des morts ressuscitent
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des morts ressuscitent
1er article
Déclarée morte, elle ressuscite après 14 heures
bordeaux
Lydia Paillard, ressuscitée après avoir été annoncée morte./Photo DDM, P. S.
Lydia Paillard, 60 ans, a été diagnostiquée en état de mort clinique dans un établissement privé, avant de se réveiller 14 heures plus tard aux urgences du CHU de Bordeaux. Ses fils affirment qu'on leur avait demandé une décharge pour la débrancher et veulent porter plainte contre la Polyclinique.
«Si on m'avait débranchée, je serais morte ! Mais je ne me suis rendue compte de rien. Je suis arrivée à la Polyclinique Bordeaux-Rive-Droite pour une séance chimiothérapie. J'ai eu un malaise. Et je me suis réveillée aux Urgences du centre hospitalier de Bordeaux. J'ai eu l'impression de dormir longtemps, mais pour eux, j'étais morte » raconte simplement Lydia Paillard, 60 ans.
Mais pendant ce qu'elle a pris pour un long sommeil, ses fils affirment que les médecins de la Polyclinique leur ont parlé de « mort cérébrale » et sont même allés plus loin. « On nous a demandé de signer une décharge pour débrancher son assistance respiratoire. Je suis formel, pour eux ma mère était morte, c'était irréversible.Heureusement, j'ai refusé de signer la décharge, j'ai demandé des examens complémentaires et le Samu est finalement arrivé pour la transporter au CHU » affirme Sébastien, le fils de cette miraculée.
Un coma très profond
Une fois au CHU, un scanner a montré que la sexagénaire avait en fait encore une activité cérébrale. Elle s'est réveillée au bout de 14 heures de coma. « On aurait pu signer un accord pour la débrancher, et c'est nous qui aurions signé son arrêt de mort. Nous sommes très en colère » confie Sébastien. Les trois frères ont décidé de porter plainte. « Nous réfléchissons sur les qualification de négligence ou de mise en danger d'autrui. Nous allons aussi demander la nomination d'un expert pour que l'on sache exactement ce qui s'est passé.
Il y a nécessité d'une enquête pour déterminer les responsabilités de chacun » précise leur avocat Me Nicolas Rothé de Barruel. « Il y a eu un énorme problème de communication » concède le directeur général du Groupe Bordeaux-Nord Aquitaine Yves Noël. « Il n'y a pas eu les bons mots au bon moment, mais en aucune façon une perte de chance. On a annoncé trop précocement une mort probable.
Mais en réalité c'est grâce à l'action de notre équipe médicale qu'elle est encore en vie » poursuit-il, en proposant une rencontre d'explication à la famille avec un médecin médiateur et un psychologue.
Pierre Sauvey
2e article
Un bébé argentin déclaré mort ressuscite dans son cercueil
Un bébé prématuré déclaré mort-né dans un hôpital du nord-est de l’Argentine a été retrouvé vivant 12 heures plus tard dans son petit cercueil. C’est grâce à l’insistance de la mère du nourrisson, qui désirait le revoir alors qu’il avait déjà été transféré à la morgue, que le bébé a pu être retrouvé. Le sous-secrétaire à la Santé argentin, Rafael Sabatinelli, a annoncé l’ouverture d’une enquête, estimant que le personnel de l’hôpital impliqué dans ce qui est arrivé « devra rendre des comptes ».
Les faits sont authentiques, et le déroulement de l’affaire rappelle étrangement un autre scandale de "morts-vivants" survenu, là aussi, dans un hôpital du continent sud-américain : En septembre dernier, dans les environs de Rio de Janeiro, au Brésil, une sexagénaire hospitalisée pour une infection pulmonaire avait été donnée pour morte par le médecin de garde et a passé deux heures dans un sac en plastique dans la morgue de l’hôpital avant d’être découverte vivante par sa fille, qui voulait l’embrasser pour la dernière fois. L’histoire est cette fois tout aussi incroyable et se déroule à l’hôpital Perrando à Resistencia, capitale du Chaco, une province du nord-est de l’Argentine.
Une mère du nom d’Analia Bouter y est venue pour accoucher de sa petite fille, mais le bébé y a été déclaré mort-né. 12 heures plus tard, et alors que la nuit était tombée pour laisser place au brouillard et à la Lune, le bébé, transféré à la morgue, a été retrouvé vivant dans son cercueil par ses deux parents. La mère, encore toute retournée, s’est livrée : « Je suis allée, la nuit, avec mon époux, trouver le petit cercueil. Soudain, j’ai entendu un gémissement : Notre fille était couverte d’une fine couche qui ressemblait à de la rosée ». Le directeur de l’hôpital, tout aussi chamboulé, s’est pour sa part risqué à un début d’explication : « Le bébé aurait pu souffrir d’une hypothermie et ce phénomène l’aurait préservé ».
Les parents, qui pensaient initialement appeler le bébé Luciana Abigail, ont depuis changé d’avis en décidant de lui donner le nom de Luz Milagros (ce qui signifie en espagnol "Lumière" et "Miracles"). Mais pour certaines personnes oeuvrant dans cet hôpital, désormais braqué par des journalistes venus des quatre continents, les miracles pourraient ne pas être au rendez-vous. A Buenos-Aires, le sous-secrétaire à la Santé, Rafael Sabatinelli, est en effet furieux : « Chaque membre du personnel impliqué dans ce qui est arrivé a des responsabilités et devra rendre des comptes ».
Photo : Analia Bouter
3e article
un mort ressuscité lors d'une assemblée d'église
Novembre 2001: le Pasteur Daniel se tue en voiture. Deux jours après , il revient à la vie et
sort de son cercueil. Ce titre était à la une du journal nigérian "The Post Express". Est-ce que
c'était vrai, un miracle divin ou une éxagération de presse sensasionnaliste?
Jésus disait, "Quand même quelqu'un ressusciterait des morts , ils ne croiront pas".
Jugez par vous-même. L'évidence des faits est là, sans ambiguïté. Mais sur le coup, les
journalistes restèrent stupéfaits.
Le matin du 30 Novembre 2001 , Daniel EKECHUKWU, le pasteur de l'Eglise évangélique
"Chapelle de la Puissance" à Onitsha , avec son ami Kingsley IROUKA emmenaient en
cadeau de Noël une chèvre à son père dans un village près de la ville de Owerri. Daniel
conduisait sa Mercédès 230 de 1981. Sur le chemin du retour , sur une route étroite les freins
de la Mercédès lâchèrent. Daniel ne put rien faire. Le véhicule fou se mit à prendre de la
vitesse et était incontrôlable. Son ami et lui s'écrasèrent contre un pilier de pierre. N'ayant pas
de ceinture de sécurité, Daniel fut catapulté violemment . Sa tête heurta le pare-brise, le volant
et son moyeu lui enfoncèrent le thorax . L'ami de Daniel , Kingsley, choqué bien que peu
blessé, se tourna vers Daniel espérant que tout allait bien; mais sa vision fut tout autre. Du
sang lui sortait du nez à cause d'une blessure cranienne et il vomissait du sang dû à une
hémorragie interne. Les secours arrivèrent. D'une façon merveilleuse Daniel put se lever et
s'installer dans le "local de soins intensifs" de l'hôpital nigerian.
Sa femme, Nneka, arriva sur les lieux, elle trouva Daniel encore entre la vie et la mort. Il
s'accrochait à la vie suffisamment pour lui demander de l'emmener à l'hôpital de son médecin
à Owerri -grave erreur - ce n'était rien de moins qu'un trajet d'une heure et demie. Quelques
minutes après avoir été mis dans l'ambulance, Daniel se sentait mourir. Il essaya de murmurer
ses derniers mots et instructions à Nneka. Tout spécialement, il la supplia de continuer leur
travail d'église. Il essaya aussi de l'informer d'une ou deux situations dans leur église dont elle
aurait dû être au courant, mais ses paroles s'amenuisèrent, devinrent incohérentes et
s'arrêtèrent alors qu'il tombait dans l'inconscience.
Le conducteur de l'ambulance ne ralentit pas et, à pleine vitesse, il continua toutes sirènes
dehors. Ils pénétrèrent dans l'hôpital régional d'Owerri, en criant : "urgence! urgence!" Le
médecin de Daniel, cependant , n'était pas en service. A sa place, un membre de l'équipe
médicale,prit en charge Daniel et l'examina . Il se retourna avec un visage triste. Il ne put que
certifier que Daniel était déjà mort.
Sa femme Nneka bien sûr, était choquée. Mais il résonnait en elle un verset biblique
d'Hébreux 11.
" Des femmes ont retrouvé ressuscités leur enfants qui étaient morts. " Une conviction
irrationnelle la saisit . Ce verset la concernait. Elle reverrait Daniel vivant et à nouveau en
bonne forme à nouveau. De ce qui allait suivre, Nneka fut un personnage clé.
Dans sa tête, ce texte lui rendait impossible à elle d'accepter la pleine évidence que Daniel
était parti ou bien qu'on l'inhume. Son agitation dictait que quelque chose fût fait. Ils se
dépêchèrent d'aller voir l'oncle de Daniel, Emmanuel OKORONKWO qui habitait près de
l'hôpital et lui demandèrent où se trouvait le médecin de famille. Il ne savait pas, mais les
conduisit à son propre médecin, Docteur Jossy ANUEBUNISA à la clinique St Eunice. Daniel
fut emmené là, et devant la détermination de Nneka, on l'examina à nouveau . Il ne put que
constater que la mort avait eu lieu. On l'enregistra à 23H30, le jour de l'accident de voiture.
Le médecin écrivit alors son bulletin de décès pour le patient et il demanda si la famille
désirait qu'on le laisse dans la morgue de la clinique. La famille dit que non. Ils préféraient
emmener le corps de Daniel dans le village près d'Owerri, puis de là, jusqu'à la morgue de
l'hôpital général d'Ikeduru, pas très loin. Le gardien funéraire, Mr R.Manu BARLINGTON , refit
des vérifications d'usage ce qui nous amena à passé une heure du matin, le samedi. La
morgue n'ayant aucun équipement réfrigérant , le gardien administra l'injection chimique
habituelle et se prépara à embaumer le jour suivant. Avec un autre employé, ils plaçèrent le
corps dans la chambre mortuaire entre deux autres personnes décédées. Chacun se retira
ensuite pour la nuit.
C'est alors qu'il y a eu les premiers signes de quelque chose d'étrange. Le responsable du
funérarium fut réveillé par ce qu'il appela "des chants d'église" et cela venait du lieu où étaient
les corps. Il se leva et alla voir ce qu'il se passait, mais le chant cessa. Il était troublé car il ne
trouva personne près du bâtiment. Il retourna se coucher. De nouveau, il entendit un son
clair,et de la musique avec des mains qui tapent. Pratiquement sûr maintenant que cela venait
de la pièce mortuaire elle-même, il se leva, y entra et regarda partout. De nouveau les chants
s'étaient arrêtés. Personne n'était là sinon les corps sans vie. Très perturbé il s'en retourna.
Encore, et pour la troisième fois, il y eut de la musique . Très réelle. Cela l'effraya. Paniqué, il
conduisit jusqu'au village voisin, et alla trouver le père de Daniel.
- "Le corps de votre fils doit être enlevé du bâtiment." insista -t-il , "cela à créé une sorte
d'étrange phénomène."
Le père assura le responsable mortuaire que c'était parce que son fils était un homme de
Dieu.
Après cela, le fils décédé fut laissé où il était au funérarium, toute cette nuit-là jusqu'au matin
et toute la journée du samedi.
Les gardiens du funérarium n'entendirent plus de musique de chorale durant le reste de la
journée.
Pendant ce temps, la femme de Daniel , convaincue que son mari revivrait, voulut que son
corps soit emmené à l'église de Onitsha où l'évangéliste international , Reinhard BONNKE,
devait parler pour une cérémonie de fondation des ministères "GRACE de DIEU".
Le père de Daniel déclara cependant qu'il était mormon et que c'est lui qui allait décider. Il dit
qu'il allait frapper son fils sept fois avec sa Bible et que si celui-ci ne revenait pas à la vie,
alors Nneka devait accepter le fait qu'il ne ressusciterait pas des morts et devrait clore le
sujet. Il partit vers le corps de son fils et le frappa à sept reprises comme il avait dit, mais sans
résultat.
Nneka, étant Chrétienne, considéra qu'un mormon ne pourrait pas comprendre. L'action de
son beau-père ne voulait rien dire d'autre que court-circuiter la foi de Nneka. Mais elle
n'abandonna pas. Elle insista devant son beau-père:
-" Daniel doit être emmené à la réunion de BOONKE."
Il réalisa que s'il refusait cette faveur, elle se souviendrait pendant toute sa vie qu'il avait
négligé cette requête en faveur de son mari et il finit par changer d'avis.
Le jour suivant, Dimanche 2 Décembre, ils sortirent le corps de la morgue. Mais le
responsable s'inquièta au sujet de leurs intentions. Il devait dissimuler qu'un corps avait été
emmené, pour un trajet d'une heure et demie de route vers Onitsha. Pour ce faire, il habilla le
corps comme pour des obsèques, le plaça dans un cercueil blanc et le ferma. Ils emmenèrent
Daniel.
En arrivant à la grande église d'Onitsha, ils trouvèrent l'Officier de Sécurité d'Etat et aussi le
service d'ordre de l'église. Quand ceux-ci les virent arriver avec un cercueil, ils leurs
demandèrent de faire demi-tour immédiatement. Mais Nneka était cependant déterminée.
Elle insista pour que le cercueil soit admis dans l'église elle-même. Devant cette agitation,
l'Officier de Sécurité vérifia que le cercueil contenait bien un corps et qu'il ne s'agissait pas
d'une ruse de terroriste pour introduire une bombe. Ne trouvant qu'un corps livide , il donna
son accord. Cependant, l'idée d'amener un cercueil ou un corps sans vie dans une église
bondée créa la consternation et un remue ménage. Finalement , le pasteur Paul Jr , fils du
responsable des lieux, alla demander la permission à son père pour qu'on puisse amener le
corps dans le bâtiment, mais la condition était que cela se passe dans la partie réservée aux
enfants.
Les enfants furent deplacés dans une salle inférieure et le corps fût amené dans la salle du
haut et déposé sur une table. Le pasteur Paul et un autre pasteur de la congrégation,
Bathcomery NKWANDO, assistèrent à cela et constatèrent que tous les membres de Daniel
étaient raides.
Deux autres pasteurs , Lawrence ONYEKA et Luc IBEKWE les rejoignirent pour garder le
défunt.
Pendant ce temps , Reinhard Boonke ignorait la situation et était en train de prêcher et de
prier dans l'assemblée .
Au bout d'un moment, les pasteurs remarquèrent un léger sursaut sur le corps , au niveau de
l'estomac. Puis le corps effectua un spasme, et une respiration par à-coups prit place dans la
poitrine de Daniel.
Encouragés , les pasteurs se dépêchèrent de prier , deshabillèrent le corps de sa tenue
mortuaire , lui ôtèrent chemise et chaussettes et commencèrent un massage de la tête aux
pieds. Daniel était , dirent-ils , "aussi raide qu'une barre de fer". Ils demandèrent qu'on amène
des ventilateurs pour apporter plus d'air.
Alors que la nouvelle se répandait dans tout l'auditoire, cela créa une scène d'hystérie.
Puis, dit le pasteur Lawrence , à 17h15 ce dimanche après midi, pratiquement 2 jours après
que la mort ait eu lieu, Daniel ouvrit les yeux , s'assit et s'appuya sur Pasteur Lawrence.
La foule commença à s'amasser dans le hall, pour voir "l'homme ressuscité". Pasteur
Lawrence craignait que Daniel n'ait assez d'oxygène , aussi il le releva et l'emmena dans la
chapelle à côté.
Daniel parla pour la première fois : "de l'eau , de l'eau". Ils lui en donnèrent en petites
quantités puis du thé chaud.
Pour lui donner de l'espace, ils l'assirent sur une chaise de l'estrade, où des centaines de
fidèles ont pu le voir se rétablir lentement. Il n'avait toujours pas retrouvé tous son esprit et ,
pendant un temps , il ne reconnut pas même son fils qui était monté le voir. Cependant , les
choses progressèrent , et , au bout de quelques heures dans la soirée, il se trouva pleinement
conscient et cohérent.
Il devint un prodige , et les foules allèrent le visiter; c'est pourquoi il fut transféré dans un
endroit secret pendant quelques jours pour reprendre des forces physiques. Celui qui avait
été mort, non seulement ressuscita , mais aussi guérit des blessures qui lui avaient provoqué
le décès et on n'en trouva plus aucune trace.
Reinhard BOONKE, lui, avait du partir rapidement ensuite car il prenait son avion.
Peut-on douter encore? Ce sont quelques faits incontournables. Pendant deux jours , Daniel
n'a pas respiré et , de plus , son coeur était arrêté. C'était sous un climat chaud, pas dans une
chambre froide. Il a subi une forte injection chimique pour retarder la destruction de son corps.
Etant un cadavre , il a subi les transports et , qui plus est , il est resté confiné dans un cercueil
étroit , sans air , durant des heures. Il devrait avoir de sérieux dommages cérébraux ; mais
non , il est vivant et sans aucune séquelle.
Il ne s'agit pas ici de clamer qu'on a ramené quelqu'un à la vie d'une façon privée, comme par
exemple dans une maison. Il s'agit ici d'un évènement public, une démonstration de la
resurrection des morts.
Si jamais on doit citer quelqu'un , c'est Nneka. Seule sa foi inébranlable a évité l'enterrement
de son mari , car elle l'a emmené à l'endroit où elle a cru qu'il pourrait retrouver la vie. Elle
considérait Reinhard BOONKE comme un homme de Dieu et que dans l'atmosphère de foi
où il prêche , ce miracle serait possible.
C'est la foi de Nneka qui dirigea tout l'evenement et sa foi fut honorée. Par qui?
Qui honora sa foi? Si ce n'est pas Dieu , qui est-ce?
Reportage de Robert MURPHREE et George CANTY Revue "Telegram Revival Report"
Janvier 2002.
Cet évènement s'est produit lors de la Campagne d'Annonce de l'Evangile au Nigéria , fin
Novembre 2001.
Quelques jours auparavant, des fanatiques musulmans avaient essayé d'arrêter le
déroulement de cette conférence. Ils étaient allés chez Mr ARANSIOLA , de nuit , et avaient
sorti son fils Sunday dans la rue.
Ils l'avaient forcé à confesser que Allah est grand et comme celui ci avait répondu "Jesus is
Lord", "Jesus est Seigneur" , ils l'ont roué de coups de pieds et poignardé à mort. Sunday
était chrétien , engagé dans l'équipe de louange et est donc mort en martyr à 25 ans.
La campagne d'évangélisation , quelques jours après , a vu venir 4 millions de personnes.
Transmis par L. ROMERO
Source : The Post Express
N'est-ce pas annoncé comme le début de la fin?
Déclarée morte, elle ressuscite après 14 heures
bordeaux
Lydia Paillard, ressuscitée après avoir été annoncée morte./Photo DDM, P. S.
Lydia Paillard, 60 ans, a été diagnostiquée en état de mort clinique dans un établissement privé, avant de se réveiller 14 heures plus tard aux urgences du CHU de Bordeaux. Ses fils affirment qu'on leur avait demandé une décharge pour la débrancher et veulent porter plainte contre la Polyclinique.
«Si on m'avait débranchée, je serais morte ! Mais je ne me suis rendue compte de rien. Je suis arrivée à la Polyclinique Bordeaux-Rive-Droite pour une séance chimiothérapie. J'ai eu un malaise. Et je me suis réveillée aux Urgences du centre hospitalier de Bordeaux. J'ai eu l'impression de dormir longtemps, mais pour eux, j'étais morte » raconte simplement Lydia Paillard, 60 ans.
Mais pendant ce qu'elle a pris pour un long sommeil, ses fils affirment que les médecins de la Polyclinique leur ont parlé de « mort cérébrale » et sont même allés plus loin. « On nous a demandé de signer une décharge pour débrancher son assistance respiratoire. Je suis formel, pour eux ma mère était morte, c'était irréversible.Heureusement, j'ai refusé de signer la décharge, j'ai demandé des examens complémentaires et le Samu est finalement arrivé pour la transporter au CHU » affirme Sébastien, le fils de cette miraculée.
Un coma très profond
Une fois au CHU, un scanner a montré que la sexagénaire avait en fait encore une activité cérébrale. Elle s'est réveillée au bout de 14 heures de coma. « On aurait pu signer un accord pour la débrancher, et c'est nous qui aurions signé son arrêt de mort. Nous sommes très en colère » confie Sébastien. Les trois frères ont décidé de porter plainte. « Nous réfléchissons sur les qualification de négligence ou de mise en danger d'autrui. Nous allons aussi demander la nomination d'un expert pour que l'on sache exactement ce qui s'est passé.
Il y a nécessité d'une enquête pour déterminer les responsabilités de chacun » précise leur avocat Me Nicolas Rothé de Barruel. « Il y a eu un énorme problème de communication » concède le directeur général du Groupe Bordeaux-Nord Aquitaine Yves Noël. « Il n'y a pas eu les bons mots au bon moment, mais en aucune façon une perte de chance. On a annoncé trop précocement une mort probable.
Mais en réalité c'est grâce à l'action de notre équipe médicale qu'elle est encore en vie » poursuit-il, en proposant une rencontre d'explication à la famille avec un médecin médiateur et un psychologue.
Pierre Sauvey
2e article
Un bébé argentin déclaré mort ressuscite dans son cercueil
Un bébé prématuré déclaré mort-né dans un hôpital du nord-est de l’Argentine a été retrouvé vivant 12 heures plus tard dans son petit cercueil. C’est grâce à l’insistance de la mère du nourrisson, qui désirait le revoir alors qu’il avait déjà été transféré à la morgue, que le bébé a pu être retrouvé. Le sous-secrétaire à la Santé argentin, Rafael Sabatinelli, a annoncé l’ouverture d’une enquête, estimant que le personnel de l’hôpital impliqué dans ce qui est arrivé « devra rendre des comptes ».
Les faits sont authentiques, et le déroulement de l’affaire rappelle étrangement un autre scandale de "morts-vivants" survenu, là aussi, dans un hôpital du continent sud-américain : En septembre dernier, dans les environs de Rio de Janeiro, au Brésil, une sexagénaire hospitalisée pour une infection pulmonaire avait été donnée pour morte par le médecin de garde et a passé deux heures dans un sac en plastique dans la morgue de l’hôpital avant d’être découverte vivante par sa fille, qui voulait l’embrasser pour la dernière fois. L’histoire est cette fois tout aussi incroyable et se déroule à l’hôpital Perrando à Resistencia, capitale du Chaco, une province du nord-est de l’Argentine.
Une mère du nom d’Analia Bouter y est venue pour accoucher de sa petite fille, mais le bébé y a été déclaré mort-né. 12 heures plus tard, et alors que la nuit était tombée pour laisser place au brouillard et à la Lune, le bébé, transféré à la morgue, a été retrouvé vivant dans son cercueil par ses deux parents. La mère, encore toute retournée, s’est livrée : « Je suis allée, la nuit, avec mon époux, trouver le petit cercueil. Soudain, j’ai entendu un gémissement : Notre fille était couverte d’une fine couche qui ressemblait à de la rosée ». Le directeur de l’hôpital, tout aussi chamboulé, s’est pour sa part risqué à un début d’explication : « Le bébé aurait pu souffrir d’une hypothermie et ce phénomène l’aurait préservé ».
Les parents, qui pensaient initialement appeler le bébé Luciana Abigail, ont depuis changé d’avis en décidant de lui donner le nom de Luz Milagros (ce qui signifie en espagnol "Lumière" et "Miracles"). Mais pour certaines personnes oeuvrant dans cet hôpital, désormais braqué par des journalistes venus des quatre continents, les miracles pourraient ne pas être au rendez-vous. A Buenos-Aires, le sous-secrétaire à la Santé, Rafael Sabatinelli, est en effet furieux : « Chaque membre du personnel impliqué dans ce qui est arrivé a des responsabilités et devra rendre des comptes ».
Photo : Analia Bouter
3e article
un mort ressuscité lors d'une assemblée d'église
Novembre 2001: le Pasteur Daniel se tue en voiture. Deux jours après , il revient à la vie et
sort de son cercueil. Ce titre était à la une du journal nigérian "The Post Express". Est-ce que
c'était vrai, un miracle divin ou une éxagération de presse sensasionnaliste?
Jésus disait, "Quand même quelqu'un ressusciterait des morts , ils ne croiront pas".
Jugez par vous-même. L'évidence des faits est là, sans ambiguïté. Mais sur le coup, les
journalistes restèrent stupéfaits.
Le matin du 30 Novembre 2001 , Daniel EKECHUKWU, le pasteur de l'Eglise évangélique
"Chapelle de la Puissance" à Onitsha , avec son ami Kingsley IROUKA emmenaient en
cadeau de Noël une chèvre à son père dans un village près de la ville de Owerri. Daniel
conduisait sa Mercédès 230 de 1981. Sur le chemin du retour , sur une route étroite les freins
de la Mercédès lâchèrent. Daniel ne put rien faire. Le véhicule fou se mit à prendre de la
vitesse et était incontrôlable. Son ami et lui s'écrasèrent contre un pilier de pierre. N'ayant pas
de ceinture de sécurité, Daniel fut catapulté violemment . Sa tête heurta le pare-brise, le volant
et son moyeu lui enfoncèrent le thorax . L'ami de Daniel , Kingsley, choqué bien que peu
blessé, se tourna vers Daniel espérant que tout allait bien; mais sa vision fut tout autre. Du
sang lui sortait du nez à cause d'une blessure cranienne et il vomissait du sang dû à une
hémorragie interne. Les secours arrivèrent. D'une façon merveilleuse Daniel put se lever et
s'installer dans le "local de soins intensifs" de l'hôpital nigerian.
Sa femme, Nneka, arriva sur les lieux, elle trouva Daniel encore entre la vie et la mort. Il
s'accrochait à la vie suffisamment pour lui demander de l'emmener à l'hôpital de son médecin
à Owerri -grave erreur - ce n'était rien de moins qu'un trajet d'une heure et demie. Quelques
minutes après avoir été mis dans l'ambulance, Daniel se sentait mourir. Il essaya de murmurer
ses derniers mots et instructions à Nneka. Tout spécialement, il la supplia de continuer leur
travail d'église. Il essaya aussi de l'informer d'une ou deux situations dans leur église dont elle
aurait dû être au courant, mais ses paroles s'amenuisèrent, devinrent incohérentes et
s'arrêtèrent alors qu'il tombait dans l'inconscience.
Le conducteur de l'ambulance ne ralentit pas et, à pleine vitesse, il continua toutes sirènes
dehors. Ils pénétrèrent dans l'hôpital régional d'Owerri, en criant : "urgence! urgence!" Le
médecin de Daniel, cependant , n'était pas en service. A sa place, un membre de l'équipe
médicale,prit en charge Daniel et l'examina . Il se retourna avec un visage triste. Il ne put que
certifier que Daniel était déjà mort.
Sa femme Nneka bien sûr, était choquée. Mais il résonnait en elle un verset biblique
d'Hébreux 11.
" Des femmes ont retrouvé ressuscités leur enfants qui étaient morts. " Une conviction
irrationnelle la saisit . Ce verset la concernait. Elle reverrait Daniel vivant et à nouveau en
bonne forme à nouveau. De ce qui allait suivre, Nneka fut un personnage clé.
Dans sa tête, ce texte lui rendait impossible à elle d'accepter la pleine évidence que Daniel
était parti ou bien qu'on l'inhume. Son agitation dictait que quelque chose fût fait. Ils se
dépêchèrent d'aller voir l'oncle de Daniel, Emmanuel OKORONKWO qui habitait près de
l'hôpital et lui demandèrent où se trouvait le médecin de famille. Il ne savait pas, mais les
conduisit à son propre médecin, Docteur Jossy ANUEBUNISA à la clinique St Eunice. Daniel
fut emmené là, et devant la détermination de Nneka, on l'examina à nouveau . Il ne put que
constater que la mort avait eu lieu. On l'enregistra à 23H30, le jour de l'accident de voiture.
Le médecin écrivit alors son bulletin de décès pour le patient et il demanda si la famille
désirait qu'on le laisse dans la morgue de la clinique. La famille dit que non. Ils préféraient
emmener le corps de Daniel dans le village près d'Owerri, puis de là, jusqu'à la morgue de
l'hôpital général d'Ikeduru, pas très loin. Le gardien funéraire, Mr R.Manu BARLINGTON , refit
des vérifications d'usage ce qui nous amena à passé une heure du matin, le samedi. La
morgue n'ayant aucun équipement réfrigérant , le gardien administra l'injection chimique
habituelle et se prépara à embaumer le jour suivant. Avec un autre employé, ils plaçèrent le
corps dans la chambre mortuaire entre deux autres personnes décédées. Chacun se retira
ensuite pour la nuit.
C'est alors qu'il y a eu les premiers signes de quelque chose d'étrange. Le responsable du
funérarium fut réveillé par ce qu'il appela "des chants d'église" et cela venait du lieu où étaient
les corps. Il se leva et alla voir ce qu'il se passait, mais le chant cessa. Il était troublé car il ne
trouva personne près du bâtiment. Il retourna se coucher. De nouveau, il entendit un son
clair,et de la musique avec des mains qui tapent. Pratiquement sûr maintenant que cela venait
de la pièce mortuaire elle-même, il se leva, y entra et regarda partout. De nouveau les chants
s'étaient arrêtés. Personne n'était là sinon les corps sans vie. Très perturbé il s'en retourna.
Encore, et pour la troisième fois, il y eut de la musique . Très réelle. Cela l'effraya. Paniqué, il
conduisit jusqu'au village voisin, et alla trouver le père de Daniel.
- "Le corps de votre fils doit être enlevé du bâtiment." insista -t-il , "cela à créé une sorte
d'étrange phénomène."
Le père assura le responsable mortuaire que c'était parce que son fils était un homme de
Dieu.
Après cela, le fils décédé fut laissé où il était au funérarium, toute cette nuit-là jusqu'au matin
et toute la journée du samedi.
Les gardiens du funérarium n'entendirent plus de musique de chorale durant le reste de la
journée.
Pendant ce temps, la femme de Daniel , convaincue que son mari revivrait, voulut que son
corps soit emmené à l'église de Onitsha où l'évangéliste international , Reinhard BONNKE,
devait parler pour une cérémonie de fondation des ministères "GRACE de DIEU".
Le père de Daniel déclara cependant qu'il était mormon et que c'est lui qui allait décider. Il dit
qu'il allait frapper son fils sept fois avec sa Bible et que si celui-ci ne revenait pas à la vie,
alors Nneka devait accepter le fait qu'il ne ressusciterait pas des morts et devrait clore le
sujet. Il partit vers le corps de son fils et le frappa à sept reprises comme il avait dit, mais sans
résultat.
Nneka, étant Chrétienne, considéra qu'un mormon ne pourrait pas comprendre. L'action de
son beau-père ne voulait rien dire d'autre que court-circuiter la foi de Nneka. Mais elle
n'abandonna pas. Elle insista devant son beau-père:
-" Daniel doit être emmené à la réunion de BOONKE."
Il réalisa que s'il refusait cette faveur, elle se souviendrait pendant toute sa vie qu'il avait
négligé cette requête en faveur de son mari et il finit par changer d'avis.
Le jour suivant, Dimanche 2 Décembre, ils sortirent le corps de la morgue. Mais le
responsable s'inquièta au sujet de leurs intentions. Il devait dissimuler qu'un corps avait été
emmené, pour un trajet d'une heure et demie de route vers Onitsha. Pour ce faire, il habilla le
corps comme pour des obsèques, le plaça dans un cercueil blanc et le ferma. Ils emmenèrent
Daniel.
En arrivant à la grande église d'Onitsha, ils trouvèrent l'Officier de Sécurité d'Etat et aussi le
service d'ordre de l'église. Quand ceux-ci les virent arriver avec un cercueil, ils leurs
demandèrent de faire demi-tour immédiatement. Mais Nneka était cependant déterminée.
Elle insista pour que le cercueil soit admis dans l'église elle-même. Devant cette agitation,
l'Officier de Sécurité vérifia que le cercueil contenait bien un corps et qu'il ne s'agissait pas
d'une ruse de terroriste pour introduire une bombe. Ne trouvant qu'un corps livide , il donna
son accord. Cependant, l'idée d'amener un cercueil ou un corps sans vie dans une église
bondée créa la consternation et un remue ménage. Finalement , le pasteur Paul Jr , fils du
responsable des lieux, alla demander la permission à son père pour qu'on puisse amener le
corps dans le bâtiment, mais la condition était que cela se passe dans la partie réservée aux
enfants.
Les enfants furent deplacés dans une salle inférieure et le corps fût amené dans la salle du
haut et déposé sur une table. Le pasteur Paul et un autre pasteur de la congrégation,
Bathcomery NKWANDO, assistèrent à cela et constatèrent que tous les membres de Daniel
étaient raides.
Deux autres pasteurs , Lawrence ONYEKA et Luc IBEKWE les rejoignirent pour garder le
défunt.
Pendant ce temps , Reinhard Boonke ignorait la situation et était en train de prêcher et de
prier dans l'assemblée .
Au bout d'un moment, les pasteurs remarquèrent un léger sursaut sur le corps , au niveau de
l'estomac. Puis le corps effectua un spasme, et une respiration par à-coups prit place dans la
poitrine de Daniel.
Encouragés , les pasteurs se dépêchèrent de prier , deshabillèrent le corps de sa tenue
mortuaire , lui ôtèrent chemise et chaussettes et commencèrent un massage de la tête aux
pieds. Daniel était , dirent-ils , "aussi raide qu'une barre de fer". Ils demandèrent qu'on amène
des ventilateurs pour apporter plus d'air.
Alors que la nouvelle se répandait dans tout l'auditoire, cela créa une scène d'hystérie.
Puis, dit le pasteur Lawrence , à 17h15 ce dimanche après midi, pratiquement 2 jours après
que la mort ait eu lieu, Daniel ouvrit les yeux , s'assit et s'appuya sur Pasteur Lawrence.
La foule commença à s'amasser dans le hall, pour voir "l'homme ressuscité". Pasteur
Lawrence craignait que Daniel n'ait assez d'oxygène , aussi il le releva et l'emmena dans la
chapelle à côté.
Daniel parla pour la première fois : "de l'eau , de l'eau". Ils lui en donnèrent en petites
quantités puis du thé chaud.
Pour lui donner de l'espace, ils l'assirent sur une chaise de l'estrade, où des centaines de
fidèles ont pu le voir se rétablir lentement. Il n'avait toujours pas retrouvé tous son esprit et ,
pendant un temps , il ne reconnut pas même son fils qui était monté le voir. Cependant , les
choses progressèrent , et , au bout de quelques heures dans la soirée, il se trouva pleinement
conscient et cohérent.
Il devint un prodige , et les foules allèrent le visiter; c'est pourquoi il fut transféré dans un
endroit secret pendant quelques jours pour reprendre des forces physiques. Celui qui avait
été mort, non seulement ressuscita , mais aussi guérit des blessures qui lui avaient provoqué
le décès et on n'en trouva plus aucune trace.
Reinhard BOONKE, lui, avait du partir rapidement ensuite car il prenait son avion.
Peut-on douter encore? Ce sont quelques faits incontournables. Pendant deux jours , Daniel
n'a pas respiré et , de plus , son coeur était arrêté. C'était sous un climat chaud, pas dans une
chambre froide. Il a subi une forte injection chimique pour retarder la destruction de son corps.
Etant un cadavre , il a subi les transports et , qui plus est , il est resté confiné dans un cercueil
étroit , sans air , durant des heures. Il devrait avoir de sérieux dommages cérébraux ; mais
non , il est vivant et sans aucune séquelle.
Il ne s'agit pas ici de clamer qu'on a ramené quelqu'un à la vie d'une façon privée, comme par
exemple dans une maison. Il s'agit ici d'un évènement public, une démonstration de la
resurrection des morts.
Si jamais on doit citer quelqu'un , c'est Nneka. Seule sa foi inébranlable a évité l'enterrement
de son mari , car elle l'a emmené à l'endroit où elle a cru qu'il pourrait retrouver la vie. Elle
considérait Reinhard BOONKE comme un homme de Dieu et que dans l'atmosphère de foi
où il prêche , ce miracle serait possible.
C'est la foi de Nneka qui dirigea tout l'evenement et sa foi fut honorée. Par qui?
Qui honora sa foi? Si ce n'est pas Dieu , qui est-ce?
Reportage de Robert MURPHREE et George CANTY Revue "Telegram Revival Report"
Janvier 2002.
Cet évènement s'est produit lors de la Campagne d'Annonce de l'Evangile au Nigéria , fin
Novembre 2001.
Quelques jours auparavant, des fanatiques musulmans avaient essayé d'arrêter le
déroulement de cette conférence. Ils étaient allés chez Mr ARANSIOLA , de nuit , et avaient
sorti son fils Sunday dans la rue.
Ils l'avaient forcé à confesser que Allah est grand et comme celui ci avait répondu "Jesus is
Lord", "Jesus est Seigneur" , ils l'ont roué de coups de pieds et poignardé à mort. Sunday
était chrétien , engagé dans l'équipe de louange et est donc mort en martyr à 25 ans.
La campagne d'évangélisation , quelques jours après , a vu venir 4 millions de personnes.
Transmis par L. ROMERO
Source : The Post Express
N'est-ce pas annoncé comme le début de la fin?
Titi- Date d'inscription : 28/09/2012
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