USA : l'agression d'un athée par un musulman était justifiée (juge musulman)
2 participants
Page 1 sur 1
USA : l'agression d'un athée par un musulman était justifiée (juge musulman)
Le directeur du groupe Les Américains Athées Inc., M. Ernest Perce, a été agressé par un musulman lors d’un défilé de l'Halloween.
Ernest était déguisé en Zombie-Mahomet et un autre était déguisé en Zombie-Pape. L'agression a été filmée, l’agresseur musulman a admis son crime et il a été inculpé : l’affaire aurait dû être conclue rapidement. Or ce n’est pas ce qui s’est passé.
L’inculpé, un immigrant, a allégué qu’il ignorait que son geste était illégal et qu'il était permis, aux Étatse-Unis, de représenter Mahomet sous toute forme que ce soit. Pour aggraver les choses, il a aussi déclaré qu’il était accompagné de son fils de 9 ans et qu’il voulait lui montrer qu’il était prêt à se battre pour son prophète.
L’affaire a été jugée par le juge Mark Martin, lui-même musulman. Ce qui s'est passé est surréaliste. Le juge a non seulement statué en faveur de l’accusé, mais il a accolé une épithète à M. Perce et lui a dit que s'il était dans un pays musulman, il serait mis à mort. Le juge Martin a fait ce commentaire :
« Ayant passé plus de deux ans et demi dans des pays à majorité musulmane, j’estime avoir quelques connaissances sur l’islam. En fait, j'ai une copie du coran ici et je vous mets au défi, monsieur, de me montrer où il est dit dans le coran que Mahomet est ressuscité d’entre les morts et a marché parmi les morts-vivants. Je pense que vous représentez faussement les choses. Avant de vous moquer de la religion des autres, vous devriez chercher à en connaître davantage sur le sujet ; vous avec l’air d’une andouille et l’accusé a raison. Dans de nombreux pays arabes, c’est certainement illégal. En fait, dans leur société, un tel geste est passible de la peine de mort et elle est souvent appliquée.
Le juge Martin a ensuite offert une leçon d’islam :
«L'islam n'est pas seulement une religion, c'est leur culture, leur culture. C'est leur essence même, c’est leur être même. Ils prient cinq fois par jour tournés vers la Mecque pour être de bons musulmans, ils doivent faire un pèlerinage à la Mecque avant de mourir, sauf en cas d’incapacité pour cause de maladie ou d’âge avancé, mais ils doivent néanmoins tenter de le faire. Leur salutation wa-laikum as-Salam signifie que Dieu soit avec vous. Cette salutation est très courante dans les conversations, ils la disent fréquemment tellement ils sont immergés dans la religion. »
Le juge Martin complique encore la question non seulement en abrogeant le Premier amendement, mais en lui donnant une interprétation totalement erronée :
« Ce que vous avez fait est un dénigrement complet de leur essence, de leur être. Ils trouvent cela très très très offensant. Je suis musulman et je trouve cela offensant. Vous avez ce droit, mais vous avez largement outrepassé les limites du Premier amendement. Je l’ai dit, j’ai vécu environ 7 ans et demi dans d'autres pays, quand on va dans d'autres pays il n'est pas rare que les gens se réfèrent à nous comme des Américains répugnants, et on nous appelle des Américains répugnants parce que nous sommes tellement préoccupés par nos propres droits que nous nous foutons des droits d’autrui, tant que nous pouvons dire ce que nous voulons, on ne se soucie pas de ce que les autres ont à dire. »
Ce n’est pas tout. Il y a pire. Le juge a refusé que la vidéo soit mise en preuve, puis il a déclaré :
«Cela mis à part, ce qu’on a ici, essentiellement... ce sont deux versions contradictoires des faits ».
Et :
« La prépondérance de la preuve, pardon, la charge de la preuve ... »
Et :
« ... On n’a pas apporté devant moi la preuve hors de tout doute raisonnable que l’accusé s’est rendu coupable de harcèlement, de sorte que je rejette l’accusation ».
Le juge a omis de tenir compte du fait que l'ignorance de la loi ne justifie pas une agression et qu’il incombait à l’accusé de se familiariser avec nos lois. Sans parler du fait que le juge a omis d’aviser l’accusé qu'il n'est pas acceptable d’enseigner à son enfant qu’on peut utiliser la violence pour défendre ses croyances religieuses. Le juge a plutôt donné à M. Perce une leçon de charia et de longes explications sur l’islam ; il a informé l’ensemble du public présent dans la salle d’audience de la force de ses conviction religieuses islamiques ; il a déclaré que le Premier amendement ne permet pas de «faire chier d’autres personnes et d’autres cultures», et qu’il était lui-même offensé par la représentation de Mahomet de M. Perce et l'affiche qu’il portait.
C'est une parodie de justice. Le juge Martin a non seulement complètement ignoré la preuve vidéo, mais il a également écarté le témoignage du policier présent sur les lieux qui a témoigné en faveur de M. Perce, disant que le policier n'avait pas donné un compte rendu exact et qu’il n’accordait aucun poids à son témoignage.
Il va sans dire que ceci est totalement, complètement, et absolument inacceptable. Qu’un immigré musulman puisse défendre ses croyances religieuses en attaquant un citoyen américain et être libéré, pendant que l'agressé se fait sermonner et insulter par un juge musulman qui rejette le blâme sur lui, est une horrible dérogation.
Cela rappelle les cas, autrefois, où des femmes violées étaient blâmées et accusées de «l’avoir cherché» à cause de leur habillement, et où les juges remettaient les violeurs en liberté.
Je peux vous faire une promesse : vous n’avez pas fini d'entendre parler de cette affaire. Loin de là !
Source : Muslim Admits to Attacking Atheist; Muslim Judge Dismisses Case, par American Atheists, Opposing Views, 22 février 2012. Traduction par Poste de veille
Ernest était déguisé en Zombie-Mahomet et un autre était déguisé en Zombie-Pape. L'agression a été filmée, l’agresseur musulman a admis son crime et il a été inculpé : l’affaire aurait dû être conclue rapidement. Or ce n’est pas ce qui s’est passé.
L’inculpé, un immigrant, a allégué qu’il ignorait que son geste était illégal et qu'il était permis, aux Étatse-Unis, de représenter Mahomet sous toute forme que ce soit. Pour aggraver les choses, il a aussi déclaré qu’il était accompagné de son fils de 9 ans et qu’il voulait lui montrer qu’il était prêt à se battre pour son prophète.
L’affaire a été jugée par le juge Mark Martin, lui-même musulman. Ce qui s'est passé est surréaliste. Le juge a non seulement statué en faveur de l’accusé, mais il a accolé une épithète à M. Perce et lui a dit que s'il était dans un pays musulman, il serait mis à mort. Le juge Martin a fait ce commentaire :
« Ayant passé plus de deux ans et demi dans des pays à majorité musulmane, j’estime avoir quelques connaissances sur l’islam. En fait, j'ai une copie du coran ici et je vous mets au défi, monsieur, de me montrer où il est dit dans le coran que Mahomet est ressuscité d’entre les morts et a marché parmi les morts-vivants. Je pense que vous représentez faussement les choses. Avant de vous moquer de la religion des autres, vous devriez chercher à en connaître davantage sur le sujet ; vous avec l’air d’une andouille et l’accusé a raison. Dans de nombreux pays arabes, c’est certainement illégal. En fait, dans leur société, un tel geste est passible de la peine de mort et elle est souvent appliquée.
Le juge Martin a ensuite offert une leçon d’islam :
«L'islam n'est pas seulement une religion, c'est leur culture, leur culture. C'est leur essence même, c’est leur être même. Ils prient cinq fois par jour tournés vers la Mecque pour être de bons musulmans, ils doivent faire un pèlerinage à la Mecque avant de mourir, sauf en cas d’incapacité pour cause de maladie ou d’âge avancé, mais ils doivent néanmoins tenter de le faire. Leur salutation wa-laikum as-Salam signifie que Dieu soit avec vous. Cette salutation est très courante dans les conversations, ils la disent fréquemment tellement ils sont immergés dans la religion. »
Le juge Martin complique encore la question non seulement en abrogeant le Premier amendement, mais en lui donnant une interprétation totalement erronée :
« Ce que vous avez fait est un dénigrement complet de leur essence, de leur être. Ils trouvent cela très très très offensant. Je suis musulman et je trouve cela offensant. Vous avez ce droit, mais vous avez largement outrepassé les limites du Premier amendement. Je l’ai dit, j’ai vécu environ 7 ans et demi dans d'autres pays, quand on va dans d'autres pays il n'est pas rare que les gens se réfèrent à nous comme des Américains répugnants, et on nous appelle des Américains répugnants parce que nous sommes tellement préoccupés par nos propres droits que nous nous foutons des droits d’autrui, tant que nous pouvons dire ce que nous voulons, on ne se soucie pas de ce que les autres ont à dire. »
Ce n’est pas tout. Il y a pire. Le juge a refusé que la vidéo soit mise en preuve, puis il a déclaré :
«Cela mis à part, ce qu’on a ici, essentiellement... ce sont deux versions contradictoires des faits ».
Et :
« La prépondérance de la preuve, pardon, la charge de la preuve ... »
Et :
« ... On n’a pas apporté devant moi la preuve hors de tout doute raisonnable que l’accusé s’est rendu coupable de harcèlement, de sorte que je rejette l’accusation ».
Le juge a omis de tenir compte du fait que l'ignorance de la loi ne justifie pas une agression et qu’il incombait à l’accusé de se familiariser avec nos lois. Sans parler du fait que le juge a omis d’aviser l’accusé qu'il n'est pas acceptable d’enseigner à son enfant qu’on peut utiliser la violence pour défendre ses croyances religieuses. Le juge a plutôt donné à M. Perce une leçon de charia et de longes explications sur l’islam ; il a informé l’ensemble du public présent dans la salle d’audience de la force de ses conviction religieuses islamiques ; il a déclaré que le Premier amendement ne permet pas de «faire chier d’autres personnes et d’autres cultures», et qu’il était lui-même offensé par la représentation de Mahomet de M. Perce et l'affiche qu’il portait.
C'est une parodie de justice. Le juge Martin a non seulement complètement ignoré la preuve vidéo, mais il a également écarté le témoignage du policier présent sur les lieux qui a témoigné en faveur de M. Perce, disant que le policier n'avait pas donné un compte rendu exact et qu’il n’accordait aucun poids à son témoignage.
Il va sans dire que ceci est totalement, complètement, et absolument inacceptable. Qu’un immigré musulman puisse défendre ses croyances religieuses en attaquant un citoyen américain et être libéré, pendant que l'agressé se fait sermonner et insulter par un juge musulman qui rejette le blâme sur lui, est une horrible dérogation.
Cela rappelle les cas, autrefois, où des femmes violées étaient blâmées et accusées de «l’avoir cherché» à cause de leur habillement, et où les juges remettaient les violeurs en liberté.
Je peux vous faire une promesse : vous n’avez pas fini d'entendre parler de cette affaire. Loin de là !
Source : Muslim Admits to Attacking Atheist; Muslim Judge Dismisses Case, par American Atheists, Opposing Views, 22 février 2012. Traduction par Poste de veille
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: USA : l'agression d'un athée par un musulman était justifiée (juge musulman)
Souhaitons que cette cause aille en cour supérieur, c'est vraiment du n'importe quoi ce jugement.
Sujets similaires
» Toi qui est athée, pourquoi ??? (chanson)
» Le Vatican et le Communisme Athée....
» Un athée converti par l'eucharistie
» L’Eglise athée » : déjà un schisme
» Un athée poursuit un évêque en raison d'une homélie
» Le Vatican et le Communisme Athée....
» Un athée converti par l'eucharistie
» L’Eglise athée » : déjà un schisme
» Un athée poursuit un évêque en raison d'une homélie
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum