Canada : la liberté académique menacée dans les facultés d'études islamiques
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Canada : la liberté académique menacée dans les facultés d'études islamiques
Canada : la liberté académique menacée dans les facultés d'études islamiques
Barbara Kay signe un article fouillé dans Campus Watch sur les dons aux universités du Canada et des États-Unis par des groupes liés à l'islam radical. Elle souligne le manque stupéfiant d'examen diligent du dossier des donateurs. Des groupes radicaux colonisent les universités - devenues des lieux de propagande et d'apologie plutôt que de haut savoir - et blanchissent leur réputation en associant leur nom à des institutions prestigieuses.
Je reprends un extrait de son article dans lequel elle cite le témoignage d'Andrew Bieszad, un catholique ayant obtenu une maîtrise en études islamiques du Hartford Seminary au Connecticut. Plusieurs professeurs de cette institution approuvent les vues islamistes, dont Ingrid Mattson, l'ancienne présidente de l'Islamic Society of North America (ISNA), un groupe de façade des Frères musulmans.
[...] Voici, à titre d’exemple, le compte-rendu de Bieszad de ce qui s'est passé pendant un cours sur le « dialogue interreligieux » :
J'avais déjà participé à des dialogues interreligieux auparavant, alors ce n'était pas une nouvelle expérience pour moi. La classe a été séparée en groupes pour le dialogue, et lorsque j’ai eu la permission de parler, j’ai dit : « Je suis catholique et je ne crois pas à l'islam ». L’une des étudiantes musulmanes a pris la parle après moi. Elle a dit qu’elle était musulmane, puis elle s’est adressée directement à moi. Parlant d’une voix douce avec un accent arabe, elle m'a dit : « tu es un infidèle car tu n’acceptes pas l’islam », ajoutant que « selon l’islam, tu ne mérites pas de vivre ». Une autre étudiante musulmane a chaleureusement exprimé son accord avec ces propos, et après les avoir répétés, elle a ajouté que «dans l'islam, le coran et la tradition du prophète sont très clairs à ce sujet», et « tu mérites de mourir ».
C’est l’une des nombreuses insultes et déclarations menaçantes que j'ai reçues de mes camarades de classe musulmans pour avoir exprimé ouvertement mon désaccord avec l’islam.
Aucun étudiant, musulman ou non musulman, n’a défendu le droit de Bieszad d'exprimer son opinion sans intimidation ou censure. En classe,
les étudiants non-musulmans et même les professeurs montraient un respect disproportionné envers les étudiants musulmans qui parlaient de l’islam, ils s’abstenaient de critiquer certains sujets, et ils s’excusaient même de poser des questions. Par contre, les étudiants musulmans étaient libres de parler de façon critique et même avec condescendance du christianisme, sans aucune objection de leurs camarades de classe et des professeurs.
De la littérature islamique prosélyte était gratuitement offerte aux étudiants, mais quand Bieszad s’est enquis de la possibilité de distribuer de la littérature chrétienne, on lui a répondu que ce serait « offensant pour les musulmans ». Il s’agit de quelques exemples parmi les nombreux crimes contre le principe de la liberté académique que les universités sont censées défendre. Une lecture complète de l’expérience de Bieszad dans ce bordel scholastique – je ne sais pas si kafkaesque ou orwellien décrit le mieux son expérience – provoquera un frisson anxieux d’incrédulité chez tout penseur critique qui se respecte.
Les problèmes de Bieszad se sont aggravés après qu’il a envoyé un e-mail privé à un ami blogueur dans lequel il a mentionné le nom d’un de ses professeurs, Ingrid Mattson, (alors) présidente de la Société islamique d'Amérique du Nord (ISNA). Son message s’inscrivait dans le contexte des nouvelles concernant Mattson, ISNA, et « leur inculpation pour des délits liés au terrorisme ». Le blogueur a publié le e-mail, et Bieszbad a été essentiellement excommunié. Il a finalement obtenu son diplôme en recourant à la proverbiale débrouillardise.
Bieszad conclut ainsi : « La plus grande menace pour les études islamiques aujourd'hui, si cette discipline se conforme aux principes islamiques, est la disparition de la liberté intellectuelle qui caractérise l'approche académique occidentale. » [...]
Source : The Dumbing-Down of Due Diligence at Canada's Huron College, par Barbara Kay, Campus Watch, 11 mai 2011. Traduction partielle par Poste de veille
Barbara Kay signe un article fouillé dans Campus Watch sur les dons aux universités du Canada et des États-Unis par des groupes liés à l'islam radical. Elle souligne le manque stupéfiant d'examen diligent du dossier des donateurs. Des groupes radicaux colonisent les universités - devenues des lieux de propagande et d'apologie plutôt que de haut savoir - et blanchissent leur réputation en associant leur nom à des institutions prestigieuses.
Je reprends un extrait de son article dans lequel elle cite le témoignage d'Andrew Bieszad, un catholique ayant obtenu une maîtrise en études islamiques du Hartford Seminary au Connecticut. Plusieurs professeurs de cette institution approuvent les vues islamistes, dont Ingrid Mattson, l'ancienne présidente de l'Islamic Society of North America (ISNA), un groupe de façade des Frères musulmans.
[...] Voici, à titre d’exemple, le compte-rendu de Bieszad de ce qui s'est passé pendant un cours sur le « dialogue interreligieux » :
J'avais déjà participé à des dialogues interreligieux auparavant, alors ce n'était pas une nouvelle expérience pour moi. La classe a été séparée en groupes pour le dialogue, et lorsque j’ai eu la permission de parler, j’ai dit : « Je suis catholique et je ne crois pas à l'islam ». L’une des étudiantes musulmanes a pris la parle après moi. Elle a dit qu’elle était musulmane, puis elle s’est adressée directement à moi. Parlant d’une voix douce avec un accent arabe, elle m'a dit : « tu es un infidèle car tu n’acceptes pas l’islam », ajoutant que « selon l’islam, tu ne mérites pas de vivre ». Une autre étudiante musulmane a chaleureusement exprimé son accord avec ces propos, et après les avoir répétés, elle a ajouté que «dans l'islam, le coran et la tradition du prophète sont très clairs à ce sujet», et « tu mérites de mourir ».
C’est l’une des nombreuses insultes et déclarations menaçantes que j'ai reçues de mes camarades de classe musulmans pour avoir exprimé ouvertement mon désaccord avec l’islam.
Aucun étudiant, musulman ou non musulman, n’a défendu le droit de Bieszad d'exprimer son opinion sans intimidation ou censure. En classe,
les étudiants non-musulmans et même les professeurs montraient un respect disproportionné envers les étudiants musulmans qui parlaient de l’islam, ils s’abstenaient de critiquer certains sujets, et ils s’excusaient même de poser des questions. Par contre, les étudiants musulmans étaient libres de parler de façon critique et même avec condescendance du christianisme, sans aucune objection de leurs camarades de classe et des professeurs.
De la littérature islamique prosélyte était gratuitement offerte aux étudiants, mais quand Bieszad s’est enquis de la possibilité de distribuer de la littérature chrétienne, on lui a répondu que ce serait « offensant pour les musulmans ». Il s’agit de quelques exemples parmi les nombreux crimes contre le principe de la liberté académique que les universités sont censées défendre. Une lecture complète de l’expérience de Bieszad dans ce bordel scholastique – je ne sais pas si kafkaesque ou orwellien décrit le mieux son expérience – provoquera un frisson anxieux d’incrédulité chez tout penseur critique qui se respecte.
Les problèmes de Bieszad se sont aggravés après qu’il a envoyé un e-mail privé à un ami blogueur dans lequel il a mentionné le nom d’un de ses professeurs, Ingrid Mattson, (alors) présidente de la Société islamique d'Amérique du Nord (ISNA). Son message s’inscrivait dans le contexte des nouvelles concernant Mattson, ISNA, et « leur inculpation pour des délits liés au terrorisme ». Le blogueur a publié le e-mail, et Bieszbad a été essentiellement excommunié. Il a finalement obtenu son diplôme en recourant à la proverbiale débrouillardise.
Bieszad conclut ainsi : « La plus grande menace pour les études islamiques aujourd'hui, si cette discipline se conforme aux principes islamiques, est la disparition de la liberté intellectuelle qui caractérise l'approche académique occidentale. » [...]
Source : The Dumbing-Down of Due Diligence at Canada's Huron College, par Barbara Kay, Campus Watch, 11 mai 2011. Traduction partielle par Poste de veille
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Canada : la liberté académique menacée dans les facultés d'études islamiques
Les universités étant sous le contrôle de Franc-Maçon antiChrist, il est bien normal qu'ils s’accoquinent avec d'autres antiChrist que sont les musulmans. Tous unis pour combattre le seul Dieu.
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