Science: faire avorter pour de l'argent

Des avortements contre de l'argent : pour la recherche

Recherche morbide, relatée par le Dr Dickès dans Présent :

"L’ocytocine est une hormone produite par la posthypophyse. Elle sert depuis longtemps pour augmenter et régulariser les contractions durant l’accouchement. Etant un utéro-tonique, elle a pour effet de rétracter l’utérus après la naissance de l’enfant, donc éviter les saignements. Elle est utilisée quasiment systématiquement à chaque naissance. Or des chercheurs vicieux se demandent si cette action est retrouvée lors des avortements. Moyennant quoi l’Université d’Hawaï, en coordination avec celle de Washington, a décidé de recruter 166 jeunes filles de 14 ans acceptant de développer une grossesse jusqu’au deuxième trimestre. L’idée est de les faire avorter contre rétribution, afin de vérifier si l’ocytocine est capable d’empêcher les saignements dans le cadre de ce type d’interruption de grossesse.

C’est le gouvernement américain qui a décidé de diligenter et de payer une étude de cette nature. [...]"

Michel Janva sur le site Salon Beige

Quelle abomination... De pire en pire...

Et... Il y a quelques années (mais est-ce fini...), les pays communistes obligeaient leurs sportives de haut niveau (jeux olympiques etc) à tomber enceintes puis à avorter, sous prétexte que des hormones libérées ainsi leur permettaient de devenir bien plus fortes durant un petit laps de temps...


Dans tous les cas, des petits bébés sont tués, assassinés pour de l'argent et de la célébrité...


Quelques autres info sur ce sujet :

Depuis 1950, on constate que plus d’un tiers des athlètes féminines de certains pays l’est notamment les russes auraient été enceintes, alors que dans le reste de la population ce taux est beaucoup plus faible.
En 1980, l’affaire explose : des entraineurs engrossaient des athlètes puis les faisaient avorter afin de profiter des effets physiologiques et physiques liés à la grossesse des femmes et de leur « pêche d’enfer » de début de cette période. Les athlètes pratiquant des activités d’endurance étaient principalement concernées.


De même, la grossesse a été une méthode utilisée par les gymnastes soviétiques pour bénéficier des changements du début de grossesse. Ces jeunes gymnastes subissaient une IVG (interruption volontaire de grossesse) après l'épreuve, environ 3 à 6 mois après le début de leur grossesse.
Cette méthode est très bénéfique. La masse musculaire importante augmente la puissance du sportif ainsi que sa résistance à l’effort.  En effet, les effets de la grossesse ressemblent fortement à ceux engendrés par l’entrainement de durée.


Les sportives pouvaient alors bénéficier de tous ces avantages sans avoir à subir l’inconvénient d’une prise de poids excessive.

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C'est tout simplement démoniaque.