalement dans la méthode. La Révolution est une rupture, elle s’attaque aux valeurs de façon frontale pour les détruire. La subversion elle, est beaucoup plus lente, pernicieuse et malheureusement beaucoup plus efficace car elle endort son adversaire en pervertissant ses valeurs, les détournent de leur fin pour les inverser et renverse ainsi une société à moindre frais, tant humainement que matériellement. Cependant, la subversion est souvent un appui pour la révolution. Les révolutions de 1789 ou de Vatican II n’étant pas arrivées par hasard. Enfin, notre premier intervenant clôtura son allocution par une présentation des techniques de subversion employées par ses instigateurs ; créer un mythe, y faire adhérer les masses, démoraliser le peuple, le détourner des choses importantes pas des futilités (utilité de la télévision entre autres), discréditer la réalité voir même la nier, magnifier la part rêvée puis prendre le pouvoir le plus souvent par pourrissement de la situation, démocratiquement ou par la force.

M. l’abbé Chautard quant à lui, s’appliqua à nous enseigner sur la subversion et le langage et comment les agents subversifs utilisent la langue pour travestir la pensée. Dans un premier temps en supprimant des mots qui suppriment ainsi mécaniquement les idées qui en découlent (remplacement par exemple du terme Avortement par IVG qui nie ainsi le crime, nature même de l’acte), mais aussi par la transformation progressive de leur sens commun, tout en jouant à chaque instant avec des expressions ou termes chargés émotionnellement, cachant ainsi un vide de sens. Il nous donna aussi quelques armes intellectuelles de défense lorsque nous nous retrouvons face à des interlocuteurs mal intentionnés, en soulignant qu’il faut toujours s’attacher à définir les mots et les concepts pour ne pas tomber dans le piège dans lequel nos adversaires tentent de nous enfermer avec leur vocabulaire biaisé, rappelant ainsi une citation célèbre de Vladimir Volkoff : « Utiliser les termes de l’adversaire dans une guerre idéologique, c’est déjà avoir perdu la moitié de la bataille. »

C’est le Professeur Claude Rousseau qui prit la suite, se consacrant à l’application de la subversion dans le domaine politique, c'est-à-dire pour résumer « les droits de l’homme. » Rappelant évidemment l’importance de Jean-Jacques Rousseau dans la naissance de cette idéologie plaçant l’homme à la place de Dieu, s’attribuant des droits, quasi sacrés, laissant ainsi libre cours à la subversion. Le Professeur démontra que le libéralisme et le socialisme cohabitaient dans nos sociétés modernes, par leur fin commune qui est ce grand consumérisme mondial et matérialiste, la subversion satisfaisant l’un au détriment relatif de l’autre, et parfois inversement, sans dépasser une certaine limite qui aboutirait à la révolte des uns contre les autres. Ainsi, pour notre orateur, seules deux solutions s’offrent à nous pour s’opposer à la subversion. Spirituellement en proclamant le Credo et dans la défense des communautés de base que sont nos familles, nos paroisses, nos associations et nos métiers qui sont des îlots à la pensée droite !

Ce fut ensuite le tour du Professeur Claude Polin de nous parler de la subversion dans les médias de masses. Médias de masses qui sont intrinsèquement subversifs et mauvais car tous dirigés vers un seul et unique objectif : Vendre. Ayant placé l’impératif économique avant tout autre principe, c’est le règne de l’opinion publique, quel qu’en soit sa moralité. Ainsi, le journaliste s’attache donc à flatter son lecteur, et surtout ses plus bas instincts. C’est la glorification de l’animal qui est dans l’homme, le rabaissant à son plus bas niveau. La population produit ainsi sa propre maladie en alimentant ces mêmes médias.

La subversion dans l’Eglise fut le sujet suivant, traité par Mr l’abbé Beauvais. Rappelant l’étymologie du terme subversif venant du latin « SUBVERTERE » signifiant renverser, M. le curé de Saint Nicolas du Chardonnet, dévoila les techniques subversives pratiquées dans l’Eglise. Isoler les prêtres, affaiblir la hiérarchie pour aboutir à une démocratie dans l’institution, promouvoir un catéchisme édulcoré pour plaire au plus grand nombre, ce qui amène le prêtre à ne plus affirmer clairement la Vérité de peur de se faire taxer d’intégrisme, introduire dans l’Eglise les concepts modernes erronés que sont la liberté (liberté religieuse), l’égalité (relativisme) et la fraternité (l’œcuménisme), accusant les fidèles et prêtres réfractaires de refus d’obéissance. Ce qui amena M. l’abbé à nous parler de la vertu d’obéissance, qui ne doit pas se transformer en obéissance aveugle (qui demande à la volonté ce qui relève de l’intelligence), et qui doit se baser sur la nature des choses, sur le Bien.

Ensuite, Le Général Nougayrède nous gratifia d’une seconde intervention où dans un premier temps il revint sur la récitation du Rosaire contre les crimes d’avortement récité la veille dans le centre-ville de Châteauroux. Identifiant les agents subversifs non dans nos opposants directs en la personne des contre-manifestants, mais dans la masse informe qui nous entourait en ne prenant pas part et la police en s’interposant entre les deux camps, plaçant par conséquent la Vérité et l’erreur sur un même pied d’égalité, notion éminemment subversive que l’Etat Français a instituée en ne reconnaissant plus la religion catholique comme religion d’Etat. Le Général a surtout rappelé notre objectif final : le Règne de Notre Seigneur Jésus Christ et par conséquent l’application de la Doctrine Sociale de l’Eglise. Il nous incita à prendre les problèmes à la racine, à ne pas faire de la médecine symptômatique (qui soigne les symptômes sans traiter le virus), l’islam, l’avortement, l’immigration, la destruction de la famille n’étant que les conséquences de la maladie actuelle de la société. Pour éviter le découragement, il a rappelé que l’objectif était notre travail quotidien pour la bonne cause, et cela avec courage sans souci du respect humain, et non rechercher toujours des résultats, que l’on ne verra pas forcément, l’essentiel étant le combat pour Dieu.

C’est M. l’abbé de Cacqueray qui clôtura la session Civitas, nous honorant une nouvelle fois de sa présence, comme à l’accoutumée. Avec sa persuasion habituelle, M. l’abbé insista fortement sur la notion de formation, nous conseillant quelques ouvrages appropriés. Et pour nous rappeler que nous étions comme le dit Charette « la jeunesse de Dieu », M. l’abbé expliqua que l’anti-subversion est ce qui a été créé par Dieu, c'est-à-dire l’ordre naturel des choses. En cela, les catholiques de Tradition sont les plus à même de lutter contre cette funeste attaque de satan.

source: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Je trouve cet article particulierement bon et il est un des rares a mettre le doigt sur le noeud du probleme....

Tout les problemes actuels de l`Occident : avortement, dénatalité, baisse de la moralité, immigration, destructions des familles et surtout le plus dangereux de ceux-ci - l`islamisation ne sont que les symptomes de la maladie qui est la rébellion contre Dieu et la foi chrétienne et catholique. La laicité n`empechera jamais l`islam de progresser et au contraire elle créée le vide que l`islam rempli. Seul un retour au christianisme d`État sauvera l`occident sinon il disparaitera comme les chrétiens d`Égypte qui a force de temps ont presque disparu.

Le multiculturalisme est une grave erreur (relativisme moral) et la laicité une illusion qui ne fera qu`étendre le feu.

La clé de la solution est donc dans l`Église et dans l`activisme des chrétiens qui devra aussi devenir politique pour sauver la mise.

MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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Message par MichelT Sam 22 Jan 2011 - 3:41

Holzhauser - Interprétation de l`Apocalypse

Le cinquième âge de l'Eglise commenca sous l'empereur Charles-Quint et le pape Léon X, vers l'an 1520, il durera jusquau Pontife saint et au Monarque puissant qui viendra dans notre âge et sera appelé le secours de Dieu c'est-à-dire rétablissant toutes choses. Le cinquième âge est un âge d'afflixion, de désolation.

Le cinquième âge est un âge d'affliction, de désolation,
d'humiliation et de pauvreté pour l'Église, et il peut être appelé avec raison un âge purgatif (purgativus). Car c'est dans cet âge que Jésus-Christ a épuré et épurera son froment par des guerres cruelles, par des séditions, par la famine et la peste, et par d'autres calamités horribles, en affligeant et en appauvrissant l'Eglise latine par beaucoup d'hérésies, et aussi par les mauvais chrétiens qui lui enlèveront ungrand nombre d'évêchés, des monastères presque innombrables, de très riches prévôtés, etc., etc. L'Eglise se verra accablée et appauvrie par les impositions et les exactions des princes catholiques, de telle sorte que c'est avec raison que nous pouvons gémir maintenant, et dire avec le prophète Jérémie :

Livre des Lamentations I, 1.

«La reine des cités est tributaire».

Car l'Eglise est humiliée et avilie, parce qu'elle est blasphémée par les hérétiques et par les mauvais chrétiens, ses ministres sont méprisés et il n'y a plus pour eux ni honneur, ni respect. C'est par là que Dieu épurera son froment et en jettera la paille au feu, tandis qu'il rassemblera le bon grain pour le mettre dans son grenier.


Enfin, ce cinquième âge de l'Eglise est un âge d'affliction, un âge d'extermination, un âge de défection rempli de calamités. Car il restera peu de chrétiens sur la terre qui auront été épargnés par le fer, la famine ou la peste. Les royaumes combattront contre les royaumes, et tous les états seront désolés par les dissensions intestines. Les principautés et les monarchies seront bouleversées ; il y aura un appauvrissement presque général et une très grande désolation dans le monde. Ces malheurs sont déjà en partie accomplis, et ils s'accompliront encore. Dieu les permettra par un très juste jugement, à cause de la mesure comble de nos péchés que nous et nos pères auront commis dans le temps de Sa libéralité à nous attendre à la pénitence.


- De même qu'à cette cinquième époque du monde Israël tomba dans l'idolâtrie par le conseil de Jéroboam, et qu'il ne resta que Juda et Benjamin dans le culte du vrai Dieu ; ainsi, dans le cinquième âge, une très grande partie de l'Eglise latine abandonna la vraie foi et tomba dans les hérésies, ne laissant en Europe qu'un petit nombre de bons catholiques.

- De même qu'Assur vint de Babylone avec les Chaldéens pour s'emparer de Jérusalem, détruire son temple, incendier la ville, dépouiller le sanctuaire et conduire en captivité le peuple de Dieu, etc. ; ainsi, dans ce cinquième âge, n'avons-nous pas à craindre que les Turcs fassent sous peu irruption, et qu'ils ourdissent des plans sinistres contre l'Eglise latine ; et cela à cause de la mesure comble de nos crimes et de nos abominations les plus grandes

Or, c'est ainsi que, dans ce misérable âge de l'Eglise, on se relâche sur les préceptes divins et humains et que la discipline est énervée ; les saints Canons sont comptés pour rien, et les lois de l'Eglise ne sont pas mieux observées par le clergé que les lois civiles parmi le peuple. De là nous sommes comme des reptiles sur la terre et dans la mer, et comme des oiseaux dans l'air : chacun est entraîné à croire et à faire ce qu'il veut, selon l'instinct de la chair. D'où il suit :

Je connais tes oeuvres.



Par ces paroles Il reproche les oeuvres de ce cinquième âge. Je connais, c'est-à-dire tes oeuvres mauvaises ne Me sont pas cachées, tes oeuvres pleines d'imperfections, tes oeuvres fausses et hypocrites, qui ont le dehors de la piété, et qui n'ont pas la vérité de la charité. Tes oeuvres c'està-dire, ta pompe, ta splendeur et ta sainteté extérieure. Je connais tes oeuvres : je n'ignore pas, Moi qui suis le scrutateur des coeurs, qu'en général tes oeuvres apparaissent bonnes extérieurement, mais, qu'à l'intérieur, elles sont mauvaises et donnent la mort. C'est pour cela qu'Il dit et qu'Il ajoute : Tu as le nom de vivant, mais tu es mort. Or nous pouvons avoir le nom de vivre spirituellement en Jésus-Christ,



principe de vie, en trois manières :



1°) Par la foi en Jésus-Christ, et c'est de là que nous portons le nom de Chrétiens ;



2°) Par les oeuvres de justice et de charité en Jésus-Christ, de la vie duquel vit quiconque n'est pas en état de péché mortel, et se trouve dans la grâce de Dieu ;



3°) Par l'observance des conseils évangéliques, par les ordres sacrés de l'épiscopat, du sacerdoce, etc.; Par les voeux que l'on fait en se dévouant spécialement à la vie religieuse, en abandonnant les pompes, les richesses et les plaisirs du siècle, et en se consacrant à Dieu seul et à son Christ.

Or, Jésus-Christ reproche surtout au cinquième âge d'être entaché du vice particulier de s'attribuer faussement le nom de vivre en Lui, tandis qu'on vit tout autrement. Ceci se prouve par induction :

1. Tous les hérétiques qui, dans le cinquième âge, sont à peu près aussi nombreux que les sauterelles sur la terres se glorifient du nom du Christ ; ils disent être de vrais chrétiens et vivre en Jésus-Christ, et cependant tous sont morts et mourront éternellement, s'ils ne font pénitence et s'ils ne rentrent en eux-mêmes. Ils n'ont Dieu et son Fils Jésus que sur les lèvres, tandis qu'ils ont le démon dans le coeur et le monde sur les bras.


2. Combien de milliers de chrétiens refroidis dans ce siècle de calamité, qui, ne considérant que l'heureux succès obtenu en toutes choses par les hérétiques, et observant malignement les moeurs des ecclésiastiques et leur manière d'être, conservent à la vérité le nom de catholiques, à cause d'une certaine crainte et du respect humain, mais qui sont morts intérieurement dans l'athéisme et l'indifférentisme, dans le calvinisme et le pseudopoliticisme et dans leur haine contre les prêtres ? Ils ont le nom de vivants, parce qu'ils feignent la piété ; ils font semblant d'avoir de la religion, ils se donnent comme des gens consciencieux en communiquant avec les catholiques et confessant d'appartenir à la vraie foi, en présence des princes et des grands. Et même ils se laissent employer dans les oeuvres pies et les favorisent ; ils voient les religieux et les fréquentent, ils font ostentation de zèle dans leurs paroles, par leurs conseils, et même par un certain zèle extérieur pour la construction des monastères et des collèges, par exemple ; mais ils font tout cela pour avoir le nom d'êtres vivants, et pour se mettre en faveur auprès des hommes et des grands. Ils cherchent à gagner la confiance du monde par cette apparence de piété et de religion, pour pouvoir ensuite réussir avec plus de facilité dans leurs trames et dans leurs projets obscurs.

Le sens de ces paroles est donc :


* Tu as le nom de vivant, mais tu es mort dans la fausse doctrine ;



* Tu es mort dans l'athéisme et le pseudopoliticisme ;



* Tu es mort dans l'hypocrisie et la justice simulée ;



* Tu es mort dans tes péchés occultes, dans le secret de tes abominations ;



* Tu es mort dans les voluptés et les délices ;



* Tu es mort dans l'effronterie, la jalousie et l'orgueil ;



* Tu es mort dans les péchés de la chair, dans l'ignorance des mystères et des choses nécessaires au salut ;


* Tu es mort enfin dans l'irréligion et le mépris de la parole de Dieu ; car toute charité, qui est la seule et véritable vie en Jésus-Christ, s'est refroidie en toi.

VERS. 3, 3. Souviens-toi donc de ce que tu as reçu et de ce que tu as entendu, et garde-le, et fais pénitence. Si donc tu ne veilles pas, je viendrai à toi comme un voleur, sans que tu aies su à quelle heure je viendrai à toi.




MichelT

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Marie-Thérèse Urvoy et Hartch Bedrossian ont révélé l'islam sans langue de bois ni compromis. Empty Re: Marie-Thérèse Urvoy et Hartch Bedrossian ont révélé l'islam sans langue de bois ni compromis.

Message par MichelT Sam 22 Jan 2011 - 3:46

Apocalypse 33.1

Écris à l'ange de l'Église de Sardes: Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles: Je connais tes oeuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort.
3.2
Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir; car je n'ai pas trouvé tes oeuvres parfaites devant mon Dieu. 3.3

Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. 3.4

Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes. 3.5

Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges.
3.6
Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises!

MichelT

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Message par admin2 Sam 22 Jan 2011 - 20:59

Le problème du double langage des musulmans est important aussi dans le mouvement d'occidentalisation de l'islam. Ainsi Tarik Ramadan qui, pour les journalistes, sait jouer les modérés tandis que dans sa communauté « frère Tarik » peut être très extrême. Aujourd'hui nous sommes confrontés à une ré-islamisation de la jeune génération : celle-ci consiste à un retour à la nourriture hallal, au voile, et plus grave une volonté d'un traitement différentiel, particulièrement pour les cours au lycée (demande de dispense pour le sport, la science naturelle mais aussi l'histoire car ils ont la leur...). Enfin, il faut noter qu'il n'y a pas de différence de nature entre les islams dit modéré ou extrémiste, y compris avec le soufisme.


C'est pourquoi Erdogan disait « il n'y a pas de modérés et de violents, il y a l'islam ». Il y a seulement des différences de méthode entre les musulmans qui tablent sur la conquête législative donc pacifique et ceux qui désirent la même fin par la violence.

Comment batir une communauté de paix avec une personne qui veut profondément te changer .....et refuse le dialogue.

Le cinquième âge de l'Eglise commenca sous l'empereur Charles-Quint et le pape Léon X, vers l'an 1520, il durera jusquau Pontife saint et au Monarque puissant qui viendra dans notre âge et sera appelé le secours de Dieu c'est-à-dire rétablissant toutes choses. Le cinquième âge est un âge d'afflixion, de désolation.

C'est notre temps jusqu'a la venue de ces grands hommes.
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