Quand l’Eglise rachetait les esclaves chrétiens à leurs maitres musulmans
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Quand l’Eglise rachetait les esclaves chrétiens à leurs maitres musulmans
Quand l’Eglise rachetait les esclaves chrétiens à leurs maitres musulmans
Non pas que nous soyons tournés vers le passé, adepte de la pleurniche et que nous réclamions repentance et réparation pour tout et n’importe quoi (pourquoi pas aux Anglais pour nous avoir envahi à plusieurs reprises), il parait néanmoins intéressant de s’arrêter sur un pan de l’histoire qui n’intéresse pas SOS Racisme, la LICRA et la Ligue des Droits de l’Homme: l’esclavage des européens dans les Barbaresques.
Barbaresque, le nom donné à ces gens là peut faire sourire. Cela désigne en réalité le Maghreb sous domination ottomane et dont l’activité principale n’était pas l’agriculture, la production de bien et le travail au sens noble, mais plutôt la piraterie et la mise en esclavage des captifs, pratique également appelée razzia. Parce que dire que l’Occident chrétien à la haine contre l’Islam et les musulmans, c’est tellement une évidence qu’il n’est plus nécessaire de le rappeler (sic), pourtant on entend nulle part que la haine de la Chrétienté dans le monde musulman est un leitmotiv à travers les siècles. Avec l’intérêt purement matériel que constituait ces razzias (moins cher encore à organiser que le commerce d’esclave en tant que tel), nous avions là une activité au centre de la vie économique et sociale de cette région.
A-t-on déjà entendu dans l’histoire des Chrétiens qui se rendaient en terre d’Islam uniquement pour piller et réduire en esclavage les musulmans en les ramenant en Europe? A-t-on déjà entendu que des Emirs ou le Calife aient constitué des fonds pour racheter des captifs musulmans aux mains des européens? Non, bien entendu. En revanche, l’inverse à bel et bien existé.
Les ordres rédempteurs, quand l’Eglise catholique s’organise pour délivrer les captifs chrétiens de leur maitres musulmans
Voilà quelque chose que les forces progressistes des Droits de l’Homme n’ont pas pu faire oublier: les ordres rédempteurs.
L’ordre des Trinitaires est fondé en 1194 par des Français. Le symbole des Trinitaires est une mosaïque datant de 1210 qui représente Jésus libérant deux captifs, un blanc et un noir. Un second ordre sera créé par des Espagnols qui à l’époque était déjà en pleine guerre contre l’occupant musulman pour récupérer leur terre. Il s’agit de l‘ordre des Mercédaires, et qui permettra le rachat de 80 000 chrétiens.
Au fil du temps c’est mis en place tout un système autour des procédures de rachat auprès des maitres barbaresques. Les européens, par le biais de l’Eglise ou non, devaient rassembler la somme d’argent réclamée puis ensuite l’acheminer jusqu’au sud de la Méditerranée et s’assurer que la transaction pourrait se faire. Nous n’avons que très peu d’élément pour connaitre plus précisément ces procédures, mais nous imaginons qu’une certaine communauté, présente sur les deux rives et disposant d’une pratique assez aiguisée du commerce en tout genre, a su tirer profit de ce système lucratif et non productif.
De la psychologie des renégats
Certains captifs européens étaient contraints de se convertir à l’Islam pour faciliter certaines de leurs tâches et gagner un statut social respectable. Les pirates les plus redoutés furent les renégats, c’est-à-dire les européens converti à l’Islam dans les Barbaresques. Ceux-ci étaient particulièrement sanguinaires et violents, parait-il, et cela fait penser à certains européens qui se convertissent aujourd’hui à l’Islam, souvent bien plus zélés et ardents moudjahidines que leur coreligionnaire ayant baigné dans l’Islam depuis toujours.
source:Ripoublik
Non pas que nous soyons tournés vers le passé, adepte de la pleurniche et que nous réclamions repentance et réparation pour tout et n’importe quoi (pourquoi pas aux Anglais pour nous avoir envahi à plusieurs reprises), il parait néanmoins intéressant de s’arrêter sur un pan de l’histoire qui n’intéresse pas SOS Racisme, la LICRA et la Ligue des Droits de l’Homme: l’esclavage des européens dans les Barbaresques.
Barbaresque, le nom donné à ces gens là peut faire sourire. Cela désigne en réalité le Maghreb sous domination ottomane et dont l’activité principale n’était pas l’agriculture, la production de bien et le travail au sens noble, mais plutôt la piraterie et la mise en esclavage des captifs, pratique également appelée razzia. Parce que dire que l’Occident chrétien à la haine contre l’Islam et les musulmans, c’est tellement une évidence qu’il n’est plus nécessaire de le rappeler (sic), pourtant on entend nulle part que la haine de la Chrétienté dans le monde musulman est un leitmotiv à travers les siècles. Avec l’intérêt purement matériel que constituait ces razzias (moins cher encore à organiser que le commerce d’esclave en tant que tel), nous avions là une activité au centre de la vie économique et sociale de cette région.
A-t-on déjà entendu dans l’histoire des Chrétiens qui se rendaient en terre d’Islam uniquement pour piller et réduire en esclavage les musulmans en les ramenant en Europe? A-t-on déjà entendu que des Emirs ou le Calife aient constitué des fonds pour racheter des captifs musulmans aux mains des européens? Non, bien entendu. En revanche, l’inverse à bel et bien existé.
Les ordres rédempteurs, quand l’Eglise catholique s’organise pour délivrer les captifs chrétiens de leur maitres musulmans
Voilà quelque chose que les forces progressistes des Droits de l’Homme n’ont pas pu faire oublier: les ordres rédempteurs.
L’ordre des Trinitaires est fondé en 1194 par des Français. Le symbole des Trinitaires est une mosaïque datant de 1210 qui représente Jésus libérant deux captifs, un blanc et un noir. Un second ordre sera créé par des Espagnols qui à l’époque était déjà en pleine guerre contre l’occupant musulman pour récupérer leur terre. Il s’agit de l‘ordre des Mercédaires, et qui permettra le rachat de 80 000 chrétiens.
Au fil du temps c’est mis en place tout un système autour des procédures de rachat auprès des maitres barbaresques. Les européens, par le biais de l’Eglise ou non, devaient rassembler la somme d’argent réclamée puis ensuite l’acheminer jusqu’au sud de la Méditerranée et s’assurer que la transaction pourrait se faire. Nous n’avons que très peu d’élément pour connaitre plus précisément ces procédures, mais nous imaginons qu’une certaine communauté, présente sur les deux rives et disposant d’une pratique assez aiguisée du commerce en tout genre, a su tirer profit de ce système lucratif et non productif.
De la psychologie des renégats
Certains captifs européens étaient contraints de se convertir à l’Islam pour faciliter certaines de leurs tâches et gagner un statut social respectable. Les pirates les plus redoutés furent les renégats, c’est-à-dire les européens converti à l’Islam dans les Barbaresques. Ceux-ci étaient particulièrement sanguinaires et violents, parait-il, et cela fait penser à certains européens qui se convertissent aujourd’hui à l’Islam, souvent bien plus zélés et ardents moudjahidines que leur coreligionnaire ayant baigné dans l’Islam depuis toujours.
source:Ripoublik
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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