Théorie de l'évolution - La supercherie
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évolution
L'évolution est une matière centrale qu'il convient d'aborder de front, non pas pour la vérité qu'elle enseigne, mais pour la raison qu'elle constitue aux yeux des athées, des nihilistes, des satanistes, une grande victoire sur le christianisme, et d'une manière générale sur le théisme. L'évolution est bien cette philosophie issue des courants darwiniens, s'appuyant sur le hasard (et seulement le hasard) et la nécessité, et imposant à toutes formes de vie une origine chimique accidentelle commune; nous sommes d'accord? C'est en tous cas ce qui est enseigné dès l'école primaire. L'évolution radicale a ses variantes, suivant l'imaginaire de chacun. On y adhère plus ou moins, ou y ajoute plus ou moins de hasard, selon l'humeur; plus ou moins de divin... Ces fluctuations imaginatives, la possibilité pour chacun d'y mêler sa propre vision des choses, en démontrent l'absolue non-scientificité. Quand quelqu'un s’apprête à vous démontrer, à vous, pauvre chrétien catholique, que vous descendez d'une amibe, il commence toujours sa démonstration par un "je crois que..." Cette construction de la raison (de l'imagination), ce monument, ce château, qui relève de l'extrapolation et de différentes théories mises bout à bout, si ce n'est de la science fiction, se veut aujourd'hui vérité universelle. Gare à celui qui objecte ; il sera mis au ban de son université, de son travail, de la société. Il sera traité de fou, de complotiste, de révisionniste... on connaît la chanson.
Pourtant, la contradiction (re)gagne du terrain, au mépris du jugement des détenteurs de cette toute puissante vérité. Un jour, un savant a osé s’exclamer : « mais le grand Duc est nu! » et des milliers d'yeux se sont ouverts sur cette réalité : la théorie de l'évolution, sous ses grands airs doctrinaux, est vide de sens, non fondée, non étayé par la preuve. C'est tout au plus un jeu de l'esprit de savants imbéciles qui recherchent le confort plutôt que la vérité.
Mais avant que la vérité n'éclate au grand jour, il y a encore du chemin à parcourir. Les sphères chrétiennes et scientifiques (au sens évolutionnistes) s’affrontent non dans un débat, mais dans deux visions absolument séparées et incompatibles. Le commun des mortels, soutenu par les médias qui ne sont pas neutres en la question, oppose les deux camps sans nuance. Les uns sont créationnistes, ce sont les crétins rétrogrades et obscurantistes ; les autres sont évolutionnistes, ce sont les gentils dignes de foi qui font appel à la raison et s'appuient sur la science. Vous avouerez mes chers lecteurs, que je ne grossis pas le trait. C'est bien ainsi que se présente l'affaire. Ouvrez n'importe quelle revue, allumez n'importe quelle télé, lisez les journaux dans leur ensemble, de la France à la Chine ; dès que le sujet est abordé, le clivage créationniste/évolutionniste est présenté tel que obscurantiste/scientifique. Une deuxième constatation malheureuse s'impose : la théorie de l'évolution a contaminé jusqu'au moindre foyer catholique. Il suffit d'interroger le bon peuple chrétien à la sortie de la messe pour entendre débiter des flots de vérités scolaires à la sauce darwinienne : « Oui, je crois à l'évolution des espèces, c'est prouvé scientifiquement. (Ah ! Bon ? Ça alors, vous avez une preuve ?... ) Alors disons que Dieu a insufflé la vie dans une soupe chimique devenue amibe qui elle-même, après des milliards d'années est devenue un homme... » Comment blâmer ces braves gens de tenter aussi maladroitement de rendre cette théorie compatible avec leur foi catholique ? Depuis leur plus tendre enfance, l'air qu'ils respirent est Darwinien. La propagande est totale. L'école de la république leur a bourré le crâne de dessins artistiques présentant le singe en route vers l'intelligence, au point qu'il leur est impossible de penser cela posément.
Avant de suggérer à vos intelligences qu'il se pourrait bien que la théorie de l'évolution soit en tous points, philosophiques et scientifiques, absolument irréelle, qu'il s'agit d'un dogme de foi, une religion à part entière, opposée à l'acte créateur, n'ayant d'ailleurs pour autre but que de nier l'acte créateur, je vais m'adresser aux chrétiens qui en douteraient, en leur posant quelques questions triviales.
Première question : croyez-vous chers amis en la parole de Dieu ? Oui, allez-vous me répondre. Certes, vous y croyez, sinon vous ne seriez pas chrétiens. Vous croyez donc les saints évangiles, la naissance miraculeuse du Christ, engendré d'une vierge sans pêché et de l'Esprit Saint. Croire en cela, c'est déjà admettre le merveilleux dans la manière dont Dieu agit. Et lorsque Jésus parle par la plume des évangélistes, vous ne remettez pas sa parole en question. Ainsi, lorsque Jésus dit : « N’avez-vous pas lu ceci ? Dès le commencement, le Créateur les fit homme et femme, » (st mt 19,4), loin de vous l'idée de vous dire en aparté : « Mais là, comme il cite la Genèse, il convient d'interpréter en fonction d'un dogme plus important que Sa parole : la théorie de l'évolution. Alors quand Jésus dit dès le commencement, c'est à dire au tout début, ça ne veut pas dire exactement que c'était à un instant donné, c'est une façon de parler. Et le créateur les fit homme et femme, bon, disons que c'est aussi une façon de parler. Peut-être bien que Jésus qualifie d'homme et femme des sortes de singes évolués... ». Dès cet instant, si vous êtes de bonne foi, comme vous convenez qu'on ne peut être chrétien et douter de la parole de Jésus, vous comprenez que si Jésus vous demande de croire en la Genèse, c'est que la Genèse nous livre un enseignement digne d’intérêt.
Cela entraîne logiquement la deuxième question : se demander à partir de quel stade de l'évolution du singe, Dieu se serait dit : « tiens, celui-ci me paraît assez évolué comme animal ; collons lui une âme spirituelle humaine, » a-t-il un sens d'un point de vue chrétien ? Certes non, strictement aucun sens. Cela serait d'une part contraire à ce que nous dit la Genèse, à savoir que l'homme est créé, et qu'il est créé à l'image de Dieu, c'est à dire mû par une âme spirituelle éternelle, appelée à la vie même de Dieu ; d'autre part, ce serait imposer une limite à la puissance créatrice divine. Penseriez-vous que Dieu, pris d'une instant de flemme, a dû confier au temps et au hasard la part la plus importante de sa création ?
Troisième question : Dieu est-il le créateur du ciel et de la Terre, de l'univers visible et invisible, ou non ? Oui allez-vous me répondre, sinon vous ne seriez pas non plus chrétiens. Donc vous croyez que Dieu a fait sortir toutes choses du néant, sans même avoir eu besoin de bouger un doigt, puisque quelques paroles lui ont suffit.
Dernière question : Pour quelle fichue raison éprouver le besoin de faire coller coûte que coûte l'acte créateur avec une théorie humaine ? Autrement dit, pourquoi Dieu aurait-il arrêté son acte créateur à l'organisme unicellulaire, qu'il aurait programmé à évoluer jusqu'aux êtres complexes et sexués, puis jusqu'à l'homme spirituel ? Aurait-il agi ainsi uniquement pour conforter quelques évolutionnistes dogmatiques dans leur vision pour le moins impossible de l'univers ?
A ce stade de réflexion, amis chrétiens, vous voyez bien, si vous êtes honnêtes avec vous-même, que tenter d'être à la foi évolutionniste et croyant n'est pas une chose aussi simple et évidente qu'il y paraît. On peut difficilement penser que tout à la fois, Dieu est créateur, et que l'homme est malgré cela le fruit d'une évolution. Faire coller les deux approches revient à affirmer : « Dieu crée ; ça d'accord ; mais il est bien obligé d'utiliser la méthode évolutionniste, parce qu'autrement, ce n'est pas possible. » Raisonnement parfaitement absurde.
Le Chrétien est donc nécessairement créationniste. Je n'aime pas trop cette qualification, un peu trop protestante évangéliste à mon goût. Je suis sans aucun doute créationniste, mais je ne prétends pas à l'instar des évangélistes, donner une lecture littérale de la bible, au point d'en tirer une science. Je sais reconnaître de la poésie et admettre une certaine licence poétique, lorsque le texte se présente ainsi. Par exemple, je n'ai aucune idée de ce que représentent un jour ou mille ans du point de vue de l'éternité divine. L'échelle temporelle biblique étant inscrite dans l'acte créateur éternel de Dieu, il est donc difficile de la prendre au sens littéral. Moi je dis que je suis chrétien, cela suffit, puisque cela comprend l'adhésion au credo, à la parole de Dieu, aux dogmes de foi.
Scientifiquement, que vaut la théorie de l'évolution? Y a-t-il preuve ? Nous disposons de fossiles, de quelques ossements plus ou moins anciens et plus ou moins complets de créatures simiesques, et certains échafaudent autour de cela tout un univers. Mais les preuves présentées dans les manuels scolaires, les chaînons manquants, les maillons intermédiaires du singe à l'homme, ou de l'amibe au batracien, sont toutes des supercheries avérées, reconnues, démontrées. Ce qui est fou, c'est de continuer à voir apparaître ces supercheries dans les livres et manuels. Toutes les représentations de l'évolution que l'on trouve dans les livres sont des créations artistiques. Dessiner un singe à l'expressivité humaine est un acte de pure propagande. Plutôt qu'un long discours, visionnez une petite vidéo. L'intervenant est un rabin, donc un théiste, donc un créationniste. Vous trouverez sans peine sur le net moultes preuves accusatoires de la supercherie des fossiles. Et aucun savant ne se ridiculisera à apporter la contradiction à ces preuves.
La biologie évolutionniste est totalement défaite par l'expérimentation. Le principe de base est qu'avec les acides aminés communs dans toutes vies, l'origine du vivant doit nécessairement être unique. Il est cependant impossible de justifier le passage d'un organisme unicellulaire à un organisme pluricellulaire. Aucune nécessité, aucun principe évolutionniste, ne peut imposer un tel phénomène. Une diatomée (algue unicellulaire) est parfaite en soi, et survivra dans son unicité et sa perfection à toutes les espèces complexes. De même, le passage de l’asexué au sexué est impossible. Tout comme est impossible le franchissement évolutif de la mitose à la méiose (formes de division cellulaire) et inversement. Enfin, le saut d'espèce est totalement impossible, voire délirant. Toutes les expériences faites sur différentes espèces, comme la mouche drosophile, visant à provoquer un saut qualitatif, ou un changement d'espèce, se sont avérées récessives. On peut par mutation, créer une drosophile sans ailes, mais premièrement, il s'agit toujours d'une drosophile, et d'autre part, ce type de mutation est toujours un appauvrissement conduisant à une extinction de l'espèce. Il faut savoir que depuis que la drosophile est sujet d'expérimentation à décharge de la théorie de l'évolution, il a été généré plus de générations de ces mouches, qu'il n'y aurait eu de générations d'humanoïdes si notre espèce provenait de ce type de transmutation depuis l'âge présumé de la Terre, à savoir, 4,2 milliards d'années ; (âge dont on peut très sérieusement douter si l'on considère la supercherie du carbone 14 et autres méthodes de datation ; mais je ne prendrais même pas la peine d'entrer dans ces considérations. De même, je ne m'aventurerai pas, plus loin, à rigoler du big bang, autre théorie dans la théorie...). Et en toutes ces générations de mouches, les savants ne sont parvenus à rien. Ils ont engendré des mouches sans yeux, sans ailes, sans pattes, bleues, rouges, jaunes... Mais toutes étaient des drosophiles, et toutes ces soi-disant mutations étaient récessives. Pour conclure ce chapitre biologique, il convient de parler de cette fameuse soupe de molécules carbonées qui proviendrait de météores et qui aurait par l'action de..., (aïe! on ne sait pas de quoi au juste, sinon, on aurait reproduit la chose en laboratoire), bref, qui aurait donné vie au premier organisme. Rien qu'à l'énoncé de cette n'ième théorie dans la théorie, vous pouvez sourire, ou pleurer si ce n'était ce qu'on enseigne au forceps à vos enfants dès l'école primaire. Les savants ont beau réunir en éprouvette tous les ingrédients chimiques de la cellule, dans les proportions exactes, et soumettre ce mélange au chaud, au froid, au vide, au méthane, à l'azote, aux radiations, à la pression, ça ne marche pas… On s'est bien glorifié ici ou là de voir apparaître par ces expérimentations quelques molécules qui composent la cellule ; mais de vie, nenni. Rien n'y fait, la vie reste un insondable mystère.
D'un point de vue mathématique, même en supposant que l'âge de l'univers soit bien de 13,7 milliards d'années, que durant ce laps de temps, le principe évolutif ait été sans faille, se déroulant à chacun de ses développements sans un seul accro, pour donner ici, la grenouille parfaite, là l'aigle idéal, ailleurs l'homme dans toute sa complexité, le plus idiot des statisticiens vous démontrera l'absolue impossibilité du phénomène. La diversité de la vie est trop importante pour que l'évolution, autrement dit le hasard et la nécessité, en soit la cause. Les paramètres composant chaque espèce sont trop nombreux pour qu'une évolution en soit la cause. Il y a dans le génome du plus petit vivant, un ensemble de paramètres si vaste qu'il est impossible d'en dire le nombre. Chacun de ces paramètres règle une fonction vitale en harmonie parfaite avec toutes les autres; par exemple, telle hormone en harmonie avec telle fonction cérébrale; l’œil en harmonie avec le toucher... La liste est longue. Comment le seul hasard, l'accident, règlerait tout ceci? Il faudrait une suite si longue de faits accidentels aboutissant à un résultat parfait que tout ceci est mathématiquement impossible. Si la nature par le biais d'essais et de mutations hasardeuses est parvenue au résultat global parfait que l'on constate, (le coléoptère parfait, parfaitement adapté à son environnement), il devrait exister une incroyable quantité de brouillons imparfaits, d’erreurs d'aiguillage, de voies sans issues encore vivantes. Il n'en est rien. Chaque fossile fut-il de dinosaure ou de palourde, est le témoin d'espèces parfaites ayant vécu. Chaque vivant sur la planète est le représentant d'une espèce parfaite. Le hasard et la perfection sont mathématiquement incompatibles. Les évolutionnistes ont supposé un âge de l'univers très long pour tenter de faire coller leur thèse au réel, mais désolé pour eux, 13,7 milliards d'années n'y suffisent pas ; dommage.
Concluons par un peu de philosophie. Comme je le disais au début de l'exposé, la théorie de l'évolution n'est pas scientifique. Elle est une philosophie religieuse à part entière. C'est et ça restera un modèle, une construction intellectuelle, visant à exclure Dieu de l'équation. Ce modèle est très incomplet puisqu'il omet la considération qualitative la plus importante : l'intelligence. Il y a une impossibilité philosophique à ce que l'intelligence soit le fruit d'une évolution. L'animal le plus doué de raison n'est pas intelligent. Il ne possède pas la capacité de découvrir l'invisible par l'expérimentation du visible. Il ne possède pas la capacité de l'interrogation métaphysique. C'est une des raisons qui ont conduit beaucoup de penseurs modernes à nier la question métaphysique, à l'exclure de leurs pensées. (Le dernier en date, Onfray et son ridicule traité d'athéologie). Or l'interrogation métaphysique, la question de la finalité, la spéculation sur l'origine, est propre à l'homme. C'est le propre de l'intelligence. Et le passage de la raison, qui qualifie le degré de vie animal, (y compris le degré de vie animal humain), à l'intelligence qui qualifie l'homme et le rend capable de découvrir les principes et les causes de l'univers par induction, est tout simplement aussi impossible par un processus évolutif, que le saut de la méiose à la mitose. En d'autres termes, ce qui fait de l'homme un être spirituel aspirant à l'éternité, ne peut en aucun cas venir d'une quelconque évolution. Le saut métaphysique est l'impossibilité ontologique ultime qui élimine définitivement la théorie de l'évolution du champ des possibles.
Pour conclure, je dirai que l'évolution est une fable bien plus merveilleuse que l'histoire biblique m'expliquant qu'un beau jour, un Dieu acte pur, dans une vision de sagesse, à créé l'univers, et qu'il poursuit cet acte créateur dans une éternité qui englobe passé, présent et futur. Remplacer l'acte créateur divin par une théorie hasardeuse est stupide. C'est un refus d'intelligence et une manifestation stérile d'un orgueil démesuré. Comment Dieu a-t-il procédé ? Comment procède-t-il, là, maintenant? Je ne saurai le dire, n'ayant pas été présent lors des faits. Je lis la Genèse et j'y apprends que Dieu créa l'homme et la femme, qu'homme et femme il les créa. J'y apprends aussi qu'au commencement, nos premiers parents étaient sans pêché et ne connaissaient la mort. Comment dans ce cas, peut-on admettre en tant que chrétien, l'existence d'une vie pré-humaine ? Je vous laisse sur cette belle question.
Pourtant, la contradiction (re)gagne du terrain, au mépris du jugement des détenteurs de cette toute puissante vérité. Un jour, un savant a osé s’exclamer : « mais le grand Duc est nu! » et des milliers d'yeux se sont ouverts sur cette réalité : la théorie de l'évolution, sous ses grands airs doctrinaux, est vide de sens, non fondée, non étayé par la preuve. C'est tout au plus un jeu de l'esprit de savants imbéciles qui recherchent le confort plutôt que la vérité.
Mais avant que la vérité n'éclate au grand jour, il y a encore du chemin à parcourir. Les sphères chrétiennes et scientifiques (au sens évolutionnistes) s’affrontent non dans un débat, mais dans deux visions absolument séparées et incompatibles. Le commun des mortels, soutenu par les médias qui ne sont pas neutres en la question, oppose les deux camps sans nuance. Les uns sont créationnistes, ce sont les crétins rétrogrades et obscurantistes ; les autres sont évolutionnistes, ce sont les gentils dignes de foi qui font appel à la raison et s'appuient sur la science. Vous avouerez mes chers lecteurs, que je ne grossis pas le trait. C'est bien ainsi que se présente l'affaire. Ouvrez n'importe quelle revue, allumez n'importe quelle télé, lisez les journaux dans leur ensemble, de la France à la Chine ; dès que le sujet est abordé, le clivage créationniste/évolutionniste est présenté tel que obscurantiste/scientifique. Une deuxième constatation malheureuse s'impose : la théorie de l'évolution a contaminé jusqu'au moindre foyer catholique. Il suffit d'interroger le bon peuple chrétien à la sortie de la messe pour entendre débiter des flots de vérités scolaires à la sauce darwinienne : « Oui, je crois à l'évolution des espèces, c'est prouvé scientifiquement. (Ah ! Bon ? Ça alors, vous avez une preuve ?... ) Alors disons que Dieu a insufflé la vie dans une soupe chimique devenue amibe qui elle-même, après des milliards d'années est devenue un homme... » Comment blâmer ces braves gens de tenter aussi maladroitement de rendre cette théorie compatible avec leur foi catholique ? Depuis leur plus tendre enfance, l'air qu'ils respirent est Darwinien. La propagande est totale. L'école de la république leur a bourré le crâne de dessins artistiques présentant le singe en route vers l'intelligence, au point qu'il leur est impossible de penser cela posément.
Avant de suggérer à vos intelligences qu'il se pourrait bien que la théorie de l'évolution soit en tous points, philosophiques et scientifiques, absolument irréelle, qu'il s'agit d'un dogme de foi, une religion à part entière, opposée à l'acte créateur, n'ayant d'ailleurs pour autre but que de nier l'acte créateur, je vais m'adresser aux chrétiens qui en douteraient, en leur posant quelques questions triviales.
Première question : croyez-vous chers amis en la parole de Dieu ? Oui, allez-vous me répondre. Certes, vous y croyez, sinon vous ne seriez pas chrétiens. Vous croyez donc les saints évangiles, la naissance miraculeuse du Christ, engendré d'une vierge sans pêché et de l'Esprit Saint. Croire en cela, c'est déjà admettre le merveilleux dans la manière dont Dieu agit. Et lorsque Jésus parle par la plume des évangélistes, vous ne remettez pas sa parole en question. Ainsi, lorsque Jésus dit : « N’avez-vous pas lu ceci ? Dès le commencement, le Créateur les fit homme et femme, » (st mt 19,4), loin de vous l'idée de vous dire en aparté : « Mais là, comme il cite la Genèse, il convient d'interpréter en fonction d'un dogme plus important que Sa parole : la théorie de l'évolution. Alors quand Jésus dit dès le commencement, c'est à dire au tout début, ça ne veut pas dire exactement que c'était à un instant donné, c'est une façon de parler. Et le créateur les fit homme et femme, bon, disons que c'est aussi une façon de parler. Peut-être bien que Jésus qualifie d'homme et femme des sortes de singes évolués... ». Dès cet instant, si vous êtes de bonne foi, comme vous convenez qu'on ne peut être chrétien et douter de la parole de Jésus, vous comprenez que si Jésus vous demande de croire en la Genèse, c'est que la Genèse nous livre un enseignement digne d’intérêt.
Cela entraîne logiquement la deuxième question : se demander à partir de quel stade de l'évolution du singe, Dieu se serait dit : « tiens, celui-ci me paraît assez évolué comme animal ; collons lui une âme spirituelle humaine, » a-t-il un sens d'un point de vue chrétien ? Certes non, strictement aucun sens. Cela serait d'une part contraire à ce que nous dit la Genèse, à savoir que l'homme est créé, et qu'il est créé à l'image de Dieu, c'est à dire mû par une âme spirituelle éternelle, appelée à la vie même de Dieu ; d'autre part, ce serait imposer une limite à la puissance créatrice divine. Penseriez-vous que Dieu, pris d'une instant de flemme, a dû confier au temps et au hasard la part la plus importante de sa création ?
Troisième question : Dieu est-il le créateur du ciel et de la Terre, de l'univers visible et invisible, ou non ? Oui allez-vous me répondre, sinon vous ne seriez pas non plus chrétiens. Donc vous croyez que Dieu a fait sortir toutes choses du néant, sans même avoir eu besoin de bouger un doigt, puisque quelques paroles lui ont suffit.
Dernière question : Pour quelle fichue raison éprouver le besoin de faire coller coûte que coûte l'acte créateur avec une théorie humaine ? Autrement dit, pourquoi Dieu aurait-il arrêté son acte créateur à l'organisme unicellulaire, qu'il aurait programmé à évoluer jusqu'aux êtres complexes et sexués, puis jusqu'à l'homme spirituel ? Aurait-il agi ainsi uniquement pour conforter quelques évolutionnistes dogmatiques dans leur vision pour le moins impossible de l'univers ?
A ce stade de réflexion, amis chrétiens, vous voyez bien, si vous êtes honnêtes avec vous-même, que tenter d'être à la foi évolutionniste et croyant n'est pas une chose aussi simple et évidente qu'il y paraît. On peut difficilement penser que tout à la fois, Dieu est créateur, et que l'homme est malgré cela le fruit d'une évolution. Faire coller les deux approches revient à affirmer : « Dieu crée ; ça d'accord ; mais il est bien obligé d'utiliser la méthode évolutionniste, parce qu'autrement, ce n'est pas possible. » Raisonnement parfaitement absurde.
Le Chrétien est donc nécessairement créationniste. Je n'aime pas trop cette qualification, un peu trop protestante évangéliste à mon goût. Je suis sans aucun doute créationniste, mais je ne prétends pas à l'instar des évangélistes, donner une lecture littérale de la bible, au point d'en tirer une science. Je sais reconnaître de la poésie et admettre une certaine licence poétique, lorsque le texte se présente ainsi. Par exemple, je n'ai aucune idée de ce que représentent un jour ou mille ans du point de vue de l'éternité divine. L'échelle temporelle biblique étant inscrite dans l'acte créateur éternel de Dieu, il est donc difficile de la prendre au sens littéral. Moi je dis que je suis chrétien, cela suffit, puisque cela comprend l'adhésion au credo, à la parole de Dieu, aux dogmes de foi.
Scientifiquement, que vaut la théorie de l'évolution? Y a-t-il preuve ? Nous disposons de fossiles, de quelques ossements plus ou moins anciens et plus ou moins complets de créatures simiesques, et certains échafaudent autour de cela tout un univers. Mais les preuves présentées dans les manuels scolaires, les chaînons manquants, les maillons intermédiaires du singe à l'homme, ou de l'amibe au batracien, sont toutes des supercheries avérées, reconnues, démontrées. Ce qui est fou, c'est de continuer à voir apparaître ces supercheries dans les livres et manuels. Toutes les représentations de l'évolution que l'on trouve dans les livres sont des créations artistiques. Dessiner un singe à l'expressivité humaine est un acte de pure propagande. Plutôt qu'un long discours, visionnez une petite vidéo. L'intervenant est un rabin, donc un théiste, donc un créationniste. Vous trouverez sans peine sur le net moultes preuves accusatoires de la supercherie des fossiles. Et aucun savant ne se ridiculisera à apporter la contradiction à ces preuves.
La biologie évolutionniste est totalement défaite par l'expérimentation. Le principe de base est qu'avec les acides aminés communs dans toutes vies, l'origine du vivant doit nécessairement être unique. Il est cependant impossible de justifier le passage d'un organisme unicellulaire à un organisme pluricellulaire. Aucune nécessité, aucun principe évolutionniste, ne peut imposer un tel phénomène. Une diatomée (algue unicellulaire) est parfaite en soi, et survivra dans son unicité et sa perfection à toutes les espèces complexes. De même, le passage de l’asexué au sexué est impossible. Tout comme est impossible le franchissement évolutif de la mitose à la méiose (formes de division cellulaire) et inversement. Enfin, le saut d'espèce est totalement impossible, voire délirant. Toutes les expériences faites sur différentes espèces, comme la mouche drosophile, visant à provoquer un saut qualitatif, ou un changement d'espèce, se sont avérées récessives. On peut par mutation, créer une drosophile sans ailes, mais premièrement, il s'agit toujours d'une drosophile, et d'autre part, ce type de mutation est toujours un appauvrissement conduisant à une extinction de l'espèce. Il faut savoir que depuis que la drosophile est sujet d'expérimentation à décharge de la théorie de l'évolution, il a été généré plus de générations de ces mouches, qu'il n'y aurait eu de générations d'humanoïdes si notre espèce provenait de ce type de transmutation depuis l'âge présumé de la Terre, à savoir, 4,2 milliards d'années ; (âge dont on peut très sérieusement douter si l'on considère la supercherie du carbone 14 et autres méthodes de datation ; mais je ne prendrais même pas la peine d'entrer dans ces considérations. De même, je ne m'aventurerai pas, plus loin, à rigoler du big bang, autre théorie dans la théorie...). Et en toutes ces générations de mouches, les savants ne sont parvenus à rien. Ils ont engendré des mouches sans yeux, sans ailes, sans pattes, bleues, rouges, jaunes... Mais toutes étaient des drosophiles, et toutes ces soi-disant mutations étaient récessives. Pour conclure ce chapitre biologique, il convient de parler de cette fameuse soupe de molécules carbonées qui proviendrait de météores et qui aurait par l'action de..., (aïe! on ne sait pas de quoi au juste, sinon, on aurait reproduit la chose en laboratoire), bref, qui aurait donné vie au premier organisme. Rien qu'à l'énoncé de cette n'ième théorie dans la théorie, vous pouvez sourire, ou pleurer si ce n'était ce qu'on enseigne au forceps à vos enfants dès l'école primaire. Les savants ont beau réunir en éprouvette tous les ingrédients chimiques de la cellule, dans les proportions exactes, et soumettre ce mélange au chaud, au froid, au vide, au méthane, à l'azote, aux radiations, à la pression, ça ne marche pas… On s'est bien glorifié ici ou là de voir apparaître par ces expérimentations quelques molécules qui composent la cellule ; mais de vie, nenni. Rien n'y fait, la vie reste un insondable mystère.
D'un point de vue mathématique, même en supposant que l'âge de l'univers soit bien de 13,7 milliards d'années, que durant ce laps de temps, le principe évolutif ait été sans faille, se déroulant à chacun de ses développements sans un seul accro, pour donner ici, la grenouille parfaite, là l'aigle idéal, ailleurs l'homme dans toute sa complexité, le plus idiot des statisticiens vous démontrera l'absolue impossibilité du phénomène. La diversité de la vie est trop importante pour que l'évolution, autrement dit le hasard et la nécessité, en soit la cause. Les paramètres composant chaque espèce sont trop nombreux pour qu'une évolution en soit la cause. Il y a dans le génome du plus petit vivant, un ensemble de paramètres si vaste qu'il est impossible d'en dire le nombre. Chacun de ces paramètres règle une fonction vitale en harmonie parfaite avec toutes les autres; par exemple, telle hormone en harmonie avec telle fonction cérébrale; l’œil en harmonie avec le toucher... La liste est longue. Comment le seul hasard, l'accident, règlerait tout ceci? Il faudrait une suite si longue de faits accidentels aboutissant à un résultat parfait que tout ceci est mathématiquement impossible. Si la nature par le biais d'essais et de mutations hasardeuses est parvenue au résultat global parfait que l'on constate, (le coléoptère parfait, parfaitement adapté à son environnement), il devrait exister une incroyable quantité de brouillons imparfaits, d’erreurs d'aiguillage, de voies sans issues encore vivantes. Il n'en est rien. Chaque fossile fut-il de dinosaure ou de palourde, est le témoin d'espèces parfaites ayant vécu. Chaque vivant sur la planète est le représentant d'une espèce parfaite. Le hasard et la perfection sont mathématiquement incompatibles. Les évolutionnistes ont supposé un âge de l'univers très long pour tenter de faire coller leur thèse au réel, mais désolé pour eux, 13,7 milliards d'années n'y suffisent pas ; dommage.
Concluons par un peu de philosophie. Comme je le disais au début de l'exposé, la théorie de l'évolution n'est pas scientifique. Elle est une philosophie religieuse à part entière. C'est et ça restera un modèle, une construction intellectuelle, visant à exclure Dieu de l'équation. Ce modèle est très incomplet puisqu'il omet la considération qualitative la plus importante : l'intelligence. Il y a une impossibilité philosophique à ce que l'intelligence soit le fruit d'une évolution. L'animal le plus doué de raison n'est pas intelligent. Il ne possède pas la capacité de découvrir l'invisible par l'expérimentation du visible. Il ne possède pas la capacité de l'interrogation métaphysique. C'est une des raisons qui ont conduit beaucoup de penseurs modernes à nier la question métaphysique, à l'exclure de leurs pensées. (Le dernier en date, Onfray et son ridicule traité d'athéologie). Or l'interrogation métaphysique, la question de la finalité, la spéculation sur l'origine, est propre à l'homme. C'est le propre de l'intelligence. Et le passage de la raison, qui qualifie le degré de vie animal, (y compris le degré de vie animal humain), à l'intelligence qui qualifie l'homme et le rend capable de découvrir les principes et les causes de l'univers par induction, est tout simplement aussi impossible par un processus évolutif, que le saut de la méiose à la mitose. En d'autres termes, ce qui fait de l'homme un être spirituel aspirant à l'éternité, ne peut en aucun cas venir d'une quelconque évolution. Le saut métaphysique est l'impossibilité ontologique ultime qui élimine définitivement la théorie de l'évolution du champ des possibles.
Pour conclure, je dirai que l'évolution est une fable bien plus merveilleuse que l'histoire biblique m'expliquant qu'un beau jour, un Dieu acte pur, dans une vision de sagesse, à créé l'univers, et qu'il poursuit cet acte créateur dans une éternité qui englobe passé, présent et futur. Remplacer l'acte créateur divin par une théorie hasardeuse est stupide. C'est un refus d'intelligence et une manifestation stérile d'un orgueil démesuré. Comment Dieu a-t-il procédé ? Comment procède-t-il, là, maintenant? Je ne saurai le dire, n'ayant pas été présent lors des faits. Je lis la Genèse et j'y apprends que Dieu créa l'homme et la femme, qu'homme et femme il les créa. J'y apprends aussi qu'au commencement, nos premiers parents étaient sans pêché et ne connaissaient la mort. Comment dans ce cas, peut-on admettre en tant que chrétien, l'existence d'une vie pré-humaine ? Je vous laisse sur cette belle question.
Re: Théorie de l'évolution - La supercherie
Bonjour à vous.
Hypothèse : le péché originel
1e perspective
Le péché originel est peut-être lié au système de l’évolution.
Entraîné dans la spirale du péché originel, l’homme du ciel est devenu l’homme de la terre, emprisonné dans les limites de la finitude, ayant perdu l’état de grâce céleste.
Ainsi, l’homme céleste vivait en état de grâce, possédant la pleine connaissance des choses et de Dieu. Sa vie était donc moralement au-delà du bien et du mal, c’est-à-dire dans le plein amour.
Par contre, l’homme nouveau né de la terre est engagé dans l’imbroglio de l’existence et de la connaissance. La connaissance du bien et du mal, la connaissance en général, émergent de la personnalité humaine, ignorante des choses et de Dieu.
2e perspective
A partir péché originel, ce qui est animal fait son apparition en premier, ensuite ce qui est spirituel. Les dès sont jetés. L’homme animal ou l’homme de la terre (c’est-à-dire l’homme du péché originel), dans le sein des choses de la nature, va rentrer en lutte avec le milieu – son milieu. A partir de ce premier degré de l’évolution, la pensée vibrera, façonnera et perfectionnera son expérience. Ainsi, le péché originel est dans l’évolution puisqu’il est rupture originelle. L’évolution reste donc un long cheminement vers le retour, retour vers la connaissance de Dieu. Car, depuis le Christ, l’homme nouveau est né.
Bien entendu, tout cela reste hypothèse.
Hypothèse : le péché originel
1e perspective
Le péché originel est peut-être lié au système de l’évolution.
Entraîné dans la spirale du péché originel, l’homme du ciel est devenu l’homme de la terre, emprisonné dans les limites de la finitude, ayant perdu l’état de grâce céleste.
Ainsi, l’homme céleste vivait en état de grâce, possédant la pleine connaissance des choses et de Dieu. Sa vie était donc moralement au-delà du bien et du mal, c’est-à-dire dans le plein amour.
Par contre, l’homme nouveau né de la terre est engagé dans l’imbroglio de l’existence et de la connaissance. La connaissance du bien et du mal, la connaissance en général, émergent de la personnalité humaine, ignorante des choses et de Dieu.
2e perspective
A partir péché originel, ce qui est animal fait son apparition en premier, ensuite ce qui est spirituel. Les dès sont jetés. L’homme animal ou l’homme de la terre (c’est-à-dire l’homme du péché originel), dans le sein des choses de la nature, va rentrer en lutte avec le milieu – son milieu. A partir de ce premier degré de l’évolution, la pensée vibrera, façonnera et perfectionnera son expérience. Ainsi, le péché originel est dans l’évolution puisqu’il est rupture originelle. L’évolution reste donc un long cheminement vers le retour, retour vers la connaissance de Dieu. Car, depuis le Christ, l’homme nouveau est né.
Bien entendu, tout cela reste hypothèse.
rafael22- Date d'inscription : 15/08/2010
Localisation : Belgique
Re: Théorie de l'évolution - La supercherie
Tout ceci est très poétique, Rafael. La seule certitude que nous ayons, c'est que Dieu crée dans un acte pur, gratuit, profondément amoureux, et qu'il se sert du pêché originel pour permettre à Marie d'engendrer le Christ, et de donner à chaque homme la possibilité de renaître en la pureté originel de sa conception.
Re: Théorie de l'évolution - La supercherie
Au-delà des débats la science moderne a son mot à dire:
Le séquençage du génome du chimpanzé
Nature, septembre 2005
Une équipe internationale (67 chercheurs) principalement américaine vient de livrer le résultat de ses recherches sur le séquençage complet du génome du chimpanzé.
La séquence d'ADN du chimpanzé et de l'homme identique à 99 % !
C'est le chimpanzé Clint, de la sous-espèce Pan troglodytes verus, qui a servi de modèle.
Après l'homme, le rat et la souris, c'est le quatrième mammifère qui bénéficie d'une étude aussi complète .
La comparaison avec Homo sapiens indique que les deux espèces partagent la très grande majorité de leur patrimoine génétique.
De manière plus précise, 99% des 3 milliards de paires de bases formant notre double hélice d'ADN sont identiques à celles du chimpanzé... C'est peu et beaucoup à la fois : la différence entre notre génome et celui du chimpanzé est dix fois plus grande que celle entre deux êtres humains...
La confirmation d'une séparation "récente" entre la branche humaine et celle des chimpanzés.
L'extrême proximité génétique des deux espèces indique que la séparation, à l'échelle du monde, est relativement récente. Si la majorité des scientifiques évalue cette séparation entre 6 et 8 millions d'années, Brigitte Senut (Muséum National d'Histoire Naturelle) et Martin Pickford penchent pour une disjonction plus ancienne : 13 millions d'années.
Source:
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Le séquençage du génome du chimpanzé
Nature, septembre 2005
Une équipe internationale (67 chercheurs) principalement américaine vient de livrer le résultat de ses recherches sur le séquençage complet du génome du chimpanzé.
La séquence d'ADN du chimpanzé et de l'homme identique à 99 % !
C'est le chimpanzé Clint, de la sous-espèce Pan troglodytes verus, qui a servi de modèle.
Après l'homme, le rat et la souris, c'est le quatrième mammifère qui bénéficie d'une étude aussi complète .
La comparaison avec Homo sapiens indique que les deux espèces partagent la très grande majorité de leur patrimoine génétique.
De manière plus précise, 99% des 3 milliards de paires de bases formant notre double hélice d'ADN sont identiques à celles du chimpanzé... C'est peu et beaucoup à la fois : la différence entre notre génome et celui du chimpanzé est dix fois plus grande que celle entre deux êtres humains...
La confirmation d'une séparation "récente" entre la branche humaine et celle des chimpanzés.
L'extrême proximité génétique des deux espèces indique que la séparation, à l'échelle du monde, est relativement récente. Si la majorité des scientifiques évalue cette séparation entre 6 et 8 millions d'années, Brigitte Senut (Muséum National d'Histoire Naturelle) et Martin Pickford penchent pour une disjonction plus ancienne : 13 millions d'années.
Source:
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jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Théorie de l'évolution - La supercherie
Personne n'a obligé Dieu de changer de formule gagnante à chaque fois qu'Il créait une nouvelle recette. Que nous soyons proches du singe c'est logique, nous partageons beaucoup de points communs mais que nous en descendions est une autre paire de manche, nous sommes des fils de Dieu et non de macaque.
Petit article intéressant sur ce sujet
Petit article intéressant sur ce sujet
L'ADN humain ressemble aussi à celui du ver de terre, de la mouche ou encore de la poule!
Les protéines de base mentionnées sont des molécules présentes chez de nombreuses et différentes espèces vivantes. La structure des protéines de même nature chez des espèces entièrement différentes ressemble fortement à celle présente chez l'homme, cette ressemblance n'est pas uniquement liée au chimpanzé.
Par exemple, dans des analyses publiées dans la revue New Scientist, une homologie de 75% entre l'ADN des nématodes et celui de l'homme a été mise en évidence. 27 Ce résultat ne signifie nullement l'existence de seulement 25% de différences entre l'homme et cette espèce de ver de terre.
D'un autre côté, lors d'une découverte reflétée également dans les médias, une ressemblance à 60% entre l'homme et la drosophile (mouche à fruit) a été établie. 28
Lorsque les espèces autres que l'homme sont étudiées, les soi-disant liens de parentés avancés par les évolutionnistes n'existent pas au niveau moléculaire. 29
Cette vérité montre la non constitution, par la notion de ressemblance génétique, de preuve en faveur de la théorie de l'évolution.
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Re: Théorie de l'évolution - La supercherie
Cependant, l'idée d'évolution, loin de porter atteinte à la croyance en Dieu créateur, me semble au contraire, militer en sa faveur. Une évolution sans but ni signification, une évolution faisant régresser le monde de l'ordre au chaos, pourrait permettre un doute quant à l'existence de Dieu. Mais une évolution menant d'un cosmos homogène à un cosmos hétérogène, de la force brute à l'intelligence consciente, adaptant graduellement les êtres à leur milieu et vice-versa, nous présente en réalité la matière, la force d'unité, la multiplicité d'objets extérieurs, la vie et la conscience elle-même comme des instruments aux mains d'un suprême Ordonnateur...
rafael22- Date d'inscription : 15/08/2010
Localisation : Belgique
Re: Théorie de l'évolution - La supercherie
Rafael, essayer de faire correspondre une théorie, aussi imprégnée soit-elle dans ton esprit et dans celui du monde, et ta foi, n'ont aucune valeur scientifique. Tu es exactement dans le cas de figure que je décris: "Je crois que ça aurait pu se passer comme ça, que Dieu aurait très bien pu se servir de l'évolution..." Ce genre de tentative est purement imaginative et tôt ou tard, finit par prendre le pas sur la vie spirituelle. Dieu n'a pas besoin de nos théories pour créer l'univers. Quand à l'argument des 97% d'équivalence entre le génome du singe et celui de l'homme, je sais que c'est la dernière cartouche de nombre de scientifiques pour justifier l'impossible, mais ça n'en demeure pas moins une enième théorie dans la théorie. D'autre part, si l'on considère les 3% manquant dans l'absolu, il reste tant de différence entre les espèces, que l'impossibilité statistique subsiste. Sans compter l'impossibilité ontologique.
Cordialement,
régis
Cordialement,
régis
Re: Théorie de l'évolution - La supercherie
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Mais c'est justement ce 3% qui confirme que la théorie de l'évolution de Darwin est erronée! Il y a et il y aura toujours une différence entre l'homme et l'animal et cela est maintenant prouvé par la génétique. Cette science est loin d'être théorique, puisque l'ADN est admise comme preuve lors d'un procès. Donc, les théoriciens de l'évolution ont simplement tord. Ceux-ci n'ont jamais été capable de prouver que les squelettes de "Lucy" et consort avaient le même ADN que l'homme et ne réussiront jamais à trouver ce fameux "chaînon manquant", malgré tous leurs efforts.
Mais c'est justement ce 3% qui confirme que la théorie de l'évolution de Darwin est erronée! Il y a et il y aura toujours une différence entre l'homme et l'animal et cela est maintenant prouvé par la génétique. Cette science est loin d'être théorique, puisque l'ADN est admise comme preuve lors d'un procès. Donc, les théoriciens de l'évolution ont simplement tord. Ceux-ci n'ont jamais été capable de prouver que les squelettes de "Lucy" et consort avaient le même ADN que l'homme et ne réussiront jamais à trouver ce fameux "chaînon manquant", malgré tous leurs efforts.
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Théorie de l'évolution - La supercherie
La théorie poétique d'un ami prêtre, c'est que le démon s'est ingénié à tenter de créer lui aussi un monde à la mesure de sa folie. Il a engendré des monstres semblables aux hommes, mais incapables d'intelligence, ces même monstres qui troublent tant les paléontologues aujourd'hui et qui leur font penser que ce sont des ancêtres de l'homme. Dans la genèse, il est bien dit qu'une des causes de la colère de Dieu et du déluge est que les hommes ont copulé avec ces monstres...
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