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L'Islam divise les catholiques....

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Message par admin2 Ven 2 Sep 2011 - 4:33

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Interreligieux

Quand l'islam divise les cathos
Par Jérôme Anciberro

Le dialogue islamo-chrétien doit-il d’abord passer par la confrontation doctrinale ? C’est ce qu’affirment certains catholiques soucieux de marquer leur territoire théologique.
La pression monte au sein de l’Église catholique à moins de six mois de la première réunion à Rome du « Forum catholiques-musulmans ».

Les plus enthousiastes – ou les plus optimistes – se délectent d’avance de disputationes dans la grande tradition médiévale entre théologiens des deux premières religions de la planète en nombre de fidèles.

Le discours de Benoît XVI prononcé à Ratisbonne le 12 septembre 2006, qui a surtout marqué les esprits pour sa malheureuse citation de l’empereur Manuel II Paléologue sur la violence de la religion musulmane, et les réactions qui l’ont suivi, auront eu cette vertu de stimuler les envies de clarification intellectuelle.

L’initiative de la mise en place du Forum fait suite à la lettre de 138 dignitaires et intellectuels musulmans (rejoints depuis par quelques dizaines d’autres) adressée en octobre 2007 aux responsables de toutes les Églises chrétiennes. La missive soulignait la nécessité urgente d’un dialogue théologique au plus haut niveau afin de prévenir les malentendus dans un contexte géopolitique et religieux tendu.

Dans un premier temps, la partie catholique avait un peu traîné les pieds, faisant valoir que les différences doctrinales entre les parties étaient telles qu’un dialogue proprement théologique était difficilement envisageable. Finalement, un accord a fini par être trouvé et l’on parlera bien de doctrine et de théologie à Rome, du 4 au 6 novembre, autour des thèmes de l’amour de Dieu et du prochain, deux sujets qui devraient a priori disposer les esprits à la concorde.

PRUDENCE

Tout semble donc aller pour le mieux dans un monde catholique épris de paix et curieux de rencontres intellectuelles et spirituelles forcément édifiantes. L’heure du dialogue avec l’islam serait enfin venue. Mais tous les catholiques n’entendent pas le mot « dialogue » de la même manière.

« En très gros, vous avez, d’un côté, ceux qui l’envisagent d’abord à partir de ce qui rapproche l’islam et le christianisme, et, de l’autre, ceux qui entendent marquer avant tout les différences existant entre les deux religions avant de s’engager plus loin », explique prudemment le père Christophe Roucou, prêtre de la Mission de France responsable du Service des relations avec l’islam (SRI) de l’épiscopat français.

Les premiers, très présents dans des organismes comme le Groupe d’amitié islamo-chrétien (GAIC) ou, dans un registre plus universitaire, le Groupe de recherches islamo-chrétien (GRIC), mettent volontiers en avant certains passages de la déclaration Nostra Aetate du Concile Vatican II traitant des relations de l’Église avec les religions non-chrétiennes, ou encore le discours de Jean-Paul II aux jeunes musulmans à Casablanca en 1985.

« Nous croyons au même Dieu, le Dieu unique, le Dieu vivant, le Dieu qui crée les mondes et porte ses créatures à leur perfection », avait alors lancé le pape polonais, qui a multiplié les gestes d’ouverture vis-à-vis des autres religions durant les presque vingt-sept années de son pontificat.

Les seconds rappellent que ces textes et ces gestes ne sauraient être compris de façon unilatérale, et s’attardent plus facilement sur d’autres aspects moins reluisants des relations islamo-chrétiennes.

Ces catholiques « différentialistes », portés par l’insistance actuelle de la hiérarchie romaine à réaffirmer l’originalité doctrinale du catholicisme face au relativisme idéologique ambiant, s’appuient également sur certains textes du Magistère. Ils entendent aussi désormais légitimer leur point de vue sur le terrain intellectuel et universitaire.

SUCCÈS ÉDITORIAL


En France, un petit livre, Dieu des chrétiens, Dieu des musulmans (1), paru en janvier dernier aux jeunes éditions de L’œuvre, constitue une arme de choix dans l’offensive différentialiste en cours. L’éditeur, Victor Loupan, regrette de ne pas pouvoir fournir les chiffres de vente exacts, mais annonce une troisième réimpression du titre : « On peut dire qu’il s’agit d’un véritable succès pour un livre traitant de ce type de sujet. Il répondait sans doute à une attente du public », lâche-t-il modestement.

L’auteur, François Jourdan, a longtemps vécu dans des pays musulmans. Il est prêtre (eudiste), délégué du diocèse de Paris pour les relations avec l’islam, et docteur en théologie, en histoire des religions et en anthropologie religieuse. Des compétences volontiers soulignées par ses partisans, dont le mordant préfacier de son livre, le philosophe Rémi Brague, professeur à la Sorbonne, grand connaisseur de la pensée arabe classique, et lui-même l’une des figures les plus en vue d’une intelligentsia catholique de haute volée parfaitement décomplexée (2).

La presse confessionnelle catholique conservatrice (Famille chrétienne, La Nef…) a bien évidemment accueilli l’ouvrage très favorablement. Des critiques médiatiques aussi prescripteurs et idéologiquement marqués qu’Alain Finkielkraut ou Franz-Olivier Giesbert ont également fait l’éloge du livre de François Jourdan dans leurs émissions à la radio ou à la télévision, portant ainsi le débat un peu au-delà des milieux catholiques.

Lorsqu’on l’interroge sur la possible utilisation de son livre par d’autres acteurs peu scrupuleux qui défendraient des idées moyennement humanistes, le père Jourdan botte en touche (« C’est un risque, il fallait le prendre, je l’ai pris »), avant d’admettre avoir dû refuser une invitation de la part de Radio Courtoisie, la voix radiophonique de la droite ultra.

« On ne peut pas dialoguer en vérité si l’on refuse de parler du fond, en matière religieuse comme ailleurs », martèle François Jourdan. « Et le fond, c’est la doctrine », ajoute tout de suite ce bouillant théologien, par ailleurs militant non-violent et membre du Mouvement international pour la réconciliation (MIR).

Son livre s’ouvre sur une première partie tout entière consacrée à relever une trentaine de « perplexités » suscitées par certains lieux communs du dialogue islamo-chrétien, selon lui insuffisamment étayés par les textes fondamentaux et les faits.

Une section finale rassemble quelques citations puisées chez divers auteurs, dont des théologiens et islamologues réputés, caractéristiques de ces « ambiguïtés insoutenables ». Exemple : les chrétiens et les musulmans ont le même Dieu. « C’est à la fois vrai et faux. C’est vrai algébriquement, puisque nous croyons qu’il n’y a qu’un seul Dieu, mais c’est faux parce que la conception qu’ont les chrétiens de ce Dieu, fondée sur la notion d’alliance, n’est pas du tout la même que celle qu’en ont les musulmans », explique le père Jourdan. « Le mot “même” ne signifie pas tout le temps “identique” en français. C’est un mot piégé, ambigu, qu’il faut bannir de notre usage dans le dialogue interreligieux. C’est le même Dieu ET ce n’est pas le même Dieu », conclut-il.

« Quelle découverte ! », réplique Myriam Bouregba, vice-présidente du GAIC, qui a un peu de mal à cacher son agacement : « Est-ce que François Jourdan s’imagine sérieusement que les chrétiens et les musulmans qui se lancent dans le dialogue interreligieux ignorent ce genre de distinction et qu’on a besoin de leur dire que leurs religions sont différentes ? C’est vraiment enfoncer des portes ouvertes ! Dans quel but ? »

JÉSUS OU ESAÜ


Ces distinctions, François Jourdan les étend pourtant à d’autres figures que, naïvement, l’on pensait communes aux deux religions. Ainsi, Abraham, réputé être le père symbolique des croyants des trois monothéismes juif, chrétien et musulman : « Je suis désolé, mon Abraham, celui de la Bible, celui qui reçoit une promesse de salut pour l’humanité par la descendance d’Isaac, n’est pas l’Ibrâhim du Coran qui va à La Mecque et qui reçoit un livre venu du ciel. » Et de lâcher à nouveau la formule-clé du livre : « C’est lui ET ce n’est pas lui. »

Plus retorse, l’explication linguistique et historique que donne le père Jourdan de la distinction entre le nom coranique de Jésus (Îsâ), et le nom utilisé par les arabes chrétiens pour désigner le fils de Marie (Yasû‘) : il en résulte que « ‘Îsâ » serait en fait une transcription d’« Esaü » (le fils d’Isaac) désignant de façon plus générique les chrétiens dans le contexte local de l’époque de Mohammed.

Conclusion ? Aucune, si l’on y réfléchit bien, et le père Jourdan en conviendrait presque : « Cela ne change rien à la vision islamique spécifique du personnage de ‘Îsâ », écrit-il. Avant de plonger : « Mais [cela] oblige à reconnaître que le Coran a changé le nom du Jésus chrétien, ce qui accentue la distance entre les visions islamiques et chrétiennes. On ne peut le cacher. »

Il ne suffit donc pas que le Jésus coranique ne soit pas le fils de Dieu et ne soit pas mort sur la Croix – spécificités effectivement majeures -, il faut aussi que l’étymologie de son nom l’éloigne encore de la figure biblique…

CONFUSION

Garder son calme. C’est la ligne de conduite que s’est fixée Ghaleb Bencheikh, président de la Conférence mondiale des religions pour la paix et présentateur de l’émission « Islam » diffusée sur France 2 parmi les émissions religieuses du dimanche matin.

Cet intellectuel musulman, très en vue dans les milieux du dialogue interreligieux, se permet pourtant d’ironiser :

« Cette façon qu’a le père Jourdan d’opposer les noms coranique et biblique des mêmes personnages contribue paradoxalement à la confusion qu’il prétend combattre. Tout simplement parce qu’elle n’est pas systématique. Mais je ne doute pas que lorsqu’il évoque Jérusalem du point de vue musulman, il utilise systématiquement le nom “Al-Qods”. Je suppose aussi qu’il ne manque pas d’attirer l’attention des anglicans sur la spécificité de leur Dieu par rapport à celui des catholiques puisque la plupart d’entre eux l’appellent “God”. »

Soucieux de ne pas trop prêter le flanc à la critique, le père Jourdan a choisi avec soin les références utilisées dans son livre, citant abondamment ceux qu’il appelle les musulmans « modernisants » : Abdelmajid Charfi, Mohamed Talbi, Malek Chebel, Rachid Benzine, etc.

« Le problème, poursuit Ghaleb Bencheikh, c’est qu’il n’utilise ces auteurs que lorsqu’ils peuvent être utiles à sa thèse, plus qu’il ne les écoute vraiment. Je suis quant à moi surtout frappé par le fait qu’il s’appuie sur des auteurs autrement marqués comme Annie Laurent, Anne-Marie Delcambre, Michèle Tribalat, Chahdortt Djavann, Bernard Lewis… On attendrait presque Robert Redeker ou Oriana Falacci… Plus sérieusement, ses références théologiques islamiques sont très limitées alors même qu’il se place sur le terrain doctrinal. »

DOCTRINE


La doctrine, donc. Selon le père Jourdan, elle serait négligée par les tenants du dialogue islamo-chrétien : « On a peur de se coltiner les questions de fond, on en reste à la surface. La doctrine disparaît derrière des discours sympathiques mais confus et marqués par l’affectivité. »

Président du GAIC, imam et aumônier musulman de l’hôpital Avicenne (Bobigny), Saïd Ali Koussay concède volontiers que le souci de ménager son interlocuteur prend parfois le pas sur la rigueur intellectuelle dans certaines rencontres interreligieuses. « Il arrive aussi que ceux qui se rencontrent ne maîtrisent pas très bien certains aspects de leur propre religion. En sont-ils pour autant moins vrais que d’autres ? Cela dit, si François Jourdan s’intéresse autant au dogme et à la législation, je suis disponible. »

Ghaleb Bencheikh est nettement plus critique : « À quoi sert cette obsession des différences doctrinales ? Les deux religions ne sont pas les mêmes sur certains points, c’est un fait. Cela relève du non-négociable et même de l’indélibérable. On peut évidemment en parler. Mais se focaliser sur ce type de débat ne mène à rien, et surtout pas à la paix. »

Faut-il pour autant fuir la confrontation intellectuelle au risque de laisser se développer les incompréhensions ? « Bien sûr que non, ce peut être utile, même si cela intéresse surtout une certaine élite théologique… Encore faudrait-il ne pas prendre sa propre dogmatique comme la référence absolue et accepter de faire table rase de tous les présupposés, d’un côté comme de l’autre. François Jourdan en est loin… »

MÉFIANCE


« Les musulmans sont en général assez méfiants vis-à-vis des querelles théologiques, explique Myriam Bouregba. Mais c’est parce qu’ils n’ont pas du tout le même rapport au dogme que dans le christianisme, peut-être pour des raisons historiques. Il y a eu dans l’histoire musulmane des débats extrêmement violents, notamment au ixe siècle autour de la question du Coran créé ou incréé. Ce qui est fondamental pour la plupart des croyants musulmans, c’est la conformité de leur pratique et de leur éthique, d’où l’extrême développement du droit musulman. Par conséquent, en rester au niveau de la doctrine, c’est, sous prétexte de clarification, passer à côté de l’expérience des croyants. »

Dans un compte rendu du livre publié sur le site Internet du GRIC, le père Henri de la Hougue, qui enseigne l’islamologie à l’Institut catholique de Paris, s’interroge lui aussi sur cette option prise par François Jourdan de « cloisonner la foi en deux parties indépendantes », avec d’un côté la doctrine, et, de l’autre, ce qui est réellement vécu.

Autre reproche : le ton souvent polémique de la démonstration du père Jourdan et son refus d’envisager de manière bienveillante, pour mieux en rendre compte, les thèses de certains auteurs, tel Claude Geffré. François Jourdan rejette les critiques d’Henri de la Hougue : « Ces remarques ne touchent absolument pas au fond de mon propos. Qu’on me montre par des arguments scientifiques où je me suis trompé. J’attends. »

SYMPTÔME

Cette polémique théologico-littéraire demeure pour l’instant à peu près limitée aux milieux intellectuels français qui s’intéressent aux questions religieuses. On peut aussi y voir le symptôme d’une crise bien plus large qui couve depuis quelques années au sein de l’Église catholique autour de la question décisive du pluralisme culturel et religieux dans un monde désormais globalisé.

L’épiscopat français ne s’y est pas trompé : une note doctrinale rédigée au mois de février « Comment chrétiens et musulmans parlent-ils de Dieu ? », vient tout juste d’être rendue publique. Ce texte essaie tant bien que mal de recadrer les termes d’un débat plus que délicat qui menace de s’envenimer.

Chacun y trouvera de quoi alimenter son argumentaire. Les différentialistes se précipiteront sur les passages évoquant la « pauvreté » et « l’inexactitude » des informations contenues dans le Coran sur le christianisme, ou encore les « différences » et « oppositions radicales » entre les deux doctrines. Les autres salueront plus particulièrement la mention claire d’un passage fameux de la déclaration conciliaire Lumen Gentium (n° 16) : « Le dessein de salut enveloppe également ceux qui reconnaissent le Créateur, en tout premier lieu les musulmans qui professent avoir la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour. »

Autant dire que les catholiques sont loin d’en avoir fini avec l’islam… et avec eux-mêmes.

1. Dieu des chrétiens, Dieu des musulmans – des repères pour comprendre, François Jourdan, éditions de l’Œuvre, 208 p., 15 €.


2. Outre de nombreux travaux universitaires, Rémi Brague a notamment publié Europe, la voie romaine (Folio-Essais), La loi de Dieu, histoire philosophique d’une alliance (Gallimard), et, plus récemment, un ouvrage grand public remarqué Du dieu des chrétiens et d’un ou deux autres (Flammarion).
Dialogue islamo-chrétien : séances de rattrapage


Le Service des relations avec l’islam (SRI) de l’Église de France propose du jeudi 3 au Jeudi 10 juillet 2008 une session sur le thème « Connaître et rencontrer les musulmans » à Orsay (La Clarté-Dieu, 95, rue de Paris, B.P. 63, 91402 Orsay). Pour plus de renseignements : 01 69 28 45 71 ou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le Groupe d'amitié islamo-chrétiennes (GAIC). Rens. : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Groupe de recherches islamo-chrétien (GRIC) : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Conférence mondiale des religions pour la paix : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Message par Rémi Ven 2 Sep 2011 - 16:24

Doit-on essayer de convertir son prochain ou doit-on oeuvrer pour la paix sans travailler à la conversion ? Toute une question, qu'est-ce que Jésus recommandait à Ses disciples ? Il demandait à Ses disciples :


Mt 10:11-15 " En quelque ville ou village que vous entriez, faites-vous indiquer quelqu'un d'honorable et demeurez-y jusqu'à ce que vous partiez. En entrant dans la maison, saluez-la : si cette maison en est digne, que votre paix vienne sur elle ; si elle ne l'est pas, que votre paix vous soit retournée. Et si quelqu'un ne vous accueille pas et n'écoute pas vos paroles, sortez de cette maison ou de cette ville et secouez la poussière de vos pieds. En vérité je vous le dis : au Jour du Jugement, il y aura moins de rigueur pour le pays de Sodome et de Gomorrhe que pour cette ville-là.


Mais oeuvrer pour la paix est aussi une bonne chose. Chacun sa mission et son charisme. Cette époque où nous vivons voit surgir à l'horizon de grand risque de guerre entre l'occident athée et l'islam, alors la priorité va peut-être à la paix mais l'évangélisation des païens et des musulmans doit retrouver son souffle d'antan sinon nous renions une part importante de notre foi, mais cela occasionnera certainement un grand nombre de martyrs (pacifiques) comme ce fut le cas dans toutes les époques de l'histoire de l'Église catholique.



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