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La patrie menacée

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Message par MichelT Lun 28 Mar 2011 - 3:09

La patrie menacée

Date de mise en ligne : 8 décembre 2006

Paradoxe étonnant, les Français ont à la fois le dédain et l’ignorance de leur patrie et un profond besoin d’enracinement et de reconnaissance de leur identité commune. Preuve que la vision idéologique de la patrie qui prédomine depuis la Révolution ne peut balayer l’amour naturel que tout un chacun porte à sa terre natale.

Extrait du Permanences n° 395

Dans le désordre des idées qui est à la racine des convulsions actuelles du monde, il semble que l’une des notions les plus maltraitées, et qui éveille pourtant l’intérêt le plus aigu, soit celle de patrie" [1]. La patrie se trouve considérée, au mieux, comme tout juste défendable, mais aux conditions qu’il peut convenir à chacun de poser.Daniel Rops s’était demandé si, dans ce domaine, une grande partie de nos malheurs n’avait pas sa cause dans une synthèse abusive, une confusion entre patrie, nation, et état [2]. On notera, en effet, un emploi indifférencié de ces trois termes dans les nombreuses citations qui illustrent le rapide tableau que nous voulons dresser des menaces qui pèsent aujourd’hui sur la patrie.

La perception de la patrie aujourd’hui

L’indifférence ou le mépris

Il n’est pas nécessaire d’insister sur les propos outranciers, haineux ou provocateurs de quelques personnages ou groupuscules. Nous ne reprendrons pas ici, par exemple, les paroles odieuses des groupes de rap français tels que Sniper [3]. Que dire également des chansons d’un Renaud, qu’il s’agisse d’Hexagone (cf encart) ou du duo avec Axelle Red (Manhattan-Kaboul) qui caracole actuellement en tête des hit-parades [4] et bannit "les dieux, les religions, les patries, les nations". Tout cela relève d’une anarchie qui n’est nouvelle que par les moyens d’expression dont elle dispose, n’en participant que davantage à la dévalorisation générale de la patrie. Un sondage CSA/La Croix de janvier-février 1997 révèle que seuls 25% des jeunes seraient prêts à se mobiliser pour la défense de leur pays, tandis qu’une enquête réalisée par l’IFOP en 1999 auprès des 16-25 ans nous apprend qu’ils ne sont que 36% à se considérer comme Français avant tout, 21% se présentant comme "européens", et 21% également comme "citoyens du monde".

Plus graves sont les déclarations de ceux qui s’affichent en tant que responsables politiques, à l’instar de Mme Voynet qui n’hésite pas à avouer : "Je n’ai jamais été ce que l’on appelle une patriote, je ne ressens pas de fierté nationale, je n’ai jamais eu conscience d’appartenir à une communauté" [5]. Elle n’est malheureusement pas seule à tenir ce triste langage (cf. encarts p.11).

Les méfaits du dénigrement de notre passé

Il est vrai qu’on voit mal comment les Français pourraient s’attacher à un pays qu’on leur présente incessamment sous son jour le plus sombre."De flagellations en repentances, pourquoi travailler dans une nation suicidaire ?". C’est la question que posait Bernard Debré, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin, ancien député et ancien ministre, dans Valeurs Actuelles [6], soulignant que cette remise en cause permanente du passé rend impossible la concorde civile, alors que la patrie doit être ce qui unit. De son côté, Pierre André Taguieff [7], directeur de recherche au CNRS, appelle à "reconsidérer notre rapport au passé" : "Nous obéissons à une forte pulsion de repentance permanente alors que l’Histoire n’est pas simplement le musée de nos horreurs : elle propose aussi et surtout un certain nombre d’exemples de vies réussies (...)". Même son de cloche chez l’historien Max Gallo, pour qui "la première des valeurs qui fonde notre société, c’est le patriotisme" [8] : "l’histoire [de France] doit être défendue, car elle est loin d’être toute noire, comme tentent de nous le faire croire les médias de masse en entretenant un climat de repentance. L’Histoire ne doit pas être un instrument politique. (...) On ne pourra éviter l’éclatement de la France (...) qu’à une seule condition : écrire une histoire complète et honnête".

Hélas, nous sommes assaillis de lamentations scandalisées de la part de maso-intellectuels, confortablement installés. On se souvient du fameux pamphlet de Bernard-Henri Lévy,L’Idéologie Française(1981) fustigeant l’enracinement et l’amour de la patrie charnelle :"Oui, je sais maintenant que la France, la France de ma culture, la France de ma mémoire, est aussi une France noire. Je sais son visage d’ordure, la ménagerie de monstres qui y habitent (...)" [9]. On pourrait multiplier les exemples de films mensongers et outrageants pour notre passé [10], ou d’erreurs et de sophismes qui remplissent les manuels d’histoire, concernant par exemple la vie sous l’Ancien Régime, l’histoire coloniale ou la conduite des Français dans les années 40 [11]. Il faut enseigner la France aux Français.

La culpabilisation est aujourd’hui telle que l’on n’ose plus parler de la France : on parle de "l’hexagone", "espace" de liberté. Mais une figure géométrique n’a ni passé ni avenir, ni destin ni voix. "On peut vivre et mourir pour la France, écrit Paul Guth [12], mais pas pour un polygone !".

La confusion entre la patrie et la République

Quand messieurs Pasqua ou Chevènement évoquent la patrie, c’est pour parler, en fait, de la République. Pour M. Seguin,"la France est avant tout un idéal qui se décline dans la magnifique devise de la République (...). Grâce à celle-ci, la nation repose sur un contrat permanent qui lie les Français entre eux, qui relie les générations entre elles" [13].Dans une conférence à la Sorbonne [14], l’historienne Mona Ozouf, souligne qu’aujourd’hui l’adjectif "républicain" est partout : valeurs républicaines, front républicain, mariage voire baptême et parrainage républicains... Comme si la République constituait l’héritage commun de la nation, alors même que les hérauts de ces discours refusent la notion d’héritage : leur credo est que la République n’a pas d’âge, qu’ils sont des enfants sans mère, capables de reconstruire intégralement tout l’ordre social et politique.Lionel Jospin pousse encore plus loin l’abstraction, lorsqu’il répète à l’occasion de la dernière campagne présidentielle :"la France m’habite". Le journaliste Serge Raffy [15] relève que cette antienne est pathétique car elle signifie le contraire de ce que le candidat prétendait faire passer. Elle dit qu’au fond Jospin n’a jamais habité la France mais une idée de la France. Il n’habitait pas la France mais une planète nommée Matignon.

Les menaces pesant sur la patrie

De l’Etat-nation au régionalisme

"Une nation parvenue à la vie politique et à la voix dans le concert du monde grâce à un Etat raisonnable et stable n’est pas seulement un fait mais un bienfait" [16]. La nation, la patrie, et l’Etat coïncident alors organiquement. Cela se produit à la suite d’une longue élaboration, où sous le regard de la Providence, la nature, les hommes et le temps ont chacun leur part. La France est l’une de ces remarquables réussites.

Mais un parti pris idéologique prétend faire coïncider "à tout prix" nation et Etat aux dépens des patries et des Etats historiques. On a là un parfait exemple de la confusion évoquée par Daniel-Rops : le patriotisme, se coupant de ses origines, se mue en une fidélité à l’Etat, lui-même confondu avec la nation. L’idéologie "nationalitaire", héritée du nationalisme jacobin, est fauteur de troubles et de guerres ; elle conduit à la dislocation d’Etats très anciens, riches de mérites et de services, comme l’ancienne Autriche-Hongrie, ou à la conquête d’Etats voisins revendiqués en raison d’une communauté linguistique, ou raciale, vraie ou prétendue (cas du pangermanisme, du panslavisme...).

Le principe des nationalités, c’est-à-dire le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, considéré comme un absolu est un principe évident d’anarchie et de subversion générales. La moindre tribu des tropiques revendique son Etat-Nation et sa délégation à l’ONU, avec le soutien du camp progressiste."En fait, affirme le philosophe André Glucksmann, il n’est pas de plus grande force de régression que ces exclusivismes nationalitaires qui balkanisent la planète" [17]. Le développement de nationalismes agressifs dans les Balkans fit largement le lit de la seconde guerre mondiale. L’oubli du bien commun, national et international, est une des caractéristiques principales du monde moderne.

Cette perte du sens d’un destin commun se retrouve dans le régionalisme, tel qu’on l’observe en France. Yvonne Flour, lors d’un congrès de Lausanne [18], soulignait qu’un étonnant paradoxe dominait l’actualité politique de certains pays. Le respect des diversités provinciales, objectif fondé sur un attachement louable aux "petites patries" - il part de la terre natale, souvent malmené par un centralisme jacobin, ignorant le principe de subsidiarité, a été détourné pour alimenter un courant politique subversif, lui-même néo-jacobin."Pour moi, le théâtre est une arme, affirme un basque. C’est comme ça que je comprends Sartre quand il dit que parler basque c’est déjà révolutionnaire" [19].La juste revendication d’une décentralisation organique et d’une sauvegarde des cultures particulières des provinces a fait place à une exigence d’autonomie politique, conduite sous la bannière de "fronts de libération". C’est assez dire que ce combat épouse la dialectique marxiste en créant une "conscience de classe régionaliste", droguée par l’appel à une nouvelle "solidarité".

La réplique a été donnée par un célèbre félibre, "Français parce que Provençal". Provençal, par la nature des choses, Mistral savait que l’embellissement et l’avenir de sa Provence exigeait qu’il restât uni à cet ordre plus haut et plus universel : la France. Mais peut-il y avoir une unité politique sans unité spirituelle ? Face au risque de désintégration, la démocratie est-elle bien armée ?

L’immigration massive

Les récents événements liés au droit d’asile ont fait apparaître que "pour une frange importante de l’opinion, ce droit est un droit de l’homme, parce que la Terre est un seul pays et parce que la nation elle même est un ensemble de services et rien d’autre. Elle n’est plus une communauté culturelle et politique mais une batterie de facilités et de convenances. Elle est un instrument qui prend place dans le dispositif de l’ustensibilité universelle"(Alain Finkielkraut, professeur à l’Ecole Polytechnique) [20].Par ailleurs, la politique française d’intégration et non d’assimilation"accepte la subsistance de spécificités culturelles, sociales et morales, tenant pour vrai que l’ensemble s’enrichit de cette variété, de cette complexité" [21]. Comment parler d’enrichissement et d’unité si ces apports ne peuvent se fondre dans le creuset de nos traditions ?Enfin, une telle politique ne peut qu’évoluer vers une politique d’insertion qui implante dans notre société un groupe de population sur une base non plus individuelle mais communautaire. Les efforts successifs des derniers ministres de l’Intérieur pour la constitution d’une communauté musulmane organisée ne comportent-ils pas le risque d’un éclatement de la France ? Ainsi que le souligne Alain Besançon, en 1997,"le pluriculturalisme, comme dit la "masse révolutionnaire" ou plutôt ses mentors, porte à terme la destruction de tout ce qu’elle déteste. Le pouvoir spirituel qu’elle exerce à travers les médias sidère toute opposition sous l’accusation infamante de racisme".

Le cosmopolitisme

"Dès qu’il entend le mot nation, identité nationale,(...) l’intellectuel standard contemporain sort son revolver à balles cosmopolites, internationalistes ou post-nationalistes", écrit Pierre André Taguieff [22]. On pourrait citer ici nombre d’articles de la revue Globe, revue très prisée par l’intelligentsia parisienne, aujourd’hui disparue (voir encart p.11), où, notamment, Pierre Bergé, ancien PDG d’Yves Saint Laurent, président des Opéras de Paris ? exprime le dégoût que lui inspirent les mots comme ordre, morale, famille et surtout patrie : "Patrie, c’est le plus dangereux. Nous sommes quelques-uns à ne plus nous reconnaître très bien dans cet hexagone égoïste et à penser que la patrie a fait depuis longtemps éclater les frontières" [23]. On pourrait citer également Bernard-Henri Lévy et son plaidoyer pour un "cosmopolitisme radical qui reste à réinventer contre toutes les illusions communautaires", dans son livre Le testament de Dieu (1979). Constatant que certains catholiques ressentaient quelque scrupule à parler de patrie à une époque où tous les horizons semblent s’élargir, Mgr Blanchet, alors recteur de l’Institut catholique, mettait en garde ses étudiants [24] :"On peut être touché de ces idées claires et simples, trop claires et trop simples pour n’être pas superficielles ; on peut être pris de vertige à l’idée de cet écoulement dans le temps qui ne laisserait subsister aucune idée stable, aucune idée cohérente ; on peut être ému par cette anarchie sentimentale, trop molle d’ailleurs, trop inconsistante pour être vraiment généreuse. Mais notre catholicisme n’est ni cet idéalisme sans chair ni cette effusion sans précises exigences".

Gustave Thibon remet chaque chose à sa place disant :"C’est à travers les patries dépassées, certes, mais traversées, que le christianisme (cette divine forme de l’universel) a fleuri sous des formes si diverses, si originales"(Conférence au CEPEC, 30 mars 1960). Jules Michelet le disait avant lui : "Plus l’homme (...) entre dans le génie de sa patrie, mieux il concourt à l’harmonie du globe ; il apprend à connaître cette patrie, et dans sa valeur propre, et dans sa valeur relative, comme une note du grand concert ; il s’y associe par elle ; en elle il aime le monde. La patrie est l’initiation nécessaire à l’universelle patrie" [25]. Et sans doute n’est-il pas anodin de retrouver cette idée chez quelques intellectuels contemporains peu suspects d’appartenir au camp "réactionnaire" [26].

Le mondialisme

Les expressions de citoyen du monde, de village planétaire, de Terre-Patrie [27], de monde global, sont utilisées aujourd’hui par des manipulateurs souvent franc-maçons ou des officines mondialistes. Celles-ci prennent prétexte de problèmes dépassant les frontières (le climat, pour les écologistes [28], par exemple) pour imposer "un projet sans précédent d’un impérialisme délirant" [29].On connaît les déclarations de membres de la Trilatérale telles que :"la structure qui doit sauter, c’est la nation" [30]. En effet, la nation détruite, il ne reste plus que des groupuscules manipulables, des apatrides encasernés.

Jacques Attali [31], ancien conseiller de François Mitterrand, attribue aux domaines de compétence mondiale la capacité d’inventer une démocratie sans frontières et présente le droit d’ingérence comme l’embryon de cette démocratie : on s’occupe, dit-il, des Kurdes comme s’ils étaient Lorrains. Pour le monde à venir, il propose alors d’accepter le nomadisme [32] comme une valeur et de cesser de vouloir enraciner. C’est oublier que l’on ne joue pas avec les peuples qui ont une culture et une histoire comme on joue avec des éprouvettes dans un laboratoire."Rien ne coûte plus cher que le dédain des origines" [33], reconnaît Régis Debray, ancien révolutionnaire proche de Fidel Castro et Che Guevara.

Après une description des menaces, il faudrait développer les manifestations positives de défense de notre patrie ; ce n’était pas notre sujet. Il faudrait également suggérer des remèdes. Celui que préconisait la philosophe Simone Weil [34] était de "donner aux Français quelque chose à aimer et leur donner d’abord à aimer la France". Cela ne commence-t-il pas par la restauration de lieux de rencontre et d’enracinement humain ?"Il s’agit de recréer des relations humaines dans les villages, les quartiers, les provinces. Alors la patrie se restaurera d’elle même à travers les petites patries locales et provinciales qui la constituent" [35].

[1] .M.M. Martin, Histoire de l’unité française, Gallimard, 1948.

[2] .DanielRops, Nations ou fédéralisme (ouvrage collectif) ? DATE ? 2DITION ? Nous entendons par patrie l’héritage au sens le plus étendu du terme, par nation la communauté des héritiers et par Etat la société organisée politiquement.

[3] .Notamment dans l’album Du rire aux larmes (19XX) où il est répété comme un leitmotive que la France est une ...

[4] .Album Boucan d’enfer(2002).

[5] .Spectacle du monde, août 1997.

[6] .5 octobre 2001.

[7] .Figaro Magazine, 8 juillet 2000.

[8] . Figaro, 3 novembre 2001.

[9] .Notons que BHL est la figure-type du défenseur d’une patrie idéologique : "Il y a deux nations, la charnelle, la substantielle, celle dont on hérite, celle de Péguy et de Barrès, qui n’a cessé d’engendrer la bêtise naturelle et fasciste ; et puis, il y a l’autre, la nation antilyrique, abstraite, sans couleur, sans odeur, celle de tous les hommes, la mienne" (Patrie et nation sont ici confondues).

[10] .A titre d’exemples : Le bâtard de Dieu de C.Fechner (1993), qui se livre "à un inventaire de tous les supplices, crimes, terreurs, abjections et profanations supposés en usage dans une France et une époque abominable (le Grand siècle)" nous dit Valeurs actuelles (20 septembre 1993) ; La reine Margot de P.Chéreau (1994) qui "est, au fond, l’histoire d’une famille monstrueuse, les Valois"(Spectacle du monde, mai 1994), Saint-Cyr de P.Masuy (1999) qui présente Mme de Maintenon comme une fanatique névrosée, Vatel de R.Joffé (2000) consacré au maître d’hôtel du prince de Condé, dont le scénario "additionne les clichés idéologiques que l’on croyait dépassés depuis les travaux de Bluche, Pillorget et Bercé sur le siècle de Louis XIV" (France catholique, 26 mai 2000).

[11] .Voir à ce sujet Permanences 382, juin 2001, p.27-29.

[12] .Lettre à votre fils qui en a ras le bol, LGF, 1978.

[13] Le Monde, 18 juillet 1995.

[14] .Rapportée par Le Monde, 19 juin 1998.

[15] .Le Monde, 19 avril 2002.

[16] .G.P. Wagner, Présent, 2 août 1990.

[17] .Dans la revue Causa, liée à la secte Moon.

[18] .Congrès de 1974, sur le thème Pluralisme et unité.

[19] .Cité par Michel de Penfentenyo dans le n°17 du SICLER. Voir également Permanences 103, octobre 1973.

[20] .Politique internationale n°55, printemps 1992.

[21] .Premier rapport du Haut Conseil à l’Intégration (1991).

[22] .Marianne, 30 juin-6 juillet 1997.

[23] .Décembre 1986.

[24] .Mgr Blanchet, discours de rentrée, 5 novembre 1956.

[25] .Le peuple, 1846.

[26] .A l’instar de Sylvie Leliepvre-Botton, qui souligne dans Droit du sol, droit du sang (Ellipses, 1996) qu’il est vain d’espérer "faire l’économie du patriotisme en passant d’emblée de l’amour de soi à l’amour du genre humain".

[27] .Titre d’un ouvrage d’Edgard Morin et Anne-Brigitte Kern, Le Seuil, 1993.

[28] .Voir le livre de Pascal Bernardin, l’Empire écologique, ou la subversion de l’écologie par le mondialisme, éd. Notre-Dame des Grâces, 1998.

[29] .Mgr Schooyans, L’Evangile face au désordre mondial, Fayard, 1997.

[30] .E. de Rothschild, cité par ’Entreprises’, 18 juillet 1970.

[31] .Globe, avril-mai 1992.

[32] .Philippe de Villiers a combattu cette thèse de l’homme nomade dans La chienne qui miaule, Albin Michel, 1989.

[33] .Dans la revue Causa (novembre-décembre 1985).Debray reconnaît "avoir abandonné la foi marxiste-révolutionnaire dans l’unité cosmopolite et rationnelle des opprimés, au fur et à mesure qu’[il] découvrait le roc national (...)" (Cité dans Valeurs actuelles, 22 juin 1996).

[34] .Simone Weil, l’Enracinement (1949).

[35] .Michel de Penfentenyo, dans la revue du SICLER.
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MichelT

Date d'inscription : 06/02/2010

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Message par Francesco Lun 28 Mar 2011 - 23:43

Texte tres intéressant.


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